UNIVERSITE PAUL SABATIER Faculté de Médecine Rangueil ENSEIGNEMENT DE MEDECINE INTERNE MODULE 14
|
|
- Norbert Laporte
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UNIVERSITE PAUL SABATIER Faculté de Médecine Rangueil ENSEIGNEMENT DE MEDECINE INTERNE MODULE 14 ITEM N 319 : Orientation diagnostique devant une hypercalcémie (avec le traitement) Ph. ARLET M. LAROCHE L. SAILLER Objectifs : Devant une hyper calcémie, argumentez les principales hypothèses diagnostiques et justifiez les examens complémentaires pertinents. - Identifiez les situations d urgence et planifiez leur prise en charge. Introduction : l hypercalcémie est une anomalie biologique, qui est assez souvent de découverte fortuite, car il est rare d y penser devant des symptômes qui sont souvent assez banals ; de plus, l hypercalcémie n est pas une situation biologique de rencontre très fréquente, elle est même rare si l on se place dans le domaine de la médecine générale ambulatoire. Elle est un peu plus fréquente si l on se place dans le cadre de la médecine d urgence ou de la médecine hospitalière. Les étiologies sont assez diverses, ce qui permet de comprendre que cette question est volontiers l apanage de plusieurs types de spécialistes : les néphrologues, les rhumatologues, les endocrinologues, et les internistes. 1
2 I Rappel sur la régulation de la calcémie. Le taux de la calcémie est très stable chez l adulte, entre 2,25-2,50 mmol / l, et le système hormonal incluant l hormone parathyroïdienne et la vitamine D permet cet équilibre malgré des apports alimentaires en calcium très variables et un turnover osseux qui amène du calcium dans le sang. Tous les jours 4 à 6 mm de calcium sont échangés entre le calcium absorbé par l intestin, fixé libéré par l os, et excrété par le rein. Cette quantité représente donc la calciurie des 24 heures. L hormone parathyroïdienne agit directement et par l intermédiaire de la formation de la 1 25 hydroxy-vitamine D pour stimuler l absorption intestinale du calcium, stimuler l ostéolyse ostéoclastique au niveau du tissu osseux, et favoriser la réabsorption tubulaire rénale du calcium. Elle agit également sur la régulation de la phosphorémie. La parathormone est une hormone hyper-calcémiante et hypo-phosphorémiante. Elle est soumise à un système de régulation de type feed-back, de telle manière que l hypercalcémie freine la sécrétion de parathormone et l hypocalcémie la stimule. 2
3 II Les mécanismes de l hypercalcémie On peut comprendre que l hypercalcémie va se produire dans trois grands types de circonstances : - Production anormale d hormone parathyroïdienne : la plupart du temps il s agit de l hyper- parathyroïdisme primaire (adénome et hyperplasie parathyroïdienne) - Destruction accélérée et anormale de l os : il s agit d une tumeur maligne en général métastase osseuse ou myélôme - Excès de vitamine D : il s agit soit de l intoxication par des apports excessifs d origine iatrogène, soit de la formation dérégulée de la 1 25 hydroxyvitamine D au cours des granulomatoses en particulier la sarcoïdose. III Les situations cliniques 1) L hypercalcémie peut être parfaitement asymptomatique, surtout si elle est modérée. Elle peut être aussi responsable de signes très banals tels que asthénie, anorexie, nausées, troubles dépressifs mineurs. Lorsqu elle est très importante, elle peut entraîner des troubles de conscience avec obnubilation, coma, déshydratation et parfois même convulsions. Autant dire que devant toutes ces situations, et même devant une asthénie lorsqu elle n est pas expliquée et 3
4 qu elle persiste, il faut doser la calcémie pour diagnostiquer des hypercalcémies. 2) Si les situations de découverte d hypercalcémie sont souvent fortuites, il existe des situations pathologiques où on doit rechercher l hypercalcémie, car on pense à des diagnostics pouvant s associer à ce symptôme. On doit donc doser la calcémie pour rechercher une hypercalcémie devant : - une suspicion de myélome - une suspicion de métastase osseuse - une décalcification et donc suspicion d hyperparathyroïdisme - une anomalie sur des radiographies osseuses à type de destruction, ou de remaniement - une colique néphrétique - une néphrocalcinose La gravité des conséquences cliniques de l hypercalcémie dépend de l importance de l hypercalcémie, de la vitesse de son augmentation, de la susceptibilité du malade (antécédents neurologiques ou cardiaques). IV Démarche diagnostique Devant une hypercalcémie, les hypothèses diagnostiques seront évoquées en fonction d éléments cliniques et biologiques, mais le contexte clinique est un élément important, car il permet d emblée de séparer les hypercalcémies en situation chronique et peu inquiétantes et les hypercalcémies en situation de relative gravité : coma, altération de l état général, douleurs osseuses multiples 4
