Bases de Données-Conception CONCEPTION D UNE BASE DE DONNEES
|
|
- Simon Fortier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bases de Données-Conception CONCEPTION D UNE BASE DE DONNEES N.Lammari 1 INTRODUCTION Responsable de la bibliothèque X Concepteur Je souhaite avoir une application de gestion de ma bibliothèque D accord! N.Lammari 2 1
2 INTRODUCTION Bibliothèque X Il y des livres, des adhérents, des bibliothécaires,.. Le bibliothécaire achète des livres et les mets à la disposition de l adhérent. L adhèrent emprunte un livre pour une certaine durée et le rend à la bibliothèque N.Lammari 3 INTRODUCTION Monde réel Objets Propriétés Valeurs Comment faire? Bibliothécaire ou adhérent Application G-BIBLIO Ensemble de programmes SGBD BASE DE DONNEES Fichiers, données N.Lammari 4 2
3 INTRODUCTION - structuré + structuré Monde réel Monde Conceptuel Monde de l ordinateur Objets Propriétés Valeurs Entités Associations Attributs Tables Schémas Attributs Base de données Modélisation conceptuelle des données Modélisation Logique des données Modélisation physique des données N.Lammari 5 EXEMPLE : l OFFICIEL DES SPECTACLES Expression des besoins : Stocker les principales informations sur l officiel des spectacles Les films ainsi que les informations concernant le metteur en scène, les principaux acteurs,. Les informations concernant les différentes salles de cinéma Les horaires de passage des films dans des salles de cinéma. Procéder à différentes types d interrogations de la base : Savoir les films qui passent à Paris Quels sont les cinémas d un arrondissement donné Titre des films joués par un acteur donné Titre des films tournés par un metteur en scène donné. Tenir à jour des informations de l officiel des spectacles. N.Lammari 6 3
4 EXEMPLE : l OFFICIEL DES SPECTACLES ARTISTE NomArtiste PrénomArtiste AnnéeNaissArtiste 0,n 0,n A réalisé CINEMA A Joué NomCinema Adresse 1,n 1,n 1,1 FILM CodeFilm TitreFilm AnnéeFilm SALLE 0,n N Salle CapacitéSalle 1,1 0,n Appartient Passe PLANNING Date Heure 0,n N.Lammari 7 EXEMPLE : l OFFICIEL DES SPECTACLES ARTISTE (NomArtiste, PrénomArtiste, AnnéeNaissArtiste) FILM (CodeFilm, TitreFilm, AnnéeFilm, NomRéalisateur) SALLE (N Salle, NomCinéma, CapacitéSalle) CINEMA (NomCinema, Adresse) JOUE (NomArtiste, CodeFilm) PLANNING (N Salle, Date, Heure, CodeFilm) N.Lammari 8 4
5 EXEMPLE : l OFFICIEL DES SPECTACLES ACTEUR (NomActeur, PrénomActeur, AnnéeNaissActeur) REALISATEUR (NomRéalisateur, PrénomRéalisateur, AnnéeNaissRéalisateur) FILM (CodeFilm, TitreFilm, AnnéeFilm, NomRéalisateur) SALLE (N Salle, NomCinéma, CapacitéSalle) CINEMA (NomCinema, NumNomRue, CodePostal) JOUE (NomActeur, CodeFilm) PLANNING (N Salle, Date, Heure, CodeFilm) N.Lammari 9 INTRODUCTION Phases de conception d une base de données Besoins d une application Analyse et spécification des besoins Modélisation Conceptuelle Modélisation Logique Base de données Programmes NFA008 Modélisation Physique Phases de conception des traitements Documentation NFA007 N.Lammari 10 5
6 MODELES ET NIVEAUX D ABSTRACTION Modélisation Conceptuelle Modèle E/R ou E/A (Entités/relationships) Règles de passage Modélisation Logique Modèle relationnel Opérations d optimisation Modélisation Physique Modèle relationnel N.Lammari 11 MODELE ENTITE/ASSOCIATION (E/A) Proposé par Peter Chen en 1976 Perçoit le monde réel comme un ensemble d objets liés. Les objets du monde réel sont représentés par des entités, les liens entre ces objets par des associations. Décrit la structure de la base de données à travers un modèle E/A Utilise un diagramme pour représenter graphiquement le modèle E/A de la base de données. Il est la base de beaucoup de modèles de données de plusieurs méthodes de conception : MERISE, OMT N.Lammari 12 6
7 CONCEPTS DU MODELE E/A ATTRIBUT ET DOMAINE D UN ATTRIBUT ENTITE ET ENTITE-TYPE IDENTIFIANT ASSOCIATION ET ASSOCIATION-TYPE CONTRAINTES SUR L ASSOCIATION-TYPE N.Lammari 13 ENTITE LE CONCEPT D ENTITE Un objet concret ou abstrait du monde réel qui se distingue des autres objets Tout objet du monde réel pertinent pour l application Exemples Exemple d objet concret : Chaque amphi du CNAM est un objet donc une entité : l amphi 1 est un objet Dans l officiel des spectacles le cinéma Rex est une entité de ce monde réel Dans la bibliothèque X l adhèrent DUPONT est une entité Exemple d objet abstrait : L inscription de n XXXX de l étudiant DUPONT est une entité Dans l officiel des spectacles le film de nom «Impitoyable» est une entité Dans la bibliothèque X le prêt du livre «base de donnée» effectué par adhèrent DUPONT est une entité N.Lammari 14 7
8 LE CONCEPT D ENTITE-TYPE ENTITE-TYPE Concept permettant de décrire un ensemble d entité de même type c.à.d possédant les mêmes caractéristiques. Exemples L entité-type AMPHI décrit l ensemble des amphi du CNAM. Tout amphi du CNAM possède un nom, une capacité, une localisation, etc. Dans l officiel des spectacles, FILM représente l ensemble des films. Chaque film possède un titre, une année de parution, etc. Dans la bibliothèque X, ADHERENT est une entité-type représentant l ensemble des adhérents de la bibliothèque. Chaque adhèrent possède un numéro adhèrent, un nom, un prénom, une adresse, etc. N.Lammari 15 DOMAINE ET ATTRIBUT ATTRIBUT Une propriété ou une caractéristique d une entité-type Il possède un nom et un domaine de valeurs DOMAINE D UN ATTRIBUT Un ensemble de valeurs permises pour cet attribut EXEMPLES Le titre d un film, son année de parution sont les attributs de l entité-type FILM. Le titre d un film a pour nom Titre. L année de parution a pour nom Année. Titre est une chaîne de 1 à 30 caractères et Année est un entier compris entre 1800 et Un attribut prend une est une seule valeur à la fois pour une entité de l entité type N.Lammari 16 8
9 IDENTIFIANT D UNE ENTITE-TYPE IDENTIFIANT C est un sous ensemble des attributs de l entité-type Sert à distinguer les objets / entités dans l entité-type : deux entités possibles d une même entité-type ne peuvent pas avoir la même valeur pour l identifiant. EXEMPLE Le N de carte adhérent permet de distinguer l ensemble des adhérents d une bibliothèque Il peut jouer le rôle d identifiant pour l entité-type ADHERENT. Le N inscription d un auditeur au CNAM peut jouer le rôle d identifiant pour l entité-type AUDITEUR représentant l ensemble des auditeur du CNAM Dans un système de gestion d une prison, on peut avoir à décrire les différentes cellules de cette prison à travers une entité-type CELLULE dont les entités sont identifiables par le numéro de la cellule dans le couloir. Par conséquent, identifiant de CELLULE sera : {NumCellule, NumCouloir N.Lammari } 17 IDENTIFIANT D UNE ENTITE-TYPE Toute entité-type doit avoir au moins un identifiant N.Lammari 18 9
