Le patrimoine bâti de la commune de Saint-Amans-Soult (Tarn)

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1 Le patrimoine bâti de la commune de Saint-Amans-Soult (Tarn) La synthèse qui suit, concernant le patrimoine bâti de la commune de Saint-Amans-Soult, porte principalement sur l habitat qui constitue de manière évidente la majorité des constructions de la commune. Si la fondation du village remonte au Moyen Âge 1, l habitat n a pas révélé de construction aussi ancienne. Les maisons n offrent pas toujours un caractère unitaire que l on pourrait attribuer à une seule période de construction ; elles sont le résultat, au contraire, d évolutions successives. En revanche, dans les faubourgs, essentiellement le long de la route Nationale, les maisons sont plus souvent de construction homogène, et plus précisément de la seconde moitié du XIX e siècle ou de la première moitié du XX e siècle. Les fermes isolées, quant à elles, conservent une architecture cohérente et toujours fonctionnelle. Une première synthèse sur les matériaux et leur mise en œuvre permet de définir les caractères généraux du bâti. L établissement de typologies des maisons puis des fermes, alliées à la chronologie, permet d envisager les grandes évolutions des modes d habiter. 1 Voir le dossier portant sur la constitution du village. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 1

2 Les matériaux et la mise en œuvre Les maçonneries Les matériaux locaux de construction sont le gneiss et le micaschiste. Si dans les constructions du village les deux pierres sont employées de manière à peu près équivalente, en revanche, dans les constructions des écarts, le gneiss se retrouve en plus grande proportion, voire parfois de manière exclusive. L utilisation de galet se repère aussi fréquemment. Quelques blocs de molasse se remarquent également de manière isolée dans la construction. Fig. 1. Vue de détail des maçonneries de moellon brut. En raison de la difficulté de tailler ces roches métamorphiques, les maçonneries sont composées de moellons bruts, parfois assisés. Les chaînes d'angle utilisent des pierres ébauchées ou équarries. Les blocs de gneiss utilisés pour les chaînes d angle peuvent prendre des proportions importantes. Fig. 2. Les chaînes d angle sont faites de gros moellons simplement ébauchés. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 2

3 La présence de chaîne d angle en pierre de taille reste exceptionnelle. Elle se retrouve principalement dans des constructions de prestige : au château de Soult-Berg ou à l ancien hospice. On en retrouve aussi dans des bâtiments qui relèvent d une construction standardisée, comme la gare ferroviaire ou les maisons de garde-barrière. Seulement deux constructions en pierre de taille existent sur la commune. La plus ancienne est le clocher de l église Notre-Dame de l Assomption, qui pourrait dater de la seconde moitié du XIV e siècle. Il est construit en grès ocre jaune provenant des carrières de Navés situées au sud de Castres. Fig. 3. Le clocher de l Église Notre-Dame de l Assomption est construit en pierre de taille de moyen appareil assisé. Autre exception construite au XIX e siècle, l hôtel particulier situé au n 42 de la route Nationale, dans sa partie centrale, est lui aussi construit en pierre de taille. Fig. 4. Hôtel particulier, 42 route Nationale. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 3

4 Les murs sont généralement montés à l aide d un mortier terreux, pauvre en chaux. Les modes de construction des maçonneries n ont pas beaucoup évolué au cours du temps. Seule la composition du liant, généralement plus riche en chaux pour les époques les plus récentes, peut permettre de préciser une datation. Cependant, en présence d un mur bâti, il reste difficile de préciser sa date de construction. Fig. 5. Vue de détail d un mur monté à l aide d un mortier terreux. Les enduits de façade En raison de la médiocre qualité des matériaux locaux, les murs des maisons sont le plus souvent enduits. La meilleure preuve de cet enduit originel est le retrait prévu sur les blocs d encadrement d ouvertures au droit de la maçonnerie. Cependant, la mode de ces dernières décennies de mettre à jour les maçonneries tend à donner une idée fausse de ce qu étaient les façades, à l origine. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 4

5 Fig. 6. Les encadrements des ouvertures sont en légères saillies et l enduit est retrait (6 rue du Portail haut). Quelques enduits anciens ont pu être repérés. Cependant, ils ne semblent pas remonter au-delà de la seconde moitié du XIX e siècle. Il s agit d enduit à la chaux terminés par un badigeon ocre jaune ou blanchâtre. Un bandeau blanc de lait de chaux souligne la génoise en partie haute de la façade. Le bandeau pouvait aussi prendre une couleur ocre rouge. La génoise pouvait elle-même être peinte de la même couleur que le bandeau. Fig. 7. Bien que l enduit soit en mauvais état, on repère encore très bien le bandeau lissé sous la génoise. Cependant, beaucoup de constructions agricoles n'ont jamais reçu d enduit. Cet état de fait s'explique probablement pour des raisons d'économie. Ainsi trouve-t-on à côté d'une maison Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 5

