Conjonctures octobre 2012
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- Florentin St-Louis
- il y a 8 ans
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1 Conjonctures octobre 2012
2 Introduction L été meurtrier avec La crise des dettes souveraines à la crise de gouvernance La crise de la gouvernance à la panne de croissance L automne chancelant avec La menace du cercle vicieux de l assainissement Le non règlement de la crise européenne L absence de perspectives L économie mondiale plusieurs vitesses ou passation de pouvoirs? oct/nov : la croisée des chemins G20, règlement de la crise grecque panne de croissance en Europe, aux Etats-Unis avec risque de contagion mondiale Les scenarii Récession Stagnation Reprise après un W 2 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
3 Retour sur la chronologie 2008/2009 : récession la plus sévère depuis la grande dépression 2009/2010 : mise en œuvre de plans de relance et de sauvetage des banques 2010/2011 : retour de la croissance et report des réformes de structure 2011 : fin de l effet «cocaïne» des plans de relance et retour des créanciers, crise de gouvernance, plans de rigueur 2012/2013 : années électorales 3 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
4 La séquence La crise des subprimes matérialisée par la faillite de Lehmann Brothers entraine Le blocage de l ensemble du système bancaire La Méfiance généralisée avec obligation pour les banques centrales et les Etats de suppléer les banques afin d éviter un blocage de l économie La récession de 2008/2009 est tout à la fois mondiale et violente. Pour la première fois, le commerce mondial recule depuis 1945 (voire graphique page suivante) Dans les faits, la crise est avant tout la conséquence de La bulle immobilière nourrie par une politique monétaire accommodante (Etats-Unis, Espagne) La propagation de la crise par la titrisation et l effet de levier L affaiblissement des gains de productivité dans les pays occidentaux La multiplication des déséquilibres commerciaux (cf page suivante) L inflation générée par la hausse des cours des matières premières Le G 20 décide en 2008/09 de stopper l hémorragie Le soutien au secteur financier (plus de 700 milliards de dollars aux Etats-Unis) Les plans de relance (Etats-Unis : plan de plus de 700 milliards de dollars) Les injections de liquidités par les Banques centrales (achats de titres publics, quantitative easing) et maintien de taux d intérêt bas) 4 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
5 Déséquilibres commerciaux 5 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
6 Décrochage du commerce extérieur? 6 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
7 Réussite en demi-teinte des plans de relance Réussites Sortie de la récession : à partir du second semestre 2009 Fin des faillites bancaires et fonctionnement plus régulier du marché interbancaire Echecs, divergences et interrogations Les Etats-Unis s européanisent : faible croissance, fort taux de chômage, doutes et crise politique L Allemagne redevient un dragon : forte croissance, forts excédents, baisse du chômage L Europe du Sud ne renoue pas avec la croissance, début de la crise grecque en 2009 suivie par la crise en Irlande, au Portugal Les pays émergents et les pays producteurs d énergie tentent de s affranchir de la dépendance occidentale Incapacité à retrouver le chemin d une croissance auto-alimentée 7 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
8 La crise de 2011 La crise intervient avec L arrêt des plans de relance (fin 2010) La hausse des cours des matières premières et du pétrole Le tremblement de terre et accident nucléaire au Japon qui freine la production mondiale Les annonces des plans d assainissement des comptes publics Le ralentissement économique est très marquée entre le 1 er trimestre et le second trimestre 2011 Doutes sur la faculté des Etats à rembourser Perte du triple A américain et tergiversations européennes Absence de visibilité Spirale récessive s installe sur fond d indécision politique, anticipation de récession Retour de la crise bancaire 8 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
