D E PA R T E M E N T D U VA L D ' O I S E P LA N L O C A L. w. CAHIER DES RECOMMANDATIONS ARCHITECTURALES. Approuvé lors du conseil municipal du:

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1 D E PA R T E M E N T D U VA L D ' O I S E P LA N L O C A L D'URBANISME w. CAHIER DES RECOMMANDATIONS ARCHITECTURALES Approuvé lors du conseil municipal du: 1

2 SOMMAIRE Introduction...4 Chapitre I Prescriptions spécifiques aux zones d habitat diffus (zones pavillonnaires)...6 I.1 Implantation d une nouvelle construction...7 I.2 Volumes et assemblages...9 I.3 Toitures...10 a) Couverture...10 b) Les lucarnes...11 c) Les Souches de cheminées...12 I.4 Les annexes et extensions...13 I.5 Façades...16 I.6 Réhabilitation...17 Chapitre II Prescriptions spécifiques aux constructions en zone urbaine (centre historique, maisons de ville)...18 II.1 Implantation en mitoyenneté...19 a) Cas général...19 b) Réhabilitation en centre ancien...20 c) Construction en terrain libre...21 II.2 Hauteurs...22 II.3 Volumes...23 II.4 Toitures...23 a) Couverture...23 b) Les lucarnes...24 c) Les souches de cheminées...25 II.5 Les façades...26 a) Proportion des ouvertures...26 b) Rapport Vide / Plein...27 c) Ordonnancement...27 d) Rythme...28 e) Ornementation ou Modénature...29 f) Eléments particuliers Les gouttières Les antennes de télévision...30 g) Matériaux et Couleurs...31 II.6 Menuiseries et éléments d architecture...32 a) Fenêtres...32 b) Les portes...33 c) Les couleurs

3 d) Serrurerie...33 II.7 Garde-corps, appuis de Fenêtres, Balcons...34 Chapitre III Clôtures...35 Chapitre IV...40 Prescriptions spécifiques aux devantures commerciales...40 IV.1 L implantation des devantures commerciales...42 L intégration au paysage de la rue : Les lignes verticales du rythme parcellaire : Les lignes horizontales des hauteurs d étage :...44 L insertion des devantures dans l immeuble Bâtiments existants Bâtiments neufs...45 IV.2 Types de devantures...46 Les devantures en applique Les devantures en applique d autrefois Les devantures en applique d aujourd hui...46 Les devantures intégrées Description Règles pour les projets de devantures intégrées...47 IV.3 Eléments complémentaires de composition...49 a) Les auvents Les marquises...49 b) Les stores Les bannes...49 c) Mode d éclairage...50 IV.4 Les enseignes...50 a) Les Enseignes appliquées ou enseignes bandeau La position : Signalisation des activités en étage :...53 b) Les Enseignes en potence ou perpendiculaires...54 Tableau de synthèse des principales prescriptions...57 Conclusion...59 Lexique

4 Introduction Une intervention sur le bâti existant, modification d une ouverture, extension ou réfection d un enduit, ainsi que toute insertion de construction neuve dans un tissu urbain, engagent la qualité architecturale et urbaine de l espace public. Au contraire de l aménagement intérieur des bâtis, qui est du domaine privé, l apparence extérieure des constructions est du ressort de la collectivité. Pontoise mérite une protection de son patrimoine, une revalorisation de son bâti, il est apparu nécessaire de mettre en œuvre une politique de réhabilitation par la restauration de ses bâtiments remarquables, la revalorisation de ses espaces urbains ainsi que celle de son bâti ordinaire La municipalité de Pontoise, soucieuse de l amélioration du cadre de vie et de la préservation du bâti de l espace urbain, a décidé, en complément de l article 11 du règlement du P.L.U., la refonte du cahier de recommandations architecturales, qui existait dans le POS approuvé en Ce cahier s adresse aux propriétaires privés, maîtres d œuvre, maîtres d ouvrage, artisans et entrepreneurs de bâtiments et concerne la réhabilitation de bâti existant ainsi que l édification des constructions neuves. Il constitue un document d information, de sensibilisation et de conseil. Il est un outil indispensable pour harmoniser les constructions de la ville au sein d un ensemble cohérent et agréable. Ce cahier n exclut pas la possibilité de réaliser des constructions contemporaines. La Ville s est faite d apports successifs, et notre époque, comme toute autre, exprime une architecture spécifique qui peut aussi se réaliser en quartier ancien. Elle doit néanmoins répondre à certains principes généraux : affirmation des horizontales, respect des volumes, rythmes, etc assurant une bonne insertion des constructions dans leur environnement. Ce cahier des charges s adapte aux différents types de bâti présents à Pontoise. Les objectifs sont, entre autres, de : Tirer profit du potentiel patrimonial de la ville et revaloriser le centre ancien de Pontoise, Conserver et renforcer la prépondérance de la végétation dans les zones pavillonnaires, Donner, grâce à l harmonisation, une identité propre aux différents quartiers et à la ville. Il est à noter que ce cahier ne peut à lui seul être garant de la qualité des interventions sur le bâti. Il implique qu un dialogue s engage entre les futurs constructeurs, aménageurs, candidats à la réhabilitation et les services administratifs compétents. Afin de faciliter l instruction des dossiers, les demandes de travaux devront comporter tous les éléments nécessaires à la compréhension du projet : Environnement existant, Indication de la topographie, des végétations existantes sur la parcelle ou à proximité, 4

5 Description sommaire du bâti (dossier photos, et indications en plan masse) et de ses caractéristiques principales (hauteurs, matériaux ), Plan des héberges, Le projet : indications précises des éléments de la construction (matériaux, couleurs, détails divers, plantations ). Le service urbanisme de la mairie joue un rôle de conseil indispensable dans les projets : il est vivement souhaitable de travailler en concertation avec lui, et ce, quelque soit l ampleur des travaux envisagés. La démolition d un bâtiment ancien pourra être acceptée dans le cas de bâtiments qui ne correspondent pas au style architectural du quartier, et qui, ne présentent pas eux-mêmes des caractéristiques architecturales intéressantes. Le principal objectif de la commune est d obtenir une plus grande unité des styles architecturaux de la ville. Cinq grandes périodes ont marqué le développement de Pontoise : Fin du Moyen-Age : ville haute, construction de nombreuses églises. Période classique : implantation de nouveaux ordres religieux. Les lieux caractéristiques sont la rue Pierre Butin et le quartier Notre Dame. La révolution : accompagnée de nombreux démembrements, cette période a vu arriver à Pontoise de nouvelles classes sociales devenues propriétaires de terrains. La révolution industrielle : jusqu en 1914, le développement de l industrie s est accompagné de grands travaux : percement de la rue Thiers reliant la gare au quartier Saint-Maclou, aménagement du quartier de la gare,... La période moderne : le développement de lotissements résidentiels pavillonnaires en périphérie de la ville donne à une population plus nombreuse l accès à la propriété au cours des années 1970 et Chacune de ces périodes possède un style architectural et urbain particulier qu il faut conserver et même, dans certains cas, revaloriser. Une ZPPAUP(1) a été créée le 12 juillet Elle précise les éléments historiques intéressants de la ville et les prescriptions spécifiques à cette zone qui ont une valeur réglementaire. Les constructions neuves et les réhabilitations doivent prendre en considération au maximum les remarques répertoriées dans ce document. Pour une harmonisation des constructions, il est donc conseillé : Pour les constructions neuves: de s inspirer de l esprit architectural du quartier, en respectant les règles sur l alignement, les hauteurs, l ordonnancement des ouvertures et des menuiseries, la nature des matériaux, Pour les réhabilitations : de reconstruire à l identique (surtout en centre historique). Il faut donc, au préalable du projet, se renseigner sur les techniques et les matériaux de constructions employés lors de la réalisation du bâtiment. (1) Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager. 5

