L utilisation de la distraction Aux urgences pédiatriques
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- Denis Doré
- il y a 8 ans
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1 PROJET PROFESSIONNEL L utilisation de la distraction Aux urgences pédiatriques Copyright Association SPARADRAP -- Distraction des enfants lors des soins FRERY Émilie École de Puéricultrices Année 2012
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3 Remerciements Je tiens dans un premier temps à remercier Madame Véronique Sarda, Formatrice à l IFRASS, pour sa disponibilité, ses idées et ses conseils, ainsi que pour son aide précieuse au cours de cette année. Je tiens à remercier Madame Chantal Borde, Directrice du pôle Petite Enfance à l IFRASS, pour son aide et ses précieux conseils. Je remercie Madame Catherine Samat, Documentaliste à l IFRASS, de m avoir accompagnée dans mes recherches bibliographiques. J aimerais adresser un remerciement particulier au personnel du service des urgences pédiatriques pour leur accueil, pour avoir mis à ma disposition l ensemble des informations nécessaire à la bonne réalisation de ce travail et pour leur participation à mes entretiens exploratoires. Ces remerciements ne seraient pas complets sans une pensée pour d anciennes collègues et amies, qui ont su m aider et m encourager. Un immense merci à Myriam qui a eu la gentillesse de lire et corriger ce travail. Mes dernières pensées iront vers ma famille, qui m aura soutenu et encouragé tout au long de cette année d étude.
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5 «Le droit aux meilleurs soins possibles est un droit fondamental, particulièrement pour les enfants» Unesco «La distraction tient à une grande passion où à une grande insensibilité.» Antoine Rivaroli, dit comte de Rivarol
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7 SOMMAIRE INTRODUCTION 1 LE CONSTAT ET LA QUESTION DE DÉPART 4 LE CADRE EXPLORATOIRE 7 1. LE CONTEXTE 8 2. LA REVUE DE LITTERATURE L ENFANT SON DEVELOPPEMENT PSYCHO-AFFECTIF SON DEVELOPPEMENT INTELLECTUEL SON DEVELOPPEMENT MOTEUR LES BESOINS PSYCHOSOCIAUX DE L ENFANT LES PARENTS : PARTENAIRES DU SOIN LES SOIGNANTS LE POSITIONNEMENT DE CHAQUE PROFESSIONNEL LA COLLABORATION AU SEIN DU BINOME LE SOIN LE SOIN RELATIONNEL LE SOIN TECHNIQUE LE SOIN EDUCATIF LA DOULEUR L INQUIETUDE GENEREE PAR LES SOINS LA DISTRACTION DEFINITION LES DIFFERENTES TECHNIQUES LES OBJECTIFS LES ENTRETIENS EXPLORATOIRES PRESENTATION DES SOIGNANTS INTERROGES METHODOLOGIE DE L ENQUETE ANALYSE DES ENTRETIENS SYNTHESE DE L ANALYSE 39 LA QUESTION DE RECHERCHE ET LE CADRE CONCEPTUEL LE CONCEPT DE PRENDRE SOIN LE CONCEPT DE COMMUNICATION 45 LA PROBLÉMATIQUE ET LES HYPOTHÈSES 48 CONCLUSION 50 BIBLIOGRAPHIE 52 ANNEXES 56
8 INTRODUCTION
9 En France, un enfant sur deux est hospitalisé avant l'âge de 15 ans. Pour ces enfants et leurs parents, un séjour à l'hôpital ou une simple visite sont souvent synonyme de crainte et de détresse, pouvant parfois entrainer des problèmes d acceptation des soins. Par ailleurs, bien que les soins n entraînent pas tous une douleur, ils procurent pour la plupart une angoisse. Dans un contexte d humanisation et de qualité des soins, ce problème de santé publique est de plus en plus pris en compte. Différentes associations traitent du sujet et des moyens qui peuvent être mis en place pour répondre à ce problème de société. L association Pediadol est impliquée depuis de nombreuses années autour de la prise en charge de la douleur de l enfant, pour changer les pratiques soignantes. A ce titre, chaque année, des journées nationales sont organisées, avec de nombreux apports, tant théoriques que pratiques, notamment sur les méthodes distractives. Par ailleurs, une association visant au mieux-être des enfants malade hospitalisés, l association Sparadrap a organisé un concours national ouvert aux professionnels de santé, sous le patronage du Ministère de la Santé et de la Jeunesse. Les objectifs de ce concours étaient de promouvoir l utilisation des moyens de distraction dans la prise en charge de la douleur de l enfant et de valoriser les initiatives des professionnels de santé pour améliorer la prise en charge des enfants lors d examens inquiétants ou de soins douloureux. Cette association a également