Note du CCREFP Poitou-Charentes pour un cadre de référence commun et partagé sur le Service public de l Orientation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Note du CCREFP Poitou-Charentes pour un cadre de référence commun et partagé sur le Service public de l Orientation"

Transcription

1 Note du CCREFP Poitou-Charentes pour un cadre de référence commun et partagé sur le Service public de l Orientation La loi du 24 novembre 2009 crée un nouveau droit à être informé, conseillé et accompagné en matière d orientation professionnelle. Le décret du 4 mai 2011 portant création du label national "Orientation pour tous - pôle information et orientation sur les formations et les métiers", prévoit que les dossiers de demande de labellisation soient soumis à avis du CCREFP sur la conformité au cahier des charges fixé par l'arrêté interministériel du 4 mai En Poitou-Charentes le Comité Plénier du CCREFP a organisé un séminaire associant les professionnels de l accueil, l information et l orientation, le 1 er février 2012, pour avoir une lecture commune du cahier des charges, clarifier des éléments de sémantique et élaborer un cadre de référence commun et partagé sur les objectifs du Service public de l orientation et les services rendus en Poitou-Charentes. Cette note comprend le rappel de l orientation stratégique du CDRDFP concernant le système d orientation, puis la synthèse des échanges sur les différentes fonctions du service public de l orientation et sur sa gouvernance lors du séminaire, ainsi que des travaux de la «commission obligations réglementaires» du CCREFP, en charge de formuler un avis sur la conformité des dossiers de demande de labellisation au cahier des charges. Elle a deux objets : outiller les membres de la commission obligations règlementaires du CCREFP, donner de la lisibilité aux candidats à la labellisation sur les objectifs et les modalités de mise en œuvre du SPO en Poitou-Charentes. A. Améliorer et coordonner le système d orientation et informer tous les publics : une orientation stratégique du CPRDFP Poitou-Charentes Lors de la rédaction du Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles (CPRDFP), les membres du Comité de Coordination Régional de l Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP) Poitou-Charentes ont dégagé 6 orientations stratégiques. Avant même la publication du décret portant création du label national «orientation pour tous», les acteurs pictocharentais ont identifié collectivement, la nécessité d «Améliorer et coordonner le système d'orientation, informer tous les publics en formation initiale et continue», orientation stratégique B2 du CPRDFP 1. Dans ce Contrat de Plan, cette priorité est rédigée comme suit : «Dans le cadre de l'installation du service public d'orientation prévu par la loi de novembre 2009 relative à l'orientation et à la formation tout au long de la vie, ce contrat doit permettre à tous les picto-charentais d'accéder à une information complète sur le marché du travail, la connaissance de l'économie et la réalité des métiers. L orientation constitue l un des enjeux forts de ce CPRDFP. Le service public d'orientation doit fournir une aide à l'orientation et au conseil professionnel de qualité, qualifié, tenant compte des contraintes auxquelles l'individu est exposé. En retour, le bénéficiaire de cette aide doit s'engager à respecter les conditions nécessaires à la réalisation d'une offre de formation qualifiante (comportement, civisme, engagement personnel ). Il est en effet nécessaire d adapter le processus d orientation et d information à tous les publics. Il conviendra de former tous les acteurs de l orientation en utilisant les outils existants et en favorisant la mutualisation des moyens et le développement des compétences. Un véritable service de l'orientation tout au long de la vie ne saurait être efficient en faisant l'économie de la recherche d'une coordination et d'une complémentarité entre les différents acteurs de l'orientation.» 1 Le CPRDFP Poitou-Charentes a été rédigé dans le cadre du CCREFP d octobre 2010 à septembre Il a été signé par la Présidente de Région, le Préfet de région, le Recteur d Académie et le Directeur Régional de l Agriculture, l Alimentation et la Forêt le 14 février Pour en savoir plus, consultez le dossier thématique CPRDFP sur le site arftlv.org 1

