DEVELOPPER DES PARTENARIATS AVEC DES ENTREPRISES, RECHERCHER DES SPONSORS ET DES MECENES»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DEVELOPPER DES PARTENARIATS AVEC DES ENTREPRISES, RECHERCHER DES SPONSORS ET DES MECENES»"

Transcription

1 DEVELOPPER DES PARTENARIATS AVEC DES ENTREPRISES, RECHERCHER DES SPONSORS ET DES MECENES» 1

2 SOMMAIRE 1. CONNAITRE LES FINANCEURS Les familles de financeurs Les compétences des financeurs Les communes Les communautés urbaines LE CONSEIL GENERAL LES COMPETENCES DU CONSEIL REGIONAL Les préoccupations des financeurs S INFORMER SUR LEURS PREOCCUPATIONS 6 2. LES PARTENAIRES PRIVES Le sponsoring Le Mécénat LE SPONSORING Typologie du sponsoring Le sponsoring de notoriété Le sponsoring d image Le sponsoring de crédibilité Les enjeux du sponsoring L annonceur : La cible L événement Les médias OBJECTIFS SECONDAIRES ET EFFETS SUR LA STRUCTURE 13 2

3 CE QUE L ON PEUT DEMANDER A UN SPONSOR LE MECENAT Evolution du Mécénat en France et profils des mécènes Cadre juridique du mécénat RECHERCHER UN SPONSOR OU MECENE etapes de recherche d un sponsor ou d un mécène Sélectionner les futurs sponsors ou mécènes LE DOSSIER DE PARRAINAGE PREPARER UNE NEGOCIATION CONCRETISER LE PARTENARIAT (MODELE DE CONTRAT EN ANNEXE) FISCALITE DU SPONSORING ET MECENAT Le sponsoring Le mécénat Le mécénat des particuliers Le mécénat des entreprises LES FONDATIONS À chaque fondation son objet L incontournable Fondation de France Préparez votre dossier et armez-vous de patience Les principales causes soutenues ANNEXES Annexe 1 : Les bourses et les prix des fondations sous l égide de la Fondation de France (liste non exhaustive) 38 3

4 5.2. Annexe 2 : Exemple de contrat de mécénat ou de parrainage 39 4

5 1. CONNAITRE LES FINANCEURS Les objectifs sont différents : Ne pas passer à côté de certaines sources de financements Faciliter les démarches futures de l association Argumenter la demande de façon efficace L association doit se poser différentes questions : Quelles est l identité de ses financeurs potentiels? Quels sont leurs préoccupations Leurs objectifs? Leurs contraintes? Leurs modalités d intervention? 1.1. LES FAMILLES DE FINANCEURS Les collectivités territoriales La commune, La communauté de communes, Le Conseil Régional L Etat Les ministères de tutelle, Les services déconcentrés de l Etat. L Europe Les programmes européens Les financements privés Les fondations, Le mécénat, Le parrainage d entreprise LES COMPETENCES DES FINANCEURS LES COMMUNES L urbanisme L enseignement L action économique Les ports de plaisance et les aérodromes Logement Santé Action sociale et la culture 5

6 LES COMMUNAUTES URBAINES Développement et aménagement économiques sociaux et culturels, Aménagement de l Espace communautaire, Equilibre social de l habitat, Politique de la ville, Gestion des services d intérêt collectif, Protection et mise en valeur de l environnement et politique du cadre de vie LE CONSEIL GENERAL Action sociale, Aménagement et environnement, Développement économique, Enseignement et culture, Finances LES COMPETENCES DU CONSEIL REGIONAL L aménagement du territoire, La promotion de la région, L éducation, Le développement équilibré et durable, Développement économique, social et culturel LES PREOCCUPATIONS DES FINANCEURS Les préoccupations communes La cohérence du projet avec les objectifs, La bonne utilisation des fonds alloués. Les préoccupations spécifiques L impact sur le territoire d intervention du financeur, L impact d image pour le financeur, Le relai d une politique publique 1.4. S INFORMER SUR LEURS PREOCCUPATIONS Les outils de communication des financeurs Brochures, Périodiques La presse locale et nationale Presse spécialisée Les sites internet Sites de ressources documentaires, 6

7 Site des financeurs Autres Les communications des réseaux associatifs, Les archives de l association. 2. LES PARTENAIRES PRIVES Dans l esprit du public, mécénat et sponsoring se confondent, le mécène étant une sorte de sponsor chic Il n en est rien, et mieux vaut bien distinguer les deux, d une part pour savoir à qui faire appel et pour quoi le faire, mais surtout pour savoir comment traiter les recettes dans votre comptabilité. Une récente instruction fiscale est en effet venue préciser les règles du mécénat, renforçant les différences entre ces deux régimes de dons et les conséquences sur l imposition des associations LE SPONSORING Le sponsoring se définit comme étant le soutien matériel apporté à une manifestation, à une personne, à un produit ou à une organisation en vue d en retirer un bénéfice direct. Les opérations de sponsoring sont destinées à promouvoir l image du sponsor et comportent l indication de son nom ou de sa marque. Le sponsoring est la vente d un support publicitaire que représente le projet LE MECENAT Le mécénat se définit comme étant le soutien matériel apporté, sans contrepartie directe de la part du bénéficiaire, à une œuvre ou une personne pour l exercice d activités présentant un intérêt général. Traditionnellement, le sponsoring se cantonne à des évènements sportifs, dans le cadre d une exploitation tapageuse, motivé par un souci commercial accentué. Quant au mécénat, il est surtout culturel ou humanitaire et correspond à une démarche désintéressée, d où une mise en valeur plus discrète de la participation de l entreprise. 7

8 2.3. LE SPONSORING TYPOLOGIE DU SPONSORING Il en existe trois types distincts qui permettent, lorsqu'on les connaît, de mieux argumenter sa demande par une meilleure maîtrise des ambitions du sponsor : LE SPONSORING DE NOTORIETE Il a pour simple but de faire connaître une marque à un public potentiel ciblé. Il ne transmet pas de message particulier. La signature du sponsor doit être vue par le plus grand nombre de spectateurs possible. La couverture médiatique du projet permet de démultiplier l audience. Ex : DARTY et la météo, entreprises locales ou collectivités territoriales associant leurs logos à des manifestations locales,. Il s agit d imposer le nom d une marque ou d une entreprise auprès du public le plus large possible. Le responsable est très souvent amené à surestimer ou mal analyser la cible. Ainsi, vous pouvez lui montrer comment, en utilisant une action moins médiatique, mais plus ciblée sur sa clientèle potentielle, le fait de vous sponsoriser peut améliorer sa notoriété avec la même efficacité. 8