réalisé un film de formation sur le sujet intitulé «A vous de jouer! La distraction des enfants lors des soins», également parrainé par le Ministère de la Santé. Dans le cadre de ma spécialisation en vue de l obtention du Diplôme d État de Puéricultrice et face à ce problème majeur, je me suis interrogée sur ce qui pourrait modifier le vécu de l enfant vis-à-vis d une hospitalisation. Ainsi, j ai choisi d élaborer ma réflexion personnelle autour de la place de la distraction pendant les soins dans le but de diminuer la douleur et le stress induit par ces derniers et aussi pour dédramatiser les différents événements, ainsi que la perception et le souvenir que l enfant en gardera. Pour étudier ce sujet, j exposerai d abord le cheminement qui m a amené à ma question de départ. Je développerai ensuite mon cadre exploratoire dans lequel j exposerai le contexte de mon sujet d étude. Je présenterai également les lectures qui permettent de définir les mots-clés de 2
10 ma question de départ : l enfant, ses parents, les soignants, le soin et la distraction à l Hôpital. Je continuerai par l analyse des entretiens exploratoires qui apporteront la réalité de terrain. Ensuite, je présenterai ma question de recherche qui sera l évolution de ma question de départ suite à l exploration de celle-ci. Cette nouvelle question sera le préalable à mon cadre conceptuel dans lequel je vais aborder la notion de «prendre soin» et celle de «communication». Pour conclure, j exposerai les différentes problématiques en lien avec mon sujet et une hypothèse de travail qui en émane. 3
11 LE CONSTAT ET LA QUESTION DE DÉPART
12 Au cours de mon expérience professionnelle, j ai eu l occasion d observer différentes façons d aborder les enfants lors de la réalisation des soins. En effet, lors de mon exercice professionnel en onco-hématologie pédiatrique, j ai été confrontée à différentes situations où l enfant soigné appréhendait les soins, quels qu ils soient. J ai pu constater que pleurs et appréhension pouvaient se transformer en sourire et joie lorsque j utilisais un moyen de distraction (jeux, TV, contes, chansons, clown, aménagement de la salle de soin) afin d attirer l attention de l enfant vers une activité lui apportant plus de plaisir que la situation de soin. Ainsi, j ai choisi d élaborer ma réflexion professionnelle autour de la question de l intérêt d utiliser des méthodes distractives au cours des soins douloureux, inquiétants ou impressionnants. Constat Par exemple, j ai pris en charge à plusieurs reprises un enfant de 4 ans, Thomas, pour la pose d un gripper sur sa chambre implantable. Les soins se déroulent à chaque fois avec la présence de sa maman. Thomas connait ce soin et son déroulement car il est répété régulièrement. Toutefois, au moment de l installation pour le soin, Thomas pleure, refuse tout contact et entre en opposition en se débattant. Il se met dans un état d anxiété important malgré qu il ait eu un patch anesthésiant sur le point de ponction, sa maman pour le rassurer, son doudou et mes explications. Il est alors nécessaire de le contenir fermement pour réaliser le soin. Après discussion avec Thomas et sa maman, j apprends qu il aime regarder le dessin animé Tchoupi. De ce fait, lors d une pose de gripper ultérieure, je réalise ce soin dans sa chambre, avec, en plus des moyens utilisés précédemment, un DVD de son dessin-animé favori qui passe à la télévision. Lors de ce soin, Thomas était concentré sur l aventure de son héros préféré. Il a donc laissé faire le soin sans montrer de signe d opposition ou d anxiété. 5
13 Question de départ Par le biais de ce travail de recherche, je souhaite me positionner en tant que future professionnelle de la petite enfance. Pour moi, il est important de prendre soin du patient et de ne pas faire uniquement l acte technique, hormis dans le cas d une urgence vitale. Ayant pour projet professionnel de travailler en service d urgences pédiatrique, je souhaite découvrir si la distraction peut être réalisable et si elle peut faciliter les soins dans ce service. Par conséquent, je m intéresse à la question de la prise en charge d un enfant lors de la réalisation de soins infirmiers en tant que puéricultrice aux urgences pédiatriques. Je pose ma question de départ dans les termes suivants : En quoi la distraction peut-elle être un outil de soins pour la puéricultrice aux urgences pédiatriques? 6