6 dont la façade présente un enduit lissé une dépendance agricole qui n'en a pas été pourvue, établissant de fait une hiérarchie entre les deux corps de bâtiment à la fonction bien distincte. Fig. 8. Une maison du hameau des Estrabauts Bas dont l enduit de façade est recouvert d un badigeon blanchâtre et de fausses chaînes d angle. Fig. 9. À proximité de la maison, le bâtiment agricole construit en moellon n a jamais été recouvert d un enduit. Fig route Nationale, La façade à travées de la maison est recouverte d un enduit alors que les maçonneries de la remise sont laissées à pierre vue. Une série de maisons que l on peut dater du 1 er quart du XX e siècle présente des enduits de façades qui imitent la pierre de taille et les chaînes d angle. De faux joints sont dessinés dans l enduit et un badigeon blanc, parfois conservé à l'état de fragments, devait accentuer l impression d une façade en pierre de taille. Les fausses chaînes d angle adoptent souvent un relief plus marqué. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 6

7 Fig. 11. Route nationale. La construction à pan-de-bois La présence de pan-de-bois ou de vestiges attestant son existence a pu être observée de manière homogène dans le village neuf : sept des dix îlots en possèdent. Même si seulement dix édifices sont concernés, la répartition homogène permet de poser l hypothèse d une utilisation fréquente de ce matériau de construction antérieurement aux reconstructions des XIX e et XX e siècles. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 7

8 Fig. 12. Repérage des constructions à pan-de-bois ou des vestiges de pan de bois. Deux maisons conservent des élévations à pan-de-bois. La façade nord de la maison natale du maréchal Soult, s élève sur deux étages construits en pan-de-bois, sans encorbellement et avec des poteaux verticaux. Le remplissage est fait de briques disposées en épis. La médiocrité de la restauration récente des joints au ciment ne permet plus de dire si la brique était laissée apparente ou au contraire si elle était enduite. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 8

9 Fig rue du Maréchal Soult, la maison natale du maréchal. L autre maison, située au n 2 de la même rue, présente elle aussi une façade nord dont les étages sont construits en pan-de-bois. L ensemble est aujourd hui dissimulé sous un enduit mais la faible épaisseur du mur a pu être observée depuis l intérieur de la maison. Les cloisons intérieures de la maison sont aussi en pan-de-bois. Huit autres maisons repérées conservent des vestiges de structure en pan-de-bois. Il s agit majoritairement de têtes de mur maçonnées qui forment aujourd hui un «coup de sabre» dans la maçonnerie des façades. Elles présentent le plus souvent un étage construit en encorbellement. Un double encorbellement se devine encore dans la forme de la tête de mur au n 2 rue de Triby. D après ce que laissent deviner les enduits actuels, une seule maison conserve en plus de la tête de mur, une sablière basse et des abouts de solives encore en place (6 rue de l Église). Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 9

10 Fig rue de l Église. Les têtes de mur sont construites dans le même matériau que le reste des maçonneries, c'est-à-dire en moellon brut de gneiss. On note cependant la présence d au moins une tête de mur construite à l aide de blocs équarris et assisés. Fig. 15. Les anciennes têtes de mur des constructions à pan-de-bois sont encore lisibles dans les maçonneries. Celle-ci, rue de l Église, est construite principalement en moellons équarris et assisés. Les vestiges de pan-de-bois sont parfois associés à des éléments stylistiques qui font référence à des formes relativement anciennes, notamment des encadrements d ouverture à chanfrein qui peuvent être datés entre le XV e et le XVII e siècles (exemple au n 2 rue de Triby). Mais, compte tenu de l état de conservation ténu des vestiges, il est difficile de préciser d avantage la datation de ces maisons. La reprise des façades en pan-de-bois procède bien souvent de campagnes de reconstruction entreprises tout au long du XIX e et du XX e siècle. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 10

