Indications du sevrage tabagique?
|
|
- Corinne Malo
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr Pierre Poloméni, Dr Claire Peloso, Service d Addictologie 14 ème journée de pathologies professionnelles de la Seine-Saint-Denis 26 Novembre 2015
2 Indications du sevrage tabagique? Pas de tabagisme à faible risque (effet sensibilisant) sevrage indiqué pour tous les fumeurs Accompagnement doit être au 1 er plan chez tous les fumeurs et plus particulièrement chez les patients à risque exposés professionnellement (Recommandations HAS 2014 Grade A ) Intérêt : Réduction des risques Qualité de vie Santé au travail ou à la retraite! Santé publique
3 Recommandation d arrêt du tabac Recommandations Arrêt de la consommation de tabac - HAS 2014
4
5 La spirale du changement Non fumeur La Volonté? Maintient l arrêt rechute Passe à l action Pense à arrêter Fumeur heureux Pense à arrêter Se prépare Se prépare Passe à l action Prochaska JO, et al.. Am Psychol 1992; 47:
6 Evaluation de la motivation Recommandations Arrêt de la consommation de tabac - HAS 2014
7 L addiction, une pathologie multifactorielle Facteurs neurobiologiques et génétiques, la personnalité, troubles du comportement, maladie psychiatrique, évènements de la vie : deuil, rupture Facteurs familiaux, fonctionnement, liens, consommation Facteurs sociaux : amis, groupes, marginalité, délinquance Vulnérabilité personnelle Environnement Produit(s) L âge de début de la consommation d une substance psychoactive, fréquence et durée de la consommation, la quantité absorbée, le pouvoir addictogène
8 Neurocircuitry of Addiction (George F Koob and Nora D Volkow) The dark side of emotion: the addiction perspective. Koob GF Eur J Pharmacol Apr 15;753: doi: /j.ejphar Epub 2015 Jan 9.
9 Classifications Suppression problèmes légaux (non discriminants), suppression dichotomie abus / dépendance
10 Bénéfices à l arrêt Gain en années de vie (diminution de la mortalité) risque de cancer Pourquoi continuer à fumer?
11 Bénéfices à l arrêt Amélioration de la qualité de vie Diminution de l anxiété et amélioration des troubles de l humeur à long terme
12 Tabac : toxicité Dangereux pour la santé quelque soit le niveau d exposition Déterminants : durée >> quantité Fumée de tabac = mélange de gaz et de particules Plusieurs milliers de particules toxiques formées par combustion (>4000) Plus de 60 identifiées comme cancérigènes Composants : nicotine, goudrons, irritants, monoxyde de carbone, additifs industriels, métaux lourds, polonium, arsenic
13 Tabac : toxicité Tabac, comprendre la dépendance pour agir - Expertise INSERM 2004
14 Tabac et exposition professionnelle (Recommandations Arrêt de la consommation de tabac - HAS 2014 Grade A ) Risque de cumul entre tabac et exposition professionnelle Facteur aggravant dans l apparition des cancers professionnels Augmentation : des cancers pulmonaires de l asthme professionnel des BPCO
15 Tabac : pouvoir addictif la nicotine est une substance psycho active Dépendances : Physique (nicotine) Comportementale Psychologique
16 Axes thérapeutiques Addictologiques : sevrages, anti craving, accompagnement à la réduction, Substitution Réduction des risques Stratégies intégratives Parfois communs, parfois spécifiques, évolutions
17 Axes thérapeutiques Médicaux : (maladies) syndrome de manque Psychiatriques : (co morbidités, avant pendant ou après l addiction) angoisse, insomnie, dépression, délires, paranoïa, Sociaux : droits, logement, insertion Psychologiques (techniques et théories)
18 Prise en charge Ecoute active, centrée sur le patient Entretien motivationnel ++ Travailler sur l ambivalence +++ Relation soignant/soigné, alliance thérapeutique essentielle = doit être le 1 er objectif avec le fumeur un fumeur qui se sent écouté, non jugé, revient partager désirs et doutes Objectifs partagés Réduction Arrêt
19 Aide au sevrage tabagique Accompagnement Prise en charge psychologique Traitement de substitution nicotinique (TSN) 1 ère intention = TSN (2 formes galéniques différentes) + Accompagnement (soutien psychologique, guidance/counseling, thérapies cognitivocomportementales TCC)
20 Traitements de substitution nicotinique Apport en nicotine : action sur le besoin physique de fumer Différentes formes galéniques : - Patchs (/16h ou /24h, différents dosages, possibilité de poser plusieurs patchs simultanément si besoin, de les couper si besoin) - Gommes - Comprimés sublinguaux «microtab» - Spray buccal (! Contient de l alcool ) - Inhaleur
21 Traitements de substitution nicotinique
22 Les idées reçues sur les TSN Il n est pas dangereux de fumer avec un patch. Intérêt ++ dans les démarches de réduction qui permettent une diminution des risques et un pas vers l arrêt complet Les substituts nicotiniques fonctionnent quasiment tout le temps, le problème est juste de trouver la bonne dose. Ne pas hésiter à débuter à HAUTE dose : un fumeur en manque diminue ses chances de réussites et l alliance thérapeutique est compromise Informer le patient des signes de sous dosage et surdosage afin qu il adapte lui même le traitement
