Vaincre la malédiction des ressources en minéraux et combustibles au Ghana
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- Pauline Robert
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1 Extrait de : Coopération pour le développement 2012 Comment intégrer durabilité et développement Accéder à cette publication : Vaincre la malédiction des ressources en minéraux et combustibles au Ghana Heikki Holmås, Joe Oteng-Adjei Merci de citer ce chapitre comme suit : Holmås, Heikki et Joe Oteng-Adjei (2012), «Vaincre la malédiction des ressources en minéraux et combustibles au Ghana», dans OCDE, Coopération pour le développement 2012 : Comment intégrer durabilité et développement, Éditions OCDE.
2 Ce document et toute carte qu il peut comprendre sont sans préjudice du statut de tout territoire, de la souveraineté s exerçant sur ce dernier, du tracé des frontières et limites internationales, et du nom de tout territoire, ville ou région.
3 Coopération pour le développement 2012 Comment intégrer durabilité et développement OCDE 2012 PARTIE II Chapitre 9 Vaincre la malédiction des ressources en minéraux et combustibles au Ghana par M. Heikki Holmås Ministre du Développement international, Norvège M. Joe Oteng-Adjei Ministre de l Énergie, Ghana Dans nombre de pays, la richesse en pétrole, gaz, diamants, or et autres minéraux peut représenter une malédiction plutôt qu un bienfait. Une mauvaise gestion de cette richesse peut entraîner des performances économiques médiocres, une croissance faible et déséquilibrée, de la pauvreté, des conflits, des atteintes à l environnement, et des régimes de gouvernement inefficaces ou autoritaires. Dans le présent chapitre, les auteurs soutiennent que la malédiction des ressources n est toutefois pas inéluctable. Ils décrivent de façon circonstanciée comment la coopération entre la Norvège (pays qui possède quatre décennies d expérience de la gestion de vastes réserves pétrolières) et le Ghana aide ce pays d Afrique à gérer son pétrole au bénéfice de la population dans son ensemble. S inspirant du programme norvégien «Pétrole pour le développement» et de ses principes de bonne gouvernance, le Ghana s emploie sans relâche à assurer une gestion économiquement, écologiquement et socialement responsable de ses ressources pétrolières. Le gouvernement ghanéen s attache en priorité à élaborer et améliorer la législation qui s y rapporte, à créer des institutions et à les développer, ainsi qu à renforcer les compétences. Des accords de jumelage entre des institutions du secteur public au Ghana et leurs homologues en Norvège ont permis de préserver la continuité et la durabilité, et de mettre en œuvre une approche globale. Grâce à l accent mis sur les principes de transparence, de reddition de comptes et de lutte contre la corruption, les enseignements pratiques qui ressortent de cette expérience peuvent se révéler utiles pour d autres pays. 137
4 Nul n ignore que l abondance des ressources naturelles ne signifie pas systématiquement croissance et développement. En fait, dans de nombreux pays, les ressources naturelles, au lieu d être un bienfait, sont devenues une malédiction. Si la richesse en pétrole, gaz, diamants, or ou autres minéraux n est pas bien gérée, elle peut être en partie à l origine de performances économiques médiocres, d une croissance faible et déséquilibrée, de l appauvrissement des populations, de l aggravation des conflits, d atteintes à l environnement, et de régimes de gouvernement inefficaces ou autoritaires. Cette malédiction tient à de multiples raisons. L absence de démocratie, d obligation redditionnelle et de transparence peut favoriser la recherche de rente. Les dirigeants peuvent, en se focalisant sur les richesses naturelles, négliger les secteurs manufacturier et agricole à vocation exportatrice, mettant ainsi à mal leur compétitivité (problème appelé le «syndrome hollandais»). L instabilité notoire des prix pétroliers peut déstabiliser une économie. La richesse en ressources naturelles peut encourager la corruption, porter préjudice à la qualité des institutions, pousser à emprunter excessivement et amener à subventionner des industries non concurrentielles. En outre, l extraction non durable des ressources, en l absence de mesures préventives et correctrices appropriées, risque de nuire gravement à l environnement : ce sont là diverses formes que prend la malédiction des ressources. Les ressources, les infrastructures, la gouvernance, la société civile et la transparence doivent se développer de façon simultanée. Mais ce phénomène n est pas inéluctable. Des recherches récentes remettent en cause les hypothèses antérieures selon lesquelles l abondance de ressources non renouvelables, notamment pétrolières, serait forcément préjudiciable aux perspectives de croissance des pays en développement. Or, dans ce cas comme dans celui d autres problèmes de développement, les facteurs déterminants sont la qualité des mécanismes de gouvernance et des institutions concernés, et en définitive l état d esprit des dirigeants du pays. Des décisions fondamentales, prises très tôt, sont cruciales pour orienter la mise en valeur des ressources naturelles à l avantage des citoyens ordinaires. D une manière générale, il faut faire évoluer simultanément l exploitation des ressources, les infrastructures, la gouvernance, la société civile et la transparence. Ce chapitre raconte l histoire de deux pays : la Norvège, qui gère depuis quarante ans ses ressources pétrolières au bénéfice de ses citoyens, et le Ghana, qui s engage aujourd hui, avec l aide de la Norvège, sur la voie d une gestion responsable de ses ressources naturelles. Quarante ans d expérience de la gestion pétrolière : les enseignements tirés par la Norvège Le pétrole a été découvert sur le plateau continental norvégien dans les années 60. Avec une production journalière de plus de 2.1 millions de barils, la Norvège est aujourd hui le 7 e exportateur et le 14 e producteur de pétrole au niveau mondial. En 2009, elle était aussi le 2 e exportateur et le 5 e producteur de gaz du monde. 138
5 Le gouvernement norvégien tire du pétrole environ 25 % de ses recettes totales. La Norvège a établi un cadre pour assurer une utilisation judicieuse de ses revenus pétroliers dans l optique de la croissance économique du pays et du financement de son système de protection sociale (encadré 9.1). Plus de 40 ans de production pétrolière ont accru le PIB du pays de quelque milliards USD. En 2010, ce secteur a représenté 21 % de la création de valeur totale du pays, et les revenus que l État a tirés du pétrole ont avoisiné le quart de ses recettes totales. Encadré 9.1. Feuille de route pour une mise à profit optimum des richesses naturelles Paul Collier, professeur à l Université d Oxford, a établi, en collaboration avec une équipe internationale, une très utile Charte des ressources naturelles sous la forme d une feuille de route concernant la façon dont les gouvernements devraient traiter la question des ressources non renouvelables. Cette charte énonce 12 préceptes simples à suivre dans toutes les étapes du processus de mise en valeur des ressources, depuis celle où la décision d exploiter celles-ci est prise jusqu à celle, par exemple, où sont opérés des choix de gestion des recettes propres à bénéficier à l ensemble de la population. Le gouvernement norvégien souscrit à cette charte, même si elle a été élaborée longtemps après la découverte des gisements de pétrole de la Norvège. Avec le recul, il est clair que ce pays en a largement respecté les préceptes, malgré les erreurs commises (et corrigées) ; de fait, la Norvège a peut-être en quelque sorte servi de modèle pour la concevoir. Source : Natural Resource Charter, Les revenus pétroliers de la Norvège sont déposés dans sa Caisse de retraite publique globale. À la fin de 2011, la valeur du Fonds était largement supérieure à 500 milliards USD, ce qui correspond à plus de USD par habitant. Il existe au niveau politique un large accord sur la règle selon laquelle le déficit budgétaire structurel de la Norvège ne doit pas dépasser le rendement escompté du capital du Fonds, estimé à 4 % par an en moyenne ; l idée est d injecter progressivement dans l économie les recettes pétrolières à un rythme soutenable, dans l intérêt des générations futures et indépendamment des fluctuations des prix. La Norvège a dépensé 300 millions USD pour aider d autres pays à gérer durablement leurs revenus pétroliers. Les quatre décennies d activité de son secteur pétrolier et gazier ont permis à la Norvège d acquérir des compétences exceptionnelles en matière de gestion de ces ressources. Au début des années 80, les autorités ont décidé de partager cette expérience avec les pays en développement. Il en est ressorti un programme de coopération pour le développement axé sur les questions relatives au pétrole, auquel participeront à terme plus de 30 pays ; jusqu à présent, les dépenses qui y ont été consacrées sont de l ordre de 300 millions USD. 139
