Organisation pour la Promotion de l Education Nationale (OPEN)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Organisation pour la Promotion de l Education Nationale (OPEN)"

Transcription

1 Organisation pour la Promotion de l Education Nationale (OPEN) info@openeducationbf.com SUJET N 55 : «II suffit de quelques savants pour doter l'humanité d un monstrueux pouvoir, mais pour la rendre digne d'en user, il ne suffit pas de quelques hommes.» Que pensez-vous de cette affirmation du biologiste contemporain, Jean Rostand? I. INTRODUCTION. Les sciences modernes confèrent à l homme un pouvoir sans limites. L'étendue même de ce pouvoir fait sou danger. L homme peut aussi bien s en servir pour augmenter le bonheur de l'humanité que pour anéantir les richesses matérielles et morales qui constituent le patrimoine des nations civilisées, et peut-être, pour se détruire luimême. Force, est d admettre qu il est plus facile d augmenter la puissance de l homme d aujourd hui que de lui apprendre à en faire bon usage. Aussi, ne sommes-nous point surpris que le biologiste contemporain Jean Rostand écrive : «Il suffit quelques savants... il ne suffit pas de quelques hommes.» II. EXPLICATION DE L AFFIRMATION. Cette affirmation est extraite du livre de J. Rostand : Nouvelles Pensées d un Biologiste. Elle pose le problème de l usage que l Homme peut faire du pouvoir prodigieux que lui confère la science. De prime abord, l'expression : «quelques savants», employée par

2 l auteur surprend puisque la science est une œuvre collective et quasi-anonyme. Il a sans doute, voulu préciser que celui dont le savoir est assez étendu pour qu on le classe parmi les vrais savants reste une exception. C est donc bien en réalité un petit nombre d hommes savants qui a doté l humanité d un pouvoir nouveau. Ce dernier se révèle monstrueux quand il pousse à des excès dans le mal. En fait, il n'est, par lui-même, ni bon ni mauvais, mais peut devenir l un ou l autre, suivant l usage qu on en fait. Il en est ainsi de toutes les découvertes scientifiques, y compris celle de la désintégration de l'atome dont l énergie peut aussi bien servir à réduire la peine des hommes qu à détruire les résultats des siècles d efforts. Si ce pouvoir se trouve placé entre les mains d êtres mal préparés à en faire bon usage, il devient dangereux. Avec les forces prodigieuses dont dispose l homme moderne, ce n est pas seulement l existence de quelques individus qui peut se trouver en danger, mais celle de l humanité entière. J. Rostand redoute que, quelques hommes, s abandonnant à leur égoïsme ou voulant dominer le monde, n aboutissent à leur propre anéantissement. Il écrit : «L une des beautés de la vérité scientifique, c est que si souvent, elle se retourne contre cela même qu on voulait lui faire servir.» Cependant, ce monstrueux pouvoir n est autre que le résultat naturel de l intelligence et de la liberté qui demeurent pour l'homme le fondement de sa vraie dignité. C est pourquoi, tout en redoutant le pire, ou peut aussi espérer le meilleur. Il suffit que l homme apprenne à faire bon usage de la puissance qui lui est dévolue. III. CE QU IL FAUT EN PENSER. L apprentissage du meilleur usage possible de l extraordinaire pouvoir que la science confère à l homme n est pas chose facile. Sa première

