Compte rendu du mini-projet de modélisation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Compte rendu du mini-projet de modélisation"

Transcription

1 Yann Quilcaille 3 Mars 2014 Océane Richet Compte rendu du mini-projet de modélisation Modélisation numérique en océanographie côtière 1 Description du modèle Dans cet étude nous utiliserons un modèle régional de circulation côtière, le modèle ROMS (Regional Ocean Modelling System), afin d analyser l influence de la marée et du vent sur la circulation au large des côtes bretonnes (Morbihan). Le modèle présente une bathymétrie allant de 10 à 120 mètres, 0 correspondant aux continents et aux îles, et la résolution du trait de côte reste relativement faible. Aux frontières du domaine, un courant lent et moyen est imposé et la stratification de la colonne d eau varie saisonnièrement. En été (Juillet-Août-Septembre), la couche mélangée est stratifiée et les courants sont dirigés vers le Nord-Est. En hiver (Janvier-Février-Mars), les courants diminuent et la couche mélangée est plus homogène du fait du refroidissement des eaux de surface par l atmosphère (températures froides en hiver). Cette baisse de température des eaux de surface augmente leur densité et les fait plonger, la convection apparaît et homogénéise les eaux de la couche mélangée. De plus, on remarque que l eau est plus chaude près de la côte, cela vient du fait que le modèle est basé sur un modèle global auquel on ajoute des effets de bord. La colonne d eau près des côtes est moins grande et correspond donc seulement aux couches supérieures plus chaudes de la colonne d eau du modèle global. Si bien qu en moyenne verticale, l eau sera plus chaude près des côtes qu au large où l on considère en plus des couches plus profondes et plus froides. Si l on compare maintenant la hauteur de la mer du modèle régional à celle du modèle global (figure 1a), on remarque que l amplitude du modèle global (noir) est plus faible que celle du modèle régional (rouge) et que l erreur la plus grande se situe près des côtes et au niveau des baies (figure 1b). Ceci vient du fait que le modèle global n a pas une aussi grande résolution (bathymétrie, trait de côte) que le modèle régional où la grille est bien plus fine aux abords des côtes. 2 Modélisation de la marée dans un milieu barotrope 2.1 Mise en évidence de la marée Nous nous intéressons dans cette partie seulement au forçage de la marée. Pour cela, la simulation est faite sans flux de chaleur, sans flux de sel, sans courants moyens baroclines imposés aux bords et la masse d eau est de densité homogène sur tout le domaine. Sur les séries temporelles temporelles de la hauteur de la mer (figures 2), obtenues avec la simulation, des oscillations apparaissent clairement avec des périodes caractéristiques correspondant aux différentes composantes de marée. Sur la figure 2a, on reconnaît le signal de marée semi-diurne à 12h ainsi que la marée basse (hauteur de la surface de la mer à -2,5m) et la marée haute (hauteur de la mer à +2,5m). On peut également voir sur la figure 2b les périodes de mortes-eaux (amplitude entre la basse mer et la haute mer d environ 2m) et de vives-eaux (amplitude entre la basse mer et la haute mer d environ 5m) approximativement tous les 16 jours et demi. La série temporelle 1

2 Figure 1 Gauche (a) : Séries temporelles du niveau de la mer (en mètres) pour le modèle global (noir) et le modèle régional (rouge). Droite (b) : Carte de l écart-type du niveau de la mer (couleur) du modèle régional au modèle global, les lignes indiquent la bathymétrie (figure 2b) ne permet pas de mettre en évidence un signal de période plus longue. Figure 2 Séries temporelles de la hauteur de la mer (en mètres) sur (a) une journée (gauche) et sur (b) environ 2 mois (droite). L axe des temps est en heure La période de mortes-eaux ("petites marées") se traduit par une amplitude de la hauteur de la mer plus faible entre la basse et la haute mer mais également par des vitesses def flux et de reflux plus faibles par rapport à la période de vives-eaux ("grandes marées") (figure 3). La marée n a pas seulement un effet sur la surface mais également en profondeur. Sur la figure 4, nous pouvons voir que le signal de marée affecte les courants horizontaux (oscillations de même période que vu précédemment) et se propage depuis la surface où il est le plus fort jusqu en profondeur où il décroit. On retrouve bien les différentes périodes : semi-diurnes et diurnes (marées basses et marées hautes) respectivement toutes les 12 et 24h, vives-eaux et mortes-eaux avec une norme de la vitesse maximale au moment des périodes de flux et de reflux i.e. quand la mer se 2