23 Varénicline/Champix comprimé Agoniste partiel des récepteurs nicotiniques Effet agoniste : envie de fumer et syndrome de sevrage Effet antagoniste : inhibe satisfaction/récompense liée nicotine/cigarettes en empêchant sa liaison au récepteur Posologie J1-J3 : 0,5mg/j J4-J7 : 0,5mg x2/j Puis 1mg x2/j Arrêt du tabac dans les 2 premières semaines, durée totale 12 semaines de traitement, renouvelable 1 fois si besoin 2 ème intention, après échec des TSN En pratique, possibilité d associer aux TSN si nécessaire
24 Varénicline/Champix comprimé Effets indésirables : Nausées, insomnie/rêves anormaux, céphalées, prise de poids, somnolence, vertiges (! Conducteurs) Ne pas utiliser si pathologie cardio-vasculaire instable ou évènement CV <2mois (Rigotti, Circulation, 2010) Psychiatriques : dépression, TS? Prudence/surveillance => revoir impérativement le patient dans les 8 jours du début du traitement, suivi rapproché et régulier le 1 er mois Contre-indiqué : femme enceinte, <18ans Adaptation posologique chez l insuffisant rénal : ½ dose
25 Prise en charge par l Assurance Maladie Prise en charge : 50 /an par bénéficiaire 150 pour les femmes enceintes «Depuis le 1 er juillet 2015, les jeunes de 25 à 30 ans, les bénéficiaires de la CMU complémentaire et les patients en ALD cancer peuvent également bénéficier d'un forfait de 150.» prescription médicale : ordonnance avec uniquement les produits de substitution + avance des frais NB1 = certaines mutuelles prennent en charge aussi les TSN NB2 =! prix libre donc variable d une pharmacie à l autre
26 Cigarette électronique Vaporisation d un e-liquide : propylène glycol +/- glycérol + nicotine + arôme/additifs Effet recherché : apport rapide de nicotine et throat hit N est pas un médicament mais un produit de consommation courante Risque réduit par rapport à la cigarette (pas de combustion) Dautzenberg, La Presse Médicale, 2014
27 Cigarette électronique Outil de réduction des risques pour les fumeurs? Recommandations HAS 2014 : Non recommandé du fait de l absence de données dans l aide au sevrage Ne pas déconseiller si démarche réduction/arrêt + accompagnement et refus des TSN Attitude bienveillante : tout ce qui peut conduire à arrêter de fumer doit être tenté tant que risque de dommage <<< tabac HAS Recommandations de bonne pratique Arrêt de la consommation de tabac
28 Opérateurs «Addictions» Prévention : Associations spécialisées addictions, associations non spécialisées d éducation pour la santé, CODES, PAEJ,ESJ, Aide sociale à l enfance et aux familles, Associations d entraide et d auto-support, Services chargés de l application de la loi Secteur hospitalier: Equipement des établissements de santé publics et privés (MCO,SSR, Psy) ELSA et consultations hospitalières d Addictologie. Médecine de ville : Offre libérale Réseaux de santé Autres réseaux Secteur médico-social : CSAPA avec ou sans hébergement, avec ou sans consultations pour jeunes consommateurs CAARUD (Mission prévention version RDR, Circulaire d application 2006) Organismes autres, observatoires, laboratoires, CIRDD, Labo de santé publique, CNRS, LAMES,ORS,INSERM etc.
29 Plaquette élaborée par : Le service d Addictologie du GH Hospitalisation complète et hospitalisation de jour Consultation d addictologie sur les 3 hôpitaux Equipes de liaison en addictologie sur les 3 hôpitaux et la prise en charge des patients fumeurs : Une équipe pluridisciplinaire Consultation de tabacologie (hôpital Avicenne) spécialisée dans la prise en charge de la dépendance au tabac IDE de liaison accompagnant les patients hospitalisés BENKEL Joelle médecin addictologue BOUMAZA Sara infirmière Programme d Education COEFFEC Adélaide psychologue Thérapeutique FEUILLOLAY Sabrina cadre de santé d aide au sevrage tabagique GREVY Benoit infirmier pour les patients fumeurs unite.addictologie@aphp.fr MACKOWIAK Cyril préparateur en pharmacie MENDY Juliana infirmière PACHOT Virginie aide-soignante PELOSO Claire pharmacien QUINQUAUD Sophie infirmière TRINCHET Isabelle médecin addictologue Hôpital René Muret Service d addictologie Bâtiment Galien 1 er étage Programme d éducation thérapeutique Aide au sevrage tabagique
30 En conclusion Société addictogène Dénormaliser? On se préoccupe d une personne à un moment précis de son existence Dans un cadre général : prévention, outils et prise en compte de la qualité de vie et des dommages Rôle essentiel du médecin du travail pour informer et sensibiliser sur le tabagisme, accompagner et orienter si besoin
Smoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD
Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET
Plus en détailLa cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?
