magazine le trimestriel de la Bourse Septembre N 32

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1 performances magazine le trimestriel de la Bourse Septembre N 32 TENDANCES MARCHÉ P.4 S adapter au virage monétaire de la FED BOURSE P.12 Comment traverser les turbulences nouveauté produit P.8 Nouvelle génération : Les Turbos Jour CAC 40 P.16 Un trimestre de trading Société Générale émet une offre complète de produits de Bourse en France (Turbos, Warrants,...). Complétés par les ETF proposés par notre filiale Lyxor, ces produits couvrent ainsi toutes les classes d actifs avec une large palette de sous-jacents (actions, indices, taux, devises, Matières Premières) et diverses stratégies d investissement (diversification, dynamisation et protection). Ces produits présentent un risque de perte en capital. N Azur PRIX D'UN APPEL LOCAL DEPUIS UN POSTE FIXE sgbourse.fr

2 ÉDITO CAROLINE SOLIGO Responsable Vente & Marketing Investisseurs Particuliers Produits de Bourse Société Générale Dernière nouveauté Société Générale : Les TURBOS JOUR! Pour cette rentrée 2013, l équipe des produits de Bourse vous présente, en exclusivité sur le marché français, le tout dernier né de la gamme Turbos : le Turbo Jour. Inédits en Bourse de Paris, les Turbos Jour cotent une seule journée de 9h05 à 18h30 et offrent un effet de levier maximal grâce à une parfaite adéquation avec les cours des marchés. L effet de levier de cette nouvelle génération de produits, pouvant aller jusqu à x300, va démultiplier à la hausse comme à la baisse la performance de l actif sous-jacent. En revanche, il va de soi que, de par ce fort effet de levier, le risque de perte en capital des Turbos Jour est important. Ces produits sont donc exclusivement réservés à des investisseurs avertis capables de prendre des positions sur quelques heures voire quelques minutes. Une exclusivité à découvrir en page 8. Comment attaquer le second semestre sur les marchés? Les articles pages 18 et 19 vous donneront des éclaircissements sur les valeurs à privilégier sur les marchés français et étrangers pour cette rentrée. En page 10, découvrez le potentiel des valeurs «sponsors» de la Coupe du Monde et des derniers Warrants «spécialement» émis pour l événement. Indices de stratégie Leverage & Short, pourquoi et comment? Rendez-vous page 11 avec les confidences de Fabrice Rahmouni de NYSE Euronext, qui nous explique comment appréhender ces indices en toute «simplicité»! Vous avez envie d en savoir plus sur nos produits? Vous avez des questions sur leur fonctionnement? N hésitez pas à participer à nos conférences à Paris, en province ou bien directement de chez vous via nos conférences en ligne (webinars). Réservez dès à présent vos places sur rubrique «conférences», une occasion privilégiée pour vous de poser vos questions en direct à des professionnels. Pour plus d information sur nos produits ou services, n hésitez pas à contacter notre équipe dédiée au et découvrez les produits Société Générale adaptés à votre scénario. Bonne lecture et bonne rentrée! 2

3 SoMMAIRE 4 TENDANCES MARCHé Bourse : s adapter au virage monétaire de la FED 6 économie Pourquoi les marchés financiers montrent-ils un regain d intérêt pour la Zone euro? 8 NOUVEAUTé PRODUIT Les Turbos Jour 10 WARRANTS SUR THÉMATIQUE de nouveaux WARRANTS POUR INVESTIR SUR LA Coupe du Monde INTERVIEW Tout savoir sur les indices de stratégie 12 ANALYSE SECTEUR Bourse : comment traverser les turbulences 14 ANALYSE TECHNIQUE ACTIONS : VERS DES TITRES AUX FONDAMENTAUX SOLIDES 16 ANALYSE TECHNIQUE CAC 40 : UN TRIMESTRE DE TRADING 18 ANALYSE TECHNIQUE matières premières : or et pétrole 19 matières premières L or retrouve son statut de valeur refuge. Durablement? 20 ALLOCATION ETF Des rotations sectorielles et géographiques s imposent 23 Tous NOS SERVICES 3

4 tendances marché Bourse : s adapter au virage monétaire de la FED Après s être adjugés de belles performances sur les marchés occidentaux cet été, les investisseurs appréhendent de plus en plus l inflexion de la politique monétaire de la Réserve Fédérale Américaine. La transition vers des conditions de crédit «normalisées» pourrait favoriser la volatilité des actions à court-moyen terme. Yohann Hendrice Consultant, Agence Fargo Comment la Banque Centrale Américaine va-t-elle négocier son virage? La FED qui conditionne l orientation de sa politique monétaire à la vigueur des indicateurs économiques américains, en particulier sur le front de l emploi, semble résolue à freiner son programme de rachats d actifs obligataires dès l automne. Et ce, pour des raisons pragmatiques. La Banque Centrale a la volonté de ne pas maintenir trop longtemps un environnement monétaire ultra-accommodant, qui gonfle sensiblement son bilan, alors que l économie américaine renoue avec la croissance et que le taux de chômage reflue peu à peu vers l objectif de 7%. Vers des arbitrages défavorables aux marchés actions? Ce changement de cap fait craindre une déstabilisation de la reprise économique. Mais aussi une distorsion sur les marchés : celle d une tension des taux d intérêt synonyme de renchérissement du «coût de l argent», qui pourrait conduire au transfert massif des capitaux investis en actions vers les actifs obligataires, dont le couple rendement/ risque est désormais plus attrayant. Un scénario déjà éprouvé cet été par plusieurs économies émergentes, dont les devises ont subi une véritable débâcle. Pénalisés par leur ralentissement économique depuis plusieurs trimestres et par une inflation endémique, des pays comme l Inde ou le Brésil ont pâti d une brutale fuite des capitaux. L anticipation de rendements plus rémunérateurs sur les obligations souveraines américaines ou allemandes, a conduit les investisseurs internationaux à délaisser les marchés émergents. Résultat, loin du rally estival des marchés américains et européens (Wall Street a battu de nouveaux records de valorisation, tandis que l Eurostoxx50 a renoué en août avec des niveaux inédits depuis deux ans), la majorité des Bourses émergentes ont significativement reculé. Le redémarrage économique américain rassure Revenons-en aux fondamentaux économiques. Sur ce plan, les motifs d espoir ne manquent pas de part et d autre de l Atlantique. Sans être assez robuste pour garantir une croissance durable, l économie présente néanmoins de multiples signes d amélioration. C est tout particulièrement le cas aux États-Unis où la reprise est de plus en plus consistante, comme en atteste la batterie d indicateurs publiés récemment. Fort d une progression régulière mois après mois, l indice ISM américain (indice reflétant l état de santé du secteur manufacturier américain) vient d atteindre son meilleur niveau depuis deux ans, témoignant du dynamisme retrouvé de la production manufacturière. Une évolution qui reflète la recrudescence de la demande des ménages américains. Même constat sur le marché immobilier, revigoré par l incitation au crédit qu à conduite la Banque Centrale Américaine, à travers sa fameuse politique monétaire expansionniste, menée après l éclatement de la crise. La Zone euro sort de la récession timidement De son côté, la Zone euro amorce son retour à la croissance. L Union monétaire est enfin parvenue à sortir de 4

5 la récession. Au deuxième trimestre, la croissance du PIB s est révélée un peu meilleure qu attendu, à +0,3% (contre une prévision à +0,2%). Le couple franco-allemand a servi de locomotive, avec une croissance supérieure à la moyenne (+0,7% en Allemagne, +0,5% en France), tandis que les économies du sud de l Europe, profondément pénalisées par la crise, ont également envoyé des signaux favorables. La récession est en effet moins sévère qu il y a quelques mois en Italie et en Espagne (PIB en léger recul, à respectivement -0,2% et -0,1%). Il semblerait que la relative faiblesse de l inflation soutienne le pouvoir d achat des agents privés européens et, in fine, le frémissement de la consommation. Parallèlement, les cures d austérité ont été quelque peu ajustées ces derniers mois, avec un relâchement contrôlé des politiques budgétaires la réduction des déficits publics européens devrait s élever à 0,8 point de PIB cette année, contre 1,4 en 2012 ce qui a contribué à procurer un peu plus de croissance. Reste que le chemin de la reprise est sinueux pour le Vieux Continent. L amélioration observée depuis le deuxième trimestre ne suffira probablement pas à conclure l année sur une croissance positive. Surtout, le taux de chômage européen est aujourd hui bien trop éloigné de niveaux soutenables. Un avenir plus souriant pour les entreprises L accélération de la croissance américaine et la stabilisation de la conjoncture en Europe ont un impact non négligeable sur les perspectives des entreprises. Si leurs résultats au premier semestre ont été globalement inférieurs aux attentes, les poids lourds du CAC 40 font preuve d optimisme. Malgré un début d année difficile, la plupart d entre eux ont maintenu ou relevé leurs prévisions annuelles. Un pari plutôt crédible au regard des fondamentaux. N oublions pas que la baisse des résultats opérationnels au premier semestre, relativement modérée, a été dans bien des cas causée par des éléments exceptionnels (passage de provisions, dépréciations d actifs, coûts de restructuration). Par ailleurs, les entreprises ayant engagé de considérables plans d économies ces dernières années (Renault, Air Liquide, Air France, Alcatel-Lucent) sont en train de renouer avec des niveaux de rentabilité un peu plus élevés. L autre symbole d une confiance accrue est le redémarrage des opérations de fusions-acquisitions. Plus avancé outre- Atlantique, à travers des rapprochements d entreprises de très grande taille (rachat de Heinz par Warren Buffett, de Nokia par Microsoft ), ce mouvement traduit la volonté des dirigeants d entreprises d investir pour générer de la croissance externe, plutôt que de mobiliser les liquidités dans des placements peu rémunérateurs, compte tenu de la faiblesse actuelle des taux d intérêt. Le financement de ces acquisitions est facilité par d importants niveaux de trésorerie, résultat des efforts entrepris par les firmes pour se désendetter et assainir leur bilan. Le secteur des télécoms, déflationniste parce qu en surcapacité est actuellement propice aux rapprochements (Vodafone- Verizon ). C est aussi le cas dans le secteur pharmaceutique, où les grands groupes n hésitent plus à aller capter des relais de croissance pour remporter la course aux brevets et aux traitements génériques. Tous ces signaux sont très encourageants. Une fois l étape de «normalisation» monétaire digérée par les marchés, nul doute que la meilleure santé des entreprises sera le catalyseur le plus déterminant, permettant aux actifs boursiers d accélérer leur cycle de revalorisation initié depuis Sélection de Warrants sur Actions Sous-jacent Type Warrant Prix d'exercice Echéance Cours Parité (warrant/ ss-jacent) Delta Effet de levier Mnémo Isin Air France KLM Call déc-15 0,44 2/1 36% 2,75 x 9246S FR Alcatel Lucent Call 2,50 19-déc-14 0,82 1/1 58% 2,28 x 9256S FR Nokia Call 4,20 20-déc-13 0,22 2/1 60% 4,94 x 2764S FR Microsoft Call 34 $ 20-déc-13 0,47 2/1 37% 9,67 x 3922S FR Renault Call déc-13 0,68 5/1 37% 6,46 x 4511S FR Source : Société Générale - Cours au 10 septembre 2013 Les gains ou pertes éventuels ne prennent pas en compte les frais, commissions et redevances éventuels supportés par l investisseur (ex : impôts, taxes ou autres frais induits par la réglementation locale, frais de courtage ou autres commissions prélevés par l intermédiaire financier ). 5