14 LE CADRE EXPLORATOIRE
15 1. Le contexte Je choisis d orienter mes recherches dans le cadre de soins réalisés à l hôpital, plus précisément au service des urgences pédiatriques du CHU de Toulouse. Ce service accueille des enfants de la naissance à l âge de 15 ans. Il se divise en différents secteurs selon les problèmes médicaux des enfants : consultations médicales, consultations chirurgicales, zone d hospitalisation de courte durée et déchoquage. L unité compte environ 100 passages par jour mais la fréquentation est en constante augmentation (environ + 10% entre 2010 et 2011). Toutefois la répartition des besoins restent stables : les soins externes représentent 75% de l activité contre 25% pour les hospitalisations. 1 Le personnel paramédical se compose d infirmiers 2, de puériculteurs 3 et d auxiliaire de puériculture. Enfin, il n existe pas de projet spécifique sur la distraction lors des soins dans cette unité. Toutefois, de ce que j ai pu voir au cours de mon stage, le personnel l utilise régulièrement. A son arrivée, chaque enfant est d abord pris en charge par un Infirmier d Accueil et d Orientation (IAO). Celui-ci accueille l enfant et son accompagnant, identifie la demande et le besoin de soins, évalue son état (prise des paramètres, douleur), réalise les premiers soins (administration d antalgique selon protocole du service, pansements légers ) et oriente sur le secteur adapté aux besoins de l enfant et du degré d urgence. L enfant est ensuite pris en charge par l infirmier en poste sur le secteur concerné, en collaboration avec le médecin et éventuellement une auxiliaire de puériculture. Je m interroge sur la prise en charge lors des différents soins auxquels peuvent être confrontés les enfants au long de leur parcours aux urgences, qu ils soient douloureux, inquiétants ou impressionnants. 1 Cf. Annexe A : Fréquentation du service des urgences pédiatriques du CHU de Toulouse 2 Lire partout : infirmier/infirmière 3 Lire partout : puériculteur/puéricultrice 8
16 2. La revue de littérature 2.1. L enfant L enfant est défini comme «garçon ou fille dans l âge de l enfance» 4 en sachant que l enfance est «la période de la vie humaine, de la naissance à l adolescence» 5. Afin de comprendre l enfant, il importe de développer avec lui une approche globale qui tient compte de son intégrité comme personne humaine. Il est donc nécessaire de connaitre les différents stades de développement par lesquels il passe puisque des besoins et désirs différents en découlent. Le développement psycho-affectif de l enfant est étroitement lié au développement moteur par des interactions complexes. Il faut donc considérer le développement de l enfant dans sa globalité Son développement psycho-affectif Le développement psycho-affectif est un processus de structuration et de maturation psychique par lequel l enfant passe de la dépendance totale au niveau adulte. A travers leurs travaux de recherches en psychologie, J. Piaget et S. Freud, ont reconnu l importance de la petite enfance, de l enfance et de l adolescence dans la structuration de l individu. De nombreux autres psychologues, comme D.W. Winnicott, J. Bowlby ou M. Klein, ont aussi étudié l enfant. Le théoricien S. Freud a décrit plusieurs stades de développement psycho-affectifs. Selon lui, le corps a une grande importance dans la construction de la personnalité. La théorie freudienne se déploie en cinq phases libidinales qui vont évoluer en même temps que l individu. De la naissance à un an, il est question du stade oral. Cette étape constitue l organisation psychique du premier lien. La zone orale est prédominante, elle est la principale source de plaisir de l enfant. 4 VINCIGUERRA, M., Dictionnaire le petit Larousse compact, Larousse, Paris, 2002, p Ibid., p.380 9