11 La couverture Toutes les maisons situées sur le territoire de la commune sont couvertes de tuile creuse. Cependant, quelques vestiges observés à maintes reprises montrent qu il a existé des couvrements en ardoise. Au n 15 de la Grand rue, les ardoises de rives subsistent dans la maçonnerie du pignon qui a été surélevé. Au hameau des Estrabauts Hauts, une ferme présente un appentis toujours recouvert par de l'ardoise droite. Dans le même hameau, une maison conserve elle aussi les ardoises de rive fichées dans la surélévation du pignon. Fig. 16. Toutes les maisons du village sont aujourd hui recouvertes de tuile creuse. Les encadrements des ouvertures Le grès a été utilisé de façon largement majoritaire pour des constructions de prestige du XVI e au XVIII e siècles. On le retrouve employé pour les grandes croisées de pierre de la maison consulaire, pour les baies de la maison voisine du XVI e siècle au n 1 rue de l'église, ou encore pour celles du XVIII e siècle au presbytère. Il est encore utilisé dans les années 1820 pour les ouvertures du château de Soult-Berg et pour celles de l hôpital des Sœurs de Saint-Vincent de Paul, dans les années Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 11

12 Fig. 17. Les ouvertures du rez-de-chaussée de la maison natale du maréchal Soult sont en pierre de taille de grès. Cependant, l emploi du grès n'est pas l'exclusivité de la belle construction puisqu'il est aussi employé pour des maisons modestes de la seconde moitié du XVIII e siècle. Fig. 18. Un encadrement de porte en grès du XVIII e siècle dans une maison modeste (3 rue de l Église). Dans la première moitié du XIX e siècle, le grès est encore bien souvent utilisé. Il se retrouve de manière significative dans les maisons des hameaux ou les fermes isolées. Les blocs sont taillés sur trois faces seulement. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 12

13 Fig. 19. Une maison du hameau de Métairie grande. À partir du milieu du XIX e siècle, le granite semble progressivement remplacer le grès pour devenir le matériau majoritaire. Il se retrouve employé dans plus de la moitié des constructions. Il concerne essentiellement les constructions du milieu du XIX e siècle, de la seconde moitié du XIX e siècle, et celles du tout début du XX e siècle. Fig. 20. Une particularité de mise en œuvre a été observée à plusieurs reprises : le linteau de granite de la fenêtre de l étage peut servir d appui à celle de l étage en surcroît (6 rue du Portail haut). Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 13

14 Quelques encadrements de baies en marbre de Saint-Pons ont été mis en œuvre dans la seconde moitié du XIX e siècle. Ils se situent principalement le long de la route Nationale, dans le développement de toute la partie occidentale. Fig. 21. L encadrement en marbre de Saint-Pons est daté de 1875 (66 route Nationale). Des encadrements de bois ont été repérés pour les XVIII e et XIX e siècles. Ils se trouvent le plus souvent mis en œuvre dans des constructions modestes (petite maison de hameau), ou dans des parties agricoles (porchère, remise agricole, etc.) ou artisanale (four à pain). Leur conservation dans l habitat n est pas toujours favorisée. Dans la seconde moitié du XX e siècle, considérés comme des éléments archaïques, ils ont souvent été remplacés par des encadrements de ciment. Fig. 22. Dans le village, cet encadrement de porte en bois subsiste. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 14

15 À partir du dernier tiers du XIX e siècle, les encadrements de brique sont employés en grande quantité. La plate-bande suit un tracé en arc surbaissé. La brique est associée dans un premier temps à des appuis de granite qui, dans la première moitié du XX e siècle, sont remplacés par des appuis en ciment. Fig. 23. À la ferme des Martels reconstruite au début du XX e siècle, les encadrements des baies sont en brique et les appuis sont en granite. Fig. 24. À la maison des Martels construite dans les années 1940 les appuis sont en ciment. Les encadrements de brique de la première moitié du XX e siècle adoptent parfois un motif harpé qui peut alterner avec des blocs de grès ou du ciment. Fig. 25. Route Nationale, les encadrements des baies adoptent un motif harpé. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 15

16 L essentage d ardoise Les pignons des constructions sont fréquemment recouverts de grandes plaques d ardoise appelées essentage, dont la fonction est de protéger le mur des intempéries et de contribuer ainsi à améliorer l'inertie thermique de la maison. Un tiers des constructions de la commune sont encore recouvertes en partie d essentage d ardoise ou de matériau synthétique. Les maisons mitoyennes du village présentent généralement de l'essentage sur les parties supérieures des pignons qui émergent. Pour les bâtiments indépendants, l essentage occupe une grande partie du mur, laissant seulement la partie basse sans protection. Quelques exemples d'essentage installés en façade existent lorsque celles-ci sont orientées à l'est ou à l'ouest, voire au nord-ouest. Fig. 26. Les pignons des maisons du village sont encore souvent essentés d ardoise. Fig. 27. La ferme des Martels conserve l essentage d ardoise sur le pignon en bon état. Les plaques d'ardoise sont de grande taille et fixées au moyen de clous forgés à tête ronde. Le pureau est généralement constant, ou très légèrement dégressif. Les plaques sont fixées bord à bord sur un même rang et se recouvrent sur quelques centimètres seulement d un rang à l autre. La régularité des plaques et celle du pureau tendent à montrer que l'essentage conservé n'est probablement pas très ancien. Une pièce de bois appelée chanlatte placée sous le rang d ardoise inférieur permet de le maintenir incliné et de rejeter l eau de ruissellement loin de la base du mur. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 16

17 Fig. 28. Le chanlatte, placé sous le rang inférieur d ardoise, permet d éloigner l eau de la base du mur. Un essentage de type un peu différent existe sur les pignons du château de Soult-Berg. Les petites plaques sont taillées en écaille et se chevauchent sur trois rangs. Les ardoises sont fixées sur un lattis de bois et non directement clouées dans la maçonnerie. Fig. 29. L essentage d ardoise en écaille sur la façade ouest du château de Soult-Berg. Fig. 30. Vue de détail de l essentage d ardoise cloué sur un lattis de bois. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 17

18 Un lichen se développe parfois sur l'ardoise, naturellement bleu foncé, à laquelle il donne une couleur grisâtre qui peut, au premier abord, nous faire croire à l'emploi d'un matériau synthétique plutôt qu'à de l'ardoise. À partir du milieu du XX e siècle, l'ardoise a été remplacée par des matériaux synthétiques gris. Un exemple d'essentage en matériau synthétique jouant sur une alternance de couleur a été repéré. Il donne ainsi un caractère décoratif supplémentaire au revêtement. Fig. 31. Dans la tradition de l essentage d ardoise, cet essentage de matériau synthétique joue sur l alternance des couleurs. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 18

19 Les maisons du village et des hameaux La chronologie de la construction Si aucune maison antérieure au XV e siècle n a été repérée, quelques exemples intéressants que l on peut dater entre le XV e et le XVII e siècles méritent que l'on y porte intérêt. Deux maisons datent du XVI e siècle. Il s agit des maisons situées 1 rue de l'église et 10 Grand Rue. Elles présentent de grandes similitudes. Construites sur des parcelles traversantes en tête d îlot, elles offrent toutes deux trois élévations sur rue. L entrée originelle était située sur le pignon et desservait un escalier central dont le premier palier donne accès à deux salles de part et d autre. Fig. 32. Le pignon de la maison 10 Grand rue. Fig. 33. La façade sur pignon de la maison 1 rue de l Église. Fig. 34. Plan de la maison 1 rue de l Église. L escalier s inscrit au centre de la maison, entre les deux grandes salles. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 19

20 Au hameau des Estrabauts Hauts, une maison rurale construite sur une parcelle traversante en pente s'organise sur un étage de soubassement et un rez-de-chaussée surélevé. L étage de soubassement n'est accessible que par le côté bas. L'habitat se tenait au niveau supérieur. La maison conserve en façade, du côté de la rue haute, deux encadrements de baies en marbre et en granite terminés par un large chanfrein qui témoignent d'une période de construction pouvant être comprise entre le XV e siècle et le XVII e siècle. Fig. 35.La maison du hameau des Estrabauts Hauts peut être datée entre le XV e et le XVII e siècle. Six maisons peuvent dater au moins en partie du XVII e siècle. Trois d entre elles présentent des dates de la première moitié du siècle inscrites sur l encadrement de la porte. Toutes ces maisons se situent dans la partie la plus ancienne du village. Cependant, ces éléments restent isolés dans du bâti remanié au cours du temps, ce qui ne permet plus d'appréhender les maisons du XVII e siècle dans leur globalité. À ces six maisons il faut ajouter un linteau en remploi daté de 1669 qui se retrouve au n 11 rue de l Église et un encadrement de porte daté de 1639, remonté dans le mur de clôture du jardin, 1 rue de l Église. Les constructions du XVIII e siècle sont encore assez présentes, surtout dans le village. Plusieurs grandes maisons et le presbytère datent de cette période. Sur l ensemble de la commune, c est 13 % du bâti qui peut dater de cette période. L essentiel du bâti date du XIX e siècle : 75 % des constructions peuvent lui être attribuées. Dans les hameaux et les fermes isolées, les constructions de la 1 ère moitié du siècle Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 20

21 sont particulièrement importantes. Grâce au premier cadastre levé assez tardivement, en 1837, on peut même affiner la date de construction à un grand premier tiers. La première moitié du XX e siècle est encore assez bien représentée, notamment à travers des reprises partielles de construction comme des réfections d ouvertures. Période de construction pourcentage XVIII e siècle 13% XIX e siècle 75% 1 ère moitié et milieu XX e siècle 6,5% La typologie des maisons Que ce soit dans le village ou les hameaux, les maisons sont mitoyennes ou contiguës. Dans les deux cas, elles offrent la particularité d'être construites sur des parcelles traversantes et disposent ainsi de deux façades sur rue. La typologie établie rend compte de la sociologie de l'habitat. L'habitat modeste, malgré le peu de développement de la maison, présente le plus de variantes. C'est aussi celui que l'on retrouve en plus grand nombre, et de loin, sur le territoire de la commune. La maison bourgeoise, quant à elle, se caractérise au contraire par une certaine constance d'une maison à l'autre. Les demeures des édiles locaux ou des industriels constituent le modèle d'habitat le plus développé, avec une fonction ostentatoire fortement marquée. L'habitat modeste La maison élémentaire correspond à la population des ouvriers agricoles ou des ouvriers employés dans les filatures ou les usines de délainage des environs. Au début du XX e siècle, selon plusieurs témoignages oraux, beaucoup d'ouvriers cumulaient deux activités c'est-à-dire qu'après leur journée à l'usine, ils louaient leur service lors de forte période d'activité agricole. La maison élémentaire occupe en général une parcelle plus profonde que large. Elle s'organise en hauteur, avec un espace utilitaire en rez-de-chaussée (ouvert seulement par la porte), le logement à l'étage et un troisième niveau, généralement un comble à surcroît, lieu de stockage. Compte tenu que ces maisons, et notamment la quasi-totalité des maisons de hameaux, Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 21

22 sont construites sur la pente, l'espace utilitaire est ainsi aménagé dans le niveau de soubassement ce qui optimise la fonction de réserve du lieu. - Modèle 1 La maison la plus élémentaire présente une seule travée d'ouverture, le plus souvent décentrée, s'élevant sur trois niveaux avec un jour d'évier associé à la fenêtre de l'étage. - Modèle 2 La fonction de logement peut être plus ou moins développée. En effet, beaucoup des petites maisons situées sur la commune abritent aussi une fonction d'habitat en rez-de-chaussée, comme en témoignent les grandes ouvertures parfois secondées par une baie d'évier. Cependant, il semble que cette évolution ne soit pas antérieure à la seconde moitié du XIX e siècle. Variante 1 : la maison s'élève sur deux niveaux et présente une petite baie en plus de la porte en rez-de-chaussée. Variante 2 : la maison s'élève sur trois niveaux. Variante 3 : la maison est construite sur la pente. - Modèle 3 Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 22

23 La petite maison peut connaître un développement un peu plus important. Elle peut présenter deux travées d'ouverture sur un ou deux étages. Dans les hameaux, la porchère peut venir contre la façade. - La maison de petit propriétaire Variante 1 : La façade présente deux travées d ouvertures et la porte décentrée est surmontée de jours éclairant l'escalier. Variante 2 : La porte est centrée et les deux travées d'ouvertures s organisent de part et d'autre. La maison bourgeoise La maison bourgeoise correspond à une catégorie sociale bien plus aisée. Elle est la propriété de commerçants, par exemple. Elle se présente le plus souvent avec une façade ordonnancée à trois travées établie sur trois niveaux qui offre de belles proportions. Il n'est pas rare de trouver la porte en position latérale. Dans un cas comme dans l'autre, celle-ci est mise en évidence par un élément de décor qui contribue à affirmer le statut social de la maison. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 23

24 Les maisons bourgeoises les plus cossues présentent des façades à quatre travées et dans ce cas, le nombre pair d'ouvertures implique obligatoirement un décentrement de la porte. Fig boulevard des Promenades. La demeure Les grandes demeures se retrouvent dans le village, principalement dans les faubourgs, mais aussi de manière isolée. Quinze ont été repérées sur la commune suivant la répartition suivante : ÉPOQUE DE CONSTRUCTION NOMBRE RECENSÉ 1 ère moitié du XVIII e siècle 2 1 ère moitié du XIX e siècle 4 2 e moitié du XIX e siècle 5 1 ère moitié du XX e siècle 4 Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 24

25 En village, les demeures présentent deux belles façades, l'une sur rue et l'autre sur jardin. Elles s'organisent sur cinq travées ou plus et s'élèvent sur deux étages. Comme dans la maison bourgeoise, la porte de la façade sur rue est mise en évidence. À partir de la seconde moitié du XIX e siècle, on trouve assez fréquemment, à l'étage, une ou plusieurs portes-fenêtres avec balcons et garde-corps en ferronnerie. Lorsque la porte-fenêtre est unique, elle est toujours située au-dessus de la porte d'entrée. Ainsi, la travée centrale de la demeure est-elle nettement marquée. La demeure isolée est souvent traitée comme celles du village, c'est-à-dire à partir d'un volume rectangulaire avec deux façades sur mur gouttereau. Cependant, la maison du Nouvella construite à la fin du XIX e siècle où au tout début du XX e sur un plan carré présente quatre façades traitées suivant le même soin. La façade qui marque l'entrée principale de la demeure assume toutefois le rôle de belle façade par son ordonnancement. Deux d'entre elles sont pourvues de pavillon en forme de tour qui donne à la maison un caractère de petit château. Sur les façades supérieures à cinq travées, on note la présence d'au moins deux portes en rez-de-chaussée : on dissocie ainsi l'entrée de service de la «belle entrée», généralement pourvue d'une porte bâtarde. Dans ce cas, la porte principale n'est pas toujours centrée. La demeure qui présente la plus longue façade est celle située 42 route Nationale : on compte neuf travées avec une partition très nette entre l'habitation des maîtres et la partie de service. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 25

26 Fig. 37. La demeure 42 route Nationale peut être assimilée à un hôtel particulier. L'organisation interne de la demeure est toujours double en profondeur, c'est-à-dire que deux pièces sont logées l une derrière l autre. Les pièces de réception (salle à manger, salon) sont au rez-de-chaussée, et les chambres à l'étage, voire parfois sur deux étages. Les domestiques sont en général logés dans les combles, aménagés en petites pièces. Dans le village, des écuries s associent à la demeure. Ouvertes sur la rue, elles permettent ainsi un accès direct. Fig. 38. Route Nationale, des écuries (à droite) sont associées à la demeure. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 26

27 L ÉVOLUTION DES FORMES ET DU DECOR En dehors de la présence de date inscrite sur un édifice, l une des façons de le dater est d'analyser ses formes et son décor pour pouvoir le raccrocher à une époque donnée. Les encadrements des baies Dans une architecture rurale relativement pauvre, les encadrements des ouvertures concentrent l essentiel du décor. Jusqu à la première moitié du XIX e siècle, le matériau utilisé est le grès. Au XVI e siècle Les constructions du XVI e siècle conservées sont des édifices prestigieux. Toutes présentent des encadrements d ouvertures rectangulaires ornés de moulures toriques aplaties qui forment un petit retour vers l intérieur au niveau de la partie basse des piédroits. Fig. 39. L une des portes intérieures de la maison consulaire. Fig. 40. L une des portes du rez-de-chaussée de la maison 1 rue de l Église. La maison consulaire, étant donné son statut d édifice public, possède un décor monumental développé. Les croisées de pierre du premier étage présentent un décor complexe. Si le retour des moulures vers l intérieur s observe aussi en partie basse des piédroits, en revanche, les encadrements adoptent une mouluration plus complexe de tores alternant avec des baguettes à profil plat. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 27

28 Fig. 41. L une des croisées (restaurée) de la maison consulaire. Au XVII e siècle Le village conserve quatre encadrements de porte datés de la première moitié du XVII e siècle, qui présentent de grandes similitudes. Ils sont couverts par un arc en plein cintre dont les claveaux sont à arête vive ou chanfreinés. La clef de l arc est pendante et saillante. Lorsque la porte est datée, l inscription se trouve toujours mise en évidence sur la clef. Au départ de l arc, les impostes sont en relief. L encadrement de la porte peut être surmonté par une corniche moulurée. Fig Grand rue. La porte est datée de Fig rue d Enfert. Fig rue du maréchal Soult. La porte est datée de Fig rue de l Église, la porte est remontée dans le mur de clôture du jardin. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 28

29 Au XVIII e siècle Les constructions du XVIII e siècle sont caractérisées par des encadrements d ouverture couverts par un arc segmentaire ou par un linteau qui adopte ce même tracé. La clef de l arc peut être saillante et légèrement passante. Fig. 46. La porte de la façade du presbytère. Fig rue de la Chaussée. Au XIX e siècle Dans la première moitié du XIX e siècle, les encadrements de fenêtre adoptent une forme carrée qui pourrait provenir d une tradition ancienne bien connue par ailleurs. Fig. 48. Une maison du hameau des Estrabauts Hauts. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 29

30 À partir du milieu du XIX e siècle, le granite supplante le grès. La forme des fenêtres est rectangulaire. Les encadrements de porte peuvent être surmontés d une corniche plus ou moins ornée. Un décor de denticule se retrouve à plusieurs reprises, sous la corniche. Fig Grand Rue. Fig rue du maréchal Soult. Fig Grand Rue. Les balcons Quelques balcons au garde-corps en ferronnerie se trouvent essentiellement aux façades des constructions de la seconde moitié du XIX e siècle et du début du XX e siècle. Sur l hôtel particulier du n 42 route Nationale (voir Fig. 37), le balcon en ferronnerie occupe toute la largeur de la partie centrale. Sa construction en pierre de taille associée au long balcon contribuent à donner à la maison son statut de maison de maître. Au n 69 de la même route, à la façade d un autre hôtel particulier, le balcon supporté par deux corbeaux, surmonte la porte d entrée au cadre mouluré. La travée de la demeure est ainsi mise en avant. Fig route Nationale. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 30

31 L organisation et l évolution des fermes (XVIII e et XIX e siècles). Une trentaine de fermes ont été recensées sur l ensemble du territoire communal. Sous cette dénomination entrent en ligne de compte autant les grandes fermes isolées au milieu des terres agricoles que des fermes beaucoup plus modestes de type «maison-bloc en hauteur». Cette appellation désigne de petites fermes qui comprennent une étable en rez-de-chaussée, l habitation à l étage et le fenil dans le comble. On les retrouve principalement dans les hameaux agricoles : aux Amalrics, aux Estrabauts Hauts et Estrabauts Bas, aux Raynauds, etc. L importance des transformations concernant ce dernier type ne permet plus aujourd hui de raisonner à partir de chiffres représentatifs d une réalité. En effet, les rez-de-chaussée et les niveaux de comble ont bien souvent été transformés en pièces d habitation depuis une cinquantaine d années. Les grandes fermes isolées appartenaient le plus souvent à un domaine agricole plus vaste à la tête duquel se trouvait une demeure ou maison de maître, habitation du propriétaire terrien qui gérait l'exploitation. La richesse du propriétaire pouvait ne pas être fondée exclusivement sur l'agriculture qui semble être considérée comme une source de revenu complémentaire indispensable. En effet, les demeures d industriel, par exemple, s associent toujours une, voire plusieurs fermes. Les trois demeures d'industriel d En Rozières, du Nouvella et des Martels ont, semble-t-il, pour origine une ferme qui préexiste à la demeure et qui en a déterminé l'implantation. Ainsi, les notables locaux ou les industriels marquent-ils un attachement rassurant à la terre. Le meilleur exemple de cette relation particulière à la terre est celui du plus grand propriétaire terrien de la commune, le maréchal Soult, dont la fortune s est constituée grâce à une carrière militaire hors du commun. Dans la première moitié du XIX e siècle, avant même d avoir entrepris la construction du château, il constitue un vaste domaine agricole qui s'étend aussi sur les communes voisines. À Saint-Amans-Labastide, il fait construire trois grandes fermes, les Gassiès, les Garrigues et Payrins, situées à moins de 500 mètres du château. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 31

32 Fig. 53. Payrins, la ferme principale du château. Les grandes fermes implantées sur les premières hauteurs du piémont possédaient des bergeries ou «embarradas» situées un peu plus haut dans la montagne. Elles sont aujourd hui en ruine pour la plupart. Essai d évolution chronologique Antérieurement à la seconde moitié du XIX e siècle, la ferme peut être définie selon les deux caractéristiques suivantes. D'une part elle se développe sur un plan généralement assez ramassé qui rassemble l habitation (au niveau supérieur) et les parties agricoles dans un bâtiment unique. La ferme est dite dans ce cas de type «maison-bloc en hauteur». D'autre part, elle exploite la pente naturelle du terrain pour s'implanter le plus souvent de manière perpendiculaire à la déclivité. Ainsi, une entrée de plain-pied est-elle ménagée sur chacun des murs gouttereaux, facilitant de ce fait les accès. Cette organisation présente aussi l'avantage de faire bénéficier les occupants du logement de la chaleur des bêtes et parfois, d ouvrir l habitation sur le côté opposé à la cour de ferme. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 32

33 Fig. 54. Au hameau des Estrabauts Hauts, cette ferme du XVIII e siècle de type maison-bloc en hauteur a été construite perpendiculairement à la pente. L habitation ouvre de plain-pied, au sud. Fig. 55. Sur l arrière, la ferme présente un étage de soubassement qui correspond à la partie agricole. Dans la première moitié du XIX e siècle, les fermes s'organisent suivant le modèle qui vient d'être décrit, mais le plan se développe. Le corps principal peut être enrichi d'un second corps parallèle, ménageant ainsi une cour centrale. Les fermes de Garrigues, des Clauses, de la Bessède et la ferme de la Lande, dans son état antérieur à sa reconstruction à la fin du XIX e siècle, adoptent ce plan. Fig. 56. La ferme des Garrigues se structure autour de deux bâtiments parallèles. Fig. 57. À la ferme des Clauses, le corps de bâtiment de gauche a été complété par un second au cours du XIX e siècle. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 33

34 Fig. 58. Les deux bâtiments parallèles de la ferme des Gassiès (cadastre de 2003). La ferme peut aussi s'organiser autour d'une cour intérieure fermée, comme au Nouvella, dont le plan est particulièrement régulier, ou à celle des Gassiès. Fig. 59. Extrait du plan cadastral de 1837, la ferme des Gassiès s organise autour d une cour intérieure fermée. Dans la seconde moitié du XIX e siècle, et même pendant tout le premier tiers du XX e siècle, les fermes s'agrandissent de manière significative. L'introduction de l'élevage des bovins, qui se substitue à celui des ovins, s'est souvent traduite par l'adjonction d'une étable supplémentaire, adoptant de grandes proportions. L étable est toujours surmontée d une grange, bâtiment que l on nomme ainsi grange-étable. L'adjonction de l'étable à vaches dans la seconde moitié du XIX e siècle se reconnaît encore à la ferme des Garrigues ou à celle du XVIII e siècle des Estrabauts Hauts, par exemple. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 34

35 Fig. 60. La ferme du XVIII e siècle des Estrabauts a été agrandie dans la seconde moitié du XIX e siècle par un grand corps de bâtiment abritant la grange-étable. Fig. 61. Croquis de l évolution de la ferme du XVIII e siècle des Estrabauts Hauts. Une particularité de la Montagne Noire : des aménagements agricoles liés à l eau L'eau, particulièrement présente sur le piémont nord de la Montagne Noire, a souvent été dérivée à partir d'un ruisseau, pour passer dans les cours de ferme. Cet aménagement est encore visible à la ferme de la demeure de Lestrèpe où une petite dérivation conduit l'eau dans une vasque à partir de laquelle elle s'écoule dans des petits canaux qui longent les murs de la cour intérieure. L'eau pouvait ainsi être exploitée pour nettoyer les parties agricoles et évacuer la saleté. Fig. 62. À la ferme de Lestrèpe, l eau, après avoir traversé les prairies, est canalisée dans la cour de ferme. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 35

36 En dehors de ces dérivations, l'eau est aussi présente dans les fermes par l'intermédiaire de puits couverts, dont la structure extérieure est aménagée au moyen de grandes dalles de schiste qui assurent la couverture et le garde-corps. La mare constitue aussi un point d'eau indispensable à l'élevage de la basse-cour. Fig. 63. Le puits de la ferme de la Jasse. Autour des fermes, dans les prairies, des pesquiés, ou réservoirs d eau, sont aménagés pour concentrer l eau qui, via des petits canaux, permettaient d irriguer les champs. Autour des hameaux des Estrabauts Bas et des Estrabauts Hauts, cinq pesquiés ont pu être localisés sur le cadastre. Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 36

37 Fig. 64. Planche C 3 du cadastre de 2003, localisation des pesquiés. Sonia Servant Chargée de l inventaire du patrimoine, CAUE du Tarn Juillet 2008 CAUE du Tarn, Région Midi-Pyrénées-Inventaire Général Crédits photographiques : CAUE du Tarn, Région Midi-Pyrénées-Inventaire Général, ADAGP. Toutes les photographies sont de l auteur sauf la vue aérienne fig. 16 (photographe Rousseau pour la commune de Saint-Amans-Soult). Mission d inventaire du patrimoine bâti-caue du Tarn 37

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