ARTICLE TECHNIQUE. Eaux souterraines et aménagement du territoire Défis et stratégie pour un transfert des connaissances réussi

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1 ARTICLE TECHNIQUE Eaux souterraines et aménagement du territoire Défis et stratégie pour un transfert des connaissances réussi Avec le Programme d acquisition de connaissances sur les eaux souterraines (PACES), le Québec s est doté d un programme unique et systématique de caractérisation de ses aquifères à l échelle régionale. Le Réseau québécois sur les eaux souterraines (RQES), qui a pour mission d animer la collaboration entre tous les acteurs de l eau incluant les équipes de recherche universitaires et le ministère du Développement durable, de l Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC), a entrepris la mise en œuvre d une stratégie innovatrice de transfert des connaissances vers les acteurs en aménagement du territoire afin d assurer la protection et la gestion durable de la ressource. PAR JULIE RUIZ Ph. D. Aménagement, professeure, Département des sciences de l environnement, Université du Québec à Trois-Rivières Julie.Ruiz@uqtr.ca AVEC LA COLLABORATION DE YOHANN TREMBLAY M. Sc. Sciences de l eau, agent de transfert du Réseau québécois sur les eaux souterraines, Département de géologie et génie géologique, Université Laval ytremblay.rqes@gmail.com MARIE LAROCQUE Ph. D. Hydrogéologie, professeure, Département des sciences de la Terre et de l atmosphère, Université du Québec à Montréal larocque.marie@uqam.ca VINCENT CLOUTIER Ph. D. Hydrogéologie, professeur, Institut de recherche en mines et en environnement, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue Vincent.Cloutier@uqat.ca ET MIRYANE FERLATTE M. Sc. Hydrogéologie, coordonnatrice scientifique du Réseau québécois sur les eaux souterraines, Département des sciences de la Terre et de l atmosphère, Université du Québec à Montréal rqes.coord@gmail.com Le Québec possède 3 % des réserves d eau douce renouvelable mondiale (MDDELCC, 2015a). Fait peu connu, la très grande majorité de cette réserve est constituée d eau souterraine, une ressource qui serait dix fois plus abondante que l eau de surface. En général, l eau souterraine est de très bonne qualité et, contrairement à l eau de surface, elle nécessite peu ou pas de traitement avant sa consommation. Elle alimente 20 % de la population québécoise, soit plus de 1,5 M d habitants, principalement en région rurale. Compte tenu des multiples rôles sociaux, écologiques et économiques joués par l eau souterraine (ex. : apport en eau potable, assurance d un débit de base aux rivières permettant ainsi la survie de la vie aquatique, alimentation des milieux humides, irrigation des terres, abreuvement du bétail, utilisation dans la production de produits de consommation, etc.), sa gestion durable est devenue une priorité. Cependant, pour y parvenir, encore faut-il bien la connaître. Afin de combler les connaissances fragmentaires sur cette ressource et répondre aux sollicitations croissantes concernant l approvisionnement en eau souterraine pour la population, l agriculture et l industrie, le gouvernement du Québec a mis sur pied en 2008 le Programme d acquisition de connaissances sur les eaux souterraines (PACES). Le PACES a comme objectif de dresser un portrait réaliste et concret de la ressource en eaux souterraines des territoires municipalisés du Québec méridional, dans le but ultime de la protéger et d en assurer la pérennité (MDDELCC, 2015b). Les projets financés dans le cadre de ce programme visent à répondre aux questions suivantes : D où vient l eau et où va-t-elle? Est-elle potable et quelle est sa qualité? Quelle est la nature des formations aquifères qui la contiennent? En quelle quantité la retrouve-t-on? Est-elle vulnérable aux activités humaines? À ce jour, 13 projets régionaux du PACES ont été coordonnés par des universités québécoises (INRS-ETE, Université Laval, UQAC, UQÀM, UQAR, UQAT, UQTR) et réalisés en étroite collaboration avec des partenaires du milieu. Ces projets couvrent près de 80 % des territoires municipalisés du Québec méridional, soit environ 3 M d habitants. Plus de 16 M$ ont été investis par le gouvernement provincial et les partenaires régionaux pour les réaliser. Une importante collaboration scientifique entre les chercheurs du Réseau québécois sur les eaux souterraines (RQES) a permis de développer des protocoles communs pour l acquisition et la représentation cartographique de certaines données. Les livrables de nature scientifique prennent la forme de nombreuses cartes régionales ainsi que celle d une base de données exhaustive portant sur les eaux souterraines. La mise à disposition de ces connaissances régionales devrait favoriser la protection et la gestion durable de la ressource, à la condition qu elle soit accompagnée d un transfert adéquat des connaissances. L EAU SOUTERRAINE ET L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Pour y parvenir, le MDDELCC et le Fonds de recherche du Québec Société et culture (FRQSC) subventionnaient en 2010, parallèlement au PACES, un programme de recherche sur l aménagement du territoire et la gestion durable des eaux souterraines (Rodriguez et al., 2014). La gestion durable de cette ressource 46 Vecteur Environnement Septembre 2015

2 interpelle en effet directement de nombreux intervenants de l aménagement du territoire puisqu elle pose certaines contraintes quant aux activités humaines sur le territoire (ex. : localisation des activités potentiellement polluantes). TABLEAU 1 Quelques exemples de mesures applicables à la protection et à la gestion des eaux souterraines (compilation adaptée de Pelchat et al., 2013) Ainsi, à côté des municipalités régionales de comté (MRC) et des municipalités locales, les organismes de bassins versants (OBV) et plusieurs ministères sont interpellés par cette gestion. Pour cela, ils disposent de diverses mesures, tant règlementaires que non règlementaires, comme l illustre le tableau 1. Par contre, les mesures de protection et de gestion mises en place au Québec par ces intervenants sont encore peu développées, et ce, malgré qu elles existent. Il importe donc d identifier quels sont les freins à la mise en place de ces mesures de protection et de gestion de l eau souterraine (PGES). Des entrevues menées auprès d intervenants occupant des postes décisionnels dans différents organismes (ministères, MRC, municipalité, OBV, CRÉ, etc.) de neuf régions administratives du Québec ont permis de mettre en évidence ces freins. Ils apparaissent sur trois plans (figure 1) : pour l adoption des mesures, sur le plan de la portée intrinsèque des mesures disponibles et dans le cas de leur mise en application. Aussi, si les acteurs mettent en évidence différents freins à la mise en place de mesures de PGES (financier, technique, institutionnel, etc.), c est avant tout à l égard de meilleures connaissances hydrogéologiques que les attentes sont les plus grandes (Pelchat et al., 2013). FIGURE 1 Les principaux freins à l adoption de mesures de PGES (compilation adaptée de Pelchat et al., 2013) Cette information hydrogéologique générée par les projets financés par le PACES trace un portrait régional et permet, par exemple, de mettre à jour les zones préférentielles de recharge des aquifères qui dépassent bien souvent les limites administratives d intervention des acteurs locaux comme les municipalités. Les connaissances générées par les projets financés par le PACES sont ainsi destinées à aider la mise en place de mesures régionales de gestion durable des eaux souterraines et appellent donc à la coordination des intervenants. Vecteur Environnement Septembre

3 ARTICLE TECHNIQUE Eaux souterraines et aménagement du territoire Défis et stratégie pour un transfert des connaissances réussi Ainsi, la stratégie [de transfert de connaissances] doit permettre aux intervenants d apprendre, d échanger sur les enjeux propres à leur territoire, mais aussi de mieux connaître les compétences et les responsabilités de chacun en matière de PGES [protection et gestion des eaux souterraines] pour ultimement réussir à faire émerger des leaders régionaux qui favoriseront la progression de l intégration de ces enjeux dans les décisions en aménagement sur leur territoire. Une partie du programme de recherche s est donc intéressée à l évaluation de l apport potentiel de l information hydrogéologique régionale aux mesures de PGES. Ce questionnement tourne autour de deux questions principales. De quelle manière les nouvelles connaissances hydrogéologiques régionales aident-elles les acteurs à élaborer des mesures de PGES? Ces nouvelles connaissances vont-elles faciliter la coordination entre les acteurs en permettant l élaboration de mesures concertées? Pour répondre à ces questions, 22 acteurs de l aménagement provenant de différents paliers décisionnels répartis dans 3 régions du Québec ont participé à des exercices de mise en situation. Ces acteurs devaient adopter des mesures de PGES selon leurs compétences, avant puis après l acquisition de connaissances hydrogéologiques réalisée par le PACES (Pelchat et al., 2013). Les résultats ont mis en évidence qu une meilleure connaissance hydrogéologique permet aux acteurs de : planifier à plus long terme; développer un argumentaire plus précis afin de mieux sensibiliser les élus et les citoyens aux enjeux de la PGES; faire appliquer plus facilement la règlementation; implanter des mesures de PGES plus ciblées. Ces résultats ont aussi révélé les difficultés pour les acteurs de s approprier l information hydrogéologique régionale des projets du PACES. En effet, celle-ci s avère particulièrement complexe en raison de son caractère spécialisé. Cette complexité est grandement accentuée, d une part, par le fait que l eau souterraine ne soit pas visible de la surface et, d autre part, par le manque de connaissances de base en hydrogéologie de certains acteurs de l aménagement. Ainsi, sans un accompagnement par un spécialiste en hydrogéologie, très peu d intervenants auraient été capables d utiliser l information disponible pour l intégrer dans leur processus de prise de décisions. De plus, la capacité des intervenants à utiliser les mesures règlementaires et non règlementaires variait d un intervenant à l autre. Enfin, la coordination des mesures entre les intervenants d une même région demeurait globalement difficile puisque, même au travers d un exercice participatif, la culture sectorielle demeurait présente et chaque acteur avait tendance à adopter ses mesures indépendamment de ce que les autres proposaient. Par contre, quand un acteur prenait une position de leader, la coordination des mesures était grandement facilitée. Dès lors, un véritable accompagnement dans l appropriation de l information hydrogéologique régionale a dû être mis en place, étant d ailleurs réclamé par les intervenants. Fort de la compréhension des freins à la mise en place des mesures de PGES autant que des enjeux de l appropriation de l information régionale par les intervenants, des principes et des objectifs pour une stratégie de transfert des connaissances sur les eaux souterraines ont pu être développés. UNE STRATÉGIE NOVATRICE DE TRANSFERT DES CONNAISSANCES La stratégie de transfert des connaissances hydrogéologiques aux acteurs de l aménagement consiste en un apprentissage progressif et collectif adapté aux réalités régionales (figure 2). Elle stipule que la pleine intégration des enjeux de PGES dans les décisions des intervenants en aménagement ne pourra se faire que si ces derniers : 1. ont assimilé des connaissances de base en hydrogéologie; 2. ont acquis une compréhension des contextes hydrogéologiques régionaux de leur territoire d action; 3. réussissent à intégrer les enjeux de PGES liés aux spécificités de leurs contextes hydrogéologiques régionaux dans leur prise de décision; 4. maintiennent cette intégration des enjeux de PGES dans leur prise de décisions à long terme. Ces quatre niveaux d appropriation des connaissances sont indissociables. Autrement dit, l acquisition d un seul niveau d appropriation des connaissances ou le non-aboutissement au niveau 4 risquerait de reléguer à l arrièreplan l intégration des connaissances sur les eaux souterraines. Cette stratégie permet aux intervenants de l aménagement de : développer une base de connaissances commune portant sur les eaux souterraines, en collaboration avec les autres intervenants régionaux; acquérir un vocabulaire de base pour exprimer leurs besoins et poser des questions à un hydrogéologue; 48 Vecteur Environnement Septembre 2015

4 FIGURE 2 Quatre niveaux d appropriation des connaissances pour une stratégie de transfert des connaissances hydrogéologiques (Pelchat et al., 2013) améliorer leur capacité à mettre à profit les mesures règlementaires, incitatives et de sensibilisation existantes pour la PGES; identifier des leaders régionaux susceptibles de favoriser, entre eux, la coordination des mesures de PGES et de les aider à développer leur propre stratégie. Ainsi, la stratégie doit permettre aux intervenants d apprendre, d échanger sur les enjeux propres à leur territoire, mais aussi de mieux connaître les compétences et les responsabilités de chacun en matière de PGES pour ultimement réussir à faire émerger des leaders régionaux qui favoriseront la progression de l intégration de ces enjeux dans les décisions en aménagement sur leur territoire. Enfin, la stratégie cherche à favoriser un dialogue accru entre les chercheurs en hydrogéologie et les utilisateurs des données hydrogéologiques afin de poursuivre le développement de recherches ciblées portant sur des enjeux de PGES à des échelles plus locales. LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE DE TRANSFERT DES CONNAISSANCES Le Réseau québécois sur les eaux souterraines (RQES) a pour mission de consolider et d étendre les collaborations entre les équipes de recherche universitaires, les décideurs provinciaux et les utilisateurs des connaissances scientifiques sur les eaux souterraines (ex. : MRC, municipalités, OBV, etc.), en vue de la mobilisation de ces connaissances (RQES, 2015). Son mandat consiste entre autres à faciliter le transfert des connaissances vers les utilisateurs. L organisme a ainsi récemment entrepris la mise en œuvre de cette stratégie innovatrice de transfert des connaissances issues du PACES. Depuis le printemps 2014, des journées d ateliers réunissant experts en hydrogéologie (générateurs des données) et intervenants régionaux (utilisateurs des données) ont été réalisées dans plusieurs régions pour lesquelles les projets du PACES sont complétés. Cette mise en œuvre de Vecteur Environnement Septembre

5 ARTICLE TECHNIQUE Eaux souterraines et aménagement du territoire Défis et stratégie pour un transfert des connaissances réussi FIGURE 3 Le déroulement d un atelier de transfert des connaissances sur les eaux souterraines pour les phases 1 et 2, exemple pour l Abitibi-Témiscamingue Partie 1 (adapté de Tremblay et al., 2014) La mise à disposition de ces connaissances régionales [sur les eaux souterraines] devrait favoriser la protection et la gestion durable de la ressource, à la condition qu elle soit accompagnée d un transfert adéquat des connaissances. la stratégie vise l appropriation des connaissances des niveaux 1 et 2 (figure 2). Afin que ces ateliers soient pleinement adaptés aux spécificités régionales, les intervenants travaillent directement avec l information hydrogéologique de leur région. Un cahier des participants comprenant l ensemble des activités de la journée et les principales données hydrogéologiques disponibles pour le territoire d étude est remis aux intervenants en début d atelier. Les ateliers se déroulent en trois temps (figure 3). Une présentation magistrale favorisant un apprentissage passif des connaissances basé sur l écoute expose d abord les notions de base en hydrogéologie, puis revient sur les principaux résultats du projet du PACES de la région. Dans un second temps, en sous-groupes de 10 personnes, accompagnés par un animateur et un expert en hydrogéologie, les intervenants poursuivent le développement d une base commune de connaissances en hydrogéologie et acquièrent ainsi une compréhension des caractéristiques des aquifères du territoire d étude. Avec l aide du cahier du participant, des tests de connaissances sont réalisés. Ces derniers portent sur les principaux résultats du projet du PACES régional. Cet apprentissage actif amène les intervenants à lire eux-mêmes l information hydrogéologique et à répondre oralement à des questions aux degrés de difficultés variables. Comme les participants ne possèdent pas le même niveau de connaissances, chacun apprend en écoutant un intervenant répondre aux interrogations, en soulevant de nouvelles questions, etc. Un expert en hydrogéologie est présent dans chaque groupe pour expliquer les données présentées et les limites des résultats du PACES ainsi que pour répondre aux questions. 50 Vecteur Environnement Septembre 2015

6 Finalement, des exercices synthèses à réaliser en sous-groupes sont proposés. Pour nourrir les discussions, des questions très pratiques telles que «Si la municipalité souhaite installer un nouveau puits d eau potable, quelle zone serait la plus propice sur son territoire?» sont posées. Ces exercices nécessitent une lecture transversale de plusieurs données hydrogéologiques que les participants ont manipulées tout au cours de la journée. Ce type d exercice se rapproche des problématiques réelles auxquelles les acteurs font face dans leur pratique professionnelle. La concertation entre les intervenants est nécessaire dans cet exercice puisque l on exige une réponse consensuelle. Cet atelier constitue la première étape de la mise en œuvre de la stratégie de transfert des connaissances sur les eaux souterraines. Outre les objectifs de compréhension des caractéristiques hydrogéologiques régionales, il permet aussi aux intervenants de mieux se connaître et de repérer ceux qui sont naturellement plus à l aise dans la manipulation et la compréhension de l information hydrogéologique. Il s agit d un premier pas vers l émergence de leaders régionaux qui seront susceptibles d aider à la mise en place de mesures de PGES adaptées aux caractéristiques régionales du territoire. recharge d un aquifère régional. En dernière étape de ce projet, une boîte à outils sera développée pour opérationnaliser le transfert des nouvelles connaissances sur les eaux souterraines dans toutes les régions du Québec. LA MISE EN PLACE D UN PROCESSUS DE COORDINATION : LA CLÉ L approche développée par le Réseau québécois sur les eaux souterraines permettra aux gestionnaires du territoire, ainsi mieux équipés, de relever le défi de la PGES. Cela étant, pour que l intégration de la PGES dans les décisions d aménagement et la bonification des connaissances hydrogéologiques soient assurées pour les années à venir, les décideurs provinciaux, les générateurs des données (équipes de recherche universitaires) et les utilisateurs (acteurs en aménagement du territoire) devront continuer à collaborer. En effet, voir au transfert des connaissances sur une période donnée n assure pas le maintien de l expertise régionale sur le long terme. Il s agit donc ultimement de réussir à accompagner et à soutenir dans la durée les intervenants dans la mise en œuvre d un mécanisme efficace de coordination des mesures de PGES au niveau régional. LES ACTIVITÉS ET DÉFIS À VENIR POUR LE TRANSFERT DES CONNAISSANCES Fort de la réussite de ces journées d ateliers, le RQES poursuivra ses travaux de transfert des connaissances au cours de la prochaine année en organisant une activité supplémentaire visant l appropriation des bases de données hydrogéologiques à l aide de l utilisation d un système d information géographique. Ces activités pourront être mises en place grâce à une subvention accordée par le Programme de soutien à la valorisation et au transfert du ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations. De plus, un troisième atelier favorisant l intégration des connaissances hydrogéologiques à la prise de décisions en aménagement sera développé (niveau 3 de la stratégie). Ce nouvel atelier permettra aux acteurs de mieux comprendre leurs rôles et responsabilités en matière de PGES et de développer leur maîtrise des mesures règlementaires et non règlementaires. Par exemple, les acteurs devront élaborer une stratégie concertée de protection d une zone de RÉFÉRENCES MDDELCC (2015a). L eau au Québec : une ressource à protéger. Ressource en ligne, consultée le 31 mai 2015 : MDDELCC (2015b). Programme d acquisition de connaissances sur les eaux souterraines. Ressource en ligne, consultée le 31 mai 2015 : www. mddelcc.gouv.qc.ca/eau/souterraines/programmes/ acquisition-connaissance.htm. Pelchat, J., S. Campeau et J. Ruiz (2013). «Volet 1 : apport de l information hydrogéologique dans l arrimage des stratégies de protection et de gestion de l eau souterraine.» Rapport vulgarisé des résultats de recherche produits dans le cadre du Programme d actions concertées sur l aménagement du territoire et la gestion durable de la ressource eau souterraine, 83 p. Rodriguez, M., C. Bouchard, C. Gagnon, M. Herrmann, F. Joerin, S. Roche, A. Rouleau, J. Ruiz, et al. (2014). Stratégies de valorisation de l information hydrogéologique pour supporter les décisions locales en aménagement du territoire. Rapport final de recherche remis au Fonds de recherche du Québec Société et culture, 46 p. Réseau québécois sur les eaux souterraines (2015). Ressource en ligne, consultée le 31 mai 2015 : Tremblay, Y., J. Ruiz, V. Cloutier, E. Rosa, M. Ferlatte, O. Pitre, D. Blanchette, P. L. Dallaire, S. Nadeau, et M. Roy (2014). Atelier de transfert des connaissances sur les eaux souterraines du PACES de l Abitibi- Témiscamingue Partie 1, cahier du participant. Document préparé par le RQES, le GRES de l UQAT, la SESAT et l UQTR pour les acteurs de l aménagement du territoire, 106 p. Vecteur Environnement Septembre

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