2 B. Recommandations sur les conditions à réunir pour un SPO de qualité : les différentes activités d orientation citées dans le cahier des charges et la gouvernance du SPO 1. Accueillir et dispenser le premier conseil dans le cadre d un SPO - La recherche d homogénéité ne doit pas aller jusqu à la standardisation. Chaque groupement et chaque territoire peut ajuster son fonctionnement en fonction de son contexte (rural et/ou urbain), des structures qui le composent et de ses spécificités. Le périmètre du 1 er conseil peut être différent d un territoire à l autre. Ses limites («jusqu où je vais?») doivent être travaillées à l échelle du groupement. - Il est nécessaire de définir dans la convention qui assure l accueil et le premier conseil (sur le flux), car cela pose la question des compétences des différents partenaires du label. Les conseillers qui vont assurer le 1 er accueil doivent avoir les compétences qui leur permettent d analyser, de comprendre la demande et d aiguiller la personne vers le bon interlocuteur grâce au partenariat entre les structures du groupement. - Il n est pas nécessaire de définir une fiche de poste type ou un référentiel de compétences pour les personnels qui interviennent sur la fonction de premier accueil puisque le cahier des charges définit déjà un référentiel sommaire des activités de l accueil et du 1 er conseil. C est aux structures du groupement d apporter la preuve que les conseillers ont les compétences nécessaires. Cette preuve sera apportée surtout sur la base de l expérience des conseillers qui mènent déjà ces activités. Dans une optique de construction progressive, de montée en efficacité et en professionnalisme SPO, la convention devra préciser les modalités de professionnalisation de ces personnels. - Il est important que les structures du groupement se connaissent bien et travaillent dans un réel partenariat pour pouvoir assurer le bon passage de relais. Ainsi, il est proposé de réaliser un support technique commun à toutes les structures d un groupement, qui définira concrètement les différents services et les champs de compétences de chacun. - Il est nécessaire de travailler en inter structure à l échelle du groupement pour définir les modalités du passage de relais entre le premier conseil et le conseil personnalisé : prise de rendez-vous, utilisation éventuelle d outils de suivi. Les freins Le manque de connaissance mutuelle des compétences entre structures d un groupement Le passage de relais : périmètre du 1 er conseil (jusqu où je vais?) et garantie de la continuité de service (comment je m assure que la personne ait bien sa réponse?) Chaque structure assurant le premier accueil devra faire face à un élargissement de son public sans moyens supplémentaires Les leviers La coopération entre partenaires pour développer la connaissance des compétences de chacun, la formation et et les échanges de pratiques La construction collective d un outil commun définissant les services et les compétences de chacun La coopération interservices pour optimiser le travail de chacun et faire gagner du temps à chaque structure. 2. Proposer une information exhaustive et objective dans le cadre du SPO - L analyse préalable de la demande de l usager est primordiale pour aider à accéder à l information en lui donnant les clés de lecture utiles. - Il est nécessaire de travailler sur la fiabilité des sources (sélection de sites pertinents) et leur actualisation. - Le maillage des structures assurant des services d accueil doit être de proximité alors que celui des services de documentation peut supporter plus de distance. La documentation dématérialisée peut-être une solution pour mieux irriguer le territoire. - Il existe de nombreux producteurs d informations, de données, études statistiques sur les territoires (ARFTLV, Pôle Emploi, les Maisons de l'emploi, l ONISEP, l INSEE, les chambres consulaires etc.) auxquels les groupements doivent avoir accès. L interconnexion et l accessibilité à ces informations pour les groupements doivent être renforcées. - Il est nécessaire de mettre en place des outils de suivi et d évaluation (traçabilité entre le type d'information recherchée et la réponse apportée, enquête de satisfaction ). Cela permettrait également de recenser les demandes insatisfaites des usagers. Les freins Où s arrête l information? Chaque structure a son public spécifique Manque de points d information La recherche dématérialisée : fiabilité des sources Les leviers Capacité de l analyse de la demande et du contexte. Partage des savoirs : meilleure connaissance des acteurs entre eux Communiquer sur les points d information accessibles à tout public (logotype) Ouvrir des espaces de proximité et faciliter l accès aux informations dématérialisées. Accompagnement à la recherche avec une professionnalisation Indicateurs sur la traçabilité de la demande et de la réponse pour une évaluation 2

3 3. Assurer une activité de conseil personnalisé dans le cadre du SPO - Sur un territoire, aucun conseiller n est en mesure de délivrer des conseils personnalisés à tous les publics et sur tous les champs couverts par le SPO mais, la plupart du temps et à certaines conditions, l addition des compétences présentes sur le territoire permet de répondre à cette demande. - Le conseil personnalisé fait suite au premier passage de relais par un professionnel en charge de l accueil et du premier conseil. Il est effectué par un conseiller intervenant le plus souvent auprès de publics spécifiques connaissant l ensemble des services rendus par les autres structures du groupement, dans une logique collaborative. - le conseil personnalisé est inscrit la personne dans un processus d orientation tout au long de la vie. Il permet d établir un diagnostic et de définir un plan d action. Il semble également nécessaire, à cette étape, que le conseiller puisse donner des éléments sur la faisabilité du projet de la personne et, le cas échéant, sur les financements mobilisables. - le passage de relais doit être outillé : outil dématérialisé partagé entre différentes structures du groupement. Le conseiller disposera d'une rapide description contextualisée de la demande et de la situation de la personne qui lui est adressée. - Cet outil permettrait également de mesurer l efficacité du service rendu collectivement dans le cadre du SPO en calculant le taux de déperdition entre le premier accueil et le deuxième rendez-vous (conseil personnalisé). - Au-delà de la proximité géographique des différents intervenants du groupement, plusieurs conditions de réussite à la mise en œuvre du SPO sont repérées : la connaissance interpersonnelle des conseillers, la connaissance inter structure de l offre de service de chacun des intervenants. - des actions de professionnalisation des acteurs sont mises en place: échanges de pratiques permettant de mieux connaitre l offre collective du territoire journées régionales pour mettre à jour les connaissances des conseillers sur les dispositifs vers lesquels ils orientent. - des outils (cartographie et/ou catalogue des structures et des personnes qui interviennent sur le territoire) peuvent aider les acteurs mais ne pourront pas se substituer aux actions de professionnalisation. Les freins Spécificité de l offre de service par public et thématique Manque d outils communs de suivi Question de l anonymat des traces Perte de l expertise dans les structures (turn over des conseillers) Les leviers Coordination inter structures S appuyer sur les bonnes pratiques Professionnalisation croisée des acteurs : échanges de pratiques Outillage (suivi des passages de relais, cartographie de l offre de service, annuaire des référents ) 4. Constitution des groupements et gouvernance dans le cadre du SPO - Il existe des habitudes de travail en partenariat et différentes modalités de collaboration sur les territoires. Le fait de la formaliser n est pas toujours facile mais permet de faire un saut qualitatif. Chaque territoire a son fonctionnement propre, il n existe donc pas d organisation type. - La convention de partenariat devra être signée avant envoi à la DIRECCTE de la demande de labellisation. - Les différences de stratégie et d organisation des structures sont une source de complémentarité. - La gouvernance d un réseau peut éventuellement être tournante. La structure qui assure la coordination joue un rôle d animation sur un principe de responsabilité collective. Les membres d un groupement doivent préciser dans la convention en quoi consiste et jusqu ou doit aller la gouvernance du partenariat : coordination, animation, pilotage, définition d objectifs communs, mutualisation des moyens. La convention est susceptible d évoluer par avenant. - Il est nécessaire que les structures : - dégagent du temps pour la coordination et la progression du groupement, comme pour la professionnalisation des agents. - travaillent sur les articulations entre les structures labellisées (1 er cercle) et les autres structures du groupement qui contribuent au service public d orientation (2 ème cercle) en veillant à ce que les structures du 2d cercle ne se sentent pas «marginalisées». - un engagement collectif sur le service à rendre doit être élaboré en commun et figurer dans la convention. Les freins Les leviers Difficulté à construire un service public de l orientation L adhésion sur l action à conduire vis-à-vis des publics - à partir de structures qui ont des cultures différentes concernés. - qui repose sur un engagement collectif nécessitant de La volonté de se professionnaliser dégager du temps partagé (qu est-ce que je gagne? La couverture territoriale (la différenciation spatiale) Qu est-ce que je perds?). Le développement d outils et de formations communes Manque d outils communs permettant d élargir la palette d intervention. 3