6 ÉCONOMIE Pourquoi les marchés financiers montrent-ils un regain d intérêt pour la Zone euro? Daniel Fermon Stratégiste, Société Générale L année 2013 semble être l année de transition que nous évoquions dans les précédents numéros de Performances Magazine avec : 1. En Zone euro, une baisse du risque systémique grâce notamment à l action de la Banque Centrale Européenne (BCE), 2. Aux Etats-Unis, une Banque Centrale (Fed) qui confirme sa volonté d adopter une politique moins interventionniste, l économie confirmant sa reprise, 3. Dans les pays émergents, une crise de croissance. Pour leur part, les indices boursiers ont suivi la tendance insufflée par la reprise économique américaine et n ont été que marginalement affectés par l inquiétude provenant des marchés émergents. La volatilité des actions qui indique la nervosité des investisseurs est ainsi revenue à un niveau faible, niveau d avant la crise financière de Au global, les mar- chés financiers semblent estimer que les crises économiques et financières qui nous ont affectées depuis 2008 sont révolues. En Europe, comment peut-on justifier cet optimisme sachant que la croissance économique va rester très faible au cours des prochaines années et que la situation reste dramatique dans certains pays d Europe du Sud? Pour répondre à cette question, il nous faut analyser les événements survenus ces dernières années. La Zone euro fêtera sa quatrième année de crise structurelle en novembre 2013, crise qui a débuté avec la publication de déficits abyssaux en Grèce. Malgré une évolution toujours trop lente, de nombreux progrès ont été réalisés durant cette période. De fait, les chantiers qui ont été mis en place sont nombreux même s ils sont loin d être achevés : on peut citer la renégociation de la dette grecque, la mise en place de mécanismes complexes de stabilité au sein de la Zone euro, le projet de l union bancaire prévu pour 2014/2015 qui sera supervisé par un régulateur unique et enfin la mise en place d un outil d intervention (OMT) qui donne à la BCE les moyens d agir si une nouvelle crise financière se déclarait dans un pays européen. Mais si l Europe a clairement cherché à rectifier les lacunes du projet initial, les cassandres font remarquer que nous sommes encore loin d une Zone euro intégrée. D autant que deux sujets majeurs restent en suspens et ne seront pas réglés avant plusieurs années : l union fiscale et les eurobonds. C est vrai, les sceptiques ont peut être raison sur ces deux points mais l essentiel a été d obtenir un début de normalisation au sein de la Zone euro. Le différentiel de croissance entre l Allemagne et les pays d Europe du Sud serait inférieur à 1% en 2014 grâce notamment à une amélioration de la compétitivité de ces derniers (baisse du coût du travail, redressement des comptes courants, hausse des exportations). Conséquence de ces efforts, la différence de taux d intérêt à 10 ans entre l Allemagne (pays de référence de la Zone euro) et les grands pays d Europe du Sud tels l Italie ou l Espagne est revenue au niveau d avant la crise. En 2013, les taux d intérêts allemands qui avaient baissé à 1,1% sont remontés à un niveau aujourd hui proche de 2% tandis que ceux de l Italie et de l Espagne sont restés stables à 4,3%. Mais le plus important aura été la volonté des Etats et de leurs dirigeants, la plupart d entre eux récemment élus, de réaffirmer leur attachement au projet européen. En effet, la majeure partie des dirigeants politiques européens a été renouvelée depuis 4 ans (hors Allemagne) et les nouveaux dirigeants en place ont confirmé leur volonté d aller vers une plus grande intégration et une meilleure gouvernance de la Zone euro. Le pragmatisme est aujourd hui à l ordre du jour. Evoquer un nouveau plan d aide pour la Grèce n est plus tabou même en Allemagne où le ministre des finances Mr Schaüble, un temps opposé à toute aide, a évoqué 6

7 ce sujet en août dernier. De même l austérité comme seul remède n a plus les faveurs que d une minorité d économistes et de politiques. Pour le dernier trimestre 2013, deux éléments vont retenir notre attention : En premier lieu, l évolution de la politique de la Fed qui devrait décider d arrêter progressivement l achat d obligations américaines. Cette évolution s explique par l amélioration du marché de l emploi américain (taux de chômage de 7,3%) et une reprise de la croissance économique (3,1% de hausse attendue en 2014). Certains investisseurs y voient un risque de déstabilisation des marchés financiers mais la plupart estiment que la Fed va agir très prudemment, d autant qu un nouveau président dirigera cette institution dès janvier Le deuxième élément concerne directement le devenir de la Zone euro avec les élections allemandes du 22 septembre. Mme Merkel devrait former un nouveau gouvernement de coalition avec soit le FDP* soit le SPD**. Dans les deux cas, nous pourrions observer un nouvel élan fédérateur. Si la Zone euro veut vraiment redevenir un centre de développement économique, une nouvelle impulsion politique commune est nécessaire, une fois les élections allemandes passées. Les principaux indicateurs économiques ont surpris positivement depuis le début de l été. L indicateur de l activité manufacturière (Purchasing Managers Index) a évolué favorablement et se situe aujourd hui au-dessus de 50 dans la majeure partie des pays européens. L indice de surprise économique de la Zone euro est redevenu très positif durant l été. Le sentiment qui prévaut est donc logiquement bien meilleur même si la situation économique reste encore fragile. Etant donné l évolution favorable de l environnement économique, on peut comprendre la bonne tenue des marchés financiers en Zone euro depuis quelques mois. Pour permettre aux Bourses européennes de remonter durablement, il faudra que les entreprises européennes confirment leur solidité dans un contexte de croissance mondiale plus modeste, et que les réformes tant attendues se mettent enfin en place. * FDP : Parti Libéral-Démocrate d Allemagne ** SDP : Parti Social-Démocrate d Allemagne Comptes courants de l Allemagne et des pays d Europe du Sud Q1-99 Q1-01 Q1-03 Q1-05 Q1-07 Q1-09 Q1-11 Q1-13 Amélioration significative à partir du Q1-09 de la balance courante des pays périphériques de la Zone euro. Allemagne Espagne Italie Portugal France Balance courante en % du PIB en dollars Données trimestrielles Source : OCDE 7

8 nouveauté produit les Turbos Jour PRODUITS À EFFET DE LEVIER PRESENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL Nouvelle génération de Turbos : les Turbos Jour Les Turbos Jour cotent uniquement une journée (de 9h05 à 18h30) et intègrent un effet de levier maximal grâce à une parfaite adéquation avec les cours des marchés. L effet de levier va démultiplier à la hausse comme à la baisse la performance de l actif sous-jacent : par exemple un effet de levier de 25, signifie que lorsque le cours du sous-jacent varie de 1%, le prix du Turbo varie 25 fois plus. Aussi simples à négocier que des actions, grâce à leur cotation en continu en Bourse de Paris, ces produits répondent aux exigences des investisseurs actifs à la recherche d un effet de levier efficace. En revanche, il va de soi que, de par leur fort effet de levier potentiel et leur cotation sur une seule journée (de 9h05 à 18h30), le risque de perte en capital des Turbos Jour est important. Ces produits sont donc exclusivement réservés à des investisseurs avertis capables de suivre ces produits en temps réel et de prendre des positions sur quelques heures voire quelques minutes. Fonctionnement La gamme des Turbos Jour propose des prix d exercice très proches du niveau du sous-jacent. Par exemple, pour un cours du contrat future CAC 40 à points, les prix d exercice des Turbos Jour seront de