5 1) Certains examens simples devront être faits immédiatement car ils permettent de débrouiller la recherche étiologique, il s agit de : - la créatininémie - la phosphorémie - les phosphatases alcalines sériques - la calciurie des 24 heures - l électrophorèse des protéines. Avec ces examens et l approche clinique on pourra dans la majorité des cas énoncer sans grand risque d erreur les principales hypothèses diagnostiques : - le patient a des antécédents de coliques néphrétiques, on retrouve la notion d une hypercalcémie sur des examens d il y a plusieurs mois ou années, il y a une hypophosphorémie, nous sommes là devant un très probable hyper-parathyroïdisme primaire. - Le patient a une hyper-calcémie avec des douleurs osseuses et une altération de l état général sans hypophosphorémie et on doit s orienter d emblée soit vers des métastases osseuses, soit vers un myélome, l électrophorèse des protéines permettant la plupart du temps de faire la part entre ces deux diagnostics. - L interrogatoire du patient, de son entourage et de ses médecins doit permettre d évoquer les hypothèses iatrogènes, intoxication par la vitamine D ou par ses dérivés. - Les diagnostics de granulomatose (sarcoïdose, tuberculose ) sont souvent plus difficiles à évoquer, mais ils seront également faciles à évoquer devant une 5
6 hypercalcémie sans hypo-phosphorémie chez un patient présentant des adénopathies superficielles ou médiastinales sur le cliché du thorax ou une sarcoïdose connue. 2) D autres examens seront faits ensuite en seconde intention pour confirmer le diagnostic, soit pour faciliter l approche thérapeutique, soit pour préciser le diagnostic étiologique. 2.1 Certains examens seront faits de manière quasiment systématique pour confirmer ou infirmer le diagnostic d hyper-parathyroïdisme : - Clairance du phosphore (elle est élevée dans l hyperparathyroïdie primaire) - Dosage de la parathormone sanguine (les méthodes actuelles permettent d avoir un examen d une excellence sensibilité et spécificité) - Echographie de la région thyro-parathyroïdienne, examen simple qui permettra dans certains cas de mettre en évidence un probable adénome lorsqu il est volumineux, et qui permettra d être un examen central d orientation morphologique avant et après une chirurgie parathyroïdienne. 2.2 D autres examens permettront soit d orienter vers des pathologies fréquentes, et donc tumorales, soit d apporter des arguments vers des pathologies plus difficiles de diagnostic ou plus rares : 6
7 - le dosage de la TSH doit être systématique pour écarter l hyper-thyroïdie qui est une cause non exceptionnelle d hyper-calcémie. - le dosage de l enzyme de conversion de l angiotencine, et de la 1 25 hydroxyvitamine D seront intéressants lorsqu ils sont élevés, avec une hypercalciurie des 24 heures, pour orienter vers une origine sarcoïdosique ou autre granulomatose. Les radiographies du crâne, du rachis, du bassin de face, des humérus et des fémurs, ainsi que l index d excrétion du calcium à jeun, seront faits à la recherche de pathologies ostéolytiques type métastases osseuses ou myélôme responsables d hypercalcémies. Lorsqu on fait des radiographies osseuses dans une hypercalcémie, on peut également demander des radiographies des mains de face pour rechercher les petits signes classiques de l hyperparathyroïdisme primaire : résorption de la houppe des phalanges distales. L index d excrétion du calcium à jeun (index de Nordin) sera élevé en cas d ostéolyse, en particulier d ostéolyse maligne. Il sera utile aussi pour le diagnostic des rares cas d hypercalcémie- hypocalciurie familiale dont le diagnostic sera aidé également par l enquête familiale (rechercher d autres cas d hypercalcémies modérées dans la famille). 2.3 D autres examens, peuvent être faits, bien sûr lorsque le diagnostic est difficile, puisque les étiologies sont nombreuses, certaines étiologies plus anecdotiques peuvent être citées : hypercalcémie au cours de l immobilisation prolongée, hypercalcémie des diurétiques thiazidiques, hypercalcémie de certaines endocrinopathies, en particulier l acromégalie et l insuffisance surrénale aigüe, l hypercalcémie au cours de certaines insuffisances rénales 7
