Solutions. Atofina. des installations, et donc la productivité. Il y a aussi -et surtout- les techniques d optimisation,
|
|
- Victoire Jacques
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONTRÔLE DE PROCESS Les process mieux maîtrisés grâce à la réconciliation des données Grâce aux réseaux informatiques, les données du procédé deviennent disponibles partout sur les installations industrielles, mais aussi ailleurs, du centre de recherche jusque dans les bureaux de la direction. Compte tenu qu il s agit de données brutes, souvent entachées d erreurs, leur exploitation pour réaliser une optimisation du process ou mettre en place une stratégie de maintenance peut conduire à des déconvenues. La solution? Réaliser une réconciliation (ou validation) des données, à l aide d un logiciel spécialisé. Points à retenir La réconciliation des données a pour but de valider et, en général, de corriger les informations délivrées par les capteurs. Son intérêt se situe à plusieurs niveaux : réaliser des optimisations très fines du process (du fait que l on travaille sur des données validées) réaliser un suivi très précis des performances repérer les capteurs et instruments à problèmes et donc faire des économies de maintenance faire la distinction entre les variations de performances d un instrument et un défaut de celui-ci, et limiter ainsi le nombre de fausses alarmes De tous temps, les industriels ont cherché à améliorer les performances de leurs outils industriels. Résultat, la plupart des industries sont aujourd hui automatisées, elles ont toutes accès aux même techniques, et les performances obtenues sont donc comparables. Malgré tout, les exigences de la compétition poussent chacun à chercher à aller un peu plus loin et à obtenir de nouveaux gains de productivité. Fort heureusement, toutes les possibilités n ont pas été épuisées. C est ainsi que les techniques de contrôle avancé, comme, par exemple, la commande prédictive, sont utilisées pour réaliser des régulations beaucoup plus fines que par le passé (voire effectuer des régulations inaccessibles aux techniques classiques). Autre technique en vogue, la TPM (Total Productive Maintenance) permet d améliorer la disponibilité Atofina La réconciliation des données trouve ses principales applications dans les industries chimiques et de la production d énergie,automatisées depuis longtemps et pour lesquelles les techniques classiques ne permettent plus de gagner en productivité et économies d énergie. des installations, et donc la productivité. Il y a aussi -et surtout- les techniques d optimisation, dont le but est d améliorer l efficacité de l ensemble d une installation. Pour qu une optimisation puisse se faire efficacement, encore faut-il qu elle s appuie sur des données fiables. Et c est là qu est tout le problème. Les données qu utilisent les logiciels d optimisation sont, pour l essentiel, les mesures fournies par les capteurs. Comme toute mesure qui se respecte, ces 30
2 valeurs sont entachées d erreurs, plus ou moins importantes selon la nature du paramètre mesuré et la technologie de mesure utilisée. Ces erreurs peuvent avoir des conséquences sur le rendement d une installation. Ainsi, une dérive de quelques degrés sur la valeur délivrée par un thermocouple chargé de surveiller la température d un four de 800 C se traduira à la longue par une augmentation sensible de la consommation d énergie. On n a pas toujours à traiter des exemples aussi triviaux. En général, on ne traite pas une mesure mais plusieurs dizaines voire plusieurs centaines. Et même lorsque l incertitude de mesure associée à chaque capteur est faible, les conséquences globales peuvent être importantes. Car en cumulant toutes les incertitudes, l image de l état du process obtenue peut être largement faussée. Il est difficile dans ces conditions d envisager sérieusement une optimisation dont le but, le plus souvent, est de chercher à gagner quelques fractions de pourcent sur un rendement de production ou une économie d énergie Il est donc impératif de travailler sur des données fiables. C est le but de la validation (ou réconciliation) des données. Pour extraire une information précise et cohérente d un procédé, la réconciliation des données s appuie sur les données issues de l instrumentation, mais aussi les lois de conservation (de la masse et de l énergie) et les modèles thermodynamiques (pour l estimation des propriétés des mélanges) du procédé. La réconciliation des données est principalement appliquée dans les industries de transformation de la matière et de l énergie, notamment les raffineries, les usines chimiques et pétrochimiques, ou encore les centrales électriques, qu elles