6 Pétrole pour le développement Le programme de coopération actuel de la Norvège, baptisé «Pétrole pour le développement», a été lancé en Inscrit dans une approche globale, il embrasse la gestion des ressources, des recettes et de l environnement. Il privilégie de manière systématique les principes essentiels qui régissent la bonne gouvernance transparence, reddition de comptes et lutte contre la corruption et apporte un soutien aussi bien aux institutions publiques qu à la société civile. L objectif visé est d encourager une gestion économiquement, écologiquement et socialement responsable des ressources pétrolières, tout en protégeant les intérêts des générations futures. Le programme «Pétrole pour le développement» est mené en coopération avec plusieurs institutions internationales, notamment l Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), le Fonds monétaire international, la Banque mondiale dans le cadre de sa Petroleum Governance Initiative et du Partenariat mondial pour la réduction des gaz torchés et le Centre africain pour la transformation économique. Il est aussi associé à des activités de coopération internationale sur certaines questions d environnement, par exemple avec l Association internationale pour les études d impact sur l environnement. Il existe, de la part des pays émergents riches en pétrole, une demande d aide non négligeable au titre du programme norvégien «Pétrole pour le développement». Aujourd hui, des activités sont conduites dans le cadre de ce programme dans plus de 20 pays du monde, dont 14 se trouvent en Afrique, où ses principaux partenaires sont le Ghana, l Ouganda, le Soudan, le Soudan du Sud et le Mozambique. Le partenariat entre la Norvège et le Ghana est un bon exemple de la façon dont le programme «Pétrole pour le développement» aide des producteurs émergents à exploiter leurs ressources de manière durable. Nous espérons que le récit de notre coopération permettra à d autres pays d en tirer quelques enseignements pratiques et de s en inspirer. L expérience réussie du Ghana : un phare de la démocratie en Afrique Pour ce qui est de la gestion de ressources naturelles abondantes, le Ghana ne manque pas d expérience. Ce pays émergent à revenu intermédiaire d Afrique de l Ouest, peuplé de quelque 24 millions d habitants, est encore aujourd hui l un des premiers producteurs d or du monde. Le cacao, le bois d œuvre, les diamants, la bauxite et le manganèse constituent pour lui d autres sources importantes de recettes en devises. Au fil des ans, le Ghana a mis sur pied une démocratie solide, fondée notamment sur un État de droit et des institutions efficaces. Les élections démocratiques qui ont eu lieu en 2008, les cinquièmes depuis la fin du régime militaire en 1992, se sont distinguées pour avoir été les mieux organisées et les plus pacifiques de l histoire africaine. M. John Atta Mills a gagné les élections présidentielles avec une très faible avance, aussi ne peut-on que saluer l acceptation du verdict des électeurs par le parti perdant. C était la deuxième fois que l opposition arrivait au pouvoir dans ce pays (elle y avait accédé pour la première fois en 2000), ce qui confirme la place de phare de la démocratie qu occupe le Ghana en Afrique. Les réserves de pétrole du Ghana devraient rapporter chaque année plus de 1 milliard USD au pays. 140
7 Encadré 9.2. Tendances de l aide : industries extractives Selon la définition du CAD, l aide aux industries extractives recouvre l aide à la politique et à la planification en matière d extraction des minerais et minéraux, à la géologie et aux activités d extraction des minerais, minéraux et combustibles. Mais elle n englobe pas tout l éventail des activités menées dans le cadre du programme «Pétrole pour le développement» décrit par la Norvège au chapitre 9, lesquelles comprennent aussi les interventions concernant la production et la distribution d énergie, les industries manufacturières (activités manufacturières liées à l énergie, y compris le raffinage du pétrole), le gouvernement et la société civile (législation) et la protection de l environnement en général. Le secteur des industries extractives représente une faible part de l APD, c est-à-dire moins de 1 % du total de l aide ventilable par secteur. En , le montant annuel moyen total des engagements d aide au profit de ce secteur a été de 461 millions USD. Ce dernier étant très lucratif, il attire suffisamment de ressources de la part des investisseurs et sociétés privés et il n est pas considéré comme un secteur traditionnel d intervention des organismes d aide. Graphique 9.1. Tendances de l aide aux industries extractives Engagements pour , moyenne mobile sur cinq ans, aux prix constants de 2010 Milliards USD Pays du CAD Agences multilatérales Graphique 9.2. Ventilation régionale de l aide aux industries extractives, ensemble des donneurs Engagements pour Autres 2 % Asie et Océanie 6 % Europe 1 % Afrique, nord du Sahara 10 % Moyen-Orient 50 % Afrique, sud du Sahara 29 % Amérique 2 %
8 Encadré 9.2. Tendances de l aide : industries extractives (suite) La baisse de l aide bilatérale observée au cours des années 90 a été due à la mise en œuvre de «l Ensemble d Helsinki», qui avait pour but d empêcher l utilisation des ressources de l aide pour financer des projets commercialement viables, et a entraîné une diminution non négligeable de l aide au titre des infrastructures, y compris les activités extractives. Ce dispositif n a pas eu d effet sur les apports d aide des organisations multilatérales à ce secteur, celles-ci ayant toujours tenu compte de la viabilité commerciale des projets et réservé leur aide à ce secteur aux projets de faible importance orientés vers la lutte contre la pauvreté. Au cours de la période , le Moyen-Orient a bénéficié de la moitié des apports d aide publique au développement, principalement au profit de projets concernant des oléoducs réalisés en Irak en 2005 et L autre grand bénéficiaire de cette aide a été l Afrique, qui a reçu près de 40 % du total de l aide consacrée aux industries extractives. Tableau 9.1. Aide aux industries extractives par donneur, Engagements annuels moyens, aux prix constants de 2010, millions USD Engagements Allemagne Australie Belgique Canada Corée Danemark Espagne États-Unis Finlande France Irlande Italie Japon Norvège Nouvelle-Zélande Portugal Royaume-Uni Suède Suisse Total des pays du CAD FAfD FAsD Fonds arabe (FADES) IDA Institutions de l UE PNUD Total multilatéral Pour mémoire : Institutions de l UE + États-membres de l UE Total La ligne Pour mémoire : Institutions de l UE + États membres de l UE indique la somme des contributions des membres de l UE aux pays en développement et des apports des «Institutions de l UE» à ces pays Au cours de la période , les États-Unis, l IDA et le Japon ont été les principaux apporteurs d aide publique au développement au secteur des industries extractives. 142
9 Encadré 9.2. Tendances de l aide : industries extractives (suite) Parmi les 439 nouveaux engagements notifiés par les membres du CAD au titre des industries extractives pour , seules neuf activités étaient marquées comme orientées vers les questions relatives à l atténuation du changement climatique. L une d elles, financée par la France au Maroc, faisait l objet d une aide particulièrement importante (318 millions USD), accordée sous la forme d un prêt d APD destiné à financer un système de transport des phosphates. Les contributions apportées au Secrétariat international de l Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) sont comptabilisables dans l APD bilatérale au titre de plusieurs secteurs (industries extractives, mais aussi gouvernance, énergie ou commerce). Il est possible de les distinguer dans le Système de notification des pays créanciers (SNPC) du CAD au moyen d un code de canal spécifique introduit en 2009, et elles sont comprises dans les chiffres figurant dans le tableau ci-dessus. Exemples de contributions apportées par la Norvège dans le cadre du programme «Pétrole pour le développement», selon les données communiquées au SNPC Au chapitre 9, la Norvège décrit son programme «Pétrole pour le développement», lequel a été conçu dans le but de tirer parti des compétences qu elle possède dans le domaine du pétrole pour aider les pays en développement dotés de ressources pétrolières à porter au maximum les effets bénéfiques que ces dernières peuvent avoir sur leur développement. Année 2010 : engagements d un montant de 15 millions USD pour aider le Ghana dans l exécution d un programme de longue haleine concernant la gestion de l environnement dans le contexte de l activité pétrolière, avec la participation d un grand nombre d organismes publics norvégiens. Année 2008 : engagements d un montant de 11 millions USD en vue de soutenir le Timor-Leste dans la gestion de ses ressources pétrolières. Année 2008 : engagements d un montant de 375 millions USD à titre d aide au secteur des hydrocarbures de la Bolivie : analyse juridique de la loi bolivienne sur les hydrocarbures du point de vue de la législation relative à l énergie et des accords de partage de la production. Mais ce n est pas seulement sur le plan politique que la réussite du Ghana est exemplaire en Afrique. L économie affiche depuis de nombreuses années une croissance vigoureuse qui ne fléchit pas, avec un taux de 13 % en Cette évolution s accompagne d un ralentissement de l accroissement de la population et d une baisse de la proportion de personnes vivant dans la pauvreté. Plus de 90 % des enfants ghanéens d âge scolaire sont scolarisés, et plus de 70 % de la population a actuellement accès à l électricité. En outre, l espérance de vie a augmenté et la mortalité juvénile a diminué. Une gestion du pétrole durable et équitable L expérience du Ghana offre un exemple de réussite, aussi bien politique qu économique, en Afrique. En 2007, d importantes réserves de pétrole ont été découvertes au large des côtes ghanéennes avec le gisement de Jubilee. Ce dernier a été en fait la plus grande découverte du monde dans ce domaine cette année-là. Selon les estimations, il renferme des réserves récupérables supérieures à 700 millions de barils, avec un potentiel maximal de 1.8 milliard de barils. La production commerciale a débuté en décembre 2010 et, en 2011, la production moyenne avoisinait barils par jour. Les recettes pétrolières du Ghana devraient sans doute dépasser 1 milliard USD par an à compter de Signalons, à des 143
10 fins de comparaison, que l aide internationale au développement apportée à ce pays en 2010 s est chiffrée au total à 1.7 milliard USD. Et pourtant, à l échelle mondiale, les réserves de pétrole du Ghana sont relativement faibles. Même s il s avérait qu elles se situent en haut de la fourchette des estimations, elles ne placeraient le Ghana qu au 50 e rang environ du classement mondial des réserves prouvées de pétrole, soit loin derrière de gros producteurs pétroliers tels que le Nigeria, l Angola et la Norvège. Au moment de la découverte du gisement de Jubilee, les méthodes du Ghana en matière d extraction de minéraux n étaient guère durables. Conscient de ce problème et soucieux d éviter la malédiction du pétrole M. Kofi Annan, ancien Secrétaire général des Nations unies et citoyen ghanéen, a pris contact avec la Norvège en vue d une coopération dans le cadre du programme «Pétrole pour le développement». En février 2008, le gouvernement ghanéen a signé avec les autorités norvégiennes un mémorandum d accord axé, dans un premier temps, sur la gestion du gisement de Jubilee. Dans ce mémorandum, les ministères du Pétrole et de l Énergie ainsi que de l Environnement de la Norvège, sa Direction du pétrole, le Secrétariat du programme «Pétrole pour le développement» et Petrad (organisme de formation) sont convenus de prêter assistance de diverses manières à la Ghana National Petroleum Company (GNPC), au Bureau du président, au ministère de l Énergie et à celui de l Environnement, des Sciences et de la Technologie, ainsi qu à l Agence de protection de l environnement, en vue de préparer le terrain pour un développement durable. La publication d un Livre blanc sur la politique pétrolière du Ghana a constitué une première étape fondamentale, notamment pour offrir une assise à l élaboration d une nouvelle législation et d un schéma directeur de gestion du pétrole. Après les élections de 2008, le nouveau gouvernement du Ghana a décidé d intensifier la coopération avec la Norvège sous l égide du programme «Pétrole pour le développement». Conduits par le ministre de l Énergie (coauteur de cet article) et le ministre de l Environnement, des Sciences et de la Technologie, des fonctionnaires ghanéens sont allés en Norvège pour assister à plusieurs séminaires et se rendre auprès des organismes norvégiens concernés. D autres institutions norvégiennes ont par la suite été associées à cette démarche, comme l Autorité de sécurité pétrolière, la direction de la gestion de la nature, l Agence du climat et de la pollution, l Autorité de cartographie, l Institut de recherche marine, l administration du littoral et le SINTEF, établissement de recherche indépendant. L inscription du Ghana sur la liste de l ITIE signifie que ses activités extractives obéissent aux principes de transparence et de reddition de comptes. Au second semestre de 2010, quelques semaines à peine avant le démarrage de la production pétrolière sur le site de Jubilee, il a été reconnu que le Ghana remplissait les conditions requises par l ITIE dans ses activités pétrolières et gazières (le secteur minier avait déjà été jugé conforme à celles-ci) 2, ce qui a créé l assise nécessaire pour assurer la transparence et la reddition de comptes entre les compagnies pétrolières, les pouvoirs publics et la société civile. En décembre 2010, deux accords quinquennaux ont été signés entre le Ghana et la Norvège en vue d une coopération institutionnelle, respectivement pour la gestion des ressources et celle de l environnement. Ces accords appréhendent directement les 144
11 problèmes que pose l exploitation durable du pétrole découvert en eaux profondes au Ghana. En particulier, ils visent à favoriser : la prospection et le développement écologiquement rationnels des ressources pétrolières et gazières et la production durable de pétrole et de gaz au Ghana ; une gestion judicieuse des recettes pétrolières et gazières dans l intérêt général et au service du bien-être de tous les Ghanéens ; l indigénisation des connaissances, des compétences et de la technologie y afférentes afin de renforcer l appropriation locale. Dans certains domaines, ils prévoient la coordination des activités avec d autres partenaires du développement. Les principaux éléments de la coopération sont notamment les suivants : Il a fallu 25 ans à la Norvège pour mettre en place une caisse de retraite fondée sur les recettes du pétrole : le Ghana s en est doté en 25 jours. Conseils sur les politiques et la réglementation. Des politiques et des réglementations efficaces sont indispensables pour assurer la durabilité de la gestion des ressources et l équité de la répartition des revenus. À cette fin, le ministère norvégien du Pétrole et de l Énergie et la direction norvégienne du pétrole dispensent, en collaboration avec des experts norvégiens indépendants, des conseils détaillés sur la gestion des ressources au ministère ghanéen de l Énergie et à la GNPC. De plus, la Norvège a prêté son concours pour la mise en œuvre de la loi ghanéenne récemment approuvée concernant la gestion des recettes pétrolières. Cette loi s inspire dans une large mesure des textes norvégiens équivalents et constitue ainsi un bon exemple de mise à profit de l expérience des autres pays. Il a fallu 25 ans à la Norvège pour mettre en place sa Caisse de retraite publique globale, alors que le Ghana a créé un dispositif analogue en 25 jours environ après le début de la production de pétrole. D autres textes de loi sont nécessaires à l amélioraton des conditions d investissement, tout en garantissant un contrôle au niveau national. À cet effet doit être adopté un projet de loi portant modification de la Loi sur la prospection et la production de pétrole, qui se trouve actuellement dans les dernières phases de son élaboration. La Norvège aide aussi le Ghana à établir une réglementation sur l aménagement de l espace pour l ouest du pays, où sera initialement implantée la majeure partie des installations de soutien des activités de prospection pétrolière. L objectif visé est d assurer le développement durable de la région sur les plans social, économique et écologique. Renforcement des capacités. Des séminaires à l intention des commissions parlementaires ghanéennes sur l énergie, l environnement et les finances ont été organisés tant au Ghana qu en Norvège. Ils étaient destinés à améliorer les connaissances des législateurs et à leur donner la possibilité d étudier de près les textes de loi proposés, en vue de garantir une exploitation durable des ressources nationales. Assistance technique. La Direction norvégienne du pétrole, qui a aidé le Ghana à mettre en place l entrepôt national de données sur le pétrole, dispense aussi une assistance et une formation techniques en géologie et géophysique et sur les questions relatives à la subsurface, ainsi que sur les systèmes de données. Ces efforts ont contribué à renforcer les capacités de l administration nationale en matière de surveillance des activités 145
12 offshore. Le financement par la Banque mondiale de l achat de matériel technique viendra les compléter. Le ministère norvégien de l Environnement conseille son homologue ghanéen sur les questions environnementales et juridiques, tout comme il aide l Agence de protection de l environnement du Ghana dans le domaine du développement organisationnel, de l évaluation stratégique d impact sur l environnement et de la préparation aux situations d urgence. Enfin, une assistance technique a été apportée pour définir les données de référence qui permettront d assurer un suivi des effets sur l environnement des activités de prospection pétrolière. Renforcement des institutions. Donnant suite aux conseils qui lui ont été dispensés pour élaborer sa législation, le Ghana a créé une Commission du pétrole sur le modèle de la direction norvégienne du pétrole ; les membres de cette commission se sont également rendus en Norvège pour y suivre une formation. L appui apporté à la National Gas Task Force, nommée par le président afin de soutenir l utilisation du gaz naturel du gisement de Jubilee, a permis de préparer la création, en 2011, de l entreprise publique Ghana National Gas Company. Soutien à l industrie. En janvier 2011, la Norad (Agence norvégienne de coopération pour le développement) a signé avec la SINTEF un accord triennal visant à aider le Ghana à développer son industrie parapétrolière. Dix sociétés ghanéennes prendront part à un programme dont le but est de renforcer leur aptitude à remporter des contrats liés aux activités pétrolières. De plus, la SINTEF collabore étroitement avec des entreprises, des établissements de recherche et des universités du Ghana afin d améliorer la viabilité du secteur pétrolier ghanéen. Le Ghana est déterminé à mettre sa richesse pétrolière au service de son développement et de son peuple. Cet exposé montre clairement l importance qu attache le gouvernement ghanéen au développement et à l amélioration de sa législation, à la création d institutions et à leur renforcement, ainsi qu à l acquisition de compétences pour la gestion de son industrie pétrolière. Celui-ci tire parti au mieux des leçons de l expérience norvégienne, en les adaptant au contexte ghanéen. Les accords de jumelage entre des institutions du secteur public du Ghana et leurs homologues de Norvège, contribuent à assurer la continuité, la durabilité et l application d une démarche globale. Grâce à l ancrage solide qu il a trouvé dans la coopération norvégio-ghanéenne, le nouvel âge du pétrole au Ghana commence sous de bons auspices. Certes, beaucoup reste à accomplir et les défis à relever sont encore nombreux, mais la Norvège est fermement résolue à aider le Ghana à améliorer la vie de sa population, en veillant à ce qu il s approprie les activités pétrolières et à ce qu il y participe, et en soutenant le développement de ses infrastructures, de ses services de santé et de son système éducatif, ainsi que l élévation de son niveau de vie en général. La voie à suivre De nombreux autres pays en développement connaissent la bénédiction (ou la malédiction) de posséder des ressources minières ou pétrolières abondantes. La collaboration entre la Norvège et le Ghana peut être une grande source d inspiration pour ces pays. Ce qui distingue le Ghana de beaucoup d autres pays d Afrique et du reste du 146
13 monde en développement, c est la volonté qui unit ses dirigeants de mettre la richesse pétrolière du pays au service de son développement et de sa population. Cette communauté de vues, conjuguée au soutien sans intentions politiques de pays développés tels la Norvège, est de nature à permettre à des pays comme le Ghana d échapper à la malédiction des ressources naturelles et d assurer la prospérité de tous leurs citoyens. Notes 1. Pour plus d informations, voir 2. L Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) vise à améliorer la transparence des paiements effectués par les sociétés pétrolières et minières aux gouvernements et aux entités qui leur sont liées, ainsi que la transparence des recettes des gouvernements des pays hôtes. Pour que leurs activités extractives soient jugées conformes aux règles de l ITIE, les pays doivent établir au moins un état de rapprochement afin de permettre la vérification des montants versés par ces sociétés aux gouvernements. Référence Luong, P. et E. Weinthal (2010), Oil is Not a Curse: Ownership Structure and Institutions in Soviet Successor States, Cambridge University Press, Cambridge. 147
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