6 Chapitre I Prescriptions spécifiques aux zones d habitat diffus (zones pavillonnaires) 6

7 Pontoise compte plusieurs quartiers d habitat pavillonnaire. Ces constructions jouissent aujourd hui d une forte présence de la végétation. Cet élément, constructeur du paysage de ces quartiers, est à maintenir et même accentuer pour augmenter le caractère de ville verte propre à Pontoise. Il tient à chacun d améliorer le cadre de vie collectif par un respect des règles et conseils énumérés dans ce document. I.1 Implantation d une nouvelle construction L implantation respectera le terrain naturel et s adaptera aux lignes de force du paysage et du terrain. Le projet peut, idéalement, adapter son implantation à la végétation en place. Les terrassements abusifs et injustifiés sont interdits. NON OUI 7

8 Une construction ne doit pas : NON Heurter le site qui l accueille MAIS, elle doit s harmoniser avec le cadre qui l entoure OUI La composition des aménagements doit : Éviter de réduire la place de la végétation et compenser l apparition d aménagements nouveaux par la plantation de végétation, Assurer l isolement visuel des logements entre eux, si possible par l implantation de végétation, Assurer le meilleur ensoleillement des maisons, Assurer la mise en relation entre le projet et son contexte (relief, végétation, ) en proposant des dispositions diverses. Par exemple, une nouvelle construction en zone d habitat diffus peut trouver une implantation originale en s adaptant au relief et à la végétation présente sur le terrain. Elle devra néanmoins préserver ou améliorer l harmonie générale du quartier dans lequel elle se situe. 8

9 Les constructions peuvent, soit être d un style traditionnel, imitant les maisons caractéristiques du quartier, soit avoir un style moderne. Dans ce dernier cas, le projet devra respecter les règles concernant le jeu des volumes, les matériaux, l implantation, les couleurs, les percements, la toiture Ces règles seront décrites plus précisément par la suite. I.2 Volumes et assemblages Les volumes devront respecter l échelle des constructions de l environnement immédiat, de la région et les grandes caractéristiques du bâti, des gabarits, modes d assemblage traditionnels, pentes des toitures. Les jeux de volumes sont simples et peu nombreux. Il faut éviter : Les avancées ou retours trop faibles, Les faîtages au même niveau. NON Préférer : Les avancées en proportion avec le bâtiment principal, Les faîtages décalés, Éventuellement, les volumes dissociés et reliés par les murs. OUI 9

10 I.3 Toitures Le toit, est essentiel dans le volume et l aspect général de la construction de par sa forme et la nature du matériau de couverture. Les toitures sont majoritairement à deux pentes, d une inclinaison de 35 à 45 et parallèles à la rue. Mais on peut aussi relever la présence de toitures de trois pentes sur les constructions d angle, et également de toits à la «Mansart». Il est tout de même conseillé de favoriser la construction de toitures à deux pentes ayant des formes simples et régulières. 35 α < α < 45 a) Couverture Le recouvrement des toitures d immeubles a suivi l évolution des matériaux et des techniques. Le type des matériaux est aussi déterminé par la pente des versants. La majorité des toits sont couverts de tuiles plates petit moule. La réfection des toitures anciennes devra tenir compte obligatoirement du matériau déjà en place avant travaux. L emploi de plusieurs matériaux sur une même construction est interdit. La tuile plate petit moule sera prescrite pour les constructions à l intérieur des périmètres protégés par l Architecte des Bâtiments de France dans le périmètre de la Z.P.P.A.U.P. A défaut, on pourra utiliser des tuiles mécaniques de petit moule, aspect plat (22 au m²), de couleur brun vieilli. Les débordements de toitures en pignon sont interdits. En bas de pente, le débord maximum (corniche + gouttière) sera de 25/30 cm. Les matériaux de synthèse, bardeaux d asphalte, la tôle ou le plastique ondulé sont interdits. La couverture des lucarnes sera toujours exécutée à l aide de tuiles plates (77 à 80 au m²) même lorsque les long-pans* sont couverts en tuiles mécaniques. *Long-pan de la toiture 10

11 b) Les lucarnes Les percements en toiture peuvent être réalisés de deux manières différentes : soit ce sont des châssis vitrés posés dans le plan du toit, soit par des lucarnes. Nous recommandons de n utiliser que des percements par lucarnes sur la pente de toit visible depuis la rue. Les lucarnes devront être proportionnées au volume du toit. Le nombre de lucarnes devra être inférieur à celui des fenêtres. Leur positionnement respectera le rythme de la façade. Les lucarnes déjà existantes sont à refaire à l identique. Il peut être fait exception si leur forme et leur style tranchent avec les constructions voisines et que le projet est plus cohérent avec le style environnant. L avis d un spécialiste est fortement conseillé. Les lucarnes pourront se situer à l aplomb ou en retrait du mur de façade, mais pas trop près du faîtage. OUI Les lucarnes à jouées obliques sont interdites. NON Ces percements ainsi que les châssis vitrés, situés dans le plan de la toiture sont autorisés de proportion plus haute que large, ils n excéderont pas 80 cm de large et seront entièrement encastrés dans la toiture. Ils devront respecter l ordonnancement général des bâtiments existants ou à créer. 11

12 c) Les souches de cheminées Elles devront être situées au plus près du faîtage. Le matériau de construction de la souche sera soit identique à celui des murs, soit en brique de teinte claire. Les couronnements seront simples et sans décor excessif. En zone UA, et à l intérieur des périmètres protégés, les proportions extérieures des souches et gaines diverses devront être adaptées au volume de l habitation et de la toiture et ce pour respecter la protection paysagère des monuments historiques. Il est souhaitable de demander l aval de l Architecte des Bâtiments de France avant une modification importante ou la réalisation d une souche de cheminée. Souche trop éloignée du faîtage Souche trop grande OUI NON Souche accolée 12

13 I.4 Les annexes et extensions Les volumes devront être simples. Intégrer les annexes au mur mitoyen, à l alignement ou au volume principal. L annexe devra aussi s harmoniser au bâtiment principal par son aspect, son architecture et ses matériaux. Les faîtages ne doivent pas être au même niveau et l extension doit être bien proportionnée par rapport au bâtiment principal. Des toitures à un pan sont acceptées si elles créent un ensemble homogène. OUI Les faîtages décalés apportent un équilibre esthétique au bâti, ce conseil s applique aussi bien aux constructions anciennes qu aux constructions récentes, comme cicontre. Pontoise : quartier Notre Dame 13