9 LE SPONSORING D IMAGE Il s inscrit dans une stratégie de long terme. Sa démarche vise à évoquer, à suggérer plutôt qu à montrer simplement. Son but est de créer ou de renforcer l image que souhaite donner le sponsor à son produit ou à sa marque. Pour cela, l entreprise doit respecter une double cohérence : Entre l image qu elle désire donner du produit ou d elle-même et les caractéristiques du projet. Entre sa politique de communication et le projet dans son ensemble. Ce type de sponsoring doit viser un public très ciblé. Ex : Cartier dans les matchs de polo, sport élitiste par excellence, Lancôme et le golf, Infogrammes ou Cegid associés à des équipes sportives locales. C est associer l image d un sport ou d une discipline artistique à celle de l entreprise ou de ses produits. Le sport et l art sont des domaines dont on ne connaît pas ou peu l impact de popularité. Le dirigeant substitue, donc, très souvent, sa vision du phénomène à la réalité. Vous devez présenter votre projet en rationalisant le plus possible l impact du sponsoring sur l image de marque de l annonceur LE SPONSORING DE CREDIBILITE Il s apparente fortement au sponsoring d image. Son but est de donner crédibilité à la marque ou au produit, en l associant à une figure emblématique spécialisée dans l utilisation du produit, ou à un évènement dans lequel le produit est utilisé par des professionnels. Une entreprise pratiquant le sponsoring de crédibilité n investit que dans des secteurs sportifs. Michelin et les grand prix de Formule 1. Le sponsoring permet de faire échapper le produit au domaine de l illusion publicitaire, et de le plonger dans la réalité. 9

10 Associé à une action concrète, le produit sort de la fiction commerciale pour se mettre à exister LES ENJEUX DU SPONSORING Ils se situent à quatre niveaux : L ANNONCEUR : Pour l entreprise annonceur, le sponsoring est un aspect du choix entre différents modes de communication, dont les plus répandus sont la publicité classique et les relations publiques. L annonceur a pour but de créer ou entretenir une bonne image de l entreprise ou de ses produits. L originalité du sponsoring est d associer trois composantes : marque, projet, média en empruntant à la publicité son efficacité en matière d exposition de la marque, et en relevant des relations publiques pour ce qui est des modes d exploitation. L avantage majeur du sponsoring sur la publicité, est son faible coût, rapidement amorti, surtout si les médias retransmettent l événement. Il permet de développer une originalité face à des concurrents qui se bornent aux secteurs publicitaires classiques. Ce type de motivation dénote un sponsor évolué, qui a déjà réfléchi à sa communication en terme de stratégie concurrentielle. Il permet, également, de se tourner vers des marchés internationaux, et exporter son image au meilleur coût, en utilisant un support de communication qui ne passe pas par les mots LA CIBLE C est le destinataire final d une action de sponsoring. Elle est constituée de l ensemble des personnes à qui il est important de délivrer une information sur la société ou le produit. Il peut s agir du grand public, d un segment, ou même des employés de l entreprise. L action de sponsoring a, généralement, une cible principale unique et plusieurs cibles secondaires. 10

11 ex : une action ciblant le grand public peut ensuite être exploitée par l entreprise pour sa communication interne, ses relations clients, etc. Pour intéresser l annonceur, il sera donc nécessaire de chiffrer et décrire son audience, pour lui permettre de faire passer un message qu il n aurait pas réussi à transmettre par la publicité classique. ex : un intérêt pour un domaine culturel, un sport, L EVENEMENT Il s'agit du projet qui permettra aux sponsors de comprendre leur mise en lumière. Le projet peut avoir plusieurs dimensions. Il peut s'agir d'une manifestation ponctuelle ou d'une action pérenne LES MEDIAS Le sponsoring n existe pas sans média Ils interviennent en tant que relais incontournables de l information, fonctionnant à la fois comme des filtres et des amplificateurs. L audience obtenue à travers les médias est bien supérieure à celle touchée directement sur le lieu de l événement. L annonceur attend un potentiel de retombées médias, qui rentabilisent son investissement initial. Par conséquent, avant de convaincre les sponsors, il faudra mobiliser les journalistes. Le média s adresse le plus souvent à une cible bien définie en termes qualitatifs et quantitatifs. Ainsi un magazine s adresse par exemple aux femmes d âge moyen de catégorie socioprofessionnelle peu élevée. C est cette caractéristique qui offre un contrôle des retombées à l annonceur. A quels médias s adresser? - Tout média d envergure nationale est sollicité en permanence. Donc, très peu de pistes de ce côté. - Les télévisions régionales et locales : jouez sur le caractère local de votre projet, notamment si vous avez un sponsor local. 11

12 - La presse quotidienne régionale : adressez-vous au correspondant local dont vous aurez obtenu les coordonnées directement en téléphonant au journal. - Les radios locales privées : proposez leur une interview en direct. - La presse spécialisée dans le domaine de votre projet : n oubliez pas que bien souvent leur spécialité constitue une passion pour eux, jouez làdessus. - Les nouveaux médias : Internet (vous pouvez y présenter votre projet, ce peut être un gage de sérieux supplémentaire), etc 12

13 OBJECTIFS SECONDAIRES ET EFFETS SUR LA STRUCTURE - RELATIONS AVEC LES CLIENTS : Votre projet fournit à votre sponsor un alibi pour prendre contact de façon gratifiante avec ses principaux clients, et de les associer par exemple à votre événement. - RELATIONS AVEC LE PERSONNEL : Tous les employés de votre sponsor vont bénéficier de son action de sponsoring, et vivre au rythme de votre opération. Le sponsor en profitera pour nouer des relations plus riches avec son personnel. Pensez à la dimension psychologique de la négociation du côté du sponsor : Il existe des dimensions psychologiques non verbales, dépendantes uniquement des intérêts du chef d entreprise, et qui vont plus ou moins influer sur sa décision finale ; Il peut se prendre de sympathie pour le créateur du projet (similitudes avec son fils, rappel de sa jeunesse dynamique, etc ) ou bien partager une passion dissimulée pour l objet de votre projet. ex : Le trophée Lancôme en Golf. Dans tous les cas, il vous appartient de détecter ses motivations secrètes et de les utiliser à votre profit CE QUE L ON PEUT DEMANDER A UN SPONSOR - DE L ARGENT : Si le sponsor cherche à rabaisser vos prétentions financières, n acceptez pas sans conditions, revoyez les éléments de votre devis. - UN PARRAINAGE : Il ne coûte rien à l annonceur qui deviendra alors une caution importante de votre projet pour les négociations suivantes. - DES CONTACTS : A utiliser surtout en cas de refus du sponsor. Un sentiment de culpabilité pourra le pousser à vous donner des contacts pour vous aider et réorienter votre recherche. 13

14 - DU MATERIEL, PRETE OU OFFERT : Les entreprises sont beaucoup plus enclines à vous offrir leurs produits, qu à vous donner de l argent. Vous pouvez, ainsi, obtenir le matériel que vous auriez dû acheter, et donc, en diminuer d autant votre budget. C est pourquoi il vous faut détailler très précisément vos besoins lors de l établissement du budget prévisionnel. - DE L EXPERTISE : Même si un sponsor refuse de vous donner de l argent, il peut vous donner un bon conseil ou vous faire profiter gratuitement de son expérience du domaine. 14

15 2.4. LE MECENAT EVOLUTION DU MECENAT EN FRANCE ET PROFILS DES MECENES L essor du mécénat en France date du début des années soixante. Il a été favorisé, sous l influence d André Malraux, par la création de la Fondation de France ainsi que par l introduction de mécanismes d incitations fiscales. Malgré la crise et ses effets, les entreprises mécènes sont de plus en plus nombreuses. L intérêt des entreprises pour le mécénat ne se dément pas, quelle que soit la taille de l entreprise. 27% des entreprises de plus de 20 salariés sont mécènes (contre 23% en 2008). Cela représente environ entreprises. 15

16 Le mécénat des entreprises progresse plus vite et il existe depuis ces dernières années une diversification des domaines investis par les mécènes.il y a 30 ans, le mécénat était synonyme de culture, aujourd hui, il s ouvre à des domaines beaucoup plus larges. Un véritable mécénat de proximité se détache en 2010 : près de 8 entreprises sur 10 affirment agir à l échelle de leur commune, des communes alentour ou de leur région d implantation. Les petites entreprises sont très présentes localement. Par ailleurs, la distinction Paris/Province et tangible. Les entreprises basées en Ile de France agissent pour 63% au niveau national alors qu elles ne sont que 22% an province. 16

17 L apport financier reste le mode d intervention privilégié des entreprises. Elles sont 83% à opter pour ce mode de contributions. Le mécénat en nature, sous forme de dons de produits ou de mises à disposition gratuites n est utilisé que par 36% des entreprises. Les français les plus généreux : Les ruraux ont le cœur sur la main. Sur les 30 premiers départements, on en trouve 18 à forte dominante rurale. Parmi les plus généreux, on trouve les habitants du Haut-Rhin, de la Lozère, des Hauts-de-Seine, du Doubs, des Pyrénées-Atlantiques. Au niveau régional, le classement reste quasiment inchangé depuis 1995 : Alsace, Franche-Comté, Rhône-Alpes, Ile-de-France, Lorraine sont dans l'ordre les cinq régions les plus généreuses. Les régions les plus "avares" sont la Picardie et la Corse. 17

18 CADRE JURIDIQUE DU MECENAT Le bénéficiaire du don ne peut être qu une personne morale : fondations et associations reconnues d utilité publique, d œuvres ou organismes d intérêt général ayant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel, ou concourant à la mise en valeur du patrimoine artistique, à la défense de l'environnement naturel ou à la diffusion de la culture, de la langue et des connaissances scientifiques françaises. L intérêt général : 3 critères 1 - Caractère non lucratif des activités de l'association 2 - Caractère désintéressé de la gestion : 3 - Ne pas fonctionner pour un cercle restreint : Activité : une définition disparate : o Philanthropique o Educatif o Scientifique o Social ou familial o Humanitaire o Sportif o Culturel o Concourant à la mise en valeur du patrimoine artistique o Un caractère concourant à la défense de l'environnement La dépense ne génère aucune contrepartie directe ou indirecte. Le mécénat est une aide sans contrepartie directe à une structure d intérêt général ou reconnue d utilité publique. Sont donc exclus les dons faits à des structures qui exercent une activité économique. Sont concernées : - une association ou une fondation reconnue d'utilité publique, - un établissement d'enseignement artistique public ou privé à but non lucratif agréé par le ministère de la culture et le ministère du budget, - un établissement d'enseignement supérieur public ou privé à but non lucratif agréé par le ministère de l'éducation nationale et le ministère du budget. Le don ne doit pas pouvoir être considérée par les services fiscaux comme une prestation de services. L association conserve alors son caractère désintéressé et l entreprise donatrice a droit à des déductions sur ses bénéfices imposables. Depuis la loi n , le fisc admet que la seule mention du nom du donateur ne remet pas en cause ces dispositions. L instruction fiscale du 17 décembre 2001 est venue apporter de nouvelles précisions : le nom de l entreprise peut certes être 18

19 mentionné sur les panneaux dans un stade où jouerait l association sportive bénéficiaire, sur les T-shirts de l équipe, à l entrée de la salle de spectacle ou sur les programmes s il s agit d une fanfare associative, etc. Mais dans tous les cas, les activités parrainées ne peuvent être pratiquées qu en amateur. L instruction précise que si les membres de l association participent à des manifestations ayant une certaine importance, une visibilité relativement grande (elle cite notamment les manifestations sportives de nature professionnelle ou les spectacles professionnels), les sommes perçues au titre du mécénat seront considérées comme des recettes publicitaires, donc comme une activité lucrative. Modalités d établissement des reçus Conformément aux dispositions du 5 de l'article 200 du code général des impôts, le bénéfice de la réduction d'impôt prévue au 1 du même article, au titre des dons aux œuvres, est subordonné à la condition que les contribuables joignent à leur déclaration de revenus des pièces justificatives répondant à un modèle fixé par arrêté et attestant le montant et la date des versements ainsi que l'identité des bénéficiaires. A défaut, la réduction d'impôt est refusée sans notification de redressement préalable. Principe Les reçus sont établis et délivrés par les organismes bénéficiaires des versements. Ils doivent comporter toutes les mentions concernant l'organisme et figurant dans le nouveau modèle de reçu fixé par arrêté du 1er décembre 2003 (J.O. du 7 décembre 2003). Toutefois, ce reçu ne constitue qu'un modèle permettant de matérialiser le contenu du document. Sa présentation peut être aménagée. En raison de la diversité des organismes bénéficiaires et de leurs modalités de gestion, l'administration n'assure pas la fourniture d'imprimés permettant l'établissement des reçus. Chaque organisme ou association peut faire éditer par un imprimeur, se procurer auprès de son fournisseur habituel ou éditer lui-même par procédé informatique des reçus adaptés à sa situation et à ses propres contraintes de gestion. Sanctions La délivrance aux donateurs, par les associations, de reçus irréguliers est sanctionnée par l'amende prévue à l'article 1768 quater du CGI (cf BOI 13 N-2-98). 19

20 2.5. RECHERCHER UN SPONSOR OU MECENE ETAPES DE RECHERCHE D UN SPONSOR OU D UN MECENE Définition du projet QQOQCCP Budget Valeurs défendues Ciblage des entreprises Artisans/commerçants PME / PMI Le choix d orienter l association vers des actions de sponsoring et de mécénat est validé lors les de réunion de CA / de Bureau Définition du projet pour lui donner un cadre Définition des valeurs et des attentes de l association. Définir les avantages et les inconvénients Rechercher leur stratégie en matière de communication Identifier leur ancrage territorial Grandes entreprises Rédaction du Dossiers Association Opération Plan de communication Budget Attentes Présentation et relances Interlocuteurs Négociation Interlocuteurs Contractualisation Utilisation Présenter un projet clair, précis, qui répond à un besoin potentiel de l entreprise (attente d un retour sur image, action de cohésion sociale au sein de l entreprise). Faire des propositions à l entreprise Argumenter sur les moyens mis en œuvre Respecter le plan comptable associatif Courrier d accompagnement Identifier 1 personne Définir l argumentaire en fonction de la personne avec laquelle la négociation se fait Rendre compte de l utilisation des fonds, être en mesure de donner des indications chiffrées sur les résultats atteints. Bilan 20

21 SELECTIONNER LES FUTURS SPONSORS OU MECENES Il est important de bien connaître les entreprises pour mieux les sélectionner. Les entreprises mécènes ont déjà défini une stratégie dans laquelle le projet s'insère ou non. Ces entreprises figurent dans des annuaires ; elles sont faciles à connaître, ce qui entraîne un inconvénient : elles sont très sollicitées et il est donc indispensable de bien argumenter sa demande. Il faut bien entendu rechercher les entreprises dont la stratégie de mécénat et l'image générale correspondent au projet. Si l'on souhaite travailler avec des entreprises non mécènes, il est fondamental de connaître leur stratégie de communication globale. Bien sûr, l entreprise elle-même est la première source d information, mais des renseignements peuvent également être obtenus dans la presse et, surtout, auprès des chambres de commerce et d industrie ou des unions patronales locales. Il est possible de démarcher une PME-PMI sur la base d un projet qui correspond à la politique de production de cette entreprise. Dans tous les cas, il faut être en mesure de présenter un projet clair, précis, et qui répond à un besoin potentiel de l entreprise (attente d un retour sur image, action de cohésion sociale au sein de l entreprise). 21

22 2.6. LE DOSSIER DE PARRAINAGE Plan détaillé : - Introduction, 1. L'OPERATION, 2. LA COMMUNICATION, 3. LES ORGANISATEURS PARTICIPANTS, 4. LE BUDGET DE L'OPERATION, - Les annexes. - Introduction : De quoi s agit-il? 1. L opération : Présentation du domaine investi, Description finalisée de l événement : lieu, date, caractéristiques, objectifs, Programme précis, itinéraire, Calendrier détaillé, Liste détaillée et chiffrée de l équipement nécessaire, déjà disponible, ou à se procurer, Eventuellement, problèmes de sécurité, assurances contractées, soutien logistique obtenu 2. La communication : Développement, évolution du domaine investi, Présenter votre plan de communication : Contenu du Plan de Communication : 1- Les cibles (A qui?) Evaluation quantitative et description du public de l événement, adéquation avec la cible de l entreprise, 2- Les objectifs (Pour quels effets?) 3 le contenu (Que dire?) 22

23 4 Les moyens (Avec quels outils?) L'élément écrit L'élément visuel La couleur La typographie Liste des médias qui vous soutiendront, Autres supports de communication : tracts, affichage, programmes, Estimation de l audience indirecte : hypothèse haute, hypothèse basse, Possibilités d exploitation : sur le terrain (plans ou maquette à l appui) ; opérations satellites. Soyez bref à ce sujet, vous développerez au cours de l entretien. 3. Les organisateurs participants : Présentation des partenaires : collectivités locales, ministères, fédérations sportives, personnalités, journalistes, Présentation de votre équipe : curriculum vitae de chacun de ses membres, comportant nom, fonction et expérience dans le domaine de l opération, Eventuellement, revue de presse des opérations précédentes. 4. Le budget de l opération : Au cours de la phase préparatoire du projet, vous avez déterminé vos besoins et tous les coûts qui en découlaient, ainsi que les ressources que vous pensiez rassembler. Le budget doit présenter pour chaque dépense, le mode de financement attribué. Ainsi le sponsor peut identifier l utilisation de ses fonds : Emplois Ressources Location salle Entrées Affiches Société L Location Société L matériel Ce dossier doit être conforme et présenté selon le plan comptable associatif afin de servir par la suite d outil de mesure avec la comptabilité (écart réalisé / budgété). 23

24 Il devra donc faire apparaître la valorisation du bénévolat et des mises à disposition en, nature (cf budget en annexe). Notes 24

25 - Les annexes La lettre d accompagnement : - Elle doit être courte et précise. - Son but est d adapter le dossier et la demande qui l accompagne aux spécificités du sponsor. (prêt de matériel, parrainage, caution, ). - A la lecture de la lettre, l annonceur doit savoir ce qu il va trouver dans le dossier et pourquoi il va le lire. - Elle doit tenir sur une seule page, être dactylographiée et exempte de toute faute. - Vous indiquerez vos coordonnées et celles du destinataire. N hésitez pas à faire lire et corriger votre dossier par plusieurs personnes. Fonds et forme, mettez vous à la place du lecteur! Le chef d entreprise n a, souvent, que très peu de temps à accorder à ce type de lecture, votre dossier devra donc attirer son attention, la retenir, et lui insuffler l envie d en savoir plus. Pour cela : - Accompagner l écrit par l image n hésitez pas à mettre des visuels, des illustrations, pour égailler et prouver, - Ne pas utiliser plus de 3 typologies différentes afin de garder une cohérence, - Ne pas abuser de la majuscule - Garder un interlignage «normal» - Jouer avec les tailles - Ne pas utiliser plus de 3 polices par page. - Rappelez vous que les pages de droite sont plus lues que les pages de gauche, - Soignez le contenu autant que la forme, - Soyez clair et attrayant pour le lecteur qui n a pas de temps à perdre, - Présentez l opération sous tous ses aspects, - Mettez en valeur ses points forts, - Prouvez que vous avez bien préparé le projet, - Donnez envie au lecteur, - Donnez des dates, des chiffres, des noms, - Prouvez ce que vous avancez par des études fiables, des lettres de soutien, - Laissez une part de curiosité au lecteur, - Rendez un projet dactylographié, sans fautes de frappes, - Ajoutez courbes, graphiques, photos, - Aérez, - Soyez créatif et original, surtout pour la couverture et le format, - Utilisez un vocabulaire précis, voire technique, - Faites des phrases courtes au présent, 25

26 - Soyez affirmatif et descriptif, - Enfin, respectez ces règles, mais sans exagération. Notes 26

27 La mise en page Quelques règles basiques de mise en page vous aideront à obtenir des supports de communication clairs, lisibles et percutants. Pour bien comprendre le fonctionnement des médias imprimés, il faut connaître les modes de lecture. Nous avons toujours tendance à lire deux fois un écrit. Une première fois en vision rapide et large ; une deuxième fois de manière plus approfondie, en lisant réellement les textes. Tout document imprimé doit donc être réalisé en fonction de ces deux modes de lecture. La vision globale s attache à l architecture générale des pages qui doit donc être équilibrée, et à ce qui peut attirer son attention : titres en capitales, sous-titres, visuels et légendes sous les photos. L œil, qui lit de gauche à droite, a tendance à descendre et à rester sur la partie droite. Ce qui fait que, dans toute page, il existe une zone qui attire davantage l attention la partie supérieure droite. La partie inférieure gauche a, mécaniquement, tendance à être moins bien parcourue par le balayage optique. Attention donc à respecter l Air de Lecture Privilégiée (la diagonale d un document) et d y faire figurer les éléments importants : ALP 27

28 Lettre d accompagnement : Son plan est toujours le même : - Motif de l envoi : - Proposition : - Eléments de justification : - Suite à donner : - Sélectionner les entreprises : Adressez vous au directeur Marketing ou du Sponsoring s il existe. Téléphonez avant pour le nom de la personne qui s occupera de votre dossier et dont c est la fonction. Notes 28

29 2.7. PREPARER UNE NEGOCIATION QUI EST MON INTERLOCUTEUR? - Un PDG : Parlez d image, de communication, de synergie. Si vous avez déjà des contacts avancés avec des médias, insistez longuement sur cet aspect. Proposez une réunion avec le service marketing pour les points concernant l organisation, les opérations satellites, Insistez sur la complémentarité entre les cibles primaires et secondaires. - Directeurs marketing ou de la publicité : Insistez sur les mécanismes de l opération et ses différentes déclinaisons. Présentez les cibles secondaires et les déclinaisons possibles. Faites le parallèle entre la communication publicitaire de l entreprise et le type d opération que vous proposez. Présentez les avantages apportés par votre projet face à la concurrence de votre sponsor. - Responsable d un département spécifique consacré au sponsoring : Comparez votre action avec les opérations de sponsoring précédentes de l entreprise et montrez qu elle est complémentaire. Présentez et développez au mieux toutes les opérations satellites. - Face à un comité : Demandez, s ils ne le font pas, qu ils se présentent avec la fonction qu ils occupent. Essayez de retenir leurs noms. Adressez et adaptez votre discours comme décrit précédemment en fonction de chaque membre. 29

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail

RESSOURCES ASSOCIATIVES

RESSOURCES ASSOCIATIVES Ces formations gratuites sont dispensées par le Comité Départemental Olympique et Sportif du Rhône et le CENACLE, dans le cadre de leur mission de soutien au développement de la vie associative sportive

Plus en détail

Centre Nucléaire de Production d Electricité de Chinon Février 2014 CHARTE DE PARRAINAGE. CNPE de Chinon Charte de parrainage 2014 1

Centre Nucléaire de Production d Electricité de Chinon Février 2014 CHARTE DE PARRAINAGE. CNPE de Chinon Charte de parrainage 2014 1 Centre Nucléaire de Production d Electricité de Chinon Février 2014 ANNEE 2014 CHARTE DE PARRAINAGE CNPE de Chinon Charte de parrainage 2014 1 Le Groupe EDF, en France comme à l'international, soutient

Plus en détail

Régime fiscal du mécénat et du parrainage

Régime fiscal du mécénat et du parrainage CAMINO AVOCAT Régime fiscal du mécénat et du parrainage Me Cécile Chassefeire MAI 2011 FICHES DE SYNTHESE FICHE 1 / LES NOTIONS FICHE 2 / LES ORGANISMES ELIGIBLES AU MECENAT FICHE 3 / L AVANTAGE FISCAL

Plus en détail

Responsable mécénat/ partenariats entreprises

Responsable mécénat/ partenariats entreprises N 4 - RESPONSABLE MÉCÉNAT/ PARTENARIATS ENTREPRISES RESPONSABLE MÉCÉNAT (DÉNOMINATION DAVANTAGE UTILISÉE DANS LA CULTURE), RESPONSABLE PARTENARIATS ENTREPRISES Le responsable Mécénat/partenariats entreprises

Plus en détail

Dossier Mécénat. Une régate pour les enfants de Madagascar Objectif global dons : 6 000 miles 60 000. Devenir mécène pour Enfants du Monde

Dossier Mécénat. Une régate pour les enfants de Madagascar Objectif global dons : 6 000 miles 60 000. Devenir mécène pour Enfants du Monde Dossier Mécénat Devenir mécène pour Enfants du Monde Une régate pour les enfants de Madagascar Objectif global dons : 6 000 miles 60 000 1 2 Présentation de l'association Enfants du monde Fondée en 1980

Plus en détail

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Unique en France et en Europe La CITE DE L ARBRE La Cité de l Arbre Association 1901,d intérêt général ; PA R T E N A R I AT Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Un musée consacré entièrement

Plus en détail

Et si l impôt était le meilleur ami du fundraiser?

Et si l impôt était le meilleur ami du fundraiser? Et si l impôt était le meilleur ami du fundraiser? Daniel Bruneau, directeur de la recherche de fonds et la communication, petits frères des Pauvres Frédéric Théret, directeur du développement, Fondation

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations

Plus en détail

Comment aider vos donateurs à optimiser leur don sur le plan fiscal. Nathalie Sauvanet BNP Paribas Wealth Management

Comment aider vos donateurs à optimiser leur don sur le plan fiscal. Nathalie Sauvanet BNP Paribas Wealth Management Comment aider vos donateurs à optimiser leur don sur le plan fiscal Nathalie Sauvanet BNP Paribas Wealth Management Qu est ce que la Philanthropie? Sens général La philanthropie est tout acte de générosité

Plus en détail

Guide du porteur de projet

Guide du porteur de projet Guide du porteur de projet Un acteur engagé du mécénat La Fondation d entreprise EDF reçoit chaque année plus de 1 000 demandes à étudier et soutient plus de 150 projets. Acteur engagé du mécénat en France

Plus en détail

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011 Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées

Plus en détail

Le mécénat au profit des établissements d enseignement privés (au 1/1/2015)

Le mécénat au profit des établissements d enseignement privés (au 1/1/2015) Le mécénat au profit des établissements d enseignement privés (au 1/1/2015) Solliciter la générosité des parents d élèves, des anciens élèves, des entreprises, pour financer un projet de construction,

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Les fondations en questions Gouvernance, spécificités comptables, avantages fiscaux Découvrez les règles propres aux différents types de fondations 1 - Quelles sont les

Plus en détail

Devenez fondateur. fondationdefrance.org

Devenez fondateur. fondationdefrance.org Devenez fondateur fondationdefrance.org Vous envisagez de créer une fondation Comment vous y prendre? Quelles questions vous poser avant de vous lancer? De quelles ressources devez-vous disposer? Quelle

Plus en détail

ISF et IMPÔT SUR LE REVENU Choisissez l impact que vous donnez à votre générosité.

ISF et IMPÔT SUR LE REVENU Choisissez l impact que vous donnez à votre générosité. FONDATION MEDECINS SANS FRONTIERES DISPOSITIONS FISCALES 2015 ISF et IMPÔT SUR LE REVENU Choisissez l impact que vous donnez à votre générosité. Conjuguer générosité et logique patrimoniale L a générosité

Plus en détail

OFFRES MARKETING & COMMERCIALES - Saison 2014-2015. Visibilité - Evènements Formation Tournage - Mécénat

OFFRES MARKETING & COMMERCIALES - Saison 2014-2015. Visibilité - Evènements Formation Tournage - Mécénat OFFRES MARKETING & COMMERCIALES - Saison 2014-2015 Visibilité - Evènements Formation Tournage - Mécénat Vous souhaitez Développer la notoriété de votre marque ou de votre société et votre chiffre d affaires

Plus en détail

QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS?

QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS? QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS? Ces questions concernent toutes les associations loi de 1901. Concernant les associations sportives, des exigences particulières peuvent être demandées par vos fédérations

Plus en détail

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente

Plus en détail

Votre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013)

Votre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) Votre résidence fiscale est en France B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) En France, l impôt sur la fortune, appelé Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), est un impôt qui frappe le patrimoine.

Plus en détail

La fiscalité des associations. Les critères de non-lucrativité. fiche pratique 7. 1. La gestion désintéressée

La fiscalité des associations. Les critères de non-lucrativité. fiche pratique 7. 1. La gestion désintéressée La fiscalité des associations Mise à jour : avril 2005 fiche pratique 7 Les critères de non-lucrativité 1. La gestion désintéressée, 2. Une activité non concurrentielle Les locaux de l association L association

Plus en détail

Media : moyen de communication

Media : moyen de communication Media : moyen de communication La transmission d un message peut se faire au moyen de différents outils tels que l image (photo, vidéo), le son (musique, voix), le texte (affiche), mais aussi l événement,

Plus en détail

SPÉCIAL FISCALITÉ 2014 ISF et Impôt sur le Revenu

SPÉCIAL FISCALITÉ 2014 ISF et Impôt sur le Revenu SPÉCIAL FISCALITÉ ISF et Impôt sur le Revenu CHOISISSEZ L IMPACT QUE VOUS DONNEZ À VOTRE ISF en vous associant à nos programmes d action humanitaire RÉDUIRE VOS IMPÔTS Vous êtes redevable de l Impôt sur

Plus en détail

Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat

Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat Le fonds de dotation Nouveau souffle du mécénat La création d une nouvelle structure juridique est un événement rare. Par sa simplicité, le fonds de dotation a vocation à favoriser le développement du

Plus en détail

Présentation du fonds de dotation

Présentation du fonds de dotation Présentation du fonds de dotation Mardi 9 avril 2013 Lors de l Assemblée Générale de la FEVIS (Fédération des Ensembles Vocaux et Instrumentaux Spécialisés) 10 rue Coquillière 75001 PARIS Maître Laurent

Plus en détail

Devenir partenaire de la Croix-Rouge vaudoise

Devenir partenaire de la Croix-Rouge vaudoise Devenir partenaire de la Croix-Rouge vaudoise Un lien réel de solidarité et une véritable opportunité d améliorer la vie collective Premier de cordée Mesdames, Messieurs les Dirigeants d Entreprises,

Plus en détail

Mesures évaluées 46 68 % 35 324 %

Mesures évaluées 46 68 % 35 324 % Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie

Plus en détail

CONVENTION DE MECENAT

CONVENTION DE MECENAT CONVENTION DE MECENAT Entre L association X et l entreprise X ENTRE L association X, Représentée par.. Ci-après dénommée «l association» Déclaration au Journal Officiel. ET L entreprise X Située. immatriculée

Plus en détail

FICHE PRATIQUE DE GESTION

FICHE PRATIQUE DE GESTION janvier 2014 FICHE PRATIQUE DE GESTION En bref Les ressources provenant de la générosité du public sont spécifiques des associations et fondations et prennent la forme de dons manuels ou de donations et

Plus en détail

Comment remplir le dossier de demande subvention?

Comment remplir le dossier de demande subvention? Comment remplir le dossier de demande subvention? Ville de Suresnes année 2015 Le dossier de demande de subvention est à déposer en 3 exemplaires avant le 5 décembre 2014 Au service Vie Associative 6 rue

Plus en détail

COM 300 / CHAPITRE 7: COMMUNICATION HORS MEDIAS: RELATIONS PUBLIQUES. Mme. Zineb El Hammoumi

COM 300 / CHAPITRE 7: COMMUNICATION HORS MEDIAS: RELATIONS PUBLIQUES. Mme. Zineb El Hammoumi COM 300 / CHAPITRE 7: COMMUNICATION HORS MEDIAS: RELATIONS PUBLIQUES Mme. Zineb El Hammoumi SOMMAIRE Relations publiques / Relations presse Définition, objectifs, cibles Moyens des Relations Publiques:

Plus en détail

Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement

Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement Le mécénat des PME et PMI dans le secteur de l environnement Premiers éléments pour une approche territoriale www.cnarenvironnement.org CNAR-Environnement - 2 Sommaire Introduction 5 I. Où en est le mécénat

Plus en détail

Pour être prêt à contacter un futur partenaire, l organisateur devra penser à :

Pour être prêt à contacter un futur partenaire, l organisateur devra penser à : 6. Approche du Sponsor Ce chapitre offre aux organisateurs d évènements une clarification sur le sujet de la recherche de sponsors. Cet aspect est très important, il permet d augmenter les fonds de la

Plus en détail

Le régime des monuments historiques

Le régime des monuments historiques Cabinet Fiscal Urios André, docteur en droit, Conseil fiscal et patrimonial, conseil en investissement et transactions immobilières Le régime des monuments historiques Le régime des monuments historiques

Plus en détail

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE

RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.

Plus en détail

DOSSIER 1 : Mesurer l'efficacité d'une campagne d'e-mailing. 1.1 Justifier le recours à un prestataire extérieur pour réaliser la campagne d emailing.

DOSSIER 1 : Mesurer l'efficacité d'une campagne d'e-mailing. 1.1 Justifier le recours à un prestataire extérieur pour réaliser la campagne d emailing. SESSION 2 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : MANAGEMENT ET GESTION D ACTIVITÉS COMMERCIALES VOCALISIS INFORMATIQUE Version 7 mai 2 DOSSIER : Mesurer l'efficacité

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

LA POLITIQUE DE COMMUNICATION. Une entreprise peut vendre un produit sans publicité mais pas sans communication. Myriem Le May COMEIT

LA POLITIQUE DE COMMUNICATION. Une entreprise peut vendre un produit sans publicité mais pas sans communication. Myriem Le May COMEIT LA POLITIQUE DE COMMUNICATION Une entreprise peut vendre un produit sans publicité mais pas sans communication La communication est l'ensemble des actions permettant de faire connaître les produits et

Plus en détail

TITRE DE VOTRE PROJET :...

TITRE DE VOTRE PROJET :... PREFET DE L AIN Nous vous invitons à prendre contact avec l un des référents mentionnés à l annexe 7 pour l accompagnement et le suivi de votre projet. Nous vous invitons à prendre connaissance avec attention

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

Comment accompagner vos clients dans un projet philanthropique?

Comment accompagner vos clients dans un projet philanthropique? Conseillers en gestion de patrimoine Comment accompagner vos clients dans un projet philanthropique? sommaire Pourquoi recommander la Fondation de France à vos clients? Pour son expertise Pour son offre

Plus en détail

QUAND FISCALITE RIME AVEC CREATIVITE

QUAND FISCALITE RIME AVEC CREATIVITE QUAND FISCALITE RIME AVEC CREATIVITE Kristiaan TOKKA - Xavier DELATTRE Fondation Apprentis-Auteuil Ces slides ont servi de support à la session ci-dessus. Ils ne peuvent donc pas être pleinement utiles

Plus en détail

Politique de communication de l A.R.F.P.

Politique de communication de l A.R.F.P. 27 septembre 2001 AL/GC Politique de communication de l A.R.F.P. 1. Ses raisons d être La communication est un des moyens qui contribue à la réalisation de notre projet associatif. Celui-ci affirme dans

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

KIT ÉCOLES. La Fondation Saint Matthieu finance l avenir de l école catholique. www.fondation-st-matthieu.org

KIT ÉCOLES. La Fondation Saint Matthieu finance l avenir de l école catholique. www.fondation-st-matthieu.org La Fondation Saint Matthieu finance l avenir de l école catholique KIT ÉCOLES www.fondation-st-matthieu.org fondation reconnue d utilité publique 76 rue des Saints-Pères - 75007 Paris 01 45 49 61 23 secretariat@fondation-st-matthieu.org

Plus en détail

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100

Plus en détail

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos 1 sur 7 Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos Présentation générale Le ministère chargé de la recherche et de la technologie

Plus en détail

Chapitre 1 : Notions. Partie 9 - Rente viagère. Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»?

Chapitre 1 : Notions. Partie 9 - Rente viagère. Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»? Chapitre 1 : Notions Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»? Principe. Une rente viagère, c est en fait une dette à vie d une personne envers une autre, que l on connaît surtout dans le cadre de

Plus en détail

Panorama des principaux crédits et réductions d impôt en faveur des particuliers

Panorama des principaux crédits et réductions d impôt en faveur des particuliers SYNTHESE Fiscal Textes et références Article 199 terdecies- 0 A du Article 885-O V bis du Article 200 du Article 199 tervicies du Article 199 sexvicies du Article 199 septvicies du Article 199 sexdecies

Plus en détail

CHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1

CHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1 Paris, le 22 Mai 2013 CHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1 Présentation du réseau ODC : OPTIMAL DATA CENTER est une marque commerciale déposée qui fédère un réseau national de prestataires et fournisseurs

Plus en détail

LES GARANTIES D EMPRUNT

LES GARANTIES D EMPRUNT LES GARANTIES D EMPRUNT (Compte 801.5) Fiche n 1 Définition Les garanties d emprunt entrent dans la catégorie des engagements hors bilan parce qu une collectivité peut accorder sa caution à une personne

Plus en détail

APPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France

APPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France Contacts Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation professionnelle d Ile de France Orientation et appui Service FSE

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous

Plus en détail

S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U

S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U N O T A I R E S OUVERTURE DE SUCCESSION LISTE DES PIECES A FOURNIR AU NOTAIRE Concernant le défunt : - Deux extraits de son acte de décès, - Livret de famille et

Plus en détail

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional. Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,

Plus en détail

Concours étudiant de l invention humanitaire. Dossier SoLink AIR. Tous concernés! Tous solidaires!

Concours étudiant de l invention humanitaire. Dossier SoLink AIR. Tous concernés! Tous solidaires! Concours étudiant de l invention humanitaire Dossier SoLink AIR Tous concernés! Tous solidaires! SOMMAIRE 1. LE CONTEXTE ACTUEL... 3 2. LA SOLUTION DE SOLINK AIR... 3 3. LES OBJECTIFS... 5 4. LA STRATEGIE

Plus en détail

FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS

FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS La Maison des lycéens (MDL) est une association qui rassemble les élèves qui souhaitent s engager dans des actions citoyennes et prendre des responsabilités au sein de

Plus en détail

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Plan du guide I- LES INVESTISSEMENTS CONCERNES a) L investissement direct dans une PME b) L investissement grâce à une société holding c) L

Plus en détail

Demi-journée : 9h/12h30 ou 14h/17h30 150 HT par personne (groupe de 10 personnes minimum)

Demi-journée : 9h/12h30 ou 14h/17h30 150 HT par personne (groupe de 10 personnes minimum) 1) Les différentes sources de financement du projet associatif Revue de tous les modes de financement et de leurs spécificités : o Les ressources propres non commerciales o Les ressources propres commerciales

Plus en détail

Programmes Opérationnels Européens 2007-2013 CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER)

Programmes Opérationnels Européens 2007-2013 CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER) Page 1 Axe Référence Domaine Service instructeur Dates agréments CLS 2 La compétitivité de l économie : développer l économie réunionnaise dans l environnement international REGION Direction des Affaires

Plus en détail

PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE

PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE 1. OBJECTIFS DU COURS PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE Objectif général Développer des habiletés dans le domaine de la gestion des communications intégrées en marketing,

Plus en détail

CLUB SPORTIF UMS BASKET MONTELIMAR DOSSIER SPONSORING PARTENAIRES

CLUB SPORTIF UMS BASKET MONTELIMAR DOSSIER SPONSORING PARTENAIRES CLUB SPORTIF UMS BASKET MONTELIMAR DOSSIER SPONSORING PARTENAIRES sommaire le Basket ball en France... page 3 1933-2013, 80 ans de basket à Montélimar... page 4 le projet du club... page 5 les équipes

Plus en détail

- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer

- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer - Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer L article 21 de la loi de finances pour 2014 réforme le régime de défiscalisation des investissements outre-mer des entreprises. Les conditions

Plus en détail

FISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION

FISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION FISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION AU PROFIT DU MUSEE DU QUAI BRANLY I. Définitions, avantages fiscaux et limites relatifs aux donations, legs et dations A. Don d argent ou d œuvres d art à un musée :

Plus en détail

Aspirations et valeurs

Aspirations et valeurs Communiquer avec les électeurs Un exposé consiste d'un énoncé de cinq à sept paragraphes qui offre une rationale complète et cohérente en faveur du candidat et qui établit un lien entre l'histoire personnelle

Plus en détail

LES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION

LES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION LES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION Les étudiants sont engagés dans les missions, soit : - avec des responsabilités directes et complètes d exécution - avec un rôle d observateur

Plus en détail

Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL

Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL I. Introduction Plan L objet du marketing Les étapes de la démarche commerciale Les déclencheurs d achat II. La notion de produit Les caractéristiques du produit

Plus en détail

L équipage... 3. Objectifs... 5. La voiture... 6. Le programme pour l année 2011... 8. L assistance... 9. Les emplacements publicitaires...

L équipage... 3. Objectifs... 5. La voiture... 6. Le programme pour l année 2011... 8. L assistance... 9. Les emplacements publicitaires... Dossier de sponsoring 1 / 16 Sommaire L équipage... 3 Objectifs... 5 La voiture... 6 Le programme pour l année 2011... 8 L assistance... 9 Les emplacements publicitaires... 13 Le budget... 15 Contact...

Plus en détail

SPORTS MANAGEMENT SCHOOL. Le meilleur chemin vers le business du sport

SPORTS MANAGEMENT SCHOOL. Le meilleur chemin vers le business du sport SPORTS MANAGEMENT SCHOOL Le meilleur chemin vers le business du sport L univers du SPORT BUSINESS Aujourd hui, le sport est un univers de business, aux mains de spécialistes du droit, de la finance, de

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire?

Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire? Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire? Les entreprises d'économie sociale placent encore souvent leurs réserves dans des banques classiques. Aujourd hui, la crise financière

Plus en détail

SOMMAIRE. 2-1. Déduction de l impôt sur le revenu à partir de 120 jours à l étranger

SOMMAIRE. 2-1. Déduction de l impôt sur le revenu à partir de 120 jours à l étranger SOMMAIRE Cap Export : Pour Mieux Exporter 1. Favoriser l emploi des jeunes à l export Un crédit d impôt export étendu 2. Partir gagner des marchés à l étranger 2-1. Déduction de l impôt sur le revenu à

Plus en détail

Réduire son impôt de solidarité sur la fortune en faisant un don

Réduire son impôt de solidarité sur la fortune en faisant un don Cette plaquette a été mise à jour par le Centre Français des Fonds et Fondations et par France générosités en mars 2012. Ont participé à la rédaction de la plaquette initiale publiée en mai 2008 : Isabelle

Plus en détail

Ce guide a pour objectif de vous

Ce guide a pour objectif de vous La défiscalisation des dons aux fondations et associations déclarées d utilité publique Ce guide a pour objectif de vous permettre de déterminer au mieux la répartition des imputations de vos dons sur

Plus en détail

À QUI DONNER? 1) Quels sont les éléments constitutifs d une association?