3 condition est que l'homme se montre raisonnable, c est-à-dire qu il se révèle apte à se conduire d après une vue objective de la réalité et non d après des préjugés ou des passions. «La sottise souffle où elle veut», dit J. Rostand. Le pouvoir que la science transmet se trouve réellement entre les mains de quelques savants. Ceux-ci n ont pas le droit de s en servir à rencontre des intérêts généraux de l humanité. Il s en suit que seul est digne de disposer d un tel pouvoir, celui qui a appris à subordonner ses intérêts personnels à ceux de l humanité. Or, ce désintéressement n'est possible qu'à la condition d admettre, au-dessus de l individu, l existence d un ordre transcendant : l humanité. Dès lors, on peut dire qu il n existe qu un moyen d empêcher les hommes de faire un mauvais usage du pouvoir extraordinaire que leur confère la science : c est d établir parmi eux, une haute moralité. Avouons que ce dernier objectif constitue une conquête autrement plus difficile que celle des forces naturelles par les savants. J. Rostand a bien raison d affirmer, qu «il ne suffit pas de quelques hommes» pour la réaliser alors que «quelques savants» seulement peuvent «doter l humanité d un monstrueux pouvoir.» Il a peur que la science ne soit allée trop loin dans ses progrès. A propos des applications pacifiques de la désintégration de l atome, il écrit : «C est une des tristes nouveautés de notre époque que de voir la science ellemême, et de par ses propres démarches, amenée à créer l épouvante. Après avoir exorcisé tant de spectres imaginaires, la voilà qui en suscite de réels, au point que demain peut-être, nous offrira cet indécent spectacle de civilisés plus terrifiés par les forces de leur technique que ne pouvaient l être les sauvages par les forces de la matière...» La sage utilisation de ce pouvoir exige une vertu bien plus haute que la découverte scientifique. Elle réclame de l homme un renoncement véritable, une limitation de sa volonté de puissance et de sa volonté d être. Pour

4 acquérir de telles vertus, il ne suffit pas que quelques chefs de file en affirment la nécessité. Il faut que chacun en prenne bien conscience. Dans le domaine moral il est facile de voir et de connaître le bien. Le difficile, c est de posséder l élan permettant de le faire. IV. CONCLUSION. Dans son livre : «les deux Sources de la Morale et de la Religion», Bergson écrivait déjà : «Le talent d invention, aidé de la science, avait mis à la disposition de l homme des énergies insoupçonnées. Il s agissait d énergies physicochimiques et d une science qui portait sur la matière. Mais l esprit?»il faut reconnaître, qu accaparée par le monde matériel et sensible, l humanité semble avoir négligé l âme et les réalités spirituelles. Le monde moderne souffre de ce malaise. «Le corps agrandi attend un supplément d âme», poursuit Bergson. Le remède qu il propose pourrait empêcher aux hommes de rendre monstrueux le pouvoir dont la science les dote.

5

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...

Plus en détail

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La

Plus en détail

Loi n 2006-19 du 30 juin 2006 relative aux archives et aux documents administratifs 1 EXPOSE DES MOTIFS

Loi n 2006-19 du 30 juin 2006 relative aux archives et aux documents administratifs 1 EXPOSE DES MOTIFS Loi n 2006-19 du 30 juin 2006 relative aux archives et aux documents administratifs 1 EXPOSE DES MOTIFS La loi n 81-02 du 2 février 1981 relative aux archives constituait une avancée significative au moment

Plus en détail

ISF-INVEST. - article 1 : Constitution et Dénomination. - article 2 : Objet. - article 3 : Siège social. - article 4 : Durée de l association

ISF-INVEST. - article 1 : Constitution et Dénomination. - article 2 : Objet. - article 3 : Siège social. - article 4 : Durée de l association ISF-INVEST Club STATUTS DE L'ASSOCIATION - article 1 : Constitution et Dénomination Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret

Plus en détail

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition SOMMAIRE Chapitre 1 Introduction 9 Chapitre 2 L organisation de l activité bancaire

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

La promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication

La promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13

Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Pascale GARNIER est docteur en sociologie, professeur en sciences de l'éducation à

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère

Plus en détail

Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones

Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Nations Unies Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Résolution adoptée par l Assemblée générale [sans

Plus en détail

RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE

RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

Définition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress

Définition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones

Plus en détail

LES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences.

LES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. LES NOTES D ALTAÏR L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. Altair Think tank culture médias interpelle les parlementaires afin qu ils prennent le temps de la réflexion

Plus en détail

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,

Plus en détail

Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique

Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique D UN SYNTAXE MOT OU D UN GROUPE SYNTAXIQUE 1 Problèmes fréquents Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique Les erreurs d ordre syntaxique contenues dans cet exercice sont multiples

Plus en détail

Qu est-ce qu une œuvre d art?

