Notes d évolution : quand la qualité fait loi
|
|
- Jeannine Boisvert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Notes d évolution : quand la qualité fait loi Yvon Brassard inf., M. Éd., D.E 2009* L existence des notes d évolution au dossier relève d une obligation légale 1. Elles n en constituent pas moins un instrument précieux de communication interprofessionnelle, de continuité de soins, en plus d être un fidèle reflet de l efficacité et de la qualité du service infirmier rendu. Cependant, le principe qui voudrait que «ce qui est écrit est considéré comme ayant été fait et ce qui n est pas noté n a pas été fait» en apeure plus d une et détermine souvent le contenu des notes d évolution. Il est malheureux qu une croyance absolue en un tel principe entraîne une pratique rédactionnelle fondée sur la crainte des plaintes ou des poursuites plutôt que sur les règles de l art. On ne réalise sans doute pas que c est la qualité du contenu clinique des notes d évolution qui leur confère une plus grande crédibilité juridique 2. Écrire «au cas où» dénature leur principale raison d être, c est-à-dire rendre compte de la condition clinique du client, des soins prodigués et de sa réponse à ce qui est fait 3. Mais pour atteindre ce but, il est important de se rappeler que les notes d évolution doivent répondre à des critères qualitatifs précis. Les notes doivent donc être véridiques, pertinentes, précises, concises, chronologiques et exemptes de fautes d orthographe et de syntaxe. Véracité Le Code de déontologie des infirmières et infirmiers auxiliaires stipule en effet qu il est dérogatoire à la dignité de la profession d inscrire des données fausses dans le dossier du client 4. Ce qui est écrit doit correspondre fidèlement à la vérité. Il est d ailleurs inadmissible d apporter consciemment des modifications à des notes déjà écrites 5. Toutefois, corriger ce qui a été noté par erreur, en respectant certaines règles, ne signifie pas qu il y a eu falsification puisque la correction n est pas faite dans le but de camoufler la vérité ou de changer les renseignements consignés. C est l inscription délibérée de données que l on sait fausses qui est blâmable. Pertinence C est assurément la plus grande qualité des notes d évolution. On n écrit pas n importe quoi, n importe comment. Il est donc important de développer l automatisme de se questionner avant d écrire. Par exemple, qu est-ce qui justifie que l alimentation d un client soit documentée dans son dossier? Pourquoi détailler les incontinences? Pour quelle raison est-ce important de mentionner que le client ne se plaint pas de douleur à la mobilisation? Une note pertinente est toujours relative au client, descriptive de sa condition clinique actuelle, informative sur les soins prodigués et la réaction à ceux-ci, en 1
2 plus d apporter des éléments utiles à une meilleure compréhension de la situation 6. Il est impératif qu elle soit personnalisée au client, et non être vide de sens ou applicable à tous; ce qui est pertinent de noter pour un client ne l est pas forcément pour un autre ayant le même problème de santé. À la lecture, il devrait être facile de se faire une image mentale de l état actuel du bénéficiaire des soins. Par ailleurs, l infirmière auxiliaire compétente doit être en mesure de transmettre de l information pertinente 7. L implantation du plan thérapeutique infirmier sera obligatoire à partir du premier avril Découlant de la Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé, le PTI devrait être perçu comme une source d inspiration précieuse pour trouver «quoi écrire» dans les notes d évolution. D ailleurs, il fait l objet d une norme de documentation précise de l Ordre des infirmières et infirmiers du Québec 8. Déterminé et ajusté par l infirmière, il fait état du profil clinique des problèmes du client et des directives émises visant à assurer un suivi aigu de la condition du client 9. Toutefois, même si l élaboration en est réservée à l infirmière, l infirmière auxiliaire est appelée à contribuer à sa réalisation par les observations qu elle fait. Les renseignements cliniques qu elle détaillera dans les notes d évolution seront d un apport précieux pour que l infirmière puisse identifier rapidement et pertinemment les besoins prioritaires du client pour lesquels une surveillance pointue est requise. Non seulement le PTI représente-t-il un outil de continuité de soins, mais il s inscrit dans une perspective de réelle collaboration interprofessionnelle. Le plan thérapeutique infirmier contient essentiellement deux parties importantes (voir le tableau ci-après) : une première appelée «constats de l évaluation» qui énumère les problèmes ou besoins prioritaires identifiés par l infirmière, et résultant de l analyse et de l interprétation des données cliniques obtenues. Les constats sont numérotés selon l ordre de leur identification et non selon la priorité accordée. Une deuxième partie nommée «suivi clinique» regroupe les directives infirmières formulées en termes d interventions spécifiques ou exceptionnelles 10. Celles qui sont applicables par le préposé aux bénéficiaires sont précisées, ce dernier n ayant accès ni au dossier, ni au PTI. Les numéros des directives correspondent aux numéros des constats d évaluation. Mais en quoi cet instrument de documentation à caractère obligatoire et les notes d évolution au dossier peuvent-ils être complémentaires? L un n influence-t-il pas l autre? Comment le PTI peut-il apporter plus de pertinence aux renseignements retrouvés dans les notes écrites par l infirmière et l infirmière auxiliaire? En consultant le PTI, l infirmière auxiliaire est informée des particularités de soins sur lesquelles elle doit focaliser son attention. Elle reconnaît ainsi les priorités pour chacun des clients à sa charge et applique les interventions spécifiques qui la concernent. Inévitablement, cela devrait se traduire par un contenu de ses notes d évolution enrichi d information pertinente. Pour illustrer ces explications, analysons le plan thérapeutique infirmier 11 ci-dessous : 2
3 CONSTATS DE L ÉVALUATION h 1. Incontinence urinaire nocturne h Hypotension orthostatique SUIVI CLINIQUE Directives infirmières h 1. Conduire à la toilette HS, à 2 h et 5 h de la nuit (dir. plan de tr. PAB) h Vérifier P.A. et Pls avant le lever Lever lentement (dir. plan de tr. PAB) Pour que les notes d évolution soient congruentes avec ce PTI, elles devraient contenir de l information sur chacun des éléments qui y sont inscrits. Entre autres, on y lirait des renseignements détaillés sur la fréquence des incontinences et des mictions faites pendant la nuit pour le premier constat, et des données précises sur les valeurs de pression artérielle et du pouls, étoffées des signes et symptômes concomitants pour le second constat. En plus, les directives mentionnées seraient décrites pour témoigner de leur application, auxquels on ajouterait les résultats. À titre d exemple, des notes pertinentes pourraient être ainsi libellées : 21 h Conduit à la toilette, aucune miction. 1 h 45 Incontinence urinaire. 4 h 45 Miction à la toilette. 8 h 15 P.A. en position couchée : 134/84 P : 88. Se plaint d étourdissement en position debout, dit se sentir faible, faciès pâle. P.A. 94/70, P: 104. Dit se sentir mieux dès qu il est recouché. 12 À la lecture de ces notes, il est facile de conclure que le client reçoit la surveillance requise par sa condition clinique. Elles témoignent indubitablement d une approche individualisée à ses besoins. L évolution de son état est mise en évidence, démontrant ainsi une évaluation continue. Dans l élaboration et l ajustement du plan thérapeutique infirmier, la contribution de l infirmière auxiliaire est loin d être négligeable. Les observations qu elle fait ajoutent des données utiles à l identification des problèmes présentés par le client et alimentent l évaluation initiale faite par l infirmière. Ses observations subséquentes, faites à la suite de l application de certaines directives, s arriment à une évaluation en cours d évolution. Pour atteindre leur but premier qui est, rappelons-le, d informer sur la condition clinique du client en démontrant son évolution, il est impératif que les notes soient complètes c est-à-dire contenir la description des données anormales observées, les interventions appliquées et le résultat de celles-ci. Le texte de loi 13 impose l existence des notes d évolution au dossier sans en préciser une définition, encore moins le contenu. Toutefois, il serait bon de se rappeler que ce qui est écrit devrait être révélateur des changements observés dans la condition du client. De ce fait, le plan thérapeutique 3