17 Ensuite, entre 1 et 3 ans environ, l enfant entre progressivement dans la phase anale. Pendant cette phase, liée au plaisir de contrôler ses voies d excrétion, il est question des notions de contrôle, de pouvoir, d opposition et d échange. Viennent ensuite le stade phallique de 3 à 6 ans pendant lequel le complexe d Œdipe intervient puis la phase de latence de 6 ans à la préadolescence. Cette latence correspond au déclin du complexe d'œdipe. D autres périodes spécifiques ont été proposées par d autres auteurs tels que M. Klein, D.W. Winnicot, R. Spitz mais elles s intègrent pour la plupart aux stades du développement décrits par Freud. Si Freud pense que le développement affectif est lié au développement physique, Bowlby dit que les besoins affectifs sont présents dès l origine. Ainsi, il définit l attachement comme tout comportement qui favorise le contact ou la proximité d un jeune enfant avec sa mère, afin de répondre au besoin de sécurité de l enfant. Pour lui, le comportement d attachement est inné. Il distingue les enfants selon leur type d attachement : secure, insecure ou ambivalent. Ce comportement d attachement évolue au fil du développement de ses moyens d expression. Il s agit donc d un facteur clef de la socialisation Son développement intellectuel L enfant fait chaque jour de nouvelles acquisitions à travers son développement cognitif. Il évolue et se construit en périodes successives afin de s adapter à son milieu. Le développement intellectuel de l enfant est décrit à travers différentes étapes par J. Piaget. La première étape est le stade sensorimoteur (jusqu à 2 ans), il aboutit à la construction de conduites de plus en plus structurées et complexes à partir de réflexes simples et d'habitudes acquises. Le corps revêt une extrême importance. Ce stade se caractérise par la présence continue des personnes ou des personnes de relation, par la création d un environnement rassurant et l utilisation de l objet transitionnel. La période suivante est le stade pré-opérationnel (2 à 7 ans). Cette étape se caractérise par l'arrivée des notions de quantité, d'espace, de temps, de la fonction symbolique, du langage, etc... La pensée de l'enfant se constitue en tant qu'intelligence représentative et n'englobe pas encore les opérations réversibles. La vie imaginaire tient une grande place, les enfants jouent 10
18 à des situations de la vie (jouer au docteur ). Par ailleurs, ils ont une crainte de la séparation et de la mutilation corporelle. Les deux derniers cycles sont le stade opérationnel concret (7 à 11 ans) et le stade opérationnel formel (12 à 15 ans). Ils correspondent au développement de la pensée logique et à une moindre dépendance aux parents Son développement moteur Il correspond à l acquisition progressive des mouvements, de la coordination et témoigne de la maturation progressive du système nerveux central. La motricité évolue et se complexifie au fil de la croissance de l enfant, le développement n est pas continu ni uniforme. Même si l ordre d apparition des comportements est semblable pour tous les enfants, le rythme de développement diffère d un enfant à l autre. Cette progression peut se traduire par des évolutions rapides mais aussi par des stagnations ou même un déclin puis le développement peut continuer. À la naissance, le nouveau-né présente des réflexes archaïques et donc involontaires. Hormis le réflexe de succion, tous les réflexes vont disparaitre avec la maturation du système nerveux central. Les conduites motrices sont soumises aux lois de différenciation, de variabilité et de succession. Au départ, le bébé a une motricité globale dont les actions sont généralisées à la totalité du corps puis il passe par de nombreux enchainements pour parvenir à élaborer des mouvements volontaires, précis, organisés et efficaces. L action motrice se développe selon une succession de redressements, de maintiens, d enchaînements et de déplacements qui sont régis par deux lois fondamentales. Le développement céphalo-caudal s effectue du haut vers le bas du corps et permet à l enfant de réaliser une série d étapes dans la coordination statique. La loi de progression proximodistale traduit le développement des mouvements en partant du centre du corps jusqu aux extrémités des membres. De ce fait, elle amène progressivement à une coordination fine. Par ailleurs, différents facteurs extérieurs tels que l environnement familial et la vie relationnelle influencent l activité motrice. Les parents doivent donc offrir à leur enfant un milieu adapté à ses besoins, lui assurer sa sécurité affective et respecter son rythme. 11
