Module 5-1. Eléments d analyse économique des marchés. Section 2 : Structures de marché et paradigme SCP

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1 Module 5-1 Eléments d analyse économique des marchés Section 2 : Structures de marché et paradigme SCP

2 1.1. Une première typologie Première approche : Structure de marché = nombre de firmes actives sur un marché Nombre de vendeurs, nombre d acheteurs On suppose que le nombre d acheteurs est élevé et que le produit proposé est relativement homogène

3 1.1. Une première typologie Structure de marché Monopole Oligopole Concurrence Parfaite Nombre de firmes Une Quelques unes Un grand nombre 1.1. Une première typologie Monopole : la SNCF sur le marché du transport des particuliers, EDF sur celui de la fourniture d électricité aux particuliers, Oligopole : le marché des soft-drinks (Coca-Cola vs Pepsi), le marché des articles de sport (Nike, Adidas, Reebok), le marché de l aéronautique civil (Boeing vs Airbus) Concurrence parfaite : marché de certains produits agricoles, marché boursier?? => beaucoup plus difficile de trouver des exemples, les marchés sont pour la plupart des marchés de concurrence imparfaite La structure de marché dépend du marché et pas de l identité des firmes. Ex : France Telecom est en monopole sur le marché de l accès (l abonnement) mais fait à une forte concurrence sur les télécommunications interurbaines. Pose le problème de la définition des frontières d un marché

4 1.2. La définition du marché pertinent Si demandes indépendantes aucun problème un produit = un marché Les consommateurs sont sensibles au prix d un bien donné mais également aux prix des autres biens Définir le marché = déterminer un ensemble de produits qui sont des substituts proches d un produit de référence Définition du marché : ensemble de produits présentant entre eux une forte substituabilité au niveau de la demande et de l offre La définition du marché pertinent La substituabilité au niveau de la demande : Substituabilité : des produits différents (en termes techniques par exemple) sont considérés comme relativement interchangeables par les consommateurs Les produits que les consommateurs mettent en concurrence pour satisfaire un besoin donné vont appartenir au même marché Définition de la Commission Européenne : «le marché pertinent en termes de produits comprend tous les produits et/ou services considérés comme interchangeables ou substituables par le consommateur, en raison des caractéristiques des produits, de leur prix et de leur usage habituel»

5 1.2. La définition du marché pertinent La substituabilité au niveau de l offre : Signification : de nouveaux producteurs peuvent proposer un produit similaire à ceux qui occupent le marché dans un délai très court Le produit B est un substitut du produit A du point de vue de l offre, si en réponse à l accroissement du prix de A, les producteurs du produit B sont incités à fabriquer et à vendre également le produit A Relativement peu utilisé on s en sert plus pour analyser les modalités de la concurrence dans le secteur (barrières à l entrée, ) 1.2. La définition du marché pertinent La délimitation des frontières d un marché à l aide des élasticitésprix croisées Elasticité : mesure de la sensibilité de la demande d un bien en fonction d une autre variable La demande d un bien 1, Q1, dépend de manière générale du prix de ce bien (p1), du prix des autres biens (biens 2, 3, ayant pour prix respectifs p2, p3, ) et du revenu des agents R. On a donc : Q(p,p,p,... R) Q = Formellement, on peut alors définir l élasticité prix croisée de la demande d un bien 1 suite à une variation du prix d un bien 2 de la manière suivante : Q 1 Q e 1 1, 2 = p 2 p Cette élasticité nous indique de combien varie la quantité de bien 1 lorsque le prix du bien 2 augmente de 1%. 2

6 1.2. La définition du marché pertinent Trois situations à distinguer : e 1,2 < 0 : les deux biens sont complémentaires une hausse du prix du bien 2 entraîne une baisse de la demande de bien 1. e 1,2 = 0 : les deux biens sont alors indépendants une variation du prix du bien 2 n a aucune influence sur la demande de bien 1 e 1,2 > 0 : les deux biens sont substituables En particulier si e 1,2 > 1 : forte substituabilité une hausse de 1% du prix du bien 2 entraîne une hausse de la demande de bien 1 supérieur à 1% 1.2. La définition du marché pertinent La dimension géographique du marché : Si un produit particulier est à même de satisfaire un consommateur mais n est pas accessible il n appartient pas au même marché Ex : si la baisse du prix des voitures de luxe n affecte pas la demande de voitures de luxe en Allemagne il existe alors 2 marchés distincts

