L'intoxication oxycarbonée en région parisienne en 2000
|
|
- Gabrielle Pageau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L'intoxication oxycarbonée en région parisienne en 00 LABORATOIRE CENTRAL DE LA PRÉFECTURE DE POLICE' NDLR : Document reproduit avec l'autorisation de la préfecture de police. L'intoxication par le monoxyde de carbone CO reste la première cause d'accident domestique mortel en France (ministère de l'emploi et de la Solidarité). En 12 ans, enquêtes concernant des intoxications oxycarbonées graves ont été effectuées par le Département des pollutions et des nuisances du Laboratoire central dans Paris et les trois départements périphériques. Ces intoxications ont provoqué, pendant la période considérée, 197 décès et intoxications ayant entraîné l'hospitalisation des victimes concernées. Principales causes d'intoxication oxycarbonée en 00 Les cas d'intoxication oxycarbonée graves, mis en évidence au cours de 4 interventions du Laboratoire central pour recherche des sources de pollution, ont entraîné l'hospitalisation de 394 person nes intoxiquées et le décès de 7 d'entre elles (Figures 1 et 2, p. 00). L'ensemble des appareils à gaz raccordés représente 64,4 % des affaires d'intoxicatio n oxycarbonée. Ces types d'appareils sont à l'origine de tous les décès constatés. Le nombre d'intoxications oxycarbonées dû à des chauffe-eau non raccordés dépourvus de sécurité contrôleur d'atmosph ère reste faible (7,7 % des cas), mais perdure. Les tempêtes de l'hiver sont à l'origine d'une augmen tation des incidents. Les installations en terrasse de VMC-Gaz, endommagées, ont présenté des défectuosités de fonctionnement. Les vents violents ont aussi provoqué, sur les conduits de fum ées collectifs de type Shu nt, une reprise des gaz de combusti on siphon nés par le conduit de fumées du dernier étage. Les intoxications liées à l'utilisation d'un appareil de chauffage à charbon ont diminué par rapport à l'année 1999 (2 cas enregistrés). 39 bis, rue de Dantzig, 70 1 Paris. Tél. : Fax : Il convient de signaler trois affaires d'intoxication oxycarbonée co llective: à Montfermeil (93), 14 personnes ont été intoxiquées par le dysfonctionnemen t d'une chau dière à gaz insta llé e dans un ap pa rtem ent au rez-de chaussée et raccordée à un conduit de fumées non étanche. Suite à l'appel des occupants de l'appartement du premier étage, l'alerte a été donnée par l'équipe de permanence du laboratoire qui, s'étant rendue sur place immédiatement, a ainsi sauvé les deux familles ; à Nanterre (92), une chaudière à gaz défectueus e a provoqué l'intoxication de 22 personnes sur plusieurs étages d'un pavillon ; à Saint-Denis (93), l'utilisation d'un groupe électrogène à essen ce à J'intéri eur de locaux ferm és, alors que ce type d'appareil doit être utilisé exclusive me nt en extérieur, à l'air libre, a provoqué l'intoxication de 60 personnes. Les figures 3 et 4, p. 01, montrent l'évolution des affaires traitées par le Laboratoire central. Chaque année, ce sont les appareils à gaz racc ordé s qui son t à l'origin e du plus gra nd nombre d'accidents. Causes de mauvais fonctionnement des installations à gaz Les éléments recueillis au cours des enquêtes sur les acci den ts liés à l'ut ilis atio n des appa re ils POLLUTION ATMOSPHÉR IQUE W OCTOBRE-DÉCEMBRE
2 OOCUMENTS _ 8 13 appareils à gaz raccordés appareils à gaz non raccordés appareils à circuit étanche, VMC-Gaz chauffages à charbon et d'appoint moteurs à combustion Figure 1. Répartition des affaires par type d'appar eil. 1 > appareil de chauffage à gaz raccordé. chauffe-bain raccordé. VMC gaz Figure 2. Répartition des 7 décès par type d'appareil. 00 POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE N OCTOBR E-DÉCEMBRE 01
3 OOCUMENTS O;-----I--r j l "~.\ total. Figure 3. Evolution des enquêtes par département de 1990 à O-f-l--+-~f total Figure 4. Évolution des décès par département de 1990 à 00. POLLUTION ATMOSP HÉRIQUE N OCTOBRE-DÉCEMBRE 01 01
4 OOCUMENTS _ alimentés au gaz permettent de déterminer les principales causes de mauvais fonctionnement suivantes : l'encrassement est responsable du défaut de fonctionnement des apparei ls ra cc ordé s, ainsi que la conjoncture de plusieurs causes mises en jeu simultanément (mauvais entretien, défaut de ventilation du local, état des conduits de racc o rdement et de fumées) (Figure ) ; J'obstruction des conduits de fumées et de raccordement ains i qu'un débou ch é non rég leme nta ire restent les cas le plus souvent rencontrés parmi les défauts observés (Figure 9, p. 04) ; l'encrassement excess if des brû leurs et/o u des ailettes situées en partie supérieure du chauffe-eau ainsi que le défaut de fonctionnement de la sécurité demeurent la principale ëause du mauvais fonctionnement des appareils non raccordés (Figure ) ; seule la moitié du parc des appareils contrôlés est install ée da ns les loca ux correctement ventilés (Figure 8, p. 04), po ur l'autre moitié, les ventilations sont insuffisantes, obturées, encrassées ou absentes. NB : l'entretien ann uel des apparei ls est loin d'être réalisé. La périodicité d'entretien est souvent supérieure à deux ans et plus. Un nombre important des personnes rencontrées ignore la date du dernier entretien, ce qui correspond vraisemblablement à un manque d'entretien (Figure 6, ci-contre) ; Par ailleurs : les ap pareils, raccordés ou non à un con duit de fumées, à l'origine des accidents, se trouvent le plus fréquemment insta llés dans l'habitat collec tif (Figure 7, ci-contre) ; 9 % des chauffe -eau non raccordés desservent des baignoires ou des bacs de plus de 0 litres, en con trad iction ave c la rég lementation (Figure, p.0). Conclusion Les enquêtes réalisées en 00 ont montré que la principale cause d'intoxicat ion par le monoxyde de carbo ne est due àlutilisation d'appare ils raccordés (chauffage à gaz et chauffe-bains). L'origine du mauvais fonctionnement des appareils reste principalement le ma nque d'ent ret ie n des appare ils et ce lu i de s conduits de raccordeme nt et de fumée. Des défauts d'installation tels que mauvais raccordement, ventilation insuffisante du local s'y ajoutent trop souvent. L'événement climatique excep tionnel de l'hiver mon tre que, lors d'épisodes de vents violents, il est nécessaire d'être vi gilant pour les installations de VMC-Gaz qui peuvent être endommagées et les conduits de fumées de type Shunt qui ne fonctionnement pas de façon satisfaisante encrassement fonctionnement prolongé sécurité ne fonctionne pas causes multiples Cl appareil raccordé 0 appareil non raccordé Figure. Fonctionnement des appareils. 02 POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE W OCTOBRE -DÉCEMBRE 01
5 OOCUMENTS 2 1 < 1 an > 1an et < 2 ans > 2 ans sans réponse Clappareil raccordé D appareil non raccordé Figure 6. Périodicité d'entretien des appareils !E..Q :::J ID E:. o appareil raccordé 0 appareil non raccordé Figure 7. Nature de l'habitat. POLLUTI ON ATMOS PHÉRIQUE W OCTOB RE-DÉCEMBRE 01 03
6 OOCUMENTS _ réglementaire insuffisante obturée encrassée absente o appareil raccordé 0 appareil non raccordé Figure 8. Ventilation du local ' Q) 2 û.0 o ;;; o.. c Q) 0 0) ' - ct!m ~ m :;::::;0), ~ Q) ci ~ ' Q) ë'"o o U Q).s: U Cct!."Q; c o c Q) '"O Q) Q) ~ c.oq) E."Q; ct! '"0 oc U Figure 9. État des conduits de fumées. (63 appareils raccordés). 04 POLLUTION ATMOSP HÉRIQUE W OCTOBRE-DÉCEMBRE 01
7 OOCUMENTS ~ a 1 T 1 1 poste 1 poste + douche 2 postes + douche bac> 0 1 Figure. Postes d'eau chaude desservis par les 11 appareils non raccordés. POLLUTION ATMOSP HÉRIQUE N OCTOBR E-DÉCEMBRE 01 0
Prévention des intoxications Entretien des chaudières
Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,
Plus en détail«Votre sécurité, est notre priorité»! D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e...
D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e... A l e r t e r... «Votre sécurité, est notre priorité»! Copyright photo: Dôme Sécurité exerce dans le
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone
DOSSIER DE PRESSE Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone www.intoxco-npdc.fr Septembre 2014 SOMMAIRE Communiqué de presse.. 3 Pourquoi une alerte SMS... 4 Chiffres clés
Plus en détailFICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc
FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.
Plus en détailSommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN
Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN COLLECTIF 6 TRAITEMENT DES DGI 7 LES AUTRES MODIFICATIONS 2 A la une INFO La mise en application prévue au 1er juin 2013 nécessitera la publication de son arrêté de
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailCATALOGUE DE hformation GAZ
CATALOGUE DE hformation GAZ 6 Rue des Bonnes Gens 68025 COMAR CEDEX Tél : 03.69.28.89.00 Fax : 03.69.28.89.30 Mail : contact@coprotec.net Site : www.coprotec.net SOMMAIRE PRESENTATION... 3 NOS FORMATIONS
Plus en détailModèle de rapport de visite de l'état de l'installation intérieure de gaz
Modèle de rapport de visite de l'état de l'installation intérieure de gaz Le rapport établi par l'opérateur de diagnostic doit comporter au minimum les informations ci-après. A. - Désignation du ou des
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailRapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz
Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : AFNOR NF P 45-500 09 h 00 01 h 45 La présente
Plus en détailMONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL
DOSSIER DE PRESSE NOVEMBRE 2005 MONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL «Maux de tête, vertiges, perte de connaissance, coma, voire décès Le monoxyde de carbone (CO) est invisible, inodore
Plus en détailAccueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!
Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailTITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES
TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux
Plus en détailVOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE
G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006
DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006 Intoxication au monoxyde de carbone Incendies domestiques A la maison, un réflexe en plus, c est un risque en moins! 1 Sommaire Intoxication au monoxyde de carbone et incendies
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailNotice de sécurité de votre. installation au gaz naturel
Notice de sécurité de votre installation au gaz naturel 1 Sommaire 2 3 Le gaz naturel, une énergie d avenir 05 Le gaz naturel. Faire bon usage du gaz naturel 07 Description générale de l installation du
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détail36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE
T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul
Plus en détailETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ
SARL CLAUDE MOREAU 401 rue de Bordeaux 16000 ANGOULEME Tél. : 05 45 94 10 94 - Fax : 05 45 94 66 57 http://www.claude-moreau-diagnostic.com ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ Date de la mission :
Plus en détailLa santé de votre entreprise mérite notre protection.
mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille
Plus en détailCopropriété: 31, rue des Abondances 92100 Boulogne-Billancourt
Eléments utilisés: Copropriété: 31, rue des Abondances 92100 Boulogne-Billancourt Notice explicative sur la ventilation de la facture EDF annuelle entre les différents postes de consommation à répartir
Plus en détailoq'q" PROTOCOLE D'ACCORD CONTRATS D'ENTRETIEN
oq'q" PROTOCOLE D'ACCORD CONTRATS D'ENTRETIEN Préambule: Dans le cadre des compétences du Conseil de conceftation locative, les représentants signataires du présent protocole ont souhaité valider le principe
Plus en détailEntretien annuel des chaudières fioul de 4 à 400 kw Fiche technique
Entretien annuel des chaudières fioul de 4 à 400 kw Fiche technique Edition décembre 2009 sommaire La règlementation p.1 L entretien étape par étape p.2 L évaluation du rendement de la chaudière et des
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailQuelques conseils sur les équipements de chauffage d'appoint ou d'urgence
L'AGENCE DE L'EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE NE VEUT EN AUCUN CAS PRIVILÉGIER L'UN OU L'AUTRE DES SYSTÈMES. ELLE DÉSIRE TOUT SIMPLEMENT INFORMER DE FAÇON NEUTRE LE CONSOMMATEUR. Quelques conseils sur les équipements
Plus en détailAuré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE
Les solutions solaires pour l Eau Chaude Sanitaire ou le Chauffage ficie z d'u Auréa n it Crédpôt d'imn la loi deueur Béné Solar Keymark N 011-7S841 F Chauffe-Eau Solaire selo s en vig ce finan Système
Plus en détailBienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1
Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction
Plus en détailZone Région de Bruxelles Capitale
Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,
Plus en détailContrat d'association avec mise en commun des honoraires
Les soussignés : Contrat d'association avec mise en commun des honoraires 1) nom, prénom, qualification professionnelle, adresse privée, matricule national, code médecin personnel 2) etc. ont convenu d'établir
Plus en détailTours - les îlots. Généralités. Historique. Maître d'ouvrage Ville de Tours, puis les copropriétés concernées
Tours - les îlots Généralités Maître d'ouvrage Ville de Tours, puis les copropriétés concernées Gestionnaire Syndic de copropriété Citya Beranger Linéaire 3 800 m Années de construction Construction des
Plus en détailÉTAT DES LIEUX ÉTAT DES LIEUX CONTRADICTOIRE À ANNEXER AU CONTRAT DE LOCATION
ÉTAT DES LIEUX ÉTAT DES LIEUX CONTRADICTOIRE À ANNEXER AU CONTRAT DE LOCATION État des lieux d'entrée État des lieux de sortie Nouvelle adresse (Etats des lieux de sortie) LES LOCAUX Appartement Maison
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailNF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page
Sommaire Page Avant-propos...5 1 Domaine d application...6 2 Caractéristiques...6 3 Conditions générales...6 3.1 Services ou prestations compris dans le contrat d abonnement...6 3.2 Durée et dénonciation...7
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détail" Bienvenue chez vous "
" Bienvenue chez vous " Un doute, une question, un problème? JE CONTACTE LE SIRES Guide du locataire entretien du logement Organisme affilié à la Fédération Nationale HABITAT & DEVELOPPEMENT http://www.habitatdeveloppement.fr
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailQualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable
Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CONTRAT D'EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES LOT CI FUEL MAITRISE D'OUVRAGE
CONTRAT D'EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES LOT CI FUEL CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAITRISE D'OUVRAGE 26 rue de Fleurier B.P. 70309 70006 VESOUL Cedex ~ 03.84.96.13.50
Plus en détailSommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire
Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries
Plus en détailCet ouvrage est destiné aux petites entreprises et artisans électriciens ou climaticiens.
SOLUTIONS DE VENTILATION DANS L'HABITAT INDIVIDUEL OBJET Cet ouvrage est destiné aux petites entreprises et artisans électriciens ou climaticiens. Il a pour but de les sensibiliser aux problèmes de ventilation
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailGrille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise
Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailEau chaude à partir de demain plus qu il n en faut
SYSTEME DE VENTILATION A CONDUIT UNIQUE Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut LIMODOR-Plus se charge de couvrir vos besoins quotidiens en eau chaude LIMODOR-PLUS La ventilation confort au
Plus en détailGSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains
AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable
Plus en détailRésidentiel. Une hotline technique afin de répondre à toutes vos questions techniques et réglementaires. www.cegibat.grdf.fr
Aide-mémoire Résidentiel Depuis plus de 0 ans, CEGIBAT conseille les professionnels du gaz et du bâtiment sur les sujets techniques et réglementaires. Édition 0 Avec cette nouvelle édition, CEGIBAT a la
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailHabitat 70 VOTRE OFRCE PUBLIC LE L'HA8ITP,T EN -
.D~~ Habitat 70 VOTRE OFRCE PUBLIC LE L'HA8ITP,T EN - CONTRAT D'EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES GAZ NATUREL 1 GAZ PROPANE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAITRISE
Plus en détailComment les Français gèrent l eau dans leurs foyers?
Comment les Français gèrent l eau dans leurs foyers? Mai 2015 Sondage réalisé par pour Fiche technique Recueil Echantillon Enquête réalisée auprès d un échantillon de Français recrutés par Access Panel
Plus en détailHoval TopSafe L assurance qualité de votre chauffage 12 ans de garantie totale pour un prix prédéterminé.
Hoval TopSafe Le contrat d entretien pour votre chauffage L assurance qualité de votre chauffage 12 ans de garantie totale pour un prix prédéterminé. Avec Hoval TopSafe, offrez-vous le luxe d oublier votre
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détail1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES
!"#!$# #"%&&&&' 1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES DEMANDES... 5 1.5.1. Du lundi au vendredi
Plus en détailCONTRAT D ENTRETIEN N pour convecteur, boiler, chauffe-eau, chauffe-bain, chaudières au gaz souscrit par..
A compléter par Saniflo : Mois d exécution :. Date d effet :././ Date de réception :../ /.. Durée de validité du service choisi :. CONTRAT D ENTRETIEN N pour convecteur boiler chauffe-eau chauffe-bain
Plus en détailGuide. Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement
Guide Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement L entretien de votre logement Qui fait quoi? Un évier bouché, une chaudière en panne... Que dois je faire? A qui m adresser? Pièce par
Plus en détailLes répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs
Septembre 2012 Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Immeubles collectifs (gérance et copropriété) Depuis une ordonnance n 2011-504 du 9 mai 2011, l article L 241-9 du Code
Plus en détailCommune de STAFFELFELDEN Espace Générations 68850 STAFFELFELDEN Tel : 03.89.55.08.21 - Fax : 03.89.55.57.77 ENTRETIEN DES CHAUFFERIES GAZ
Commune de STAFFELFELDEN Espace Générations 68850 STAFFELFELDEN Tel : 03.89.55.08.21 - Fax : 03.89.55.57.77 ENTRETIEN DES CHAUFFERIES GAZ Bordereau de Prix Mai 2011 Entretien des chaufferies gaz A. Descriptifs
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailVERSION 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé les travaux
VERSION 2011 Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt du 1 er janvier 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détail"ÉMISSIONS TRADING" ET CONTROLE DES REJETS DE POLLUANTS ATMOSPHERIQUES ISSUES DE CENTRALES THERMIQUES * SYNTHESE
"ÉMISSIONS TRADING" ET CONTROLE DES REJETS DE POLLUANTS ATMOSPHERIQUES ISSUES DE CENTRALES THERMIQUES * SYNTHESE Afin de faire face aux dégâts engendrés ces dernières années par les polluants "acides",
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailARCHITECTE-FICHES RESSOURCES
ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES Vue du terrain à bâtir Plan de masse Surface plancher La «surface de plancher» s entend comme la somme des surfaces de plancher dans la maison dans les pièces où la hauteur
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailLA NORME NF C 15-100 INSTALLATION ELECTRIQUE
LA NORME NF C 15-100 INSTALLATION ELECTRIQUE La norme NF C 15-100 - (Extraction) Depuis le 31 mai 2003, date de dépôt des permis de construire faisant foi, les ouvrages doivent respecter les articles de
Plus en détailCAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse
CAMPING-CAR La chaleur douce et silencieuse Une technologie écologique pour votre bienêtre. Le système Alde à eau caloporteuse vous procure un confort inégalé. Au-delà d'une chaleur homogène et silencieuse,
Plus en détailMUNICIPALITE DE GLAND
MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailLe Guide du locataire
Le Guide du locataire Page 4 6 8 4 6 S O M M A I R E A votre arrivée Au moment de l installation Chez vous, au quotidien Entretien et réparations de votre logement Se rendre la vie plus agréable Des écogestes
Plus en détailL énergie. chapitre 3
L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en
Plus en détailRÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR
RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE
SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE Santé environnementale MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Direction de la sécurité civile Sous-direction
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailRésumé et comparaison des coûts
Salon Greentech Fribourg Energies de chauffage Etat des lieux et perspectives Résumé et comparaison des coûts des différents systèmes de chauffage Jeudi 22 octobre 29 1 Comparaison des vecteurs énergétiques
Plus en détailComment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS
Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source
Plus en détailÉconomiser l Électricité
Économiser l Électricité c est simple Document réalisé par l Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Observatoire Régional de l Énergie Midi-Pyrénées
Plus en détailneotower Principe de fonctionnement
Le neotower de RMB/Energie La petite centrale de couplage-chaleur-force de l'avenir Silencieux Robuste Efficace Compact La fascination est contagieuse Allumez le feu neotower Principe de fonctionnement
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL DU LOCATAIRE
LIVRET D ACCUEIL DU LOCATAIRE Vous venez ou vous allez réserver ou louer un appartement dont notre cabinet assure la gestion. Nous vous remercions de cette marque de confiance. Vous trouverez dans ce petit
Plus en détailN 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3
Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a
Plus en détailDes gestes à poser en cas d urgence
D I N SU Le Il s agit d une urgence quand : R L L DR R L R MRT L S C U S U M R L TL C D R R R S UR N T MR 09-203-01FA Gouvernement du Québec, 2009 C L D DR C DR S I Composez le 9-1-1 ou appelez le Centre
Plus en détailCe qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire
Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux
Plus en détailDESCRIPTIF PHASE D.C.E.
MAITRE D'OUVRAGE : COMMUNE DE VEUREY-VOROIZE! OBJET CHANTIER : CONSTRUCTION MAISON DE LA NATURE LIEU DU CHANTIER : SECTEUR DES JAYERES 38113 VEUREY-VOROIZE DESCRIPTIF PHASE D.C.E. LOT 4 PLOMBERIE - SANITAIRES
Plus en détailMARCHE PUBLIC RELATIF A L ENTRETIEN ET AU DEPANNAGE DES CHAUFFERIES DES BATIMENTS COMMUNAUX ET DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES DES LOGEMENTS COMMUNAUX
DEPARTEMENT DE SAONE ET LOIRE VILLE DE SANVIGNES-LES-MINES MARCHE PUBLIC RELATIF A L ENTRETIEN ET AU DEPANNAGE DES CHAUFFERIES DES BATIMENTS COMMUNAUX ET DES CHAUDIERES INDIVIDUELLES DES LOGEMENTS COMMUNAUX
Plus en détailLa certification en pratique
La certification en pratique Aspects "systèmes" Frédéric Renard Icedd 1 Sommaire PARTIE 1 : Rapport partiel Cadre réglementaire Arbre de décision «systèmes» application sur des cas concrets En pratique
Plus en détailExemple de repérage de tableau électrique
Exemple de repérage de tableau électrique Module 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 Cuisine Buanderie En aval du CH1 Cuisine CH2 WC module 6 Buanderie CH1 SdeB Toute la 1ere rangé + module 12 et 13 de la 2eime
Plus en détailAutoris ations pour :
MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures Tél (00228) 22326950/ 22210250 Autoris ations pour : Exercice en qualité de
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détail