7 milliards d Autres. Les Objectifs du Millénaire pour le Développement. N 6 Lutter contre les grandes pandémies

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1 Film court n Combattre le VIH/Sida Film court n 17. Connaissance de la maladie En moyenne, dans les régions en développement, seulement 33 % des jeunes hommes et 20 % des jeunes femmes ont une compréhension exacte et complète du VIH (Chine non comprise). Film court n 18. Discrimination Dans le monde, plus de 33 millions de personnes vivent avec le VIH. Rien qu en 2009, on a recensé quelque 2,6 millions de nouvelles infections. Film court n 19. Transmission de la maladie Lorsqu une mère séropositive n est pas sous traitement, son enfant présente un risque d être infecté in utéro, au moment de la naissance ou pendant l allaitement dans un cas sur trois. Citations «Des mesures d urgence sont nécessaires pour garantir que les droits fondamentaux des personnes les plus exposées à l infection par le VIH soient respectés et qu ils disposent des informations et des outils nécessaires pour se protéger contre le VIH et puissent avoir accès au traitement antirétroviral si nécessaire.» Mariângela Simào (chef prévention, vulnérabilité et droits, à l ONUSIDA, 2011) «Si la situation concernant le traitement, les soins et le soutien dont bénéficient les adultes s est améliorée, nous remarquons que les progrès sont plus lents pour les enfants. Il est très inquiétant de constater que la couverture par les interventions contre l infection à VIH pour les enfants est très faible.» Leila Pakkala (directeur du Bureau de l UNICEF à Genève, 2011) «Si on pouvait changer nos comportements, je pense qu on pourrait s en débarrasser!» Edna (infirmière au Bostwana Film court n 17) Un objectif mondial «Nous avons dans nos mains les outils nécessaires pour libérer une génération du SIDA. Progressons ensemble vers ces buts ambitieux fixés pour 2015 afin de réaliser notre vision collective : Zéro nouvelle infection par le VIH, zéro décès lié au SIDA et zéro discrimination dans un monde où les personnes infectées par le VIH vivent longtemps et en bonne santé.» OMS / ONUSIDA / UNICEF / Stratégie mondiale du Secteur de la Santé sur le VIH/SIDA 2011/2015

2 Les films : femmes et hommes témoignent Film court n 17. Connaissance de la maladie «Avant, dans les années 80/90, il y avait beaucoup de morts...» Et maintenant? Des campagnes de sensibilisation existent. Les adultes, les parents sensibilisent les plus jeunes aux dangers de la drogue, des relations sexuelles non protégées ou avec des partenaires multiples. Inversement, les enfants peuvent partager avec leurs familles les informations reçues dans leurs établissements scolaires. Prévenir la maladie, c est d abord la connaître et être informé des comportements à risques. Combattre la maladie, c est avoir la chance de pouvoir accéder aux services de diagnostic, de soutien, de soins et de traitements par antirétroviraux proposés par les services de santé locaux! Film court n 18. Discrimination Peur, isolement et rejet de la personne malade... Aux souffrances de la maladie, s ajoutent souvent la rupture sociale et affective avec les proches. Le malade est souvent exclu de ses lieux de vie habituels (famille ou travail) Pour essayer d éviter cette marginalisation, certains cachent leur séropositivité. Des campagnes d informations et de sensibilisation sur la maladie peuvent contribuer à modifier ces comportements Film court n 19. Transmission de la maladie Tout peut aller si vite! Une rencontre, une relation non protégée La transmission a des conséquences personnelles et sociales graves pour la personne malade, son couple et sa famille. Dans le meilleur des cas, un dépistage rapide va permettre d informer le partenaire; la femme enceinte pourra bénéficier d un suivi spécifique qui va tenter d éviter la transmission du VIH à son enfant. Les structures de soins auront la possibilité d appliquer des stratégies et des procédures de prévention de transmission aux personnels de santé Les progrès sont réels ; ils restent néanmoins fragiles et inégalement répartis Le propos du médecin Fléau ayant débuté vers la fin du XXème siècle, le SIDA, cette maladie virale due au VIH, sévit toujours et fait encore l objet de toutes les peurs des temps dits modernes. Malgré la tri-thérapie qui stabilise longtemps le réservoir du virus chez la personne infestée et empêche la survenue des complications opportunistes, on en meurt encore et toujours aujourd hui. Aucun vaccin, aucun traitement curatif n est possible à l heure actuelle et le seul impératif est d éviter à tous prix de contracter cette maladie. Il faut savoir que la contamination, de même que la transmission du virus se font par le sang ou/et les secrétions de la personne séropositive. Le contact sexuel devient alors le principal pourvoyeur de la propagation de la maladie. Aussi, est-il indispensable d avoir des rapports sexuels protégés avec toute personne au statut récent inconnu et plus encore pour les relations nouvelles ou dites occasionnelles. Par ailleurs, il ne faut pas sous estimer les risques liés à l usage des drogues (surtout en cas de réutilisation du matériel stérile), les rapports homosexuels qui fragilisent les muqueuses anales et buccales et tout traumatisme favorisant l effraction de la peau ou des muqueuses par du sang contaminé.

3 Faut-il promouvoir les recommandations dictées par certains pays, notamment asiatiques qui prônent comme premiers moyens pour lutter contre l épidémie et empêcher son extension, outre le port de préservatifs pour tout acte sexuel et le rejet des drogues injectables : la fidélité, voire l abstinence et la crainte des rencontres occasionnelles et homosexuelles, ainsi que des fréquentations multiples? En fait, chacun aura à cœur de s interroger quant à l attitude la plus sûre à adopter et l évitement des conduites à risques, afin de participer activement à l éradication de cette odieuse maladie. Présentation du thème : combattre le VIH/SIDA Constat (OMS Rapport de situation 2011) L incidence mondiale de l infection du VIH s est stabilisée et elle a commencé à diminuer dans de nombreux pays ayant des épidémies généralisées. Le nombre des personnes sous traitement antirétroviral continue d augmenter et atteignait 6,65 millions fin Près de 50 % des femmes enceintes vivant avec le VIH bénéficient de schémas efficaces de prévention de la transmission mère-enfant par les antirétroviraux, ce qui a incité la communauté internationale à lancer le Plan mondial pour éliminer les nouvelles infections du VIH chez l enfant d ici 2015 et garder leurs mères en vie. Ce qui aurait été considéré comme complètement irréaliste il y a quelques années seulement est entré dans l ordre bien réel du possible. Quelques indicateurs (OMS Rapport de situation 2011) Un total de 2,7 millions de personnes ont été contaminées par le VIH en 2010, alors qu elles étaient 3,1 millions en 2001,contribuant au nombre de total de 34 millions de personnes vivant avec le VIH en L accès au conseil et au dépistage du VIH progresse : la couverture du conseil et du dépistage du VIH chez les femmes enceintes a augmenté pour passer de 8 % en 2005 à 35 % en Cependant, la majorité des personnes vivant avec le VIH dans les pays à revenu faible ou moyen ne connaissent toujours pas leur statut sérologique. Le nombre d établissements de santé fournissant un traitement antirétroviral, un indicateur clé de l extension de la capacité des systèmes de santé à fournir un traitement, a été multiplié par trois, passant de moins de 7700 en 2005 à à la fin de l année L accès au traitement antirétroviral s améliore dans les pays à revenu faible ou moyen : personnes recevaient un traitement antirétroviral en 2010, soit 47 % de la couverture des besoins, contre en 2003 ; cela a entraîné une baisse importante du nombre de personnes décédées de causes liées au SIDA au cours des dix dernières années. Le nombre d enfants recevant un traitement antirétroviral a augmenté pour passer de à la fin de l année 2005 à en Néanmoins, la couverture chez l enfant est de 23 %, ce qui représente un retard important par rapport à la couverture chez l adulte.

4 Des inquiétudes (OMS Rapport de situation 2011) Malgré ces progrès, trop nombreux sont encore ceux qui contractent l infection au VIH, qui sont malades et qui en meurent! De nouvelles données de la surveillance confirment que l épidémie pèse de manière disproportionnée sur les professionnels du sexe, les hommes ayant des rapports sexuels avec d autres hommes, les transsexuels, les personnes qui s injectent des drogues, les prisonniers et les migrants en situation d épidémie concentrée comme généralisée. Trop souvent, les plans nationaux de lutte contre le SIDA oublient ces gens qui sont confrontés à des barrières structurelles presque insurmontables, de nature juridique ou autre, pour accéder aux services pour le VIH. À l échelle mondiale, plus de 50 % des personnes remplissant les conditions pour le traitement n ont pas accès à la thérapie antirétrovirale, dont de nombreuses personnes qui vivent avec le VIH mais ignorent leur statut sérologique (Estimation 2011 :7,5 millions de personnes). Les enfants ont beaucoup moins accès aux médicaments antirétroviraux que les adultes et le nombre de personnes perdues de vue à chaque étape de la filière de soins souligne la nécessité de renforcer les liens au sein des services pour le VIH comme avec d autres domaines des systèmes sanitaires et communautaires. Un défi depuis plus de 30 ans (OMS ONUSIDA UNICEF) La stratégie mondiale OMS du secteur de la santé contre le VIH/SIDA , la Stratégie de l ONUSIDA : Objectif Zéro et la stratégie et les programmes de l UNICEF pour promouvoir l équité aideront à orienter les efforts nationaux et mondiaux pour lutter contre l épidémie et passer de l action d urgence à un modèle durable, sur le long terme, de prestation des services pour le VIH. Ces stratégies insistent sur la nécessité de mieux adapter les ripostes nationales contre le VIH aux épidémies locales, de décentraliser les programmes pour les rapprocher de ceux qui en ont besoin et de les intégrer aux autres services de santé et des communautés pour obtenir l impact maximal. Une riposte mondiale pour continuer à : Mettre en place des systèmes sanitaires et communautaires solides et durables. Réduire la vulnérabilité des populations. Supprimer les obstacles structurels à l accès aux services de soins. Grâce à des avancées scientifiques, à l engagement des dirigeants et à des investissements stratégiques, la riposte au VIH se poursuivra à long terme et permettra un renforcement des synergies avec d autres objectifs de santé et de développement. Les avancées obtenues de haute lutte au cours de la dernière décennie ont prouvé ce qu il est possible d accomplir par une action collective en vue d objectifs communs.

5 Aller plus loin La stratégie mondiale du secteur de la santé sur le VIH/SIDA Rapport de situation 2011 sur la riposte mondiale au VIH/SIDA Les enfants et le VIH/SIDA Dix objectifs: Déclaration politique sur le VIH et le sida de l Assemblée générale des Nations Unies de 2011: Objectifs et engagements en faveur de l élimination UNAIDS-ten-targets_fr.pdf Femmes et SIDA : nous avez-vous entendues aujourd hui? Dix faits et chiffres sur le VIH/SIDA (12/2011) En savoir Campagne «Huit fois Oui» du Ministère des Affaires étrangères et européennes et de l Agence Française de Développement. Visitez le site de la campagne : Visionnez les films du projet «Le développement en questions», réalisés par grâce au soutien de l Union européenne et en partenariat avec RFI et FRANCE 24. Regardez tous les films sur le site dédié à ce projet : Découvrez l intégralité des films sur le site général du projet : Nous sommes infiniment reconnaissants à l équipe de la Ligue de l enseignement pour la rédaction des fiches pédagogiques et plus particulièrement Jacques Chauvin, Alain Cronne, le Docteur Denis Chaudeur, Denis Lucas, Denis Klein et Bernard Lethard.

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