19 Pour faciliter la compréhension, j ai choisi de réaliser un tableau récapitulatif du développement moteur de l enfant en fonction de l âge, bien que le rythme dépende de chacun. De 0 à 1 mois - Réflexes archaïques - Hypotonie axiale, hypertonie des membres en flexion De 1 à 5 mois - Tonicité musculaire - Mouvements involontaires De 6 mois à 2 ans - Préhension volontaire - Déplacements volontaires De 2 à 3 ans - Maîtrise encore mal ses mouvements. - Commence à enchaîner et associer des gestes différents. - Manipule beaucoup de petits objets, il est capable d utiliser un crayon. - Monte normalement les escaliers mais descend encore marche par marche. - Difficulté à ralentir sa course, à changer de direction, à accélérer, à associer différentes vitesses (passe souvent par l arrêt). De 3 à 4 ans - Passe de la marche à la course en un mouvement plus ou moins enchaîné. - Peut marcher sur la pointe des pieds. - Apparition du sens de l équilibre (mouvement compensateur). - Ses gestes et mouvements sont plus habiles et rapides. - Acquisition en cours : boutonner, déboutonner, visser, dévisser, découper suivant un trait, marcher à reculons, faire des sauts avec détente. - Commence à être capable de gestes dissociés. De 4 à 6 ans - Bondit, saute, se balance. - Peut tenir sur un pied pendant une courte durée. - Peut attraper un ballon. - Descend un escalier normalement. - Peut rester immobile. - Devient capable de gestes précis et adaptés : peut frapper sur un clou, scier et couper. De 6 à 8 ans - Fait des gestes de plus en plus précis. De 8 à 12 ans - La coordination des mouvements est en fin d acquisition. - L équilibre s assure. - L attention peut être soutenue. - L immobilité voulue devient possible pendant un assez long moment. Après 12 ans - Comportement moteur maladroit, allure gauche et empruntée, - Réapparition fréquente de mouvements parasites, de petits signes d incoordination 12
20 Les besoins psychosociaux de l enfant La prise en charge efficiente d un enfant passe par la prise en compte de ses besoins dans les dimensions affectives, cognitives et sociales. D ailleurs, la Charte Européenne des Droits de l Enfant Hospitalisé 6 y fait référence. Tout enfant a des besoins émotionnels qui doivent être satisfaits dès sa naissance et qui devront être satisfaits jusqu au cours de l âge adulte. Ces besoins et leur satisfaction varient en fonction du stade de développement. Il est donc important de connaitre ces besoins afin de les satisfaire du mieux possible. En effet, un enfant dont les besoins ne sont pas comblés va chercher à les satisfaire par un autre moyen. Dans ce cas, il adoptera souvent un comportement inapproprié (pleurs, colères, cris...). Dans le cas d un enfant dont les besoins sont satisfaits, celui-ci se sent bien intérieurement, et adopte de fait des comportements plus adaptés et coopère bien plus facilement. Mia Keller Pringle a décrit quatre besoins de base : la besoin d amour et de sécurité, le besoin de nouvelles expériences, le besoin d éloge et d estime et le besoin de responsabilité. Plusieurs d entre eux sont impactés lors d une consultation ou hospitalisation en urgence. D abord, l enfant a besoin d amour et de sécurité. Sa satisfaction permettra la réalisation de son identité personnelle et l acquisition d une maîtrise de soi. A ce titre, la présence de figures d attachement (parents, doudou) est indispensable pour offrir un environnement sécurisant. Par ailleurs, les rapports à l enfant doivent être tendres et attentifs. Les soignants devront être dans une disponibilité affective et devront adopter une attitude d encouragement et de valorisation. Il est nécessaire de sécuriser l enfant par le contact physique (bercer, masser ), en le rassurant et en l informant : se présenter, expliquer Si ce besoin de sécurité affective et physique n est pas satisfait, l enfant pourra présenter un état de protestations, de pleurs, de colère ou de stress. Le besoin d éloge et d estime est également touché et agit sur la confiance en soi de l enfant. Pour franchir les obstacles qu il rencontre, l enfant est particulièrement sensible aux encouragements des adultes. Le soignant doit donc avoir une attitude positive et optimiste et 6 Cf. Annexe B : Charte Européenne des Droits de l Enfant Hospitalisé 13
21 valoriser au maximum l enfant, quel que soit le résultat. Sans ces encouragements, l enfant aura un sentiment d échec et ne persévèrera pas Les parents : partenaires du soin «Pour accueillir l enfant et sa famille dans un service de pédiatrie, il est nécessaire de construire un partenariat entre les parents et les professionnels. Ces derniers doivent être à l écoute et s adapter à chaque situation.» 7 Lors d une hospitalisation, les besoins psycho-affectifs de l enfant sont perturbés, il est donc nécessaire de lui apporter un sentiment de continuité au travers du lien d attachement qu il partage avec ses proches. En effet, cette source d insécurité qu est l hospitalisation ne peut être apaisée que par ses parents. La présence des parents au côté de leur enfant hospitalisé s est imposée petit à petit depuis le début des années quatre-vingt. Deux articles de la «Charte Européenne des Droits de l Enfant Hospitalisé» précise le droit des enfants à avoir leurs parents auprès d eux pendant leur hospitalisation. Cette présence parentale peut faciliter la prise en charge de l enfant soigné si les parents sont rendus acteurs. Selon Didier Cohen-Salmon, «si les parents sont présents, il convient de leur proposer un rôle actif : caresser, tenir la main de l enfant, compter ou chanter avec lui, l aider à souffler des bulles» 8. Les parents doivent comprendre quel rôle et quelle place ils peuvent avoir pendant le soin, leur présence doit être encadrée. Ils doivent avoir une posture soutenante pour leur enfant et ne sont pas là pour aider le soignant à assurer la contention de l enfant. L information a aussi un grand rôle. «L information doit être double : du médecin et de l équipe soignante vers les parents et des parents vers le médecin et l équipe soignante» 9. 7 BOURDES, D., Le rôle du cadre de santé et la place des parents en pédiatrie, In Soins pédiatrie/puériculture, février 2008, n 240, p.41 8 COHEN-SALMON, D., Utilisation des techniques de distraction et de jeu lors des douleurs aiguës provoquées par les soins chez l enfant, p.9 [en ligne] 9 ERNOULT, A., Les parents, acteurs du lien entre tous les intervenants, à l intérieur et à l extérieur de l hôpital, In Parents d enfants hospitalisés : visiteurs ou partenaires?, Sparadrap, Paris, 2004, p.62 14
22 Il est donc nécessaire de faciliter la compréhension des parents en expliquant les soins de façon pertinente. «Plus la compréhension des parents est claire, mieux ils peuvent communiquer avec leur enfant, l aider et intervenir utilement [ ]» 10. De la même façon, il faut que les soignants prennent en compte les informations que peuvent donner les parents sur les habitudes et préférences de leur enfant, sur ses réactions afin que s installe une relation de confiance pour améliorer la prise en soins de l enfant malade. Les parents doivent être partenaires dans les décisions prises pour l enfant. Par ailleurs, «les attitudes parentales spontanées qui permettent de prédire le coping (moyen de faire face) chez l enfant sont la conversation non procédurale, l humour partagé avec l enfant, et l incitation à utiliser des techniques de distraction (respiration)» 11. Il est donc important d être en lien avec les parents, de les écouter et de prendre en considération leurs éventuelles difficultés puisque les réactions de l enfant sont conditionnées par son milieu familial. La présence des parents comme partenaire de soins implique des règles précises permettant aux parents de conserver leur rôle de parent et aux soignants d effectuer normalement leur travail. Il est donc nécessaire de déterminer des règles de cohabitation entre soignants et parents. Par ailleurs, il est important qu existe un projet d équipe autour de la présence des parents afin que les parents ressentent une cohérence dans la prise en charge de leur enfant. Le partenariat parent/soignant permet une approche globale de l enfant, en incluant son environnement familial et social. De plus, «en matière de soins médicaux, l augmentation du pouvoir des ʺintéressésʺ, [ ] a pour conséquence l augmentation de la qualité des soins dispensés.» 12. En favorisant ces relations entre parents et soignants, le bénéfice est alors pour tous et principalement pour l enfant. 10 ERNOULT, A., op.cit., p COHEN-SALMON, D., op.cit., p.8 12 COHEN-SALMON, D., Et maintenant? Conclusions et perspectives. In Parents d enfants hospitalisés : visiteurs ou partenaires?, Sparadrap, Paris, 2004, p.94 15
23 2.3. Les soignants Le personnel soignant doit assurer des soins relationnels et techniques adaptés à la personne soignée et doit le faire dans un environnement conforme aux bonnes pratiques en vigueur. Son rôle est d accompagner les enfants et leurs parents dans leur parcours fait d imprévu, de souffrance, mais toujours de singularité Le positionnement de chaque professionnel La profession infirmière est réglementée par deux décrets l'un du 16 février 1993, le second du 11 février 2002 contrairement à la profession d'auxiliaire de puériculture qui n'a pas de décret de compétence. L utilisation des méthodes distractives fait partie des compétences de l infirmière puéricultrice. Elle est régie par différent articles du décret du 29 juillet 2004 du Code de la santé publique relatif aux actes professionnels infirmiers. L article R de ce décret notifie que : «Les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs, intègrent qualité technique et qualité des relations avec le malade. [ ] Ils ont pour objet [ ] de participer à la prévention, à l'évaluation et au soulagement de la douleur et de la détresse physique et psychique des personnes. [ ]» 13. La distraction entre aussi dans le rôle propre infirmier comme l indique l article R du même décret : «l'infirmier ou l'infirmière a compétence pour prendre les initiatives et accomplir les soins qu'il juge nécessaires [ ] Il identifie les besoins de la personne, [ ] met en œuvre les actions appropriées et les évalue [ ]» 14. La puéricultrice peut réaliser toutes les méthodes distractives à son initiative et peut également les déléguer, sous sa responsabilité, à l auxiliaire de puériculture. Le travail avec les parents est également identifié dans deux articles de ce même décret. D abord, dans l article R4311-5, il est noté que «l infirmier ou l infirmière accomplit les 13 XT &dateTexte= &fastPos=1&fastReqId= &oldAction=rechCodeArticle 14 TI &dateTexte=&categorieLien=cid 16
24 actes ou dispense les soins [ ] comprenant son information et celle de son entourage» et l article R indique que le suivi de l enfant dans son milieu de vie est réalisé par l infirmière puéricultrice. Même si la profession d auxiliaire de puériculture n est pas réglementée, plusieurs compétences sont exigées pour le diplôme. Parmi ces compétences, on retrouve le fait d accompagner un enfant dans les activités d éveil et de la vie quotidienne et aussi la nécessité d établir une communication adaptée à la personne et son entourage. Leur rôle est également d aider, d accompagner et de conforter les parents dans leur rôle éducatif en développant leur autonomie pour les associer aux soins. Enfin, pour avoir une prise en charge de qualité, les soignants doivent avoir conscience des besoins de l enfant et ceux de la dynamique familiale afin d aider ou de maintenir le lien parent/enfant. Par ailleurs, en plus de veiller à la satisfaction des besoins fondamentaux de l enfant, la puéricultrice doit développer un climat de sécurité autour de lui La collaboration au sein du binôme La collaboration est un «processus où plusieurs personnes s associent pour réaliser un travail avec des objectifs communs, chacun selon ses compétences et dans les limites de réglementation» 15. «Dans le cadre du travail du personnel soignant, le binôme peut se définir comme ʺune association de deux personnes ayant des compétences complémentaires afin d'atteindre un objectif communʺ (Seigneur, Centre Hospitalier de Dreux)» 16 L auxiliaire de puériculture occupe une place de collaborateur privilégié du puériculteur. Les limites et rôles de chacun sont déterminés dans un objectif d'amélioration du service rendu au patient et à ses proches. Les membres du binôme sont acteurs à part entière et chacun doit y trouver sa place, ils sont complémentaires. 15 DELZERS, F., Exercice professionnel : le champ de la collaboration entre infirmiers et aides-soignants, auxiliaires de puériculture, aides medico-psychologiques [en ligne] 16 DUMAIS-PICARD, L., Le binôme dans le secteur des services à la personne. [en ligne] %C3%B4me%20dans%20les%20SAP.pdf 17
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