soient thermiques ou nucléaires. Toutes ces industries sont depuis longtemps très fortement automatisées et les gains se font donc à la marge. La réconciliation permet notamment d établir des bilans massiques (substance par substance) et énergétiques, de calculer les indices de performance d une installation, l efficacité des machines tournantes, etc. Utiliser les redondances pour rattraper les erreurs Pour comprendre le principe de la réconciliation de données, on l a dit, il est essentiel de commencer par admettre que toute mesure est sujette à erreur. Cet Principe de la réconciliation de données Il s agit de fiabiliser l information apportée par les mesures en y ajoutant la connaissance a priori de l installation La réconciliation des données fait appel aux calculs statistiques pour définir avec un maximum de probabilité l état réel du procédé à un instant donné. Ces calculs prennent en compte les incertitudes de mesure associées à chaque capteur et instrument d analyse.a partir du modèle ainsi obtenu,il est possible de réaliser des optimisations et une gestion très fines du procédé. aspect est fondamental. En effet, si on veut utiliser les mesures brutes (donc sans correction préalable) pour établir les bilans d une installation, on aura nécessairement des incohérences. Les sources possibles d erreurs se situent un peu partout. A commencer par le capteur lui-même : celui-ci présente, en effet, une incertitude intrinsèque, à laquelle viennent s ajouter les erreurs dues aux conditions d utilisation. Une autre cause d erreur fréquemment rencontrée tient au fait que la mesure n est jamais instantanée (même si elle fait appel à une électronique rapide) et que le procédé n est jamais tout à fait stable. Il faut donc éviter qu il y ait un décalage trop important entre l instant de la prise de mesure (ou de l échantillon) et l instant de l action du contrôleur sur le procédé. En utilisant des moyennes sur le temps, on peut réduire partiellement ce problème pour les données du procédé. Mais cette solution ne peut pas être appliquée pour les analyses effectuées en laboratoire. 31
3 Un peu de théorie Le principe de base de la réconciliation de données repose sur l utilisation de la redondance générée par le système mesures + modèle comme source d information pour la correction des mesures. Chaque mesure est ainsi corrigée (le plus faiblement possible) de manière telle que l ensemble des mesures corrigées satisfasse tous les bilans et, de manière plus générale, toutes les contraintes du procédé. Grâce à la redondance, il est également possible de reconstituer des mesures qui manquent ou qui sont impossibles à réaliser concrètement (capteurs logiciels). Les processus industriels comportent en général un grand nombre de variables et de nombreuses contraintes, de sorte qu il est indispensable d utiliser des calculateurs pour réaliser la validation de données (traitement de cohérence). Traiter les mesures Les mesures forment la principale source d information utilisée pour la réconciliation de données (en plus de la connaissance du procédé) et proviennent soit de l instrumentation présente sur le procédé (températures, pressions, débits, analyses en ligne,...), soit des appareils de laboratoires d analyse (chromatographie en phase gazeuse, densités,...). Le concept de mesure peut être facilement généralisé à celui de pseudo-mesure, représentant toute information numérique qui peut également fournie sur le procédé en plus des mesures réelles. Par exemple, les efficacités de turbines peuvent être introduites comme pseudomesures bien que cette information provienne plus des données de conception ou du constructeur que d une mesure réelle faite sur la machine. La précision de la mesure (élément statistique de l approche de validation) reflète la confiance donnée dans la valeur de la mesure : elle indique le domaine de déviation attendu. Qu est qu un capteur logiciel? La fonction des capteurs logiciels est d estimer, sur la base de certaines mesures et d un modèle mathématique, des paramètres non-mesurables à l aide d une instrumentation classique. On pense notamment aux cœfficients de performance d équipements (efficacité d une machine tournante ou activité d un catalyseur) ou aux indicateurs de performance plus globaux tels que le rendement ou la consommation spécifique d un procédé. Ici aussi, l utilisation des mesures brutes conduit à un double problème : - de précision liée aux erreurs de mesure et à leur propagation, - de choix des mesures utilisées. Pour un même paramètre estimé, les résultats diffèrent selon la méthode de calcul, et donc selon l information utilisée, chaque méthode faisant intervenir des mesures