La reconnaissance de certains programmes de formation qualifiante

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1 Mémoire de la Fédération des commissions scolaires du Québec dans le cadre de la consultation du Conseil supérieur de l éducation sur l obtention d une première formation qualifiante chez les jeunes de moins de 20 ans Décembre 2011

2 Document : 6908 Fédération des commissions scolaires du Québec 1001, avenue Bégon C. P , succursale Sainte-Foy Québec (Québec) G1V 4C7 Téléphone : Télécopieur : Courriel : info@fcsq.qc.ca Site :

3 PRÉSENTATION La Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ) a pour mission de promouvoir l éducation préscolaire et l enseignement primaire et secondaire. La FCSQ représente les 60 commissions scolaires francophones du Québec et la Commission scolaire du Littoral. Parmi les principaux mandats qui lui sont confiés, la Fédération a comme objectifs de faire avancer la cause de l éducation publique au Québec et de défendre les intérêts de ses membres. La Fédération produit, notamment à la suite de consultations auprès des commissions scolaires, des mémoires, des avis, des recommandations et des propositions afin de soumettre ses positions sur des projets concernant le système public d enseignement. Ce mémoire fait état des réactions de la Fédération des commissions scolaires du Québec au document d information et de consultation produit par le Conseil supérieur de l éducation portant sur l obtention d une première formation qualifiante chez les jeunes de moins de 20 ans. 3

4 INTRODUCTION Le Conseil supérieur de l éducation transmet, tous les deux ans, un rapport sur l état et les besoins de l éducation au ministre de l Éducation, du Loisir et du Sport. Le comité chargé de produire ce rapport a eu pour mandat du Conseil de se pencher sur l obtention d une première formation qualifiante chez les jeunes de moins de 20 ans. En tant que responsables de l enseignement primaire et secondaire, les commissions scolaires du Québec se sentent directement interpellées par ce thème. Les conventions de partenariat signées avec le ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) ainsi que les conventions de gestion et de réussite éducative signées avec les établissements témoignent aussi de la volonté constante des commissions scolaires de placer la réussite des jeunes et la valorisation de l école publique au cœur du projet éducatif québécois. Les réactions de la Fédération sont présentées en respectant les grands thèmes identifiés par le comité et ils tiennent lieu de têtes de chapitre au présent document. Certains d entre eux ont été regroupés afin de mieux traduire les préoccupations des commissions scolaires et de faciliter la compréhension des commentaires formulés. De plus, le Conseil et le comité nous invitent à soulever d autres aspects en lien avec l obtention d une première formation qualifiante. C est dans ce contexte que la Fédération attire l attention des lecteurs sur l accessibilité au diplôme d études professionnelles en tant que formation de base, en tant que première formation qualifiante. 4

5 La reconnaissance de certains programmes de formation qualifiante Le Conseil pose deux questions sous le chapitre de la reconnaissance de certains programmes de formation qualifiante. La première concerne la valeur que l on devrait accorder à ces formations et la seconde celle que le marché du travail devrait y accorder. Dans un premier temps, il nous apparaît important de situer ces formations menant à ces certifications par rapport à la formation professionnelle et ensuite les situer en regard des besoins auxquels elles répondent. Il sera peut-être plus facile d y accorder une valeur par la suite. Comme le document de consultation du Conseil l explique, la formation menant au certificat de formation préparatoire au travail (CFPT) s adresse aux élèves qui n ont pas atteint les objectifs des programmes d'études de l'enseignement primaire dans les matières langue d'enseignement et mathématiques. Aussi, les élèves reçoivent, en concomitance, la formation générale et une formation pratique. La formation menant à l'exercice d'un métier semi-spécialisé (CFMS) s adresse aux élèves qui ont atteint les objectifs des programmes d'études de l'enseignement primaire dans les matières langue d'enseignement et mathématiques, mais n'ont pas obtenu les unités du premier cycle de l'enseignement secondaire dans ces matières. Il reçoit aussi, en concomitance, la formation générale et la formation pratique. La formation pratique est une autre appellation pour parler de stages en entreprises. Dans le cas du CFMS, le stage varie entre 375 et 450 heures. Dans les deux cas, la réussite est obligatoire pour la formation pratique, mais pas pour la formation générale, ce qui est une nuance très importante lorsqu on compare ou assimile ces certifications au secteur de la formation professionnelle. En bref, pour le CFMS, un stage d au plus 450 heures (12 semaines) donne accès à une qualification émise par le MELS. Il y a donc un danger de créer une certaine confusion dans la tête des gestionnaires d entreprise. Les programmes menant aux certifications des métiers non spécialisés et semispécialisés ont été développés par le MELS afin de répondre, en priorité, aux besoins 5

