Construction de la Base de sous-marins de Keroman

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Construction de la Base de sous-marins de Keroman"

Transcription

1 Le 3 septembre 1939 éclate la «drôle de guerre». Après l incendie volontaire des cuves à mazout du Priatec qui s étend au Cosquer, faisant 25 morts, et après un ultime combat meurtrier aux Cinq-chemins de Guidel, Lorient entre dans la guerre. Les troupes d occupation allemandes pénètrent dans la ville le 21 juin 1940 à la veille de l armistice. La position stratégique de Lorient et les infra-structures existantes scellent son destin. L amiral Dönitz, commandant des sous-marins allemands puis de la Kriegsmarine, fait de Lorient la pierre angulaire du dispositif de défense des côtes et de la bataille de l Atlantique. Le Festung Lorient, constitué principalement de la base de sous-marins et du terrain d aviation de Kerlin-Bastard (futur Lann-Bihoué) est défendu par 400 blockhaus et postes de tirs construits par l organisation Todt. Construction de la Base de sous-marins de Keroman

2 Le pilonnage systématique entre janvier et février 43, jette les Lorientais sur les routes en direction des communes environnantes. Le centre ville est rasé, les quartiers fortement endommagés. Après 4 ans d occupation, l annonce du débarquement de Normandie en juin 44 fait renaître l espoir. La percée d Avranches par les troupes américaines, ouvre la porte à la libération de la France. Profitant du retard pris par les Américains, les formations allemandes du Finistère et du Morbihan se retranchent sur Lorient entre le 4 et le 6 août Le général Fahrmbacher, promu commandant supérieur en Bretagne et replié dans l un des bunkers de la base de Keroman, a reçu l ordre d Hitler de tenir le Festung au moins huit semaines. Il tiendra 9 mois. En janvier 43, les Alliés, impuissants à détruire la base de sous-marins, décident de l isoler en bombardant la ville. La Poste, rue Poissonnière

3 Depuis Arzano, les soldats du Combat Command B du général Draggers gagnent Pont-Scorff le 7 août 1944 en vue de prendre Lorient avec l aide du 7 e bataillon FFI du Morbihan. Au Perroquet vert, au nord de Lorient, les blindés subissent les tirs d artillerie de la D.C.A. allemande, perdent 3 chars et sont contraints de se replier à Kerruisseau. Depuis Auray, le Combat Command A - 4 e DB tente une percée sur Hennebont mais face aux tirs d artillerie se dirige vers Lochrist où il se retrouve bloqué. La formation se replie sur Caudan le 9 août 1944 après avoir renoncé à s engager sur Lanester. Finalement, le Combat Command A abandonne le front de Lorient pour Nantes.

4 Les forces américaines rejoignent le centre-ville le 7 août Les 5 e et 7 e bataillons FFI ont pris position sur la rive gauche du Blavet. Les Allemands font sauter les ponts, se replient non loin, à Saint-Caradec d où ils déclenchent un tir d artillerie puissant qui incendie le centre-ville. Le 8 août, un corps franc du 5 e bataillon FFI arrive à Hennebont et se place près des ponts endommagés. Le lendemain, il progresse à Saint- Caradec, la Vieille-Ville et chasse les Allemands qui vont s établir à Lanester. A l annonce de l arrivée des Alliés, le général Fahrmbacher renforce ses positions sur Hennebont. Le 7 e bataillon se charge de neutraliser la partie Est de la commune. Le 10 août, la commune, encore occupée pour moitié, est libérée le 12. Au total, entre le 6 et le 11 août, 39 civils sont tués, la plupart fusillés, 4 FFI et 150 soldats allemands trouvent la mort.

5 Alors que le Combat Command B progresse sur Lorient, il subit à Quéven les tirs de la batterie allemande du Moustoir-Flamm qui causent 20 morts et plus de 80 blessés côté américain. Quelques unités sont en position à Beg Runio lorsque survient un train transportant notamment 33 otages français arrêtés le 4 août à Rosporden. Le convoi se retrouve au milieu des tirs et 9 otages meurent en tentant de s enfuir du wagon en feu. A Quéven, les combats font rage. Le 16 août les Allemands décident l évacuation de la population personnes prennent le chemin de l exil, 200 restent sur place. La commune subit les feux des batteries jusqu au 18 août. Elle est détruite à 80 %.

6 La ligne de front va de la Laïta à Carnac en passant au sud des communes de Pont-Scorff, Caudan, Hennebont, Nostang. Elle rejoint la rivière d Etel puis suit la côte jusqu à l entrée de la presqu île de Quiberon. Groix et Belle-Île font partie de la Poche. Les Allemands encerclés n ont plus de liaison terrestre. Le général Fahrmbacher développe la capacité de défense des lignes terrestres, organise le ravitaillement, forme des unités capables de se battre, repousse la ligne principale de résistance et fait croire à l ennemi à une haute capacité de défense. Les Allemands sont pour moitié des marins, pour un tiers des soldats de l armée de terre. Le reste se répartit entre l armée de l air, des unités de l est et quelques soldats étrangers. Une liaison radio les relie à la direction de la Wehrmacht, à la 265e division de Saint-Nazaire et aux sous-secteurs de la Poche.

7 Batterie à Locqueltas L artillerie est réorganisée, les défenses maritimes tournées vers les terres. La Poche compte près de 500 pièces d artillerie qui protègent la forteresse. Les Allemands possèdent en outre des canons de 203 mm, postés à Groix, et de 340 mm, postés au Bégo, en Plouharnel. Ils sont une menace permanente sur la région par leur portée de plusieurs dizaines de kilomètres. Télémètre du fort Grognon à Groix La résistance allemande s appuie sur une ligne d avant-postes constituée par une succession de points d appui et protégés par des barbelés, des champs et des routes minés, des barrages anti-chars. Les zones basses sont inondées, les carrefours garnis d explosifs. Autour de Guidel et Plœmeur, les mines sont des bombes d avions enterrées et commandées à distance. Les ponts sont dynamités : le pont de Saint-Maurice sur la Laïta, la passerelle de chemin de fer à Lorient sur le Scorff, celui qui relie Caudan et Quéven est incendié.

8 Soldats français et américains sur le Front de la Laïta Plusieurs divisions, blindées ou d infanterie, se succèdent à l automne 44. La 94 e division d infanterie du général Malony est relevée par la 6 e division blindée du général Grow, puis par la 4 e division blindée du général Wood. L arrivée en janvier 45 de la 66 e division d infanterie du général Kramer, qui reste jusqu à la reddition, porte à 6000 le nombre d Américains sur le front de Lorient.

9 En fin d année 1944, intervient la militarisation de la résistance sous les ordres du général Borgnis-Desbordes. Commandement et administration sont organisés. 7 e bataillon du 118ème RIM Hommes de la 19 e DI avec des GI s de la 66 e division Près de hommes entrent ainsi dans l armée régulière au sein de la 19e DI. Ils sont sous les ordres du lieutenant-colonel Morice. Les bataillons sont répartis entre Lorient et Saint-Nazaire. Le sous-secteur de Lorient est conduit par le commandant Manceau. Il regroupe 7 bataillons F.F.I. du Morbihan (5 620 hommes) ; des bataillons F.F.I. du Finistère et des Côtes du Nord. A la fin octobre, les bataillons intègrent les Forces Françaises de l Ouest (F.F.O.) conduites par le général Larminat, Ils sont rejoints par deux escadrons du 19 e Dragons, plusieurs régiments d infanterie, une compagnie de transmission, des FFI du Loir-et-Cher, des bataillons Rangers, des artilleurs et un bataillon de fusiliersmarins. Le siège de Lorient, commencé avec 9180 hommes en août, totalise combattants en décembre.

10 Le front de Lorient se stabilise en août sur 65 kilomètres. Les FFI ont pour mission de resserrer l espace occupé par les Allemands et de se maintenir sur des positions bien défendables. Les différents bataillons de la résistance se répartissent en quatre secteurs autour de la Poche de Lorient : LE SECTEUR OUEST s étend au-delà de la Laïta, sur le département du Finistère. Son PC est installé à Clohars-Carnoët. LE SECTEUR NORD va de la Laïta à Hennebont. Le commandement prend ses quartiers à Cléguer. LE SECTEUR CENTRE, entre Le Blavet et Etel, dépend du poste de commandement de Brandérion. LE SECTEUR EST, allant d Etel à Carnac a installé son PC à Ploemel. 1- Le secteur Ouest Cdt. Le Loyer (basé à Clohars-Carnoët). 17 e bataillon F.F.I. du Finistère et 2 e compagnie de fusiliers-marins. 2- Le secteur Nord Cdt. Muller (basé au château de Meslien près de Cléguer).7 e, 6 e et 9 e bataillon F.F.I. du Morbihan, un régiment d infanterie et un groupe d artillerie de la 94 e division d infanterie américaine. 3- Le secteur Centre Cdt. Le Coutaller (basé à Brandérion). 3 e,4 e, 10 e, 11 e et 13 e bataillon F.F.I. du Morbihan et un groupe d artillerie de la 94 e division d infanterie américaine. 4- Le secteur Est Cdt. Le Garrec (basé à Ploemel). 2 e et 14 e bataillon F.F.I. du Morbihan.

11 Jusqu en décembre, les armées antagonistes effectuent quelques avancées dont la plus violente à Sainte-Hélène en octobre. Le centre est pilonné et incendié. L ennemi tente une percée d envergure à hauteur de Nostang le 30 octobre. Ce grand combat voit mourir de nombreux jeunes résistants inexpérimentés. C est l intervention de l artillerie américaine qui permet finalement de faire battre en retraite les 6000 soldats allemands mobilisés sur cette opération. A Etel, les Américains, décidés à affaiblir la Poche, lancent une offensive en décembre Cette opération vise à libérer les territoires compris entre Etel et Erdeven pour neutraliser la zone et isoler la presqu île de Quiberon. Après ces événements, le front ne bouge plus jusqu à la reddition. Attaques surprises et tirs de harcèlement se succèdent. En mars, le réseau de l alimentation d eau de Keryado et la station de pompage de Lannénec sont rendus inutilisables.

12 A l est du front, les troupes allemandes tentent d élargir la Poche à la limite naturelle qu est la rivière d Etel et de s approvisionner en pommes de terre. Sainte-Hélène abrite le P.C. du commandement F.F.I. Le Coutaller où transitent des parachutistes anglais sous l action du Colonel Bourgoin. Le 11 septembre 1944, des artilleurs allemands pilonnent Sainte-Hélène et incendient le bourg. 90% des habitations sont détruites et la population est contrainte à l exil. Les vestiges de l église témoignent aujourd hui du drame. Le 28 octobre, après d âpres combats, la commune tombe finalement aux mains des troupes allemandes et l événement est relayé par Radio Berlin comme une victoire décisive. Les patriotes parviennent néanmoins à conserver la maîtrise du pont et à empêcher l extension de la Poche.