4 C. En conclusion Note validée à l unanimité par le Comité Plénier du CCREFP du 19 mars 2012 En conclusion, il apparaît que la plus value apportée par le SPO réside dans la constitution de réseaux d acteurs locaux dont les interventions coordonnées permettent à l usager de mieux s y retrouver et aux professionnels de progresser. A noter que l'offre de service proposée par le groupement s'inscrit dans la démarche d'éducation aux choix appliquée au champ de l'orientation tout au long de la vie. Des échanges entre professionnels sont nécessaires pour améliorer leur connaissance de l offre de service et des compétences des différents membres du groupement et pour assurer une bonne articulation entre les différents intervenants. 1. Pas de modèle unique mais des organisations propres aux territoires Il convient de renforcer le travail en commun en prenant appui sur les réalités de chacun des territoires. La mise en place du SPO, doit prévoir des fonctionnements qui permettent des évolutions dans la structuration du groupement (1 er et 2 ème cercle) en fonction de la professionnalisation ou d autres éléments. Les conventions devront faire apparaitre la volonté des structures de s engager dans un travail partenarial. Cela devrait se traduire par : des objectifs partagés et un projet collectif une logique de mutualisation des moyens et d organisation des services un outillage commun des projets de professionnalisation croisés des indicateurs d activité partagés. 2. L appui apporté aux groupements Un appui aux groupements sera apporté par l ARFTLV en termes de : accompagnement des porteurs de projets à partir du cadre de référence : formulation et construction d'un partenariat territorial. construction d un programme de professionnalisation adapté avec les acteurs du SPO, au niveau local => meilleure connaissance des structures entre elles, échanges de pratique et au niveau régional => mise à jour des connaissances des dispositifs. outillage, à construire et proposer aux groupements pour décrire l offre de services des différentes structures du groupement : Qui fait quoi où?, assurer un suivi des publics L ARFTLV mobilisera la ligne téléphonique Horizon Information Formation en articulation avec le portail «Orientation pour tous». Les autres ressources proposées par l ARFTLV seront mises à disposition des groupements : documentation pour les professionnels et le grand public. 3. Une réflexion à mener sur le suivi et l évaluation du SPO Un groupe de travail et/ou un séminaire sur l évaluation sera organisé afin de définir les éléments d évaluation et les indicateurs de suivi communs 4