Qu est-ce qu une œuvre d art? Qu est-ce qu une œuvre d art? Par Simone MANON Professeur de philosophie A) L être œuvre de l œuvre d art. Elle se distingue du simple effet naturel en ce qu elle est le produit d une activité humaine.

Plus en détail

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ Société de Réassurance mutuelle régie par le Code des Assurances Siège Social : 65, rue de Monceau - 75008 PARIS STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ ARTICLE PREMIER - FORMATION -

Plus en détail

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. PENTA Editions Des livres qui résonnent

DOSSIER DE PRESSE. PENTA Editions Des livres qui résonnent DOSSIER DE PRESSE En couverture : Ludwig van Beethoven, impression couleur d après une peinture de Johann Baptist Reiter Beethoven-Haus Bonn Partie de violon de quatuor à cordes op. 135 de Ludwig van Beethoven,

Plus en détail

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 Article 1 Forme Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er

Plus en détail

Le Diplôme d Etudes Supérieures Spécialisées de Droit Notarial de l Université Montesquieu-Bordeaux IV

Le Diplôme d Etudes Supérieures Spécialisées de Droit Notarial de l Université Montesquieu-Bordeaux IV Le Diplôme d Etudes Supérieures Spécialisées de Droit Notarial de l Université Montesquieu-Bordeaux IV sous la direction de M. Philippe DELMAS SAINT-HILAIRE Professeur à l Université Montesquieu-Bordeaux

Plus en détail

Un nouvel humanisme. pour le XXI e siècle. par Irina Bokova. Directrice générale de l UNESCO

Un nouvel humanisme. pour le XXI e siècle. par Irina Bokova. Directrice générale de l UNESCO Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture Un nouvel humanisme pour le XXI e siècle par Irina Bokova Directrice générale de l UNESCO Ce texte est une première contribution

Plus en détail

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.

Plus en détail

Musées et paysages culturels

Musées et paysages culturels La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION ALLIANCE SEP GENÈVE-RÉGION

STATUTS DE L ASSOCIATION ALLIANCE SEP GENÈVE-RÉGION STATUTS DE L ASSOCIATION ALLIANCE SEP GENÈVE-RÉGION I. DISPOSITIONS GENERALES ART. 1 NOM ET SIÈGE Sous le nom «ALLIANCE SEP» une association est constituée à but non lucratif régie par les présents statuts

Plus en détail

Arte Libera STATUTS DE L ASSOCIATION. Une Charte, qui figure en annexe des statuts, précise les principes de l Association.

Arte Libera STATUTS DE L ASSOCIATION. Une Charte, qui figure en annexe des statuts, précise les principes de l Association. Arte Libera STATUTS DE L ASSOCIATION TITRE 1 NOM, SIÈGE, DURÉE, CHARTE, BUT, MOYENS D ACTION Article 1 - Nom, siège, durée L Association Arte Libera sera constituée le 1 er novembre 2002 au sens des articles

Plus en détail

~.~ CSCA CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL

~.~ CSCA CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL ~.~ CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL Le courtier, en raison même de l'importance des intérêts qui lui sont confiés, est tenu de se conformer scrupuleusement aux devoirs que lui imposent

Plus en détail

www.paroisse-motiervully.ch

www.paroisse-motiervully.ch www.paroisse-motiervully.ch État des lieux Déroulement Quel était l objectif de ce projet? Quels moyens ont été mis en œuvre? Et maintenant? Objectif et impulsion Envie de faire quelque chose quelque chose

Plus en détail

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel

Plus en détail

LA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE

LA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE Percy John Harvey LA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE Échantillon des illustrations Presentation_FMEI.indd 1 20/09/13 14:54:55 La cérémonie d initiation n est pas une opération magique qui transformerait

Plus en détail

CODE CIVIL FRANÇAIS (ANTERIEUR A 1960)

CODE CIVIL FRANÇAIS (ANTERIEUR A 1960) CODE CIVIL FRANÇAIS (ANTERIEUR A 1960) ARTICLES 1874 À 1914 DU PRÊT Téléchargé sur Le premier portail consacré au droit des affaires à Madagascar TITRE DIXIEME Du prêt Art. 1874 - Il y a deux sortes de

Plus en détail

Fonds photographique de l'inventaire du patrimoine en Alsace : page 2 Inventaires topographiques en Alsace : page 4

Fonds photographique de l'inventaire du patrimoine en Alsace : page 2 Inventaires topographiques en Alsace : page 4 Fonds photographique de l'inventaire du patrimoine en Alsace : page 2 Inventaires topographiques en Alsace : page 4 Page 1 Fonds photographique de l'inventaire du patrimoine en Alsace Cette collection

Plus en détail

II.C.1)a) LA RESPONSABILITE

II.C.1)a) LA RESPONSABILITE Deux types de responsabilité : 1) Contractuelle (source obligation : contrat) 2) Délictuelle (source obligation : loi) 1 La responsabilité contractuelle = en cas d inexécution fautive d une obligation

Plus en détail

COMPLÉMENT DE PROGRAMME

COMPLÉMENT DE PROGRAMME COMPLÉMENT DE PROGRAMME DANSE-TOI DE D LÀ! Jean et Geneviève pratiquent la danse contemporaine avec poésie et inspiration. Encouragée par son chum et agent Fred, Marie-Claire anime des bingos avec ses

Plus en détail

REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880

REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière

Plus en détail

Section 3. Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication

Section 3. Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication SECTION 3 : ADMINISTRATION CENTRALE Titre de la procédure: Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication Politique : En vertu de la politique 3.1 : Relations : La direction

Plus en détail

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était

Plus en détail

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. «Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION 2015 Talent Suite

PROGRAMME DE FORMATION 2015 Talent Suite PROGRAMME DE FORMATION 2015 Talent Suite Janvier 2015 4, Rte de Lavaux CH1095 Lutry wave@piman.ch +41 21 791 61 77 www.piman.ch www.savilleconsulting.com Offre de formation continue Wave PIMAN D. Held,

Plus en détail

Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants

Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants Présentation du livre Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants 17 X 23 cm, 100 pages, 2014, 12 Pourquoi un livre sur le jeu? Parce que jouer est un droit fondamental de l'enfant,

Plus en détail

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale

Plus en détail

Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement.

Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement. Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement. Avant même leur rapprochement, XL et Catlin étaient deux sociétés solides, très innovantes. Ensemble, nous sommes

Plus en détail

GRANDE LOGE FÉMININE DE FRANCE

GRANDE LOGE FÉMININE DE FRANCE GRANDE LOGE FÉMININE DE FRANCE D O S S I E R D E P R E S S E Présentation Une histoire inscrite dans la tradition maçonnique La promotion de valeurs de progrès L expression de la parole des femmes Une

Plus en détail

CIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives

CIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives CIRCULAIRE CONJOINTE Ministère de l éducation nationale Ministère de la défense Ministère de l éducation nationale Direction de l enseignement scolaire Ministère de la défense Direction de la mémoire,

Plus en détail

Déclaration universelle des droits de l'homme

Déclaration universelle des droits de l'homme Déclaration universelle des droits de l'homme Préambule Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue

Plus en détail

DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME ONU - 10 Décembre 1948. Texte intégral

DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME ONU - 10 Décembre 1948. Texte intégral DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME ONU - 10 Décembre 1948 Texte intégral Préambule : Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de

Plus en détail

Programme d'assistance Financiere de la FIFA (FAP) et prime de resultat financier 2011-2014: Reglement et directives administratives pour 2015

Programme d'assistance Financiere de la FIFA (FAP) et prime de resultat financier 2011-2014: Reglement et directives administratives pour 2015 FIF4 For the Game. For the World. A I'attention des associations membres de la FIFA Circulaire n 1463 Zurich, le 19 decembre 2014 SG/clo-csu-nsa Programme d'assistance Financiere de la FIFA (FAP) et prime

Plus en détail

Qu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français

Qu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français AVANT-PROPOS Qu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français dans le cadre d une recherche avancée.

Plus en détail

Statuts CODALIMENT CODALIMENT

Statuts CODALIMENT CODALIMENT Statuts CODALIMENT CODALIMENT 30 avenue Franklin Roosevelt 75 008 Paris Tél : 01.55.65.04.00 Fax : 01.55.65.10.12 Mail : codaliment@codinf.fr Association Loi 1901 N TVA CEE : FR 42 398 222 646 2 COMITE

Plus en détail

Grande Loge Féminine de France

Grande Loge Féminine de France ... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Paris, le 12 janvier 2012 Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011 relative au Défenseur des

Plus en détail

Demande d'ouverture de Compte d'epargne Logement

Demande d'ouverture de Compte d'epargne Logement Gérer son patrimoine Demande d'ouverture de Compte d'epargne Logement axabanque.fr Mme Mlle M. Exemplaire AXA BANQUE / : / : Mme Mlle M. Exemplaire CLIENT / : / : Mme Mlle M. Exemplaire INTERLOCUTEUR AXA

Plus en détail

Statuts. Article 1 er Fondation. Article 2 Buts

Statuts. Article 1 er Fondation. Article 2 Buts Statuts Article 1 er Fondation Il est fondé entre membres de la diaspora congolaise en Suisse et amis du Congo, adhérents aux présents statuts une association sans but lucratif ayant pour nom Elengo. L

Plus en détail

Lic. Pro Assurance, banque, finance / Développement et gestion des clientèles professionnelles

Lic. Pro Assurance, banque, finance / Développement et gestion des clientèles professionnelles Nombre de diplômés 101 Nombre de répondants 85 Situation au 01/12/11 En emploi 81 En études 2 Recherche d'emploi 2 85 Activités de services administratifs et de soutien Chargé de mission Charge de la gestion

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

THEME : LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION A LA GARDE DE SECURITE PENITENTIAIRE

THEME : LES ENJEUX DE LA COMMUNICATION A LA GARDE DE SECURITE PENITENTIAIRE MINISTERE DE L ADMINISTRATION TERRITORIALE, BURKINA FASO DE LA DECENTRALISATION ET DE LA SECURITE ********* ************ Unité-Progrès-Justice SECRETARIAT GENERAL ************ DIRECTION DE L ECOLE NATIONALE

Plus en détail

LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée

LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée (JO n 4984 p. 13) L assemblée nationale à délibéré et adopté, Le président de la république promulgue la loi dont la teneur suit

Plus en détail

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE 1 COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE Christiane SEYDOU : «Comment définir le genre épique? Un exemple : l épopée africaine» in JASO Journal of the Anthroplogical Society

Plus en détail

TABLE DE MATIERE : http://www.oneorzero.com/ 1. INTRODUCTION :... 2 2. PAGE D ACCUEIL :... 3 3. OPTIONS DES TICKETS :... 4 4. FAQ OPTION :...

TABLE DE MATIERE : http://www.oneorzero.com/ 1. INTRODUCTION :... 2 2. PAGE D ACCUEIL :... 3 3. OPTIONS DES TICKETS :... 4 4. FAQ OPTION :... UTILISATION DU HELPDESK DE «ONE OR ZERO» http://www.oneorzero.com/ TABLE DE MATIERE : 1. INTRODUCTION :... 2 2. PAGE D ACCUEIL :... 3 3. OPTIONS DES TICKETS :... 4 A) CRÉER UN TICKET :... 4 B) MES TICKETS

Plus en détail

LES DROITS DE LA PERSONNALITE

LES DROITS DE LA PERSONNALITE UNIVERSITE Faculté de Droit et de Science Politique Laboratoire de droit privé et de sciences criminelles ANTLPPAS LES DROITS DE LA PERSONNALITE DE L'EXTENSION AU DROIT ADMINISTRATIF D'UNE THÉORIE FONDAMENTALE

Plus en détail

Procuration et compte conjoint

Procuration et compte conjoint Procuration et compte conjoint Ce qu il faut savoir Table des matières La procuration... 04 Qu est-ce qu une procuration?... 04 Quels types de procurations sont utilisés au Canada?... 06 Le choix du mandataire...

Plus en détail

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité

Plus en détail

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?

Plus en détail

Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte.

Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte. Siemens Suisse SA Freilagerstrasse 40 8047 Zurich Suisse A1T334-A234-1-77 Sous réserve de modification Siemens Suisse SA, 2012 Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte. Siemens Generation21

Plus en détail

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à : Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du

Plus en détail

La responsabilité des directeurs d unité

La responsabilité des directeurs d unité 9 mai 2012 - Journée des administrateurs et responsables des laboratoires de l INSIS La responsabilité des directeurs d unité Direction des affaires juridiques CNRS/DAJ/MF l 9 mai 2012 Journée INSIS P.

Plus en détail

Cour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses

Cour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses Cour européenne des droits de l homme Questions & Réponses Questions & Réponses Qu est-ce que la Cour européenne des droits de l homme? Ces questions et réponses ont été préparées par le Greffe de la Cour.

Plus en détail

625, rue St-Amable Québec (Québec) G1R 2G5. AVENANT - COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ DU MANITOBA (CRI-Manitoba)

625, rue St-Amable Québec (Québec) G1R 2G5. AVENANT - COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ DU MANITOBA (CRI-Manitoba) 625, rue St-Amable Québec (Québec) G1R 2G5 AVENANT - COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ DU MANITOBA (CRI-Manitoba) Nature de l avenant Le présent avenant ne s applique qu au preneur pour lequel des prestations

Plus en détail

GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL -

GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL - GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL - ASSUREURS **-** MGARD - Société anonyme au capital de 11 000 000. Entreprise

Plus en détail

La vie, la liberté et le plaisir de conduire en toute quiétude.

La vie, la liberté et le plaisir de conduire en toute quiétude. La vie, la liberté et le plaisir de conduire en toute quiétude. Pourquoi opter pour des produits de supplémentaires? Afin de bénéficier d une plus complète pour vous, votre famille et, bien sûr, votre

Plus en détail

L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION :

L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION : CHRONIQUE 88. L ENTREPRISE FACE A SA RESPONSABILITE FORMATIVE APRES LA REFORME DE LA FORMATION : Bonne foi contractuelle, Co-investissement, fin de la logique fiscale «d imputabilité», pilotage stratégique,

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...

Plus en détail

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne Une nouvelle muséologie pour le musée moderne André Desvallées, dir., Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie André Desvallées, dans cet extrait de Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie

Plus en détail

au monde alors que l homme déraisonnable pensait que le monde devait s adapter à lui, ce

au monde alors que l homme déraisonnable pensait que le monde devait s adapter à lui, ce «Shaw disait que l homme raisonnable était celui qui savait qu il fallait s adapter au monde alors que l homme déraisonnable pensait que le monde devait s adapter à lui, ce qui faisait que le monde appartenait

Plus en détail

Se porter caution : un engagement financier

Se porter caution : un engagement financier AVRIL 2014 N 19 CRÉDIT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Se porter caution : un engagement financier Ce mini-guide vous est offert par :

Plus en détail

STATUTS DE PATRIMOINE SUISSE SECTION DU VALAIS ROMAND

STATUTS DE PATRIMOINE SUISSE SECTION DU VALAIS ROMAND PATRIMOINE SUISSE SECTION DU VALAIS ROMAND STATUTS DE PATRIMOINE SUISSE SECTION DU VALAIS ROMAND I. BUTS Art. 1 Sous le nom de PATRIMOINE SUISSE, section du Valais romand, il est constitué à Sion une association

Plus en détail

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis

Plus en détail

HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007

HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007 Sciences sociales et humaines- MESOJ- ISSN 2109-9618- (2010) Volume 1 No 3 HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007 Sciences sociales et humaines : Livre : HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A

Plus en détail

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme, Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels

Plus en détail

LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS

LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS DOSSIER D INFORMATION N 4 LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS INTRODUCTION Les festivals d arts visent à célébrer la richesse et la diversité des cultures dans le monde en réunissant des

Plus en détail

Status de la banque des états de l Afrique Centrale

Status de la banque des états de l Afrique Centrale Status de la banque des états de l Afrique Centrale T I T R E I CONSTITUTION - STATUT JURIDIQUE Article premier La Banque des Etats de l Afrique Centrale (ci-après désignée la Banque) est un établissement

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

5 éléments clés pour 100% d efficacité business en 2014!

5 éléments clés pour 100% d efficacité business en 2014! Proposition d atelier pour les Rencontres Régionales du 31 jan 2014 5 éléments clés pour 100% d efficacité business en 2014! Résumé : Force est de constater que les dirigeants de TPE/PME exploitent insuffisamment

Plus en détail

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION

Plus en détail

DONNER DE L ÉLAN DROIT. Sciences sociales UNIVERSITÉ DE POITIERS. >> Faites confiance à l Université pour la formation des talents de demain.

DONNER DE L ÉLAN DROIT. Sciences sociales UNIVERSITÉ DE POITIERS. >> Faites confiance à l Université pour la formation des talents de demain. DROIT DONNER DE L ÉLAN >> Faites confiance à l Université pour la formation des talents de demain. La taxe d apprentissage vous permet de participer à la formation professionnelle de vos futurs collaborateurs.

Plus en détail

Conditions générales d assurance pour les assurances de crédit de fabrication pour les crédits aux sous-traitants CGA FA-ST

Conditions générales d assurance pour les assurances de crédit de fabrication pour les crédits aux sous-traitants CGA FA-ST Conditions générales d assurance pour les assurances de crédit de fabrication pour les crédits aux sous-traitants CGA FA-ST Valables à partir du 31 mars 2012 (Version 2.1/2012) Table des matières 1 Objet

Plus en détail

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 fixant les modalités d organisation et de fonctionnement des Agences régionales de Développement. RAPPORT DE PRESENTATION En application

Plus en détail

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux new 3 12 2014 CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux est la déclinaison suisse du célèbre magazine français lancé en 1968. Alors précurseur sur la cible des 50 ans et plus, il est aujourd hui le

Plus en détail

Président(e) : qui êtes-vous et que faites-vous? (Juin 2012)

Président(e) : qui êtes-vous et que faites-vous? (Juin 2012) Président(e) : qui êtes-vous et que faites-vous? (Juin 2012) Sans président, l association est en danger. Homme ou femme, le président est avant tout la personne qui représente physiquement l association.

Plus en détail

Règlement intérieur du Conseil d administration

Règlement intérieur du Conseil d administration Règlement intérieur du Conseil d administration Le présent règlement intérieur a été adopté par le Conseil d administration à sa première session, le 14 décembre 1977. À sa cinquante-quatrième session,

Plus en détail

Editions Mamamélis. c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com

Editions Mamamélis. c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com Catalogue Editions Mamamélis c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com Les éditions Mamamélis ont vu le jour avec et pour des livres sur la santé

Plus en détail

Traité de sociologie du travail

Traité de sociologie du travail Traité de sociologie du travail Georges Friedmann, Pierre Naville pp.11-25 + 44-47 Qu est ce que le travail Le travail est considéré comme un trait spécifique de l espèce humaine. Il est ainsi un dénominateur

Plus en détail

LE POUVOIR DE LA PENSÉE PAR LE YOGA & LA MÉDITATION. Hossegor, Landes DU 17 AU 20 SEPTEMBRE 2015

LE POUVOIR DE LA PENSÉE PAR LE YOGA & LA MÉDITATION. Hossegor, Landes DU 17 AU 20 SEPTEMBRE 2015 LE POUVOIR DE LA PENSÉE PAR LE YOGA & LA MÉDITATION Hossegor, Landes DU 17 AU 20 SEPTEMBRE 2015 Un beau week end en perspective Au plaisir de vous enseigner dans la joie et l amour. Lieu: Lo Rey du Lac

Plus en détail

Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?

Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,

Plus en détail