différentes. Grâce à la validation, le paramètre calculé est déterminé de manière univoque et donc quelle que soit la méthode de calcul envisagée. La valeur obtenue est alors plus précise et plus fiable puisqu elle a subi un certain nombre de recoupements rendus possibles par la redondance de l information. Un intérêt désormais reconnu Les besoins de réconciliation des données ne datent pas d aujourd hui. Les industriels qui doivent impérativement travailler sur des mesures validées (dans le nucléaire, par exemple) font en général appel à une instrumentation redondante. Cette solution, si elle doit être étendue à un nombre élevé de mesures, est évidemment très coûteuse. Il existe aussi des techniques de corrélations statistiques, qui consistent à corréler plusieurs informations pour valider une information délivrée par un capteur. Par exemple, à partir de la position de l obturateur d une vanne et de l indication fournie par un capteur de pression, on pourra avoir une bonne idée de la qualité de la mesure fournie par un débitmètre. Mais ces approches ont une portée limitée, notamment lorsqu il s agit de faire de l optimisation. D où l intérêt des techniques de réconciliation de données. Celles-ci ont parfois un peu de mal à être bien acceptées mais leur intérêt est reconnu par de plus en plus d entreprises. En Allemagne, depuis octobre 2000, la réconciliation des données fait même l objet de la directive VDI 2048 Bericht (Verein Deutscher Ingenieure) qui décrit la méthode et la recommande pour les tests de performance des centrales électriques. La réconciliation des données est utilisée aussi bien pour un fonctionnement hors ligne (les données ne sont pas utilisées pour le contrôle-commande des procédés) que pour un fonctionnement en ligne. Dans les fonctionnements hors ligne, les données du procédé sont validées au cas par cas. Les résultats de validation offrent alors un jeu de données fiables pour les études de simulation, de dégoulotage ou d optimisation et permettent un meilleur suivi du fonctionnement de l installation. Dans les fonctionnements en ligne, les données du procédé sont réconciliées à intervalles réguliers (toutes les heures, toutes les 10 minutes,...). Grâce à la validation, les ingénieurs et les opérateurs sont en mesure d améliorer le fonctionnement de leur installation par une meilleure précision sur les mesures (permettant un fonctionnement plus proche des spécifications), de détecter rapidement la dérive d un capteur ou la dégradation des performances d un équipement,... Dans les deux cas, les bilans précis et concrets de l installation permettent d assurer le suivi des performances. A cela s ajoutent : - une aide pour améliorer la disposition des mesures, - une diminution du nombre d analyses de routine, - une diminution de la fréquence de calibrage des capteurs. De fait, la validation identifie les capteurs mal calibrés ou défectueux, - une amélioration systématique des données du procédé, - une image claire des conditions opéra- 32
4 toires du procédé et une réduction du bruit de mesure, - la qualité des opérations de production. Une mise en œuvre moins complexe qu il n y paraît La construction d un modèle de validation nécessite deux compétences qui peuvent bien évidemment être remplies par la même personne : une expérience du procédé et une connaissance de base en matière de modélisation. Bien que ce soit la partie la plus facile à sous-traiter, le développement de modèles ne nécessite plus la présence d experts pour peu que l utilisateur en charge des travaux soit familier aux approches de modélisation et se soumette à une formation spécifique à l usage des outils de calcul et de l interface qui s y rattache. Construire un modèle de validation requiert un certain nombre d informations : - les flow-sheets à jour du procédé à modéliser, - la position des différents instruments de mesure disponibles ainsi que les points d analyse (en ligne ou hors ligne), - un ou plusieurs jeux de données. Bien évidemment, il peut y avoir plusieurs types d implémentation, allant du fonctionnement en ligne au fonctionnement hors ligne, du bilan masse et/ou énergie sur l ensemble de l installation à la modélisation détaillée d une unité bien spécifique. Pour les opérations de mise en ligne, l expérience montre que l intégration et l automatisation des modèles de validation ne nécessitent que quelques jours de travail. D autre part, les outils disponibles aujourd hui s adaptent automatiquement aux différents modes de fonctionnement de l installation (fonctionnement à charge partielle ou arrêt temporaire de différentes sections) ce qui assure une parfaite autonomie du système. Un exemple vécu Les applications de réconciliation des données ont réellement démarré leur essor il y a une dizaine d années, bien sûr parce qu il y avait une demande mais aussi parce que la technique peut désormais être mise en œuvre avec des moyens informatiques standards. Pour ne retenir qu un exemple d application, celui de l unité de production d hydrogène de la raffinerie ERE (Erdöl- Raffinerie-Emsland/Group Veba Oel/Allemagne) est bien représentatif des possibilités de la technique. L efficacité et le coût de production de l hydrogène sont fortement influencés par le rapport vapeur/carbone tenu à l entrée du four de reforming primaire. En faisant travailler l installation à un faible rapport vapeur/carbone, il est possible de réduire la consommation énergétique (et donc les coûts de production) mais ceci augmente les risques de dépôts de carbone qui endommagent le catalyseur. Pour travailler de manière optimale (au plus près des spécifications), il était impératif d obtenir une estimation précise de ce rapport. Les faits. Une connaissance floue de la composition du gaz d alimentation, couplée à une série d erreurs de mesure, entraînaient une estimation très approximative (incertitude de 30%) du rapport vapeur/carbone. Une telle incertitude ne permettait pas de maintenir l installation dans des conditions optimales de fonctionnement sans risque de dépôt de carbone dans le réacteur. Les résultats de la validation. Grâce à l utilisation des techniques de réconciliation de données, ERE détermine aujourd hui le rapport vapeur/carbo- Un fonctionnement sur PC Le logiciel de réconciliation de données VALI proposé par Belsim tourne sur les PC (Pentium 133 et 32 Mo de RAM minimum) sous Windows 32 bits (Windows 9x, NT 4.0, 2000). La version runtime peut être également délivrée sur plate-forme Unix. VALI permet de modéliser tous types d opérations unitaires : des réacteurs aux colonnes de distillation, des réservoirs aux compresseurs et turbines, des ballons aux échangeurs de chaleur. Deux types d informations sont utilisées : la topologie du procédé (le diagramme Flowsheet) et les mesures. Ces dernières constituent la principale source d information et couvrent toute information venant du procédé (températures, pressions, débits, analyses en ligne, etc.) ou du laboratoire (chromatographie en phase gazeuse, densités,...). Le concept de mesure est généralisé à celui de pseudo-mesure qui représente toute information numérique qui peut être donnée sur le procédé en plus des mesures réelles. Par exemple, les efficacités de turbines peuvent être introduites comme pseudo-mesures bien que cette information provienne plus des données de conception que d une réelle mesure. Plusieurs types de données et méthodes thermodynamiques sont implémentés dans le logiciel. La base de données comprend plus de 830 composés fluides, plus de 680 composés solides, les factions pétrolières, des composés utilisateurs. Parmi les méthodes thermodynamiques traitées, il faut citer Soave, Peng-Robinson, NRTL, Curl Pitzer, NBS, IAPWS ou VDI. L intérêt de l utilisation d un logiciel de réconciliation de données se situe à plusieurs niveaux : Contrôle du procédé : les outils d optimisation on-line sont d autant plus efficaces que l information qu ils reçoivent est précise Vision claire du fonctionnement de l installation : réduction du bruit de mesure sur les paramètres clés Détection rapide de pannes : les déviations des capteurs et des performances des équipements sont mises en évidence. Les actions correctives peuvent être planifiées et entreprises rapidement Bilans cohérents : la cohérence des données validées améliore la comptabilité et le suivi de performance Qualité au niveau du procédé : il est possible d anticiper les produits hors spécification grâce à un suivi permanent du procédé (les pertes de production peuvent être diminuées de 10%, les produits hors spécifications de 20%) Fonctionnement plus proche des spécifications : grâce à la précision accrue des mesures, le procédé peut être opéré plus près de ses limites en toute sécurité Amélioration du dispositif de mesures : pas de mesures superflues, optimisation de la disposition de l instrumentation Réduction du nombre d analyses de routine : réduction de 20 à 50% des coûts en analyses Fréquence de calibrage des appareils : seuls les appareils de mesure défectueux doivent être recalibrés. Il est possible de gagner 10 à 30% sur les coûts de calibrage. 33
5 Déjà plus de 10 ans d expérience Basée en Belgique, Belsim a été créée il y a une dizaine d années et compte aujourd hui une dizaine de personnes. A la fois éditeur de logiciels et consultant, elle est spécialisée dans le domaine de l ingénierie des procédés assistée par ordinateur, notamment le suivi des performances et l amélioration de la rentabilité (optimisation). Les secteurs couverts sont les industries chimiques et pétrochimiques, ainsi que les industries de production de l énergie. Elle a notamment réalisé des applications à TotalFina Elf, Air Liquide, Butachimie, BASF Henkel, Usinor. Belsim propose des logiciels standards, notamment VALI, produit phare de la société, destiné à évaluer les performances réelles d un procédé grâce à des techniques avancées de réconciliation de données. Belsim coopère également avec des constructeurs de systèmes de contrôle-commande, notamment ABB et tout dernièrement Yokogawa-Marex. Ce dernier intègre un moteur VALI dans sa suite VISA (Value-added Information Sourced Application). Belsim Rue Georges Berotte, 29A B-4470 Saint-Georges-sur-Meuse Tél. : Fax. : Info@belsim.com ne avec une précision de 1 %. Toutes les heures, le modèle identifie : - les cœfficients de transfert de chaleur dans les échangeurs, - la conversion atteinte dans les différents réacteurs, - l activité des catalyseurs, - les compositions et les débits nonmesurés, - la consommation spécifique de l installation (GJ/t H 2 ), - la distance aux courbes de dépôt de carbone, - les mesures imprécises. Ces informations permettent à la raffinerie de réduire ses coûts de production de 500 keuros par an. En outre, le système permet d améliorer le suivi de l unité et du planning des opérations de maintenance de l instrumentation. Suite à ce succès, d autres modèles de validation en ligne ont été développés chez ERE : - bilan massique global de l ensemble de la raffinerie comprenant toutes les unités opératoires et les tanks de stockage (150 tanks) sur base journalière, - bilans massique et énergétique de l unité de cyclohexane, - bilans massique et énergétique des unités Claus, Par ailleurs, il est prévu de développer un système identique (bilans massique et énergétique) pour une unité de désulfuration. Bruno Vrielynck, Directeur Hervé Closon, Ingénieur de Projet Belsim 34
Solutions de mesure pour le raffinage
Solutions de mesure pour le raffinage Débitmétrie et densimétrie de précision Les meilleures des mesures en ligne «Il est difficile de répondre à la demande de façon efficace, économique et responsable.»
Plus en détailPropriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium
International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailIntelligence précoce
Les données de procédé constituent une mine d informations très utiles pour l entreprise Geoff Artley Le secteur du raffinage est aujourd hui soumis à forte pression financière : amputation des marges,
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailFLUXUS Energie. Gérer efficacement l'énergie en utilisant la technologie de mesure non-intrusive. Mesure de débit énergétique et d'air comprimé
Gérer efficacement l'énergie en utilisant la technologie de mesure non-intrusive FLUXUS Energie débit énergétique et d'air comprimé Chauffage et climatisation des consommations thermiques : Chauffage Réfrigération
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailRobert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008
Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance
Plus en détailCapacité étendue d utilisation en réseau
Fiche technique n VIBOFF_1A_f Emonitor Odyssey introduit une nouvelle conception de la maintenance conditionnelle (prédictive) en automatisant les opérations de routine afin d améliorer les vitesses de
Plus en détailEmerson montre aux centres de données comment réduire ses coûts énergétiques
Emerson montre aux centres de données comment réduire ses coûts énergétiques Face à des budgets de plus en plus serrés, des inquiétudes sur l empreinte écologique, ainsi que des coûts de plus en plus élevés
Plus en détailSérie M Débitmètres Eletta. Débitmètre à P avec sortie programmable
Série M Débitmètres Eletta Débitmètre à P avec sortie programmable Débitmètre à fonctions multiples pour gaz et liquides M3 Le débitmètre série M, avec sa conception polyvalente et conviviale, trouve tout
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailDeltaCal BGI. Débitmètre étalon
Débitmètre étalon DeltaCal BGI Mesure simultanée du débit volumique, débit normalisé, température et pression Fonctionnement manuel ou automatique, optimisé pour une utilisation sur le terrain Large gamme
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailDéfinir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités
Chapitre 1 Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités La politique de maintenance, entre prévention et correction 25 f Qu est-ce que le «préventif» et le «correctif»?
Plus en détailContrôle des processus. Contrôle des processus Energie, gaz et pétrole SICE. Technologie leader à votre service
SICE Technologie leader à votre service Ingénierie, conception et exécution de projets. Cabinet-conseil Ingénierie de base SICE réalise le support technique via ses services de consultant pour les phases
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailWhite Paper - Livre Blanc
White Paper - Livre Blanc Développement d applications de supervision des systèmes d information Avec LoriotPro Vous disposez d un environnement informatique hétérogène et vous souhaitez à partir d une
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailFICHE PRODUIT CSI 6500 Machinery Health TM Monitor
? TM Suite FICHE PRODUIT CSI 6500 Machinery Health TM Monitor Protection et surveillance vibratoire des machines tournantes critiques de l usine Information de surveillance vibratoire temps réel des machines
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailGENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS
MASTER SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE/STAPS GENIE DES SYSTEMES INDUSTRIELS Spécialité Risques Industriels et Maintenance www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION L objectif du master régional GSI
Plus en détailDiplôme d Université Licence d Université Sciences Physiques pour l Ingénieur (SPI) Liste des modules
Licence d Université Sciences Physiques pour l Ingénieur (SPI) Liste des modules Électronique numérique et informatique industrielle Informatique / réseaux Mécanique des fluides/ Transferts thermiques
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailMANAGEMENT DES SYSTEMES D INFORMATION ET DE PRODUCTION MSIP
MANAGEMENT DES SYSTEMES D INFORMATION ET DE PRODUCTION MSIP METHODES & CONCEPTS POUR UNE INGENIERIE INNOVANTE Ecole Nationale Supérieure des Mines de Rabat Département INFORMATIQUE www.enim.ac.ma MANAGEMENT
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailGE Measurement & Control. Intecal v10. Logiciel de gestion d'étalonnage
GE Measurement & Control Intecal v10 Logiciel de gestion d'étalonnage Solution d'étalonnage de GE L'étalonnage est un élément important de la maintenance des procédés d'instrumentation. S'assurer que l'instrumentation
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailSurveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris.
Testo Solution Exemple d application Surveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris. Les produits pharmaceutiques (peu importe qu il s agisse de substances
Plus en détailINENTECH nos expertises. Automatisation / informatique industrielle. Systèmes de conduite automatisée. Informatique de production.
www.inentech.fr Automatisation / informatique industrielle INENTECH nos expertises INENTECH est spécialisé dans la réalisation de systèmes d automatisation et d information de vos procédés industriels
Plus en détailCOMPTE RENDU 13/12/12
LE PRESENT COMPTE-RENDU, REDIGE PAR LE BUREAU SETEC NOVAE, REND COMPTE DES ECHANGES PRINCIPAUX TENUS LORS DE LA RENCONTRE SANS AVOIR LA PRETENTION DE LE FAIRE DE MANIERE EXHAUSTIVE Rédacteur : LH Visa
Plus en détailGERER SA MAINTENANCE INFORMATIQUE
L AFNOR définit la maintenance comme l «ensemble des actions permettant de maintenir et de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d assurer un service déterminé.» De nos jours, les systèmes
Plus en détailVIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE EXCELLENCE VIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE DANS LA FABRICATION. EXCELLENCE DANS LES APPLICATIONs
QUE POUVONS-NOUS FAIRE POUR VOUS? VIDE VIDE DÉBIT DÉBIT MESURE MESURE EXCELLENCE EXCELLENCE DANS LA FABRICATION EXCELLENCE EXCELLENCE DANS LES APPLICATIONs APPAREILS DE MESURE DU VIDE TOUT CE DONT VOUS
Plus en détailJe découvre Lina Maintenance
Je découvre Lina Maintenance Une interface simple et ergonomique pour optimiser la maintenance de vos équipements 1 Sommaire Présentation 4 La plateforme Lina 5 Référentiel 6 Agenda et données personnelles
Plus en détailPrésentation de la société
Présentation de la société Janvier 2013 62 rue Jean Jaurès 92800 Puteaux 01 75 43 15 40 www.enertime.com SAS au capital de 90 930 Siège social : Puteaux (92) Date de création : Février 2008 Levée de fonds
Plus en détailCondition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession.
Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. HYDAC Allemagne HYDAC Chine HYDAC Danemark Le partenaire compétent pour le Condition Monitoring. Avec plus de 4.000 collaborateurs
Plus en détailMesurer la consommation d air comprimé ; économiser sur les coûts d énergie
Mesurer la consommation d air comprimé ; économiser sur les coûts d énergie L'air comprimé est un porteur d'énergie indispensable. A titre d exemple, environ 60.000 installations sont présentes en Allemagne.
Plus en détailVITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl
bien plus que la chaleur VITODATA VITOCOM Internet TeleControl Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet Viessmann S.A. Z.I. - B.P. 59-57380 Faulquemont Tél. : 03 87 29
Plus en détailOrganisation de la Maintenance et des Travaux
Organisation de la Maintenance et des Travaux Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations...p. 191...p. 192 à 199 Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations OMT / GEMA
Plus en détailDATA CENTER. Règles d'ingénierie du Data Center DATA CENTER
Règles d'ingénierie du Data Center SOMMAIRE La problématique La climatisation Les planchers techniques L énergie L urbanisation L industrialisation Conclusion LA PROBLEMATIQUE Rappel sur les Tiers Chaque
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailRésolvez vos problèmes d énergie dédiée à l informatique
Résolvez vos problèmes d énergie dédiée à l informatique GRÂCE À UNE SOLUTION ENERGY SMART DE DELL Surmonter les défis énergétiques des datacenters Les responsables informatiques ont un problème urgent
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailSCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005
SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 1 / 13 SOMMAIRE CLASSIFICATION DES APPAREILS 3 TUYAUTERIE 4 ACCESSOIRES ET ROBINETTERIE 5 APPAREILS DE SEPARATION 6 COLONNES ET REACTEURS 7 ECHANGEURS DE CHALEUR 8 MANUTENTION
Plus en détailDOSSIER SOLUTION CA ERwin Modeling. Comment gérer la complexité des données et améliorer l agilité métier?
DOSSIER SOLUTION CA ERwin Modeling Comment gérer la complexité des données et améliorer l agilité métier? CA ERwin Modeling fournit une vue centralisée des définitions de données clés afin de mieux comprendre
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailDébitmetre à Insertion Technology and simplicity run together La connaissance technique acquise grâce à des années d expérience dans le contrôle et la mesure des débits, alliée à la passion et au travail
Plus en détailPrésentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC
Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température
Plus en détailCAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE
Séminaire mi parcours Stock-e 2010 CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Iyad Balloul Renault Trucks - iyad.balloul@volvo.com Eric Bideaux INSA Lyon - eric.bideaux@insa-lyon.fr Marc Michard LMFA - Marc.Michard@ec-lyon.fr
Plus en détailVMWare Infrastructure 3
Ingénieurs 2000 Filière Informatique et réseaux Université de Marne-la-Vallée VMWare Infrastructure 3 Exposé système et nouvelles technologies réseau. Christophe KELLER Sommaire Sommaire... 2 Introduction...