7 1.2. La définition du marché pertinent Difficultés liées à la mise en œuvre il faut pouvoir estimer les fonctions de demande Pb1 : recueil des données Pb 2 : choix des méthodes d estimation Difficultés d interprétation : A partir de quelle valeur de l élasticité 2 biens appartiennent-ils au même marché? La réaction de la demande d un bien aux variations du prix d un autre bien n est pas forcément immédiate. Pb du délai La définition du marché pertinent Une illustration : la fusion Volvo-Scania Définition du marché géographique pertinent pour les activités poids lourds Définition du marché pertinent des produits pour les autocars et autobus

8 1.2. La définition du marché pertinent Définition du marché géographique pertinent pour les activités poids lourds Enjeu : la délimitation du marché géographique détermine le degré de concentration (plus la zone géographique est large, et plus la part de marché cumulée de Volvo-Scania sera faible) Pour Volvo : le marché pertinent = le marché communautaire Les arguments avancés par Volvo : Faible importance des écarts de prix Présence de tous les constructeurs dans l ensemble des pays de l Union Forte internationalisation des 2 entreprises Existence d acheteurs transfrontaliers (ils achètent hors de leur pays d origine) Standardisation croissante des produits Absence de barrières à l entrée 1.2. La définition du marché pertinent Pour la Commission Européenne : le marché à considérer n est pas le marché communautaire mais les marchés nationaux Risque d une position dominante dans un certain nombre de pays (Danemark, Finlande, Norvège, Suède, Irlande) Les arguments avancés par la Commission Européenne : Il existe des écarts de prix importants il n existe pas un grand marché du «poids lourd» Les constructeurs pratiquent la discrimination tarifaire : les mêmes produits sont vendus à des prix différents selon les pays. Personne ne profite de ces écarts les marchés sont relativement cloisonnés Il y a des spécificités nationales en matière d exigences techniques et la possession d un réseau de distribution et de SAV est indispensable pour s implanter (viable si PDM>10%) barrières à l entrée La mise en conformité avec les exigences techniques est coûteuse Le rôle des réseaux de distribution et de SAV peut retenir les clients d acheter hors de leur pays et limite les possibilités de jouer sur les différences de prix

9 1.2. La définition du marché pertinent Définition du marché pertinent des produits pour les autocars et autobus Enjeu : la délimitation du marché des produits détermine le degré de concentration (plus le nombre de biens appartenant au même marché est important et plus la part de marché cumulée de Volvo-Scania sera faible) Pour Volvo : autocars et autobus font partie du même marché Ils peuvent être utilisés de manière alternative Certains éléments techniques sont communs La Commission Européenne rejette cette approche : Existence de fortes différences techniques (= faible substituabilité de l offre) Faible substituabilité de la demande Nécessité d apprécier l impact de la fusion sur la base de marchés séparés 1.3. La concentration industrielle Une fois le marché déterminé : on peut déterminer le nombre de firmes présentes sur ce marché Importance de connaître la taille des firmes Si 5 firmes sont présentes sur un marché oligopole Une firme possède un part de marché de 90% et les 4 autres de 2,5% Les 5 firmes possèdent chacune une part de marché de 20% Important de connaître le degré de concentration du marché Deux mesures «classiques» de la concentration : Le ratio de concentration L indice d Herfindahl

10 1.3. La concentration industrielle Le ratio de concentration : CR n i représente le rang de la firme dans un ordre de taille décroissant s i représente la part de marché de la firme i exprimée en % Ratio le plus fréquemment utilisé : CR 4 = n i = 1 s i 1.3. La concentration industrielle L indice d Herfindahl : H n = i = 1 2 s i = i 1... s i représente la part de marché de la firme i exprimée en % (i = 1 n) L indice H vaut (=100 2 ) dans le cas d un monopole et tend vers 0 dans le cas d un marché atomistique n

11 1.3. La concentration industrielle L indice d Herfindahl prend en compte le nombre de firmes et la distribution des parts de marchés A nombre de firmes donné l indice sera d autant plus élevé que la répartition des parts de marché est inégalitaire Réécriture de H : H = n σ n où σ 2 représente la variance des parts de marché 1.3. La concentration industrielle En prenant l inverse de H multiplié par , on définit le «nombre équivalent» le nombre de firmes de taille identique correspondant à une valeur donnée de l indice Toute situation asymétrique avec le même nombre de firmes se traduit par une valeur supérieure de l indice Les valeurs du tableau représentent des bornes inférieures

12 1.3. La concentration industrielle Application : l utilisation de l indice d Herfindahl par la Federal Trade Commission aux Etats- Unis Encadré n 2 du document (p. 34) Application Situation initiale Firme CA Part de marché Part de marché au carré Taille 1000 H 1250

13 Application Fusion de 2 petites firmes (1&2) Firme CA Part de marché Part de marché au carré H 1300 La fusion est acceptée sans condition Application Fusion de 2 grosses firmes (10&11) Firme CA Part de marché Part de marché au carré H 2050 La hausse de l'indice est supérieure à 100 points : la fusion fera l'objet d'une enquête approfondie

14 1.4. Les autres éléments caractéristiques des structures La différenciation du produit : Cf. discussion sur la définition du marché pertinent : les produits offerts peuvent ne pas être tout à fait similaires Quelle est l importance de cette différenciation? + une firme propose un bien différencié et + elle dispose d une autonomie forte dans les stratégies qu elle peut mettre en place 1.4. Les autres éléments caractéristiques des structures Les barrières à l entrée : Ensemble des obstacles de nature à ralentir, diminuer l étendue ou empêcher l entrée de firmes extérieures sur le marché considéré Caractéristique essentielle : forte influence sur le nombre de firmes présentes (ou pouvant potentiellement entrer) sur un marché On distingue : Les barrières légales liées au cadre juridique et réglementaire Les barrières exogènes (ou naturelles) liées aux caractéristiques de la technologie et de la demande Les barrières endogènes (ou stratégiques) liées aux comportements des acteurs

15 1.5. Une typologie plus fine des structures de marché Concurrence parfaite Monopole Concurrence Monopolistique Oligopole Nombre de firmes Elevé Une Elevé Quelques unes Nature du bien produit Parfaitement homogène (toutes les entreprises produisent le même bien) Unique Différencié (les entreprises produisent des biens légèrement différents mais substituables entre eux) Différencié ou non Barrières à l entrée Aucune Très élevées Faibles Elevées ou très élevées Les fonctions de recettes L équilibre de la firme en concurrence L équilibre de la firme en monopole L oligopole

16 Recette totale, recette moyenne et recette marginale Définitions RT ( Q ) = PQ = P ( Q )Q RT ( Q ) RM ( Q ) = = P ( Q ) Q Rm ( Q ) = RT ( Q ) RT ( Q 1 ) RT Rm ( Q ) = Q Recette Moyenne = Prix Quantités vendues Recette Totale Recette Marginale

17 Le comportement des firmes Hypothèse de maximisation du profit Profit = Recette Totale Coût Total Π = RT ( Q ) C ( Q ) Considérons une firme produisant une quantité donnée d un bien disons 10 unités. A-t-elle intérêt alors à accroître sa production? Quelles sont les conséquences de la décision de produire une unité supplémentaire? Cette production va entraîner une variation de son coût à hauteur de son coût marginal, Cm Cette production va entraîner une variation de sa recette marginale, Rm Elle a donc intérêt à produire cette unité supplémentaire si la recette marginale retirée de la vente de cette unité supplémentaire est supérieure au coût marginal engendré par cette production. Si tel est le cas, son profit augmente. Le comportement des firmes Elle a intérêt à augmenter sa production tant que Rm > Cm La dernière unité produite est telle que Rm = Cm Il faut que le profit soit positif : Profit = PQ C(Q) =Q (P-CM(Q)) Profit positif ou nul si P> CM(Q)

18 La concurrence parfaite En concurrence parfaite : 4 conditions : De nombreux acheteurs et de nombreux vendeurs sont présents sur le marché D autres acheteurs et d autres vendeurs peuvent facilement entrer et sortir du marché Le bien est homogène Les acheteurs et les vendeurs ont une information parfaite quant aux prix pratiqués et quant à la qualité des produits Le grand nombre de vendeurs personne ne croît que son action isolée ait un quelconque effet sur le prix du marché. Les firmes considèrent alors que le prix est une donnée, elles sont preneuses de prix. les firmes font face à une demande horizontale quelle que soit la quantité vendue par la firme, elle reçoit le même prix par unité vendue Rm = P = Constante Elle peut vendre n importe quelle quantité à ce prix mais toute hausse de prix fait qu elle ne vend plus rien la demande est parfaitement élastique La concurrence parfaite P P* En concurrence parfaite, le prix s impose aux producteurs P P* La demande s adressant à chaque firme est une horizontale Q * Q Q

19 La concurrence parfaite Court terme = nombre de firmes fixé En concurrence parfaite RM=Rm=P Règle de décision en situation de concurrence parfaite : P = Cm Π 0 P CM Equilibre de courte période P Cm Profit de la firme i CM P0 D0=RM0=Rm0 CM0 Q0 Q

20 La courbe d offre P Courbe d offre de la firme Cm CM P 3 D 3 =RM 3 =Rm 3 P 2 D 2 =RM 2 =Rm 2 P 1 D 1= RM 1 =Rm 1 P 0 D 0 =RM 0 =Rm 0 Q 0 Q 1 Q 2 Q 3 Qi La concurrence parfaite A long terme : on abandonne l hypothèse de fixité du nombre de firmes La présence de profits va susciter l entrée de nouvelles firmes Le processus d entrée va continuer tant que le profit est positif il s arrête quand le profit de chaque firme est nul

21 Equilibre de longue période P Cm A long terme, le profit est nul CM P 1 D 1 =RM 1 =Rm 1 Q 1 Q Le monopole : Monopole = structure de marché où la concurrence est très faible voire inexistante Monopole pur = 1 seule firme En l absence de contrôle de la part des pouvoirs publics, les monopoleurs peuvent exercer un contrôle sur les prix des biens et services qu ils produisent. Ils ne sont plus preneurs de prix. Si l on cherche à définir la situation de monopole, on peut la caractériser par trois éléments : Une seule firme Un seul bien Barrières à l entrée

22 La demande s adressant au monopole : P RM Rm Q La décroissance de la recette marginale Q P = RM RT Rm

23 La règle de décision du monopole Rm = Cm Π 0 P CM L équilibre du monopole P Profit du monopole Cm CM P 0 CM 0 D=RM 0 Rm 0 Q 0 Q

24 Hypothèse : Le coût social du monopole P Cm=CM P monopole P conc A B C Coût social du monopole = perte sèche de surplus Cm =CM D=RM Rm Q monopole Q conc Q L oligopole non coopératif : Il existe plusieurs manières de représenter le fonctionnement d un marché oligopolistique. On peut supposer : que les entreprises se livrent à une concurrence par les quantités Cournot que les entreprises se livrent à une concurrence par les prix Bertrand que les firmes agissent simultanément ou de manière séquentielle, indépendamment de la variable de concurrence retenue si séquentielle Stackelberg Oligopole non coopératif : les firmes prennent leurs décisions en toute indépendance, de manière autonome

25 L oligopole non coopératif : Globalement : SC Π Monopole Concurrenc e < SC Oligopole = 0 Π Oligopole SC < Π Concurrenc e Monopole L oligopole coopératif : Les firmes peuvent chercher à s entendre afin de réduire voir d éliminer la concurrence, on parle alors de collusion (phénomènes d entente, de cartels ex : cartel de l OPEP) Collusion : accord explicite ou implicite entre les firmes afin d éliminer la concurrence qu elles se font Dans ce type de situation : Les firmes maximisent leur profit joint elles se comportent comme si elles n étaient qu un seul monopoleur Ce type de comportement est illégal perte sèche du monopole

26 L oligopole coopératif : La pérennité des ententes n est pas assurée. Pourquoi? Les firmes se retrouvent dans une situation de dilemme du prisonnier Cas d un duopole : Collectivement, les deux firmes ont intérêt à s entendre la somme de leurs profits est maximum quand elles fixent toutes les deux le prix de monopole ; Dès lors qu une firme fixe un prix très élevé (le prix de monopole), l autre firme a intérêt à ne pas respecter l accord et à proposer un prix légèrement inférieur sa marge unitaire va être plus faible, mais la quantité qu elle va pouvoir écouler sera plus importante, elle recevra plus que la moitié du profit de monopole Dès lors, pour qu une entente fonctionne des mécanismes de sanction doivent être associés à la mise en place d une entente. Les firmes peuvent mettre en place des stratégies de punition qui permettent de soutenir la collusion tacite Chaque firme doit mettre en balance : le gain immédiat lié à une déviation les pertes cumulées qu en entraîne la punition par les autres firmes. Nécessité de mettre en place un mécanisme de sanction crédible pour soutenir la coopération 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP

27 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.1. Présentation Idée du triptyque : La concurrence est une affaire de comportements d entreprises Les entreprises font face à un ensemble de contraintes techniques, réglementaires, économiques qui définissent les règles du jeu et limitent leurs stratégies Logique de l analyse : Conditions de base Structures Comportements Performances Cf. Schéma dans document (p. 35) 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.1. Présentation Performances : Au niveau de l entreprise (pouvoir de marché, résultats financiers, ) Au niveau du secteur : Efficacité productive : la production est-elle réalisée au moindre coût? Efficacité allocative : allocation des ressources est-elle optimale? (la norme étant constituée par la situation de concurrence parfaite) Efficacité dynamique : le progrès technique est-il rapide? Les firmes sont-elles incitées à améliorer leur mode de production afin de produire au moindre coût Justice sociale Efficacité productive et efficacité allocative critères d efficacité statique

28 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.1. Présentation Les enseignements de la séquence SCP Relation de causalité forte entre les différents maillons du triptyque Exemple : Comparaison de deux cas possibles Marché 1 Marché 2 Caractéristiques structurelles Beaucoup de vendeurs et d acheteurs Produit homogène Pas de barrières à l entrée Peu de firmes avec concentration p o s s ib le d e s a c h e te u rs Produit plutôt différencié Existence de barrières à l entrée (et à la sortie) Comportements Pas d action autonome des acteurs Pas de superprofit Conduite variable et autonome Existence de superprofit Performances Allocation optimale des facteurs Pas d innovation Existence de superprofit Allocation non optimale des facteurs Innovation probable 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.1. Présentation Les enseignements de la séquence SCP : Relation de causalité entre le degré de concentration et le niveau de performance Performances = f(concentration) La chaîne SCP : STRUCTURES COMPORTEMENTS PERFORMANCES Concurrence Maximisation du profit Equilibre parétien Tendance à la concentration Maximisation du profit Eloignement de l équilibre parétien

29 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.2. Prolongements du triptyque SCP Remise en cause du lien de causalité entre les différents maillons du triptyque Nécessité de prendre en compte les multiples rétroactions entre les différents maillons Les comportements peuvent agir sur les structures et sur les conditions de base Les caractéristiques structurelles peuvent agir sur les conditions de base Reformulation du triptyque Cf. document L analyse des comportements «nouvelle économie industrielle» (années 80, théorie des jeux) 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.2. Prolongements du triptyque SCP L Ecole de Chicago Concurrence = processus de sélection Toute rente, qui ne serait pas due à une efficacité supérieure, doit disparaître Seules les firmes les plus efficaces survivent Inversion du lien de causalité : Les relations SCP selon l Ecole de Chicago CONDITIONS DE BASE PERFORMANCES STRUCTURES COMPORTEMENTS

30 2. Un cadre général d analyse : le triptyque SCP 2.2. Prolongements du triptyque SCP La théorie des marchés contestables Rôle de la concurrence potentielle = les firmes ne peuvent pas maintenir durablement des rentes sans s exposer à l entrée de nouvelles firmes La menace d entrée discipline le comportement des firmes et donc leur performance Les structures sont conditionnées par la technologie et la demande Dédoublement de la séquence SCP : Les relations de marché pour la théorie des marchés contestables MENACES D ENTREE COMPORTEMENTS PERFORMANCES CONDITIONS DE BASE STRUCTURES

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