La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailProjet Fonds Assuétudes 2007
Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailEn 1949, Camel, une marque de
L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailRAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away from tobacco in the society?
ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, rue Bonaparte - 75272 PARIS CEDEX 06 Tél. : 01 42 34 57 86 RAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailComment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé
Comment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé 89% des Français pensent que se soigner devient trop cher.* Alors qu est-ce que l on fait? Sogarep a décidé de réagir
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailProjet «Pharmacie vivre sans tabac»
Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Programme national d arrêt du tabagisme www.apotheken-raucherberatung.ch Présentation Programme national d arrêt du tabagisme Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Résultats
Plus en détailENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1
DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailL addictologue et la cigarette électronique
L addictologue et la cigarette électronique Dr Anne BORGNE Groupe HUPSSD RESPADD THS 2013 Biarritz UN PRODUIT Fonctionnement du «vapoteur personnel» Evolution des matériels Les e-liquides Liquide vaporisé
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailAu service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 GAMME COLLECTIVE
1 GAMME COLLECTIVE Au service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 2 NOTRE EXPERIENCE A VOTRE SERVICE Plus de 65 ans d expérience dans la protection sociale de l enseignement privé.
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailAvec Sereo Mutuelle, pour mieux vous protéger. c'est aussi assurer votre santé et celle de votre famille. DES PrEstations innovantes.
pour mieux vous protéger OPTIMISER VOTRE COMPLéMENTAIRE c'est aussi assurer votre santé et celle de votre famille Contactez-nous pour une étude personnalisée Photo thinkstock.com / Document non contractuel
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailSimple efficace. pour garantir la santé de vos salariés!
Simple efficace pour garantir la santé de vos salariés! AVEC SEREO Mutuelle, PRIVILÉGIEZ SIMPLICITÉ ET PERFORMANCE pour bien protéger et fidéliser vos salariés Une couverture au plus près de vos attentes
Plus en détail15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012
15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives
Plus en détailTransport 100 % Médicaments pris en charge à 65 % et à 30 % par le RO Médicaments pris en charge à 15 %
Complémentaire santé 2014 Décerné à pour sa gamme aprévactive Formule Mini + Remboursement Régime Obligatoire + Module Médecine de ville M1 Consultations, visites, actes de chirurgie en cabinet médical,
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailPrémi Santé. assurer l essentiel
M U T U E L L E G É N É R A L E D E L É C O N O M I E, D E S F I N A N C E S E T D E L I N D U S T R I E Prémi Santé assurer l essentiel 2015 Vos prestations* Prémi Santé vous rembourse les actes les plus
Plus en détailSTRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière
STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailMODULE INTERPROFESSIONNEL DE SANTÉ PUBLIQUE TABAC ET HÔPITAL. Groupe n 14
R E N N E S MODULE INTERPROFESSIONNEL DE SANTÉ PUBLIQUE 2003 TABAC ET HÔPITAL Groupe n 14 Ce rapport de séminaire a été réalisé par un groupe de 7 élèves en formation intiale Animatrice Zoé HERITAGE Remerciements
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détailStartup Santé. Les avantages pour vous :
Startup Santé. - Documentation commerciale MUTUALP est une Mutuelle régie par le Code de la Mutualité, de l économie sociale et solidaire. C est une mutuelle régionale à taille humaine, solide et performante.
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailNouveaux enjeux de l assurance santé complémentaire en Europe
Nouveaux enjeux de l assurance santé complémentaire en Europe 13 juin 2014 Point de vue de la Mutualité Française sur les réseaux de soins Marylène Ogé-Jammet Directrice adjointe -Direction Santé de la
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailLe guide pratique pour y parvenir
Le guide pratique pour y parvenir 1 2 3 4 Il n est pas facile d arrêter de fumer. Il s agit de renoncer à une habitude quotidienne solidement installée, de changer de comportement Cela prend du temps et
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détail"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"
"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailPlan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer
Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre
Plus en détailNOUVEAUX TRAITEMENTS : PRISE EN CHARGE DU TABAGISME
NOUVEAUX TRAITEMENTS : PRISE EN CHARGE DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr Forum professionnel : Fédération Française d Addictologie Paris 17
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailMission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015
Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Objectif AOI Accompagner une amélioration de la santé dentaire de populations démunies Pays en développement France AOI - France - Val de Marne Faciliter
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailProgramme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives»
Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» SOMMAIRE Pages Présentation de la Formation EPTHECC 2 Les objectifs de la Formation
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailFRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie
FRAIS DE santé JA N V i e r 2 0 1 3 TRAVAILLEURS NON SALARIÉS Présentation des garanties et des tarifs Professions de la Photographie Régime frais de santé - Travailleurs non salariés Les partenaires sociaux
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailTABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014
TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC Module 1 FORDD 2013-2014 Dr. J-P. Humair Service de Médecine de 1 er recours Hôpitaux Universitaires de Genève Objectifs d apprentissage Connaître les risques
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailSécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur
Repères pour votre pratique Sécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur Mars 2012 Mise à jour en
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détail