8 aigües organiques. Dans le domaine endocrinologique, il faut citer deux situations rares : l hyper-parathyroïdisme para-néoplasique avec hypo-phosphorémie et présence dans le sang d un taux élevé de PTHrp ; d autre part, l hyperparathyroïdisme dans le cadre des poly-adénomatoses endocriniennes (N.E.M. de type 1 et 2). Enfin, le syndrome de BURNETT (syndrome des buveurs de lait) est devenu exceptionnel. 2.4 Les éléments biologiques du diagnostic d hypercalcémie peuvent être perturbés et donc difficiles à interpréter lorsqu il y a une insuffisance rénale. En effet l insuffisance rénale entraîne très rapidement une élévation franche de la phosphorémie, et une situation d hyperparathyroïdisme secondaire avec élévation importante également du taux de parathormone circulante. Il faut donc être prudent dans l interprétation des éléments biologiques lorsque la créatininémie n est pas normale. Enfin, de très nombreux examens paracliniques ont été utilisés ou inventoriés, ou étudiés, au cours des hypercalcémies. Un certain nombre d entre eux doivent être abandonnés dans la grande majorité des cas du fait d une meilleure connaissance de la question, et de certains examens qui n existaient pas il y a une vingtaine d années en particulier le dosage de la parathormone sérique. La ponction biopsie ostéo-médulaire qui était autrefois assez largement utilisée pour le diagnostic d hyperparathyroïdisme sera faite actuellement beaucoup moins souvent pour le diagnostic des hyper-calcémies. Cependant, elle peut être d une bonne utilité dans le cas de diagnostic 8
9 difficile car elle permet à la fois de préciser des éléments du diagnostic d hyper-para-thyroïdisme, mais aussi pour le diagnostic des hémopathies lymphoïdes, du myélôme, des métastases osseuses, et même parfois des granulomatoses. 2.5 Dans des cas rares, on peut être amené à doser le calcium ionisé pour savoir s il existe vraiment une hypercalcémie, en particulier lorsqu on recherche une hyperpare thyroïdie. Dans certains centres expérimentés, l imagerie IRM ou la scintigraphie au M.I.B.I. sont utilisées pour localiser un adénome parathyroïdien. En aucun cas cependant, leur normalité ne peut exclure le diagnostic. 2.6 La phosphorémie permet souvent de faire la part entre hyper-parathyroïdisme primaire qui s accompagne d hypo-phosphorémie, et les autres causes où le phosphore est souvent plutôt élevé. Cependant une pathologie exceptionnelle doit être citée : l hyper-parathyroïdisme para-néoplasique (sécrétion de PTH «like» dans certains cas de cancers) V Les situations d urgence Il ne faut pas confondre les situations d urgence qui existent réellement dans le cadre de l hypercalcémie, avec la découverte d une hypercalcémie au service d accueil des urgences. En effet, la découverte d une hypercalcémie peut impliquer une démarche étiologique, et pas forcément une démarche thérapeutique urgente, la plupart des 9
10 hypercalcémies étant bien supportées et ne nécessitant pas de traitement immédiat. Lorsque la calcémie atteint des niveaux importants,(3, 5mMol / l), elle est susceptible d entraîner des troubles métaboliques qui risquent de compromettre rapidement le pronostic vital. Il s agit du diabète calcique qui par le même mécanisme que le diabète sucré donne une polyurie et une déshydratation de type extra-cellulaire la plupart du temps, qui va contribuer à une auto-aggravation du tableau clinique rapide. Il faudra donc évaluer ces éléments devant la découverte d une hyper-calcémie, non seulement par le chiffre même de la calcémie, mais surtout par l examen clinique, si le patient est omnubilé, à fortiori dans le coma, s il a des signes cliniques de déshydratation, il faudra dans l urgence apprécier les fonctions vitales, respiration, hémodynamique, recueillir la diurèse et la surveiller, analyser le bilan électrolytique et le retentissement sur la fonction rénale, mettre en place une voie veineuse permettant la perfusion rapide de sérum, et la plupart du temps il s agit de sérum salé isotonique qu il convient de perfuser en quelques heures pour rétablir l équilibre de l homéostasie hydrominérale. La réhydratation du patient hypercalcémique est l élément primordial de la prise en charge. Elle permet de rompre le cercle vicieux de l auto-aggravation du syndrome. Si l hypercalcémie parait très évolutive, si le patient présente des signes neurologiques importants, si le taux de calcémie est inquiétant, on peut mettre en route très rapidement, dans les toutes premières heures de la prise en charge, une perfusion de biphosphonate (palmidronate, clodronate, ou plus récemment le zoledronate), qui sont des thérapeutiques efficaces pour juguler pendant quelques jours l hypercalcémie, ce qui permettra ensuite de faire le 10
11 diagnostic et le traitement étiologique. Lorsque la cause de l hypercalcémie est connue, et en particulier lorsque on est en contexte néoplasique, on peut faire aussi dans l urgence une perfusion de corticostéroïdes, à la dose de 1 à 2 mg / kg, qui a un bon effet, en particulier dans le myélôme et les lymphoproliférations malignes. Ce patient hypercalcémique, avec un retentissement métabolique et neurologique doit donc être pris en charge en urgence, surveillé cliniquement et biologiquement plusieurs fois par jour, car on doit le remettre dans une situation stable et sans risque vital en l espace de 24 à 48 heures. VI Le traitement En dehors de la situation d urgence que nous venons de définir, la prise en charge thérapeutique de l hypercalcémie est fonction de l étiologie. Lorsque l hypercalcémie n a pas de retentissement clinique important, et pas de retentissement sur l équilibre hydro-minéral, il n y a pas à mettre en route de thérapeutique particulière tant que l on n a pas fait le diagnostic étiologique. Le traitement sera ensuite fonction de l étiologie : - L hyperparathyroïdisme primaire est la plupart du temps à traiter chirurgicalement. - Les pathologies iatrogènes sont à traiter par l arrêt des thérapeutiques responsables. - Myélôme et lymphome doivent être traités rapidement par une chimiothérapie conventionnelle car l hypercalcémie est un signe de gravité et d évolutivité de ces maladies. 11
12 - Les corticostéroïdes peuvent être utilisés dans certaines indications, en particulier lorsqu ils sont efficaces sur la pathologie causale comme dans la sarcoïdose, d autant plus qu ils sont également efficaces sur le mécanisme de l hypercalcémie puisqu ils agissent en freinant l absorption intestinale du calcium. Ils sont intéressants aussi dans les hémopathies lymphoïdes, le myélôme, les néoplasies. Les bisphosphonates sont très efficaces sur les hypercalcémies de toutes origines, particulièrement en perfusion intraveineuse. Leur effet est également intéressant par voie orale mais beaucoup moins puissant. Leurs indications ne sont par encore parfaitement codifiées, et méritent d être discutées au cas par cas, en particulier lorsqu on n a pas de médicament suffisamment efficace sur le mécanisme causal (néoplasie, hyper-para-thyroïdisme primaire que l on ne peut pas opérer, ) L apport des nouveaux bisphosphonates a donc transformé le problème du traitement des hypercalcémies. On peut donc «oublier» certaines thérapeutiques telles que phosphore, calcitonines, diurétiques, dialyse ********** 12
Conduite à tenir devant une hypercalcémie
L MC HRPUQU BRRY COLL. R. Berrady, W. Bono ervice de Médecine nterne, CHU Hassan, Fès, Maroc Plan ntroduction. éfinition Biologique. ntérêt Classification Pathogénie de l hypercalcémie iagnostic: Circonstances
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailDiabète Maladies thyroïdiennes. Beat Schmid Endocrinologie Hôpital cantonal de Schaffhouse
Diabète Maladies thyroïdiennes Beat Schmid Endocrinologie Hôpital cantonal de Schaffhouse Les hormones Porteuses d'informations chimiques (communication entre diverses cellules) Transport vers les organes
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailMaladies ostéo-articulaires
CHAPITRE 8 Maladies ostéo-articulaires PLAN DU CHAPITRE INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'ANTICORPS ANTI-PEPTIDES CYCLIQUES CITRULLINES (AC. ANTI-CCP) INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'UN FACTEUR RHUMATOÏDE INTERPRÉTER
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailLa dysplasie fibreuse des os
La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailLe cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC
GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailTroubles thyroïdiens
Troubles thyroïdiens L hypothyroïdie L hyperthyroïdie Nodules thyroïdiens Goitre exophtalmique ou maladie de Graves ou de Basedow ou thyréotoxicose Thyroïdite chronique d Hashimoto Cancer de la glande
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détail