L isolation thermique des bâtiments: Pourquoi et Comment? Thierry Duforestel EDF R&D Octobre 2010
|
|
- Marie-Claude Roux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L isolation thermique des bâtiments: Pourquoi et Comment? Thierry Duforestel EDF R&D Octobre 2010
2 Construire un bâtiment pour se fabriquer un «intérieur» années Évolutions Réactions <50 Un abri Chauffage central 73 Crise énergétique 93 Préoccupation économies d énergies >93 Préoccupation environnementale 2 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
3 Pourquoi isoler? Pour limiter sa facture de chauffage : 200 kwh/m 2.an 50 kwh/m 2.an MAIS AUSSI : Pour conserver la chaleur et la fraîcheur à l intérieur. Pour améliorer le confort intérieur grâce à des parois plus chaudes. 3 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
4 Comment isoler? En utilisant le pouvoir isolant de l air immobile. dans les systèmes de vitrage. dans les matériaux isolants. 4 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
5 Quels sont les matériaux qui permettent d isoler? Ceux qui enferment de l air immobile. 5 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
6 Quel est le coût de l isolation? L isolation coûte et rapporte. Certains travaux d isolation sont si vite amortis qu on peut les considérer comme des gains. 6 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
7 Comment détecter un manque d isolation? A priori, c est difficile, mais certains signes ne trompent pas. Alors vous pouvez suspecter un manque ou un défaut d isolation. 7 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
8 Traitement d un cas pratique. Une maison individuelle neuve d aujourd hui. 8 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
9 Évolution du neuf. Energy loss (kwh/m2.year) Year of construction single familly gas single familly electricity multi familly gas multi familly electricity En construction neuve, d importants progrès : Division par 10 des pertes par les parois opaques. Des fenêtres dont les vitrages sont plus isolants que les cadres. Il reste deux gros gisements de performance : La correction des ponts thermiques. L amélioration de l étanchéité à l air des parois. Pour les bâtiments existants (plus de 99% du parc) tout reste à faire, mais ça ne se fera pas sans : de nouveaux métiers, de nouvelles méthodes, de nouveaux produits. 9 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
10 L isolation du futur? Super-isolation pour le neuf. Isolation des bâtiments existants. 350 Energy loss (kwh/m2.year) La performance gagnée par le neuf en 2 ans est gagnée par le parc en 30 ans Year of construction 10 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009 single familly gas single familly electricity multi familly gas multi familly electricity A ce rythme là, il faudra plus de 4 siècles pour amener le parc de bâtiments au niveau de performance des bâtiments neufs actuels. Sans politique d amélioration de la performance thermique de l enveloppe des bâtiments existants, les objectifs de 2050 (KYOTO) sont inatteignables.
11 Compter sur l amélioration du neuf n a pas de sens. TWh/an years Ne w decreasing Ne w consum ing "zero" Ne w decreasing + medium rate retrofitting Ne w decreasing + high rate retrofitting Source :Total energy consumption of french dwellings (space heating - main houses) from 2000 to 2050 with 4 scenarios (JP Traisnel - CLIP ) La rénovation énergétique des bâtiments est incontournable Document name - Chapter - 00 Mois 2009
12 Apporter l efficacité énergétique dans les bâtiments existants. Limiter les déperditions. Isolation de l enveloppe Ventilation Toitures Murs Par l intérieur Par l extérieur Planchers Parois vitrées Utiliser des systèmes énergétiques efficaces. Rendement des systèmes. Génération, Distribution, Émission. Gestion énergétique. Gestion temporelle et spatiale. Intégrer les EnR. Une question qui dépasse la vision «gisements». Système énergétique, capacité de stockage dans les bâtiments. Une possible alternative à l isolation, mais ce n est encore qu un concept Document name - Chapter - 00 Mois 2009
13 L isolation thermique par l intérieur. En France, c est «LA» solution de référence en matière d isolation, mais en construction neuve. Pour l existant, le bilan est mitigé : Pas trop cher, mais : Travaux très intrusifs et longs. Décoration, électricité, plomberie à refaire après travaux. Pertes de surface habitable. L emploi de solutions peu performantes est fréquent. Isolants classiques en faible épaisseur. IMR (plus de 20 millions de m 2 par an) Document name - Chapter - 00 Mois 2009
14 1 à 2 cm d IMR peuvent ils isoler autant que 20 cm d un isolant classique? Clairement, non. L isolant classique, c est de l air immobilisé dans une matrice solide. Tous les isolants thermiques suivent une loi conductivité fonction de la densité. Aucun matériau non étanche et non nanostructuré ne peut être plus isolant que l air immobile (λ=0.025 W/m.K). conductivité thermique (mw/m.k) Laine de verre max RT2000 FRACTILE Laine de verre meilleure existante RT 2000 Mais le marché des IMR montre le besoin d un matériau mince et efficace en ITI, donc d un matériau de faible conductivité Rayonnement masse volumique (kg/m3) Conduction solide 14 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
15 Un point sur les transferts radiatifs. Les isolants vus comme des matériaux semi-transparents dans l IR. La performance thermique des vitrages peu émissifs Document name - Chapter - 00 Mois 2009
16 Des matériaux de faible conductivité : augmenter les gains énergétiques par l isolation. 3,50 3,00 Conductivité : 0,004 W/m.K 2,50 2,00 Conductivité : 0,010 W/m.K 1,50 Conductivité : 0,040 1,00 0,50 0,00 0 0,02 0,04 0,06 0,08 0,1 0,12 Epaisseur d'isolant (m) Le gain énergétique est presque indépendant de l épaisseur Document name - Chapter - 00 Mois 2009
17 Des matériaux de faible conductivité : déplacer le marché de l isolation. 3,00 Gisement accessible : 1 cm avec λ = 4 mw/m.k 2,50 Conductivité : 0,004 W/m.K 2,00 1,5 0 1,0 0 0,50 Conductivité : 0,010 W/m.K Conductivité : 0,040 W/m.K Gisement accessible : 4 cm avec λ = 40 mw/m.k 0,00 0 0,02 0,04 0,06 0,08 0,1 0,12 Epaisseur (m) Le gisement accessible (gain x surface) est beaucoup plus important en faible épaisseur. Le gain de performance par l épaisseur est contre-productif en terme de gisement. Pour ne pas renoncer à la performance, il faut des super-isolants Document name - Chapter - 00 Mois 2009
18 Les principales voies de progrès pour faire des matériaux de faible conductivité. Limiter le rayonnement (PSE gris). 30 mw/m.k Utiliser un autre gaz que l air (gaz rares notamment). 20 mw/m.k conductivité thermique (mw/m.k) Laine de verre max RT2000 FRACTILE Laine de verre meilleure existante RT 2000 Utiliser un matériau nanostructuré. (12 à 20 mw/m.k) Effet de striction sur la structure solide. Effet Knüdsen sur la phase gazeuse. Les matériaux nanostructurés à pression atmosphérique sont plus isolants que l air masse volumique (kg/m3) Seule rupture : Établir un vide partiel dans une structure poreuse. 5 mw/m.k Un matériau de cœur et une étanchéité. Mais ce sont des matériaux qui réclament des analyses très particulières Document name - Chapter - 00 Mois 2009
19 Comment «vieillissent» les Panneaux Isolants sous Vide (PIV)? Adsorption de la vapeur d eau Pénétration de gaz dans l isolant Teneur en eau kg/kg Silice pyrogénée 1 CSTB Silice pyrogénée 2 CSTB Silice pyrogénée NRC Silice pyrogénée ZAE Humidité relative C o n d u ctivité th erm iq ue en m W/( m.k) teneur en eau en % Augmentation de la conductivité thermique Augmentation de la pression interne λ = λ + λ + λ + λ tot sol g rad memb Conductivité thermique en mw/(m.k) Figure 2 : Evolution de la conductivité thermique en fonction de la pression à 23 C Pression en hpa 19 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
20 Le comportement hygrothermique des complexes barrières. Pour ne rien simplifier, le comportement des complexes barrières évolue dans le temps. Aucun mécanisme n est réellement identifié mais : Les perméabilités augmentent avec la température. Elles augmentent aussi avec l humidité. Le comportement en fonction de la pression totale reste dans l ombre Document name - Chapter - 00 Mois 2009
21 Le dilemme. Ponts thermiques dus à l étanchéité. Dilemme entre étanchéité (durabilité) et performance thermique. Les films les plus étanches génèrent les ponts thermiques les plus importants. Effets de drainage et de pont thermique. Il faut des films très étanches, mais générant peu de ponts thermiques. Il faut pouvoir évaluer leur comportement dans le temps (50 ans) Document name - Chapter - 00 Mois 2009
22 L intérêt des matériaux nanostructurés. Tout matériau poreux isolant porté à une pression de 0,1 mbar présente une conductivité thermique de l ordre de 5 mw/m.k. Mais les comportements sont différents suivant la nature de la porosité. Les matériaux nanostructurés laissent des marges de manœuvre. L étanchéité extrême n est pas nécessaire Document name - Chapter - 00 Mois 2009
23 Les investigations sur les PIV. Tous les efforts sont orientés par la recherche d un PIV idéal. Le matériau de cœur, Le complexe barrière, Qui vont permettre une performance importante sur la durée de vie du composant Document name - Chapter - 00 Mois 2009
24 Performance et durée de vie du PIV. Dilemme entre performance et durabilité. Il semble aujourd hui que la meilleure performance «moyenne» sera obtenue pour des films aluminisés. Connaître leur comportement de long terme est donc indispensable. Film laminé 1 à 3 films métalisés Al (20 nm) Film extérieur PET (12 25 µm) Film d'alum inium (5 à 10 µm ) Film métallisé Couche interne de scellage (PEHD (20 à 100 µm) 24 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
25 Ce qu il faut connaître. La quantité et la nature du gaz qui pénètre dans le PIV pendant sa durée de vie en œuvre. Quantité : Masse de gaz qui traverse la barrière. Nature : Proportion d air sec et de vapeur d eau. En fonction de la taille des panneaux. Distinction entre le film et les soudures. Pour différentes conditions de sollicitation. Température, humidité relative. Soudure Ame en silice Complexe barrière Revêtement extérieur 25 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
26 Les données expérimentales disponibles. Essais à l échelle des panneaux. Types de films. Températures (<=50 C). Humidités relatives. Tailles de panneaux. Mesure des gains de masse et de pression. Essais à l échelle des films. Encore à un stade exploratoire. Mesures en gaz purs. Insérer photo banc d essai en dessous. Prise de poids (g) 1.2 Evolution des masses à 50 C - 90% HR Temps ( h ) 26 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
27 Que peut on en conclure? La bonne échelle (pour évaluer la durée de vie) est celle des panneaux. En mesurant les gains de masse et de pression on peut évaluer la quantité et la nature du gaz qui a pénétré dans le PIV. Mais les essais sont de courte durée. Comment étendre à la durée de vie du PIV? On n est même pas certain qu ils ont une véritable vertu comparative entre films. Il manque une loi de comportement, un modèle pour représenter les transferts Document name - Chapter - 00 Mois 2009
28 La modélisation des transferts de masse au travers des complexes barrières des PIV. Trois hypothèses de base. L essentiel du gain de masse est dû à l entrée d eau. L essentiel du gain de pression est dû à l entrée d air sec. Les perméabilités sont thermo-activées : E K = K( T 0 ) exp RT Le modèle le plus courant est découplé : perméation d air et de vapeur d eau pour un film homogène équivalent. Equation air : φair = K Equation vapeur d eau : Mais l expérience montre un flux d air qui augmente avec l humidité. Une tentative avec un modèle couplé de transfert d air et d humidité issu de la modélisation des milieux poreux. Equation air : φair = K Equation vapeur d eau : aa S φ air vap film Δp = K t vap S S filmδpt + K φ = K S vap va film av film Δp S Δp film t v Δpv + K vv S Sur le long terme, le modèle couplé prévoit un gain de masse qui diminue dans le temps. film Δp v 28 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
29 La modélisation des transferts de masse au travers des complexes barrières des PIV. Trois hypothèses de base. L essentiel du gain de masse est dû à l entrée d eau. L essentiel du gain de pression est dû à l entrée d air sec. E Les perméabilités sont thermo-activées : K K( T 0 ) exp Le modèle le plus courant est découplé : perméation d air et de vapeur d eau pour un film homogène équivalent. Equation air : φair = K air S Equation vapeur d eau : φ film vap Δpt = K vap Une tentative avec un modèle couplé de transfert d air et d humidité issu de la modélisation des milieux poreux. Equation air : φair = K aas filmδpt + K Equation vapeur d eau : φvap = KvaS S av film film S Δp Δp film = RT Sur le long terme, le modèle couplé prévoit un gain de masse qui diminue dans le temps. t v Δpv + K vv S film Δp v 29 - Document name - Chapter - 00 Mois 2009
30 Discussion sur la modélisation. Les tests disponibles permettent d identifier les paramètres pour tous les modèles. Les deux modèles (couplés et découplés) donnent des résultats très différents. Mais les essais disponibles sont trop courts pour déterminer la validité de long terme des différents modèles. La théorie (thermodynamique des processus irréversibles) milite pour un modèle couplé, formellement identique à celui qui a été mis en œuvre. Faute d un modèle indiscutable, il est impossible de garantir la performance de long terme des PIV, en dehors de conditions d exploitation où l on est sûr qu ils ne vieillissent pas (en pratique ITI) Document name - Chapter - 00 Mois 2009
31 Un projet de modélisation des transferts dans les complexes barrières des PIV. Volet expérimental. Différents types de films. Différentes dimensions de PIV. Différentes températures. Différentes humidités relatives. Différentes pressions. Mesure (très) régulière des gains de masse et de pression. Volet théorique. (Développement, identification) Recherche d un modèle physique adapté. Identification des paramètres du modèle. Vérification sur des séquences longues en sollicitations variables dans le temps. Hautes températures et humidités pour accélérer la prise de masse. Mais valeurs non constantes. L enjeu essentiel est de pouvoir offrir une solution PIV pour toutes las applications actuelles de l isolation Document name - Chapter - 00 Mois 2009
32 Conclusion La contrainte énergétique et environnementale va amener à la création de bâtiments neufs et à la réhabilitation de bâtiments existants qui vont tendre vers l autonomie énergétique. Des solutions d isolation adaptées sont en cours de développement. Le comportement thermique de ces bâtiments sera fortement influencé par les apports, notamment les apports externes. Les périodes où les apports dépasseront les besoins seront de plus en plus longues. Ces bâtiments seront naturellement «bioclimatiques». On peut alors se demander si une autre logique est possible. Faut-il isoler le bâtiment de son environnement ou au contraire le connecter à son environnement pour exploiter les ressources de son environnement? Ce sera le sujet de la prochaine séance Document name - Chapter - 00 Mois 2009
Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA
Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique
Plus en détailisolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison
Parlons peu isolons mieux. Multimax 0 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison En rénovation, Multimax 0 permet d optimiser efficacité thermique et espace habitable
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailIMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974
DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR
Plus en détailPourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments
Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailConstruction en bottes de paille
Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailLes solutions support d enduit mince avec isolation
Les solutions support d enduit avec isolation Th38 SE Th38 SE FM+ Dimensions : Th38 SE : 1200 x 600 x épaisseurs 20 à 300 mm Th38 SE FM+ : 500 x 500 x épaisseurs 60 à 120 mm (autres dimensions sur consultation)
Plus en détailMur Hybride, bien plus qu un simple mur
Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion
Plus en détailISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée
En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailDE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé
VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT
Plus en détailSimulation 06-11-2013
Conception d'un système de ventilation décentralisée : retour d'expérience sur l'intérêt de la simulation thermique dynamique et de la CFD Luc Prieels, Greencom Projet GREEN+ Groupe de REcupération d ENergie
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailMONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort
MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détail2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010
SOLUTIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE En 2010, le marché de l ECS en France représente 2 195 257 ballons ECS de différentes technologies. Dans ce marché global qui était en baisse de 1,8 %, les solutions ENR
Plus en détailhabitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre
Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,
Plus en détailen rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre
Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailUn bâti en tuffeau pour aujourd hui
P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailMODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT
MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats
Plus en détailCONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION
CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.
Plus en détailPLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN
PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de
Plus en détailDuo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers.
Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers. Sommaire Placoplatre : L innovation au cœur des enjeux. Découvrez notre dernière révolution technologique : Duo' Tech System Mur. La révolution de la contre-cloison
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailRetours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est
Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailZone Région de Bruxelles Capitale
Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,
Plus en détailCycle de Formation-débat pour travailleurs sociaux
Cycle de Formation-débat pour travailleurs sociaux Module de perfectionnement 04 Document de travail Caroline GRéGOIRE Aides financières, primes et financement Tr@me scrl Objectifs Présenter les aides
Plus en détailAtelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique
CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille
Plus en détailFinancement de la réhabilitation des logements
Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailApplication du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite
Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Mars 2013 Introduction Objectifs de ce livret A compter du 1 er juillet 2013, le marquage CE des produits
Plus en détaille 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier
Étanchéitéàl air le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Les rencontres du Groupe PROTEC - CONFERENCE Qui sommes nous? Bureau de mesure et contrôle de la perméabilité à l air Formations en Infiltrométrie
Plus en détailsolutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.
solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,
Plus en détailTravaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009)
Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Marché de l entretien-amélioration des bâtiments en 2007 Commissariat général au développement durable - Service
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détailTransposition de l article 4 de la directive 2012/27/UE
Direction de l habitat, de l urbanisme et des paysages Transposition de l article 4 de la directive 2012/27/UE Stratégie à long terme pour mobiliser les investissements dans la rénovation du parc national
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détailInfos pratiques. Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique. Solution confort. Les chauffe-eau solaires
Infos pratiques Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique La production d eau chaude instantanée concerne principalement les chaudières murales à gaz. Lors d un
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détailLe marché de l isolation thermique des murs et des toitures
Le marché de l isolation thermique des murs et des toitures Les études Les chiffres clés du marché» - Edition Juillet 2014 - Un marché morose Impacté par les tensions sur les indicateurs économiques et
Plus en détailRencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments
Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments Critt Bois Epinal 8 décembre 2010 Intervention Placo : Simon Fourniau chef de groupe 1 2 2 Pourquoi améliorer la qualité de l air intérieur?
Plus en détailSimplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF
Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailBâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon
Bâtiments Matériaux Opérations Installations Bâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon B ÂTIMENTS Green Office est le premier bâtiment tertiaire de grande ampleur à énergie positive
Plus en détailLa mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE
La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.
Plus en détailROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0
ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 Nouvelle solution eau chaude solaire auto-vidangeable estampillée NF CESI et Bleu Ciel
Plus en détailOFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593
Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailRéunion départementale d information
Réunion départementale d information 1 1 ORIENTATIONS ET GRANDS PRINCIPES Un objectif ambitieux, à mi-chemin des performances attendues pour 2020 De nouvelles orientations et des exigences renforcées Une
Plus en détailObjet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne
Madame, Monsieur, Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Depuis plusieurs années, les trois Régions et l'etat fédéral ont travaillé au développement d'une procédure commune visant
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailT. BONNARDOT 17/12/2010
CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailGuide d utilisation. Partie VIII - Module DPE
Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES
GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les
Plus en détailEn MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies
En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES
Plus en détailLe SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire
PROJET EUROPEEN ECO N HOME ACCOMPAGNEMENT SPECIFIQUE DES PARTICULIERS RETOUR D EXPERIENCE DANS LA LOIRE 27 Février 2009 Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire 36 groupements
Plus en détailRÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR
RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les
Plus en détailRéglementation et attestations thermique
Réglementation et attestations thermique Réunions d échanges ADS des 25 novembre et 2 décembre 2014 DDT 38 - SLC- QC 1 réglementation thermique attestations -... 1 la réglementation thermique 2 les attestations
Plus en détailConstruisons en aluminium pour les générations futures
Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux
Plus en détailCHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale
POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? CHAUFFAGE choisissez intelligemment votre confort Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale AGENCE BRUXELLOISE DE L ÉNERGIE Le Centre Urbain asbl Chauffage
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailOssature - Poteaux-poutres
Construction Bois Ossature - Poteaux-poutres 2015 Construction de clos-couverts isolés en ossature bois ou système poteaux-poutres Pionnier de la construction bois dans l Ain, ELCC intègre toutes les compétences
Plus en détailPrésentation renouveau école Georges Pamart
MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges
Plus en détailA apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive
Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!
Plus en détailConcevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois
Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle
Plus en détail