I La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points)
|
|
- Danielle Bernier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 E : «Théories de la finance d entreprise» Master M1 Université Paris-Dauphine Thierry Granger Année Universitaire 2013/2014 Session 1 Aucun document, calculette autorisée Durée 1h30 Respecter la numérotation des questions. Lire toutes les questions avant de commencer. Écrire lisiblement. La notation porte, pour au moins la moitié, sur la qualité des explications, donc : «faire des phrases...». Bon courage! La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points) Soit K et D 0 respectivement la valeur du capital et de la dette d une entreprise en date 0 (il n y a pas d autre source de financement). p est la probabilité de faillite, i > 0 est le degré d intangibilité du capital, τ est le taux d imposition qui s applique au résultat de l entreprise (après remboursement de la dette : intérêt + principal). Soit F (D 0, i, p) = 1 2 pi(d 0) 2 le coût de la faillite. 1. (1 point) Etablir la formule de la valeur, V (D 0 ), de cette entreprise en t = 0 en expliquant bien votre démarche. V (D 0 ) = K(1 τ) + D p i (D 0) 2 = (K + D 0 )(1 τ) + τ D p i (D 0) 2 Seul le capital, par le biais de l imposition des bénéfices, est taxé, donc sa valeur est diminué de τ K. Dans la formule précédente, le terme τ D 0 fait apparaître que la valeur de l entreprise croît directement en fonction de la taille de la dette D (1 point) nterpréter la formule de la valeur de cette entreprise. Quel est l impact d une hausse de D 0 sur l économie fiscale. Comment faudrait-il taxer une entreprise pour éviter cet impact? D après le théorème de Modigliani et Miller, la valeur de K + D 0 est constante, quelle que soit D 0. Cependant, la taxe sur les bénéfices de l entreprise avantage l emploi de la dette dans le financement de l entreprise. Par contre, l augmentation de la dette accroît la probabilité de faillite (p) et le coût de la faillite augmente avec l augmentation de la dette. De plus, ce coût sera d autant plus élevé que le capital sera plus «intangible». Un capital intangible est fait de réputation, goodwill, capital incorporel comme les brevets et la clientèle. Au moment d une faillite, ce type de capital est plus difficile à évaluer et à répartir entre les parties prenantes. Pour éviter cette distorsion fiscale en faveur de la dette, plusieurs pays, depuis quelques années, ont adopté des dispositifs qui neutralisent l impact de la fiscalité sur la structure financière. Taxer l EBE, plutôt que le résultat avant impôt, est un moyen d y parvenir, mais il faut également repenser la fiscalité des revenus des particuliers sur les intérêts, sur les dividendes et sur les plus-values. 3. (2 points) Calculer la valeur optimale de D 0 (sous forme littérale). En utilisant votre résultat, énoncer la «théorie de l arbitrage fiscal de la dette». L existence d une taxe et d un coût de faillite implique que le raisonnement doit se faire en dehors du cadre du théorème de M&M. La valeur de l entreprise dépend de sa structure financière. On suppose que les actionnaires maximisent la valeur de l entreprise par rapport à D 0. La condition de premier ordre de cette maximisation est la suivante (K + D 0 étant constant lorsque D 0 varie) max V (D 0 ) = τ = p i D 0 = D 0 = τ p i Enoncé de la théorie de l arbitrage fiscal : la dette optimale varie en fonction de τ, i, p, (...)
2 4. (1 point) Donner 2 exemples d entreprises concrètes : l une avec une dette optimale élevée, l autre avec une dette optimale faible. Une compagnie aérienne low cost dont le capital est principalement physique et constitué d avions dont la valeur de revente est très bien connue peut être très endettée si la probabilité de faillite est faible, parce que le coût d une faillite survenue ((1/2)i D 0 ) est relativement faible (i est petit). Par contre une société de conseil dont le capital est principalement incorporel sera probablement peu endettée et dans certains cas son financement sera même assuré essentiellement par les «partenaires» de la société (actions). 5. (1 point) Application numérique : calcul de l endettement optimal, D0 et de V (D 0 ). Avec K = 30, τ = 0, 35, i = 0, 05, p = 0, 10. Graphique des résultats dans le plan (D 0, V (D 0 )) avec au moins 3 points D 0 = 0, D0, et D 0 maximum. [NB : vous raisonnerez naturellement à ACTF constant]. Valeur optimale de la dette : Graphique : D 0 = τ p i = 0, 35 0, 10 0, 05 = V 77, D 0 Lorsque la dette est nulle, la valeur de l entreprise est égale à la valeur du capital, nette de l impôt prélevé, soit 100(1 0, 35) = 65. Lorsqu au contraire la dette est maximale, la valeur de l entreprise est τ D p i (D 0) 2 = 0, , 05 0, = 75. Lorsque la structure financière est optimale (D0 = 70), la valeur de l entreprise est égale à τ D p i (D 0) 2 = 0, , 05 0, = 77, (2 points) Définir le levier et l effet de levier. Ecrire la formule du rendement des fonds propres en fonction du levier. Quelle est la valeur optimale du levier? Tout investissement financé à crédit, sur la base d un emprunt, est financé avec «levier». Une mesure habituelle du levier financier est le ratio Dette/Capital. L «effet de levier»
3 est égal à l augmentation du rendement du capital, au dessus du rendement économique, engendrée par le levier : c est (D 0 /K)(R e R D ), ce qui implique un rendement du capital R K = R e + D 0 K (R e R D ). Dans l exercice, le niveau optimal du levier est égal à (D0 /K) = 7/3. Dilution et coût du capital (12 points) Dans un cadre temporel [0, 1], il existe 2 types d entreprises («p» et «q») dans l économie, dont les revenus (EBE) sont aléatoires (2 états de la nature possible) et égaux à : ( ) Y y = 0 On supposera que la probabilité de Y est égale à p pour l entreprise «p» et à q pour l entreprise «q», avec p > q. Le taux d actualisation (net) est r e = 0. Chaque entreprise peut réaliser un nouvel investissement,, dont le revenu en t = 1 est Y avec une probabilité µ. (On peut interpréter cet investissement en disant qu il augmente la probabilité de succès Y de µ). 7. (1 point) Quels sont les prix, avant investissement, respectivement, d une entreprise «p» et d une entreprise «q». On notera Vp et Vq ces deux prix. Application numérique avec Y = 120, p = 5/6, q = 3/6. Le prix d une entreprise est égal à la valeur actuelle (en espérance) des revenus que l on peut obtenir de l entreprise. Le taux d actualisation étant nul, V p = p Y = 100, V q = q Y = (1 point) Quelle est la valeur actuelle nette (v) de l investissement? Expression littérale et valeur numérique avec = 20, µ = 5/24. Cet investissement «doit-il» être entrepris? La VAN de l investissement est égale à l espérance des revenus, actualisée, de cet investissement, moins la valeur de l investissement, v = µ Y = 5 9. (1 point) Qu appelle-t-on «dilution», «dilution normale» et «dilution excessive»? On parle de dilution des «anciens» actionnaires, lorsque l entreprise procède à une émission de nouvelles actions pour de «nouveaux» actionnaires. La part des anciens actionnaires, alors, diminue : c est la dilution. La dilution est normale lorsque les actions émises le sont à la valeur fondamentale de l entreprise. C est le cas lorsqu il n y a pas d asymétrie d information entre insiders les anciens actionnaires et outsiders les nouveaux. La dilution est excessive lorsque les actions sont émises à une valeur inférieure à la valeur fondamentale, à tel point que la valeur totale des actions des anciens actionnaires diminue en valeur absolue, au lieu d augmenter avec la VAN du nouvel investissement.
4 10. (1 point) (nformation parfaite). Les deux entreprises financent chacune leur investissement en émettant de nouvelles actions, pour de nouveaux actionnaires. En supposant que les entreprises ne sont pas endettées, quelles sont les dilutions normales (θ p et θ q ) exigées par ce financement pour chaque entreprise? [On arrondira les résultats à 2 décimales] θ p = V p + + v = 0, 16, θ q = V q + + v = 0, (1 point) Quel est le seuil de dilution excessive (θ p ) pour l entreprise «p»? Expliquer soigneusement ce seuil, d abord sous forme littérale, puis calculer sa valeur numérique. Estil utile de calculer ce seuil pour l entreprise «q»? θ p = + v V p + + v = 0, 20, θ q = + v V q + + v = 0, (2 points) (nformation imparfaite jusqu à la fin de l exercice). Les investisseurs ne distinguent pas les entreprises de type «p» et les entreprises de type «q», mais tous les paramètres du problème sont une connaissance commune. l existe une proportion α d entreprises «p» et 1 α d entreprises q. Expliquer quel genre d équilibre de financement du nouvel investissement se réalisera selon la valeur de α? (On supposera qu aucune entreprise ne dispose de fonds propres.)? Avec asymétrie d information, la dilution engendrée par un équilibre mélangeant est égale à la dilution «moyenne» suivante, θ m (α) = α V p + (1 α) V q + + v. Cette dilution dépend de la valeur de α. Soit la valeur de α, α, tel que θ m = θ p. Si α > α il existe suffisamment d entreprises p pour que l «anti-sélection» ne soit pas trop forte : il existe alors un équilibre mélangeant. Sinon l équilibre est séparant. Calcul de la valeur de α, en résolvant, 20 α (1 α) = 0, 20 = α = 3 = 0, (2 points) On suppose que α = 1/6. Quelle est la valeur des entreprises q : α = 1/6 0, 17 < α, par conséquent l équilibre est séparant. 1. en t = 0, avant de connaître la possibilité du nouvel investissement? V m = α V p + (1 α) V q = (1/6)100 + (5/6)60 = 66, en t = 0, après avoir pris connaissance du nouvel investissement? Sachant que l équilibre est séparant, seule les entreprises q cherchent un financement sur le marché, la valeur moyenne des entreprises est V 0 = α V p + (1 α) (V q + + v) = 87, 50
5 3. en t = 0, après avoir financé le nouvel investissement? V 0 = V q + + v = 85. On observe la baisse du prix de l entreprise, de 3 % environ, lorsque l entreprise q émet des actions pour financer son nouvel investissement. 4. en t = 1? Y en cas de succès, 0 en cas d échec du projet. 14. (1 point) Définir le coût du capital. Quel est le coût du capital pour une entreprise «q»? Le coût du capital, par définition, est égal au taux de rendement sur les actions émises pour financer le nouvel investissement. Comme, il n y a pas d autre source de financement que les actions, pour l entreprise q, le rendement du capital est aussi égal au rendement économique de l entreprise, c est-à-dire le rapport de l espérance du revenu sur le prix de l entreprise (voir définition de θ q, ci-dessus), 1 + r k = θ q(v q + + v) = (1 point) Si toutes entreprises décidaient de financer le nouvel investissement, quel serait le coût du capital? Si toutes les entreprises décidaient d émettre des actions, le coût du financement serait différent pour les actionnaires (anciens) de l entreprise p ou de l entreprise q. Pour les actionnaires de p, le coût du financement serait (voir définition de θ m, ci-dessus), 1 + r kp = θ m(1/6)(v p + + v) tandis que pour les actionnaires de l entreprise q, il serait 1, 36, 1 + r kq = θ m(1/6)(v q + + v) 0, (2 points) Quelle est la décision de financement d une entreprise «p» en fonction du coût du capital? Le coût du capital ne peut excéder le rendement du nouvel investissement, qui est égal à µ Y = 1, 25. l correspond au coût du capital au seuil de dilution excessive, θ p (V p + + v) = 1, 25. Université Paris-Dauphine
Principes de Finance
Principes de Finance 9 et 10. Politique de financement Daniel Andrei Semestre de printemps 2011 Principes de Finance 9 & 10. Financement Printemps 2011 1 / 62 Plan I Introduction II La structure financière
Plus en détailLorsqu une entreprise a besoin de capitaux pour financer des projets à long terme, elle doit décider
Partie V Structure financière et valeur de l entreprise Chapitre 14 La structure financière en marchés parfaits Lorsqu une entreprise a besoin de capitaux pour financer des projets à long terme, elle doit
Plus en détailCORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts
CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.
Plus en détailThéorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises
Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Objectifs de la session 1. Introduire le «dividend discount model» (DDM) 2. Comprendre les sources de croissance du dividende 3. Analyser
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailL effet de levier de l endettement et la question de la structure optimale de financement. Pour ou contre Modigliani-Miller?
Cours de base : L effet de levier de l endettement et la question de la structure optimale de financement. Pour ou contre Modigliani-Miller? Donnons tout de go nos conclusions : il n existe pas de structure
Plus en détailChapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts
Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailDiagnostic financier - Corrigé
Diagnostic financier - Corrigé Nous effectuerons ce diagnostic financier en présentant d abord une étude de rentabilité et de profitabilité du groupe Nestor, ensuite une étude de la structure financière
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailFondements de Finance
Programme Grande Ecole Fondements de Finance Chapitre 5 : L évaluation des actions Cours proposé par Fahmi Ben Abdelkader Version étudiants Mars 2012 Valorisation des actifs financiers 1 Les taux d intérêt
Plus en détailPrincipes de Finance
Principes de Finance 11. Politique de dividende Daniel Andrei Semestre de printemps 2011 Principes de Finance 11. Dividendes Printemps 2011 1 / 39 Plan I Introduction II Les modalités de rémunération des
Plus en détailEfficience de l actif de l entreprise
Solutions d assurance-vie Efficience de l actif de l entreprise Gérer. Profiter. Préserver. Une solution intelligente pour les professionnels : l assurance-vie permanente, un actif unique pouvant offrir
Plus en détailVotre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES
Votre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES Membre inscrit I. Définitions Loi du 11 mai 2007 relative
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailCours de gestion financière (M1)
Cours de gestion financière (M1) Séances (8 9) du 14 et du 21 novembre 2014 Modigliani Miller : économie fiscale de l endettement, coût moyen pondéré du capital, approche de Miles et Ezzell, coûts directs
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailConjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale
L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte
Plus en détailFondements de Finance
Fondements de Finance Programme Grande Ecole Master In Management Chapitre 9. : Le coût du capital et la structure financière Fahmi Ben Abdelkader Version étudiants Préambule La Structure du capital =
Plus en détailThéorie Financière 2014-2015
Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français
Plus en détailtable des matières PARtie i introduction Notations courantes... XXIII Les auteurs... XXV Avant-propos... XXVII Remerciements...
table des matières Notations courantes............................................................... XXIII Les auteurs......................................................................... XXV Avant-propos.......................................................................
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailDCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier
DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif Dossier 1 - Diagnostic financier 1. Intérêt des tableaux de flux de trésorerie - Analyse de l évolution de la trésorerie Les tableaux de flux
Plus en détailPRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES
PRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES Plan Introduction Partie 1: Rappel des principales méthodes d évaluation financière Partie 2: la méthode Discounted Cash Flow Partie 3: la méthode des
Plus en détailUNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE
UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailComment sortir l actif immobilier d une société commerciale à moindre coût?
Comment sortir l actif immobilier d une société commerciale à moindre coût? Certaines sociétés commerciales soumises à l impôt sur les sociétés possèdent un actif immobilier à leur bilan. Il s agit le
Plus en détailCes annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions.
Annexes sur l économie grecque Ces annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions. 1. L endettement des ménages 2. Le poids
Plus en détailDossier 1 ETUDE DE CAS
DSCG session 2012 UE2 Finance Corrigé indicatif Dossier 1 ETUDE DE CAS 1. Evaluation de GRENELLE: 1.1. Valeur des fonds propres Vcp par la méthode des DCF Evolution du chiffre d affaires (TCAM : 6,7%)
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailFIP Avantage ISF F O N D S D I N V E S T I S S E M E N T D E P R OX I M I T E (F I P)
FIP Avantage ISF F O N D S D I N V E S T I S S E M E N T D E P R OX I M I T E (F I P) Un Placement sur 8 ans minimum, Dynamique et Diversifié La réduction d ISF dépend du quota d investissement dans les
Plus en détailAnalyse des activités de crédit de la compagnie de la Baie d'hudson. par Gino Lambert, chercheur à la Chaire
Analyse des activités de crédit de la compagnie de la Baie d'hudson par Gino Lambert, chercheur à la Chaire 1997 Table des matières Introduction Analyse des taux díintérêt sur les cartes de crédit Analyse
Plus en détailLe PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1)
Page 1 sur 5 Le PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1) Le Plan d Epargne en Actions (PEA) est une enveloppe fiscale destinée à recevoir des placements en actions européennes. Il n impose
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détailComptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA
Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le
Plus en détailAnnexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION
FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailFAQ. Foire aux questions. Inscription. Que propose Ethis Foundation à travers ses filiales?
Inscription Que propose Ethis Foundation à travers ses filiales? Ethis Foundation est une plateforme d investissement de Crowdfunding en ligne qui permet aux investisseurs particuliers d'investir au capital
Plus en détailIMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS
IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailLES MATINALES DU CRA
LES MATINALES DU CRA 11 MARS 2014 COMMENT OPTIMISER VOTRE REVENU DANS LE CADRE D UN LBO? Intervenant : Christelle POULIQUEN Avocat associé Société d avocats AFFIS 1 Rue de Villersexel 75007 PARIS Comment
Plus en détailREER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?
REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter
Plus en détailQuestions fréquentes Plan de restructuration
Questions fréquentes Plan de restructuration 1. Quel est l objectif du plan de restructuration proposé? 2. D où vient cette dette de 126 millions d euros due le 1 er janvier 2015? 3. Y avait-il d autres
Plus en détailSociété Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon
Société Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon Note d'information établie à la suite de la décision du Conseil d Administration du 8 décembre
Plus en détailOptions, Futures, Parité call put
Département de Mathématiques TD Finance / Mathématiques Financières Options, Futures, Parité call put Exercice 1 Quelle est la différence entre (a) prendre une position longue sur un forward avec un prix
Plus en détailSESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3
SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 U3 Corrigé Page 1 Sujet n 1 1. Indiquez les éléments pris en compte pour déterminer une cotisation d assurance. La prime dépend de : (3x0,5 pt = 1,5) - La fréquence
Plus en détailComptabilité Générale - Résumé blocus 08. 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats,
Comptabilité Générale - Résumé blocus 08 1. Chapitres 1,2,3 : Bilan, Compte de résultats, Fonds de tiers = Provisions + Dettes. Fonds de tiers à long terme = Provisions + Dettes à plus d un an. Capitaux
Plus en détailNote d information relative au programme de rachat d actions propres. à autoriser par l assemblée générale mixte des actionnaires.
Note d information relative au programme de rachat d actions propres à autoriser par l assemblée générale mixte des actionnaires du 4 juin 2002 En application de l article L. 621-8 du Code monétaire et
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI
Plus en détailCorrection de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine»
Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010 2011 T2) : «Augmentation de capital de Carone Lorraine» Question 1 : déterminer formellement la valeur du droit préférentiel de
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailQuelques aspects fiscaux du financement
Petit-déjeuner des PME 28 septembre 2012 Quelques aspects fiscaux du financement Vincent Thalmann Agenda Capital propre dissimulé (I à V) Structure simplifiée du bilan Exemple d endettement admis Détermination
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de 2013
COMMUNIQUÉ TROISIÈME TRIMESTRE La Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de L information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers
Plus en détailMaster Poly Trader. Manuel d utilisateur. Group IV Benoît Perroud Marius Erni Lionel Matthey David Wenger Lotfi Hussami
Master Poly Trader Manuel d utilisateur Group IV Benoît Perroud Marius Erni Lionel Matthey David Wenger Lotfi Hussami MasterPoly Trader est un logiciel réalisé dans le cadre d un projet de génie logiciel.
Plus en détailComment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises
1 Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises Sommaire Préambule Comment bien évaluer une entreprise? Le diagnostic Le business plan L approche
Plus en détailLes Guides des Avocats de France LES HOLDINGS
Les Guides des Avocats de France LES HOLDINGS La holding est un outil juridique de plus en plus utilisé par les praticiens pour répondre à des besoins très divers tendant toujours à la détention de participations
Plus en détailIntroduction FISCALITÉ
Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailBulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier
N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu
Plus en détailCHAPITRE 17. Opérations relatives aux titres. - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande.
CHAPITRE 17 Opérations relatives aux titres - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande. - Il y a par ex: o Bourses des valeurs pour le commerce des
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emétteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI INVESTIR
Plus en détailSaint Max. FCPI-FIP : Comment bénéficier de la performance et de la réduction d impôts? Lundi 15 décembre 2008-18h30
FCPI-FIP : Comment bénéficier de la performance et de la réduction d impôts? Lundi 15 décembre 2008-18h30 Saint Max Francis VENNER AVENIR CONSEIL PATRIMOINE 6 clos de la tuilerie - 54460 LIVERDUN tél :
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailL affectation du résultat
L affectation du résultat Chapitre 16 Introduction La mise en situation permet : d étudier la notion de bénéfice distribuable ; de calculer l affectation du bénéfice ; d'enregistrer la répartition du bénéfice.
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailFiscalité et émission des reçus pour fins d impôt
Fiscalité et émission des reçus pour fins d impôt AFÉSAQ Audioconférence 18 mars 2013 Mélissa Rioux Conseillère principale Service de fiscalité (514) 878-2691 poste 1839 rioux.melissa@rcgt.com Objectifs
Plus en détailAssociations : La fiscalité de leurs revenus mobiliers MAI 2015
Associations : La fiscalité de leurs revenus mobiliers MAI 2015 Associations : La fiscalité de leurs revenus mobiliers 2 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 LES PLACEMENTS NON BOURSIERS 5 LES PLACEMENTS BOURSIERS
Plus en détailTable des matières. I Politique d investissement 5. Avant-propos 3
Table des matières Avant-propos 3 I Politique d investissement 5 1 Approche classique 7 1.1 Choixd investissementencertitude... 8 1.1.1 LaméthodeFCF... 8 1.1.2 Critèresdedécision... 10 1.1.3 Questions
Plus en détailL AFFECTATION DES RESULTATS. Affecter un résultat selon la forme juridique de l'entreprise (individuelle ou société).
L AFFECTATION DES RESULTATS Objectif(s) : o Affecter un résultat selon la forme juridique de l'entreprise (individuelle ou société). Pré-requis : o Double détermination du résultat. Modalités : o o o Principes,
Plus en détailFiche info financière Assurance-vie Top Protect Best Profile 05/2018 1
Fortis AG - Vos assurances chez votre courtier Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Best Profile 05/2018 1 1 Cette fiche d information financière décrit les modalités du produit qui sont d application
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailAvis légal. I 2 FISCALLIANCE 2011 L Incorporation des Courtiers Immobiliers du Québec
Avis légal L incorporation des courtiers est un sujet très complexe, lequel ne saurait évidemment être traité en profondeur dans le présent document. Ce fascicule vise à sensibiliser les courtiers quant
Plus en détailSERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE. Guide d utilisation du calculateur des sommes récupérables
SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE Guide d utilisation du calculateur des sommes récupérables Table des matières Introduction... 3 Revenu pleinement imposable et revenu de placement
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailEn avril 2006, un citoyen produit sa déclaration de revenus 2005. En septembre de la même année, il constate une erreur dans sa déclaration initiale et produit une déclaration amendée à laquelle il joint
Plus en détailCegedim : Le retour à une croissance solide se confirme
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2014 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailFiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie
Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détail«Les certificats blancs : comment lancer le système?»
MINEFI DGEMP Bercy Paris 27 octobre 2005 «Les certificats blancs : comment lancer le système?» Discutant Jacques Percebois Professeur à l Université Montpellier I Directeur du CREDEN DISPOSITIFS EFFETS
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailÉpargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale
INTRODUCTION Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale 1 Les différents dispositifs d épargne salariale sont généralement présentés en plusieurs strates, auquel il
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailFiscalité agricole. Informations de base utiles pour les petites entreprises agricoles. Véronique Bouchard, Ferme aux petits oignons
Fiscalité agricole Informations de base utiles pour les petites entreprises agricoles Véronique Bouchard, Ferme aux petits oignons Plan de présentation Tenue de livre/comptabilité/gestion/fiscalité Formes
Plus en détailChapitre 2 : l évaluation des obligations
Chapitre 2 : l évaluation des obligations 11.10.2013 Plan du cours Flux monétaires, prix et rentabilité Bibliographie: caractéristiques générales Berk, DeMarzo: ch. 8 obligations zéro-coupon obligations
Plus en détail