3 Figure 3 Cartes de la hauteur de la mer (en mètres) toutes les 6 heures en période de mores-eaux (gauche) et en période de vives-eaux (droite). L échelle de couleur représente la norme du courant et les flèches, le courant. retire ou avance. Cette vitesse est d autant plus élevée que l on se trouve en période de vives-eaux. Il est à noter également que durant la période de grande marée, le signal de marée se propage plus en profondeur que durant les périodes de mortes-eaux. Cette variation en profondeur peut s expliquer grâce à l amplitude de la déformation durant la marée haute ou basse. Dans ces cas, le débit lors des flux et des reflux est plus important pendant les vives-eaux plutôt que pendant les mortes-eaux. Ainsi, la turbulence peut se développer à une plus grande profondeur. Il est aussi à noter que la période de vises-eaux à lieu lorsque le soleil et la lune sont en conjonction ou en opposition. Alors la force d attraction de ces astres est maximale modifiant ainsi plus en profondeur les courants. 2.2 Courant résiduel Le courant résiduel correspond au fait que la moyenne temporelle des courants (en présence seulement de la marée) sur une longue période de temps (dans cette étude, 2 mois) est non nulle. La figure 5 représente ce courant résiduel en profondeur et en surface. On remarque qu il n y a quasiment aucune variation de ce courant sur la verticale, mais qu il y en a sur l horizontale. Il est presque nul là où la colonne d eau est suffisamment grande, mais augmente quand on s approche de la côte. Le courant résiduel pourrait être lié au terme d accélérations de Coriolis. Dans Zhang et al (1996), une modélisation de ce phénomène est produite : un fluide homogène est soumis à un flux et reflux au-dessus d une bathygraphie à deux couches. Ils mettent en évidence que le courant résiduel est le plus fort là où le gradient bathymétrique est le plus fort et nul ailleurs, ce qui 3

4 Figure 4 Évolution temporelle de la norme des courants horizontaux sur la verticale. Figure 5 Courant résiduel dans la zone d étude en profondeur (gauche) et en surface (droite). correspond bien aux résultats trouvés ci-dessus. En outre, lorsqu on moyenne sur deux mois, on prend les cycles de mortes-eaux et de vives-eaux en même temps, donc on ne voit quasiment pas de variation saisonnière (figure 6). En revanche, si on moyenne sur une période plus courte, on s attend à voir ce courant résiduel varier. Sur les figures 7 à 12, on remarque que le courant résiduel est plus fort sur les périodes de vives-eaux plutôt que sur les périodes de mortes-eaux. En effet, les flux et reflux y sont plus forts, donc le courant résiduel 4

5 étant lié à la déviation de ce courant par l accélération de Coriolis, il augmente également. Figure 6 Courant résiduel dans la zone d étude sur toute la colonne sur les 60 premiers jours de l année (gauche) puis sur les 60 suivants (droite) Figure 7 Jours 1 à 10 Figure 8 Jours 11 à 20 Figure 9 Jours 21 à 30 Figure 10 Jours 31 à 40 Figure 11 Jours 41 à 50 Figure 12 Jours 51 à 60 Figure 13 Évolution du courant résiduel pour des durées d intégration de 10 jours. 2.3 Marée et courant résiduel à partir de traceurs lagrangiens Huit colonnes de 7 flotteurs chacune ont été dispersées au large du Morbihan. Sur la figure 14 nous en avons sélectionné deux situés autour de Belle-île avec pour chacun un flotteur en surface et celui correspondant en profondeur afin d avoir un aperçu du mouvement de la colonne d eau. 5

6 Figure 14 Trajectoire du flotteur 1 (a & b) et du flotteur 2 (c & d) tous les 5 jours, en surface (a & c) et en profondeur (b & d). Les flèches représentent le courant en surface (a & c) et en profondeur (b & d). L échelle de couleur correspond à la profondeur du flotteur. La profondeur du flotteur est évaluée toutes les heures (points). Les lignes représentent la bathymétrie. Les flotteurs 1 présentent des trajectoires différentes entre la surface (figure 14a) et le fond 6