6 des élèves en difficulté. Les programmes menant aux diplômes du secteur de la formation professionnelle ont été développés en collaboration avec les représentants du marché du travail afin de répondre, avant tout, aux besoins exprimés par ce milieu. En formation professionnelle, l élève a l obligation d acquérir des savoirs professionnels (formation pratique) et des savoirs disciplinaires (formation théorique en lien avec le métier). Les savoirs théoriques sont indispensables pour assurer une trajectoire professionnelle rapide et efficace aux individus. Les stages, pour l obtention des diplômes d études professionnelles (DEP), représentent dans tous les cas moins de 10 % du temps de formation. Il est essentiel, voire primordial, de ne pas associer ces certificats à la formation professionnelle; la preuve étant, notamment, la difficulté d organiser des passerelles des métiers semi-spécialisés vers la formation professionnelle. La difficulté majeure se trouve dans les critères d admission. Pour accéder aux certificats, les jeunes ne doivent pas avoir obtenu les unités du premier cycle de l enseignement secondaire dans les matières langue d enseignement et mathématiques, tandis que pour la formation professionnelle, ils doivent les avoir obtenus de la troisième secondaire et, dans la majorité des programmes, celles de la quatrième secondaire en plus de celles de langue seconde. Les CFPT et les CFMS sont d excellentes avenues pour les élèves qui ont des difficultés et il semblerait que ces voies leur permettent, dans la majorité des cas, la poursuite de leurs études, donc très peu d élèves intègrent le marché du travail à la suite ces formations. Cette affirmation ne repose sur aucune étude exhaustive. Il serait donc opportun d effectuer une étude afin de confirmer ou d infirmer cette prétention. En ce qui concerne les CFER (centre de formation en entreprise et récupération), des nuances importantes sont à apporter pour les distinguer des CFPT et des CFMS. Les différences sont multiples, mais nous aborderons ici très brièvement les deux plus marquantes, puisque ce n est pas l objectif principal du présent mémoire. Pour celui ou celle qui n est pas familier avec les CFER, ce qui saute aux yeux de prime abord, c est l organisation scolaire pour la formation générale et pour la formation 6

7 pratique. En effet, les enseignants travaillent dans un contexte de tâche globale; trois enseignants sont présents dans un même groupe, en même temps. Pour la formation pratique, les élèves sont rémunérés puisqu ils travaillent dans une organisation à but non lucratif qu est un CFER qui a des contrats avec des entreprises telles que Bureau en gros ou Bell. Les expériences positives menées dans les commissions scolaires concernant ces parcours de formation axée sur l emploi témoignent de la valeur de ces certifications pour les élèves. En effet, les élèves inscrits à ces parcours n ont souvent jamais eu de succès scolaires avant d intégrer ces parcours. C est pour la plupart d entre eux une première reconnaissance personnelle et une reconnaissance scolaire. Une accessibilité plus grande au diplôme d études secondaires et la création d une filière de formation professionnelle au secteur des jeunes du secondaire Le Conseil s interroge à savoir si le curriculum du 2 e cycle du secondaire est suffisamment diversifié pour répondre aux profils et aux besoins variés des jeunes de 15 à 19 ans. Trop de jeunes quittent le système scolaire avant l âge de 20 ans sans diplôme les qualifiant pour le marché du travail. Cette question et ce constat se posent depuis 1995 lorsque le Groupe de travail sur la relance de la formation professionnelle des jeunes au secondaire et de la formation technique a présenté son rapport, le rapport Pagé. Le Conseil se questionne aussi sur la pertinence d envisager la création d une filière de formation professionnelle au 2 e cycle du secondaire afin de répondre aux besoins variés des élèves ou de créer une filière DES-DEP. En 2005, la FCSQ et le ministère de l Éducation mettaient en place un groupe de travail mixte afin d accroître l accès des jeunes de moins de 20 ans à la formation professionnelle conduisant au DEP. Ce groupe faisait donc les mêmes constats 15 ans plus tard. 7

8 Au terme de ses travaux, le groupe de travail a produit un document proposant plusieurs pistes d action, tant pour le Ministère que pour les commissions scolaires 1. L une d elles concerne directement la question posée par le Conseil supérieur de l éducation. En effet, le groupe mixte recommande au Ministère d analyser la pertinence, la faisabilité et les conditions de succès d un parcours intégré (DEP-DES) après la 4 e secondaire 2. La Fédération est d avis que cette piste d action est toujours d actualité et souhaite que le Ministère s y penche sérieusement. En ce qui a trait à une accessibilité plus grande au diplôme d études secondaires (DES), le Conseil demande si les conditions d obtention du DES offert au secteur des adultes ne pourraient ne pas être une source d inspiration pour la détermination des règles de sanction conduisant au DES au secteur des jeunes. Lors de la consultation du Conseil sur les nouvelles exigences pour l obtention du DES au secteur des adultes, la FCSQ avait recommandé que les DES adultes conservent la même valeur que celle reconnue au secteur des jeunes tout en favorisant la persévérance scolaire pour les adultes qui visent le marché du travail ou un programme conduisant au diplôme d études collégiales ( ). En ce sens, la FCSQ ne peut être qu en accord avec une telle question. Nous croyons qu effectivement, à l instar d autres provinces du Canada, le Québec pourrait s inspirer des conditions au secteur des adultes pour déterminer celles du secteur des jeunes. Comme mentionnés en introduction, le Conseil et le comité invitent les acteurs et partenaires à partager d autres aspects qui sont en lien avec l obtention d une première qualification. La Fédération aimerait souligner quelques incohérences qui deviennent des obstacles majeurs pour l accès à une première qualification en formation professionnelle pour les 1 Groupe mixte ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport Réseau des commissions scolaires, Accroître l accès des jeunes de moins de 20 ans à la formation professionnelle conduisant au DEP, Pistes d action, Ibid, page 9. 8

9 jeunes de moins de 20 ans et pour les adultes. Les éléments qui vous seront partagés ont été entendus et discuté à maintes reprises partout au Québec, dans toutes les commissions scolaires, lors de rencontres régionales sur l adéquation formation emploi tenues au printemps La Fédération a fait parvenir un avis à la ministre de l Éducation, du Loisir et du Sport et à la ministre de l Emploi et de la Solidarité sociale au terme de ces rencontres. Nous avons repris quelques éléments de cet avis que nous jugeons toujours d actualité. En voici quelques extraits. Le diplôme d études professionnelles (DEP) et la persévérance scolaire Une formation de base telle que la formation professionnelle devrait être accessible à l ensemble de la population. Dans une perspective de participation à la vie en société, le DEP répond aux besoins de l individu qui veut acquérir une première qualification. Le fait de le contraindre uniquement par l adéquation formation emploi (orientée que sur les besoins de main-d œuvre en forte demande) prive donc plusieurs personnes intéressées par cette filière de formation, de maintes possibilités. À ce titre, la formation menant au DEP ne doit pas être contingentée ou soumise à des tracasseries administratives. Voici un exemple qui parle de lui-même : le contingentement est appliqué à deux programmes en formation professionnelle, soit les programmes de coiffure et d esthétisme. Pour l année , le contingentement a été resserré. Pourtant, ces programmes, très populaires auprès des jeunes filles, sont des outils pertinents en matière de persévérance scolaire. On ne refuserait certainement pas à ces jeunes filles l accès à une formation qui mène au diplôme d études secondaires (DES), pourquoi alors leur refuser une formation qui mène au DEP. On leur refuse donc, clairement, une première qualification. Effectivement, si ces jeunes filles, comme c est le cas sur le territoire de certaines commissions scolaires, n ont pas accès à ces formations, rien ne garantit qu elles 9

10 aillent s inscrire dans un autre programme. Il est plus probable qu elles abandonneront l école pour tenter de se trouver un emploi ne demandant pas de qualification ou qu elles se tourneront vers le secteur privé. Il ne faut pas perdre de vue que même si ces élèves ne pratiquent pas essentiellement la coiffure ou l esthétique au terme de leur formation, elles peuvent travailler dans des domaines connexes (ex. : ventes spécialisées) ou encore, elles poursuivent d autres études, fortes d avoir développé une plus grande maturité, une plus grande employabilité et surtout d avoir développé des compétences transférables. On a ainsi évité un mouvement de décrochage scolaire. Dans certaines écoles privées, elles ont même accès aux prêts et bourses du MELS. On comprend donc que si une personne est capable de payer, elle peut réaliser son rêve et avoir accès à ce DEP, mais qu en contrepartie les personnes qui n ont pas de disponibilités financières n auront peut-être pas accès au DEP à cause du contingentement. De plus, les écoles privées étant dans les grands centres, les jeunes qui n ont pas accès à la formation dans leur région sont tentés de s exiler pour étudier dans les écoles privées des grandes villes. Cela nous semble incohérent avec la Politique gouvernementale d éducation des adultes et de formation continue et à la limite, avec les valeurs mêmes d équité et de justice. Entente entre commissions scolaires L entente de prêt de cartes entre commissions scolaires est un moyen peu coûteux et offre une réelle souplesse afin de donner accès à la formation professionnelle à un plus grand nombre de jeunes. Les nouvelles contraintes du Ministère (formulaires d autorisation et les délais) nuisent à une offre souple et rapide. Ces nouvelles règles sont incohérentes avec la volonté du MELS d augmenter le nombre de jeunes de moins de 20 ans inscrits en formation professionnelle. Si la volonté du MELS en imposant ce processus était d obtenir l état de situation du réseau, une reddition de comptes a posteriori semble une solution raisonnable. 10

11 En juin 2011, la Fédération procédait à un sondage éclair auprès de 19 commissions scolaires afin de savoir si elles avaient des listes d attente. La Fédération a été surprise de l ampleur de telles listes. C est près de jeunes et adultes qui sont en attente d une première formation de base, et pas que dans le secteur de la construction comme on aurait pu le croire, mais aussi dans le secteur de la santé où des pénuries de main-d œuvre qualifiée persistent. La campagne publicitaire Avenir en santé du ministère de la Santé et des Services sociaux afin d attirer plus de jeunes dans les professions de la santé porte des fruits comme en témoigne l engouement pour les inscriptions dans les programmes des centres de formation professionnelle. Il faudrait maintenant travailler en aval et permettre à ces personnes d intégrer la formation en finançant adéquatement les commissions scolaires. Autorisations provisoires Les autorisations provisoires accordées aux commissions scolaires visent à rendre disponible dans toutes les régions, une formation répondant aux besoins du marché du travail. Historiquement, cette autorisation était donnée rapidement aux commissions scolaires. La nouvelle lourdeur administrative a fait en sorte que, l an dernier, dans plusieurs régions du Québec, nombre de cohortes n ont pu démarrer. Il y a encore là un problème de cohérence. Ce sont donc des jeunes et des adultes qui ont été privés d une formation de base qualifiante et d un emploi puis, du même coup, des entreprises qui se sont retrouvées privées d une main-d œuvre qualifiée. 11

12 Promotion et publicité (Loi 20 Projet de loi n 100) La loi sur le retour à l équilibre budgétaire qui a pour effet de restreindre la promotion et la publicité est un frein de plus à l accessibilité à la formation professionnelle. Effectivement, comment faire connaître à la population les différents programmes, déjà très méconnus et souffrant de multiples préjugés, en formation professionnelle si la commission scolaire ou le centre de formation professionnelle, comme c est le cas lorsque les budgets sont décentralisés, doit restreindre de 25 % la publicité et la promotion? Dans un contexte où la fréquentation est non obligatoire, on peut s attendre à une diminution de la clientèle si on diminue les investissements en publicité. Un accès accru des jeunes de moins de 20 ans à des voies de qualification offertes en entreprise Le Conseil s interroge sur la pertinence d accroître la participation des jeunes de moins de 20 ans aux régimes d apprentissage et de qualification de la Commission des partenaires du marché du travail et de la Commission de la construction du Québec. Il faut se rappeler que l accessibilité au programme d apprentissage en milieu de travail (PAMT) est possible seulement si les entreprises décident de recourir à ce dispositif de qualification. Le PAMT et ultimement le Certificat de qualification professionnelle (CQP) ont été créés pour assurer la mise à niveau de travailleurs que les entreprises ont engagés faute d une main-d œuvre déjà qualifiée par un dispositif de qualification scolaire (formation initiale DEP, ASP, AEP). D entrée de jeu, il apparaît utopique que les entreprises discriminent lors de leur processus d engagement afin de favoriser en priorité les jeunes de moins de 20 ans. Dans un contexte de production, on choisit la personne qui a le meilleur dossier. Il faut aussi se rappeler que la qualification de ce dispositif se fait sur la base d un référentiel qui est la norme professionnelle. La norme professionnelle couvre généralement un périmètre de qualification moins large que celui des programmes 12

13 d études du MELS. Le travailleur développe des compétences dans un milieu de production spécifique, à un moment précis. C est très bien pour l entreprise, mais est-ce vraiment une formation transférable qui permettra aux jeunes ou à l adulte d avoir une trajectoire professionnelle intéressante? De plus, le référentiel de la norme ne porte que sur des savoirs professionnels contrairement au référentiel des programmes d études du MELS qui portent sur des savoirs professionnels et des savoirs disciplinaires (cours théoriques). N est-il pas important pour les jeunes ou pour l adulte de connaître le pourquoi en plus du comment, s il aspire à devenir un expert dans son métier? Si on prend l orientation de favoriser l accès au PAMT pour les jeunes de moins de 20 ans qui éprouvent certaines difficultés, il n apparaît pas évident que les entreprises vont adhérer à un tel projet. En contrepartie, si l on vise les jeunes de moins de 20 ans qui n éprouvent pas de difficultés, le message qui risque d être entendu est : «Tu n as qu à te trouver un emploi pour obtenir ton diplôme». Cela risque d apporter un dur coup au dossier de la valorisation de la formation professionnelle. Est-ce vraiment cela que nous souhaitons? Bien que nous reconnaissons la pertinence des PAMT pour certains jeunes, nous sommes d avis que l accroissement de la participation devrait être associé, voire conditionnelle, à une reconnaissance des acquis et des compétences en lien avec les programmes du MELS et avec les attestations d études professionnelles (AEP) des commissions scolaires. Finalement, concernant la Commission de la construction du Québec, les certificats de compétences apprentis (CCA) qu elle délivre sont accompagnés par l obligation de détenir un relevé des apprentissages attestant la réussite d un DEP dans le métier concerné. 13

14 Une synergie d action à intensifier entre les acteurs du milieu communautaire, du milieu de l éducation et du marché du travail Afin de s assurer que la collaboration puisse être optimale entre les milieux communautaires et le milieu de l éducation, il serait essentiel de prévoir des actions complémentaires et en cohérence. Il est de première importance que les partenaires partagent leur vision et il serait souhaitable qu il n y ait pas de chevauchement entre les services offerts par les organismes communautaires eux-mêmes; ce qui implique donc une concertation entre ces milieux. Nous croyons que plus il y aura d initiatives, incluant celles posées par les organismes communautaires, plus les possibilités de retour en classe seront grandes. Il est bien certain que les organismes communautaires qui interviennent en dehors du milieu scolaire ont un certain avantage quand il s agit de rejoindre des jeunes qui ont quitté l école. Ces jeunes, la plupart du temps, ont une perception négative du monde scolaire. Il est à parier qu il leur sera plus facile d entrer en contact avec ces jeunes et, par la suite, de les faire cheminer, de les amener à certaines prises de conscience, voire même, à constater l importance de la poursuite des études. Dans certaines situations, il peut s agir de scolarisation à l extérieur de l école. Il est alors de première importance de conclure des ententes avec le milieu scolaire pour s assurer de la rigueur de cette formation et des ponts qui peuvent être faits entre les deux milieux. Des collaborations existent déjà à cette fin et démontrent de belles réussites. 14

15 Il faut cependant reconnaître que plusieurs commissions scolaires ont elles aussi des programmes favorisant le retour en classe de cette clientèle. À cette fin, lors des dernières années, le milieu scolaire a été très sensible à cette situation et là aussi, il faut voir la nécessaire cohérence des actions mises en place par les deux milieux. De plus, le secteur de la formation générale des adultes et des initiatives comme IDÉO permettent aux jeunes d envisager un retour aux études et d établir un projet de formation. N oublions pas que l école et les centres d éducation des adultes sont aussi en mesure de soutenir les élèves éprouvant des difficultés particulières, mais il est certain que si d autres forces s additionnent et réussissent à répondre aux attentes de cette clientèle particulière, cela devient un avantage pour notre société. Par exemple, la mise en place par le milieu scolaire de CFER et de Maisons familiales rurales (MFR), qui proposent une diversification des voies d apprentissage. Si les organismes communautaires devaient développer d autres voies d apprentissage, il faudrait cependant s assurer que ces apprentissages soient suffisamment organisés et encadrés afin qu ils puissent mener à une certification ou à une diplomation. Il s agit là d une condition menant à l acceptation de la diversification des voies d apprentissage. 15

16 CONCLUSION Les commissions scolaires connaissent bien les enjeux et les défis que pose, pour le Québec et pour les entreprises, la non-qualification des jeunes. Elles gèrent plus de établissements d enseignement, dont 170 centres de formation professionnelle, 200 centres d éducation des adultes et près de 60 services aux entreprises sur tout le territoire du Québec. Elles sont proches des besoins des entreprises de leur territoire et grâce aux investissements du gouvernement, les centres sont dotés d un parc d équipements important, collé à ce qui existe en entreprise et les employeurs sont satisfaits des élèves qui sortent de ces centres. Les commissions scolaires sont bien implantées dans toutes les régions du Québec et elles collaborent à la réussite des élèves avec plusieurs intervenants de leur milieu. Elles ont aussi à cœur de bien outiller et orienter les jeunes dans leur choix professionnel et de respecter celui-ci. La Fédération des commissions scolaires du Québec demande aux Ministères impliqués dans l adéquation formation emploi de placer, eux aussi, les jeunes au cœur des décisions qui les concernent en leur permettant un accès accru à une formation qu ils auront choisie et qui leur permettra une trajectoire professionnelle enviable. Devant la difficulté de certains jeunes à acquérir une formation qualifiante avant l âge de 20 ans, il ne faut surtout pas baisser les bras et céder à la tentation de les envoyer trop rapidement sur le marché du travail. Les jeunes ont besoin de savoirs pratiques certes, mais nous savons aussi que ce sont les savoirs disciplinaires qui font la différence lors de fermeture d usine ou lors de rareté de main-d œuvre. 16

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