Portrait sociosanitaire des territoires Centre-de-la-Mauricie et Mékinac. Mai 2012

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1 Portrait sociosanitaire des territoires Centre-de-la-Mauricie et Mékinac Mai 2012

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3 T ABLE DES MATIÈRES MISE EN GARDE... 4 MISE EN CONTEXTE... 5 UNE POPULATION EN FAIBLE CROISSANCE... 6 DES CONDITIONS SOCIOÉCONOMIQUES PRÉCAIRES... 8 UN TISSU SOCIAL AFFAIBLI... 9 LA MORTALITÉ L HOSPITALISATION LES MALADIES CHRONIQUES TENDANCES OBSERVÉES AU QUÉBEC (PLUSIEURS ÉTUDES RÉALISÉES EN MONTÉRÉGIE) LA SANTÉ MENTALE CHEZ LES JEUNES LA SANTÉ MENTALE CHEZ LES JEUNES ET CHEZ LES ADULTES LES INFECTIONS TRANSMISES SEXUELLEMENT ET PAR LE SANG L EFFET DE LA VULNÉRABILITÉ SOCIALE EN RÉSUMÉ TROIS LEVIERS POUR ÉVITER LE DÉBORDEMENT S ENGAGER DANS LA PRÉVENTION RÉFÉRENCES... 20

4 Mise en garde Les données de ce portrait sociosanitaire ne sont pas toujours aussi récentes et précises que nous l aurions souhaité. Nous avons choisi les plus signifiantes et, lorsque possible, celles où nous pouvions établir des comparaisons entre les populations de notre territoire, de la région et du Québec, de même que celles où nous pouvions faire des projections à long terme. 4

5 Mise en contexte Dans un souci d améliorer l accessibilité, la continuité et la qualité des soins de santé et des services sociaux sur le territoire québécois, le ministère de la Santé et des Services sociaux a créé en décembre 2003 les centres de santé et de services sociaux. Ils ont pour mandat d assurer et de développer une offre de service territoriale orientée en fonction des besoins spécifiques de sa population. Au Centre-de-la-Mauricie, c est le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de l Énergie qui, du berceau à la fin de la vie, a reçu cette responsabilité de contribuer à l amélioration de la santé et du mieux-être de sa population. La mission du CSSS de l Énergie offrir en première ligne à la population du Centre-de-la-Mauricie ( personnes) des services de santé et des services sociaux de nature préventive et curative, des services de réadaptation, de réinsertion et, de façon temporaire ou permanente, des services d hébergement, d assistance, de soutien et de surveillance ainsi que des soins infirmiers, des services psychosociaux, pharmaceutiques et médicaux; offrir à la population du Centre-de-la-Mauricie des services de première et deuxième lignes en santé mentale; offrir à la population du Centre-de-la-Mauricie et du secteur Mékinac ( personnes) des soins infirmiers, des soins médicaux généraux et spécialisés ainsi que des services diagnostiques; assurer à la population de Mékinac et du Haut-Saint-Maurice ( personnes) l accès à des services spécialisés en santé physique et en santé mentale; offrir à la population Mauricie Centre-du-Québec ( personnes) des services en santé mentale pour les personnes adultes atteintes de troubles mentaux graves, pour les personnes contrevenantes et pour les personnes présentant une comorbidité; stimuler et soutenir le développement de l expertise organisationnelle par l enseignement, la formation et la recherche. Pour bien exercer sa responsabilité populationnelle, le CSSS de l Énergie se doit de connaître les traits caractéristiques de sa population d un point de vue sociosanitaire, ce qui lui permettra d identifier les enjeux sociosanitaires les plus importants, en vue de définir ses orientations stratégiques pour les trois prochaines années. Cette connaissance accrue de sa clientèle lui permettra d adapter son offre de service en fonction des besoins spécifiques de la population de son territoire. Le CSSS de l Énergie pourra en outre accroître sa vigilance envers les clientèles les plus vulnérables dont il doit assurer la prise en charge avec ses partenaires territoriaux. 5