7 (figure 14b). Le fluide ne se déplace donc pas en colonne dans ce cas-ci. Le passage de la pointe Est de Belle-île se fait relativement rapidement (environ 7h) puis la colonne reste plus ou moins sur place pendant une bonne semaine. Cela pourrait être dû soit à un tourbillon, soit à une diminution du courant soit à un effet de la topographie. Par contre entre le 6 et le 10 Janvier on remarque une diminution du courant ce qui pourrait être la cause. La topographie quant à elle à un effet seulement sur les flotteurs de fond comme on peut le voir sur les deux dernières périodes. Les flotteurs après avoir passés la pointe Est se retrouvent sur un petit plateau où le courant est relativement faible et où il y a un léger tourbillon. Quant à eux les flotteurs de surface ne sont pas piégés par la topographie et suivent donc le courant. Les flotteurs 2 sont plus loin de la côte et subissent moins l effet de celle-ci. Leur trajectoire est principalement dépendante des courants géostrophiques qui leur font suivre les isobathes. Ils se trouvent donc peu affectés par la topographie. On retrouve la période de mortes-eaux avec les flotteurs de surface qui vont plus en profondeurs et la période de vives-eaux où les flotteurs ont tendance à remonter vers la surface. De plus,respectivement à ces périodes, on remarque des courants plus faibles et des courants plus forts influençant donc la trajectoire des flotteurs. Si l on fait le lien des trajectoires avec les cartes de courant résiduel on remarque que là où le courant résiduel est le plus fort (pointe Nord et pointe Est de Belle-île) les flotteurs ont tendance à ce déplacer plus rapidement. Le courant résiduel aurait donc une influence sur le déplacement des particules fluides. 3 Influence du vent, oscillations inertielles 3.1 Spirale d Ekman et vent faiblement variable On souhaite observer l effet du vent sur les courants. Pour cela, dans un premier temps, on considère une simulation avec marées et vents. Sur la figure 15 (haut, gauche), on observe que le courant moyen créé en surface est orienté Nord-Ouest, pour un vent d Ouest. On observe donc bien entre le vent et le courant de surface un angle de 45 degrés vers la droite du vent. Sur la figure 15 (milieu, gauche), on observe que le courant est orienté Sud-Est au centre et Est sur la gauche. Sur la figure 15 (bas, gauche), le courant est désormais orienté vers l Est. Ainsi, on retrouve effectivement qu en bas de la couche d Eckman, le courant est orienté à l opposé du vent. Par ailleurs, on observe que la bathygraphie influe sur le transport. Les masses d eau au Nord transportées vers l Est sont forcées de suivre la côte vers le Sud, modifiant ainsi le transport global dans le centre de la zone d étude. On aboutit alors à un transport vers le Sud-Est, qui s annule presque sous 47.50N, où le tracé de la côte est orienté Nord-Sud. Cependant, les courants sont moins intenses en surface, ce qui est contre-intuitif. On peut essayer d étudier le mélange vertical pour mieux comprendre ce qui se passe. Ici, pour estimer le coefficient de mélange vertical ν, nous aurions dû refaire des figures pour des profondeurs inférieures à 10m. Toutefois, avec une profondeur de la couche d Eckman de l ordre de d = 2ν f, et d inférieur à 10m, on sait que ν est alors inférieur ou égal à m 2.s 1. On cherche à étudier le mélange vertical grâce au paramètre Akt du modèle. Pour cela, on étudie en surface, en profondeur et entre les deux ces mélanges. Sur la figure 16, on observe à gauche que sans marées, le mélange est bien plus intense près de la côte et donc plutôt en surface. On 7

8 Figure 15 Intégration de la norme de la vitesse entre 2 et 3m (en haut), 15 et 20m (au milieu) et entre 20 et 30m (en bas) pour une simulation sans marées mais vents (gauche) et une simulation avec marées et vents (droite) remarque qu en mer, le mélange gagne légèrement en intensité quand on s approche de la surface. Quand on tient compte à la fois du vent et de la marée, on remarque que les courants varient 8

9 Figure 16 Intégration du mélange vertical entre 2 et 3m (en haut), 15 et 20m (au milieu) et entre 20 et 30m (en bas) pour une simulation sans marées mais vents (gauche) et une simulation avec marées et vents (droite) 9