À QUI DONNER? 1) Quels sont les éléments constitutifs d une association? À QUI DONNER? 1. Qu est-ce qu une association? L'article 1 de la loi du 1er juillet 1901 définit l'association comme "la convention par laquelle deux ou plusieurs personnes mettent en commun, d'une façon

Plus en détail

Les nouvelles modalités d imposition des dividendes perçus par des personnes physiques

Les nouvelles modalités d imposition des dividendes perçus par des personnes physiques Les nouvelles modalités d imposition des dividendes perçus par des personnes physiques Depuis le 1er janvier 2005, de nouvelles modalités de taxation s appliquent aux dividendes distribués par les sociétés

Plus en détail

Le versement transport (VT)

Le versement transport (VT) Le versement transport (VT) Textes de référence : Articles L2333-64 et L2531-2 du code général des collectivités territoriales Lettre circulaire Acoss n 2006-116 du 9 novembre 2006 Lettre circulaire Acoss

Plus en détail

Déductibilité des cotisations «Madelin» pour les agents généraux d assurance aux traitements et salaires

Déductibilité des cotisations «Madelin» pour les agents généraux d assurance aux traitements et salaires Déductibilité des cotisations «Madelin» pour les agents généraux d assurance aux traitements et salaires La cour administrative d'appel de Lyon 1 a fait une lecture pénalisante des articles du Code général

Plus en détail

Reximmo Patrimoine 2

Reximmo Patrimoine 2 G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20

Plus en détail

L Académie des Dalons

L Académie des Dalons L L est un projet expérimental d insertion sociale et professionnelle dans un dispositif global de soutien de jeunes en difficulté. Il s adresse aux volontaires âgés de 18 à 25 ans qui, sans formation

Plus en détail

CONVENTION. Bordeaux Gironde Investissement 2011

CONVENTION. Bordeaux Gironde Investissement 2011 POLE DEVELOPPEMENT DURABLE ET RAYONNEMENT METROPOLITAIN DIRECTION DES ENTREPRISES ET DE L ATTRACTIVITE Service du portage des projets économiques CONVENTION Bordeaux Gironde Investissement 2011 Entre :

Plus en détail

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact

Plus en détail

L UNION NATIONALE DES ARBITRES DE FOOTBALL (UNAF)

L UNION NATIONALE DES ARBITRES DE FOOTBALL (UNAF) L UNION NATIONALE DES ARBITRES DE FOOTBALL (UNAF) L Union Nationale des Arbitres de Football (UNAF) est l association qui représente les arbitres de football de tous niveaux dans toutes les instances sportives

Plus en détail

Actualité et devenir de l'isf et des droits de mutation à titre gratuit. Aspects internes & internationaux. Faculté de Droit Le 13 décembre 2011

Actualité et devenir de l'isf et des droits de mutation à titre gratuit. Aspects internes & internationaux. Faculté de Droit Le 13 décembre 2011 Actualité et devenir de l'isf et des droits de mutation à titre gratuit Aspects internes & internationaux Faculté de Droit Le 13 décembre 2011 Céline VIESSANT Frédéric MEGE 1 Introduction Comme souligné

Plus en détail

ENTREPRISE ET CREDITS D IMPOT. Salon des entrepreneurs 5 février 2014

ENTREPRISE ET CREDITS D IMPOT. Salon des entrepreneurs 5 février 2014 Salon des entrepreneurs 5 février 2014 Quelle est la différence entre une réduction d impôt et un crédit d impôt? La réduction d impôt vient en déduction de l impôt. Dans le cas où le montant de la réduction

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Distribution et publicité télévisée

Distribution et publicité télévisée Distribution et publicité télévisée 1 Compte tenu de l ouverture progressive de la publicité télévisée pour le secteur de la distribution, dont l accès sera généralisé à l ensemble des chaînes de télévision

Plus en détail

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES

REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES REGIME D APPUI POUR L INNOVATION DUALE RAPID CAHIER DES CHARGES Afin d augmenter l appui à l innovation duale permettant aux PME et aux entreprises intermédiaires de moins de 2000 salariés de développer

Plus en détail

Lancer et réussir sa campagne de collecte

Lancer et réussir sa campagne de collecte Lancer et réussir sa campagne de collecte Contactez-nous! contact@helloasso.com 06 58 39 99 60 Lancer et réussir votre campagne de collecte Étape 1 : Rédiger votre page de collecte - Présenter votre projet

Plus en détail

LE GUIDE PRATIQUE N 3

LE GUIDE PRATIQUE N 3 LE GUIDE PRATIQUE N 3 POUR RECHERCHER DES FONDS 2 3 AVANT-PROPOS Vous voulez réaliser un projet avec d autres jeunes. Rapidement, vous vous rendez compte qu il vous faudra trouver de l argent pour mener

Plus en détail

NOTE FISCALE DU FIP SPI PROXIMITE 2014

NOTE FISCALE DU FIP SPI PROXIMITE 2014 NOTE FISCALE DU FIP SPI PROXIMITE 2014 La présente note doit être considérée comme un résumé des aspects fiscaux du Fonds d Investissement de Proximité («FIP») dénommé «FIP SPI Proximité 2014» (le «Fonds»)

Plus en détail

L IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE

L IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE L IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE Introduction L impôt de solidarité sur la fortune est un impôt annuel dû par les personnes physiques détenant un patrimoine net supérieur à 790 000 au 1 er janvier

Plus en détail

LE MECENAT ET LE PARRAINAGE

LE MECENAT ET LE PARRAINAGE LE MECENAT ET LE PARRAINAGE Des sources de financement complémentaires pour le tissu associatif sportif. SOMMAIRE I Le mot du Préfet 4 II - Définitions 5 III - Mécénat des entreprises du secteur marchand

Plus en détail

Schéma du plan d affaires

Schéma du plan d affaires Plan d affaires Schéma du plan d affaires SOMMAIRE EXÉCUTIF DESCRIPTION DU PROJET OBJECTIFS FORME JURIDIQUE ÉQUIPE DIRIGEANTE MARKETING PRODUCTION SOUTIEN ADMINISTRATIF ANALYSE MARCHÉ ANALYSE MARKETING

Plus en détail

Informations aux athlètes en matière de fiscalité et de finances

Informations aux athlètes en matière de fiscalité et de finances Table des matières 1. Introduction 2. Revenus 3. Dépenses 4. Impôts 5. Budget 6. Planification financière 7. Assurances 8. Épargne-retraite 9. Autres responsabilités 10. Remarques finales 1 1. Introduction

Plus en détail