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détailGroupe Areva Usine de La Hague Métier CNP
Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP Jean-Christophe Dalouzy ANP 17 Novembre 2014 Rencontres Jeunes Chercheurs Sommaire Présentation du groupe AREVA Présentation du cycle du combustible Présentation
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailL observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détailPrincipe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale
Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants
Plus en détailQuels outils pour prévoir?
modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques
Plus en détailDétection de fuite hélium Aspect Mesure
Détection de fuite hélium Aspect Mesure Préparé par : F.Rouveyre Date : 24 Octobre 2012 La détection de fuite La détection de fuite par spectrométrie de masse à gaz traceur a plus de 50 ans. Même si cette
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailVision prospective et obstacles à surmonter pour les assureurs
smart solutions for smart leaders Le «Big Data» assurément Rédigé par Pascal STERN Architecte d Entreprise Vision prospective et obstacles à surmonter pour les assureurs Un avis rendu par la cour de justice
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détailCOLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant
COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d
Plus en détailContrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.
Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique
Plus en détailANAC INDUS. Analyses d huile pour applications industrielles
ANAC INDUS Analyses d huile pour applications industrielles ANAC INDUS : l outil indispensable pour optimiser vos coûts d exploitation L huile en service au cœur de vos équipements recèle des informations
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailRessources. APIE Agence du patrimoine immatériel de l état. La comptabilisation des logiciels et bases de données. l immatériel. Pour agir.
Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état La comptabilisation des logiciels et bases de données En bref L administration consacre des moyens financiers et humains considérables
Plus en détailCamfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001
FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailCARACTéRISTIQUES du système IQ3xcite
IQ3XCITE Le système Présentation du système IQ3XCITE La surveillance et la gestion des bâtiments modernes gagnent en sophistication. Un système de «Gestion Technique et Energétique des Bâtiments» (GTEB)
Plus en détailLes outils d aide au diagnostic
Les outils d aide au diagnostic 1 Sommaire Formation produit Calendrier semestriel AGORA Assistance technique Hotline Intervention assistée Accès aux documentations techniques Miele: Sur support DVD Pièces
Plus en détailsolutions sun2live TM
solutions sun2live TM solaire + stockage d énergie par le Groupe meeco Production et stockage d énergie en tout lieu. sun2live est la solution du Groupe meeco en matière de génération d électricité distribuée
Plus en détailGrenoble ZAC de Bonne
Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En
Plus en détailF.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B
F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d
Plus en détailNe laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement
Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de
Plus en détailAvis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique
Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté
Plus en détailPompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies
Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailService HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP
Service HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP Des services complets pour matériel et logiciels vous permettent d améliorer la disponibilité de votre infrastructure informatique.
Plus en détailFideloConso. Tout savoir sur l offre DolceVita. GDF SUEZ DolceVita à votre écoute! Contactez votre conseiller. FideloConso. www.gdfsuez-dolcevita.
GDF SUEZ DolceVita à votre écoute! Contactez votre conseiller FideloConso 09 69 32 70 00 (appel non surtaxé depuis un poste fi xe) du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 15 Vous avez des questions? Adressez-nous
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailEHDC. Système de refroidissement pour Data Center et armoires de serveur.
EHDC Système de refroidissement pour Data Center et armoires de serveur. EHDC PEN LP EHDC L est un module de refroidissement à haute densité pour les configurations en boucle ouverte. Il peut être utilisé
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLa conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA)
La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) I. L'intérêt de la conversion de données, problèmes et définitions associés. I.1. Définitions:
Plus en détailExpert en Acoustique et en Vibration
Expert en Acoustique et en Vibration L entreprise , filiale AREVA Energie nucléaire Energies renouvelables Des solutions pour produire de l électricité sans CO2 47,817 personnes 20 pays Présence industrielle
Plus en détailDémonstrateur HOMES à la Préfecture de l Isère
Démonstrateur HOMES à la Préfecture de l Isère 1 Un partenariat de 3 ans entre la Préfecture de l Isère et Schneider-Electric Instrumenter le site Innovation Créer une situation de référence Business Partenaires
Plus en détailEau chaude sanitaire
4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau
Plus en détailManufacturing Intelligence Séminaire Connected Entreprise ( 12 mars 2015)
Manufacturing Intelligence Séminaire Connected Entreprise ( 12 mars 2015) Dimitri CROMBEZ : Sales Team Leader Wallonie-Luxembourg Nicolas VANHAELEN: Account Manager Infra-Pharma Rev 5058-CO900E Agenda
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détail