4 infirmier présente forcément un atout majeur pour assurer la continuité et la coordination des soins. Dans cette perspective, il peut indéniablement contribuer à enrichir le contenu clinique des notes d évolution. Son implantation est propice à une réflexion personnelle, voire commune, sur les habitudes rédactionnelles courantes et malheureusement trop souvent non pertinentes. En définitive, le PTI suscite une remise en question judicieuse inhérente à l amélioration continue de la pratique professionnelle. La pertinence des notes d évolution vise également à éliminer ce qui est superflu. Des formulations vides de sens comme s alimente bien, bonne collaboration, repose au lit, installation confortable, bonne nuit ou patient pris en charge ne renseignent aucunement sur la situation réelle du client. De même, la référence à des feuilles spéciales est inutile puisqu il faudra de toute façon les consulter pour obtenir l information recherchée. Précision Une note est précise lorsqu elle ne contient aucun élément interprétable; tous devraient la comprendre de la même façon. Si elle est suffisamment détaillée, les personnes qui la liront en auront une perception claire sans en avoir été les témoins directs. Une description juste fait image, comme dans la note suivante : frappe les ridelles avec ses poings, donne des coups de pieds au matelas, lance son pot d eau sur le mur, tente de déchirer ses draps, crie en serrant les dents : «Sors d ici, sinon je te tue». Il serait forcément plus court d écrire que le client est très agressif, mais ce serait inacceptable puisque seule la personne qui a écrit cela saurait ce qu elle a voulu dire exactement. L interprétation varie d un individu à l autre, en fonction de l expérience personnelle et professionnelle de chacun. Dans les notes d évolution au dossier, la description d une situation clinique ne devrait contenir que des faits qui correspondent à la réalité. On croit à tort que ce qui est clair pour la personne qui écrit l est forcément pour celle qui lit. Rapportés en toute objectivité 14, les faits parlent d eux-mêmes. Des mots comme bien, peu, abondant, moyen, petit, grand, bon, très sont facilement interprétables et ne devraient donc pas être utilisés. Concision Une note concise exprime beaucoup de choses en peu de mots 15 ; elle est brève tout en demeurant clairement informative. Des phrases courtes ne gardant que les éléments essentiels, et l emploi des termes médicaux contribuent à une bonne compréhension de ce qui est écrit. Les abréviations et symboles reconnus sont acceptables, mais on ne doit pas en inventer dans le seul but de raccourcir un texte. Dans des notes comme légère rougeur au pif et KT 500, il ne va pas de soi que «pif» signifie «pli interfessier» et que «KT» veut dire «cathétérisme». Les habitudes de clavardage ont favorisé le développement du langage «texto»; si c est pratique pour communiquer des messages succincts rapidement, c est inacceptable dans un document légal comme le dossier médical. 4
5 Cependant, l utilisation des abréviations et symboles peut parfois porter à confusion si la calligraphie est difficilement lisible. Même si elles sont tolérées, certaines abréviations ne sont pas recommandées, principalement en relation avec la médication 16. En effet, pour désigner le nombre d unités d insuline, il est facile de confondre un «U» mal formé avec le chiffre «0», ce qui biaiserait forcément la compréhension et laisserait croire que le client a reçu une mauvaise dose. Chronologie Peu importe la méthode de rédaction des notes d évolution, la chronologie doit être respectée. L identification précise de la date et de l heure permet de situer les évènements dans le temps. Malheureusement, le moment où une observation est faite est trop souvent absent, et pourtant c est ce qui permet de suivre plus facilement l évolution d une situation clinique. Même pour un changement qui semble anodin, ce détail peut faire une grande différence en cas de litige. Respect de l orthographe et de la syntaxe Même si les notes sont indubitablement pertinentes, leur crédibilité s en voit diminuée si elles contiennent des fautes d orthographe ou de syntaxe pouvant influer sur leur compréhension 17. Certaines phrases sont risibles et inacceptables, en plus de changer le sens de ce qui est écrit : diète sans selle, mis en chambre des Alemans, levé sur chaise des ange, départ pour esso n en sont que quelques exemples malheureusement réels. Quand la condition clinique du client se détériore ou qu une complication arrive inopinément, c est là que les notes d évolution se doivent d être percutantes. Si elles sont détaillées, complètes, précises, mais surtout pertinentes, elles seront vraisemblablement susceptibles de conférer une plus grande immunité juridique 18. Le souci d enrichir le contenu clinique de ce qui est écrit au dossier devrait avoir préséance sur la peur des plaintes ou des poursuites. En définitive, il est facile de penser que la personne qui ne rédige pas ses notes de façon professionnelle démontre le même manque de professionnalisme dans les soins qu elle prodigue 19. Notes et références : 1. GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Règlement sur l organisation et l administration des établissements (S-5, r.3.01, dernière version disponible au 30 janvier 2009, articles 53, 54, 55, WOOD, C. (2003) «The Importance of Good Record-Keeping for Nurses», Nursing Times. Vol. 99, Nº 2, p BRASSARD, Y. (2008) Apprendre à rédiger des notes d évolution au dossier, volume 1, Longueuil : Loze-Dion éditeur, p
6 4. OIIAQ, Code de déontologie des infirmières et infirmiers auxiliaires c.c-26, r.111, article paragraphe c), dernière version disponible 30 janvier 2009 (récupéré de le 11 février 2009) 5. Ibid. Article paragraphe d). 6. BRASSARD, Y. Op. cit., p. 55 à OIIAQ (2003). Indicateurs de compétence pour l infirmière et l infirmier auxiliaire, p OIIQ (2006). L intégration du plan thérapeutique infirmier à la pratique clinique, p Ibid. 10. Ibid., p La présentation de ce PTI ne correspond pas exactement au formulaire officiel, mais en reprend uniquement les deux principales composantes. 12. Les valeurs de ces signes vitaux sont habituellement inscrites sur une feuille spéciale. Nous les notons dans l exemple pour une meilleure compréhension. 13. Gouvernement du Québec, Op. cit. 14. RAYMOND, L. (2002) «Documenting for PROs», Nursing, Vol. 32, Nº 3, p BRASSARD, Y. Op. cit., p ISMP Canada (2006). «Éliminer l utilisation dangereuse d abréviations, de symboles et de certaines inscriptions numériques», Bulletin de l ISMP Canada, Vol. 6, Nº BRASSARD, Y. Op. cit., p BRASSARD, Y. (2000) «Quand la pertinence fait loi», L infirmière canadienne», Vol.1, Nº 2, p WATSON, A.(2003) «Poor Record-Keeping May Indicate a Lack of Care», Nursing Times, Vol. 99, Nº 14, p. 33. * Article déjà paru dans la revue Santé Québec, printemps
Le PTI, cet incompris!
Le PTI, cet incompris! ou dix mythes à détruire pour simplifier le PTI Rencontre des partenaires de la formation 28 avril 2014 Joël Brodeur, infirmier-conseil Direction du développement et du soutien professionnel
Plus en détailLe processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante
Le processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante Marilou Dionne, inf. M.Sc. Conseillère clinicienne en soins infirmiers Manon Allard, inf. M.Sc. Coordonnatrice
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailPlan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques
Plan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques Jacinthe Savard, inf. M. Sc. Andrée-Anne Picard, inf. B. Sc. AEESICQ St-Jean-sur-Richelieu 2009 Plan de présentation Activités d apprentissage et
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailINSPECTION PROFESSIONNELLE
INSPECTION PROFESSIONNELLE INSTRUMENT DE VÉRIFICATION DE LA NORME DE DOCUMENTATION LE PLAN THÉRAPEUTIQUE INFIRMIER PRODUCTION Service des publications Sylvie Couture Chef de service Karine Méthot Adjointe
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailMESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE. La société québécoise D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE QU EST-CE QUE LA PRESSION ARTÉRIELLE? La pression artérielle est la force du sang circulant dans les artères lors de chaque contraction du cœur. La mesure de
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailCNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification
Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN
Plus en détailPNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03
PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailS ickness Impact Profile (SIP)
Nom : Prénom : Date de naissance : Service : Hôpital/Centre MPR : Examinateur : Date du jour : Étiquettes du patient S ickness Impact Profile (SIP) Il présente le même problème de droit d auteur (pour