points, points etc. Le faible écart entre le cours de l indice et le prix d exercice offre un effet de levier maximal. Lorsque le cours du sous-jacent varie de 1%, le cours du Turbo peut varier 5, 10, 50, 100 fois plus vite Voire jusqu à 300 et au-delà. Exemple d un Turbo Call au levier de 50 : Cas favorable : lorsque le cours du sous-jacent varie de +1%, le cours du Turbo Call (levier 50) progresse de +50%, le produit gagne donc +50% (1). Cas défavorable : lorsque le cours du sous-jacent varie de -1%, le cours du Turbo Call (levier 50) perd -50%, le produit perd donc -50% (1). Les nouveaux Turbos Jour permettent de prendre position sur l indice CAC 40. Le sous-jacent correspond au premier contrat à terme de l indice. Pour tout investissement sur un Turbo Jour Call ou Put, deux scénarios sont possibles : Lorsque le cours de l actif sous-jacent du Turbo Jour atteint ou franchit le niveau fixé à l émission, c est-à-dire le prix d exercice (appelé aussi Barrière Désactivante) durant la journée de cotation (à la baisse pour un Turbo Call et à la hausse pour un Turbo Put), le Turbo Jour se désactive, sa valeur devient nulle et l investisseur perd la totalité de son investissement, jamais au-delà. Si le Turbo ne se désactive pas en cours de journée, l investisseur peut le revendre avant la fin de la période de négociation (jusqu à 18h30). S il n a pas clôturé sa position, l investisseur est remboursé selon le cours du sousjacent constaté en fin de journée. Le remboursement est automatiquement versé sur son compte sous six à dix jours ouvrés après l échéance (se reporter au calcul du prix). 8

9 Inédit : Société Générale lance les premiers Turbos Jour en Bourse de Paris pour investir avec des effets de levier de x20, x50, x100 et même jusqu à x300! Avantages des Turbos Jour Les Turbos Jour facilitent le recours à l effet de levier par rapport aux solutions traditionnelles (SRD, Contrats à terme...) avec un risque de perte de la totalité du montant investi, non au-delà. La durée d animation très courte du Turbo Jour (un jour) permet également d augmenter cet effet de levier, plus important que pour un Turbo ou Turbo infini. Fonctionnement simple : chaque point ou chaque euro de variation sur le cours du sous-jacent influence aussi le cours des Turbos Jour. Il n y a aucun impact du passage du temps ni de la volatilité implicite. Inconvénients des Turbos Jour Produits présentant un risque de perte en capital. Dans le cas où le cours du sousjacent touche ou franchit la Barrière désactivante, le Turbo Jour perd alors toute valeur. L investisseur perd la totalité du montant investi. L effet de levier pouvant être élevé, le Turbo Jour peut être désactivé rapidement. L effet de levier fonctionnant à la hausse comme à la baisse, et pouvant être très élevé, le Turbo Jour peut connaître de très fortes fluctuations durant la journée. Les Turbos Jour sont des produits réservés à des investisseurs avertis capables de suivre ces produits en temps réel et de prendre des positions sur quelques heures voire quelques minutes. À Savoir Les Turbos Jour reposent sur l échéance du contrat à terme la plus proche. Pour rappel, le contrat à terme sur l indice CAC 40 (ou contrat future) est un contrat permettant d acheter ou de vendre l indice CAC 40 à une date prédéterminée dans le futur (l échéance du contrat) et à un prix fixé à l avance. Tout comme pour l indice CAC 40, le contrat future (appelé FCE) est coté en continu et suit logiquement l évolution du CAC 40 sur lequel il est basé, en anticipant ses mouvements. Ce contrat a par conséquent un cours différent de l indice CAC 40, il est disponible sur sgbourse.fr et sur les sites d informations financières. Le cours de remboursement du Turbos Jour est calculé sur le prix de la 1 ère transaction réalisée sur le contrat à terme à partir de 18h30. Pour plus d informations sur les Turbos Jour, vous pouvez retrouver notre brochure en ligne dans la rubrique «Turbos Jour» de sgbourse.fr (1) Hors frais, fiscalité applicable et/ou frais liés au cadre d investissement (frais de courtage, droits de garde ). Le prix d exercice est fixé tous les jours en fonction du cours de clôture de la veille du sous-jacent. Cependant, le Turbo Jour ne peut être acheté par les investisseurs qu à partir du Jour J à 9h05. Ainsi, un Turbo qui ferait l objet d une désactivation immédiate (produit «mort-né») en cas de «gap» à l ouverture disparaîtrait automatiquement de la gamme avant même qu il n ait pu être détenu par un investisseur. 9

10 warrants sur thématique coupe du monde 2014 Coupe du Monde 2014 : des sponsors en bonne santé La Coupe du Monde au Brésil va avoir lieu dans moins d un an. Quel va être l impact de cet événement mondial pour les principaux sponsors? Pour investir sur cette thématique, Société Générale a lancé 37 Warrants portant sur les sociétés les plus en vue de la Coupe du Monde. Les acteurs de la consommation alimentaire sont particulièrement bien représentés, parmi les sponsors officiels. Coca-Cola, Heineken, Mc Donald s, tous trois sont d historiques fidèles des Coupes du Monde de Football. Relativement sensibles au ralentissement économique mondial des derniers trimestres, les trois firmes affichent pour autant de belles perspectives boursières. S adapter à la conjoncture À l instar de ses concurrents directs PepsiCo ou Dr Pepper, Coca-Cola a subi l érosion de ses volumes de vente sur les six premiers mois de l année, impacté notamment par une moindre consommation en Amérique du Nord et en Chine. Cela s est reflété dans les résultats du deuxième trimestre, avec une baisse inattendue du bénéfice net (-4%). Mais les perspectives devraient s éclaircir d ici l année prochaine. Heineken, premier brasseur européen, n a pas plus échappé au ralentissement commercial, ce qui a impacté son chiffre d affaires au premier semestre. Partout dans le monde ses ventes ont ralenti, exception faite de l Asie, où l entreprise fonde beaucoup d espoir. Elle y a acquis l année dernière Asia Pacific Breweries (détentrice de la marque Tiger), ce qui lui a des gisements de marché, en progression structurelle (au Vietnam, en Malaisie et en Indonésie). De son côté, Mc Donald s a aussi subi un net recul de ses ventes et de ses marges, aux premiers et deuxièmes trimestres. Là encore, rien d anormal compte tenu de la conjoncture mondiale. Mais après le vigoureux rally boursier du début d année qui lui a permis d atteindre des niveaux historiques, le titre semble aujourd hui impacté par plusieurs incertitudes majeures (problématique sociale, renchérissement des Matières Premières). Adidas et Johnson&Johnson, des trajectoires prometteuses Autre sponsor majeur, Adidas numéro deux mondial des articles de sport semble renouer avec des niveaux de rentabilité attractifs. Après avoir subi une perte d exploitation inattendue en fin d année 2012, pénalisée par le coûteux rachat de Reebok, la marque présente une forte capacité de résilience face au contexte mondial. Outre la progression des ventes sur tous les continents, l amélioration des marges a été appréciée par les investisseurs (la valeur a progressé de +27% depuis un an, de 20% en 2013). Enfin, la valorisation boursière de Johnson & Johnson, l un des leaders mondiaux des produits pharmaceutiques, d hygiène et cosmétique, est de plus en plus perçue comme surestimée. La forte progression du titre depuis le début de l année (+27,3%) et les risques de «duplication générique» de certains de ses produits phares dans les mois à venir, ont conduit certains analystes à considérer la valeur comme trop onéreuse en Bourse. Autour de 16 fois les résultats, son ratio Cours/Bénéfice (PER) reste pourtant plus attractif que celui de nombre de valeurs pharmaceutiques et médicales ou de consommation courante, plus proche de 18 ou 20. Source : Agence Fargo le 9 septembre 2013 Sélection de Warrants «Coupe du Monde 2014» Sous-jacent Type Warrant Prix d'exercice Echéance Cours Parité (warrant/ ss-jacent) Delta Effet de levier Mnémo Isin Adidas Call juin-14 0,58 10/1 38% 5,49 x 3334S FR Continental Call juin-14 0,91 10/1 39% 5,43 x 3347S FR Heineken Call juin-14 1,03 4/1 42% 5,36 x 3352S FR Johnson & Johnson Call 90 $ 20-juin-14 0,87 5/1 45% 6,84 x 3358S FR Mc Donalds Call 100 $ 20-juin-14 1,16 4/1 41% 6,58 x 3363S FR Sony Call juin-14 1,20 2/1 47% 3,17 x 3366S FR Source : Société Générale - Cours au 10 septembre 2013 Les gains ou pertes éventuels ne prennent pas en compte les frais, commissions et redevances éventuels supportés par l investisseur (ex : impôts, taxes ou autres frais induits par la réglementation locale, frais de courtage ou autres commissions prélevés par l intermédiaire financier ). 10

11 INTERVIEW Tout savoir sur les indices de stratégie Fabrice Rahmouni Index Designer, NYSE Euronext Performances Magazine : Quelle est votre fonction chez NYSE Euronext? FABRICE Rahmouni : En tant «qu index designer» chez NYSE Euronext, mon rôle est de superviser tous les aspects des indices : la création, la maintenance, la commercialisation ainsi que les licences. Afin de construire de nouveaux indices, nous avons des réunions régulières avec nos clients qui sont les banques, gestionnaires d actifs ou encore émetteurs de produits de Bourse. Nous essayons de répondre à leurs besoins avec nos idées. L enjeu principal est véritablement de trouver la bonne idée au bon moment. En tant que créateur d indices, notre équipe ajoute environ 50 à 75 indices sur mesure par an aux quelques 700 indices que nous calculons actuellement. la performance du CAC 40 (moins le coût de financement de votre emprunt). Vous avez mis en place une stratégie à levier X2. Plus généralement, une stratégie à levier est donc une stratégie qui multiplie la performance quotidienne d un indice de référence par le biais d un financement monétaire. Relativement simple et intuitive, cette stratégie s avère néanmoins difficile à mettre en place : suivi quotidien des ajustements de l indice (entrée, sortie, ), opération à renouveler quotidiennement, capital initial important, frais de transactions sur chaque valeur, Aussi, NYSE Euronext propose le calcul en temps réel d indices de stratégie Leverage et Short qui à travers de nombreux produits d indexation - permettent aux investisseurs d accéder facilement et à moindres coûts à ces stratégies. P.M. : Pourquoi avez-vous créé les indices de stratégie Leverage & Short, et comment fonctionnent-ils? F.R. : Prenons un exemple. Vous achetez l ensemble des 40 valeurs du CAC 40 dans les proportions adaptées. Vous avez alors «répliqué» le CAC 40 et la performance de votre portefeuille correspond naturellement à la performance de l indice. Imaginons maintenant que vous décidiez en parallèle d emprunter le montant nécessaire pour investir une deuxième fois dans les 40 valeurs. La performance de votre portefeuille correspond alors à deux fois Ce succès, à mon sens, se résume en un mot : simplicité. P.M. : Ces indices ont rencontré un vif succès en très peu de temps. Comment l expliquer? F.R. : Ce succès, à mon sens, se résume en un mot : simplicité. En effet, l absence de maturité, de barrière désactivante ou de paramètre de volatilité permet une analyse du couple rendement/risque très intuitive. Le mode de calcul est très simple : il multiplie tous les jours les variations du sous-jacent par leur effet de levier. Le levier qui est ici constant dans le temps - est donc la clé d analyse principale pour ce type de produit. Ainsi, si un levier choisi est important, l investisseur visera un fort rendement mais prendra mécaniquement un risque élevé. 11

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