10 IDENTIFIANT D UNE ENTITE-TYPE NATURE DE L IDENTIFIANT Un identifiant peut être : Naturel : est construit à partir des attributs de l entité-type Artificiel ou abstrait : il est improvisé Il peut y avoir plusieurs identifiant potentiel en choisir un seul Exemple Le numéro de carte de l entité-type AUDITEUR est un identifiant naturel. Dans l officiel des spectacles, FILM représente l ensemble des films. Chaque film possède un titre, une année de parution. Or ni le titre du film ni l année de parution, ni la conjonction des deux ne peut jouer le rôle d identifiant. Par conséquent, on construit un artificiel qu on rajoute à l ensemble des attributs de FILM. On peut, par exemple l appeler IdFilm. N.Lammari 19 REPRESENTATION GRAPHIQUE DE L ENTITE-TYPE Un ensemble d entités ayant les mêmes caractéristiques «Cyrano», 1992 «Le dernier Métro», 1980 «Les oiseaux», 1963 Le titre du film L année de Parution du film Une entité-type FILM IdFilm Titre Année Nom de l entité-type Identifiant de l entité-type Attribut de l entité-type N.Lammari 20 10
11 UN AUTRE EXEMPLE : LES LIVRES DE LA BIBLIOTHEQUE X «Le modèle relationnel» «Bouzeghoub, Jouve, Pucheral», «Hermes», «1998» « » «Bases de données et systèmes d information», «Boudjlida», «Dunod», «1999» « » «Bases de données objet et relationnel», «Gardarin», «Conception des bases de données relationnelles», «Eyrolles», «Akoka et Comyn Wattiau», «1999» «Vuibert», « » «2001» « » N.Lammari 21 SUITE EXEMPLE Quelque soit le livre, il a un titre représentée par une chaîne de caractères Quelque soit le livre, il a un éditeur représentée par une chaîne de caractères Quelque soit le livre, il a une année de parution représentée par un entier de 4 chiffres ne dépassant pas 2003 Quelque soit le livre il a un ou plusieurs auteurs. Chaque auteur est représenté par une chaîne de caractères Quelque soit le livre il a un numéro ISBN qui est un entier de 10 chiffres Deux livres quelconques ne peuvent pas avoir le même numéro ISBN N.Lammari 22 11
12 SUITE EXEMPLE LIVRE NumIsbn TitreLivre NomEditeur AnnéeParution ListeAuteurs Mauvaise entitétype car un attribut est atomique dans un modèle E/A N.Lammari 23 SUITE EXEMPLE LIVRE NumIsbn TitreLivre NomEditeur AnnéeParution AUTEUR IdAuteur NomAuteur Entité-type bien conçues car tout attribut est atomique Reste maintenant à les lier pour exprimer le fait qu un livre est écrit par un ou plusieurs auteurs N.Lammari 24 12
13 ASSOCIATION ET ASSOCIATION-TYPE ASSOCIATION Lien entre deux objets /entités du monde réel «Bases de données et systèmes d information»., «Dunod», «1999» « » «Le modèle relationnel» «Hermes», «1998» « » Association entre objets «1», «Boudjlida» «2», «Bouzeghoub» «3», «Jouve» «4», «Pucheral» N.Lammari 25 ASSOCIATION ET ASSOCIATION-TYPE Adjani Anglade Depardieu Taylor. Ensemble des acteurs Rappeneau Adèle H. La reine Margot Nocturne Indien Cyrano Les oiseaux.. Ensemble des films Hitchcock Ensemble des metteurs en scène Ceux sont deux associations différentes entre objets: L une exprime le lien de mise en scène, l autre le lien de participation en tant que acteur N.Lammari 26 13
14 ASSOCIATION ET ASSOCIATION-TYPE ASSOCIATION-TYPE Représente un ensemble d association de même type: des associations liant des mêmes ensemble d entités et décrivant la même sémantique On lui affecte un nom (généralement un verbe) EXEMPLE On peut définir pour l exemple précédent deux associations- type : L association-type JOUE qui décrit le lien entre l entité-type Film représentant les films de l officiel des spectacles et l entité-type ACTEUR représentant l ensemble des acteurs. L association-type REALISE qui décrit le lien entre l entité-type Film représentant les films de l officiel des spectacles et l entité-type METTEUR-EN-SCENE représentant l ensemble des metteurs en scène. N.Lammari 27 REPRESENTATION GRAPHIQUE D UNE ASSOCIATION-TYPE Nom association-type N.Lammari 28 14
15 EXEMPLE FILM.. LIVRE NumIsbn TitreLivre NomEditeur AnnéeParution Joue A écrit ACTEUR.. AUTEUR IdAuteur NomAuteur Réalise METTEUR-EN-SCENE.. N.Lammari 29 INTERPRETATION MATHEMATIQUE C est une relation mathématique définie entre deux ensembles. C est un produit cartésien entre ensemble d entités composant les entités-type. Elle peut être une simple application, une bijection, etc.son ensemble peut être représenté sous forme de diagramme de VENN ou sous forme tabulaire e 11 : (v(ide 11 ),.) a 1 : (v(ide 11 ), v(ide 21 )) e 21 : (v(ide 21 ),.) X X X X X Ensemble d entités de l entité-type E1 X X X X X X X X X X Ensemble d entités de l association-type Ensemble d entités N.Lammari 30 de l entité-type E2 15
16 EXEMPLE DE REPRESENTATION DE L ENSEMBLE DES ELEMENTS D UNE ASSOCIATION-TYPE «Bases de données et systèmes d information»., «Dunod», «1999» « » LIVRE «Le modèle relationnel» «Hermes», «1998» « » AUTEUR «1», «Boudjlida» «2», «Bouzeghoub» A ECRIT «1», « » «3», «Jouve» «2», « » «4», «Pucheral» N.Lammari 31 EXEMPLE A ECRIT «1» « » «2» « » «3» « » «4» « » N.Lammari 32 16
17 TYPE D ASSOCIATIONS-TYPE ASSOCIATION BINAIRE Association-type liant deux entités-type ASSOCIATION N-AIRES Association-type liant plus de deux entités-type Association-type quaternaire N.Lammari 33 EXEMPLE D ASSOCIATION N-AIRES Exemple : Dans un système de gestion des commandes on souhaite exprimer le fait qu un client commande un produit dans un magasin PRODUIT CodeProduit Designation.. CLIENT NumClient AdresseCli Commande MAGASIN IdMagasin AdresseMag N.Lammari 34 17
18 ATTRIBUTS D UNE ASSOCIATION-TYPE ATTRIBUTS D UNE ASSOCIATION Les identifiants des entités-type qui la compose Plus éventuellement d autres attributs EXEMPLE ACTEUR Soit l association-type : IdActeur Nom Prénom Joue FILM IdFilm Titre Année On souhaite garder trace du rôle de chaque acteur dans un film. La solution : mettre l attribut «Rôle» dans l association-type JOUE ACTEUR IdActeur Nom Prénom Joue Rôle FILM IdFilm Titre Année N.Lammari 35 ATTRIBUTS D UNE ASSOCIATION-TYPE. «100, Eastwood, Clint» «20, Impitoyable, 1992» «101, Hackman, Gene» «103, Smith, Will» «21, Ennemi d état, 1998». ACTEUR JOUE «100, 20, William, Munny» «101, 20, Little Bill» «101, 21, Bril» «103, 21, Robert Dean» FILM N.Lammari 36 18
19 IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE C est l ensemble formé des identifiants des entitéstype qui la composent EXEMPLE L identifiant de JOUE est {IdFilm, IdActeur} ACTEUR IdActeur Nom Prénom Joue Rôle FILM IdFilm Titre Année N.Lammari 37 IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE CAS PARTICULIER Pour modéliser le temps on peut avoir rajouter à l identifiant de l association-type un attribut décrivant le temps (date, heure, etc.) EXEMPLE On souhaite exprimer le fait qu un film a lieu dans une salle à une date donnée FILM SALLE SOLUTION IdFilm Titre Année A lieu Date IdSalle Nom Capacité N.Lammari 38 19
20 IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE «S11, AAA, 100» «S10, BBB, 100» SALLE IdSalle Nom Capacité «S10, 20, » «S11, 20, » A lieu Date «20, Impitoyable, 1992» FILM IdFilm N.Lammari Titre Année 39 IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE On souhaite maintenant exprimer le fait qu un film peut avoir lieu dans une même salle à des dates différentes A LIEU «S10, 20, » «S11, 20, » C est-à-dire avoir la possibilité, par exemple, d intégrer l association : «S10, 20, » Pas possible à cause de l identifaint de «A lieu» N.Lammari 40 20
21 IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE La solution est dintégrer dans l identifiant de «A lieu» la date. Ce qui donne le schéma suivant : FILM IdFilm Titre Année A lieu SALLE IdSalle Nom Capacité DATE Date Une date quelconque participant dans l association «A lieu» représente une date de passage d un film N.Lammari 41 dans une salle IDENTIFIANT D UNE ASSOCIATION-TYPE Ou encore le schéma suivant : FILM IdFilm Titre Année A lieu Date SALLE IdSalle Nom Capacité «Date» est soulignée pour exprimer le fait qu elle fait partie de l identifiant de l association-type «A lieu» N.Lammari 42 21
22 CONTRAINTES SUR LES ASSOCIATIONS-TYPE CONTRAINTE DE PARTICIPATION CONTRAINTES DE CARDINALITES N.Lammari 43 CONTRAINTE DE PARTICIPATION SIGNIFICATION L existence d une entité-type E2 dépend de l existence d une entité-type E1 reliée à E2 à travers une association-type A. Ou encore, l existence E2 dépend de l existence de E1 Si l on supprime une entité de E1, alors toutes les entités de E2 rattachées à E1 via A sont aussi supprimées La création d une entité de E2, suppose l existence d au moins une entité de E1 à laquelle elle sera rattachée. Entité-type régulière E1 A E2 Entité-type faible Quand la sémantique de l association est une sémantique de «est composée de» ou «fait partie de», l association A est appelée association de composition N.Lammari 44 22
23 CONTRAINTE DE PARTICIPATION EXEMPLE L entité-type LIGNE - COMMANDE dépend de l entitétype COMMANDE COMMANDE NumCommande DateCommande. A LIGNE_COMMANDE NumLigne Qtéproduit concerne LIGNE_COMMANDE est entité-type faible PRODUIT de COMMANDE L association-type A est une association IdProduit de composition Nom N.Lammari Prix 45 CONTRAINTE DE CARDINALITE SIGNIFICATION Nombre d entités avec qui une autre entité peut être liée Etant donnée une entité e d une entité-type E1, combien de fois elle peut être liée à une autre entité d une entitétype E2. Est-ce qu une entité de E1 peut être associée qu avec une et une seule entité de E2? Est qu une entité de E1 peut être associée à plusieurs entités de E2? Est-ce qu une entité de E1 peut ne pas s associer avec une entité de E2? E1 E2 el1 e21 el3 e23 e22 el2 e24 N.Lammari 46 23
24 CONTRAINTE DE CARDINALITE Peut-il y avoir un client qui ne passe pas du tout de commande? Si oui : CLIENT représente des clients potentiels Peut-il y avoir un client qui passe plusieurs commandes? Peut-il y avoir une commande dont on connaît pas le client? Peut-il y avoir une commande passée par plusieurs clients? CLIENT PASSER COMMANDE Cl1 Cl3 Cl2 Cd1 Cd3 Cd2 Cd4 N.Lammari 47 CONTRAINTE DE CARDINALITE Les cardinalités décrivent donc des règles de gestion du monde réel qu on souhaite modéliser vont donc servir à réduire le produit cartésien de l association. Valeurs de cardinalité n n m-n Le premier chiffre représente la cardinalité minimale Le second chiffre représente la cardinalité maximale La Notation utilisée dans le cadre de ce cours est celle de MERISE N.Lammari 48 24
25 CONTRAINTE DE CARDINALITE E1 E2 el1 e21 CLIENT el3 el2 e23 e22 e24 0, n Associer E1 0, n 1, 1 Associer E2 1, 1 COMMANDE N.Lammari 49 CONTRAINTE DE CARDINALITE COMMANDE NumCommande DateCommande. A 1, n 1, 1 LIGNE_COMMANDE NumLigne Qtéproduit 1, 1 FILM IdFilm Titre Année A lieu 0, n Date 0, n SALLE IdSalle Nom Capacité concerne 0, n PRODUIT IdProduit Nom Prix N.Lammari 50 25
26 CONTRAINTE DE CARDINALITE PRODUIT CodeProduit Designation.. CLIENT NumClient AdresseCli 1, n 0, n Commande Quantité 0, n MAGASIN IdMagasin AdresseMag N.Lammari 51 CONTRAINTE DE PARTICIPATION ET CARDINALITES Remarque Une contrainte de cardinalité 1,1 n implique pas une contrainte de participation EXEMPLE L association «s adresse» n a pas de contrainte de participation CLIENT n est pas entité faible de DEPOT L association-type «s adresse» n est pas une association de de composition DEPOT N DEPOT AdresseDépôt... 1, n S adresse 1,1 CLIENT N Client AdresseClient. N.Lammari 52 26
27 CONTRAINTE DE PARTICIPATION ET CARDINALITES Remarque Une contrainte de participation implique une cardinalité (1, 1) du côté de l entité faible. EXEMPLE L association-type «A» est une association de de composition Une ligne de commande compose une commande à la fois COMMANDE NumCommande DateCommande. A 1, n 1, 1 LIGNE_COMMANDE NumLigne Qtéproduit N.Lammari 53 TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION-TYPE N-AIRES EN ENTITE-TYPE Soit A une association-type entre les entités E1, E2,.En REGLE DE TRANSFORMATION DE A EN UNE ENTITE-TYPE E 1. Construire l entité-type E à partir des attributs de A hormis son identifiant 2. Attribuer un identifiant à E (artificiel si aucun sousensemble de E ne peut jouer le rôle d identifiant) 3. Créer entre l entité-type Ei et l entité-type E une association Ai de cardinalité 1-1 N.Lammari 54 27
28 EXEMPLE PRODUIT CodeProduit Designation.. CLIENT NumClient AdresseCli 1, n 0, n Commande Quantité 0, n MAGASIN IdMagasin AdresseMag N.Lammari 55 EXEMPLE PRODUIT CLIENT NumClient AdresseCli 1, n Passe 1, 1 CodeProduit Designation.. Concerne 1, 1 0, n COMMANDE IdCommande Quantité 1, 1 MAGASIN IdMagasin AdresseMag Reçoit 0, n N.Lammari 56 28
29 PASSAGE DU MODELE E/A VERS LE MODELE RELATIONNEL La modélisation logique des données est une description de la représentation des données sous un formalisme compatible avec un type de SGBD. la modélisation logique des données s inscrit dans une démarche générale de construction d une base de données Modélisation conceptuelle Modélisation logique Modélisation physique N.Lammari 57 MODÉLISATION LOGIQUE MCD Transformation Normalisation Utilisation de règles de transformations Règle de transformation de propriété type Règles de transformation d entité type Règles de transformation d association type. Vérification et décomposition (si nécessaire) MLD N.Lammari 58 29
30 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE PROPRIÉTÉ TYPE Toute propriété d une entité type ou d une association type devient un attribut d une relation Tout groupe de propriété type identifiant une entité est clé primaire de la relation représentant l entité. Tout groupe de propriété type susceptible de jouer de rôle d identifiant d une entité est clé candidate de la relation représentant l entité. Une propriété type d une entité ou d une relation conserve son type et ses contraintes lors du mapping N.Lammari 59 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ENTITÉ TYPE Une entité type d un modèle E/A devient une relation du MLD. L identifiant naturel ou artificiel d une entité type est clé primaire de la relation qui lui est associée. La clé primaire d une entité faible se construit par concaténation de l identifiant de l entité faible et de l entité régulière dont dépend l entité faible. N.Lammari 60 30
31 EXEMPLE FILM IdFilm Titre Année A lieu 0, n Date 0, n SALLE IdSalle Nom Capacité FILM (IdFilm, Titre, Année) SALLE (IdSalle, Nom, Capacité) N.Lammari 61 EXEMPLE COMMANDE N commande DateCommande DateLivSouhaitée... 1, n REGROUPE 1,1 LIGNE_COMMANDE N ligne Quantité. COMMANDE (N commande, DateCommande, DateLivSouhaitée,..) LIGNE_COMMANDE (N commande, N Ligne, Quantité, ) N.Lammari 62 31
32 EXEMPLE LIVRE N Isbn Titre... 1, n FAIRE PARTIE 1,1 EXEMPLAIRE N exemplaire RéfBibliothèque État. RéfBibliothèque est second identifiant de Exemplaire LIVRE (N Isbn, Titre,..) EXEMPLAIRE (N Isbn, N Exemplaire, Cote, État, ) RéfBibliothèque est clé candidate dans Exemplaire N.Lammari 63 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION TYPE Plusieurs cas possibles : Cas 1 : Association n-aires (x 1, n) -.- (x p, n) Binaire ou autre Cas 2 : Association binaire (x,y)-(1,1) (0,n)-(1,1) (1,n)-(1,1) (0,1)-(1,1) Cas 3 : Association binaire (x, y) - (0, 1) (x, y) (1, 1) (0,n)-(0,1) (1,n)-(0,1) (0,1)-(0,1) N.Lammari 64 32
33 RÈGLE DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x 1, n) (x p, n) ENTITE1 IdEntité1 P Entité1 ASSOCIER P Associer (1, n) ou (0, n) (1, n) ou (0, n) ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1 ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2 ). ENTITEn (IdEntitén, P Entitén ) (1, n) ou (0, n) ENTITEn IdEntitén P Entitén ASSOCIER (IdEntité1, IdEntité2,., IdEntitén, P Associer ) N.Lammari 65 EXEMPLE FOURNISSEUR CodeFournisseur NomFournisseur VilleFournisseur VENDRE 1,n PrixUnitaire DélaiLivraison 1,n PRODUIT CodeProduit NomProduit PoidsProduit FOURNISSEUR (CodeFournisseur, NomFournisseur, VilleFournisseur) PRODUIT (CodeProduit, NomProduit, PoidsProduit) COND-VENTE (CodeFournisseur, CodeProduit, PrixUnitaire, DélaiLivraison) CodeFournisseur de COND-VENTE fait référence à FOURNISSEUR N.Lammari 66 CodeProduit de COND-VENTE fait référence à Produit 33
34 EXEMPLE CHAUFFEUR CodeChauffeur... CHAUFFEUR (CodeChauffeur,..) GARAGE (IdGarage,..) VOITURE (N Immatri,..) 0, n GARER Date GARAGE IdGarage... 0, n GARER (CodeChauffeur, IdGarage, N Immatri, Date) 0, n VOITURE N Immatri.... CodeChauffeur de GARER fait référence à CHAUFFEUR IdGarage de GARER fait référence à GARAGE N Immatri de GARER fait référence à VOITURE N.Lammari 67 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (1, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P (1, n) ou (0, n) 1, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P (0, 1) 1, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1 ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2, IdEntité1) IdEntité1 de ENTITE2 fait référence à ENTITE1 IdEntité1 de ENTITE2 est obligatoire N.Lammari 68 34
35 EXEMPLE CLIENT CodeClient... 0, n PASSER 1, 1 COMMANDE N Commande... CLIENT ( CodeClient,..) COMMANDE (N Commande,, CodeClient) CodeClient de COMMANDE fait référence à CLIENT CodeClient est obligatoire N.Lammari 69 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (0, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P (0, n) ou (1, n) Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P 0, 1 Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 N.Lammari 70 35
36 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (0, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P (0, n) ou (1, n) Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 Application du cas 2 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1 ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2, IdEntité1, P Associer ) IdEntité1 de ENTITE2 fait référence à ENTITE1 Application du cas 1 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1 ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2 ) ASSOCIER (IdEntité2, IdEntité2, P Associer ) IdEntité2 de ASSOCIER fait référence à ENTITE2 IdEntité1 N.Lammari de ASSOCIER fait référence à ENTITE171 EXEMPLE LECTEUR CodeLecteur. 0,1 EMPRUNTER 0,n DateEmprunt LIVRE Côte. LIVRE (Côte,.) LECTEUR (CodeLecteur,.., Côte, DateEmprunt) Côte de LECTEUR fait référence à LIVRE DateEmprunt et Côte sont valuée en même temps Si nombre de lecteur non emprunteur est négligeable Ou encore LIVRE (Côte,.) LECTEUR (CodeLecteur,.) EMPRUNTER (CodeLecteur, Côte, DateEmprunt) Côte de EMPRUNTER fait référence à LIVRE CodeLecteur N.Lammari de EMPRUNTER fait référence à LECTEUR72 36
37 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (0, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P 0, 1 Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 Application du cas 1 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1, IdEntité2) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2, IdEntité1) ASSOCIER (IdEntité2, IdEntité1, P associer ) IdEntité2 de ENTITE1 fait référence à ENTITE2 IdEntité1 de ENTITE2 fait référence à ENTITE1 N.Lammari 73 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (0, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P 0, 1 Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 Application du cas 2 pour le 0,1 du côté de ENTITE2 ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1 ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2, IdEntité1, P Associer ) IdEntité1 de ENTITE2 fait référence à ENTITE1 Application du cas 2 pour le 0,1 du côté de ENTITE1 ENTITE1 (IdEntité1, PEntité1, IdEntité2, PAssocier) ENTITE2 (IdEntité2, PEntité2) IdEntité2 de ENTITE1 fait référence à ENTITE2 N.Lammari 74 37
38 RÈGLES DE TRANSFORMATION D UNE ASSOCIATION N-AIRE (x, y) - (0, 1) ENTITE1 ASSOCIER IdEntité1 P P 0, 1 Associer 0, 1 Entité1 ENTITE2 IdEntité2 P Entité2 Application du cas 2 pour le 0,1 du côté des deux entités ENTITE1 (IdEntité1, P Entité1, IdEntité2, P Associer ) ENTITE2 (IdEntité2, P Entité2, IdEntité1) Si P associer est vide IdEntité2 de ENTITE1 fait référence à ENTITE2 N.Lammari 75 IdEntité1 de ENTITE2 fait référence à ENTITE1 EXEMPLE MAISON CodeMaison. 0,1 POSSEDER 0,1 DateAchat PROPRIETAIRE CodeProp. Trois cas assimiler l exemple au cas (0, n) (0, n) assimiler l exemple au cas (1, 1) (0, 1) référence pour une seule entité référence pour les deux entités (ou mettre date d achat?) N.Lammari 76 38
39 EXEMPLE : l OFFICIEL DES SPECTACLES ARTISTE NomArtiste PrénomArtiste AnnéeNaissArtiste 0,n 0,n A réalisé CINEMA A Joué NomCinema Adresse 1,n 1,n 1,1 FILM CodeFilm TitreFilm AnnéeFilm SALLE 0,n N Salle CapacitéSalle 1,1 0,n Appartient Passe PLANNING Date Heure 0,n N.Lammari 77 LE PASSAGE VERS LE MLDR ARTISTE (NomArtiste, PrénomArtiste, AnnéeNaissArtiste) FILM (CodeFilm, TitreFilm, AnnéeFilm, NomRéalisateur) SALLE (N Salle, NomCinéma, CapacitéSalle) CINEMA (NomCinema, Adresse) JOUE (NomArtiste, CodeFilm) PASSE (CodeFilm, N Salle, NomCiméma, Date, Heure) N.Lammari 78 39
40 LE PASSAGE VERS LE MLDR (suite) NomRéalisateur de FILM est clé étrangère. Elle fait référence à ARTISTE NomRéalisateur de FILM est oblibatoire NomCinéma de SALLE est clé étrangère. Elle fait référence à CINEMA NomArtiste de JOUE est clé étrangère. Elle fait référence à ARTISTE CodeFilm de JOUE est clé étrangère. Elle fait référence à FILM CodeFilm de PASSE est clé étrangère. Elle fait référence à FILM {NumSalle, NomCinéma} est clé étrangère. Elle fait référence à SALLE N.Lammari 79 40
Conception des bases de données : Modèle Entité-Association
Conception des bases de données : Modèle Entité-Association La modélisation d un problème, c est-à-dire le passage du monde réel à sa représentation informatique, se définit en plusieurs étapes pour parvenir
Plus en détailII. Modèle conceptuel le modèle entité-association
II. Modèle conceptuel le modèle entité-association Personne Voiture Schéma conceptuel Monde réel υ Concepteur υ Personne conduit Voiture ϖ ϖ Schéma logique utilisateurs ω LMD BD Personne Dupont Durant
Plus en détailModèle conceptuel : diagramme entité-association
Modèle conceptuel : diagramme entité-association Raison d'être de ce cours «La conception et l'utilisation de bases de données relationnelles sur micro-ordinateurs n'est pas un domaine réservé aux informaticiens.»
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailFormation à l utilisation des Systèmes de Gestion de Bases de Données Relationnelles. organisée avec la collaboration du
Proyecto FAO COPEMED Universidad de Alicante Ramón y Cajal, 4 03001 - Alicante, España GCP/REM/057/SPA Web : www.fao.org/fi/copemed Tel : +34 96 514 59 79 Fax : +34 96 514 59 78 Email : copemed@ua.es Formation
Plus en détailBases de données. Chapitre 1. Introduction
Références : Bases de données Pierre Wolper Email : pw@montefiore.ulg.ac.be URL : http : //www.montefiore.ulg.ac.be/~pw/ http : //www.montefiore.ulg.ac.be/ ~pw/cours/bd.html Henry F. Korth, Abraham Silberschatz,
Plus en détailBASES DE DONNÉES. CNAM Centre associé de Clermont-Ferrand Cycle A Année 1997-98. J. Darmont I. INTRODUCTION II. LES SYSTÈMES HIÉRARCHIQUES
BASES DE DONNÉES CNAM Centre associé de Clermont-Ferrand Cycle A Année 1997-98 J. Darmont I. INTRODUCTION II. LES SYSTÈMES HIÉRARCHIQUES III. LES SYSTÈMES RÉSEAU IV. LES SYSTÈMES RELATIONNELS V. LE LANGAGE
Plus en détailModèle Entité-Association. C est un modèle important pour la conception des bases de données relationnelles. Il
Le modèle Entité-Association C est un modèle important pour la conception des bases de données relationnelles. Il est très répandu, très documenté. Il aide à concevoir une base de données sans redondance,
Plus en détailModélisation des données
Modélisation des données Le modèle Entité/Association Le MCD ou modèle Entité/Association est un modèle chargé de représenter sous forme graphique les informations manipulées par le système (l entreprise)
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailModélisation de bases de données : Le modèle relationnel
Modélisation de bases de données : Le modèle relationnel Rappel chapitre 1 C est quoi un modèle? Type de modèle : Modèle hiérarchique Modèle réseau Modèle objet Modèle relationnel Cours BD Dr REZEG K 1
Plus en détailCours de bases de données. Philippe Rigaux
Cours de bases de données Philippe Rigaux 13 juin 2001 2 TABLE DES MATIÈRES 3 Table des matières 1 Introduction 7 2 Présentation générale 9 2.1 Données, Bases de données et SGBD.............................
Plus en détailConception d une base de données
Conception d une base de données Cyril Gruau 17 octobre 2005 (corrigé le 13 juillet 2006) Résumé Ce support de cours regroupe quelques notions concernant le modélisation conceptuelle de système d information
Plus en détailMéthode d analyse Merise
Méthode d analyse Merise - Frédéric Julliard Université de Bretagne Sud UFR SSI - IUP Vannes - année 2001-2002 Approche ancienne : 1978 Très répandue en France Origine française : développée par : CTI
Plus en détailSystèmes d information et bases de données (niveau 1)
Systèmes d information et bases de données (niveau 1) Cours N 1 Violaine Prince Plan du cours 1. Bibliographie 2. Introduction aux bases de données 3. Les modèles 1. Hiérarchique 2. Réseau 3. Relationnel
Plus en détailUML et les Bases de Données
CNAM UML et les Bases de Données UML et les Bases de Données. Diagramme de classes / diagramme d objets (UML)...2.. Premier niveau de modélisation des données d une application...2.2. Les éléments de modélisation...2.2..