14 La construction d auvents, vérandas et serres est admise, l implantation sera de préférence côté jardin. Elle devra faire l objet d une recherche de qualité architecturale, si possible, par un maître d œuvre qualifié. En ce qui concerne les caves et sous-sols, il faut : Éviter les surélévations sur terre-plein NON Les garages seront enterrés ou en annexe dans le cas de présence de nappe phréatique. Pour résumer, l implantation des annexes doit être : En fond du jardin En prolongement d habitation A l alignement 14 Accolée au bâtiment principal

15 Ici, l implantation d une véranda en façade du bâtiment aurait pu dénaturer la façade si elle n avait pas été le fruit d une recherche esthétique pour s adapter à la construction. Pontoise : quartier Canrobert En fond de jardin, les annexes ne dénaturent pas la façade et peuvent même s avérer décoratives Référence externe Les antennes hertziennes et satellites sont aussi à installer en priorité du côté jardin et ne doivent pas être visibles depuis la voie publique. Les panneaux solaires, s ils doivent apparaître depuis la voie publique ne seront autorisés que s ils sont harmonieusement intégrés au bâti Nous pouvons voir ici les conséquences regrettables sur le paysage de l implantation des antennes télévisées. Leur camouflage ou une intégration plus discrète sont évidemment hautement souhaitables. Pontoise : centre-ville 15

16 I.5 Façades Éviter les différences de traitement de façades entre les différents niveaux 1. NON Les façades doivent présenter une unité de traitement entre les différents étages (matériaux et couleurs) - Lotissements Le manque certain de place sur le territoire de la commune de Pontoise restreint les possibilités d aménagement d un nouveau quartier pavillonnaire. Néanmoins, il est apparu important de définir quelques règles sur l implantation à l échelle d un lotissement. Entre autres, il est conseillé de suivre les lignes naturelles du terrain et de la végétation pour éviter un tracé parcellaire monotone qui suscite une impression de ville-dortoir. NON OUI Références externes 16

17 I.6 Réhabilitation Les réhabilitations doivent permettre la conservation ou la mise en valeur des éléments architecturaux de la construction. Une modernisation de la construction sera admise si elle reste en harmonie avec le style du quartier et qu elle ne s accompagne pas par la disparition de particularités architecturales du bâtiment. Les techniques initiales de la réalisation du bâti devront être étudiées dans le cas de réfection à l identique (que nous conseillons). Pour plus de détails, il faut se reporter aux chapitres concernant chaque élément à réhabiliter (toiture, percements, clôtures, éléments de modénature, cf chapitre II ). 17

18 Chapitre II Prescriptions spécifiques aux constructions en zone urbaine (centre historique, maisons de ville) 18

19 Le centre de Pontoise présente un tissu urbain très dense formé d immeubles ou maisons de ville présentant différents aspects selon les quartiers. L importance du style architectural des bâtis prend ici une valeur plus importante que dans les quartiers à habitat diffus, et la cohérence de traitement des caractéristiques du bâti est obligatoire. II.1 Implantation en mitoyenneté a) Cas général Il sera tenu compte du tissu urbain environnant, afin de permettre une juste implantation par rapport aux voies et aux limites séparatives. L implantation tiendra compte des caractéristiques de la rue, de l îlot, etc OUI Le respect de l alignement sera en général assuré par la construction elle-même ou éventuellement par un mur de hauteur suffisante (1,80 m). NON Un retrait partiel ou de faible importance pourra être autorisé pour des raisons architecturales, pour des bâtiments présentant une façade supérieure à 30 mètres ou pour s aligner sur un bâtiment voisin. Ici, l'alignement des façades et des clôtures joue un rôle primordial dans l harmonie et la continuité de la rue. Pontoise : quartier Notre Dame Pontoise : quartier Notre Dame 19

20 b) Réhabilitation en centre ancien En centre ancien, il ne sera permis aucune destruction de bâtiment sans justification pertinente. Les réhabilitations seront, dans la mesure du possible, refaites à l identique, il faudra s inspirer des méthodes de construction de l époque du bâtiment et respecter au maximum les prescriptions présentées dans ce document : percements des façades, éléments d architecture, matériaux et couleurs, rythmes verticaux et horizontaux,... Il faut éviter de dénaturer les façades par l ajout d éléments décoratifs modernes, de publicités, Pontoise : centre ville Ci-dessus, la place du Grand Martroy et cicontre, une vue de Pontoise depuis la rue du Château Belger révèlent le potentiel intéressant de la ville. Pontoise : centre ville En centre historique, la qualité paysagère et l affirmation de l identité des quartiers découleront du respect des couleurs de toitures et de façades, et, des alignements. Ici, l exemple de la ville antique de Perugia en Italie. Référence externe 20

21 c) Construction en terrain libre Les constructions modernes, en terrain libre, devront s harmoniser avec l environnement urbain et paysager. L intervention d un maître d œuvre qualifié est obligatoire et le style architectural devra être justifié par une recherche artistique d harmonisation et d intégration paysagère. Les nouveaux bâtiments pourront être reliés : o Soit entre eux directement, o Soit par leurs annexes (garages, murs ). Dans ce cas, celles-ci se conformeront aux mêmes prescriptions que le bâtiment principal. Les percements marquent et déterminent le rythme architectural de la ville par la régularité de leurs proportions. Les règles sur le percement des façades exposées dans ce document doivent être respectées à la lettre. Les rythmes verticaux et horizontaux de la rue ne doivent pas être cassés par les nouvelles constructions. NON OUI Ci-contre, le bâtiment ne respecte pas la forme de toiture, le percement des baies ne suit pas le rythme du parcellaire ancien, L ensemble tranche avec le style traditionnel de son environnement direct. Pontoise : centre ville 21

22 II.2 Hauteurs Selon les zones, les hauteurs réglementaires peuvent varier. Il est obligatoire de prendre connaissance de l article 10 du règlement du PLU. Cette hauteur tiendra compte nécessairement de la hauteur des immeubles ou pavillons environnants. La construction nouvelle ou l agrandissement doit s adapter à la topographie ; elle ne pourra, par exemple, être d une hauteur supérieure au bâtiment limitrophe le plus haut, tout comme, elle ne pourra être inférieure à l immeuble limitrophe le plus bas. NON H H2 H1 H1 H H2 NON 22