5 D. Annexes : ANNEXE 1 : Cadre national Intervention de Jean-Robert PITTE, Délégué à l Information et à l Orientation lors du séminaire du 1 er février 2012 Le SPO doit permettre l insertion tout au long de la vie, en facilitant la démarche de l usager, en rendant un meilleur service et en faisant de la prospective : la formation ne doit pas uniquement satisfaire un besoin immédiat. La labellisation doit se faire selon les spécificités de chaque territoire. La coordination du partenariat ne doit pas être trop formelle. Mieux vaut prévoir des conventions simples, dont l objectif est de permettre à un ensemble d acteurs de coopérer sur un territoire : pas un modèle unique de convention, car celleci doit s adapter aux besoins et aux synergies de chaque territoire. Possibilité d une animation «tournante» du partenariat. Le label «Orientation pour tous» n est pas donné à toutes les structures d un groupement mais uniquement aux structures du groupement qui sont en mesure d assurer l accueil et le 1 er conseil pour tous publics (1 er cercle). Les autres structures du groupement, plus spécialisées, ne pourront pas afficher le label mais pourront communiquer sur leur appartenance au groupement et valoriser ainsi leurs services (2 ème cercle). Sur la question de l appartenance à plusieurs groupements, il n y a pas de règle absolue. C est évidemment possible pour les structures relativement spécialisées (2 ème cercle). Pour les organismes labellisés du «premier cercle» ce sera exceptionnel mais envisageable par exemple en agglomération urbaine dense. ANNEXE 2 : Cadre régional et stratégie des acteurs régionaux Interventions du 1 er février 2012 a) Région Poitou-Charentes intervention d Emile BREGEON, Vice président du Conseil Régional Poitou-Charentes et de Pierre Marie ROY, Région Dans le but de permettre au plus grand nombre d'accéder à une qualification, la Région a développé, dans le cadre de ses compétences, des interventions en matière d'accueil, d'information, d'orientation et de conseil à destination principalement des actifs les plus fragiles. En prenant appui sur l'expérience des Points Régionaux Conseil VAE et des Missions Locales, la Région invite son réseau de partenaires pré cité à s'associer aux travaux conduits par les groupements en cours de constitution sur les territoires pour la labellisation SPO. La Région sera particulièrement attentive à ce que la mise en place d'un SPO en Poitou-Charentes permette une coopération entre acteurs et se réalise dans le cadre : d'un maintien des moyens affectés par l'etat et notamment l'education nationale d'une couverture homogène et totale du territoire régional, sans zone blanche d'une approche qui tienne compte des dynamiques territoriales d'une amélioration significative de la lisibilité, de la proximité et de la qualité de service rendu à la population Les expérimentations du Service Public Régional d Orientation et de Conseil, ont permis un diagnostic partagé sur quatre territoires. Plusieurs pistes de travail ont émergé : renforcer la capacité des acteurs des territoires à couvrir l ensemble des champs identifiés par le cahier des charges SPO et à répondre en complémentarité aux questions inhérentes à la vie professionnelle en général. structurer la démarche de professionnalisation et d outillage des professionnels sur le conseil de premier niveau, l'accès à l'information et le conseil personnalisé se doter d'une cartographie dynamique dans le sens d'actualisable, d'évolutive et de visible b) Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi intervention d Elisabeth FRANCO-MILLET, chef du Pôle Entreprises, Economie, Emploi Le Poitou-Charentes travaille dans le cadre fixé par le SPER lors de sa réunion du 14 juin 2011 : assurer la couverture du territoire picto-charentais et le maillage territorial, mettre en place un travail partenarial pour une offre en réseau, informer les SPE départemental des demandes de labellisation, articuler le SPO avec le futur service dématérialisé, via l ARFTLV, intégrer, suivre et capitaliser les expérimentations du Conseil Régional, prévoir un dispositif de professionnalisation et d outillage des acteurs, prévoir un dispositif de suivi et d évaluation. 5

6 Note validée à l unanimité par le Comité Plénier du CCREFP du 19 mars 2012 L Etat a proposé au CCREFP de ne pas pré définir les territoires mais de privilégier la dynamique d acteurs. Des appels à projet seront peut-être à opérer, dans les territoires qui n ont pas d organismes labellisés. Le suivi et l évaluation feront l objet d un prochain séminaire. L outillage des organismes, pour faciliter un bon fonctionnement en réseau, avec la mise en place d espaces collaboratifs, des actions de professionnalisation seront proposés prochainement avec l appui de l ARFTLV. c) Pôle Emploi intervention de Dominique GELPE, Conseiller technique de la Direction Régionale Pôle Emploi Dans l optique d enrichir son offre de service en orientation Pôle Emploi a lancé : La création d Agences de services spécialisées La création de prestations de construction de projet sous-traitées à des opérateurs externes Une expérimentation en cours de nouvelles prestations d orientation 3 niveaux d intervention en orientation sont en place : Niveau 1 : accueil-information-conseil : fonction «d aiguillage» Niveau 2a : élaboration du projet personnalisé d accès à l emploi / suivi mensuel personnalisé Niveau 2b : prestations d orientation spécialisées + Systèmes transversaux multiples d information Globalement : Pôle emploi n envisage pas de labellisation isolée. Les agences de proximité de Pôle emploi sont concernées par la labellisation, non les quatre agences départementales de services spécialisées Volonté de cohérence régionale, tant interne (Pôle emploi), qu externe (entre les organismes) ; d où un effort nécessaire de formalisation partagée La labellisation est à envisager dans une dynamique de développement Management des groupements - L organisme coordinateur joue un rôle d animateur, sur un principe de responsabilité collective plutôt que d une délégation a priori de responsabilité d) Rectorat / SAIO intervention de Patrice HERZECKE Chef du Service académique d'information et d'orientation Les Services d'information et d'orientation de l'education nationale, dont les Centres d'information et d'orientation, mettent à la disposition des publics scolaires et non scolaires une connaissance du système de formation initiale/continu et des activités qui posent pour chaque individu, au début de leur parcours de formation, les bases des compétences nécessaires pour s'informer et s'orienter tout au long de la vie. Le décret du 23/08/2011 a réaffirmé leur mission au cœur du système de formation en soulignant leurs compétences à prendre en charge tous les publics scolaires dont ceux réclamant une attention particulière : jeune présentant un handicap, nouvel arrivant, décrocheur... et un public «jeune adulte» en recherche d'orientation ou de réorientation. La présence très régulière des 100 conseillers d'orientation psychologues dans les 239 Établissements publics locaux d'enseignement de l'académie (collèges, lycées généraux, technologiques et professionnels) et les Universités permet une proximité et un accompagnement des élèves, des familles, des équipes éducatives et des étudiants incomparables. Ainsi le maillage fin sur les territoires, notamment ruraux éloignés de grand centre urbain, est assuré. Leurs pratiques professionnelles s'appuient sur une formation longue (de niveau Bac+5) qui leur permet la conduite d'entretien avec utilisation de tests, si nécessaire : analyse de la demande, identification des obstacles et des ressources individuelles, recherche avec le consultants des meilleures stratégies pour réaliser son/ses projet(s) de formation et de vie. Leur relation avec les partenaires du réseau «Accueil-information-Orientation» est ancienne et se traduit actuellement par de nombreuses actions de partenariat et de mutualisation de pratiques notamment dans le cadre du fonctionnement des 10 plates-formes sur l'ensemble du territoire régional, de suivi et d'appui aux décrocheurs de formation (temps plein/alternance). La mise en place du Service Public d'orientation et la labellisation des structures vont permettre de consolider, de formaliser l'existant et de le développer, en participant notamment à des formations communes d acteurs de ce réseau, afin de s'inscrire dans une démarche collective de fluidité des parcours et de meilleur service rendu aux usagers. 6

7 Un exemple de fonctionnement en partenariat : la Cité des Métiers de Limoges Intervention de Maryse DUBOIS L organisation mise en place dans la Cité des Métiers de Limoges s apparente à ce qui est demandé aux structures d un groupement dans le cadre de la labellisation SPO : 53 conseillers sur l ensemble des structures qui font partie de la Cité des Métiers accueillent personnes par an L ensemble des conseillers se retrouve une fois par mois sur des thématiques définies. La professionnalisation inter structures est un axe fondamental pour garantir le bon fonctionnement du partenariat Chaque conseiller, lorsqu il travaille dans le cadre de la Cité, ne représente pas sa structure mais apporte uniquement sa compétence Les structures qui travaillent dans la cité ne reçoivent pas de financement supplémentaire Beaucoup de travail en commun, autour de projets partagés ANNEXE 3 : Références au cahier des charges présentées dans les ateliers a) Accueillir et dispenser le premier conseil dans le cadre d un SPO 1. La demande formulée est écoutée et analysée quelle que soit la situation des personnes 2. L organisme et ses personnels veillent à la confidentialité des démarches et à la garantie de l anonymat de l accueil et du 1 er conseil proposé à l usager. L accord explicite de l usager est nécessaire pour l enregistrement des données indispensables au suivi individuel et à l évaluation. Le traitement de ces données, ou leur transmission éventuelle à des organismes partenaires s opère dans le respect de la loi du 6 janvier 1978, relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés. 3. Le conseiller s assure de la situation individuelle (personnelle et professionnelle) de l usager. Il s informe de ses intentions et de ses perspectives et, si nécessaire, aide à la formulation de la question posée. Il vérifie notamment qu il s agit de la première démarche et, dans le cas contraire, s informe des démarches effectuées antérieurement 4. Le conseiller donne à l usager un premier conseil portant sur les modalités de sa recherche d informations. Il lui indique notamment, si besoin est, l organisme qui pourra, sur le même site géographique, lui présenter l information exhaustive et objective correspondant à sa recherche et lui fournir un conseil personnalisé. Avec l accord de l usager, il organise un rendez-vous auprès de cet organisme. Modalités du premier accueil : Un espace d accueil identifié Un accès sans rendez-vous, ni prescription, sur le flux Comprendre et analyser une demande Ecouter, reformuler, donner une 1ère réponse Passer le relais vers le bon interlocuteur b) Proposer une information exhaustive et objective dans le cadre du SPO Le conseiller donne à l usager un premier conseil, lui indique l organisme qui pourra sur le même site géographique, lui présenter l information exhaustive et objective correspondant à sa recherche : - Données communicables par le service dématérialisé prévu à l article L du code du travail - Accès à la documentation physique ou dématérialisée produite par les opérateurs nationaux ainsi qu aux données régionales et locales - L organisation d une aide à la recherche d information Ressources mobilisables : Au niveau national : service dématérialisé : (maîtrise d'ouvrage confiée à Centre inffo, alimenté par différents réseaux : Réseau des Carif OREF/ONISEP, CIDJ, branches professionnelles, Pôle Emploi, Régions...) service téléphonique Au niveau local : ARFTLV, site Horizon, ARES plateforme téléphonique Horizon : mise en place d'un relai spécifique pour les membres du SPO 7

8 Note validée à l unanimité par le Comité Plénier du CCREFP du 19 mars 2012 Espaces collaboratifs pour le suivi des rendez vous et statistiques c) Assurer une activité de conseil personnalisé dans le cadre du Service Public d'orientation Modalités générales du conseil personnalisé Offrir un entretien individuel Prendre en compte le mode de communication de l interlocuteur Les conseils doivent être adaptés aux besoins de la personne Inscrire la personne dans un processus, une progressivité Respecter l autonomie des choix de la personne Contenus du conseil personnalisé Écouter et comprendre une demande Amener l usager à clarifier ou valider sa demande Apprécier la situation de la personne Établir un diagnostic, le valider avec la personne Explorer des options d orientation sous forme d échanges Établir un plan d action Connaissances à mobiliser pour un conseil personnalisé Les filières de formation notamment en alternance, les conditions d insertion professionnelle, Les déroulements de carrière, les perspectives d emploi des différents secteurs, Les organismes accessibles sur le territoire pour un accompagnement spécialisé, L accès aux différentes prestations, les possibilités de financement d) Constitution des groupements et gouvernance dans le cadre du SPO 1 - Critères d organisation et de pilotage des organismes participant au SPO conclusion d une convention attestant permanence continuité (accessibilité pour tout public ; chacun des organismes offre un 1 er conseil) la convention prend appui sur un diagnostic territorial élaboré avec les acteurs (localisation-activités-besoins d orientation des différents publics) recherche d un maillage territorial assurant un accès équitable définition d un périmètre géographique prioritaire d intervention prise en compte des politiques menées en faveur des jeunes sortis sans qualification de formation initiale la convention comporte : dénomination des organismes partenaires porteurs du projet personne physique responsable de la coordination définition des missions du responsable de la coordination l engagement mutuel d accueillir les utilisateurs orientés vers l organisme par les autres partenaires les modalités de mutualisation et de partage des ressources d information sur le marché du travail et l offre de formation la convention prévoit : programme de travail commun et de formation des personnels : (compétences communes- connaissance mutuelle des pratiques professionnelles offre de services de chacun des partenaires) ressources humaines ou financières mobilisées 2 - Principes de management Définition des objectifs des services (activités, publics, résultats) Mises en œuvre d évaluations périodiques internes et externes Consultation des utilisateurs en vue de l amélioration des services - Les moyens de consultation des utilisateurs existent - Consultation anonyme ou personnelle - Mise en place d une modalité de traitement des réclamations et d enquête de satisfaction auprès des usagers Suivi et analyse de l activité suivi des services rendus par les personnels analyse des coûts production de bilan au moins annuel Le personnel a les compétences appropriées (les organismes impliqués définissent les compétences requises pour l exercice des différentes activités et prestations proposées ainsi que la polyvalence nécessaire pour assurer la continuité des services offerts). 8

9 Les organismes participant au SPO offrent une gamme de ressources et d outils d information adaptés à la diversité des utilisateurs et des informations mises à jour - (définition des modalités de mise à jour) Le personnel est formé aux technologies de l information et de la communication 3 Composition du dossier de demande de label (adressée au Préfet de région) Composition coordonnées des organismes composant le groupement Coordonnées du responsable de la coordination, la définition de ses missions, son mode de désignation Analyse de l offre de services d information, de conseil et d accompagnement pour l orientation et des besoins des personnes résidant dans le périmètre géographique prioritaire (à préciser) Nature des services rendus et des activités effectuées Nombre, conditions d emploi ou de mise à disposition des personnels Conditions concrètes de fonctionnement (horaires d ouverture adaptées aux besoins des usagers Moyens prévus notamment pour répondre aux besoins des personnels en matière de formation des personnels concernés Descriptifs des compétences mobilisées pour remplir les fonctions Copie de la convention conclue entre les partenaires 9

10 Sommaire A. Améliorer et coordonner le système d orientation et informer tous les publics : une orientation stratégique du CPRDFP Poitou-Charentes...1 B. Recommandations sur les conditions à réunir pour un SPO de qualité : les différentes activités d orientation citées dans le cahier des charges et la gouvernance du SPO Accueillir et dispenser le premier conseil dans le cadre d un SPO Proposer une information exhaustive et objective dans le cadre du SPO Assurer une activité de conseil personnalisé dans le cadre du SPO Constitution des groupements et gouvernance dans le cadre du SPO...3 C. En conclusion Pas de modèle unique mais des organisations propres aux territoires L appui apporté aux groupements Une réflexion à mener sur le suivi et l évaluation du SPO...4 D. Annexes : ANNEXE 1 : Cadre national Intervention de Jean-Robert PITTE, Délégué à l Information et à l Orientation ANNEXE 2 : Cadre régional et stratégie des acteurs régionaux- Interventions du 1 er février a) Région Poitou-Charentes... 5 b) Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi... 5 c) Pôle Emploi... 6 d) Rectorat / SAIO ANNEXE 3 : Références au cahier des charges présentées dans les ateliers...7 a) Accueillir et dispenser le premier conseil dans le cadre d un SPO... 7 b) Proposer une information exhaustive et objective dans le cadre du SPO... 7 c) Assurer une activité de conseil personnalisé dans le cadre du Service Public d'orientation... 8 d) Constitution des groupements et gouvernance dans le cadre du SPO

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation. cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique

Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Actualisation et mise en œuvre d une Stratégie de Cohérence Régionale d Aménagement

Plus en détail

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012

Plus en détail

Appel à propositions

Appel à propositions Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Plan d'actions ZTEF Est lyonnais 2015 Axe 1 Améliorer l'adéquation offre/demande d'emploi

Plan d'actions ZTEF Est lyonnais 2015 Axe 1 Améliorer l'adéquation offre/demande d'emploi Plan d'actions ZTEF Est lyonnais 2015 Axe 1 Améliorer l'adéquation offre/demande d'emploi réflexion / Groupe de travail identifié Favoriser le rapprochement offre et demande d'emploi Impulser/soutenir

Plus en détail

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES

SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES 2 SOMMAIRE Les services à la personne.... 6 Une palette de 18 métiers.... 7 Près de 60 diplômes ou titres... 8 Des parcours

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

GUIDE MÉTHODOLOGIQUE DU PORTEUR DE PROJET DE CITÉ DES MÉTIERS

GUIDE MÉTHODOLOGIQUE DU PORTEUR DE PROJET DE CITÉ DES MÉTIERS DU PORTEUR DE PROJET DE CITÉ DES MÉTIERS ÉDITION 2012 dans le cadre du projet Capa-Cités* financé par le fonds d expérimentation de la jeunesse * Convergence des Acteurs vers des Projets Adaptés de Cités

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les

Plus en détail

Direction de la Solidarité Départementale

Direction de la Solidarité Départementale Direction de la Solidarité Départementale PROGRAMME DEPARTEMENTAL D'INSERTION 2014-2017 lozere.fr Dans le cadre de l'actualisation du Programme Départemental d'insertion, j'ai souhaité associer l'ensemble

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux

Plus en détail

Actions courtes de professionnalisation 2014

Actions courtes de professionnalisation 2014 Achat de prestations de formation par le GIP Corse Compétences dans le cadre de son dispositif de professionnalisation des acteurs du champ emploi - formation - insertion Document de consultation des entreprises

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen

BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 03/09/2015. Fiche formation BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen - N : 16012 - Mise à jour : 24/07/2015

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Tél : 02 53 46 79 00 Fax : 02 53 46 78 00 MARCHE DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES

Tél : 02 53 46 79 00 Fax : 02 53 46 78 00 MARCHE DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES Ministère des Finances et des Comptes Publics Ministère de l Economie, du Redressement Productif et du Numérique Ministère du Travail, de l Emploi et du Dialogue Social Direction Régionale des Entreprises,

Plus en détail

une plate-forme de services administratifs pour le territoire bourguignon

une plate-forme de services administratifs pour le territoire bourguignon une plate-forme de services administratifs pour le territoire bourguignon Le territoire bourguignon : chiffres clés Un territoire à forte dominante rurale Nombre d habitants: 1 612 397 (1) Nombre de communes

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Construire l école numérique de demain

Construire l école numérique de demain Compte-rendu Petit-déjeuner DU SIPPEREC communications Le compte-rendu du petit-déjeuner du 2 avril est téléchargeable sur le site web : www.sipperec.fr Construire l école numérique de demain Lutter contre

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS

Plus en détail

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct.

I. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct. M a i s o n d e l E m p l o i L es Cahier s J a n v i e r 2 0 1 3 - N u m é r o 1 9 Avec la participation de : Ce cahier construit par et pour les acteurs de l Emploi, de la Formation et du Développement

Plus en détail

Contribuer au Développement de Territoires Solidaires

Contribuer au Développement de Territoires Solidaires Contribuer au Développement de Territoires Solidaires des entreprises en mouvement! Les 500 adhérents* COORACE défendent depuis 1985 le droit au travail pour tous. Ils participent sur l ensemble du territoire

Plus en détail

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de

Plus en détail

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement

Plus en détail

Guide méthodologique

Guide méthodologique Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e

Plus en détail

Fiche métiers. Régisseur lumière

Fiche métiers. Régisseur lumière Fiche métiers Régisseur lumière Si vous consultez ce document sur support papier, certains liens n'apparaîtront pas. Pour accéder aux sites resources, nous vous conseillons d'utiliser la version interactive

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

Le challenge du renforcement des compétences. La qualité du service après vente : un enjeu stratégique. Un partenariat ambitieux avec l OFPPT

Le challenge du renforcement des compétences. La qualité du service après vente : un enjeu stratégique. Un partenariat ambitieux avec l OFPPT SOMMAIRE Le challenge du renforcement des compétences 2 La qualité du service après vente : un enjeu stratégique 2 Un partenariat ambitieux avec l OFPPT 3 Une meilleure adéquation entre la formation et

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

L univers des ENT dans les différents établissements. de formation en Région Centre. Au 18/01/2010

L univers des ENT dans les différents établissements. de formation en Région Centre. Au 18/01/2010 L univers des ENT dans les différents établissements de formation en Région Centre Au 18/01/2010 ENT de quoi parle-t-on? (in wikipedia) ENT, une définition de l'éducation nationale : L ENT est le service

Plus en détail

APPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France

APPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France Contacts Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation professionnelle d Ile de France Orientation et appui Service FSE

Plus en détail

Programme "Collège Numérique Rural"

Programme Collège Numérique Rural JEUNESSE DOSSIER DE PRESSE Programme "Collège Numérique Rural" Stéphanie RENAUX Attachée de presse 04 71 46 22 78 srenaux@cg15.fr Sommaire CyberCantal Education : une implication historique du Département

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation

Plus en détail

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

Le nouveau cadre budgétaire

Le nouveau cadre budgétaire Le nouveau cadre budgétaire Le cadre budgétaire actuel des établissements publics locaux d enseignement remonte aux lois de décentralisation de 1983 et à la création des EPLE en 1985 ; il est décrit dans

Plus en détail

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers

Appel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question

Plus en détail

L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements

L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements Mission IGAS CPF - Réunion GC quadripartite du 24 octobre 2013 1 Sommaire de la présentation 1. Le CEP : un accompagnement