9 De l indécision politique à la croissance en W L indécision politique Absence de consensus entre les nations Absence de consensus au sein des nations et des grands ensembles comme l UE Calendrier électoral compliqué : Espagne/France/Etats-Unis/Allemagne/Italie Temps politique n est plus en phase avec le temps économique Persistance des facteurs de crise Assainissement du marché immobilier aux Etats-Unis inachevé Faiblesse des gains de productivité Déséquilibres commerciaux et monétaires persistants Marges de manœuvre réduites Disparition de l instrument budgétaire Possibilité d utilisation des outils monétaires mais avec des risques et avec une efficacité relative (quantitative easing aux Etats-Unis mais aussi de manière déguisée par la BCE) 9 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
10 La croissance en question 10 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
11 La croissance en doute en Europe L Europe, première puissance commerciale : 500 millions d habitants, 28 % du PIB Zone euro : plus de 300 millions d habitants Arrêt brutal de la croissance au second semestre L Allemagne du fait de sa forte dépendance aux exportations avait enregistré la chute la plus importante du PIB. En revanche, sa compétitivité lui a permis une sortie rapide de la récession 11 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
12 Croissance Europe/France 12 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
13 L Allemagne et les autres L Europe est à deux vitesses : Allemagne + Europe du Nord et le reste de l Europe. Il faut néanmoins prendre en compte les évolutions démographiques 13 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
14 En route pour une nouvelle récession 14 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
15 Croissance Prévisions Les prévisions ont toutes été revues à la baisse depuis le début de l été que ce soit en Europe, aux Etats-Unis que dans les pays émergents Les facteurs de croissance : incertains La consommation devrait être bridée par l augmentation des impôts et la faiblesse des augmentations salariales La croissance dépendra de la capacité des entreprises à ne pas annuler leurs programmes d investissement (or accès au financement bancaire plus difficile) Le maintien d un fort taux d épargne devrait également jouer contre la consommation Les gains de productivité restent faibles Les facteurs de blocage Problème sur le crédit interbancaire Durcissement de l accès au crédit Immobilisme par méfiance généralise
16 Prévisions croissance Prévisions du Gouvernement pour la France 1,75% de croissance en 2011 (au lieu de 2%) 1,75% en 2012 (au lieu de 2,25%) 2 % en 2012, 2014 et 2015 au lieu de 2,5 % La prévision pour 2012 apparaît d'ores et déjà très optimiste au vu de la dégradation conjoncturelle de l'économie mondiale et de la crise de la dette dans la zone euro France Prévisions Generali PIB Production industrielle Consommation des ménages Inflation (IPC) Taux de chômage Dette publique Unités Croissance annuelle (%) Croissance annuelle (%) Croissance annuelle (%) Croissance annuelle moyenne (%) Annuel moyen (%) % du PIB ,4 2,9 1,3 1,5 9,7 82, e 1,7 2,5 0,6 1,8 9,6 86, p 1,2 2,0 0,1 1,7 9,4 90,0
17 Les prévisions pour la France
18 Résultats 3 ème trimestre 2011 Consommation Juillet : diminution de la consommation -0,2 % Août : augmentation 0,2 % Septembre : légèrement positif En juillet, le chiffre d affaire a augmenté dans l industrie manufacturière, diminué dans la restauration, dans l hébergement et dans le service aux entreprises Investissement : étale Balance commerciale déficit de 6,46 milliards d euros proche du record du mois d avril de 6,9 milliards d euros. Le déficit sur les 10 premiers mois atteint 43,9 milliards d euros. La France devrait battre le record de ,7 milliards d euros
19 Le retour des spreads Période de divergence Avant l entrée en vigueur de l euro, les écarts de taux étaient importants ; la correction monétaire ne pouvait pas les effacer (du fait même qu il avait un risque monétaire) Convergence pour l intégration dans la zone euro Période de stabilisation de l euro
20 Le maintien des spreads souligne le nonrèglement de la crise L Europe n est pas une zone monétaire optimale du fait de la non mobilité de sa population, l absence de fonds d ajustements et la faiblesse des politiques communes 20 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
21 Deux mondes s installent La croissance des années 2000 s est nourrie de la désindustrialisation et d une réduction des coûts par l importation 21 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
22 Croissance chinoise Chine, la Nouvelle Amérique ou le Nouveau Japon? La Chine est devenue la première puissance industrielle et possède plus de 3000 milliards de réserves de change en dollar La Chine est confrontée au vieillissement de sa population et doit faire face à une augmentation des coûts. L objectif est de maintenir la croissance autour de 10 % 22 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011 Un ralentissement est constaté depuis le 2 nd semestre 2011
23 Un autre monde? La Chine n a pas encore prouvé sa capacité à autoalimenter sa croissance. Elle dispose d un appareil productif très axé sur l exportation La Chine produit mais ne consomme pas 23 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
24 Les Etats-Unis n arrivent pas à réémerger Navigation à vue Perte du triple A : peu de conséquences pour les Etats-Unis mais un symbole est tombé Absence de gains de productivité -> faible croissance-> pas de baisse du chômage Face au maintien du taux de chômage au-dessus de 9 %, le Président Barack Obama a décidé un plan de 447 milliards de dollars (3 % du PIB) Demande de la Chambre des Représentants de réduire les dépenses 24 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
25 Les Etats-Unis incontournables Le dollar est la monnaie mondiale : Monnaie de référence : une cinquantaine de monnaies est liée au dollar Monnaie du commerce mondial Monnaie de réserve L euro est devenue une monnaie importante mais ce n est qu une monnaie de diversification L euro n est pas associé à un marché financier unique. L euro, c est 17 marchés qui se disjoignent Nul n a intérêt à la chute du dollar et les Chinois en premier Les périodes de multipolarité sont des périodes marquées par les crises (or/argent, livre sterling/or/franc, dollar/or ) 25 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
26 Baisse de régime pour les Etats-Unis La crise de 2008/2009 est une crise américaine qui traduit un essoufflement du modèle économique. La fin de la bulle technologique n a pas été relayée par d autres moteurs de croissance 26 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
27 Navigation à vue pour les Etats-Unis Les Etats-Unis n ont pas réglé la crise immobilière Le taux d investissement reste très faible L économie ne fonctionne que par injection de liquidités, quantitative easing, taux d intérêt réduit jusqu en 2012 annonce faite par la FED 27 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
28 La panne du crédit aux Etats-Unis et la FED impuissante L injection de liquidités par la banque centrale ne se traduit pas au niveau économique du fait de non transmission par le crédit. L endettement des acteurs et leur perplexité conduisent à un attentisme généralisé
29 Quand les Etats-Unis ressemblent à l Europe 29 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
30 Les sombres prévisions pour les Etats- Unis L activité économique des États-Unis s est essoufflée en La croissance a alenti, passant d un taux annuel de 2¾ % au deuxième semestre de 2010 à 1 % au premier semestre de 2011 La décélération de l activité a été plus marquée que prévu Dans l intervalle, la confiance des ménages et des chefs d entreprise s est fortement détériorée et les marchés sont devenus beaucoup plus volatils en raison des inquiétudes à propos de la timidité de la reprise, de la récente rétrogradation de la dette souveraine des États-Unis et des tensions accrues venant d Europe Il semble que l inflation ait atteint son plafond avec le recul récent du cours des produits de base Une faible croissance de l emploi et une lourdeur persistante de la conjoncture freinent la progression des salaires La croissance économique devrait se situer en moyenne entre 1½ et 1¾ % en I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
31 Croissance américaine La croissance est en panne avec en prime un partage de la VA défavorable aux salariés - > cqs sur la demande
32 Le nouveau monde en marche 32 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
33 Les facteurs de risques Les matières premières La dette publique Les politiques d assainissement
34 Pétrole et croissance? Le prix du baril d équilibre tourne autour de 100 dollars le baril Les besoins des pays émergents pèsent sur les cours Lien fort entre évolution du prix du pétrole et récession même si au cours de la période l efficience énergétique a été améliorée. Graphique : cours du pétrole-inflation aux Etats-Unis 34 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
35 Les matières premières, la Chine et le prix La Chine consomme près de 40 % des principales matières premières La Chine est le premier producteur de terres rares La Chine est décideur pour le prix des matières premières 35 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
36 La dette publique et la croissance La crise de 2008/2009 s est traduite par un transfert de dettes privées vers les dettes publiques Les Etats ont accumulé depuis les années 70 avec une accélération dans les années 90 et 2000 d importants déficits publics La double peine de la dette publique Mise en doute de la capacité des Etats à rembourser -> spreads Mise en doute de la solidité des banques exposées à la dette publique 3ème peine : la récession par la réduction des déficits Selon le FMI, l ajustement budgétaire représentera 4,6 % du PIB aux Etats-Unis 4 % du PIB dans la zone euro 2,6 % du PIB en Allemagne (pour le FMI, l Allemagne du fait de ses caractéristiques fait l objet d un traitement statistique séparé Pour le FMI, la réduction du déficit d un point de PIB joue négativement sur la croissance 36 I Titre de la présentation à hauteur I 10 octobre 2011 de 0,6 point sur deux ans
37 Le club des triple A Seuls 15 souverains ont pu jusqu ici préserver un rating AAA Seuls quinze pays sont désormais AAA chez S&P s Singapour (ratio dette publique sur PIB à 112% en 2010) le Canada (84%) l Allemagne (83%) la France (82%) le Royaume Uni (80%) l Autriche (72%) les Pays-Bas (63%) la Finlande (48% la Norvège (45%), le Danemark (44%), la Suisse (40%), la Suède (40%), la Nouvelle Zélande (39%), le Luxembourg (18%) et enfin l Australie (14%) Il est difficile de retrouver un rating AAA certains pays ont mis 10 ans
38 Dette publique Au-dessus de 90 % du PIB, la dette devient un poids économique entravant les capacités de rebond économique L inquiétant modèle japonais. Depuis 1990, fort déficit, fort endettement, dépréciation des actifs et faible croissance 38 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
39 Nous ne sommes pas tous égaux devant la dette publique La sensibilité des Etats à la dette publique dépend De l importance de leur épargne De la part des non-résidents dans la détention de la dette publique De la solidité de leur système financier et de son exposition à la dette De la duration des titres publiques et du montant des taux auxquels ils ont été souscrits De la faculté à lever les impôts, de leur niveau De la capacité de dégager de la croissance 39 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
40 L exposition à la dette La fragilité supposée du système bancaire français provient de son exposition à la dette publique des pays du Sud 40 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
41 Les plans européens 2 mai 2010 : accord de l UE et du FMI portant sur 110 milliards d euros de titres grecs 10 mai 2010 : accord européen pour le lancement de l European Financial Stability Facility doté de 440 milliards d euros (engagement pour porter l enveloppe à 750 milliards d euros) 8 octobre 2010 : sommet de Deauville pour la mise en place de mécanismes de soutien permanent 28 novembre 2010 : plan de 85 milliards d euros pour l Irlande 11 mars 2011 : enveloppe de 500 milliards d euros pour l European Stability Mecanism qui remplacera en 2013le EFSF 3 mai 2011 : plan de 78 milliards d euros pour le Portugal 10 juin 2011 : l UE admet la nécessité d un second plan pour la Grèce ; l Allemagne demande une participation du secteur financier 21 juillet : augmentation des capacités d intervention de l EFSF avec possibilité d achat de titres sur le marché primaire ; deuxième plan de 109 milliards d euros pour la Grèce 8 août 2011 : la BCE intervient en achetant des bons italiens et espagnols La Banque centrale refinance le système bancaire en 2009 et depuis l été I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
42 La BCE de plus en plus active Rachats d obligations par la BCE Malgré l opposition allemande, la BCE a multiplié ses achats
43 Quel avenir pour l euro? La zone euro existe-t-elle encore? divergence de compétitivité et absence de dispositifs de compensation L Allemagne : les pays du Sud doivent s aider avant de bénéficier de l appui de l Europe du Nord L Europe du Sud : les Allemands ont besoin des pays consommateurs pour exporter Les Allemands exportent de plus en plus en direction des pays émergents et considèrent être moins dépendants de l Europe Création des eurobonds : solution ou illusion Création d une germano-zone ou d une Europe fédérale ou d une zone à plusieurs monnaies Quelles conséquences pour une sortie de l euro? 43 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
44 Les Américains et la dette Les Etats-Unis ont été peu impactés par la perte du tripel A Les titres publics servent de référence à l échelle mondiale Le dollar reste la monnaie de réserve et d échange international Les Etats-Unis possèdent des marges de manœuvre en termes de croissance et de levée d impôts 44 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
45 La France peut-elle perdre son triple A La France possède le 3 ème déficit le plus important au sein de la zone euro après l Irlande et la Grèce à égalité avec le Portugal (4,5 %) Le plan de résorption prévoit de passer en-dessous de 3 % en 2013 et à 2 % en 2014 La dette française est inférieure à la moyenne de la zone euro : 88 contre 85 % La dette espagnole est de 68 % du PIB L endettement des ménages français est plutôt faible. Le taux d épargne des ménages est de 17 % du revenu disponible brut 45 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
46 La question bancaire Les banques de la zone euro et les banques françaises peuvent elles face à une crise de dettes souveraines Exigences accrues vis-à-vis des banques avec l application de Bâle III Les banques françaises ont pratiquement respecté leurs programmes d augmentation des fonds propres L exposition des banques françaises le retour en récession et un haircut de 50% sur la Grèce coûterait 10% des fonds propres des banques de la zone euro, 5% des fonds propres des banques françaises ; si on ajoute un haircut de 30% sur l Espagne, l Italie, Portugal, on arrive à 33% des fonds propres des banques de la zone euro et 15% des fonds propres des banques françaises Les banques françaises sont notées AA2 (BNPParibas et Crédit Agricole) et AA3 pour la Société Générale comme la Deutsche Bank ou la Barckays. RBS (RU), la Commerzbank (All), Dexia (Belgique) sont moins bien notés BNPParibas a prévu de céder pour 70 milliards d euros d actifs 46 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
47 Politique budgétaire française Objectifs du Gouvernement 47 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
48 Prévisions économiques 48 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
49 Allemagne, raisons d une exception
50 Comment l Allemagne résiste? L Allemagne a réussi à développer ses exportations à destination des pays émergents grâce à un effort en termes de coûts et par le maintien d un niveau élevé de qualité 50 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
51 Maîtrise des coûts en Allemagne Après la difficile intégration des Länder de l ex Allemagne de l Est, l Allemagne fédérale a entrepris une politique de maîtrise des coûts avec une faible augmentation des salaires, un transfert d une partie des cotisations sociales vers les impôts indirects et un réel assainissement des comptes publics 51 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
52 Moins de coûts, plus d exports 52 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
53 Maitrise des charges en Allemagne 53 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
54 Résistance des exportations allemandes et de l emploi manufacturier 54 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
55 Répartition de l Emploi 55 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
56 Plus de profits en Allemagne 56 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
57 Dégradation de la balance commerciale et partage de la VA 57 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
58 Balance commerciale France/Allemagne La politique économique allemande vise à garantir un solde commercial positif quel que soit le niveau de la monnaie 58 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
59 Déclin de la R&D en Europe 59 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
60 Balance commerciale en biens technologiques 60 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
61 Ouverture économique extérieure Importations + exportation/pib en % 61 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
62 Dépenses militaires en % du PIB 62 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
63 R&D en Europe en % du PIB 63 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
64 Crédit-France 64 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
65 Capitalisation boursière mondiale 65 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
66 Taux de change euro-dollar 66 I Titre de la présentation I 10 octobre 2011
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