23 II.3 Volumes Les volumes devront respecter l échelle des constructions de l environnement immédiat, de la région et les grandes caractéristiques du bâti, des gabarits, modes d assemblage traditionnels, pentes des toitures. II.4 Toitures Le toit, est essentiel dans le volume et l aspect général de la construction de par sa forme et la nature du matériau de couverture. Les toitures sont majoritairement à deux pentes, d une inclinaison de 35 à 45 et parallèles à la rue. Mais on peut aussi relever la présence de toitures de trois pentes sur les constructions d angle, et également de toits à la «Mansart». Il est tout de même conseillé de favoriser la construction de toitures à deux pentes ayant des formes simples et régulières. 35 α < α < 45 a) Couverture Le recouvrement des toitures d immeubles a suivi l évolution des matériaux et des techniques. Le type des matériaux est aussi déterminé par la pente des versants. La majorité des toits sont couverts de tuiles plates petit moule. La réfection des toitures anciennes devra tenir compte obligatoirement du matériau déjà en place avant travaux. L utilisation de plusieurs matériaux sur une même construction est interdit. La tuile plate petit moule sera prescrite pour les constructions à l intérieur des périmètres protégés par l Architecte des Bâtiments de France dans le périmètre de la Z.P.P.A.U.P. A défaut, on pourra utiliser des tuiles mécaniques de petit moule, aspect plat (22 au m²), de couleur brun vieilli. Les débordements de toitures en pignon sont interdits. En bas de pente, le débord maximum (corniche + gouttière) sera de 25/30 cm. Les matériaux de synthèse, bardeaux d asphalte, la tôle ou le plastique ondulé sont interdits. La couverture des lucarnes sera toujours exécutée à l aide de tuiles plates (77 à 80 au m²) même 23

24 lorsque les long-pans* sont couverts en tuiles mécaniques. *Long-pan de la toiture b) Les lucarnes Les percements en toiture peuvent être réalisés de deux manières différentes : soit ce sont des châssis vitrés posés dans le plan du toit, soit par des lucarnes. Nous recommandons de n utiliser que des percements par lucarnes sur la pente de toit visible depuis la rue. Les lucarnes devront être proportionnées au volume du toit. Le nombre de lucarnes devra être inférieur à celui des fenêtres. Leur positionnement respectera le rythme de la façade. Les lucarnes déjà existantes sont à refaire à l identique. Il peut être fait exception si leur forme et leur style tranchent avec les constructions voisines et que le projet est plus cohérent avec le style environnant. L avis d un spécialiste est fortement conseillé. Les lucarnes pourront se situer à l aplomb ou en retrait du mur de façade, mais pas trop près du faîtage. OUI Les lucarnes à jouées obliques sont interdites. 24

25 NON Ces percements ainsi que les châssis vitrés, situés dans le plan de la toiture sont autorisés de proportion plus haute que large, ils n excéderont pas 80 cm de large et seront entièrement encastrés dans la toiture. Ils devront respecter l ordonnancement général des bâtiments existants ou à créer. c) Les souches de cheminées Elles devront être situées au plus près du faîtage. Le matériau de construction de la souche sera soit identique à celui des murs, soit en brique de teinte claire. Les couronnements seront simples et sans décor excessif. En zone UA, et à l intérieur des périmètres protégés, les proportions extérieures des souches et gaines diverses devront être adaptées au volume de l habitation et de la toiture et ce pour respecter la protection paysagère des monuments historiques. Il est souhaitable de demander l aval de l Architecte des Bâtiments de France avant une modification importante ou la réalisation d une souche de cheminée. Souche trop éloignée du faîtage Souche trop grande OUI NON Souche accolée 25

26 II.5 Les façades a) Proportion des ouvertures Les ouvertures sont rectangulaires, plus hautes que larges. Les petites ouvertures ont cependant des formes plus variées. Fenêtres Portes Portes cochères 1/2 < H/L < 2/3 1/3 < H/L < 2/3 H/L = 1. Utiliser des percements simples, rectangulaires. Fenêtres plus hautes que larges H/L = 3/2 si L < 1,40. Éviter de modifier les dimensions des baies, ces changements ont pour conséquence de détruire l équilibre général de la façade. Si une menuiserie doit être remplacée, le faire par une menuiserie de mêmes dimensions ou légèrement plus petites (quelques centimètres seulement) ; la différence sera compensée par une «tapée*». * Une tapée est une pièce en bois ou en métal remplissant la fonction de calage pour l insertion de menuiseries dans des ouvertures aux dimensions supérieures. Elles peuvent être droites ou en biais selon la forme de l ouverture. Mur plein Tapée Menuiserie Ici, la baie vitrée, plus large que haute, rompt le rythme de la façade, la fenêtre du 1er étage n est pas alignée et le rapport vide/plein n est pas respecté. Pontoise 26

27 b) Rapport Vide / Plein Les parties pleines (murs) dominent toujours par rapport aux ouvertures. Il est recommandé de rechercher un rapport vide/plein de 20 à 30 % pour éviter une dénaturation des façades et profiter de l éclairage naturel en journée. c) Ordonnancement L ordonnancement est régulier, parfois avec des variantes. Les ouvertures se superposent. Il faut éviter les ouvertures trop rapprochées les unes des autres. Cette façade prise dans le centre-ville de Pontoise affiche un ordonnancement parfait. Pontoise : centre ville 27

28 d) Rythme Les rythmes dominants sont verticaux. La verticalité est marquée par les fenêtres et ouvertures, les pilastres et chaînes d angle. Les rythmes horizontaux sont affirmés par les corniches, les bandeaux, les entablements et les joints en creux. Il est nécessaire de tenir compte des façades limitrophes. Les baies, leur répartition, les trumeaux, les rythmes des pleins et des vides, les dominantes horizontales et verticales des façades voisines seront, dans la majorité des cas, la référence des futures constructions. Dès l élaboration du projet, avant même de déposer le permis de construire, il est recommandé de soumettre des esquisses et dessins de façades au service Urbanisme, qui pourra, le cas échéant, solliciter l Architecte des Bâtiments de France, afin d établir une concertation qui sera à même de faire évoluer le projet. 28

29 e) Ornementation ou Modénature La corniche est l élément décoratif qui est présent presque dans toutes les maisons rurales et immeubles de bourg. Maisons bourgeoises. Les éléments décoratifs présents sont les bandeaux, les Immeubles de faubourg chaînes d angle, les encadrements des fenêtres, les clés et les moulures diverses. Immeuble fin XIXè début On trouve tous les éléments d ornementation depuis le néogothique jusqu au baroque (balcons, bow-windows, XXè oriels, céramiques, joints en creux, appareillages décoratifs). Toutes les modénatures seront impérativement conservées et refaites telles qu elles ont été conçues dès l origine, s il est nécessaire de les reprendre. Il est donc absolument interdit de faire disparaître ces ornementations lors de la réfection de l enduit des murs de façade. Ces éléments concourent non seulement à l amélioration de l esthétique, mais ont aussi pour rôle d empêcher les eaux de ruissellement de couler le long des façades, les endommageant et encrassant inévitablement l enduit. Les éléments servant à l étanchéité constitués de zinc ou de plomb et protégeant les saillies, doivent lors de la réfection d enduit être remplacés ou refaits dans les mêmes matériaux. Certaines constructions possèdent des particularités intéressantes, qu on veillera à sauvegarder lors d une réhabilitation : Exemples : Escaliers extérieurs Lucarnes particulières Enseignes peintes etc Pontoise 29

30 f) Éléments particuliers 1 - Les gouttières Si possible, le réseau de récupération et d évacuation des eaux de pluies devra être intégré dans les corniches et les façades. Toutefois, si ces réseaux sont externes, les évacuations verticales doivent se situer aux angles des constructions et respecter les rythmes verticaux. Leur couleur doit être la même que celle de la façade ou rappeler celle d éléments architecturaux de la façade. Ci-contre, un modèle d intégration de la gouttière à la façade : les tuyaux sont peints de la même teinte que les menuiseries. Ils deviennent un élément de l architecture. Cette façade est celle du monastère du Carmel à Pontoise. Pontoise : centre ville 2 - Les antennes de télévision Les antennes hertziennes et satellites sont à installer en priorité du côté jardin et ne pas être visibles depuis la rue. Lorsque la connexion à un réseau d antennes collectives est possible, il est préférable de s y raccorder au lieu d installer une antenne individuelle. 30

