POLLUTEC. Tartre, Biofilm, Legionelles: Traiter l eau à la source pour une protection durable.
|
|
- Eliane Prudhomme
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 POLLUTEC Tartre, Biofilm, Legionelles: Traiter l eau à la source pour une protection durable. 16 Av. des Chateaupieds Rueil-Malmaison - France +33(0)
2 L eau Tout commence à la source L eau potable véhicule des sels minéraux bénéfiques pour la santé, des bactéries plus problématiques, MAIS ces éléments sont sources de tracas et de coûts lorsque l eau entre dans un réseau Le Tartre Les bactéries le Biofilm
3 L eau Le tartre Dans l eau il n y a pas de carbonate de calcium (insoluble) qui est l élement constituant du tartre. Il y a seulement des bicarbonates qui, sous l effet de l une des 3 actions suivantes, vont se transformer en carbonates c est-à-dire en tartre: Changementdetempérature(ECS) Changementdepression Aérationdel eau(forages,toursaéroréfrigérantes,robinetsavecaérateurs) Mêmel eaufroidepeutdoncentartrer
4 L eau Les Bactéries La réglementation sur l eau potable définit un certain nombre de bactéries qui ne doivent pas être présentes dans l eau potable MAIS la biomasse totale présente dans l eau ne fait pas partie des critères mesurés de qualité d eau à l entrée d un Hôpital par exemple. L ATP Métrie est un moyensimple et immédiatde mesurer la qualité de l eau entrante.
5 Le biofilm Le biofilm est une matière vivante composée de micro-organismes et de polysaccharides(très peu sensible aux biocides). Il s installe partout: dans les réseaux d eau potable, dans les réservoirs de carburants dans les Tours Aéroréfrigérantes, dans la corrosion des réseaux de chauffage ou de climatisation. Il joue le rôle de mère nourricière des bactéries présentes dans l eau, les isolant des biocides.
6 Cadre réglementaire Les obligations réglementaires dans les Collectivités Locales 1- L eau de consommation humaine doit répondre à plus de soixante dix critères sanitaires ou environnementaux de qualité. La mise à disposition de la population d une eau potable de bonne qualité sanitaire constitue une préoccupation permanente des autorités sanitaires et des collectivités. Les exigences de qualité fixées pour l eau du robinet sont fixées par la directive 98/83/CE du 3 novembre 1998 relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine. Elle constitue le cadre réglementaire européen transposé en mai 2003, dans le code de la santé publique aux articles R à R Une eau est conforme aux limites de qualité microbiologique lorsqu il y a absence d Escherichia coli et d entérocoques dans un échantillon de 100 ml d eau. Et Après?
7 Cadre réglementaire Les obligations réglementaires dans les établissements de Santé Les mêmes que dans les collectivités locales En plus draconien!!! 4 Qualités d eau à gérer: o Eau de consommation o Eau de Soins (Standard, Bactériologiquement maîtrisée, ECS, Eau de piscine, eau de Spa, Balnéothérapie individuelle) o Eau de Pharmacopée (Hémodialyse) o Eau Technique (TAR) Avec des seuils microbiologiques très bas.
8 ARIONIC : Eco Solutions pour les Fluides EAU traite les problèmes liés à l entartrage élimine les bactéries et le biofilm protège de la corrosion Forte valeur ajoutée environnementale Réduction de l empreinte écologique Saut technologique Les progrès technologiques permettent de gagner en qualité d eau, de réduire les consommations et de baisser les coûts d exploitation.
9 Sur l eau potable Effet anti-tartre permanent = confort amélioré = réduction des fuites et de l entretien Anti bactérien: détruit les Legionelles et le biofilm = la Santé des personnes est assurée Les installations sont protégées de l entartrage (WC, douches, chauffe-eau, échangeurs, machine à café, lave linge ) L eau a meilleur goût
10 Le Tartre L eau plus sûre Sur l Eau Chaude Sanitaire Effet détartrant rétablissant la circulation Destruction permanente des bactéries incluses dans le tartre (type Legionella) L eau reste potable sans danger pour la santé Réduction de la maintenance et des charges
11 Le Tartre Anti Tartre Un champ magnétique extrêmement puissant (1.3 T) modifie l organisation du nuage d électrons, de sorte que la cristallisation du CaCO 3 se fait sous une forme rhomboédrique non adhérente, l Aragonite. Cette modification de la forme cristalline est définitive PREVENTIF Calcite devient Aragonite Effet permanent Non réversible
12 L eau La calcite Elle possède un système hexagonal, de couleur généralement blanche et est constituée de cristaux de bonne taille en scalènes très aigus et très obtus (dents de chien), également fibreux et granulaires. Elle est très dure et réagit avec les acides. Elle est la base de l'entartrage des circuits. L'aragonite Elle possède un système rhombique, de couleur blanche ou incolore et est constituée de cristaux de forme fibreuse ou fibroradiéesnon durs donnant des dépôts mous entraînés par la circulation de l'eau.
13 Le Tartre Détartrant La modification des forces de cohésion, et en particulier la modification de la tension superficielle agit sur le tartre installé et le désagrège progressivement L eau prend un pouvoir mouillant supérieur, qui favorise les mélanges d additifs et renforce leur efficacité (produits lessiviels, détergents, traitements phytosanitaires..). CURATIF La calcite installée se désagrège l eau rince mieux aucune modification physicochimique
14 Le Biofilm NEW IONIC détruit le biofilm stoppe la régénération enlève le biofilm installé réduit la prolifération Quelle est notre action? Grâce à la destruction des micro organismes arrivant par l eau, le biofilm s appauvrit, il vieillit. Le biofilm est un organisme vivant. La modification des propriétés de l eau (interfaces) et la rémanence magnétique perturbent l organisation des cellules. Le biofilm se décroche et disparaît.
15 3 Installations sur l eau potable QUESQUES (62): Forage desservant une Communauté de Communes de 1400 Maisons Notre témoin: Monsieur HERBIN Directeur Adjoint de SEMPACO à CALAIS (62) Site hospitalier EPSM du Val de lys Artois à Saint VENANT (62) Notre témoin: Monsieur DUBOIS Responsable Energétique Site hospitalier CAEN: La sécurisation des réseaux par l ATP Métrie
16 ETUDE DE CAS Protection des réseaux Protection des réseaux ETABLISSEMENT PUBLIC DE SANTE MENTALE SAINT POL SUR TERNOISE
17 CONTEXTE L EPSM du Val de LYS est un groupement de soins psychiatriques répartis en 6 établissements d une capacité de 807 lits et places avec hébergement et hôpital de jours. SITUATION D ORIGINE Fort d une première expérience positive sur 2 hôpitaux de jours, et dans le cadre d un programme d amélioration des réseaux d eau chaude pour la lutte contre la légionellose, la volonté de l EPSM a été de procéder à une refonte globale des réseaux de bouclage, associée à une suppression des adoucisseurs et des produits chimiques. L EPSM a donc installé le système de traitement ARIONIC sur l eau froide etretourdeboucleavecdel eautrèsdure(environ35 F) TRAITEMENT ARIONIC Un appareil de traitement physique antitartre ARIONIC a été installé en 2010 en protection des installations de production d ECS(arrivée d eau froide).
18 INSTALLATION ARIONIC TYPE Le seul traitement physique de l eau à combiner dans un procédé unique l action sur le tartre, les bactéries et le biofilm - ANTITARTRE DETARTRANT - ANTIBACTERIEN DEBIOFILMANT RETOUR DE BOUCLE ARRIVEE EAU FROIDE
19 RESULTATS RESULTATS Après 6 mois d utilisation, l exploitant en place ne constate aucun entartrage des 2 échangeurs à plaque malgré une température de fonctionnement de 61 C, et les dernières analyses légionnelle sont toutes négatives sans produit désinfectant en fonctionnement ni choc thermique ou chloré. PERSPECTIVES Fort de ces résultats, L EPSM vient de lancer le programme de déploiement sur 5 sous stations. CONCLUSION réelle réponse aux problèmes d entartrage dans les installations de production d ECS. Les opérations de maintenance d échangeurs sont très allégées et ne servent quasiment qu à vérifier le non-entartrage. Sans utilisation de sel ni de filmogène, le poste de travail des techniciens est également amélioré. Les postes d exploitation P2 et P3 sont optimisés.
20 ETUDE DE CAS Traitement de l arrivée Générale HOPITAL - CAEN
21 CONTEXTE Hôpital récent, ayant eu des contaminations Legionellasur l eau froide du réseau Problème de conception des réseaux dans la zone chirurgicale OBJECTIFS Trouver une solution de long terme compatible avec les contraintes réglementaires de qualité d eau
22 LA DECISION Installation sur l arrivée générale d une panoplie de 3 appareils de 10m3/h Engagement de résultat sur 10 ans Suivi biannuel d ATP Métrie en 25 points du réseau d eau froide et chaude
23 Enlèvement du biofilm sur réseau d eau froide Relevé ATPmétrie en pg/ml 1pg=1000 bact. Point zéro Dégradation de la qualité d eau entrante S1 S2 S3 S4 M2 M3 M5 M6 M9 M12 M18 EF Arrivée générale (pt EF 1) sortie New Ionic (pt EF 3) sortie Adoucisseurs (pt4) EF sortie pour ECS (pt 5) EF pt 16 3ème EF pt 17 1er EF pt 18 1er EF pt 19 2ème EFS EFSB EFSA EFSA EFSB EBM EFSB EFSB EFSB 21/02/ /03/ /03/ /03/ /03/ /04/ /05/ /07/ /08/ /11/ /03/ /11/2012 3,284 0,978 0,921 3,810 1,365 30,792 16,480 7,356 7,269 0,128 0,113 0,070 4,450 0,824 0,691 1,863 0,672 1,851 0,316 0,438 0,090 0,008 0,085 0,031 3,543 1,210 6,344 4,116 8,676 3,407 2,868 2,045 2,729 0,066 0,049 0,066 2,549 2,317 0,793 1,085 0,978 1,788 1,969 0,603 0,364 0,054 0,015 0,104 0,562 1,056 0,972 1,029 0,815 4,438 0,170 0,339 0,121 0,107 0,005 0,005 1,685 1,159 2,942 0,918 0,570 1,746 0,389 0,112 0,045 0,010 0,003 0,005 1,296 0,901 0,870 0,640 0,570 5,090 0,267 0,143 0,013 0,005 0,014 0,021 0,648 0,901 0,614 0,473 0,489 2,187 0,122 0,067 0,552 0,006 0,009 0,061 Déstabilisation et décrochage du biofilm Environ 8 semaines Maîtrise du biofilm, malgré la mauvaise qualité d eau entrante Les mesures ATP permettent de mesurer la quantité de biomasse présente dans l eau ARIONIC - Distributeur New Ionic- 16 av des Chateaupieds RUEIL-MALMAISON - Tél :
24 Nos garanties de résultats Pour vous prouver que les résultats sont là, nous proposons différents niveaux de garantie de résultats: 1- garantie de détartrage sur quelques mois 2-suivi de l enlèvement du biofilm eau froide (sur 2 à 3 mois) 3- contrôle de la biomasse du réseau sur 5 ans (trimestrielle)
25 Penser le changement C est ce qu ARIONIC fait chaque jour en accompagnant ses clients vers les nouvelles technologies, en garantissant avec des protocoles chiffrés et contrôlables les résultats.
Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailCARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU
CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailLa principale cause du développement
LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,
Plus en détailÉtape 1 : Balancer la chimie de l'eau
Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailLe chauffe eau à accumulation électrique
Le chauffe eau à accumulation électrique I) Composition d un chauffe eau électrique Leurs constitutions sont sensiblement les mêmes entre chaque fabriquant : Habillage Départ eau chaude Isolant Cuve Anode
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailSYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...
SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailChauffe-eau haute performance Modul-plus
Chauffe-eau haute performance Modul-plus Responsabilité énergétique et environnementale Le chauffe-eau Modul-plus répond aux exigences les plus élevées de confort eau chaude sanitaire et d'hygiène de l'eau.
Plus en détailPARTIE 2 : MISE EN SERVICE PARTIE 1 : CONCEPTION PARTIE 3 : ENTRETIEN PARTIE 4 : EN SAVOIR PLUS METTRE EN SERVICE L INSTALLATION...
SOMMAIRE PARTIE 1 : REGLER LES TEMPERATURES DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION... 4 PREVENIR LE RISQUE LEGIONELLE... 5 CHOISIR UNE SOLUTION PRODUCTION D ECS INDIVIDUELLE... 10 CHOISIR UNE SOLUTION DE PRODUCTION
Plus en détailSYNOPTIQUE GTB Architecture Générale
STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détail30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS
4 th EUROPEAN CONFERENCE ON HEALTHCARE ENGINEERING 51 è JOURNEES D ETUDES ET DE FORMATION IFH 30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS Peut-on externaliser la maintenance des bâtiments et infrastructures techniques
Plus en détailVOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE
G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des
Plus en détailEau chaude sanitaire
4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau
Plus en détailProduits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles
Produits vaisselle HalaGastro F11 Détergent pour lave-vaisselle avec chlore actif. Concentration d'utilisation: 0.3 0.5%, ph à 1.0%: 11.7 10600410-0002 10600410-0004 10600410-0007 Bidon 12 kg Bidon 25
Plus en détailLe confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire
Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailRobinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P»
Innovation + Qualité Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P» Gamme de produits Conditions générales et directives
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailFICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE juin 2006 N DRC 06 76471 - ERSA n 100
RAPPORT D ÉTUDE juin 2006 N DRC 06 76471 - ERSA n 100 Aide pour l élaboration d un plan de surveillance des installations de refroidissement par dispersion d eau dans un flux d air (rubrique n 2921) pour
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détail«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable
«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier
Plus en détaildémarche qualité Hygiène
démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous
Plus en détailEntretien domestique
VÉRIFICATION DU BON FONCTIONNEMENT Mettez l appareil sous tension. Si votre tableau électrique est équipé d un relais d asservissement en heures creuses (tarif réduit la nuit), basculez l interrupteur
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailBien vivre votre retraite
Retraités SEPTEMBRE 2014 Bien vivre votre retraite les contacts près de chez vous Pour vous aider chez vous Le plan d actions personnalise Une offre de prise en charge globale de vos besoins pour améliorer
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détaildirect serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com
FR direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com 4 3 2 1 71mm 5 6 7 1 2 3 4 5 6 OK Click NO 7 8 9 150ml 10 Nous vous remercions d avoir choisi un appareil de la gamme Moulinex. CONSIGNES DE SECURITE
Plus en détailBENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie
BENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie 1 PLAN o Introduction o REACH : Qu est ce que c est o REACH : La mise en place o Conséquences sur l industrie o Outils de soutien aux entreprises
Plus en détailFabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013
Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients
Plus en détailGCHAUFFAGE G ZINGUERIE G PLOMBERIE G CONSTRUCTION BÂTIMENT
GCHAUFFAGE G ZINGUERIE G PLOMBERIE G CONSTRUCTION BÂTIMENT G Montage des foyers réfractaires G Protection des conduits de chauffage G Maintenance des circuits de chauffage G Entretien des générateurs de
Plus en détailCAHIERs INFOS. La Qualité de l'eau dans les réseaux. Les. Synthèse et solutions
CAHIERs Les INFOS La Qualité de l'eau dans les réseaux DES SOLUTIONS POUR LUTTER EFFICACEMENT CONTRE LA PROLIFÉRATION BACTÉRIENNE NOUVELLES RÉGLEMENTATIONS DERNIÈRES ÉTUDES PRÉVENTIONS ET TRAITEMENTS TÉMOIGNAGES
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire Un système complet pour l eau froide et l eau chaude sanitaire Tube HTA La solution pour les réseaux d eau
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailL OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois
L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois L OPAH RR du Pays du Ternois est un dispositif d aides financières ouvert aux propriétaires privés occupants
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailbiocides : définitions d et frontières res réglementaires
Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailRègles sanitaires et techniques pour prévenir les risques liés aux Légionelles et aux Pseudomonas
Règles sanitaires et techniques pour prévenir les risques liés aux Légionelles et aux Pseudomonas Formation «plombiers» Organisée par la CAPEB et la DDASS du Var (26 novembre 2008) Laurent KIENE, Philippe
Plus en détailNOTICE D UTILISATION
CAFETIERE ELECTRIQUE 1.25L REF CM4229 230V - 800W - 50Hz NOTICE D UTILISATION LIRE ATTENTIVEMENT LES INSTRUCTIONS SUIVANTES AVANT TOUTE PREMIERE UTILISATION Appareil garanti 1 an sur présentation du ticket
Plus en détailTravaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire
Réhabilitation énergétique des copropriétés normandes construites entre 1948 et 1974 Travaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire Situation existante et enjeux Les différents diagnostics
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailSOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS
1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX
Plus en détailDirection de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC?
Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010 C est quoi la HQE et le BBC? VILLE DE CHOLET Eco construction 1- Relation du bâtiment avec son environnement
Plus en détailNotice d'utilisation. Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106. 6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur
6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur Notice d'utilisation Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106 Lire attentivement avant utilisation SVP Préface Remarque Les appareils répondent aux
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement
Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité
Plus en détailCanalisations SYSTEM O
Canalisations SYSTEM O destinées à la réalisation de réseaux de distribution d eau chaude et froide sanitaire FICHE DE DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE (FDES) conforme à la norme NF P 01-010 V1
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détailInstallations de plomberie
Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant
Plus en détailPropriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 )
Profil de projet d innovation technologique en réfrigération PARB PROGRAMME D ACTION EN RÉFRIGÉRATION POUR LES BÂTIMENTS Centre multiloisirs Dow Centennial Centre (Alberta) CONSTRUCTION NEUVE Sommaire
Plus en détailGamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS
Gamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS ARCANIA est la marque dédiée à la santé de la société SOFINOR, entreprise familiale créée en 1959, spécialiste de la fabrication d équipements INOX. Intégrant systématiquement
Plus en détailPeroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailSystème de gestion d une citerne de récupération des eaux de pluies
Système de gestion d une citerne de récupération Page 1/25 1. Mise en situation Le contexte L'eau distribuée en France augmente de manière forte et continue : +38% entre 1995 et 2005 et la même augmentation
Plus en détailGuide de la formation 2013/2014
Guide de la formation 2013/2014 Chauffage & ECS Vapeur & eau surchauffée Froid Climatisation Pompe à chaleur Planchers chauffants / rafraîchissants Traitement d eau chauffage & piscines Electrotechnique
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailCe qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire
Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux
Plus en détailENTRE NOUS, L EAU CHAUDE, ÇA BAIGNE!
PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE AUX ÉNERGIES RENOUVELABLES CONCEPTS DE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ENTRE NOUS, L EAU CHAUDE, ÇA BAIGNE! NOUS RÉINVENTONS L EAU CHAUDE SANITAIRE Allier confort et économies
Plus en détailAssises Européennes du Bâtiment Basse Consommations. Frédéric ric FRUSTA. Président Directeur Général. ENERGIVIE 25 Juin 2010
c1 Assises Européennes du Bâtiment Basse Consommations Frédéric ric FRUSTA Président Directeur Général ENERGIVIE 25 Juin 2010 Diapositive 1 c1 Merci de me fournir le texte complet de la page de titre cql;
Plus en détailEau chaude sanitaire. par Patrice BRAUD Ingénieur ENSAIS (École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg )
Eau chaude sanitaire par Patrice BRAUD Ingénieur ENSAIS (École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg ) 1. Bases de dimensionnement. Définition des besoins... B 9 190-2 1.1 Généralités...
Plus en détail2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010
SOLUTIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE En 2010, le marché de l ECS en France représente 2 195 257 ballons ECS de différentes technologies. Dans ce marché global qui était en baisse de 1,8 %, les solutions ENR
Plus en détailPREMIUM-/LONGLIFE-LINE
PREMIUM-/LONGLIFE-LINE Protection et sécurité pour toute l installation sanitaire de la maison C est JUDO Votre partenaire depuis plus de 75 ans JUDO fait partie des leaders dans le traitement de l eau
Plus en détailRÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR
RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les
Plus en détailSANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX. pour créer des sanitaires partout dans la maison 50 ANS D INNOVATIONS!
2008 50 ANS D INNOVATIONS! WC SALLE DE BAINS CUISINE BUANDERIE CHAUDIÈRE CLIMATISEUR SANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX pour créer des sanitaires partout dans la maison SFA c est facile pour
Plus en détailPrévenir les dégâts d eau liés à la plomberie
faire profiter de notre expérience Prévenir les dégâts d eau liés à la plomberie Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailTACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE
TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE COMBINEZ VOTRE STATION INDIVIDUELLE Le module thermique d appartement TacoTherm Dual Piko s adapte parfaitement à toutes les configurations
Plus en détailCarnet Sanitaire. consignant les opérations d entretien et de surveillance des installations intérieures d eau et d air.
CARNET SANITAIRE CARNET SANITAIRE 2 NOM DE CLIENT : ADRESSE : CODE POSTAL LOCALITE : Carnet Sanitaire consignant les opérations d entretien et de surveillance des installations intérieures d eau et d air.
Plus en détail