10 peu en direction (figure 15 à??, droite), mais il perd en intensité près de la côte pour les eaux les plus profondes. Grâce à la figure 16 (droite), on remarque l agitation verticale est beaucoup plus intense dans ces eaux, en particulier pour les eaux les plus profondes. En comparant à la figure 5, on remarque que les courants résiduels dans cette zone sont contraires, mais faibles ailleurs. Ainsi, le transport d Ekman est compensé par le courant résiduel causé par l effet des marées et l effet Coriolis dans cette zone où le gradient bathymétrique est suffisant. 3.2 Réponse à un échelon de vent On s intéresse dans cette dernière partie à l influence du vent sur le courant. On considère au départ un vent constant puis on le rend nul brusquement (entre le 10 Janvier et le 25 Janvier). Figure 17 cartes de l intensité de la norme de la vitesse moyennée sur 5 jours en surface (z=20) et au fond (z=1) dans le cas de l annulation brusque du vent et dans le cas d un vent faiblement variable. Les flèches indiquent la direction et l intensité du courant. Lorsque le vent s annule (figure 17), le courant diminue lentement en oscillant jusqu à retrouver l équilibre. L arrêt brusque du vent engendre une instabilité dans les courants, le forçage du courant en surface n existe plus. Le retour vers un état d équilibre va se faire en émettant des ondes qui vont disperser l énergie (figures 18, 20 & 19). Les ondes sont essentiellement des ondes de surface du fait que se sont les courants de surface qui sont forcés par le vent (spirale d Ekman, figure 19). Elles sont majoritairement visibles entre 47,10N et 47,30N (figure 18) car à plus haute latitude l influence du vent est modifié par la présence de terre. On remarque qu elles s atténuent plus rapidement qu en longitude (figure 20) mais on trouve un regain d énergie vers le 20 Janvier. Ces ondes se déplacent vers sud-est avec une période d environ 9h et une amplitude (environ 0,05m) 10

11 Figure 18 Hovmuller en latitude de (a) la vitesse zonale u (en haut), (b) de la vitesse méridionale v (au milieu) et (c) de la vitesse verticale (en bas) en x=3w qui décroit au cours du temps, ce sont des ondes dispersives. Les hovmuller en surface (figure 18 & 20) montrent une modification du train d onde au cours du temps. Cela pourrait être dû à la résonance entre les ondes produites par l annulation du vent et celles qui se sont réfléchies sur la côte. Les ondes mises en jeu pour le retour vers un état d équilibre sont les ondes longues non dispersives de Rossby qui sont très importantes en zonal ainsi que les ondes courtes de Rossby qui se dissipent facilement et jouent un rôle important dans l ajustement près du bord ouest des bassins, ce qui est le cas ici. Lors de l arrêt brusque du vent ces ondes sont émises et vont ensuite se réflé- 11

12 Figure 19 Hovmuller de (a) la vitesse zonale u (en haut), (b) de la vitesse méridionale v (au milieu) et (c) de la vitesse verticale (en bas) selon la profondeur en y=47,2n et x=3w chir sur les côtes proches générant un autre train d ondes qui va interagir avec les premiers trains d onde. On sera alors en présence de résonance d onde qui peut les entretenir. Il est à noter sur les différents hovmullers (figures 18, 20 & 19) que les oscillations de u sont en opposition de phase avec v alors que v et w sont en phase. Par ailleurs, lorsque le vent redevient constant, le 25 Janvier, le retour vers un état d équilibre se fait bien plus rapidement que lors de l arrêt du vent, et sans émission d onde car il y a pas ou peu d énergie à dissiper. Les flotteurs se déplacent en surface dans la direction de propagation des ondes, c est-à-dire 12

13 Figure 20 Hovmuller en longitude de (a) la vitesse zonale u (en haut), (b) de la vitesse méridionale v (au milieu) et (c) de la vitesse verticale (en bas) en y=47,2n vers le sud-est (figure 21). Leur trajectoire est plutôt rectiligne par rapport à celle des flotteurs en 13

14 Figure 21 Haut : (a) trajectoires des 8 flotteurs tous les 5 jours entre le 10 Janvier et le 30 Janvier. Le fond de carte représente la norme du courant de surface. Bas : (b) trajectoire d un flotteur en surface tous les 5 jours entre le 10 Janvier et le 25 Janvier. L échelle de couleur représente la profondeur du flotteur. Les flèches représentent le courant de surface. présence de marée. La seule variation observée est l oscillation entre la surface et le fond qui peut être liée à des effets de bathymétrie. 14

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Collimateur universel de réglage laser

Collimateur universel de réglage laser Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage

Plus en détail

Une brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage

Une brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du plan à l ouvrage Visites et rencontres possibles - Rencontre avec un architecte o Voir la création des plans (orientation

Plus en détail

Généralités. Front froid

Généralités. Front froid Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,

Plus en détail

PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES

PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES étudiées par Interfimo Edition de janvier 2015 disponible sur www.interfimo.fr Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle,

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Représenter un pays : la carte de France

Représenter un pays : la carte de France séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,

Plus en détail

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo

Plus en détail

VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)

VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

Salle de technologie

Salle de technologie Prénom : Nom : Classe : Date : Salle de technologie Séquence Le dessin technique Définition du dessin technique : Le dessin technique est un ensemble de règles pour représenter des objets ; ces règles

Plus en détail

L éclairage naturel première partie : Principes de base

L éclairage naturel première partie : Principes de base Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh 2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables

Plus en détail

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

Université de la Méditerranée Centre d'océanologie de Marseille L3 Science de la Mer et de l Environnement Année 2009-2010

Université de la Méditerranée Centre d'océanologie de Marseille L3 Science de la Mer et de l Environnement Année 2009-2010 Université de la Méditerranée Centre d'océanologie de Marseille L3 Science de la Mer et de l Environnement Année 2009-2010 «Existe-t-il une spirale d'ekman de fond?» Méthode d analyse des «Mean Squared

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée

CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs

Plus en détail

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du

Plus en détail

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

Cours IV Mise en orbite

Cours IV Mise en orbite Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction

Plus en détail

Manuel utilisateur Netviewer one2one

Manuel utilisateur Netviewer one2one Manuel utilisateur Netviewer one2one INDEX 1. Etablissement de la connexion...2 1.1. Client... 2 2. Travailler avec Netviewer en mode Show...3 2.1. Vue écran... 3 2.2. Le panneau Netviewer... 3 2.3. Caractéristiques...

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

Manuel d utilisation DeveryLoc

Manuel d utilisation DeveryLoc Manuel d utilisation DeveryLoc Page 1/37 Version Numéro de la version Date de modification Modification apporté Version v.1 Le 1 juillet 2004 Version v.2 Le 1 Juin 2006 Page 2/37 SOMMAIRE 1. SE CONNECTER

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

www.imprimermonlivre.com

www.imprimermonlivre.com 0 www.imprimermonlivre.com Composition d une couverture avec Word L objectif de ce guide est de vous proposer un mode opératoire pour créer une couverture avec Word. Nous vous rappelons toutefois que Word

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

EPIJEUX-WIN POUR MATERNELLE ET ELEMENTAIRE AUTEUR : JEAN-FRANÇOIS LUCAS. Documentation. «Labypro»

EPIJEUX-WIN POUR MATERNELLE ET ELEMENTAIRE AUTEUR : JEAN-FRANÇOIS LUCAS. Documentation. «Labypro» Association Enseignement Public et Informatique (Loi 1901 - agréée par le Ministère de l'éducation nationale) E-mail : postmaster@epi.asso.fr Web : http://www.epi.asso.fr EPIJEUX-WIN POUR MATERNELLE ET

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

La Photographie - Page 1 / 13

La Photographie - Page 1 / 13 La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil

Plus en détail

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques. ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var Tel : 04.93.07.00.66 bij@agasc.fr www.agasc.fr. Word: Les tableaux.

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var Tel : 04.93.07.00.66 bij@agasc.fr www.agasc.fr. Word: Les tableaux. Word: Les tableaux Introduction 6 ième partie Il est préférable par moments de présenter de l'information sous forme de tableau. Les instructions qui suivent démontrent comment créer un tableau et comment

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail

Rapport du projet CFD 2010

Rapport du projet CFD 2010 ISAE-ENSICA Rapport du projet CFD 2010 Notice explicative des différents calculs effectués sous Fluent, Xfoil et Javafoil Tanguy Kervern 19/02/2010 Comparaison des performances de différents logiciels

Plus en détail

De l automatisme à la domotique...

De l automatisme à la domotique... Domotique La Et si le futur était déja là D De l automatisme à la domotique... Simples ou complexes, les systèmes automatisés sont partout dans notre environnement quotidien. Les produits automatisés sont

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Collection de photos échantillons

Collection de photos échantillons Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel

Plus en détail

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS

Plus en détail

Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés

Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Sillage Météo. Notion de sillage

Sillage Météo. Notion de sillage Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une

Plus en détail

Notre galaxie, la Voie lactée

Notre galaxie, la Voie lactée Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome

Plus en détail

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution. Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte

S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte Il s'agit d'effectuer une correspondance entre le lieu où l'on se trouve

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR. Stair Designer-1

Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR. Stair Designer-1 Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR Stair Designer-1 Stair Designer-2 Designer d escalier Le Designer d escalier rend facile la réalisation et la mise en place d escaliers sur mesure dans votre

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux

Plus en détail

Modèle de Climat de Titan

Modèle de Climat de Titan Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail