Les animaux de compagnie en EHPAD

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1 Centre de coordination Sud-Est de la lutte contre les infections nosocomiales & associées aux soins Les animaux de compagnie en EHPAD 20 è Journées régionales d hygiène et de lutte contre les infections nosocomiales 21 et 22 juin 2012 Nancy Dr A. TREYVE Remerciements à Dr Poirier ARLIN Lorraine

2 Définition de l OMS L OMS a défini la notion de santé comme «un état complet de bien-être physique, mental et social». La France compte plus de 61 millions d animaux de compagnie qui contribuent au mieux-être, à l amélioration des conditions de vie (Maurer 2008). Leur présence est de plus en plus souvent sollicitée dans les établissements de santé.

3 Approche juridique : secteur hospitalier Article 47du décret n du 14 janvier 1974 rela tif aux règles de fonctionnement des centres hospitaliers interdit la présence des animaux dans l enceinte des structures hospitalières Article abrogé par le décret n du 21 mai Circulaire n 40 du 16 juillet 1984 : une exception pour les chiens guides d aveugles Loi du 2 janvier 2002» tend à promouvoir l autonomie et la protection des personnes Loi n du 11 février 2005 concernant la cit oyenneté des personnes handicapées reconnaît la présence de l animal éduqué auprès d elles, et leur accessibilité dans les lieux publics en compagnie de leur animal d assistance Article R du Code de la santé publique interdit la présence des animaux domestiques dans l enceinte de l hôpital, à l exception des chiens guides d aveugles (hall d accueil, salle d attente)

4 Approche juridique : secteur social et médico-social Circulaire Franchesci du 11 mars 1986 indique que «les personnes âgées qui ont un animal familier doivent être autorisées à le garder avec elles, dans la mesure où il ne créera pas une contrainte anormale pour le personnel et où il ne gênera pas la tranquillité des autres résidents». Une circulaire n a pas force de loi. Article 30 de l arrêté du 29 septembre 1997 «la présence d animaux de compagnie dans les salles de restauration est interdite à l exception des chiens guides d aveugles» et il interdit toute présence animale dans les cuisines Accepter les animaux de compagnie dans les EHPAD est donc une décision du directeur de l établissement, et peut être discutée en comité de direction, avec avis de l équipe d hygiène hospitalière.

5 Bénéfices de la présence animale De nombreuses études ont montré les bénéfices apportés par la présence animale auprès de patients fragilisés. Elle aide : à se libérer de ses angoisses, à s exprimer, à sortir de son isolement, à se motiver pour le suivi des soins, à être acteur, à retrouver un rôle social (Maurer, Journal réadaptation médicale,2008 ; Mudzyk, Soins gérontologie, 2011 )

6 Techniques d accompagnement Boris Levinson (psychiatre américain) pionnier de la zoothérapie vers1950. Médiation animale en France. Thérapie assistée par l animal (TAA) : aide aux thérapies conventionnelles, l animal a un lien de collaboration avec le thérapeute. L intervenant a une double formation: thérapeute (médicale, paramédicale) et en intervention animale. Activité /animation assistée par l animal (AAA): initiée pour motiver le sujet à participer à des activités destinées à améliorer ses capacités, sa qualité de vie, à favoriser les échanges avec les participants. Le chien est médiateur et forme un duo avec son accompagnateur.

7 Présence des animaux Chien visiteur : visite réalisée par un accompagnateur le chien étant alors le centre d intérêt (contact par les caresses ). Les personnes âgées demandent parfois à garder leur animal auprès d elles lors de leur entrée en institution. Structures de soins concernées par l admission des animaux dans leurs locaux très variées : centres hospitaliers, établissements psychiatriques, accueillant des personnes âgées, handicapées, des enfants.

8 Choix de l animal En France les animaux de compagnie sont surtout les chats, les chiens qui sont domestiqués. Depuis les années 80, on désigne par NAC, nouveaux animaux de compagnie, domestiqués ou non, des espèces variées : rongeurs, oiseaux, poissons, insectes, singes Les établissements de soins accueillent principalement les chiens, parfois les chats, les lapins, les poissons,

9 Risques induits Chiens / chats : allergies, morsures, transmission de maladies infectieuses. NAC : risque plus élevé de zoonose et de morsures. Les maladies infectieuses animales pouvant se transmettre à l Homme sont appelées anthropozoonoses (Brodie,Jour clinical nursing, 2002 ; Piemont, lettre infectiologue, 2000). De la part du résident : refus, phobies.

10 Principales infections transmises par le chien Par contact, les dermatopytoses : - teigne (Microsporum canis, Trichophyton) - gale sarcoptique (Sarcoptes scabiei var canis) - pulicose (puces Ctenocephalis canis) Par les déjections canines : - toxocarose (Toxocara canis), - hydatidose (Echinococcus granulosus) - coenurose (Tenia), - cryptosporidose (Cryptococcus), - salmonellose (Salmonella enterica), - campylobacteriose (Campylobacter sp.) - fièvre (Coxiella burnettii) Par léchage, griffures ou morsures : - pasteurellose (Pasteurella sp.) - tétanos (Clostridium tétani) - rage (rhabdovirus)..

11 Micro-organismes organismes chez le chien Les chiens sont souvent colonisés par Enterococcus faecium et peuvent jouer un rôle dans leur dissémination (Damborg, Applied envir microbio, 2009). Augmentation des bêta-lactamases à spectre étendu dans les entérobactéries isolées chez des chiens (Wieler, Inter jour med microbiology, 2011) Les animaux bénéficient davantage de soins vétérinaires, d hospitalisations et d antibiothérapie et peuvent constituer en réanimation un réservoir de bactéries multi-résistantes en particulier des entérocoques (Ghosh, PLos ONE, 2011). Une étude canadienne suggère que les chiens ont été contaminés par Clostridium difficile au cours de leurs visites et de contacts rapprochés avec des résidents (Lefebvre, JHI, 2009).

12 Transmission par le chien en communauté Risque de transmission de bactéries résistantes aux antibiotiques : cas d une femme qui a présenté une infection à Escherichia coli et Enterococcus faecalis après morsure de son chien (Johnson, ICHE, 2006). Infections de prothèse de hanche à Streptococcus pyogenes isolé chez le chien familial (Sprot, JHI, 2012). La colonisation nasale d un chien de compagnie a été évoquée comme source probable d infections récurrentes à SARM chez un patient diabétique et son épouse (Manian, Clinical infectious diseases, 2003).

13 Transmission par le chien en EHPAD Importance des animaux de compagnie (chiens et chats) en tant que réservoirs de staphylocoques multi-résistants aux antibiotiques dans 77 EHPAD suisses accueillant ou non des animaux : la fréquence du contact n a pas été associée à un risque augmenté de colonisation, un cas d échange possible de souches de Staphylococcus epidermidis méticillino-résistants (Gandolfi-Decristophoris, AJIC, 2011). Des bactéries pathogènes multi-résistantes aux antibiotiques ont été isolées chez des animaux de compagnie et le transfert éventuel de SARM entre les animaux et les humains a été suggéré parmi des chiens de TAA (Enoch, JHI, 2005, R-U. Lefebvre, JHI, 2009, Canada)

14 Principales infections transmises par le chat Par contact, les dermatopytoses : - teigne (Microsporum canis ) - gale (Sarcoptes scabei) - pullicose (Ctenocephalis felis) Lésions de grattage Par les déjections : - toxocarose (Toxocara cati) - diarrhée ( Campylobacter sp.,..) Par léchage, griffures ou morsures : - toxoplasmose (Toxoplasma gondii) - maladie des griffes du chat ou lymphoreticulose bénigne (Bartonella henselae) - pasteurellose (Pasteurella sp) Teigne Teigne

15 Risques infectieux Risque de transmission : de pathogènes multi-résistants aux antibiotiques par des chiens formés ou des chats utilisés pour des interventions assistées par l animal est mal connu, il semble peu probable voire faible pour les autres pathogènes (Brodie,J clin nursing, 2002 ; avis du CINQ, 2003). Possibilité de transmission entre les espèces animales et l espèce humaine ni exclue ni prouvée dans les études actuelles. (Keessen, Veterinary microbiology, 2011)

16 Pour limiter les risques Etablir un protocole (Duncan,AJIC, 2000 ; Marschall,Swiss-Noso, 2005; Khan, JHI, 2000; Infection Control guidelines for care homes, 2006,RU) Le personnel en hygiène hospitalière devrait participer à la rédaction de protocoles établissant les règles à respecter pour minimiser les risques liés à la présence d animaux dans les établissements, en accord avec la direction. Mettre en place des mesures préventives

17 Mesures liées au chien N accepter que des animaux de compagnie en bonne santé, éduqués, vaccinés, régulièrement suivis par un vétérinaire. Le chien sera brossé avant les interventions afin de limiter le risque de transmission de pathogènes et d allergies ; brossage des dents. Le chien sera toujours accompagné par son maître formé aux méthodes. Les activités seront réalisées dans le respect de l animal, avec des pauses. Informer l établissement avant toute visite. Conserver le planning des visites de tous les chiens.

18 Mesures d hygiène liées à l environnement Limiter l accès des animaux conformément à la réglementation ou identifier les zones interdites ( cuisine, lingerie, salle de soins,...). Réserver un emplacement pour l alimentation du chien et ses besoins naturels. Rédiger un protocole d entretien des locaux. Former le personnel au nettoyage des zones visitées ou salies par l animal (éviter le contact des excréments et liquides biologiques par le port de gants, bionettoyage ).

19 Mesures liées à la sécurité du résident Identifier les résidents autorisés à être en contact avec l animal : Exclusion : infection, fièvre, peau non saine (plaie, dermatose), perfusion, cathéter, déficit immunitaire Exclusion : sujet représentant un danger pour l animal Etude des cas des patients en fin de vie Ne jamais laisser l animal seul avec un résident afin de limiter aussi les risques de morsures. Former le personnel aux mesures de prévention destinées à réduire le risque de zoonose (protection du lit, )

20 L hygiène des mains devra être réalisée avant et après contact avec l animal par toutes les personnes qui le côtoient (patient ou résident, accompagnateur, personnel médical ou paramédical)

21 L animal du résident Pour l animal du résident accueilli en EHPAD, les conditions devraient être établies à l entrée pour : ses besoins alimentaires, ses sorties, sa toilette, son suivi vétérinaire la personne qui en sera responsable en cas de maladie ou du décès du résident.

22 Les expériences sont nombreuses EHPAD La Roselière à Kunheim (Haut Rhin) plus de 10 ans. Centre de long séjour de Bellevaux (Doubs), (Mudzyk, 2011). 2 EHPAD ( Lyon) : psychologue et chien d accompagnement social. Médiation animale dans un hôpital gériatrique des Hospices Civils de Lyon(HCL Flash N 155), prix de l innovation Fondati on Sommer Accord du Clin des HCL pour les hôpitaux gériatriques. L introduction d un chien dans un secteur hospitalier spécialisé en gériatrie (Fradin, thèse vétérinaire, 2009).

23 Conclusion A ce jour pas de preuves que les risques induits par la présence d animaux de compagnie ou de chiens éduqués, dans le respect des mesures préventives ou des protocoles établis par la direction et le personnel HH soient supérieurs aux bénéfices apportés par leur présence auprès de personnes fragilisées. Toute activité sera conduite dans le respect de la personne et de l animal, dans l écoute et l accompagnement du résident. Démarche longue : projet et formation du chien 2 ans

24 Pour en savoir plus Brodie SJ. An exploration of the potential risks associated with using pet therapy in healthcare settings. Journal of clinical nursing 2002; 11: Enoch DA. MRSA carriage in a pet therapy dog. JHI 2005/06; 60 Gandolfi-Decristophoris P. Evaluation of pet contact as a risk factor for carriage of multidrug-resistant staphylococci in nursing home residents. AJIC 2011 Khan MA. Animal-assisted activity and infection control implications in a healthcare setting. JHI 2000/09; 46(1) Mudzyk A. Zoothérapie dans un centre de long séjour. Soins géronto 2011 ; 88 Wieler LH. Methicillin-resistant staphylococci (MRS) and (ESBL)-producing enterobacteriaceae in companion animals: nosocomial infections as one reason for the rising prevalence of these potential zoonotic pathogens in clinical samples. International journal of medical microbiology 2011/12; 301(8) Fondation Sommer (relation Homme-animal) depuis 1971: documentation Association Handi Chiens reconnue d utilité publique : protocole et formation

25 Merci pour votre écoute Photo Handi Chiens (association reconnue d utilité publique )

26 Remerciements A toutes les personnes qui m ont aidée Handi Chiens

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