CHAPITRE 4 : UN REGARD SUR L'ÉVOLUTION DE L'HOMME
|
|
- Madeleine Labbé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 4 : UN REGARD SUR L'ÉVOLUTION DE L'HOMME
2 Introduction Comme toute autre espèce, l Homme actuel, Homo sapiens, résulte d une évolution. Son histoire fait partie de celle du genre humain (Homo), qui a comporté d autres espèces aujourd hui disparues, et s inscrit d une façon plus générale dans celle des primates. Problème : Quels sont les critères d'appartenance au genre humain? 1. La diversité actuelle et passée des primates A. La diversité des primates
3 Les Primates 51 genres, 168 espèces Principales caractéristiques Pouce et gros orteil opposables aux autres doigts (sauf chez les humains pour le gros orteil), permet la préhension. Ongles plats à la place des griffes (sauf quelques petites espèces d Amérique du Sud). Yeux rapprochés sur le devant de la face ( permet la vision binoculaire). L' appendice nasal est un nez et non une truffe (Museau réduit). Cerveau développé (capacité au moins égale à 350 à 400 cm3). D'autres caractéristiques : organisation sociale et familiale, communication importante, tendance à se redresser
4 Des Primates dont l'homme fait partie.
5 1. La diversité actuelle et passée des primates B. L'établissement d'une phylogénie Correction du TP 8 Avec le logiciel Phylogène, on construit la matrice suivante : Le Toupaïe n'appartenant pas aux primates, il est choisit comme extra groupe. Cela signifie que tous ses caractères sont considérés comme des caractères ancestraux et donc la présence d'un caractère différent est considéré comme un caractère dérivé, c'est une innovation évolutive
6 On obtient alors l'arbre phylogénétique suivant, après avoir réuni les caractères dérivés (en jaune) ensemble. Dernier ancêtre commun aux primates Queue absente Narines non fendues, rapprochées Orbites fermées Appendice nasal =nez Terminaison des doigts (ongles) et pouce opposable La présence d'un pouce opposable et d'ongle à la terminaison des doigts sont les deux caractères propres aux primates. Il n est pas possible à partir des données morpho-anatomiques d établir des liens de parentés entre Homme, Chimpanzé, Gorille, Orang Outan et Gibbon car ils possèdent tous les mêmes états de caractères à l état dérivé.
7 La comparaison des seuls critères morpho- anatomiques ne permet donc pas de préciser les liens de parenté entre Homme, Gorille, Orang outan, Chimpanzé et Gibbon. Il faut donc effectuer d'autres comparaisons : des comparaisons moléculaires en utilisant le logiciel Anagène Les comparaisons moléculaires sont présentées sous forme d'un tableau. Tableau de comparaison des molécules NAD, en % d identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille 86,5 87,8 100 Orang-outan 75,5 76,4 74,7 100 Tableau de comparaison des molécules myoglobines, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé 99,4 100 Gorille 99,4 98,7 100 Orang-outan 98,7 98,1 98,1 100 Tableau de comparaison des molécules cytochromes oxydase, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan
8 Tableau de comparaison des molécules gène 1 ADN mitochondrial, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan Tableau de comparaison des molécules Hb alpha, en % d identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan Tableau de comparaison des molécules Hb epsilon, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan 98,6 98,6 98,6 100 Tableau de comparaison des molécules Hb Gamma, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan
9 Tableau de comparaison des molécules gène 2 ADN mitochondrial, en % d'identités Homme Chimpanzé Gorille Orang-Outan Homme 100 Chimpanzé Gorille Orang-outan Dans presque tous les cas, le pourcentage d'identités est plus fort entre les séquences de l'homme et du Chimpanzé, puis entre celles de l'homme et du Gorille et celles de l'homme et de l'orang Outan. On sait que plus le pourcentage d'identités est élevé, plus les relations de parentés sont étroites et donc plus l'ancêtre commun est proche. Ainsi, l'homme a plus de lien de parenté avec le Chimpanzé. Tableau de comparaison des molécules NAD, en % d identités Chimpanzé Gibbon Gorille Orang-outang Homme 89 % 75,9% 86,5 % 75,5 % En utilisant les données moléculaires, on peut donc déduire que l'arbre d'évolution le plus probable est l'arbre 1
10 L établissement d une phylogénie repose sur le partage de caractères qualifiés de dérivés. On considère que deux individus qui ont en commun au moins un caractère dérivé non partagé avec d autres individus, ont des liens de parenté étroits et par conséquent possèdent un ancêtre commun qui leur est exclusif, c est à dire l espèce chez qui l innovation est apparue pour la première fois. Concrètement, plus des espèces partagent de caractères dérivés, plus elles sont donc apparentés. C est surtout du point de vue génétique que la parenté entre l Homme et les grands singes apparaît de manière particulièrement frappante. L étude de la séquence de gènes et de protéines permet de montrer que, parmi les grands primates actuels, les chimpanzés sont les plus proches parents de l Homme. Homme et chimpanzé partagent donc un ancêtre commun plus récent qu avec les autres grands primates actuels.
11 2. L'Homme et le Chimpanzé : deux espèces très proches A. Comparaison génétique L Homme possède 23 paires de chromosomes (2n = 46), le Chimpanzé, 24 (2n = 48). 13 chromosomes sont morphologiquement identiques (9 chromosomes identiques avec le Gorille) Quelques remaniements chromosomiques (inversions ou translocations de fragments chromosomiques, fusion de deux chromosomes) suffisent à rendre compte des différences observées. Chromosomes identiques ou présentant de faibles différences Fusion de chromosomes Insertion / Délétion de segments chromosomiques Inversion de segments chromosomiques Translocation de segments chromosomiques 3 2p et 2q fusionnent pour donner le chromosome 2 humain Insertion chez l Homme : 1, 20, Y Délétion chez l Homme : 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16, 17, 19, 20, 21, 22 4, 5, 12, 15, 16, 17, 18 Chromosome 9
12 2. L'Homme et le Chimpanzé : deux espèces très proches B. Le rôle des gènes dans le développement pré et post natal. Le crâne de l Homme aurait gardé, à l âge adulte, des caractères qui ne sont que transitoires chez le Singe (=caractères juvéniles). Chez l'homme la forme du crâne change peu entre le stade fœtal et le stade adulte, ainsi le crâne reste de forme arrondie, la face est plane, la mâchoire est non prognathe et le trou occipitale reste centré dans l'axe de la colonne. Chez le chimpanzé les transformations sont nettement plus marquées, ainsi, le crâne s'allonge et le front devient fuyant, la mâchoire devient massive et prognathe (vers l'avant), des bourrelets susorbitaires apparaissent, le trou occipitale recule.
13 Durée des phases du développement - Phase embryonnaire : plus longue chez l Homme - Phase juvénile plus longue chez l homme - Maturité sexuelle acquise plus tardivement chez l Homme Conséquences phénotypiques Phase de multiplication des neurones plus longue Intensité et durée d expression de certains gènes «architectes» plus importantes (ASPM HAR1) Cerveau plus volumineux donc d un poids plus élevé, cortex plissé (beaucoup plus de neurones) Croissance ralentie du crâne, pas d apparition des caractères «adultes» comme chez le singe arrêt de l expression de certains gènes (MYH16) Pas de développement de la mâchoire pas de recul du trou occipital et réorganisation structurale de la face et du crâne Taille corporelle plus grande chez l Homme. Période d apprentissage plus longue. Les différences observées dans les séquences chez l Homme et le Chimpanzé pourraient expliquer le volume cérébral nettement plus important chez l Homme (1400 cm 3 contre 400 cm 3 ) et une surface corticale plus développée (22 dm 3 contre 5 dm 3 ). Les différences anatomiques concernant le développement du crâne et de la face s expliqueraient par des mutations survenues sur des gènes de développement portés par les représentants de la lignée humaine. Ces mutations auraient entraîné des différences dans l intensité d expression des certains gènes du développement, leur durée d expression et la chronologie (ce sont les «hétérochronies»).
14
15 3. La définition du genre Homo A. Les caractéristiques du genre Homo Face Homo Australopithecus Pan Réduite et plate Mâchoires développées vers l avant à l origine d un prognathisme marqué. Mandibule Parabolique En U Volume cérébral Supérieur à 600 cm 3 Inférieur à 600 cm 3 Bipédie Permanente (bassin court et évasé, trou occipital avancé et horizontal, fémur incliné) Stricte (membres inf > membres sup) Arboricole (Membres sup ~ Membres inf) Occasionnelle (bassin haut et étroit, trou occipital reculé et non horizontal, fémur droit, membres sup > membres inf) Aptitude à la course oui non non L appartenance au genre Homo est définie par plusieurs critères liés notamment à la morphologie de la face, à la locomotion bipède et à l existence d un dimorphisme sexuel peu marqué au niveau du squelette. (cf. tableau) Mais également, une culture propre : utilisation intensive d outils extrêmement variés tant dans les matériaux utilisés que dans leurs fonctions [ceux-ci sont améliorés d une génération à l autre, conservés, échangés], des pratiques culturelles comme l art, les rites funéraires
16 3. La définition du genre Homo B. Les caractères dérivés propres à la lignée humaine Caractères liés au style de bipédie pratiqué par l'homme La colonne vertébrale présente 4 courbures Pas de courbure chez les grands singes Le bassin est court et larges Il est allongé et étroit chez les grands singes
17 Caractères liés au style de bipédie pratiqué par l'homme Les fémurs sont longs et oblique. Le col du fémur est plus long Les fémurs sont droits et le col du fémur est étroit chez les grands singes
18 Caractères liés au style de bipédie pratiqué par l'homme Le trou occipital est situé au centre du crâne Il est en arrière du crâne chez les grands singes Chimpanzé Pré-humain Homme Le gros orteil chez l'homme est dans le prolongement du pied, il sert de propulseur. Ce pied est adapté à la marche. Chez les grands singes, le pied est préhensible. gros orteil Le pied humain présente une voûte plantaire.
19 Caractères liés au style de bipédie pratiqué par l'homme La présence d'un bassin court et large permet de supporter le poids du corps en position redressé, le trou occipital centré permet de positionner la tête en équilibre au sommet du corps, le fémur oblique déplace le centre de gravité et permet un meilleur équilibre, le pied est adapté à la marche. Ces caractéristiques permettent donc une bipédie redressée. Ce n'est pas le cas chez les grands singes. La bipédie existe mais reste occasionnelle, et la position reste courbée vers l'avant.
20 Caractères crânien Le volume crânien est important (environ 1400 cm 3). La face est plane. Le front est haut. Le volume crânien est 4 fois plus faible (de 350 à 400 cm 3) La face est oblique, le front fuyant. La mâchoire est parabolique La mâchoire est en "U" chez les grands singes avec des canines très développées (surtout chez les mâles) On admet que tout fossile présentant au moins un des caractères dérivés anatomiques présentés précédemment, associé ou non aux traces culturelles fossiles, appartient à la lignée humaine
21 Correction du TP 9 Un exemple de mesure réalisé avec le logiciel HOMININES B Q P N P O N M Angle entre MN et OP : BP=7.45 cm NQ=12.9 cm Le rapport BP/NQ = 0.57 L'angle facial est de Le rapport VF/VQ' = 0.50 Q' F V VF=5.29 cm VQ'=10.4 cm Le crâne étudié appartient au Homo habilis
22 4. L'évolution des homininés Pour information Toumaï (Sahelanthropus tchadensis) Découvert en juillet 2001 au Tchad. On ne possède que le crâne, quelques dents et des fragments de mâchoire. Daterait de 7 MA (datation relative) ce qui en ferait le plus vieux fossile de la lignée humaine. Trou occipital témoigne d une position dressée. Bipède??? Face plus aplatie que celle des grands singes. Mesurait quelque chose comme 1 à 1,3 m. Capacité crânienne proche de celle du chimpanzé (360 à 370 cc). On ignore s il est un ancêtre de l homme ou un ancêtre commun aux grands singes actuels et aux humains. Gorille Toumaï
23 Pour information Orrorin tugenensis Plus vieux fossile de la lignée humaine (?) actuellement connu. 6 MA Découvert en janvier 2001 au Kenya (Afrique de l Est). On n a retrouvé qu un fragment de mâchoire, les restes du fémur et de l humérus, quelques dents et une phalange. Devait mesurer entre 1,25 et 1,5 m Mâchoire primitive comme celle des singes, mais le fémur indique nettement une locomotion bipède (par sa longueur, la forme et l orientation de son col). L humérus indique aussi une aptitude à la suspension. Une phalange très allongée (comme celle des grands singes) témoigne aussi d une locomotion par suspension.
24 4. L'évolution des homininés A. Les homininés les plus anciens : les Australopithèques En 1978, Mary Leakey et Tim White mettent à jour à Laetoli en Tanzanie des empreintes de pas fossilisées dans de la cendre volcanique. Ces empreintes vieilles de 3,6 MA sont attribuées à des Australopithecus afarensis (deux individus, un grand et un plus petit, peut-être un mâle et une femelle).
25 Les Australopithèques regroupent de nombreuses espèces qui ont vécu entre -4,5 et-1ma (Afarensis, Africanus, Paranthropus ) Les premiers ont été découvert en Afrique du Sud. Australopithecus afarensis Nombreux fossiles retrouvés dont la célèbre Lucy (AL de son vrai nom), un squelette complet à 40% découvert en 1974 par Donald Johanson, Maurice Taieb et Yves Coppens sur le site des Afars en Éthiopie. Entre 4 et 3 MA. Taille estimée entre 1 et 1,5 m Volume crânien ~ celui des grands singes : 450 cm 3 Locomotion bipède, mais moins spécialisée que celle des humains modernes.
26 La bipédie des afarensis Bassin plus près de celui des humains que des grands singes. Genou typiquement bipède, intermédiaire entre celui de l homme et celui des grands singes. Homme Afarensis Chimpanzé Chimpanzé Homme Lucy Le recoupement de l ensemble des données morphologiques et les études de biomécanique permettent aujourd hui de dire que si les Australopithèques étaient bipèdes, leur bipédie était différente de la nôtre : une marche «chaloupée» et certainement inaptes à la course, on parle de «bipédie Australopithèque».
27 Les afarensis possèdent quand même encore de nombreux traits simiens : Petit cerveau (volume de celui d un grand singe). Bras longs par rapport aux jambes. Phalanges des doigts longues et incurvées (adaptation à grimper et à se suspendre aux branches). Cage thoracique ressemble plus à celle des grands singes. Gros orteil écarté des autres orteils (adaptation à grimper). Talon peut rouler sur le côté externe du pied.
28 Pour information Paranthropus (ou Australopithèques robustes) Crête sagittale : permet l attache de muscles masticateurs très puissants Afrique du Sud et de l Est, 2,7 MA à 1 MA Étaient anciennement classés dans les Australopithèques. Taille 1,50 m et plus. Cerveau 420 à 600 cc. Face large. Pommettes très avancées. Mâchoires très développées et dents très robustes adaptées à un régime alimentaire fait de végétaux coriaces. Bipédie supérieure à celle des autres Australopithèques et même à celle des premiers hommes (genre Homo). Mains comparables à celles des premiers hommes (genre Homo).
29 Pour information P. aethiopicus P. bosei P. robustus Des pierres taillées et des éclats servant d outil ont été trouvés sur les sites où on a trouvé des restes de bosei. On a d abord attribué ces artefacts à Homo habilis, mais de plus en plus de chercheurs croient qu elles auraient bien été produites par bosei. P. bosei
30 4. L'évolution des homininés B. L'émergence du genre Homo : homo habilis C est toujours en Afrique qu apparaissent, il y a 2,5 Ma les premiers représentants du genre Homo : les Homo habilis. Ils coexistent avec les australopithèques. Homo habilis Ils possèdent en outre des caractères dérivés crâniens humains marqués par une augmentation du volume crânien (750 cm 3 ), une réduction de la face, et une réduction de la taille des dents (régime omnivore) La bipédie se perfectionne (glissement du trou occipital sous le crâne, bassin court et évasé permettant une bonne rotation du bassin, genoux rentrant et voûte plantaire pour une meilleure stabilité et un amortissement des chocs dus à la marche) Taillent des outils sommaires : galets aménagés (pierres cassées pour leur donner un tranchant et utilisation des éclats comme lames pour trancher ou gratter.). L utilisation et la fabrication systématique d outils en pierre (galets aménagés) leur fait donner le nom d Homo habilis (Homme habile).
31 Pour information Il y a environ 2 MA, pas moins de 5 espèces d hominidés bipèdes ont coexisté en Afrique : Deux espèces de Paranthropes (bosei au nord et robustus au sud) Homo habilis Homo rudolfensis Homo ergaster La période allant de 1,7 MA à 0,7 MA est marquée par d importantes glaciations qui accentuent l aridité de la savane africaine. Ce changement de climat semble avoir entraîné l extinction de habilis et de rudolfensis qui disparaissent il y a environ 1,6 MA. Les paranthropes disparaissent à leur tour ans plus tard. Ergaster doit peut-être sa survie à sa mobilité qui lui permettait de changer de milieu s il le fallait.
32 4. L'évolution des homininés C. L'expansion du genre Homo Homo ergaster 1,9 à 1,5 MA Le plus connu = l adolescent du Turkana Squelette presque complet découvert en 1984 à l ouest du lac Turkana (Kenya). Garçon d une douzaine d années : mesurait 1,64m; aurait probablement atteint 1,90 m. Grands, élancés (1,70 m en moyenne); bipédie achevée comme chez l humain moderne. Cerveau : 750 à 950 cc (plus que habilis, mais, par contre, il était plus grand). Asymétrie des hémisphères et lobes frontaux plus développés que chez habilis. Pour certains scientifiques, l'homo ergaster est un précurseur d'homo erectus. Pour d'autres c'est une espèce qui s'est développée à part... le débat n'est pas clos!
33 Homo erectus Il y a près de 2 MA, Ergaster sort d Afrique et colonise l Europe et l Asie. Les populations qui atteignent l Indonésie et la Chine développent avec le temps des caractères physiques qui leur sont propres. On leur donnera le nom d Homo erectus. Sinanthrope ou «Homme de Pékin» Date d environ ans. Il utilisait le feu «Sangiran17» Un crâne découvert à Java en 1969 Il date de 1 MA «Homme de Tautavel» Un crâne découvert dans la grotte de l'arago à Tautavel (Pyrénées orientales) Il date de ans
34 Homo erectus H. erectus est plus grand (~ 1,50 à 1.60 m) qu'homo habilis. L ossature est plus robuste ce qui permet une bipédie permanente et un corps parfaitement redressé. Les os du crâne sont plus épais. On note un front bas et un gros bourrelet sus-orbitaire. Il n y a pas de menton comme chez H. sapiens. La capacité crânienne augmente progressivement passant de 800 cc chez les formes les plus anciennes à plus de 1200 cc chez le sinanthrope (Homo erectus de Pékin; ~ 500 KA). De nombreuses populations colonisent progressivement l Afrique du nord, du sud, du proche orient, l Asie et l Europe. Maitrise du feu.
35 Reconstitution de H. erectus
36 Homo erectus
37 Homo neanderthalensis : l homme de Neandertal Proviennent de l évolution de populations européennes de H. erectus isolées au cours des glaciations. Apparaissent dès ans mais ils ont peuplé l Europe de à ans. Certaines populations ont côtoyé un temps Homo sapiens. Stature courte, trapue (membres courts), robuste 1,55 à 1,65 m pour 70 à 90 Kg, très musclé. Adaptés aux conditions glaciaires de l Europe de cette époque (glaciations successives). Chasseurs, se nourrissaient surtout de gibier (mammouths, chevaux, rhinocéros laineux et rennes surtout).
38 Crâne présentant un mélange de caractères archaïques et évolués (front fuyant, présence d un bourrelet sus orbitaire) Capacité crânienne environ 15% plus grande que celle de l Homo sapiens : 1500 à 1750 cc. crâne allongé capacité crânienne 1500 à 1750 cc front bas, fuyant chignon occipital bourrelet sus-orbitaire prononcé nez saillant et cavité nasale très grande (le nez devait être grand) pas de menton
39
40 Était-ce bien une espèce différente de la nôtre (pouvaient-ils se reproduire avec Homo sapiens). Certains croient qu ils étaient une sous-espèce d Homo sapiens (Homo sapiens néenderthalensis). Par contre, actuellement, la plupart des paléontologues les trouvent trop différents pour les mettre dans la même espèce que nous. Pourquoi sont-ils disparus il y a ~ ans. Hybridation génétique avec des sapiens venus d ailleurs??? Repoussés vers des territoires moins favorables par l arrivée des sapiens. Compétition pour des territoires plus favorables lors des épisodes de refroidissement? Le milieu dans lequel ils vivaient est devenu de plus en plus restreint suite au réchauffement qui a suivi la dernière glaciation? Auraient volontairement été exterminés par les sapiens (premier grand génocide de l histoire; remarquez, rien ne l indique)??? L homme de Néandertal n est pas un ancêtre de l Homo sapiens. Néandertal s est éteint sans laisser de descendance.
41 Homo sapiens : l homme moderne Le plus ancien crâne d Homo sapiens connu a été découvert en Afrique (Éthiopie) en 1997 : Homo sapiens idaltu : ans Présente des caractères intermédiaires entre les Homo ergaster les plus récents et l homme moderne. Assez semblable à Homo sapiens pour qu on le place dans la même espèce. Trois crânes découverts Les plus anciens Homo sapiens trouvés en Europe datent de ans («Hommes de Cro- Magnon»). Les vestiges trouvés montrent une taille un peu plus grande que celle de l homme moderne (entre 1,70 et 2 m). Cro-Magnon
42 Théorie monocentriste (Out of Africa) Homo sapiens serait apparu en Afrique il y a plus de ans. Des populations de sapiens auraient ensuite migré pour gagner l Europe, l Indonésie et l Asie (et, beaucoup plus tard, l Amérique). Erectus et néanderthalensis se seraient éteints sans laisser de descendance. Les données génétique (analyse d ADN) confirment cette théorie qui fait actuellement consensus. L analyse de l ADNmt (ADN mitochondrial qui ne se transmet que de mère à fille) démontrerait que tous les humains proviennent d une ancêtre africaine (Ève mitochondriale) ayant vécu il y a un peu plus de ans. De plus, le peu de différences génétiques existant entre les humains actuels suggère une origine commune assez récente.
43
44 Pour conclure Dans d'anciens manuels de cours, dans la presse, sur internet, une image est souvent utilisée pour représenter l'évolution de l'homme. Cette image montre (de la gauche vers la droite) un singe courbé qui avance vers la droite en se redressant et s'humanisant pour "finir" en un Homo sapiens... Néanmoins, ce dessin présente des erreurs, l'évolution humaine ce n'est pas ça Première anomalie, le dessin laisse entendre que l'ancêtre de l'homme moderne était un chimpanzé. Ce qui reviendrait à dire que notre ancêtre est un singe qui existe encore aujourd'hui... A noter que cette image conforte les personnes qui pensent encore que l'homme moderne descend du singe... Nous savons que nous avons un ancêtre commun avec les grands singes en général, et les grands singes africains en particulier. On estime que cet ancêtre commun (le Dernier Ancêtre Commun, ou DAC) vivait il y a environ 7 à 8 millions d'années, très probablement en Afrique. Il a évolué vers deux lignées : la première vers les grands-singes africains (bonobos, chimpanzés, gorilles) et la deuxième vers l'homme. En aucun cas l'homme ne descend du chimpanzé.
45 Deuxième anomalie, le schéma montre un singe qui se redresse pour finir en bipède parfaitement humain. Le dessin laisse entendre deux choses aussi différentes que non prouvées : - c'est une évolution logique de la marche que de commencer par pratiquer la quadrupédie pour finir par la bipédie... - les ancêtres de l'homme marchaient à quatre pattes. Nos ancêtres utilisaient chacun une bipédie spécifique selon leur morphologie. Ils ne se sont pas forcément redressés pour marcher comme le laisse penser le dessin. Nous connaissons plusieurs fossiles anciens qui montrent que nos ancêtres étaient déjà au moins partiellement bipèdes : Toumaï (7 Ma),Orrorin (6 Ma), Ardi (4 Ma), Lucy (3 Ma)... Mais il faut noter que la bipédie de ces hominidés, surtout les plus anciens, est encore âprement discutée par les scientifiques. Troisième erreur, le schéma nous montre un chemin unique de l'évolution humaine. Chaque ancêtre a un descendant, suivi d'un autre... et ainsi de suite jusqu'à l'homme moderne. Cela laisse supposer que l'homme actuel était un objectif de l'évolution, une finalité. Ce qui est en totale contradiction avec les nombreux fossiles retrouvés. Depuis 7-8 millions d'années il n'y a pas eu qu'une seule lignée bien nette qui irait directement du Dernier Ancêtre Commun avec les grands singes vers l'homme anatomiquement moderne. Les hominidés se sont multipliés et certaines lignées ont disparu sans descendance (comme Néandertal ou floresiensis). Notre évolution est plutôt comparable à un arbre buissonnant dont certaines branches se séparent et d'autres s'arrêtent. Plusieurs espèces appartenant au genre Homo ont non seulement existé mais aussi coexisté.
46
Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailQUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants?
avec la collaboration du Centre de vulgarisation de la connaissance, université Paris-XI QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME Vingt questions pour tester vos connaissances Le niveau 1 comporte
Plus en détailLa place de l'homme parmi les vertébrés.
La place de l'homme parmi les vertébrés. Les caractères dérivés dans l'arbre des vertébrés. En parcourant l'arbre, à chaque nœud, on voit apparaître un caractère nouveau, plus évolué, (on l'appelle caractère
Plus en détailun très vieux parent!
Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,
Plus en détailCahier pédagogique. «Sur les traces de l Homme : ENQUÊTE SUR LA PRÉHISTOIRE» :
Cahier pédagogique «Sur les traces de l Homme : ENQUÊTE SUR LA PRÉHISTOIRE» : une exposition réalisée par Cap Sciences présentée au Centre de Culture Scientifique de l ULB du 22 septembre au 22 décembre
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailLE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans...
LE BATON D ISHANGO Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... Les collections du Muséum des Sciences naturelles à Bruxelles abritent un artefact aussi unique que remarquable : le bâton d Ishango.
Plus en détailMythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!
Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens
Plus en détailLa technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs
Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts
Plus en détailArian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief
MUSÉUM NATIONAL D HISTOIRE NATURELLE ACTION PÉDAGOGIQUE ET CULTURELLE DÉPARTEMENT DES GALERIES / PÔLE FORMATION DES ENSEIGNANTS DEPF Exposition temporaire Grande Galerie de l Évolution Muséum national
Plus en détailBRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS
Standard S.C.C (2003) ORIGINE : France. BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D ORIGINE EN VIGUEUR :.. UTILISATION : Chien de petite Vénerie capable de chasser dans tous les terrains
Plus en détailArian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief
MUSÉUM NATIONAL D HISTOIRE NATURELLE ACTION PÉDAGOGIQUE ET CULTURELLE DÉPARTEMENT DES GALERIES / PÔLE FORMATION DES ENSEIGNANTS DEPF Exposition temporaire Grande Galerie de l Évolution Muséum national
Plus en détailSerrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)
Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son
Plus en détailLES MASSAGES POUR BÉBÉ
LES MASSAGES POUR BÉBÉ La philosophie et les engagements du LABORATOIRE HÉVÉA Des produits 100% naturels élaborés exclusivement à partir de plantes en provenance des cinq continents et récoltées dans le
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailArticle original. boulevard Pierre-Dramard, 13916 Marseille cedex 20, France b MCU PH, faculté d odontologie de Marseille, 27, boulevard Jean-Moulin,
L anthropologie 107 (2003) 315 331 www.elsevier.com/locate/anthro Article original L occlusion dentaire chez les primates supérieurs. Application d un modèle réduit d occlusion : la «matrice occlusale»
Plus en détailLes jours de la semaine
Les jours de la semaine Les jours de la semaine S enfilent un à un Comme les billes d un grand collier Dans un ordre, ils se suivent Chaque jour se ressemble Chaque jour est différent Mais on ne peut les
Plus en détailDOSSIER PÉDAGOGIQUE. Présentation de la structure :
DOSSIER PÉDAGOGIQUE Présentation de la structure : Missions de l Espace Mendès France : L Espace Mendès France doit son origine à des chercheurs de l université de Poitiers, militants de l éducation populaire,
Plus en détailDans les secrets du cerveau
Sciences du Vivant et Société Dans les secrets du cerveau Vendredi 11 octobre 2013 Collège des Bernardins - Paris Dans les secrets du cerveau Colloque organisé par Sciences du Vivant et Société Sous la
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailBaccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé.
Baccalauréat L spécialité, Métropole et Réunion, 19 juin 2009 Corrigé. L usage d une calculatrice est autorisé Durée : 3heures Deux annexes sont à rendre avec la copie. Exercice 1 5 points 1_ Soit f la
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailL HOMME EST-IL FAIT POUR COURIR?
Is man made for running? This is the explanation of how should somebody run without deteriorating his squeleton. The technic is the most important point to consider. Text in French. L HOMME EST-IL FAIT
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailComment se sentir bien dans la pratique de yoga
Livret de pratique Comment se sentir bien dans la pratique de yoga La posture (asana) sera stable et agréable. Pour cela, il suffit de se relâcher et de s absorber dans l infini. Yoga Sutra de Patanjali,
Plus en détailChapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution
Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution Introduction 1- La diversité des milieux et des écosystèmes 2- La diversité des espèces 3- La diversité des gènes 4- L évolution de la biodiversité
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLes normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée :
Accueil Diapo FAQ Instal. escalier Photo Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur 1. Définition des termes techniques pour les escaliers. 2. Normes élémentaires des marches d'escaliers.
Plus en détail1 an Ce document appartient à
Et si l univers avait un an? 1 an Ce document appartient à Tu es prêt(e) pour un grand voyage intergalactique? Je t emmène, aux confins du cosmos, assister à la naissance de l Univers et de la vie.tu savais,
Plus en détailASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE
ASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE Voici un résumé des COUVERTURES EN ASSURANCES ACCIDENT ET DENTAIRE incluses dans les frais d affiliations à Softball Québec pour ses membres. Vous trouverez à la page 4
Plus en détailConditions générales d assurance (CGA)/
Conditions générales d assurance (CGA)/ Assurance-accidents individuelle Edition 03.2011 8006139 03.11 WGR 742 Fr Table des matières Votre assurance-accidents individuelle en bref.... 3 D Comportement
Plus en détailMonitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich
Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailEN HARMONIE. L Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec regroupe les physiothérapeutes et les thérapeutes en réadaptation physique
EN HARMONIE L Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec regroupe les physiothérapeutes et les thérapeutes en réadaptation physique Le développement moteur de l enfant Dans les deux premières années
Plus en détailPerformance des organisations Santé au travail
LA PRÉVENTION DES TMS ET DES ACCIDENTS DE TRAVAIL LIÉS A LA MANUTENTION DE CHARGES Centre de Gestion du Tarn et Garonne Le 4 octobre 2012 Performance des organisations Santé au travail SOMMAIRE Performance
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailSept singes aveugles trouvent un dinosaure dans la forêt. Mardi, le deuxième singe touche la queue du dinosaure.
7 singes dans le noir Sept singes aveugles trouvent un dinosaure dans la forêt. Lundi, le premier singe touche les dents du dinosaure. Il dit : " C'est une étoile" Mardi, le deuxième singe touche la queue
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailErgonomie au bureau. Votre santé avant tout
Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter
Plus en détailSolar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide
Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau
Plus en détailAnimation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets.
Le Bois Énergie Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr Animation du sur les Pyrénées Orientales Animation, Information Conseils et accompagnement des projets Réalisation de pré-diagnostics tecnico-économiques
Plus en détailStatistique : Résumé de cours et méthodes
Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère
Plus en détailLivret participant. Prévention. Ouest. Kiné
Livret participant 1 Objectifs : Atelier «La santé du dos» Permettre aux participants d évaluer leurs facteurs de risques personnels et environnementaux de rachialgies Permettre aux participants d acquérir
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1
TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailAPERÇU TECHNIQUE DE L ageloc Vitality APERÇU DU PRODUIT
APERÇU TECHNIQUE DE L ageloc Vitality APERÇU DU PRODUIT Qu est-ce que l ageloc Vitality? L ageloc Vitality est un complément alimentaire dont la formule cible les sources de la vitalité. En stimulant le
Plus en détailConditions générales d assurance (CGA)
Conditions générales d assurance (CGA) Assurance-accidents collective Edition 12.2006 8000532 10.09 WGR 072 F Table des matières Votre assurance-accidents collective: vue d ensemble.....................
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailElaborer des Tableaux de Bord Ressources Humaines
Elaborer des Tableaux de Bord Ressources Humaines Pré-requis à la mise en place d un tableau de bord des ressources humaines Le recueil de données a été le point de départ du diagnostic quantitatif des
Plus en détailÉvaluation 1ère, 2ième année, 3ième année
TM Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année Mis sur pied par Parachute Mis sur pied par Prévenir La Fondation les Pensez blessures. d abord Sauvez du Canada des vies. Avec l'appui du Congrès canadien
Plus en détailAnalyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie
Saïd GUERRAB Analyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie Résumé de la thèse (pour affichage) Il est difficile de parler du berbère sans parler de la variation. Il y a d abord une variation
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailUFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES
Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,
Plus en détailProtocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot
Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailAUTOPORTE III Notice de pose
AUTOPORTE III Notice de pose Vous avez acquis le système AUTOPORTE, nous vous en remercions. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner correctement ce système. FONCTIONNEMENT
Plus en détailLe guide de la Santé du. Pied. 1 personne sur 5 a besoin de consulter un professionnel du pied.
Le guide de la Santé du Pied 1 personne sur 5 a besoin de consulter un professionnel du pied. Petit cours d histoire Les origines... À l origine, l homme marchait pieds nus sur des sols irréguliers. Avec
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique, lieux d organisation,
Plus en détailL HOMME PRÉHISTORIQUE
LIVRET D ACCOMPAGNEMENT À LA MALLETTE L HOMME PRÉHISTORIQUE STÉRÉOTYPES ET RECONSTRUCTIONS NOTICE EXPLICATIVE GUIDE DE L UTILISATEUR SOMMAIRE Thème 1 : Les stéréotypes 1.A Clips vidéo 1.B Se repérer dans
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détail1995.- Véhicule électrique HS-559 27203. 2850.- Véhicule électrique HS-898 27204. Liberté et qualité de vie. Prix bas permanents. www.landi.
Mobil www.landi.ch Liberté et qualité de vie Garantie 3 ans Batterie 1 année 1995.- Véhicule électrique HS-559 27203 2850.- Véhicule électrique HS-898 27204 Bienvenue chez LANDI. Qualité LANDI Chez LANDI
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détail-'" o~ ",en -,=0. t-:%:
'" ~- -'" o~ ",en -,=0 t-:%: Gette brochure renferme des renseignements generaux qui ne doivent pas servir d'information precise concernant un patient particulier. Tous les enonces dans cette brochure
Plus en détailPASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m
PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détail- 1320 - Cordonniers, sigans
click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire
Plus en détailVotre conférencier. Christian Martineau
Votre conférencier Christian Martineau Immédiatement après l obtention d un diplôme de deuxième cycle (MBA exécutif à l'université de Sherbrooke), M. Martineau entreprend une formation de 3 ans en synergologie.
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailLa biodiversité : oui! Mais pourquoi?
La biodiversité : oui! Mais pourquoi? On entend souvent parler de l importance de la biodiversité sans jamais savoir pourquoi elle est si importante que cela, est-ce que la sélection naturelle n est pas
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailMaison de la Gare FORMULAIRE D INSCRIPTION POUR LES VOLONTAIRES. Qui sommes nous?
Maison de la Gare Parce que les Talibés d aujourd hui sont les Hommes de demain FORMULAIRE D INSCRIPTION POUR LES VOLONTAIRES Veuillez joindre à ce formulaire d inscription une lettre de motivation expliquant
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailLe PalaMeter Tout simplement astucieux.
Le PalaMeter Tout simplement astucieux. Un instrument de mesure polyvalent pour la prothèse. La Prothèse de Qualité Le PalaMeter et ses fonctions Le PalaMeter d Heraeus est l instrument de mesure le plus
Plus en détailQuestionnaires sur les étapes du développement
Questionnaires sur les étapes du développement De 31 mois 16 jours à 34 mois 15 jours Questionnaire 33 mois S il vous plaît, veuillez répondre aux questions suivantes. Veuillez utiliser un stylo à encre
Plus en détailExamen neurologique de l enfant
Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailRésultats techniques de la mortalité au Canada
Résultats techniques de la mortalité au Canada Présentation à l assemblée annuelle de l ICA à Vancouver 29 juin 2010 1 Présentation Espérance de vie Amélioration de la longévité Comparaisons internationales
Plus en détailBaccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013
Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée
Plus en détailen s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier
En forme, en s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier DEMANDEZ L O R I G I N A L www.thera-band.de Contenance Introduction...2 Le Stability-Trainer...3
Plus en détail