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailDÉMARRER UNE ENTREPRISE OBLIGATIONS LÉGALES ET PROFESSIONNELLES DE L INFIRMIÈRE AUXILIAIRE
DÉMARRER UNE ENTREPRISE OBLIGATIONS LÉGALES ET PROFESSIONNELLES DE L INFIRMIÈRE AUXILIAIRE Rédaction et révision Georges Ledoux, avocat Diane Levasseur, directrice du Service des relations professionnelles
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailDes aides pour se relever
Des aides pour se relever du fauteuil, des toilettes, du lit, de la baignoire Des aides pour se relever - Solival / 1 Des aides pour se relever... L âge qui avance, un affaiblissement temporaire, une maladie,
Plus en détailGUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO
GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO Janvier Module 2009 10 : Gérer les conflits Modifié en décembre 2010 Révisé en décembre 2012 Révisé en décembre 2012 1 Objectif
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens
Plus en détailDESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI
DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI Céline Gélinas, inf., Ph.D., Marie-Anik Robitaille, M.A., Lise Fillion, inf., Ph.D. & Manon Truchon, Ph.D. Dans
Plus en détailGuide sur les VALEURS. Angélike et Delphine
Guide sur les VALEURS Angélike et Delphine Ce guide sur les valeurs s adresse autant à notre clientèle qu au personnel du Centre de réadaptation en déficience physique (CRDP) et constitue le code d éthique
Plus en détailRevalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée
Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.
Plus en détailLe rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative
Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailY A-T-IL COUPLE? Introduction. Pour qu il y ait couple, il faut du temps
Introduction Y A-T-IL COUPLE? Au fil des siècles et au fil des années, la société se transforme et avec elle, la valeur accordée à la réussite sociale, à la famille mais surtout à l amour. Dans le monde
Plus en détailA1 Parler avec quelqu un Je peux dire qui je suis, où je suis né(e), où j habite et demander le même type d informations à quelqu un. Je peux dire ce que je fais, comment je vais et demander à quelqu un
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailAmélioration continue de sa compétence professionnelle
Amélioration continue de sa compétence professionnelle En quatre étapes Développer son portfolio professionnel de formation continue pour assurer à la population des soins et services sécuritaires et de
Plus en détailCe que tu écris est le reflet de ta personnalité
Jour 3 Ce que tu écris est le reflet de ta personnalité Avant d envoyer un message par courriel, utilise la liste de vérification cidessous pour t assurer de produire la meilleure impression possible.
Plus en détailOptimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE
E R G O N O M I E Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur de la fabrication de produits en métal, de la fabrication de produits électriques et des industries de l habillement
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailCégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques. Projet WebCSL : Guide de rédaction web
Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques Projet WebCSL : Laurence Clément, conseillère en communication édimestre Marc Olivier Ouellet, webmestre analyste
Plus en détailLa société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr
La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles
Plus en détailRESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS
RESPONS RESPONS RESidents Perspectives Of Living in Nursing Homes in Switzerland est un projet du Domaine santé de la Haute école spécialisée bernoise. RESPONS étudie la qualité des soins du point de vue
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailEXCEL TUTORIEL 2012/2013
EXCEL TUTORIEL 2012/2013 Excel est un tableur, c est-à-dire un logiciel de gestion de tableaux. Il permet de réaliser des calculs avec des valeurs numériques, mais aussi avec des dates et des textes. Ainsi
Plus en détailExercice pour les tuteurs
3 LES ÉTAPE CONSTITUANTS 3 DE LA PHRASE 1 Les constituants de la phrase Exercice pour les tuteurs Nous vous proposons ici un troisième exercice pour vous aider à comprendre quelles sont les fautes qui
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailPour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129.
Journal urinaire À quoi sert un journal urinaire? Nous vous demanderons de remplir ce journal à deux reprises : avant et après les classes d exercices. Les données recueillies nous permettront de mieux
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailRÉALISATION D UN SITE DE RENCONTRE
RÉALISATION D UN SITE DE RENCONTRE Par Mathieu COUPE, Charlène DOUDOU et Stéphanie RANDRIANARIMANA Sous la coordination des professeurs d ISN du lycée Aristide Briand : Jérôme CANTALOUBE, Laurent BERNARD
Plus en détailAvec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose
Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailLE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE
LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE Avant d aborder le sujet de l amélioration du sommeil, permettez-moi de vous présenter quelques faits concernant le sommeil. Plusieurs études ont démontré qu on a besoin
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détail2 LES BASES DU HTML 19 Qu est-ce que le HTML? 20 De quand date le HTML? 20 Écrire son propre code HTML 22
SOMMAIRE INTRODUCTION La collection Classroom in a Book TinyUrL Conditions requises Installation du programme Copie des fichiers Classroom in a Book ordre recommandé pour les leçons Démarrage instantané
Plus en détailCentre SSR - EHPAD La Chimotaie B.P. 10014 85613 CUGAND Montaigu Cedex
Centre SSR - EHPAD 85613 CUGAND Montaigu Cedex SSR (orientation en rééducationréadaptation) SSR (orientation en cancérologie et soins palliatifs) SSR polyvalents Secrét. Médical : 02.51.45.68.23 Secrét.
Plus en détailL approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement.
L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. Présenté par: Lyne Roberge, chef en réadaptation Rina Dupont, coordonnatrice clinique
Plus en détailMon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word)
. Philippe Ratat Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word) Département Ressources, Technologies et Communication Décembre 2006. Sommaire PRÉSENTATION DU DOCUMENT 1 Objectif principal 1 Deux
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailMerci d'avance de prendre le temps d'y répondre, et de nous le retourner avant le 20 octobre 2003 à l'adresse suivante :
Paris, le 24 septembre 2003 Madame, Mademoiselle, Monsieur, En 2001, vous avez bénéficié d'une offre de promotion qui vous a permis d'obtenir gratuitement, grâce à la Fondation CNP, le film réalisé par
Plus en détailLoin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière
Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins
Plus en détailGuide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention
Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions
Plus en détailComment mettre en page votre livre
GUIDE - ImprimermonLivre.com Comment mettre en page votre livre www.imprimermonlivre.com 1 V. 20131125 Conseils pour la mise en page de votre ouvrage L objectif de ce guide est de vous aider à réaliser
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailPour être prêt à contacter un futur partenaire, l organisateur devra penser à :
6. Approche du Sponsor Ce chapitre offre aux organisateurs d évènements une clarification sur le sujet de la recherche de sponsors. Cet aspect est très important, il permet d augmenter les fonds de la
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailGRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie
GRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSITÔT HOMOPHONES AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie aussitôt aussi tôt aussitôt : Il signifie au
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détailLE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE!
LE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE! Présentation au XVII e Colloque des CII-CIR Montréal, le 2 Mai 2012 Josée F. Breton, Inf., B. Sc., MBA, conseillère en organisation des soins et du travail
Plus en détailConseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire.
Conseil général du Lot é t e r p o La pr chez l enfant s n a 6 à 0 de Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. La propreté, cela ne s apprend pas! Maman, je vais certainement te surprendre,
Plus en détailLE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE
LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que
Plus en détail3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.
L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné
Plus en détailFORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE
FORMATIONS COACHING EVOLUTIF - PNL - HYPNOSE - NON VERBAL - COMMUNICATION EFFICACE Ecole de Coaching. Vous préparer à réaliser vos potentiels... Pour vous initier au coaching, développer vos connaissances,
Plus en détailORGANISATION DU TRAVAIL EN CHSLD EN ESTRIE Effectifs par unité d'hébergement SITUATION ACTUELLE (P2) B) Samedi et dimanche
ANNEXE 13 ÉTABLISSEMENT : CSSS-IUGS SITE : ARGYLL UNITÉ D'HÉBERGEMENT : ARGYLL 1-2 CONFIGUN PHYSIQUE (nombre d'étages) : 2 étages NOMBRE DE LITS : 45 de de de de Infirmière 7 5,75 1 7,25 Infirmière auxiliaire
Plus en détailObligations à prime du Canada Titres avec certificat (formulaire CPB-12) Achats avec certificat Table des matières
Obligations à prime du Canada Titres avec certificat (formulaire CPB-12) Achats avec certificat Table des matières Généralités... 1 Conservation des documents... 1 Types de formulaires de souscription...