31 g) Matériaux et couleurs Les façades sont en pierres ou en briques souvent apparentes. Lorsqu elles sont recouvertes, elles sont enduites au plâtre ou à la chaux. Des carreaux de céramique sont parfois employés pour décorer la façade. Il est très important, pour la bonne conservation des maçonneries, de refaire au mieux l enduit, en veillant à ne pas employer des matériaux qui enferment l humidité dans les murs tels que les enduits au ciment ou comportant un élément durcisseur ou plastifiant. Pour les murs maçonnés au plâtre, prévoir un enduit constitué de chaux et de plâtre, pour les murs maçonnés à la chaux, prévoir un enduit constitué de chaux aérienne + sable. On évitera de supprimer un enduit pour rendre apparents les matériaux de structure des façades qui ont été conçues, dès l origine, pour être plâtrées. Il est en effet fréquent que l appareil que l on découvre s avère sans intérêt ou altéré par des contresens issus de remaniements. Par ailleurs, on évitera de peindre les enduits. Une peinture pourra être, néanmoins, envisagée sur les enduits au plâtre en bon état. Les maçonneries seront recouvertes d un enduit lisse. Préférer les teintes dans la masse de couleur unique : ton pierre, sable, ocres clairs. Les seules pièces de bois apparentes sont les jambages de certaines lucarnes et dans les maisons à caractère rural, les linteaux des portes cochères ; toutes les autres pièces de bois, notamment les linteaux, sont enduites ou peintes comme le reste de la façade. Ce type de réhabilitation est totalement déconseillé, il n y a pas de respect des matériaux d origine, un mélange de matériaux sur une même façade et la structure est apparente. Pontoise 31

32 II.6 Menuiseries et éléments d architecture Qu elles appartiennent aux fenêtres ou aux portes, les menuiseries anciennes ont subi de nombreuses altérations et nécessitent bien souvent d être restaurées ou remplacées. Celles-ci étaient destinées à être peintes. Il conviendra de peindre les menuiseries contemporaines d autant plus que les bois actuels n ont pas toujours la qualité des anciens. a) Fenêtres Les menuiseries des fenêtres sont toutes ouvrantes à la française avec 2, 3 parfois 4 carreaux par vantail. De façon générale, les huisseries des fenêtres devront présenter les caractéristiques des menuiseries d origine. On choisira donc des huisseries à trois vitres dans la hauteur, ou encore deux vitres et parfois même une seule vitre par vantail. Les fenêtres auront dans la majorité des cas deux vantaux. On tolérera néanmoins les ouvrants d une seule vitre en aluminium ainsi qu en PVC pour les constructions neuves. Ce type de fenêtres doit être entretenu à l identique et conserver les particularités esthétiques Pontoise 32

33 b) Les portes Les portes anciennes font partie de l esthétique de la construction. Linteaux et jambages affirment solennellement l entrée de l immeuble par des jeux de briques ou de pierres ou encore par des moulures. Conserver dans la mesure du possible les portes anciennes. Éviter les décors surchargés ou étrangers à la région. Faire figurer le modèle dans le dossier de demande. Deux exemples de conservation et d entretien des menuiseries anciennes pris à Pontoise. Pontoise c) Les couleurs Les couleurs seront en harmonie avec l ensemble de la façade ainsi qu avec celles des constructions voisines. Toutes les menuiseries seront, de préférence, peintes. Les croisées seront claires, en général blanc cassé. Les volets, portes et portes cochères seront vert foncé, vert wagon, vert empire, brun foncé, gris Trianon, blanc cassé (ou autres teintes après consultation). Éviter les teintes vives et les traitements bicolores. On ne cèdera pas à la mode du bois naturel qui correspond au goût d une certaine époque, mais ne respecte pas l esprit de l architecture urbaine. Les vernis ou teintures sur bois sont à éviter. Les volets avec barres en «Z» sont déconseillés. d) Serrurerie On évitera l utilisation des crémones dites «modernes» et les quincailleries «rustiques». Les ferrures ne seront jamais peintes en noir. On veillera toujours à utiliser des gonds et des fermetures qui s apparentent aux modèles anciens. 33

34 II.7 Garde-corps, appuis de Fenêtres, Balcons Les balcons garde-corps et appuis de fenêtres en ferronnerie portent la marque d une volonté d expression esthétique très poussée. Cependant, s il en existe des exemples exceptionnels, par la richesse et la complexité du décor, la majorité est d une exécution relativement simple. Il conviendra donc de les maintenir et de les protéger. Il est absolument interdit de remplacer des garde-corps anciens en bon état sous prétexte de donner à la maison une allure plus «moderne». Lorsqu un percement est créé sur une façade côté rue, comportant des garde-corps anciens, il conviendra de démunir une des fenêtres côté jardin, ou de se procurer un ancien de même type. En dernier recours, on choisira les garde-corps les plus sobres. D une façon générale, on veillera à ce que l unité d aspect de la façade soit préservée. Pontoise 34

35 Chapitre III Clôtures 35

36 Les clôtures et les plantations contribuent à la qualité des espaces extérieurs tant privés que publics. Elles ne sont pas obligatoires mais sont conseillées si le quartier comporte en majorité des parcelles clôturées. Encore une fois, c est le style du quartier qui doit guider les nouvelles constructions. L aspect de la clôture est déterminant dans l esthétique globale de la construction. Les deux types de clôtures fréquemment rencontrés sont les : le plus murs hauts maçonnés (en moellons nus ou enduits comme la façade de la maison) avec chaperon en tuiles. murs bahuts avec une grille métallique simple ou doublée parfois. Dans les quartiers traditionnels, les murs existants en pierre devront impérativement être entretenus dans leur aspect d origine. Pour les murs très abîmés, un permis de démolir devra être sollicité en mairie avant d être reconstruit à l identique. La clôture peut aussi être constituée par une haie végétale taillée, éventuellement associée à un mur bahut ou doublée d un grillage intégré à la haie. On demandera l unité de matériau entre les clôtures, les annexes et les bâtiments principaux. Afin d éviter une trop grande disparité de types de clôture sur un même secteur, il est recommandé de s adapter aux clôtures voisines si toutefois elles sont de qualité. Il ne faut en aucun cas trancher avec la continuité de la rue. Préférer les murs pleins ou murs bahuts avec grille simple à barreaudage vertical de couleur sombre (brun foncé, vert foncé ou mur + haie) dans les quartiers où ce type de clôture est majoritaire. 36

