«Si vous fermez les yeux fort et que vous voyez encore quelque chose, c est que c est une bonne affiche»

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1 R etour CATALOGUE DES AFFICHES «Si vous fermez les yeux fort et que vous voyez encore quelque chose, c est que c est une bonne affiche» B. Villemot

2 1 Les vaccinations mettent à l abri de nombreuses maladies contagieuses - vers 1960 Centre national d éducation sanitaire démographique et sociale Sartirana Dim. : 40 x 60 cm - A. D. 35 Variole, typhoïde, tuberculose, diphtérie, quatre maladies infectieuses assombrissent le tableau des années 50. Trois des quatre vaccins correspondants étaient obligatoires : les vaccins antidiphtérique, antivariolique et le BCG. Le typhus, une des infections à salmonella fut pratiquement éradiqué durant la décennie grâce à l amélioration de l hygiène et au développement de la vaccination préventive. Le Centre national a été créé par arrêté du 17 octobre

3 2 Grippe, n attendez pas l épidémie, faites-vous vacciner - vers 1970 Comité français d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française Dim. : 21 x 54 cm - A. D. 35 Seconde maladie infectieuse mortelle (après la tuberculose) qui coûte chaque année plus de 1,5 milliard de francs en frais médicaux et indemnités journalières, la grippe touche en moyenne 7 % des Français. C est pourquoi, tous les automnes, la vaccination est recommandée en particulier aux personnes les plus exposées : personnes âgées mais aussi adultes présentant des affections cardiaques et respiratoires chroniques, diabétiques et cirrhotiques. Dans les années 60, les tout premiers vaccins virent le jour mais les résultats ne furent pas toujours concluants. C est au cours de la décennie suivante que des campagnes à grande échelle apparurent. 3 N oubliez pas la vaccination de rappel polio Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française Dim. : 21 x 54 cm - A. D. 35 En 1956, plusieurs années après celui de l américain Salk, le vaccin antipoliomyélite français (mis au point par P. Lépine de l Institut Pasteur), est diffusé sur simple prescription médicale. Cependant, pour diverses raisons économiques, il va être prescrit aux seuls enfants de 6 à 10 ans, groupe d âge le plus exposé aux conséquences de cette maladie. Dix ans après, malgré l obligation de la vaccination (1964) à peine plus de la moitié de la population des 0-30 ans avait été vaccinée et le pays comptait le plus grand nombre de cas déclarés en Europe : 286 (contre 45 par exemple en RFA). Ce constat explique les grandes campagnes sur la vaccination et les rappels antipoliomyélites de la fin des années

4 4 SOS Tuberculose : chaque année nouveaux cas, morts Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française, Institut Pasteur, Comité national de défense contre la tuberculose Dim. : 77,5 x 57 cm - A. D. 35 Alors que l on célèbre le centenaire de la mort de Louis Pasteur, il n est pas inutile de rappeler que l Institut Pasteur, fondé en 1888, a largement participé à la lutte contre la tuberculose. Ce sont notamment deux pasteuriens, Calmette et Guérin qui mirent au point en 1921 le BCG, bacille tuberculeux bovin atténué utilisé pour la vaccination antituberculeuse : la loi du 5 janvier 1950 la rendit obligatoire pour tous les sujets de moins de 25 ans. 5 Il faut choisir Ligue nationale française contre le cancer Nicolitch Dim. : 40 x 60 cm Coll. F. Mansotte L alternative, ici représentée sous forme illustrée, est un argument souvent employé pour amener le public à faire le choix de la bonne santé. 6 Apprenez le geste de sécurité - [s.d.] Comité national d éducation sanitaire et sociale D. Orcel Dim. : 57 x 37,5 cm - A. D. 35 Les accidents domestiques ont toujours été difficiles à chiffrer : dans les années 70, on estime que 40 % des accidents graves chez l enfant de 1 à 4 ans surviennent à la maison. Selon les spécialistes, on peut abaisser ces statistiques. Pour cela, il faut d abord informer les parents sur des dangers précis (ici, le risque d empoisonnement par l absorption d eau de Javel) en appliquant une série de règles de prudence élémentaire souvent méconnues ( lever le bras par exemple afin de mettre hors de portée des enfants, les produits dangereux) et amener l enfant à assurer lui-même sa sécurité. 37

5 7 Surveillons nous!... en bien ou en mal... ils nous imitent - vers 1957 Institut national de la sécurité Le Guillerm Dim. : 30 x 40 cm - A. D. 35 L exemple de cette affiche des années 50 prouve que l éducation sanitaire entendait intervenir partout où la réglementation ne pouvait agir en rappelant au public quelques règles élémentaires, objets ni de lois, ni de prescriptions réglementaires. 8 Mais pourquoi faites vous tant de bruit? - vers 1967 Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française Yves Jobert Dim. : 35 x 59 cm - A. D. 35 A la fin des années 50, la Ligue française contre le bruit, animée par les docteurs Trémolières et Bresson, s était fixée comme but d accueillir les plaintes des victimes du bruit véritable danger social et rançon du progrès matériel pour faire pression sur les pouvoirs publics et le Parlement. 38

6 SPADEM, Le lait de la mère appartient à l enfant - vers 1955 Centre interdépartemental d éducation démographique et sociale André Wilquin Dim. : 51,5 x 22 cm - A. D. 35 Dans les années 50, le sevrage précoce, facteur de morbidité et de mortalité, est un crime pour certains médecins. Dans les années 60, on se contentera d encourager l allaitement maternel en informant les jeunes mères et en versant des primes d allaitement. 10 Croissance, santé et comportement de bébé seront périodiquement contrôlés et médicalement surveillés Centre régional d éducation sanitaire et sociale de Lille Dim. : 29,5 x 39,5 cm - A. D. 35 Cette affiche fait partie d une série de 11 documents illustrés avec slogans commandés par le Centre régional d éducation sanitaire et sociale de Lille qui furent affichés en 1968 dans les caisses primaires d assurance maladie, les caisses d allocations familiales, les centres sociaux et les dispensaires de la région. 39

7 11 Protège-moi... vaccine-moi Comité français d éducation pour la santé Dim. : 48 x 62 cm - A. D. 35 L illustration et le slogan reprennent ceux d une affiche en noir et blanc des années A une différence près : l enfant est ici de face et non plus de dos. 12 Pour conserver la santé, il faut la propreté - vers 1955 Centre interdépartemental d éducation sanitaire, démographique et sociale Dim. : 39,5 x 59,5 cm - A. D. 35 Dans les années 50, éducateurs sanitaires, médecins et enseignants s étaient unis pour lutter contre le manque d hygiène des enfants scolarisés. On pensait ainsi modifier les comportements individuels mais aussi collectifs à l intérieur de la cellule familiale, en inculquant à l écolier les principes hygiéniques résumés dans les trois courtes phrases suivantes : Qui dit santé dit hygiène, Qui dit hygiène dit air et propreté, Qui dit propreté dit eau. 40 SUITE

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