13 Le 1 er objectif est la neutralisation mutuelle des points d observation et des batteries. Ainsi, le clocher de Guidel est abattu le 3 février. Les dépôts de munitions et de carburant sont également les cibles de tirs : le 27 janvier à Kermalo en Guidel, le 9 mars à Merlevenez, le 13 avril à Kerloeïz en Riantec. Ces attaques endommagent sérieusement les communes. Les batteries bombardent aussi bien les villes de la Poche que des villes extérieures : Vannes, Languidic, Inzinzac, Brandérion, Plouay, Hennebont, Landévant, Cléguer, Pont-Scorff essuient des tirs d obus qui sont meurtriers et destructeurs. A l automne 1944, l arsenal de Lorient est fortement touché. Eglise de Guidel L artillerie lourde américaine a pour mission la destruction des 3 canons de la batterie du Bégo à Plouharnel. Ils sont rendus inutilisables ainsi que les canons de Groix fin avril Au total, 144 civils seront victimes de ces bombardements.

14 Durant les premières semaines du front, l Etat-Major des F.F.I. fait ce qu il peut pour organiser une armée, installer un service de santé, des postes de secours avancés Sales, mal habillés, mal armés, peu formés, oubliés de tous alors que la France fête un peu partout dans la liesse sa libération, ces soldats résistent à tout : au froid de l hiver particulièrement dur, au sommeil lors des longues nuits de veille ponctuées de tir d artillerie, à la faim quand les ravitaillements se font attendre, à l ennui dans des tranchées humides et puantes, et surtout au découragement. L hiver se passera pour certains hommes en simples effets civils et sabots de bois. Les fameuses rations K, distribuées par les Américains, pleines de sucreries, n arrivent pas toujours sur le front. Les hommes les ont le plus souvent lorsqu ils sont au repos à l arrière. Le ravitaillement de tous les jours est assuré par les habitants, ces derniers prenant des risques pour eux et leur famille.

15 Malgré l évacuation des Lorientais en 1943, la région reste très peuplée personnes se retrouvent prisonnières dans leurs propres villes et villages entre la Laïta et Carnac entre Quiberon, Belle-Ile et Groix. Dans ces zones dévastées par la guerre, La population connaît la faim, le froid, l inconfort le souci numéro un, et la privation. La pénurie alimentaire atteint par en dehors des dangers endroit, comme à Groix, un seuil critique. liés aux combats, Les Allemands procèdent à des réquisitions sévères à est le ravitaillement. l intérieur de la Poche. Les agriculteurs restés sur place pour s occuper de leurs fermes et éviter les pillages sont soumis à une rude pression de l occupant. Battage à la ferme Le Coguic Les empochés doivent apprendre à vivre en autarcie. Les civils partent peu à peu, la situation à l intérieur de la Poche devenant intenable. Des convois sont organisés par les mairies en liaison avec la Croix Rouge. Des trêves temporaires sont décrétées pour la durée des transferts. 90% des habitants de la Poche quittent les lieux avant février 45.

16 Malgré le blocus, les Allemands conservent la maîtrise des mers et ne furent jamais vraiment isolés. La communication avec la Poche de Saint-Nazaire permet l envoi de vivres, de matériels, de courriers. A Lorient, l édification d une station électrique et des éoliennes est rapidement achevée. L achat de vivres auprès des habitants fonctionne toujours mais les prix deviennent au fil des mois exorbitants. Les Allemands installent une boucherie, une boulangerie (1,5 millions de pains seront produits durant le blocus), un moulin à céréales, une presse à huile, une distillerie, une brûlerie à café. L ancien terrain d aviation de Kerlin-Bastard (actuel Lann Bihoué), devenu obsolète suite aux bombardements accueille bœufs, plus de 400 veaux et un vaste potager. Chez les soldats mal nourris, la mortalité connaît un pic.

17 Le 7 mai 1945, un message radio émis depuis l Allemagne invite les places fortes à s incliner. Après les pourparlers organisés au Magouër, à 15 heures, la capitulation sans condition est signée au Café Breton à Etel le 7 mai à 20 heures, le cessez-le-feu étant prévu pour le 8 mai à 0 h 01. Entre le 8 et le 10 mai, les troupes d occupation appliquent les exigences des Alliés et font disparaître les archives. La cérémonie de reddition a lieu le 10 à 16 heures à Caudan. Le général Fahrmbacher remet symboliquement son arme au général américain Kramer. Le général Borgnis-Desbordes et le colonel Morice représentent les Forces Françaises de l Intérieur. C est le terme de 9 mois de siège.

18 Plusieurs groupes pénètrent le 10 mai 1945 dans la ville de Lorient. Les FFI entrent par Keryado, descendent la rue de Belgique, le cours de Chazelles et traversent les ruines de ce qui fut leur ville. Les Américains arrivent par Lanester et le pont de Kerentrech. Ils remontent la rue de Verdun et atteignent le cours de Chazelles où les soldats allemands, regroupés dans les contre-allées, ont déposé leurs fusils. Les rares habitants restés dans la Poche sont venus accueillir les combattants avec des bouquets de fleurs des champs. La victoire est là mais elle est amère. Tout est à reconstruire et un travail considérable attend la population. L arrivée des libérateurs au centre ville Bangor, Gâvres, Gestel, Guidel, Kervignac, Keryado, Lanester, Larmor-plage, Le Palais, Locmaria, Locmiquélic, Lorient, Merlevenez, Plœmeur, Plouhinec, Port-Louis, Quéven, Quiberon, Riantec, Sainte-Hélène, Saint-Pierre de Quiberon, Sauzon sont libérées le 10 mai. L île de Groix est libérée le 11.