Plus en détailEN HARMONIE. L Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec regroupe les physiothérapeutes et les thérapeutes en réadaptation physique
EN HARMONIE L Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec regroupe les physiothérapeutes et les thérapeutes en réadaptation physique Le développement moteur de l enfant Dans les deux premières années
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détailFORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA
1 FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA Afin de donner un bon aperçu de mes possibilités et mes limitations à la DG Personnes handicapés, je coche ce que je peux faire ou ne plus faire. Ci-dessous
Plus en détailConseils pour l évaluation et l attribution de la note
Entreprise formatrice Candidat/-e Téléphone: Téléphone: Ce document ne doit en aucun cas être montré au candidat après l attribution des points. Conseils pour l évaluation et l attribution de la note Documentation
Plus en détailLoi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986
Loi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986 (État le 10 décembre 2002) 241 TABLE DES MATIÈRES Articles Chapitre premier : But... 1 er Chapitre 2 : Section 1 : Section 2 : Section
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailGUIDE POUR AGIR. Comment RÉALISER. un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen
GUIDE POUR AGIR Comment RÉALISER un bon C.V. J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Comment rédiger un C.V.? Vous démarrez votre recherche d emploi? Vous voulez mettre toutes
Plus en détailECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ
ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ 2 GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET «Le système européen de crédits d apprentissage pour l enseignement et la formation professionnels (ECVET) est un cadre technique pour le transfert,
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailMIEUX VIVRE AVEC SON HEMIPLEGIE
Comment aider un hémiplégique COMMENT AIDER UNE PERSONNE HÉMIPLÉGIQUE... - La sortie du lit - Le transfert - Au fauteuil - La marche en deux temps Chaque personne a gardé des capacités et des possibilités
Plus en détailChapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière?
Chapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière? Les ordinateurs n ont pas du tout la même conception des textes que nous : pour nous, un texte est un ensemble d idées couchées sur papier. Nous nous en
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailComment utiliser la feuille de style «CMLF2010.dot»
Comment utiliser la feuille de style «CMLF2010.dot» TELECHARGER LA FEUILLE DE STYLE...1 OUVRIR UN NOUVEAU DOCUMENT WORD...2 ATTACHER LA FEUILLE DE STYLE AU DOCUMENT...2 AFFICHER LES STYLES DISPONIBLES...2
Plus en détailL esprit assurément tranquille
Ce que chacun souhaite pour soi et sa famille et que les Assurances Detienne & Partners vous offrent: L esprit assurément tranquille CBFA : 43.364 - Numéro d entreprise : 0464.906.548 A S S U R A N C E
Plus en détailE-mail : gagnez du temps sans rien manquer d important
E-mail : gagnez du temps sans rien manquer d important 1 Etes-vous accro aux mails? Consultez-vous vos mails régulièrement sur votre smartphone, juste pour savoir (et vous les traitez plus tard)? Vous
Plus en détailFICHE PÉDAGOGIQUE -Fiche d enseignant-
FICHE PÉDAGOGIQUE -Fiche d enseignant- o Thème : o Objectifs pédagogiques : o Nievau : o Public : o Durée : o Matériel nécessaire : o Source : o Disposition de la classe : travail avec le livre Et si c
Plus en détailLa rédaction d un courriel
La rédaction d un courriel Le courriel est un moyen de communication rapide et efficace pour transmettre des renseignements à des collègues, clients, supérieurs ou amis. Sa simplicité d utilisation permet
Plus en détailRÉGIME d assurance collective CSQ. À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec
RÉGIME d assurance collective CSQ À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec Contrat J9999 Janvier 2010 À tous les membres de la CSQ Cette «nouvelle» brochure
Plus en détailL infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Plus en détailCAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0)
CAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0) DIPLÔME D ÉTUDES COLLÉGIALES (DEC) Pour obtenir un diplôme d études collégiales, vous devez avoir satisfait aux trois conditions suivantes : 1. Avoir réussi
Plus en détail