6 Une population en faible croissance D ici 20 ans, la population des deux territoires aura augmenté d environ 2,4 %. Cette croissance est moindre que celle prévue pour la région de la Mauricie (5,5 %) et pour la région du Centre-du-Québec (12,3 %). Il y a toujours plus de décès que de naissances; l accroissement migratoire surpassant l accroissement naturel. Portrait actuel et projection pour 2031 Centre-de-laMauricie Mékinac Population totale en Homme de ans Homme de 75 ans et plus Femme de ans Femme de 75 ans et plus Total 65 ans et plus en Total 65 ans et plus en

7 Portrait évolutif 65 ans et plus Centre-dela-Mauricie Mékinac Mauricie Centre-du- Québec Québec 65 ans et plus en ,59 % 20,59 % 15,99 % 13,80 % 65 ans et plus en ,65 % 27,54 % 21,18 % 17,94 % 65 ans et plus en ,82 % -- 28,83 % 23,69 % Portrait évolutif 75 ans et plus Centre-dela-Mauricie Mékinac Mauricie Centre-du- Québec Québec 75 ans et plus en ,38 % 9,52 % 7,49 % 6,48 % 75 ans et plus en ,77 % 11,67 % 8,98 % 7,54 % 75 ans et plus en ,54 % -- 12,92 % 10,57 % 7

8 Des conditions socioéconomiques précaires Sécurité du revenu : prestataires sans contrainte prestataires inscrits au Centre local d emploi (CLE) de Shawinigan, dont 60,5 % sont sans contrainte d emploi. 907 prestataires inscrits au CLE de Grand-Mère, dont 53,5 % sont sans contrainte d emploi. 13,5 % sont des familles monoparentales, 27 % des jeunes ont moins de 30 ans, 60 % ont moins d un secondaire 5 et 48 % reçoivent des prestations depuis plus de 4 années consécutives. Ces données indiquent une tendance à l enracinement. Profil des prestataires avec contraintes temporaires Personnes de 55 ans et plus Adulte ayant à charge des enfants de moins de 5 ans Maladie temporaire Les CLE de Shawinigan et de Grand-Mère recensent enfants dont les parents bénéficient des prestations d assistance sociale. 8

9 Un tissu social affaibli Le taux d inoccupation est le rapport de la population inactive et au chômage à l ensemble de la population de 15 ans et plus. Une concentration a été constatée dans le secteur de Shawinigan : Shawinigan (ancienne ville, avant fusion) : 57,8 % Québec : 39,6 % 9

10 La vulnérabilité des familles s illustre aussi par un haut taux de signalement à la Protection de la jeunesse : 38,07 pour jeunes au Centre-de-la-Mauricie 31,22 pour jeunes pour la région Mauricie Centre-du-Québec (MCQ) En 2006, la proportion de personnes prodiguant des soins sans rémunération à des personnes âgées s élevait à 22 % pour le Centre-dela-Mauricie, comparativement à 20,7 % pour la Mauricie et 18,6 % pour le Québec. 10

11 La mortalité Les principales causes de mortalité sont : l ensemble des tumeurs malignes (taux : 222,7); les maladies de l appareil circulatoire (taux : 199,4); les maladies de l appareil respiratoire (taux : 67,5). Taux mortalité/cancer : Centre-de-la-Mauricie = 520,2 Mauricie = 504,5 Québec = 496,8 L hospitalisation Dans des proportions assez similaires pour le territoire, la région et la province, les principales causes d hospitalisation de 2003 à 2006 sont : maladies de l appareil circulatoire : 22,1 %; maladies de l appareil respiratoire : 12,1 %; maladies de l appareil digestif : 11,8 %; symptômes mal définis : 9,2 % (supérieur à la moyenne régionale et provinciale). problèmes de santé mentale : 9 %. 11

12 Les maladies chroniques tendances observées au Québec (plusieurs études réalisées en Montérégie) À propos des maladies cardiovasculaires Elles constituent la principale cause d hospitalisation. 57 % ont eu dix consultations ou plus auprès d un omnipraticien ou d un spécialiste. 47 % ont vu au moins six omnipraticiens ou spécialistes différents. 14 % ont consulté trois et plus omnipraticiens. 90 % ont consulté un spécialiste. le nombre de personnes qui ont consulté seulement un spécialiste est 4 fois supérieur à celui des personnes ayant consulté seulement un omnipraticien. 77 % ont eu au moins un épisode de soins institutionnels. 72 % des personnes se sont rendues à l urgence. 63 % ont été hospitalisées. 11 % des personnes reviennent à l urgence comme lieu de premier contact après un épisode de soins; de ce pourcentage, 56 % y reviennent dans un délai de neuf jours et moins. L augmentation de la prévalence de l hypertension artérielle est préoccupante. 16 % des Québécois sont touchés comparativement à 13 % au début des années Il s agit du problème le plus souvent rapporté après les maux de dos. Les femmes le déclarent plus souvent que les hommes. 43 % des hypertendus ne savent pas qu ils le sont. La proportion de personnes touchées passe de 22 % chez les 45 à 64 ans à 46 % chez les 65 ans et plus. À propos du diabète Il touche 1 % des 20 à 44 ans, 7 % des 45 à 64 ans et près de 20 % des 65 ans et plus. Selon l Organisation mondiale de la santé (OMS), sans prévention, la prévalence du diabète aura doublée d ici Selon Diabète Québec, la proportion de diabétiques au Québec est passée de 3,1 % en 1995 à 8 % en

13 À propos des MPOC Le taux de mortalité est passé de 31,4 en 1984 à 42,2 en On estime que les MPOC seront la troisième cause de mortalité d ici Au Québec, le taux d hospitalisation des MPOC est très élevé (1 216 pour ) et le taux de mortalité est le plus élevé au Canada. En MCQ, le taux de MPOC est de 1,3 % plus élevé que le taux provincial qui est de 4,5 %. La santé mentale chez les jeunes Pour plusieurs indicateurs de santé, la santé des jeunes s améliore. Certaines problématiques demeurent toutefois préoccupantes. La détresse psychologique est en hausse chez les jeunes (36,1 % à 40 % de 2003 à 2007). Les idées suicidaires chez les jeunes sont élevées, mais en diminution (15,6 % à 11,1 % pour la même période). 2,9 % des jeunes ont une consommation de cannabis régulière et 1 jeune sur 5 boit de l alcool de façon excessive et répétitive. 6 % des jeunes jouent à des jeux d argent sur une base hebdomadaire. La consommation de speeds augmente. 6 % des jeunes de 15 à 19 ans et 3 % des jeunes adultes de 20 à 24 ans présenteraient des troubles de l apprentissage. Cette population présente un risque plus élevé de rapporter un état de santé mentale de passable à faible et d avoir des idées suicidaires. Les troubles les plus fréquents au sein de la population étudiante sont les troubles anxieux et les troubles de l humeur. 42 % des jeunes qui présentent des symptômes d anxiété ou de dépression sont aussi des consommateurs problématiques de différentes substances. En 2007, au Centre-de-la-Mauricie, 5 % des jeunes étaient des consommateurs problématiques et 8 % étaient des consommateurs problématiques en émergence (DEP-ADO). 13

14 La santé mentale chez les jeunes et chez les adultes Les comportements d abus de substances sont plus fréquents chez les personnes jeunes que chez les plus âgées et plus fréquents chez les moins scolarisées que chez les plus scolarisées. Les comportements d abus de substances sont 2 à 5 fois plus élevés chez les personnes atteintes d un problème de santé mentale (selon le problème présenté). 40 % à 60 % des personnes présentant un problème de santé mentale présentent un problème de dépendance. Les troubles mentaux représenteront 15 % de l ensemble des maladies conduisant à une invalidité d ici La dépression est la maladie mentale la plus fréquente et le principal facteur en cause dans les comportements suicidaires. La Mauricie Centre-du-Québec (MCQ) est la 5 e région où le taux de suicide est le plus élevé. Le territoire du Centre-de-la Mauricie a un taux de suicide de 25,3 comparativement à un taux de 24,5 pour la région et 16,9 pour le Québec. Les infections transmises sexuellement et par le sang La chlamydiose génitale est à surveiller en MCQ. 399 cas en en Augmentation de 25 % annuellement entre 2005 et Les femmes de 15 à 24 ans sont les plus touchées. La croissance la plus marquée est chez les 15 à 19 ans. 14

15 L effet de la vulnérabilité sociale Il est maintenant reconnu que l état de santé d une population suit un gradient social. D un point de vue populationnel, plus vous avez un statut socioéconomique élevé (SSÉ), plus vous êtes en santé. SSÉ = revenu + niveau d éducation et statut social, ce dernier étant défini à partir de la reconnaissance sociale de la profession exercée. Le lien entre l appartenance à une communauté socialement vulnérable et le taux plus élevé de morbidité et de mortalité a été largement démontré. Plusieurs facteurs sont en cause tels les conditions de vie, l environnement physique et social, les habitudes de vie, le niveau et le type de stress. Le principal facteur de l équation pauvreté-maladie, expliquent plusieurs chercheurs, réside dans le sentiment d impuissance vécu au quotidien chez les personnes défavorisées. Cet état conduit à un niveau de stress élevé (en intensité et en durée), ce qui a pour effet de les rendre plus vulnérables à la maladie et à l adoption de comportements à risques ou néfastes pour la santé. 1 1 La série Naufragés des villes (RDI) le démontrait bien. Des personnes aisées, soumises aux conditions de vie des personnes défavorisées, finissaient par adopter les mêmes attitudes et comportements que ces personnes. Les conditions de vie déterminent une culture, une manière d être. 15

16 En résumé Le vieillissement de la population de notre territoire est marqué et inéluctable (facteur sociodémographique). L accroissement de la prévalence des maladies chroniques et de plusieurs problèmes de santé mentale est aussi une tendance lourde puisqu il est intimement lié à notre mode de vie. Bien qu aucune étude ne permette de le documenter à ce moment-ci, tout indique que les problèmes de santé mentale sont de plus en plus présents. Pour une importante partie de notre population, cet accroissement est amplifié par la précarité de ses conditions socioéconomiques. Ces conditions démontrent des besoins grandissants de la part de notre population alors que les ressources, elles, s affaiblissent, avec le risque d augmentation d une inadéquation besoins/ressources, comme le laissent supposer les constats suivants. Un phénomène de dévitalisation touche notre population (vieillissement et fragilisation du tissu social). La communauté a et aura une capacité limitée à répondre aux besoins grandissants de la population. Tout indique que la pression sur le système de soins ne cessera de s accroître, un système lui-même limité en raison des contraintes financières et humaines qu il rencontre. 16

17 Dans un tel contexte, comment un établissement tel que le Centre de santé et de services sociaux de l Énergie peut-il exercer ses deux grandes responsabilités : restaurer la santé (offrir des soins et services); produire la santé (agir en concertation sur les déterminants de la santé depuis la Loi 83, en 2004)? Pour l une, nous sommes davantage en zone de contrôle, l action se passant dans nos champs d activités; pour l autre, le CSSS de l Énergie est davantage en zone d influence, d autres acteurs étant au premier plan, notamment quand il est question d environnement ainsi que de conditions et habitudes de vie. Voyons donc comment nous pourrons éviter le débordement. Trois leviers pour éviter le débordement Si l on compare nos enjeux de prise en charge de la clientèle au flux d une baignoire, trois leviers sont à la disposition de notre établissement pour éviter le débordement. Agrandir la baignoire : améliorer l adéquation besoins/ressources par l ajout de ressources = développer. S assurer que la capacité d évacuation de l eau est égale ou supérieur à son entrée = améliorer l efficience ou optimiser. Réduire le débit d eau du robinet : améliorer l état de santé de la population = adopter les meilleures pratiques en prévention et en promotion de la santé. 17

18 Que faisons-nous dans ces trois champs d activités? Que pouvons-nous faire de plus? Développer : Notre organisation le fait autant que possible, mais le contexte budgétaire n est pas favorable à cette option. Optimiser : Au cours des 3 dernières années, des efforts considérables ont été réalisés en ce sens : o révision des processus cliniques («Lean»); o amélioration des continuums de services, du partenariat, du partage des responsabilités entre les différents professionnels (Loi 90); o amélioration de la performance; o et bien d autres. Dans la plupart des cas, l optimisation a nettement augmenté l efficience du service qui en a fait l objet. Les nouveaux processus instaurés n atteignent toutefois pas encore tous leur pleine efficience Il reste de même quelques processus à réviser et à optimiser : les efforts doivent donc être poursuivis en ce sens. Développement et optimisation sont toutefois deux vecteurs de changement importants avec lesquels notre organisation est à l aise. À titre de gestionnaires de soins et de services de santé, nous maîtrisons ces éléments puisqu ils ils se rapportent aux structures, à l organisation des services ou à la gestion des ressources. Mais qu en est-il de la prévention? 18