Plus en détailBases de Données. Plan
Université Mohammed V- Agdal Ecole Mohammadia d'ingénieurs Rabat Bases de Données Mr N.EL FADDOULI 2014-2015 Plan Généralités: Définition de Bases de Données Le modèle relationnel Algèbre relationnelle
Plus en détailExemple accessible via une interface Web. Bases de données et systèmes de gestion de bases de données. Généralités. Définitions
Exemple accessible via une interface Web Une base de données consultable en ligne : Bases de données et systèmes de gestion de bases de données The Trans-atlantic slave trade database: http://www.slavevoyages.org/tast/index.faces
Plus en détailModélisation Conceptuelle. Partie 2: Le modèle Entité-Association
Modélisation Conceptuelle Partie 2: Le modèle Entité-Association Modèle de type conceptuel But: permettre la description conceptuelle des structures de données d'une application Les concepts de base (correspondent
Plus en détailConcevoir un modèle de données Gestion des clients et des visites
page 1 MCD Concevoir un modèle de données Gestion des clients et des visites La gestion des informations d une organisation est un élément essentiel de son efficacité. L obligation de les trouver et de
Plus en détailBases de données relationnelles
Bases de données relationnelles Système de Gestion de Bases de Données Une base de données est un ensemble de données mémorisé par un ordinateur, organisé selon un modèle et accessible à de nombreuses
Plus en détailDEVAKI NEXTOBJET PRESENTATION. Devaki Nextobjects est un projet sous license GNU/Public.
DEVAKI NEXTOBJET 1 Présentation...2 Installation...3 Prérequis...3 Windows...3 Linux...3 Exécution...4 Concevoir une BDD avec Devaki NextObject...5 Nouveau MCD...5 Configurer la connexion à la base de
Plus en détailCours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI
Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),
Plus en détailIntroduction aux Bases de Données
Licence 3 Géographie Aménagement NHUC5548 Introduction aux Bases de Données Le cas des BD relationnelles Concepts, méthodes et applications JP ANTONI / Y FLETY 1 Logistique et autres fonctionnements Cours
Plus en détailMerise. Introduction
Merise Introduction MERISE:= Méthode d Etude et de Réalisation Informatique pour les Systèmes d Entreprise Méthode d Analyse et de Conception : Analyse: Etude du problème Etudier le système existant Comprendre
Plus en détailA. Définition et formalisme
Les cardinalités et les différents types d'associations I. Les cardinalités A. Définition et formalisme Les cardinalités sont des couples de valeur que l'on trouve entre chaque entité et ses associations
Plus en détailTickets 3:3. ChevauxPartants
MCD : quelques exemples particuliers Une association peut être ternaire. Exemple : Vendeurs, Lieux, Acheteurs reliées par vente. Posez-vous alors la question et si je remplaçais l association par une entité,
Plus en détailChapitre 3 LE MODELE RELATIONNEL ET SQL (DDL)
Chapitre 3 LE MODELE RELATIONNEL ET SQL (DDL) Un modèle de données définit un mode de représentation de l information selon trois composantes : 1. Des structures de données. 2. Des contraintes qui permettent
Plus en détailINITIATION AUX BASES DE DONNEES MODELISATION et LANGAGE SQL
INITIATION AUX BASES DE DONNEES MODELISATION et LANGAGE SQL Master2 Modélisation Statistique - Génie logiciel & Bases des données Laboratoire de Mathématiques CNRS - Université de Franche-Comté Département
Plus en détailBases de Données Avancées
1/62 Bases de Données Avancées Introduction & Rappel Conception et Modélisation Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR
Plus en détailVincent Augusto 2010-2011
le des Systèmes Vincent Augusto École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne 2010-2011 Un 1/73 le des Un 2/73 1 2 3 4 le 5 6 7 8 Un le des Un 3/73 Contenu du cours : Techniques pour l analyse
Plus en détailDossier I Découverte de Base d Open Office
ETUDE D UN SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES Définition : Un SGBD est un logiciel de gestion des données fournissant des méthodes d accès aux informations. Un SGBDR permet de décrire
Plus en détailNom de l application
Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique
Plus en détailConcevoir une base de données
Concevoir une base de données http://vanconingsloo.be/les-cours/bureautique/access/concevoir-une-base-de-donnees En fonction de vos besoins, il existe deux façons de travailler. Si vous souhaitez créer
Plus en détailUML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language
UML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language Sommaire Introduction Objectifs Diagramme de classes Classe (Nom, attribut, opération) Visibilité et portée des constituants d une classe Association
Plus en détailIT203 : Systèmes de gestion de bases de données. A. Zemmari zemmari@labri.fr
IT203 : Systèmes de gestion de bases de données A. Zemmari zemmari@labri.fr 1 Informations pratiques Intervenants : Cours : (A. Zemmari zemmari@labri.fr) TDs, TPs : S. Lombardy et A. Zemmari Organisation
Plus en détailGestion des bases de données (1 ère partie)
Master ANI et TCI première année année 2006/2007 semestre 1 Gestion des bases de données (1 ère partie) Ce polycopié rédigé par F. Horn est basé sur deux polycopiés précédents réalisés par A. Lemay et
Plus en détailMERISE. Modélisation de Systèmes d Information. Pierre Gérard. DUT Informatique 2ème année 2004/2005. IUT de Villetaneuse - Université de Paris 13
Modélisation de Systèmes d Information IUT de Villetaneuse - Université de Paris 13 DUT Informatique 2ème année 2004/2005 LATEX Cycle de vie Introduction Processus de développement d un logiciel La méthode
Plus en détail.../5. Gestion de Bases de Données (J. Wijsen) 27 janvier 2011 NOM + PRENOM : Orientation + Année : Cet examen contient 8 questions. Durée : 2 heures.
Gestion de Bases de Données (J. Wijsen) 27 janvier 2011 NOM + PRENOM : Orientation + Année : Cet examen contient 8 questions. Durée : 2 heures. Question 1 Donnez la traduction en modèle relationnel du
Plus en détailChap. 3: Le modèle de données entité-association (E.A.)
Chap. 3: Le modèle de données entité-association (E.A.) En anglais: Entity-Relationship (ER) Origines: C.Bachman (1969), P.Chen (1976). Modèle de données > décrire la réalité perçue à travers les données
Plus en détailLe modäle conceptuel de donnåes (MCD)
BTS Informatique de Gestion 1 Äre annåe DAIGL (ModÅlisation) Chapitre 1 Page 1 / 14 LycÄe Jean Rostand CHANTILLY Jean-Marie Cardoni Cours DAIGL (analyse) (1 Äre annåe) BTS INFORMATIQUE DE GESTION 1 Condition
Plus en détailSystème d'information (SI) Fonction du SI. Fonctionnement du SGBD. Système automatisé d'information. Méthodologie des Systèmes d'information
Informations externes 2 Système d'information (SI) Méthodologie des Systèmes d'information Florence PETIT 2006-2007 Information Faits, connaissances, concepts qui ont un sens pour un être humain. déduits
Plus en détailModèle Entité/Association
Base de données Modèle Entité/Association L3 Informatique Antoine Spicher antoine.spicher@u-pec.fr Contexte du cours Organisation du cours 1 ère partie (C. D.) Modèle et algèbre relationnel Langage SQL
Plus en détailCONCEPTION Support de cours n 3 DE BASES DE DONNEES
CONCEPTION Support de cours n 3 DE BASES DE DONNEES Auteur: Raymonde RICHARD PRCE UBO PARTIE III. - LA DESCRIPTION LOGIQUE ET PHYSIQUE DES DONNEES... 2 A. Les concepts du modèle relationnel de données...
Plus en détailGestion des bases de données (2 e partie)
Master ANI et TCI première année année 2005/2006 semestre 1 Gestion des bases de données (2 e partie) Ce polycopié est destiné à présenter Access comme exemple de SGBD. Avant de commencer à construire
Plus en détailChapitre 1 Généralités sur les bases de données
Chapitre 1 Généralités sur les bases de données I. Définition d un SGBD Une base de données, généralement appelée BD est un ensemble structuré et organisé permettant le stockage de grandes quantités d'informations
Plus en détailLe modèle de données
Le modèle de données Introduction : Une fois que l étude des besoins est complétée, deux points importants sont à retenir : Les données du système étudié Les traitements effectués par le système documentaire.
Plus en détailUniversité de Bangui. Modélisons en UML
Université de Bangui CRM Modélisons en UML Ce cours a été possible grâce à l initiative d Apollinaire MOLAYE qui m a contacté pour vous faire bénéficier de mes connaissances en nouvelles technologies et
Plus en détailCOURS de BASES de DONNEES
COURS de BASES de DONNEES Céline Robardet INSA-Lyon Point de départ Une base de données est une collection de données ayant une origine commune Un Système de Gestion de Base de Données (SGBD) est un logiciel
Plus en détailUtiliser une base de données
Access Utiliser une base de données SOMMAIRE Généralités sur les SGBD... 3 Démarrage d'access 2002... 4 Ouverture d'un fichier Access... 4 Les objets dans Access... 5 Les tables... 6 A) Ouvrir une table
Plus en détailBase de Données et Langage SQL
Base de Données et Langage SQL (IUT, département informatique, 1 re année) Laurent AUDIBERT Institut Universitaire de Technologie de Villetaneuse Département Informatique Avenue Jean-Baptiste Clément 93430
Plus en détailModélisation : Entité-Association Pattes de corbeau Relationnel. Plan BD4 : A.D., S.B. 2013-2014. . 1 Des systèmes d'information. Pourquoi?
Modélisation : Entité-Association Pattes de corbeau Relationnel BD4 : AD, SB Licence MASS, Master ISIFAR, Paris-Diderot 2013-2014 BD4 (Licence MASS, Master ISIFAR, Paris-Diderot) Modélisation avec Workbench
Plus en détailInformation utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/
Systèmes de gestion de bases de données Introduction Université d Evry Val d Essonne, IBISC utiles email : cinzia.digiusto@gmail.com webpage : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Google+ : https://plus.google.com/u/0/b/103572780965897723237/
Plus en détailLa méthode MERISE (Principes)
La méthode MERISE (Principes) Introduction Création : en 1978-79 par Peter Chen et Hubert Tardieu à Aix en Provence Signifie : MEthode pour Rassembler les Idées Sans Effort ou encore vient du merisier
Plus en détailModélisation conceptuelle des données Responsable: Dominique Schneuwly, Regis Caloz
Geographic Information Technology Training Alliance (GITTA) presents: Modélisation conceptuelle des données Responsable: Dominique Schneuwly, Regis Caloz Table des matières 1. Modélisation conceptuelle
Plus en détailBases de données élémentaires Maude Manouvrier
Licence MI2E- 1ère année Outils en Informatique Bases de données élémentaires Maude Manouvrier Définitions générales et positionnement du cours dans la formation Vocabulaire relatif aux bases de données
Plus en détailBases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion
III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation
Plus en détail1 Modélisation d une base de données pour une société de bourse
IN306 : Corrigé SID Christophe Garion 18 octobre 2010 Ce document est un corrigé succinct de l examen du module IN306. 1 Modélisation d une base de données pour une société de bourse Une
Plus en détailIntroduction aux Bases de Données
Introduction aux Bases de Données I. Bases de données I. Bases de données Les besoins Qu est ce qu un SGBD, une BD Architecture d un SGBD Cycle de vie Plan du cours Exemples classiques d'applications BD
Plus en détailÉvaluation et optimisation de requêtes
Évaluation et optimisation de requêtes Serge Abiteboul à partir de tranparents de Philippe Rigaux, Dauphine INRIA Saclay April 3, 2008 Serge (INRIA Saclay) Évaluation et optimisation de requêtes April
Plus en détailBases de Données. Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre
Bases de Données Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre Synthèse : conception de BD langage de modélisation famille de SGBD SGBD Analyse du
Plus en détailils entretiennent entre eux des flux, ils partagent des perceptions sur l environnement
Les modèles de Flux Introduction L analyse systémique fournie une modélisation de l organisation échangeant et transformant des flux Cette modélisation du S.I. reste trop générale Il faut découper l organisation
Plus en détail16H Cours / 18H TD / 20H TP
INTRODUCTION AUX BASES DE DONNEES 16H Cours / 18H TD / 20H TP 1. INTRODUCTION Des Fichiers aux Bases de Données 2. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES 2.1. INTRODUCTION AUX SYSTEMES DE GESTION DE BASES
Plus en détailI4 : Bases de Données
I4 : Bases de Données Passage de UML au modèle relationnel Georges LOUIS Département Réseaux et Télécommunications Université de La Rochelle Module I4 2008-2009 1 G.Louis Sommaire 1 Des classes aux tables
Plus en détailGUIDE PRATIQUE MODÈLE CONCEPTUEL DES DONNÉES MODÈLE LOGIQUE DES DONNÉES STANDARD MODÈLE LOGIQUE DES DONNÉES OPTIMISÉ
GUIDE PRATIQUE MODÈLE CONCEPTUEL DES DONNÉES MODÈLE LOGIQUE DES DONNÉES STANDARD MODÈLE LOGIQUE DES DONNÉES OPTIMISÉ D. ALESSANDRA - Guide pratique de Merise Page 1/22 Objectifs Présentation théorique
Plus en détailLE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES Principe : A partir d'un cahier des charges, concevoir de manière visuelle les différents liens qui existent entre les différentes données. Les différentes étapes de réalisation.
Plus en détailCours 1 : introduction
Cours 1 : introduction Modèle entité-association Exemple : Deux entités (produit et dépôt) sont mises en relation (stock). Une entité doit être constituée d un identifiant et peut être complétée par des
Plus en détailBases de données relationnelles & SQL
Bases de données relationnelles & SQL Objectifs Appréhender les concepts du modèle relationnel. Etre capable de concevoir un schéma relationnel. Etre capable de créer une base de données relationnelle
Plus en détailComprendre Merise et la modélisation des données
Comprendre Merise et la modélisation des données Tables des matières Avant-propos 1- Introduction 1-1 Principes fondateurs 1-2 Bases conceptuelles 1-3 Place de Merise dans le cycle de développement informatique
Plus en détailMASTER II ECONOMIE ET GESTION Spécialité Management des Organisations de la Neteconomie
MASTER II ECONOMIE ET GESTION Spécialité Management des Organisations de la Neteconomie MODULE C03 - Séquence 4 INTRODUCTION I. DONNEES ET TRAITEMENT II. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES III. MODELE CONCEPTUEL
Plus en détailLes documents primaires / Les documents secondaires
Les documents primaires / Les documents secondaires L information est la «matière première». Il existe plusieurs catégories pour décrire les canaux d information (les documents) : - Les documents primaires
Plus en détailObjets Combinatoires élementaires
Objets Combinatoires élementaires 0-0 Permutations Arrangements Permutations pour un multi-ensemble mots sous-ensemble à k éléments (Problème du choix) Compositions LE2I 04 1 Permutations Supposons que
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailLe langage SQL Rappels
Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,
Plus en détailGestion du parc informatique matériel et logiciel de l Ensicaen. Rapport de projet. Spécialité Informatique 2 e année. SAKHI Taoufik SIFAOUI Mohammed
6, bd maréchal Juin F-14050 Caen cedex 4 Spécialité Informatique 2 e année Rapport de projet Gestion du parc informatique matériel et logiciel de l Ensicaen SAKHI Taoufik SIFAOUI Mohammed Suivi ENSICAEN
Plus en détailQuelques patterns pour la persistance des objets avec DAO DAO. Principe de base. Utilité des DTOs. Le modèle de conception DTO (Data Transfer Object)
Quelques patterns pour la persistance des objets avec DAO Ce cours présente des modèles de conception utilisés pour effectuer la persistance des objets Université de Nice Sophia-Antipolis Version 1.4 30/8/07
Plus en détailMERISE. Modélisation et Conception de Systèmes d Information
MERISE Modélisation et Conception de Systèmes d Information Intro L'analyse des données constitue le point de passage obligé de toute conception d'application mettant en oeuvre un SGBDR La méthode MERISE,
Plus en détailIntroduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données
Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données Formation «Gestion des données scientifiques : stockage et consultation en utilisant des bases de données» 24 au 27 /06/08 Dernière
Plus en détailModéliser des données, l exemple du modèle entité-association
Modéliser des données, l exemple du modèle entité-association Modéliser les données d un système logiciel, c est construire une structure de données contraintes, représentative du réel observé. Lorsqu
Plus en détailCONCEPTION ET IMPLANTATION DES SI PROJET : GESTION DU FOYER DE L ENIT
CONCEPTION ET IMPLANTATION DES SI PROJET : GESTION DU FOYER DE L ENIT DESPOSITO Antony MALO Andy SIMUTOGA Clément - 1 - Introduction :... 3 CYCLE DE VIE :... 3 Analyse de l existant :... 3 Interprétation
Plus en détailEntrepôt de données 1. Introduction
Entrepôt de données 1 (data warehouse) Introduction 1 Présentation Le concept d entrepôt de données a été formalisé pour la première fois en 1990 par Bill Inmon. Il s agissait de constituer une base de
Plus en détailet les Systèmes Multidimensionnels
Le Data Warehouse et les Systèmes Multidimensionnels 1 1. Définition d un Data warehouse (DW) Le Data warehouse (entrepôt de données) est une collection de données orientées sujet, intégrées, non volatiles
Plus en détailCréer le schéma relationnel d une base de données ACCESS
Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...
Plus en détailOBJECTIFS ET ARCHITECTURE DES SGBD
OBJECTIFS ET ARCHITECTURE DES SGBD 1. INTRODUCTION Même si vous n avez jamais utilisé de système de gestion de bases de données (SGBD), vous avez certainement une idée de ce qu est une base de données
Plus en détailNFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013
NFA 008 Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 1 NoSQL, c'est à dire? Les bases de données NoSQL restent des bases de données mais on met l'accent sur L'aspect NON-relationnel L'architecture distribuée
Plus en détailRéalisation d une première base de données (Tutoriel - version 4.2 ; 19 septembre 2014)
Réalisation d une première base de données (Tutoriel - version 4.2 ; 19 septembre 2014) - Guettez les nouvelles versions de ce tutoriel sur le site web de l enseignement - En cours de réalisation, veuillez
Plus en détailDurée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point
03 Mai 2013 Collège Oasis Durée de L épreuve : 2 heures. apple Le sujet comporte 4 pages et est présenté en livret ; apple La calculatrice est autorisée ; apple 4 points sont attribués à la qualité de
Plus en détailConcepteur Développeur Informatique
Référentiel de Certification UNION EUROPEENNE Fonds Social Européen DSP REAC RC RF CDC Concepteur Développeur Informatique Libellé réduit: CDI Code titre: TP-01281 Type de document: Guide RC Version: 1
Plus en détailBASES DE DONNÉES CONCEPTS ET PROGRAMMATION. Antoine Cornuéjols. AgroParisTech, Spécialité Informatique (2009-2010) Version du 19 octobre 2009
i BASES DE DONNÉES CONCEPTS ET PROGRAMMATION Antoine Cornuéjols AgroParisTech, Spécialité Informatique (2009-2010) Version du 19 octobre 2009 ii Table des matières Table des matières iii 1 Concepts fondamentaux
Plus en détailRémi GILANTE Certifié d Informatique et Gestion. Jean-Claude NOUSSIGUE Agrégé d Économie et Gestion, option B
BTS COMPTABILITÉ ET GESTION DES ORGANISATIONS COLLECTION LES PROCESSUS PROCESSUS 10 ORGANISATION DU SYSTÈME D INFORMATION COMPTABLE ET DE GESTION BTS CGO 1 re année Jacques BOUTET Agrégé d Économie et
Plus en détailPatrice BOURSIER. Professeur, Univ. de La Rochelle. patrice.boursier@univ-lr.fr. Bases de Données. Notes de cours
Patrice BOURSIER Professeur, Univ. de La Rochelle patrice.boursier@univ-lr.fr Bases de Données Notes de cours SOMMAIRE Chapitre 1 : Introduction Chapitre 2 : Modèle conceptuel Chapitre 3 : Modèle relationnel
Plus en détailGOL502 Industries de services
GOL502 Industries de services Conception d un service Partie IIb Version 2013 Introduction Conception d un service partie IIb Nous verrons dans ce chapitre Modélisation d un service; Langage de modélisation
Plus en détailGuidance de Statistique : Epreuve de préparation à l examen
Guidance de Statistique : Epreuve de préparation à l examen Durée totale : 90 min (1h30) 5 questions de pratique (12 pts) 20 décembre 2011 Matériel Feuilles de papier De quoi écrire Calculatrice Latte
Plus en détailMEGA Database Builder. Guide d utilisation
MEGA Database Builder Guide d utilisation MEGA 2009 SP4 1ère édition (juin 2010) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis et ne sauraient en aucune
Plus en détailLe niveau conceptuel : la modélisation des bases de données
BDD Le niveau conceptuel : la modélisation des bases de données stph.crzt.fr/bdd STÉPHANE CROZAT Paternité - Partage des Conditions Initiales à l'identique : http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/
Plus en détailConception, architecture et urbanisation des systèmes d information
Conception, architecture et urbanisation des systèmes d information S. Servigne Maître de Conférences, LIRIS, INSA-Lyon, F-69621 Villeurbanne Cedex e-mail: sylvie.servigne@insa-lyon.fr 1. Introduction
Plus en détailbasée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML
basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML http://olivier-augereau.com Sommaire Introduction I) Les bases II) Les diagrammes
Plus en détailTP 8: LES OPERATEURS ENSEMBLISTES
TP 8: LES OPERATEURS ENSEMBLISTES OBJECTIFS : Apprendre la création des requêtes avec les opérateurs ensemblistes: MINUS, UNION et INTERSECT. Partie I: Présentation Un opérateur d'ensemble combine le résultat
Plus en détailUNIVERSITE DE CONSTANTINE 1 FACULTE DES SIENCES DE LA TECHNOLOGIE DEPARTEMENT D ELECTRONIQUE 3 ème année LMD ELECTRONIQUE MEDICALE
UNIVERSITE DE CONSTANTINE 1 FACULTE DES SIENCES DE LA TECHNOLOGIE DEPARTEMENT D ELECTRONIQUE 3 ème année LMD ELECTRONIQUE MEDICALE TP N 1 : Initiation à L Access I. Introduction Microsoft Access fait partie
Plus en détail1 Introduction et installation
TP d introduction aux bases de données 1 TP d introduction aux bases de données Le but de ce TP est d apprendre à manipuler des bases de données. Dans le cadre du programme d informatique pour tous, on
Plus en détail