37 Préférer une haie doublée d un mur ou d un simple grillage dans les zones pavillonnaires ayant une prépondérance de la végétation. Il est conseillé d éviter les clôtures dites décoratives, comportant des maçonneries compliquées ou de style inadapté à la construction, toutefois, si elles existent, il conviendra de les entretenir. Ci-contre, l exemple d une clôture en parfaite harmonie avec la devanture du bâtiment principal et ayant une conception architecturale qui mérite d être conservée et mise en valeur. Pontoise : quartier de l Hermitage On recherchera l association des clôtures et de la végétation (vigne vierge, glycine ). Sont interdites les clôtures en : briques creuses ou parpaings ciment non enduit, tôles ondulées, plaques fibrociment, les clôtures dites décoratives, pailles, roseaux, rondins de bois. Les portillons, les accès vers le garage, font partie intégrante de l ensemble de la clôture et doivent, de ce fait, s harmoniser avec celle-ci (matériaux, hauteurs, couleurs ). Ils seront de préférence en bois ou en fer d un dessin simple. 37

38 En habitat diffus, il sera demandé l intégration des éléments de clôture au paysage et à la végétation : un grillage peu apparent, doublé d une haie, une barrière en bois à éléments non jointifs, un mur bahut maçonné surmonté d une haie doublée. OUI NON 38

39 On voit facilement que les clôtures participent au paysage urbain, ici, des barrières plus traditionnelles permettraient de donner plus de valeur et de qualité au paysage. Un simple doublage au moyen d une haie végétale peut aussi être une solution, si toutefois, elle n obstrue pas la vue. Pontoise Une unité dans le style de clôture tout au long d une rue apporte un cachet intéressant à la rue et chaque propriété garde tout de même son originalité. Pontoise : quartier des Cordeliers Il est en revanche souhaitable de ne pas laisser proliférer de végétation indésirable sur les trottoirs devant sa clôture. Pontoise 39

40 Chapitre IV Prescriptions spécifiques aux devantures commerciales 40

41 Au cours des siècles, de nombreux immeubles ont été transformés le long des voies en commerces, ou construits pour une utilisation plus rationnelle en vue de l exploitation commerciale. Au XVIII ème, les menuiseries apparaissent et des décorations très denses fleurissent dans les commerces. Au XIX ème siècle, un retour à la simplicité s opère et les devantures commerciales s harmonisent avec l architecture des étages. Le XX ème siècle a vu passer différents courants décoratifs tels que le style «nouille» et «art déco». La période moderne est marquée par l évolution du graphisme et des enseignes. Les devantures de commerce d aujourd hui et leurs enseignes introduisent : Le relief, La couleur, Le mouvement, Le texte, Le graphisme. Il importe donc de trouver un équilibre entre les exigences de l activité commerciale et la mise en valeur du centre de Pontoise. Face à la surenchère du décor commercial, qui se traduit par un sentiment d agressivité pour les usagers, nous pouvons observer que, ce qui devient attractif, est justement le décor sobre, la simplicité. Les devantures commerciales de Pontoise devront affirmer des formes simples sans surcharge des enseignes, dans le but de constituer un ensemble cohérent et agréable. 41

42 IV.1 L implantation des devantures commerciales a) L intégration au paysage de la rue : La rue est l espace urbain le plus propice au développement du commerce : c est le lieu où s exercent traditionnellement les échanges. Son paysage est défini par un certain nombre de constantes liées à la forme d urbanisation, aux règles qui ont conditionnées sa construction dans le temps, alliées aux traditions locales de l architecture. (Ordre continu le long des voies verticalité alignement des façades). Ce sont ces constantes qui déterminent le caractère du quartier. Les devantures et locaux commerciaux doivent participer à l unité de la rue et contribuer à la cohérence de son paysage. 42

43 1. Les lignes verticales du rythme parcellaire Sur ces alignements de rues, le partage foncier se traduit dans l espace par des lignes de mitoyenneté qui marquent les limites de chacune des façades. Ces lignes verticales parfois à peine visibles sont très importantes au niveau du paysage de la rue parce qu elles en rythment le parcours. Plus ce rythme est rapide, plus l espace urbain créé paraît animé. En tireté, les rythmes verticaux de la devanture qui respectent ceux du reste du bâtiment et ainsi enrichissent la façade. Référence externe Il est donc nécessaire de respecter le rythme du parcellaire ancien. Dans le cas où il est envisagé un regroupement de plusieurs locaux contigus ou l implantation d un commerce chevauchant une ou plusieurs limites séparatives, celles-ci ne pourront se traduire par une devanture d un seul tenant. Il y aura nécessairement interruption, faisant apparaître la trame du parcellaire. L unité et la continuité d un commerce peuvent parfaitement s exprimer par une unité de style de certains éléments de devanture. (Menuiseries, vitrage, couleurs, logos). La devanture pourra incorporer la porte d entrée de l immeuble dans une composition d ensemble. 43

44 2. Les lignes horizontales des hauteurs d étage Dans un alignement traditionnel, des bandeaux filants horizontaux soulignent la délimitation entre le rez-de-chaussée et le premier étage, sans être toutefois systématiques, ni exprimés de la même manière; les lignes horizontales déterminent un rythme régulier qui donne une homogénéité à l alignement urbain. Cette régularité indique aussi la limite de l occupation commerciale traditionnelle par rapport aux étages d habitation. Les façades commerciales doivent être composées de manière à s harmoniser avec l ensemble de la façade du bâtiment supportant la devanture. Celle-ci devra donc être limitée au rez-de-chaussée, soit par un bandeau en partie haute, soit par les appuis de fenêtres du 1 er étage qui devront rester apparents. On peut rappeler en étage par une simple signalisation apposée sur les baies ou un lambrequin, l étendue du commerce en question. Cette devanture est un bon exemple : malgré des lignes modernes, elle ne dénature pas l architecture du bâtiment et affiche une sobriété dans les formes, les couleurs et un respect des rythmes Pontoise : centre ville En revanche, cette devanture est surchargée. La fonction du commerce est en doublon, avec des styles différents, ce qui manque d unité, la façade de l immeuble est dénaturée. Pontoise : centre ville 44

45 b) L insertion des devantures dans l immeuble 1. Bâtiments existants Les devantures doivent s inscrire dans le cadre architectural de la façade. Les éléments de la structure porteuse de l immeuble doivent rester lisibles, et être traités dans les mêmes conditions de mise en œuvre du ou des matériaux utilisés pour le reste de la façade. Les éléments structurants la devanture doivent être positionnés de façon à correspondre absolument à la ligne logique et naturelle des descentes de charges exprimées par la composition de la façade, Seules les parties pleines situées à l intérieur des baies ou de structures porteuses peuvent recevoir un matériau différent (aluminium, acier, inox, acier peint, glace). Le principe des devantures en applique en bois peut être employé sur les façades composées d éléments de bases simples, soubassements, piédroits, bandeau supérieur portant l enseigne. Les créations de reculs et de galeries seront examinées scrupuleusement de façon à ce que celles-ci n engendrent pas l éventrement du bâtiment en rez-de-chaussée Les façades en maçonnerie seront traitées en enduits, «ton pierre», enduit à la chaux grasse comportant un sable de couleur ocre. Les façades en bois seront de préférence peintes. 2. Bâtiments neufs Les recommandations suivantes sont applicables aux locaux et boutiques qui prendront place en rez-de-chaussée d immeubles neufs édifiés sur les parcelles libres, et notamment ceux qui viendront s insérer dans le tissu ancien («dent creuse»). Le rapport des pleins et des vides du rez-de-chaussée sera étudié finement en fonction des étages supérieurs ainsi qu en fonction des constructions de l environnement immédiat. On évitera de créer des linéaires commerciaux trop longs. Il faudra nécessairement, s il s agit d une implantation en dent creuse, tenir compte des devantures existantes de part et d autre, et s en inspirer. 45

46 Lors de la demande de permis de construire, il sera nécessaire de définir les pleins et les vides du rez-de-chaussée commercial et non pas de présenter seulement des baies libres entre voiles de maçonnerie. Les couleurs, les choix des matériaux ainsi que la configuration des enseignes et leur nombre seront à préciser également dès ce moment. IV.2 Types de devantures. a) Les devantures en applique 1. Les devantures en applique d autrefois La devanture en applique d autrefois (cf photos ci-dessous ) est constituée d un coffrage en bois, intégrant le système de fermeture et la ou les vitrines. Cet ensemble qui vient se surajouter à la façade est souvent contemporain de la construction. Les devantures en appliques généralement du XIX ème siècle méritent toute notre attention et doivent être conservées et réhabilitées chaque fois que possible. Elles sont plus ou moins ouvragées suivant l époque, le quartier et le commerce auquel elles se rapportent. Si elles doivent être peintes une seule couleur est à prévoir, pouvant varier du pastel au ton très soutenu. Seul le blanc et le noir sont à proscrire. Il est nécessaire de garder et de reconstituer si besoin est la décoration d autrefois Le texte de l enseigne est peint à même le support. La règle est de reconstituer au plus prés les devantures d autrefois dans leur volumétrie. 2. Les devantures en applique d aujourd hui Elles sont préfabriquées selon le même principe mais tous les matériaux peuvent être utilisés (métal, matériaux composites, bois etc.. ). Le débord du coffrage par rapport à la façade ne doit pas excéder 10 cm et celui du caisson intégrant le volet roulant sera inférieur à 25 cm. La face du coffre peut être inclinée vers le bas avec un angle de 10 à 15 degrés par rapport à la verticale. Une seule couleur pour l applique variant du pastel aux tons très soutenus peut très bien convenir. Seul le blanc et le noir sont à éviter. La vitrine pourra comporter un soubassement traité dans le même esprit que le reste du coffrage de 40 à 80 cm au-dessus du sol intérieur du magasin. Tous les matériaux peuvent être utilisés hormis les miroirs et les plaques translucides. 46

47 L éclairage de l enseigne peut se faire par quelques spots de faible intensité lumineuse ou par un caisson lumineux, celui-ci sera de faible dimension et pourra être opaque laissant passer par transparence le texte et le logo ou inversement texte opaque et caisson translucide. La distance entre les spots et l enseigne sera la plus courte possible. La règle est la sobriété. b) Les devantures intégrées 1. Description La devanture intégrée est composée d une vitrine, de l entablement, qui supporte l enseigne, éventuellement un soubassement et du placage. Le coffre de rideau de fermeture peut se situer dans l entablement mais aussi à l intérieur du magasin. Il est à noter peuvent dans certains cas se situer entre des trumeaux. Contrairement à la devanture en applique, la devanture intégrée peut s envisager sur tout immeuble du plus ancien au plus contemporain. Quelques règles sont cependant à respecter selon la catégorie de l immeuble et les quartiers plus ou moins sensibles. 2. Règles pour les projets de devantures intégrées Pour un immeuble ancien de belle facture et dans un quartier ancien, il est impératif de respecter la structure les matériaux, la modénature d origine et, bien sûr, l emprise en largeur de l immeuble. La vitrine doit être posée avec un retrait minimum de 20 cm par rapport au nu extérieur de la façade. L entablement devra se situer entre les trumeaux, au-dessus de la ou des vitrines en léger retrait ou en débord, par rapport à la façade, pour laisser une lisibilité totale de l architecture d origine. Tous les matériaux peuvent être admis, mais un seul par devanture doit être retenu. Si l enseigne est un caisson lumineux de faible dimension, il doit être opaque et laisser passer la lumière par transparence uniquement pour le texte et le logo. Il peut également être envisagé des lettres autoportantes découpées et posées sur la façade au-dessus du commerce soit avec la tranche opaque et la face translucide ou inversement et éclairé de l intérieur soit en tôle découpée et éclairée par-dessous. 47

48 Place de l Hôtel de Ville Pour un immeuble ancien de facture moyenne, une plus grande liberté de traitement peut être admise. La vitrine sera toujours en retrait d au moins 20 centimètres par rapport au nu extérieur de la façade. Les matériaux peuvent être contemporain comme l acier, matériaux composites etc. à l exception des miroirs et des matériaux translucides. L entablement comme les piédroits et le soubassement peuvent recouvrir les trumeaux mais rester de dimensions modestes. Ils peuvent être agrémentés par des moulures. Un ou deux matériaux de natures et de couleurs différentes, mais ton sur ton, peuvent être admis pour l ensemble. L enseigne peut être traitée en caisson lumineux opaque de faible dimension laissant apparaître par transparence le texte et le logo ou inversement (texte opaque et caisson translucide) La porte d entrée de l immeuble doit être hors de l emprise commerciale. Pour un immeuble contemporain, tous les matériaux peuvent être admis mais pas plus de deux pour une même devanture. Les éclairages clignotants sont à éviter comme les obliques en plan ou en façade. La lisibilité de l architecture de l immeuble doit rester totale et la sobriété de traitement reste la règle. L espace pour la devanture ainsi que les couleurs, les matériaux, la configuration des enseignes et leurs nombres, doivent être prévus dès la conception de l immeuble par les architectes et figurer dans le dossier de permis de construire. 48

49 On tiendra bien évidemment compte des recommandations précédentes concernant les immeubles existants et leur devanture, en particulier au niveau des matériaux et des couleurs. La boutique doit participer à la qualité architecturale de l immeuble. IV.3 Eléments complémentaires de composition Les ornementations compliquées et clignotantes, les devantures surchargées de placage et matériaux hétéroclites sont à éviter. Les placages et contre-murs de briquettes ou de briques de Vaugirard sont proscrites ainsi que les imitations faux pans de bois, fausses pierres de ciment, etc. Les systèmes d occultation et de protection doivent en position d ouverture être totalement dissimulés (rideaux en fer, ). a) Les auvents Les marquises Les auvents placés au-dessus des boutiques constitués de fausses charpentes et couverts de tuiles, ardoises, etc sont interdits. Les marquises à ossature métallique peinte avec remplissage en vitrage sont autorisées sur les façades devant lesquelles existe un trottoir. Le point le plus saillant de la marquise doit être en retrait de 0,80 mètre minimum de la bordure du trottoir, les consoles et toute partie saillante ne pouvant descendre à moins de 3,00 mètres de hauteur par rapport au trottoir. b) Les stores Les bannes Les stores et les bannes mobiles sont autorisés. Leur mécanisme doit être dissimulé dans le cadre des percements: Ils doivent être véritablement justifiés par l ensoleillement, Les couleurs seront en harmonie avec la devanture, Le coffrage les contenant doit être peu saillant et inséré également à l intérieur des percements, Les motifs de tons contrastés et les dessins compliqués sont interdits, Toute publicité doit être évitée sur ces éléments, seule la raison sociale de l activité peut s y exprimer sur la partie tombante. 49