19 S engager dans la prévention S engager dans la prévention 2 implique un changement de paradigme pour un CSSS. La prévention : agit sur l état de santé de la population (et non plus seulement sur les moyens de répondre efficacement aux besoins des utilisateurs de services); vise à réduire les facteurs de risques et renforcer les facteurs de protection; contribue à la création d environnements favorables à la santé; renforce le potentiel de la communauté. Elle repose sur des pratiques cliniques préventives visant à diminuer la résurgence des problèmes de santé. Elle s appuie également sur le développement de stratégies d influence et de mobilisation des partenaires intersectoriels en vue d agir sur les déterminants de la santé. Pratiquée selon les règles de l art, elle peut diminuer la prévalence et l incidence de certaines maladies et, conséquemment, l utilisation des services. En bout de ligne, le virage prévention permettra au Centre de santé et de services sociaux de l Énergie, appuyé de l ensemble de ses partenaires du Réseau local de services (RLS) du Centre-de-la-Mauricie, de mieux répondre aux besoins manifestés par notre clientèle et d agir en vue d améliorer la santé et le bien-être de notre population : c est «la responsabilité populationnelle» d un CSSS. C est donc un enjeu de taille auquel notre communauté est conviée au cours des prochaines années et il sera assurément considéré, tout comme les deux autres leviers évoqués, dans l élaboration de la planification stratégique de notre organisation. 2 Le graphique exposé démontre clairement la contribution potentielle de facteurs tels que l environnement ou les conditions et habitudes de vie à la réduction de la mortalité. S engager dans la prévention implique d agir sur ces facteurs. 19

20 Références Statistique Canada, 2006 AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC (2012). Rapport du directeur de santé publique sur les inégalités sociales de santé en Mauricie et au Centre-du-Québec, Les inégalités sociales de santé ne sont pas fatalité voyons-y!, mai 2012, 96 p. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC (2012). Enquête sur la santé et le bien-être des jeunes du secondaire de la Mauricie et du Centre-du-Québec, AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. Portrait socio-sanitaire du RLS du Centre-de-la-Mauricie, indicateurs et constats. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. Portrait socio-sanitaire région Mauricie / Centre-du-Québec, indicateurs et constats AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. Les inégalités de santé et de bien-être en Mauricie et au Centre-du-Québec, une analyse écologique (phase II) AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. Cahier statistiques 2006, numéro 20 de la série Profil 04. AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. Analyse de l évolution démographique de la Mauricie et du Centre-du-Québec, AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. La santé mentale en Mauricie et au Centre-du-Québec, indicateurs choisis de l ESCC de 2003, 2005 et AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUÉBEC. L état de santé de la population de la Mauricie et du Centre-du-Québec, un portrait socio-sanitaire sommaire,

21 Emploi Québec Mauricie. Rapport statistiques sur la clientèle des programmes d assistance sociale. Enquête sur la santé et le bien-être des jeunes du secondaire de la Mauricie et du Centre-du-Québec, rapport de l enquête 2007 Enquête sur la santé et le bien-être des jeunes du secondaire de la Mauricie et du Centre-du-Québec, RLS Centre-de-la- Mauricie, rapport de l enquête 2007 Institut de la statistique du Québec, perspectives démographiques du Québec et des régions, Les déterminants sociaux de la santé, Les faits, 2e édition, Organisation mondiale de la santé 2004 Ministère de la santé et des services sociaux du Québec. Info-pop, Bulletin numéro 22, mai 2011 Ministère de la santé et des services sociaux du Québec. Cinquième rapport national sur l état de santé de la population du Québec MSSS en collaboration avec l INSPQ et l Institut de la statistique du Québec, (2011), Pour guider l action Portrait de santé du Québec et de ses régions, les statistiques. Ministère de la santé et des services sociaux du Québec. Portrait de santé des jeunes Québécois âgés de 15 à 24 ans, Fédération des cégeps, 2010 Recensement Statistiques Canada. Statistiques Canada ESCC cycle 3.1, 2005 Signalements à la Protection de la Jeunesse, les Centres Jeunesse de la Mauricie et du Centre-du-Québec 21

22 Ce document a été produit par la Direction générale du Centre de santé et de services sociaux de l Énergie. Toute reproduction en tout ou en partie de ce document est interdite sans l autorisation de l auteur. Mai

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