19 Les Alliés rejoignent différents points stratégiques de la Poche qu ils occupent immédiatement et regroupent les prisonniers allemands. Dans les jours qui suivent, ces derniers sont contraints d exhumer les 128 corps des charniers de Penthièvre et de Port-Louis. Ils travaillent pendant plusieurs semaines au déminage de la Poche, truffée d explosifs, de mines anti-chars et anti-personnelles et quelques-uns sont employés jusqu en 1947 au déblaiement de Lorient. Libération de la Presqu île de Quiberon L état de siège est levé à Lorient le 1er juin La liberté de circulation est rétablie le 14 juillet. La libération totale du territoire français est saluée par une grande tournée du général de Gaulle courant juillet. Plusieurs centaines de soldats, alliés et ennemis, sont tombés au combat. De nombreux civils ont été victimes de bombardements ou de répression. Dans la région lorientaise, des stèles rappellent les épisodes douloureux de cette époque.

20 Crédit photos : Archives municipales de Lorient, Musée de la Résistance à St Marcel, Service Historique de la Marine, Archives Nationales américaines, Archives Nationales Allemandes, Ville de Quéven, collections particulières. Conception et réalisation : Archives municipales de Lorient Conception graphique : Alyzés design Avec le soutien de Cap l Orient, du Conseil Général, du Conseil Régional et du Ministère de la Défense DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES

La Libération du Nord-Pas de Calais

La Libération du Nord-Pas de Calais La Libération du Nord-Pas de Calais I Une Libération éclair : 1 er au 5 septembre 1944 A La libération de la région et de la Belgique en 5 jours, du 1 er au 5 septembre : une ruée fulgurante des Alliés,

Plus en détail

1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique

1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique A l'est - En janvier 1944, débute l'offensive soviétique qui entraîne la retraite de la Wehrmarcht de ses alliés. En juillet 1944, l'armée rouge, désormais supérieure en effectifs et en armements, pénètre

Plus en détail

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s

Plus en détail

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion

Plus en détail

C était la guerre des tranchées

C était la guerre des tranchées C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué

Plus en détail

A Eperlecques, le Blockhaus de 100 000 m3 était destiné à devenir une base de lancement de fusées V2.

A Eperlecques, le Blockhaus de 100 000 m3 était destiné à devenir une base de lancement de fusées V2. Les élèves de troisième ont découvert les principaux faits de la Seconde Guerre Mondiale (1939-1945) qui se sont déroulés dans notre région, le Nord-Pas-de-Calais. Cette visite sert d introduction à l

Plus en détail

Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE POINT DE RENCONTRE. 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5

Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE POINT DE RENCONTRE. 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5 POINT DE RENCONTRE Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5 Mémorial de Caen Sommaire CANOPÉ ACADÉMIE DE CAEN Directeur de la publication

Plus en détail

Fiche pédagogique 7 : Paris, ville bombardée

Fiche pédagogique 7 : Paris, ville bombardée Fiche pédagogique 7 : Paris, ville bombardée Paris, ville bombardée Paris n a pas été occupée par les Allemands durant la Première Guerre mondiale. Elle est restée une ville de l arrière. Pourtant, les

Plus en détail

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE LE MUR DE L ATLANTIQUE PAGES 4-5 Le Mur était constitué de blockhaus de toutes sortes : des batteries d artillerie équipées de canons, des radars, des obstacles pour défendre les plages Reportez, pour

Plus en détail

LE QUOTIDIEN DANS L ABRI

LE QUOTIDIEN DANS L ABRI LE QUOTIDIEN DANS L ABRI 7AUDIOGUIDE Avant l état de siège, plusieurs centaines de personnes descendent dans l abri le temps d une alerte aérienne. Pas de banc, l éclairage y est installé tardivement :

Plus en détail

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale.

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale. Le contexte historique : la France pendant la Seconde Guerre mondiale Complétez la chronologie suivante. Vous pouvez vous référer au site http://www.e-chronologie.org/monde/ww2.php 1er sept. 1939 Les troupes

Plus en détail

Carrière des Fusillés Musée de la Résistance de Châteaubriant

Carrière des Fusillés Musée de la Résistance de Châteaubriant INFORMATIONS Carrière des Fusillés Musée de la Résistance de Châteaubriant Le musée est situé route de Laval, à 2 km environ du centre de Châteaubriant (44), à la Sablière, carrière des fusillés. Horaires

Plus en détail

La seconde guerre mondiale

La seconde guerre mondiale CM2 Découverte du monde Histoire Compétences : La violence du XXe siècle : les deux conflits mondiaux La seconde guerre mondiale - À partir de l étude de cartes et de documents statistiques, comprendre

Plus en détail

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment

Plus en détail

Guide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015

Guide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015 Guide des expositions temporaires Service Educatif Édition 2015 Résistance et Monde rural en Zone interdite 1940-1944 Le Musée de la Résistance de Bondues Le musée a pour vocation de transmettre ce que

Plus en détail

été 1914 dans la guerre 15/02-21/09/2014 exposition au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans

été 1914 dans la guerre 15/02-21/09/2014 exposition au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans été 1914 Nancy et la Lorraine dans la guerre exposition 15/02-21/09/2014 au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans 1 3 2 4 5 6 7 9 8 1870-1914 : une guerre attendue? Août 1914 : partis pour un été

Plus en détail

I) La politique nazie d extermination

I) La politique nazie d extermination I) La politique nazie d extermination La Seconde guerre mondiale a été marquée par l extermination de 10 millions de personnes par les nazis. Les Juifs en particulier ont été les victimes d un génocide

Plus en détail

La Théorie des Contraintes Appliquée à la Première Guerre Mondiale. Yves REHBY, CFPIM, CIRM

La Théorie des Contraintes Appliquée à la Première Guerre Mondiale. Yves REHBY, CFPIM, CIRM La Théorie des Contraintes Appliquée à la Première Guerre Mondiale Yves REHBY, CFPIM, CIRM Rappel Historique La Bataille de Verdun Phase 1: 21 février 30 Avril Commandant en chef : Pétain un défenseur

Plus en détail

Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE

Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE Pourquoi la Seconde guerre mondiale est-elle une guerre d anéantissement? I. Un affrontement planétaire A. Les grandes phases de la guerre ...................... 1

Plus en détail

La IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement

La IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement H2.1 : Guerres mondiales et espoirs de paix. La II e Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides. Introduction : Si la 1 ère guerre mondiale fut la première guerre totale, la 2 ème GM, par

Plus en détail

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important?

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important? Pages 77-78. Passage en italique. «Je crois devoir attirer votre attention sur le fait qu en exécution des ordres reçus du commandeur des SS, les arrestations ont été opérées uniquement par la police française

Plus en détail

1914-18 Hohrodberg - Linge

1914-18 Hohrodberg - Linge Circuit Historique 1914-18 Hohrodberg - Linge Une réalisation Dr Marc Georges Président de la CCVM Le Mot du Président : Les 350 kilomètres de sentiers balisés de la vallée de Munster constituent, pour

Plus en détail

Campagne de Mésopotamie.

Campagne de Mésopotamie. Campagne de Mésopotamie. Résumé : En 1914, les Britanniques possédaient les riches gisements pétrolifères du Koweït mais ils rêvaient de s'emparer plus au nord de la région de Bassorah, elle aussi riche

Plus en détail

LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE

LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE 1 LA REGLEMENTATION LA REGLEMENTATION 2 L arrêté ministériel du 18 mars 1991 modifié le 23 mai 2008 Le classement, la réglementation et l équipement

Plus en détail

L Allemagne déclare la guerre à la France. L Allemagne déclare la guerre à la Belgique qui a rejeté l ultimatum de la veille.

L Allemagne déclare la guerre à la France. L Allemagne déclare la guerre à la Belgique qui a rejeté l ultimatum de la veille. 1914 28 juin : L archiduc héritier du trône d Autriche-Hongrie, François Ferdinand, et son épouse, sont assassinés à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) par Gavrilo Prinzip. Cet événement sert de prétexte à

Plus en détail

L Histoire en photos Ressources: Photos officielles du Première Guerre mondiale

L Histoire en photos Ressources: Photos officielles du Première Guerre mondiale Drainage des tranchées Dans la France du Nord et la Belgique gorgées de pluie, les tranchées, pendant une bonne partie de l année, n étaient plus que des fossés boueux. La vie y devenait encore plus pénible

Plus en détail

Communiqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc

Communiqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Les Voies de la Liberté Du 15 septembre 2015 au 28 mai 2016 Communiqué de presse Mémorial de la Shoah, CDLV82017 Le Mémorial En 2009,

Plus en détail

Comment sont nés les Etats-Unis?

Comment sont nés les Etats-Unis? Comment sont nés les Etats-Unis? Au début du 18ème siècle, l Amérique est composée de colonies européennes. En 1776, les 13 colonies Anglaises d Amérique du nord se révoltent et prennent le nom d Etats-Unis

Plus en détail

Les Républicains Espagnols sous Vichy et l occupation

Les Républicains Espagnols sous Vichy et l occupation Les Républicains Espagnols sous Vichy et l occupation Après le drame de l agression contre leur République par une partie de l armée soutenus par les dictateurs européens, après l épreuve de l exode et

Plus en détail

Ces efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.

Ces efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014. Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires

Plus en détail

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique

Plus en détail

Ne vas pas en enfer!

Ne vas pas en enfer! Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.

Plus en détail

INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE. Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI

INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE. Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI SOMMAIRE AVANT PROPOS 1 Partie LE COMBAT DU FANTASSIN ET DU TRINOME. Chapitre 1 - Le

Plus en détail

50e anniversaire des indépendances africaines et malgache

50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 1960-2010 29 Hommage aux anciens combattants africains et malgaches Dans le cadre des célébrations officielles du cinquantième anniversaire des

Plus en détail

LE 11 NOVEMBRE. Un Jour-Mémoire. Collection «Mémoire et Citoyenneté» MINISTÈRE DE LA DÉFENSE. Secrétariat général pour l administration

LE 11 NOVEMBRE. Un Jour-Mémoire. Collection «Mémoire et Citoyenneté» MINISTÈRE DE LA DÉFENSE. Secrétariat général pour l administration n 8 Collection «Mémoire et Citoyenneté» LE 11 NOVEMBRE Un Jour-Mémoire MINISTÈRE DE LA DÉFENSE Secrétariat général pour l administration DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES Le 11 Novembre

Plus en détail

Deux dentistes généraux de Panzer-Division : le Generalleutnant Karl Mauss, successeur du maréchal Rommel, et le Generalmajor Franz Bäke

Deux dentistes généraux de Panzer-Division : le Generalleutnant Karl Mauss, successeur du maréchal Rommel, et le Generalmajor Franz Bäke Deux dentistes généraux de Panzer-Division : le Generalleutnant Karl Mauss, successeur du maréchal Rommel, et le Generalmajor Franz Bäke par Xavier Riaud Karl Mauss (1898-1959) Karl Mauss naît le 17 mai

Plus en détail

Reconstitution tactique de la bataille de Morat 1476

Reconstitution tactique de la bataille de Morat 1476 Reconstitution tactique de la bataille de Morat 1476 Comité d'étude pour une reconstitution tactique de la bataille historique de Morat 1. LE PROJET RECONSTITUTION TACTIQUE DE LA BATAILLE DE MORAT - 1476

Plus en détail

CONSTRUCTION DE LA CIBLE

CONSTRUCTION DE LA CIBLE CONSTRUCTION DE LA CIBLE TACHES Jeux sur cibles fixes N 1 Remplir sa maison Posséder les plus de ballon que l adversaire. Au signal de l éducateur, chaque joueur part en course chercher un ballon dans

Plus en détail

Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but

Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but DE MATÉRIEL CONSÉQUENCE POUR ET DE BUTALLOPHONES 1 Notion de phrase Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but 1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE La subordonnée circonstancielle

Plus en détail

Photo : archbould.com. Faits éclairants à propos de l électricité

Photo : archbould.com. Faits éclairants à propos de l électricité Photo : archbould.com Faits éclairants à propos de l électricité Comment produit-on l électricité? Il est difficile d imaginer notre maison sans électricité. Il n y aurait pas de télévision, d ordinateur

Plus en détail

hier aujourd hui Mot du Directeur De Rivaud à Aboville

hier aujourd hui Mot du Directeur De Rivaud à Aboville B U R E A U D U S E R V I C E N A T I O N A L D E P O I T I E R S Mot du Directeur La loi n 97-1019 du 28 octobre 1997 portant réforme du service national a suspendu la conscription et instauré un service

Plus en détail

Dossier VI. Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises

Dossier VI. Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises 1 Dossier VI Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises A/ Les guerres au XX ème siècle 1 La Première Guerre mondiale (la «Grande Guerre») a) Quelles sont

Plus en détail

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91)

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) LA GUERRE FROIDE p82 à 89 Fiche d objectifs/plan détaillé Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) Comment à partir de 1947, Etats-Unis et l URSS s affrontent-ils

Plus en détail

ÊTES-VOUS PRÊT POUR UP? MAINTENANT, COMMENÇONS

ÊTES-VOUS PRÊT POUR UP? MAINTENANT, COMMENÇONS ÊTES-VOUS PRÊT POUR UP? MAINTENANT, COMMENÇONS 1 C EST VOUS, AVEC UN MODE DE VIE PLUS SAIN Bien sûr, nous savons qu'il est dans notre intérêt de manger plus sainement, de mieux dormir et de bouger davantage,

Plus en détail

Restauration du bureau de Georges Clemenceau à l Hôtel de Brienne

Restauration du bureau de Georges Clemenceau à l Hôtel de Brienne Restauration du bureau de Georges Clemenceau à l Hôtel de Brienne 17 novembre 2014 Sommaire 100 ans après le déclenchement de la Grande Guerre, le bureau de Georges Clemenceau restauré Le bureau de Georges

Plus en détail

Le Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56

Le Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 Le Grand Pont sous le Faouët. Département 56 Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons

Plus en détail

Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble

Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble mortderuegrenoble.wordpress.com La «barque-mémoire» et «la passerelle», construits en

Plus en détail

Assemblée générale Saint-Cyrienne

Assemblée générale Saint-Cyrienne Assemblée générale Saint-Cyrienne La grande école du commandement forme des chefs capables de décider en situation difficile, des chefs en vue du combat, quelle que soit sa nature Projet éducatif ciblé

Plus en détail

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? «En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.

Plus en détail

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE

Plus en détail

REVUE. Annexe : liste des règles coutumières du droit international humanitaire. Le principe de la distinction

REVUE. Annexe : liste des règles coutumières du droit international humanitaire. Le principe de la distinction Volume 87 Sélection française 2005 REVUE INTERNATIONALE de la Croix-Rouge Annexe : liste des règles coutumières du droit international humanitaire La liste ci-après est fondée sur les conclusions exposées

Plus en détail

LA BATAILLE DE DIEN BIEN PHU

LA BATAILLE DE DIEN BIEN PHU MINISTÈRE DE LA DÉFENSE Collection «Mémoire et Citoyenneté» n 39 LA BATAILLE DE DIEN BIEN PHU 13 mars-7 mai 1954 DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES ECPAD France Vue aérienne du camp

Plus en détail

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale Qu est-ce que ce film nous apprend sur l évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en France?

Plus en détail

Dossier de Presse PERGAUD

Dossier de Presse PERGAUD Dossier de Presse PROJET RHIZOME MASTER 1 PSM 2014 / 2015 UFR STGI MONTBÉLIARD Valentin Besson, Aymeric Bouchereau Romain Dax, Raphaël Guix Daria Gushchina, Arthur Yilmaz 00 / AVANT PROPOS Le dossier de

Plus en détail

SITUATION GENERALE Description du phénomène

SITUATION GENERALE Description du phénomène BULLETIN N 007 REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Fitiavana Tanindrazana Fandrosoana ------------------- MINISTERE DE L INTERIEUR ------------------ BUREAU NATIONAL DE GESTION DES RISQUES ET DES CATASTROPHES -----------------

Plus en détail

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous? Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)

Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945) Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre

Plus en détail

Notre enquête chez les pompiers de Dottignies

Notre enquête chez les pompiers de Dottignies Notre enquête chez les pompiers de Dottignies Questions proposées pour notre enquête chez les pompiers Equipe 1 (Emilie, Laura, Arnaud, Myriem) 1. Qu est-ce que vous avez dans les bonbonnes que vous portez

Plus en détail

Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas

Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas La présence juive aux Pays-Bas En 1579, l abolition de l Inquisition par la République hollandaise fait de ce pays une terre d accueil par excellence pour les

Plus en détail

Nourrir les oiseaux en hiver

Nourrir les oiseaux en hiver les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides?

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? Dans les régions occupées par l URSS, des divisions SS les Einsatzgruppen) massacrent systématiquement les Juifs à partir de 1941. Ils sont gazés

Plus en détail

LIBÉREZ PARIS 2014 REVIVEZ LA LIBÉRATION DE PARIS MUSÉE DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2014. INFORMATIONS www.liberationparis70. paris.

LIBÉREZ PARIS 2014 REVIVEZ LA LIBÉRATION DE PARIS MUSÉE DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2014. INFORMATIONS www.liberationparis70. paris. LIBÉREZ PARIS 2014 REVIVEZ LA LIBÉRATION DE PARIS DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2014 MUSÉE CARNAVALET MUSÉE DU GÉNÉRAL LECLERC ET DE LA LIBÉRATION DE PARIS MUSÉE JEAN MOULIN HÔTEL DE VILLE DE PARIS ÉVÉNEMENT

Plus en détail

SAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016

SAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016 SAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016 Vous n'aimez pas les voyages en groupe? Le voyage sur mesure vous paraît trop cher? Vous n êtes pas rassurés à l idée de voyager seul?

Plus en détail

Histoire - Géographie

Histoire - Géographie BRUZ Histoire - Géographie Collège Pierre Brossolette Caen UNE JOURNÉE DANS L'HISTOIRE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE Rennes CimetiEre allemand de LA CAMBE CimetiEre americain de Colleville O m a h a B

Plus en détail

LA DEFENSE PASSIVE A SAINT-NAZAIRE ET DANS LES COMMUNES ENVIRONNANTES

LA DEFENSE PASSIVE A SAINT-NAZAIRE ET DANS LES COMMUNES ENVIRONNANTES Fonds CAMPREDON LA DEFENSE PASSIVE A SAINT-NAZAIRE ET DANS LES COMMUNES ENVIRONNANTES REPERTOIRE METHODIQUE DU FONDS CAMPREDON INTRODUCTION 1. IDENTIFICATION Référence du service d archives : Intitulé

Plus en détail

LA RÉPUBLIQUE DE L ENTRE-DEUX- GUERRES : VICTORIEUSE ET FRAGILISÉE

LA RÉPUBLIQUE DE L ENTRE-DEUX- GUERRES : VICTORIEUSE ET FRAGILISÉE LA RÉPUBLIQUE DE L ENTRE-DEUX- GUERRES : VICTORIEUSE ET FRAGILISÉE Léon Blum Général de Gaulle Georges Clemenceau Maréchal Pétain De l Union sacrée à la fin de la 1ere guerre mondiale L UNION SACRE, c

Plus en détail

Mémoire de présentation du programme 2015

Mémoire de présentation du programme 2015 CONTRAT TERRITORIAL DU BLAVET MORBIHANNAIS 2014-2018 Mémoire de présentation du programme 2015 Après une première année consacrée à la mise en place de la cellule d'animation et à l'installation du nouvel

Plus en détail

A l entrée du quartier, les militaires venaient boire un verre de bière blonde «un canon». L école a été construite par Monsieur Pottier, avocat.

A l entrée du quartier, les militaires venaient boire un verre de bière blonde «un canon». L école a été construite par Monsieur Pottier, avocat. LES RESTOS DU CŒUR Lundi 17 octobre, deux dames qui sont bénévoles, sont venues répondre à nos questions. Les restos du cœur ont été créés en 1985 par Coluche pour donner un coup de pouce pendant la période

Plus en détail

La Seconde Guerre mondiale : guerre d anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes.

La Seconde Guerre mondiale : guerre d anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes. Première S, histoire LMA, 2011-2012 Thème 2 La guerre au XXe siècle Question 1 Guerres mondiales et espoirs de paix Cours 2 La Seconde Guerre mondiale : guerre d anéantissement et génocide des Juifs et

Plus en détail

Nous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :

Nous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention : Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le

Plus en détail

LISTE DES CENTRES D ARCHIVES CHARGES DE L ADMINISTRATION DES ARCHIVES MILITAIRES DEPARTEMENTS ET TERRITOIRES D'OUTRE MER

LISTE DES CENTRES D ARCHIVES CHARGES DE L ADMINISTRATION DES ARCHIVES MILITAIRES DEPARTEMENTS ET TERRITOIRES D'OUTRE MER MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES SERVICE HISTORIQUE DE LA DÉFENSE Centre des archives du personnel militaire LISTE DES CENTRES D ARCHIVES CHARGES DE L ADMINISTRATION

Plus en détail

La Défense Nationale et l emploi en Bretagne

La Défense Nationale et l emploi en Bretagne La Défense Nationale et l emploi en Bretagne Dossier coordonné par Patrick Jagaille La Défense est malmenée au gré des restructurations depuis plus de vingt ans. La professionnalisation des Armées, puis

Plus en détail

LIVRET DE L ASSAILLANT

LIVRET DE L ASSAILLANT LIVRET DE L ASSAILLANT Le gobelin poussa un cri en tentant de se libérer de ses liens. La corde de chanvre grossier retenait ses membres sur l autel tandis que le chamane brandissait sa dague sacrificielle.

Plus en détail

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE 2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES

Plus en détail

Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est

Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est Etre au contact d un territoire dynamique et innovant Découvrir l attractivité d une ville à la mer Vivre une soirée dans un cadre unique en

Plus en détail

GESTION DE VEHICULES. Tout système de gestion des clefs conduit à gérer ce à quoi elles donnent accès. GESTION DES CLEFS - GESTION DE VEHICULES

GESTION DE VEHICULES. Tout système de gestion des clefs conduit à gérer ce à quoi elles donnent accès. GESTION DES CLEFS - GESTION DE VEHICULES > GESTION DES CLEFS - GESTION DE VEHICULES 27 GESTION DE VEHICULES Tout système de gestion des clefs conduit à gérer ce à quoi elles donnent accès. > La première application naturelle qui s est imposée,

Plus en détail

70 e anniversaire de la Bataille de Normandie Les évènements organisés par le Conseil général de l Orne

70 e anniversaire de la Bataille de Normandie Les évènements organisés par le Conseil général de l Orne Le 6 juin 2014 Irène Martin-Houlgatte Conseil général de l Orne Print presse Tél 02 33 81 60 00 Poste 1226 LD 02 33 81 63 97 martin-houlgatte.irene@cg61.fr Blandine Bienfait Conseil général de l Orne Print

Plus en détail

EOI ARUCAS DEPARTAMENTO DE FRANCÉS DOSSIER LA VILLE ET LES PRÉPOSITIONS DE LIEU

EOI ARUCAS DEPARTAMENTO DE FRANCÉS DOSSIER LA VILLE ET LES PRÉPOSITIONS DE LIEU DOSSIER LA VILLE ET LES PRÉPOSITIONS DE LIEU VOCABULAIRE Choisissez la préposition appropriée. Les prépositions de lieu: Où sont-ils? Richard David Samuel Armand Carole Nicole 1) Armand est 2) Richard

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy. (< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits

Plus en détail

- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE

- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE - QUESTIONNAIRE HISTORIQUE HISTOIRE DES GARDES POMPES ET DU BATAILLON 1) De quel pays, Du Périer a-t-il rapporté la pompe à incendie pour laquelle il a obtenu un privilège royal en 1699? Hollande 2) Quel

Plus en détail

RÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02. Formation en gestion des ressources de l équipage

RÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02. Formation en gestion des ressources de l équipage RÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02 Contexte Formation en gestion des ressources de l équipage Le 7 janvier 2007, le Beech A100 King Air (immatriculation

Plus en détail

Une banque de données d ADN va aider à identifier les victimes de la dictature

Une banque de données d ADN va aider à identifier les victimes de la dictature Une banque de données d ADN va aider à identifier les victimes de la dictature Les parents vont aider à constituer le profil génétique des victimes du régime militaire 1 et les données seront comparées

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

CORRIGE DU CAHIER D HISTOIRE NIVEAU 3 ème LE MONDE DE 1918 A 1989

CORRIGE DU CAHIER D HISTOIRE NIVEAU 3 ème LE MONDE DE 1918 A 1989 CORRIGE DU CAHIER D HISTOIRE NIVEAU 3 ème LE MONDE DE 1918 A 1989 LA FAILLITE DE LA PAIX 1918-1939 PAGES 4-5 Quel nom porte ce traité? Le Traité de Versailles Comment l Allemagne le considère-t-elle? Comme

Plus en détail

! "# $ " % &# "' ()( ' *& +

! # $  % &# ' ()( ' *& + ! "# $ " % &# "' ()( ' *& +,- %,.,/*01(,2*3,2*3 4 5$')$,$'678$7 5$'$!'&""9$ Les personnages des peuples libres = Compagnons L Ombre = Serviteurs Chaqu un possède sa propre figurine et ses capacités sont

Plus en détail

Les Rencontres de la Boulangerie

Les Rencontres de la Boulangerie Les Rencontres de la Boulangerie Les Moulins Evelia et leur partenaire Gabopla, fournisseur de matières premières en boulangerie, organisent les premières Rencontres de la Boulangerie les 21, 22, 23 et

Plus en détail

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs

Plus en détail

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

0:51 Au Moyen-Âge, les femmes prennent activement part aux métiers de l artisanat et du commerce. Elles ont obtenu une certaine indépendance.

0:51 Au Moyen-Âge, les femmes prennent activement part aux métiers de l artisanat et du commerce. Elles ont obtenu une certaine indépendance. 00:22 La ville au Moyen-Âge est un espace de liberté. Celui qui possède le droit du citoyen, a la possibilité d accéder à la prospérité par le travail et l intelligence. Cela vaut aussi pour les femmes,

Plus en détail

Données générales à propos de l Estonie

Données générales à propos de l Estonie Données générales à propos de l Estonie Nom complet: République d Estonie Surface: 45,227 km² Capitale: Tallinn Autres grandes villes: Tartu, Narva et Pärnu Division régionale: il y a 15 comtés, 33 villes

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Origine, composition des fonds d archives C est la loi Jourdan du 15 septembre 1798 qui substitue

Plus en détail

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE La cyberdéfense sommaire LE PACTE DéFENSE CYBER...3 La cyberdéfense au ministère de la Défense...4 L organisation opérationnelle de la Cyberdéfense...5 l expertise technique en cyberdéfense dga maîtrise

Plus en détail

Otto, autobiographie d un ours en peluche

Otto, autobiographie d un ours en peluche Otto, autobiographie d un ours en peluche Présentation de l ouvrage Titre : Otto, autobiographie d un ours en peluche Auteur : Tomi Ungerer Editeur : Ecole des Loisirs Genre : album, fausse autobiographie

Plus en détail