Bulletin trimestriel de conjoncture n 49

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1 Bulletin trimestriel de conjoncture n 49 Mars ème trimestre 2010 Pour le deuxième trimestre consécutif, stabilisation du chiffre d affaires en entretien-rénovation de logements Au 4 ème trimestre 2010, le chiffre d affaires des entreprises est équivalent à celui du 4 ème trimestre En volume de travaux, la tendance baissière reste d ampleur équivalente à celle observée au 3ème trimestre avec un repli de -1% par rapport aux mêmes trimestres de Des opinions mitigées sur les prises d ordres Le solde d opinions des entreprises sur les prises d ordre en entretienamélioration de logements (opinions par rapport à l activité du trimestre antérieur), après avoir été légèrement positif au 3 ème trimestre, est à nouveau légèrement négatif en fin d année (-2%). Il convient de relativiser ce résultat, comptetenu de la saisonnalité traditionnellement basse que constitue le 1 er trimestre. A retenir ce trimestre Les taux des prêts immobiliers ont continué à baisser au 4 ème trimestre, mais de façon nettement moins sensible qu auparavant. Au niveau des tendances régionales, l activité récente semble avoir particulièrement souffert en région Centre et, dans une moindre mesure dans le Nord et en Ile-de-France. Concernant les commandes, les entreprises affichent un certain optimisme dans le Sud-Ouest et en Rhône-Alpes. La hausse des Prix des travaux d Entretien-Amélioration de logements (IPEA) a été légèrement plus soutenue au 3ème trimestre qu auparavant. L évolution des prix reste toutefois à un niveau bas en glissement annuel. SOMMAIRE p. 2 Environnement et déterminants du marché P. 3 p. 5 L activité des entreprises au travers du baromètre de l entretien-rénovation du bâtiment L activité des artisans du bâtiment 1 p. 7 p. 8 p. 9 L activité des entreprises suivant leur taille et par segment de marché L évolution des prix des travaux Actualités

2 ENVIRONNEMENT ET DETERMINANTS DU MARCHE Ralentissement de la baisse des taux d intérêt des prêts immobiliers Les taux des prêts personnels de plus de 1524 continuent quant à eux à baisser très sensiblement. Source : Banque de France Au 4 ème trimestre 2010, légère dégradation du moral des ménages Le nouvel indicateur synthétique de confiance des ménages a légèrement diminué entre octobre et janvier. Les opinions des français sur leur situation financière passée ne sont pas améliorées pendant la période, elles se sont même sensiblement dégradées en ce qui concerne les perspectives d évolution. Opinion des ménages (soldes d opinions) Oct. Nov. Déc. Janv. Indicateur synthétique (modifié en janvier 2011) Moyenne pondérée (technique de l analyse factorielle) des soldes d opinions suivants : situation financière personnelle (évolution passée et perspective d évolution), niveau de vie en France (évolution passée et perspective d évolution), perspectives de chômage, opportunité de faire des achats importants, capacité à épargner actuelle et dans les mois à venir Situation financière personnelle : - Evolution passée - Perspective d évolution Source : INSEE 2

3 FFFFFF L ACTIVITE DES ENTREPRISES AU TRAVERS DU BAROMETRE DE L ENTRETIEN-RENOVATION DU BATIMENT Stabilisation du chiffre d affaires au 4 ème trimestre 2010, pour le deuxième trimestre consécutif Stabilisation de la baisse du volume de travaux Remarque : dans les précédents Bulletins de conjoncture, l évolution en volume était fondée sur l évolution en valeur issue du Barométre, déflatée par une estimation de l IPEA. Comme le Baromètre comprend depuis le 1 er trimestre 2010 des résultats sur l évolution du volume de travaux, ce sont ces données qui sont présentées ici. Légère dégradation des anticipations des chefs d entreprises sur les prises d ordres Le Baromètre de l entretien-rénovation du bâtiment, réalisé pour le compte de la DAEI, de l Anah et du Club de l Amélioration de l Habitat est une enquête téléphonique réalisée auprès d un panel de entreprises du bâtiment. 3

4 Selon les chefs d entreprises, la dégradation de l activité récente a été particulièrement prononcée dans le Centre, et dans une bien moindre mesure dans le Nord et en Ile-de-France. Soldes d opinions sur l évolution régionale de l activité (T / T-1) -12% France entière -9% -12% -3% -4% -21% -5% -8% -8% Source : Baromètre de l entretien rénovation du bâtiment D après les chefs d entreprises, les prises d ordres sont en progression dans le Sudouest, en Rhône-Alpes et de façon moins marquée dans l Est. Soldes d opinions sur les carnets de commandes (T / T-1) -2% -5% -5% +2% France entière -2% -8% +6% +5% -6% Source : Baromètre de l entretien rénovation du bâtiment 4

5 L ACTIVITE DES «ARTISANS DU BATIMENT» AU TRAVERS DE L ENQUETE DE LA F.F.B. / RESULTATS DU 3 EME TRIMESTRE 2010 Diminution toujours très nette du volume d activité des entreprises artisanales en entretien rénovation au 3 ème trimestre 2010 Rappelons que le champ de ce résultat est celui de l ensemble de l entretien-amélioration c est-à-dire résidentiel (individuel et collectif) et non résidentiel. Résultats provisoires pour le 3 ème trimestre 2010 Données du 4 ème trimestre 2010 non disponibles à la date de réalisation du bulletin Dégradation au 3 ème trimestre des opinions des chefs d entreprises artisanales sur les perspectives d activité en entretien-rénovation de maisons individuelles Le solde d opinions des entrepreneurs artisanaux sur les commandes des autres marchés publics et privés s est lui aussi nettement détérioré sur la période estivale. Résultats provisoires pour le 3 ème trimestre 2010 Données du 4 ème trimestre 2010 non disponibles à la date de réalisation du bulletin L enquête «Artisans du bâtiment» est réalisée par la FFB auprès d un échantillon de entreprises artisanales (moins de 10 salariés) adhérentes à la Fédération. Les données présentées concernent l entretien-rénovation (logements et non résidentiels). Le volume d activité est calculé sur le montant de travaux facturés déflaté par le BT01 5

6 L ACTIVITE PAR CORPS DE METIERS DES ARTISANS DU BATIMENT FFFFFF ENQUETE CAPEB AU 4 EME TRIMESTRE 2010 A l exception de l aménagement-décoration, l ensemble des métiers du second œuvre a renoué au 4 ème trimestre avec une augmentation de l activité. Le repli reste en revanche sensible en maçonnerie. Des opinions sur les commandes toujours très contrastées selon les corps de métiers Comme pour l évolution récente de l activité, la maçonnerie et l aménagement-décoration se distinguent par des opinions négatives sur les commandes. L optimisme des artisans en couverture-plomberie chauffage est particulièrement marqué. La CAPEB publie tous les trimestres dans «L artisanat du bâtiment» les résultats d une enquête régulière réalisée auprès d un échantillon représentatif des professions par corps de métiers et régions, comprenant une base de entreprises artisanales (moins de 20 salariés). Les données présentées concernent l ensemble de l activité (construction neuve et entretien pour les logements et les bâtiments non résidentiels). 6

7 L ACTIVITE DES ENTREPRISES SUIVANT LEUR TAILLE ET ZZZZZZZZPAR SEGMENTS DE MARCHE Source : INSEE ENTREPRISES DE MOINS DE 10 SALARIES 4 ème trimestre 2010 D après les opinions des artisans sur l activité récente, les travaux en neuf ont été moins affectés par la crise que l entretien. Solde d opinions en % Des anticipations très négatives pour les travaux d entretien. En neuf, le solde d opinions est proche de l équilibre, laissant entrevoir un maintien de l activité. Solde d opinions en % ENTREPRISES DE PLUS DE 10 SALARIES Février 2011 Selon les chefs d entreprises, l activité récente continue à être affectée sur tous les segments de marché, mais dans des proportions nettement moindre qu en 2010 où des soldes de l ordre de -20% n étaient pas rares. Solde d opinions en % D après les chefs d entreprises, seules les commandes en bâtiment neuf hors logement seraient en repli. Solde d opinions en % 7

8 BULLETIN TRIMESTRIEL DE CONJONCTURE N 49 QUATRIEME TRIMESTRE 2010 L EVOLUTION DES PRIX DES TRAVAUX Nouvelle légère décélération de la hausse des prix de revient des travaux dans le bâtiment (BT01) au 3 ème trimestre 2010 Source : MEEDDM Données du 4 ème trimestre 2010 non disponibles à la date de publication du bulletin Hausse de l Indice des Prix des travaux d Entretien-Amélioration de logements (IPEA) au 3 ème trimestre légèrement plus soutenue qu au trimestre précédent L évolution des prix reste toutefois à un niveau bas en glissement annuel Source : MEEDDM IPEA Données du 4 ème trimestre 2010 non disponibles à la date de publication du bulletin Des contrastes importants dans l évolution des prix selon les types de travaux, les travaux de plâtrerie restant les seuls à voir leur prix diminuer ce trimestre. La plupart des autres types de travaux ont connu au 3 ème trimestre une évolution limitée de leur prix, comprise entre 0% et 0,5%. Plomberie sanitaire et électricité se distinguent avec des hausses plus soutenues. En glissement annuel, les contrastes restent importants : les prix de trois types de travaux (plâtrerie / peinture, revêtements muraux et de sol souple) ont diminué sur un an alors que ceux de génie climatique, de plomberie sanitaire et d électricité ont augmenté de près de 2,5%. Variations au 3 ème trimestre 2010 Variation trimestrielle CVS Glissement annuel brut Maçonnerie, béton armé, carrelage 0,1% -0,2% Peinture, revêtements muraux et de sol souple 0,0% -0,8% Menuiserie bois et PVC 0,5% 1,7% Couverture zinguerie 0,4% 1,4% Génie climatique 0,4% 2,4% Plomberie sanitaire 0,8% 2,4% Electricité 0,7% 2,5% Menuiserie métallique, serrurerie 0,3% 1,7% Plâtrerie -0,5% -1,0% Source : MEEDDM IPEA Données du 4 ème trimestre 2010 non disponibles à la date de publication du bulletin 8

9 Actualités La loi de finances 2011 réduit effectivement, comme cela avait été annoncé à l automne, les taux du crédit d impôt développement durable de 10%. Les pompes à chaleur géothermiques et chauffeeau thermo-dynamiques voient par exemple leur taux de crédit d impôt passer de 40% à 36%, les travaux d isolation de 25% à 22%, les matériaux d isolation pour paroi vitrée de 25% à 22%... Cette baisse du taux s accompagne d un renforcement des exigences pour l éligibilité des pompes à chaleur. Enfin, pour les travaux d isolation thermique des parois opaques, un plafond de dépense est introduit : 150 TTC/m² pour l isolation extérieure et 100 TTC / m² pour l isolation par l intérieur. Sur ce type de travaux, le crédit d impôt concerne toujours à la fois le prix des matériaux et le coût de la main d œuvre. La deuxième période du dispositif des certificats d énergie, après 10 mois de concertation, s est ouverte officiellement le 1 er janvier 2011 et durera jusqu au 31 décembre Une grande partie des décrets d application de la loi Grenelle 2 sur ce thème a été publiée le 30 décembre 2010 au Journal Officiel. L objectif est désormais de 345 TWh cumac en 3 ans, soit une multiplication par plus de 6 par rapport à la première période (objectif de 54 TWh cumac). Plusieurs nouveautés marquent cette deuxième période : - l élargissement du dispositif aux ventes de carburants automobiles (avec une obligation de 90 TWh cumac) - le renforcement des actions de lutte contre la précarité énergétique, les fournisseurs devant réaliser une part de leurs obligations en faveur des ménages les plus défavorisés, - l Anah figure désormais sur la liste des «éligibles», ce qui lui permet de collecter des certificats en contrepartie des subventions qu elle distribue et qui permettent la réalisation d économies d énergie - Enfin le seuil pour le dépôt d une demande de CEE a été porté de 1 GWh à 20 Gwh, ce qui devrait inciter le développement de structure collective pour le dépôt des demandes. Par ailleurs, Qualit ENR a annoncé que l appellation «QualiPAC» sera désormais un critère obligatoire pour l obtention de CEE sur l installation de pompes à chaleur. Les objectifs quantitatifs pour la distribution d éco-ptz n ont pas été atteints en 2010 : alors que le Ministère de l Ecologie visait la distribution de prêts, seuls éco-ptz auront été consentis par les banques. Nathalie Kosciusko-Morizet et Benoist Apparu ont placé la relance de ce produit dans les priorités de leur feuille de route pour l action gouvernementale sur le logement pour En cause du ralentissement de la distribution de ce produit : la complexité du dispositif qui occasionne pour les banques une réelle lourdeur de gestion et une prise de risque. Deux nouveautés sur le marché de l énergie en La Loi pour une Nouvelle organisation du marché de l énergie (loi NOME) votée en décembre prévoit une réversibilité totale entre les tarifs réglementés, proposés par EDF et GDF Suez, et les tarifs libres des nouveaux fournisseurs. Après avoir recouru à un fournisseur alternatif, un particulier pourra désormais revenir au tarif réglementé, ce qui devrait le rassurer et donc relancer la concurrence entre fournisseurs. Le Ministre de l Industrie Eric Besson a par ailleurs annoncé une baisse des tarifs de l électricité pour les personnes à faible revenus, avec un rabais qui passerait de 30 à 50% à 40 à 60%. Ce tarif social de l électricité concernait en fin d année personnes. Selon la Fnaim, après deux années de baisse des prix, les logements anciens ont à nouveau vu leur prix augmenter avec une moyenne de 1,5% sur la France et cette tendance devrait se poursuivre en Si l objectif de distribution de PTZ+ est atteint, la fédération espère que le marché retrouvera en 2011 son niveau de 2007 avec opérations. Contact : Eric Lagandré - Anah Conception et réalisation : Bérénice Le Fur - Batitrend 8, Av. de l Opéra, Paris 18 ter, rue de Verdun, Le Vésinet Tél. : Tél. :

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