50 Il est à souligner par ailleurs, que les emprises sur la voie publique et les surplombs sont soumis au règlement de voirie en vigueur. c) Mode d éclairage Les rampes lumineuses qui peuvent être dissimulées dans la modénature de l immeuble sont à privilégier. Les spots seront situés le plus près possible de la devanture, peints dans le ton général de celle-ci. Les tubes néons apparents sont strictement interdits, ainsi que les caissons lumineux. Ces derniers pourront toutefois être exceptionnellement autorisés sous certaines conditions. L éclairage doit rester sobre et ne pas surcharger la devanture par de forts contrastes ou des couleurs vives, qui à l échelle de la rue donnerait un ensemble totalement incohérent et désagréable pour l usager. IV.4 Les enseignes Le règlement local de publicité est consultable en mairie. Afin de préserver le cadre architectural et le climat de la ville, et créer une ambiance appréciée, il est nécessaire de rechercher la qualité dans les divers éléments qui composent l image extérieure du commerce, et son signe distinctif qu est l enseigne. Il est possible de bien réussir l harmonisation de l enseigne avec son environnement, concilier les exigences de l information commerciale, et, le respect et la mise en valeur des immeubles intéressants du point de vue de l image historique de la ville. Les enseignes doivent solliciter l attention du promeneur par leur graphisme simple et élégant, leur symbolisme moderne ou leur facture traditionnelle, et apporter à son plaisir d acheter, celui de goûter un environnement de qualité. Afin de résoudre certains problèmes qui peuvent se poser, et avant toute mise en fabrication, contacter le Service Urbanisme dont l un des rôles est de conseiller sur l aspect de tous les éléments qui forment le paysage urbain. Pour concilier la mise en valeur des quartiers anciens avec les impératifs de signalisation des commerces, il importe d étudier soigneusement la disposition générale des enseignes, leurs formes et leurs matériaux, le graphisme, la schématisation des signes et de les composer en même temps que la devanture. Une enseigne appliquée et une enseigne en potence suffisent largement à l identification d un point de vente. Au-delà, la surcharge aura un effet néfaste sur les commerces de la rue. 50

51 a) Les Enseignes appliquées ou enseignes bandeau Devanture en applique Elles se trouvent apposées sur la devanture dans le même plan que la façade pour être vues lorsque l on se trouve face à la devanture. Elles traduisent la raison sociale du commerçant ou de l artisan. Elles peuvent aussi annoncer le type de produits vendus ou fabriqués. Si les possibilités d enseignes sont multiples, il faut faire un choix. Pour qu un message soit facilement lu et retenu, il doit être bref et prévis. Un seul suffit. 1. La position : L enseigne sera appliquée en tableau au-dessus de la vitrine. D autres dispositions peuvent être envisagées : Sur le lambrequin du store, Apposée sur la glace même de la vitrine, soit peinte, soit en matériaux adhésifs. 51

52 Les enseignes bandeau ne doivent pas dépasser les limites du bandeau placé au-dessus de la devanture. Elles sont interdites sur les auvents, les marquises, les balcons ou garde-corps des balcons, devant les baies des étages, sur les toitures ou terrasses. Les lettres seront peintes ou en reliefs. Les lettres en relief seront réalisées en lettres découpées ou forgées. Leur saillie par rapport au support ne devra pas être supérieure à 0,16 mètre. Le graphisme sera simple pour faciliter la lecture. L éclairage de couleur ou intermittent par guirlandes d ampoules, les tubes fluorescents apparents sont interdits sur les façades. Ci-contre, un bon exemple pontoisien de sobriété dans le signalement de l activité : le nom n apparaît qu une fois en enseigne bandeau. Le choix des couleurs est aussi très judicieux. Pontoise : centre ville A l inverse, on peut noter qu ici le bandeau ne respecte pas le niveau du soubassement observé sur les constructions voisines. Pontoise 52

53 2. Signalisation des activités en étage Les activités en étage peuvent être variées et parfois différentes de celles au rez-de-chaussée. En dehors d une simple plaque indicatrice à la porte d entrée de l immeuble, la signalisation peut être envisagée : A l intérieur des baies, sous formes de signes ou de symboles adhésifs collés à même la vitre de la fenêtre sur la partie haute, respectant les proportions de celle-ci. Sur le lambrequin du store qui se replie en feuillure de la baie. Cette solution est la plus préférable. 53

54 b) Les Enseignes en potence ou perpendiculaires Elles sont apposées perpendiculairement à la façade de l immeuble. On les appelle aussi «enseignes drapeaux». Il est recommandé d exécuter les enseignes en potence soit en métal découpé, soit en panneau de tôle peinte. Elles seront de préférence figuratives, à l ancienne, suspendues à des potences de forme simple. Il n est admis qu une seule enseigne par activité signalée pour 10 mètres de façade commerciale sur une même voie, deux enseignes maximum au-delà.. Position : L enseigne drapeau sera installée au niveau du 1 er étage à l une des extrémités de la devanture (une permission de voirie doit être délivrée avant l installation). Dimensions : Les dimensions recommandées sont : - Épaisseur : 0,16 m - Carrée : 0,40 x 0,40 m - Rectangle : 0,40 x 1,20 m le grand côté doit être placé verticalement. Ces dimensions ne comprennent pas les fixations pattes et potences. Elles peuvent être adaptées pour des enseignes figuratives après avis de l Architecte des Bâtiments de France. Les enseignes aux écritures verticales, implantées sur toute la hauteur du bâtiment, sont à éviter, surtout en centre historique, car elle manque de caractère artistique ou historique et de sobriété. 54

55 L éclairage sera réalisé par spot dissimulé dans la corniche de l immeuble, ou par transparence. Si l enseigne drapeau comporte un texte, il est souhaitable d employer le même caractère graphique que celui de l enseigne bandeau. On voit ici qu en centre historique typique des villes françaises, la simplicité des affichages, des devantures et des enseignes offre une intégration paysagère bien meilleure que si chaque magasin surcharge sa devanture. Référence externe Ce cahier des recommandations s est avéré nécessaire pour éviter que les enseignes, par leur excès, ne finissent par défigurer le paysage urbain sans pour autant renforcer leur impact commercial. Si, pour ne pas banaliser la rue, ce cahier proscrit toute surenchère entre les enseignes et l emploi des dispositifs agressifs, il laisse toute liberté à l imagination. Autorisation préalable : La mise en place ou le remplacement d une enseigne est soumise à une autorisation préalable. Le dossier comprend les documents suivants : Une demande d autorisation datée et signée mentionnant : Le nom du demandeur, Son adresse et son numéro de téléphone, L adresse où doit être apposée l enseigne, Le nom, l adresse et le numéro de téléphone de l installateur. Un plan de situation Une photo couleur des lieux où doit être implantée l enseigne Un plan de façade de l immeuble, montrant son implantation 55

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