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

Acheter des actions de formation

Acheter des actions de formation L achat, quel enjeu? Acheter une action, c est acheter une prestation de services intellectuels qui nécessite un certain formalisme pour optimiser l achat au regard des enjeux. C est pourquoi, en complément

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45 Baromètre Afci ANDRH Inergie 2013 sur la Communication Managériale 4 ème édition «L implication des managers dans une communication de proximité avec leurs équipes» Octobre 2013 Contact Inergie Toute publication

Plus en détail

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,

Plus en détail

Responsable d agence

Responsable d agence Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

Des garanties qui assurent l avenir

Des garanties qui assurent l avenir Des garanties qui assurent l avenir DéCèS ET PERTE D AUTONOMIE : protéger la famille face aux risques de la vie. Assureur, notre métier L OCIRP couvre les risques du décès et de la perte d autonomie, des

Plus en détail

Présentation et publication d un portail e-sidoc

Présentation et publication d un portail e-sidoc Présentation et publication d un portail e-sidoc Septembre 2013 Dossier d information à destination du chef d établissement PRESENTATION D E-SIDOC... 2 LES DROITS SUR LES IMAGES ASSOCIEES AUX NOTICES ACCESSIBLES

Plus en détail

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4

Plus en détail

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014

COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014 COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014 Aider les plus démunis à rester connectés Connexions Solidaires ouvre à Saint-Denis Grâce au soutien de la Mairie, du Centre Communal d Action Sociale (CCAS)

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

Chambre de métiers et de l'artisanat du CANTAL

Chambre de métiers et de l'artisanat du CANTAL Seul le prononcé fait foi Intervention de M. Marc René BAYLE, préfet du Cantal lors de l'assemblée générale de la Chambre de métiers et de l'artisanat du CANTAL à Saint-Flour le jeudi 16 juin 2011 M. le

Plus en détail

Attentes liées aux prestations

Attentes liées aux prestations Appel à propositions du 26/05/2014 "Diagnostics de Sécurisation des Parcours Professionnels" Attentes liées aux prestations Projet SECURI'PASS 2.0 Cette opération bénéficie du soutien financier de l'etat,

Plus en détail

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress Formation Développement personnel M2S formation La confiance en soi Gestion du stress Gestion du temps et gestion du stress Gestion des tensions et des conflits Gestion des conflits et de l agressivité

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Mutualité Française Ile-de-France

Mutualité Française Ile-de-France Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes

Plus en détail

Les projets d investissement en PME

Les projets d investissement en PME Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser

Plus en détail

Enquête communication interne - restitution

Enquête communication interne - restitution Enquête communication interne - restitution Septembre 2014 Julie Gaillot et Ellen Walker Chargées de communication interne Groupe 1 1 Méthodologie et périmètre de l étude 2 Trois phases Phase qualitative

Plus en détail

Un plan d'investissement pour l'europe

Un plan d'investissement pour l'europe Un plan d'investissement pour l'europe Le «triangle vertueux» INVESTISSEMENT RÉFORMES STRUCTURELLES RESPONSABILITÉ BUDGÉTAIRE 1 Un plan d'investissement pour l'europe MOBILISATION DE FINANCEMENTS POUR

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Public concerné Dans l exercice de vos fonctions de manager qu elles soient nouvelles pour vous ou déjà expérimentées vous avez pu mesurer

Plus en détail

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE

TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Création et administration de SIG de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

BTS - Assistant de gestion PME-PMI

BTS - Assistant de gestion PME-PMI Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 18/08/2015. Fiche formation BTS - Assistant de gestion PME-PMI - N : 0079468 - Mise à jour : 09/07/2015 BTS - Assistant de gestion PME-PMI

Plus en détail

PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE

PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE Gouvernance du Système d Information Comment bien démarrer? Page 1 Soirée «Gouverner son informatique et sa sécurité : le défi des entreprises» CLUSIS / ISACA

Plus en détail

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique

Emmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique 3 Éditorial «Le numérique est aujourd hui dans tous les usages : les transports, les entreprises, les loisirs, les objets connectés, l accès à l information, les smartphones, etc. Mais il n est pas dans

Plus en détail

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

AGEFOS PME Ile-de-France. Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION. La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf.

AGEFOS PME Ile-de-France. Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION. La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf. AGEFOS PME Ile-de-France Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf 17 décembre 2009 Contact : Christelle Soury AGEFOS PME IDF Délégation Sud

Plus en détail

Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant

Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique

Plus en détail

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission

Plus en détail

CELLULLES DE RECLASSEMENT

CELLULLES DE RECLASSEMENT CHER CELLULLES DE RECLASSEMENT Demandeurs d emploi, adhérents des cellules de reclassement PUBLIC Toutes certifications CERTIFICATIONS RESUME DE L ACTION Le PRC du Cher est systématiquement associé aux

Plus en détail

Contexte et enjeux du dispositif de valorisation du savoir, dans son ensemble

Contexte et enjeux du dispositif de valorisation du savoir, dans son ensemble Formation permanente nationale CAHIER DES CHARGES DE LA PRESTATION «Captation audio/vidéo et enrichissement d un support de diffusion multimédia des conférences d un séminaire de formation, à des fins

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail