La vapeur les deux côtés de la médaille
|
|
- Marie-Noëlle Rancourt
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La vapeur les deux côtés de la médaille Ateliers-Conférences sur le séchage du bois Vincent Lavoie, ing. f. Chercheur séchage du bois, 16 avril 2015
2 Introduction Objectifs de la présentation: Relever certains faits par rapport à l utilisation de la vapeur comme source d énergie lors du séchage Soulever une réflexion sur l utilisation de celle-ci et de ses impacts lorsque produite de façon insuffisante 2
3 Introduction Quelques statistiques (Québec) Fortin et al, 2003 Chaudières / vapeur Feu direct Déshumidification Proportion (%) * 88% des chaudières alimentées aux sous-produits de bois 3
4 Introduction Quelques statistiques (sondage canadien) Alexiadis et al, % Feu direct 12% Huile thermique SW: Softwoods (résineux) HW: Hardwoods (feuillus) SH: Softwoods and hardwoods (résineux et feuillus) 31% Vapeur 20% des répondants industriels du QC 4
5 Introduction 5 Quelques statistiques (Ateliers-Séchage CIFQ, 20 dernières années) Plus de 3 fois le nombre de présentations portant sur la vapeur et sujets connexes vs autres types de systèmes énergétiques - Raisons potentielles hypothétiques: Systèmes populaires au Québec Complexité d opération» Combustion / combustible / efficacité» Réseau (purgeurs)» Traitement de l eau» Entretien, etc.
6 Contexte - vapeur au QC Populaire Coût de combustible très faible (sous-produits de bois) Situation de sous capacité fréquente surtout en hiver Besoins thermiques autre que séchage Coût investissement et classes de surveillance limitant décisions de bonification énergétique Type installation Puissance max. surveillance périodique (BHP)* Chaudière haute pression Tube fumée 612 Tube eau 917 Chaudière basse pression Tube fumée Tube eau * Supérieur à ces valeurs demande surveillance interrompue 6
7 La vapeur les principaux avantages Plage de températures d opération (fct de la pression d utilisation) Si combustible = biomasse faible coût énergétique d opération source d énergie verte (environnement) Génération de vapeur pour humidifier au besoin Bois d apparence et de spécialité (feuillus et résineux) - Bémol lors du séchage à basse température 7
8 La vapeur coûts à considérer Coût d investissement élevé (chaudière 600 BHP, coût ~ 1 à 2 Millions $) Traitement de l eau Produits chimiques (~ 16 K$/an)* Sel pour l adoucisseur (~ 7 K$/an)* Entretien Nettoyage - Annuel «shut-down» (service ~ 3 K$/an)* + main d œuvre - Périodique lorsque nécessaire Réparations Main d œuvre Qualifiée, dédiée à la surveillance et à l entretien (durée surveillance et classe MMF varient en fct de la puissance et type de chaudière) * Usine typique de 680 Mpmp de capacité de séchage 8
9 La vapeur ses côtés plus sombres Pertes de qualité (variation TH) lors de mauvais fonctionnement du système Thibault, F. (2008) Conclusion de l étude: Pour 15 à 20 F d écarts de température: 1,5% de différence de teneur en humidité moyenne 9
10 La vapeur ses côtés plus sombres Pertes de productivité Périodes d entretien Augmentation anormale de temps de séchage en hiver (sous capacité thermique) 10 Temps de montée en T de 12 heures et ce n est pas rare 21% du temps de cycle!
11 L hiver et l énergie - contexte Demande maximale / offre énergétique minimale: Le bois + humide + froid Pertes thermiques plus grandes Combustible plus humide (perte de rendement) Besoins thermiques autres sur le site (bassins de trempage, chauffage etc.) 11
12 Cas typique sous-capacité *Utilisation outil bilan énergétique UL Hypothèses: Nombre de séchoirs: 3 Capacité individuelle des séchoirs: 200 Mpmp Capacité de la bouilloire: 600 BHP (1 BHP/Mpmp) Essence: Épinette noire TH initiale - Hiver: 50% - Été: 45% 6 étapes au programme de séchage 12
13 Impact sous-capacité (simulation) 6 étapes au programme de séchage Étape Température sèche ( F) Température humide ( F) Montée T Étuvage Séchage Séchage Séchage Séchage
14 Impact sous-capacité (simulation) Scénario simulé sans limitation de puissance Étape Temps cumulé (h) Été TH (%) Temps cumulé (h) Hiver TH (%) Initial Montée T Étuvage (0,3%/h) (0,3%/h) Séchage (1,2%/h) (1,2%/h) Séchage (1,0%/h) (1,0%/h) Séchage (0,7%/h) (0,7%/h) Séchage (0,5%/h) (0,5%/h) 14
15 Impact sous-capacité (simulation) Besoins en puissance par étape (pour 1 séchoir) Étape Puissance(BHP) Été Hiver Montée T Étuvage Séchage Séchage Séchage Séchage Puissance moyenne suffisante Puissance instantanée parfois insuffisante Puissance hiver Montée T >> été Hiver = + pertes thermiques ( T + grand) MOYENNE
16 Impact sous-capacité (simulation) Scénario 1 Puissance suffisante été comme hiver Puissance instantannée (BHP) Séchoir #1 - Montée T Séchoir #2 - Séchage 2 Séchoir #3 - Séchage 4 0 Été Hiver 16
17 Impact sous-capacité (simulation) Scénario 2 Puissance insuffisante en hiver Puissance instantannée (BHP) Impact: + 3 heures séchoirs 1 et 2 Séchoir #1 - Montée T Séchoir #2 - Montée T Séchoir #3 - Séchage 4 0 Été Hiver 17
18 Impact sous-capacité (simulation) Scénario 3 Puissance insuffisante été comme hiver Puissance instantannée (BHP) Impact: + 5,5 heures séchoirs 1 et 2 Séchoir #1 - Montée T Séchoir #2 - Montée T Séchoir #3 - Séchage 1 0 Été Hiver 18
19 Impact de l augmentation anormale du temps de séchage en hiver Productivité globale affectée Temps de séchage Impact Changements de produits plus fréquents Fermeture temporaire 19
20 Impact sous-capacité Situation industrielle Caractéristiques de deux sites étudiés Produits Forestiers Résolu Essence: épinette noire Même région géographique Chaudière résidus Même contrôleur 20
21 Impact sous-capacité Situation industrielle Temps de séchage (heures) Site 1 (Puissance 1,3 à 1,5 BHP/Mpmp) + 8 heures hiver vs été
22 Impact sous-capacité Situation industrielle Moy. + 8 heures Temps de séchage (heures) Différence Site 2 (Puissance 0,75 BHP/Mpmp) Site 1 (Puissance 1,3 à 1,5 BHP/Mpmp) + 16 heures hiver vs été
23 Situation industrielle Impact (capacité de séchage) Capacité de séchage (Mpmp) Temps de séchage en hiver (hres) Capacité insuffisante Capacité suffisante 1000 (4 séchoirs de 250 Mpmp) Temps d opérations (hres) 4700 Volume séché (Mpmp) Impact en capacité de Mpmp/an Pertes de revenus de 491 K$ considérant: Contexte sous-capacité Valeur ajoutée de 50$/Mpmp pour bois sec 23
24 Solutions court terme (hiver) Récupération de chaleur - évents Bois préséché à l air Solutions alternatives de chauffage pour besoins ǂ séchage Source de chaleur complémentaire (séchage hybride) Gestion du combustible (rendement) 24
25 Alternatives à considérer + long terme Coûts d opération relativement similaires Systèmes feu direct - sous-produits (résidus) Système à l huile thermique - sous-produits (résidus)* Autres systèmes pouvant être discutés avec vos fournisseursmanufacturiers *Surveillance: chaudière à l huile thermique Type installation Puissance max. surveillance périodique (BHP) Chaudière liquide thermique Toutes les classes de MMF peuvent assurer la surveillance 25
26 Conclusions Les besoins énergétiques varient considérablement en fonction des saisons L augmentation du temps de séchage en hiver devrait presqu uniquement être attribuable à la teneur en humidité initiale du bois plus élevée Les augmentations anormales de temps de séchage observés dans plusieurs usines en hiver au Québec sont causées par un manque de puissance thermique des chaudières 26
27 Conclusions L utilisation de la vapeur au séchage qui comporte ses avantages peut également provoquer des coûts cachés en qualité et en productivité (lorsque produite de façon insuffisante) D un point de vue procédé, la performance du séchage ne devrait pas dépendre du système énergétique. Le système énergétique devrait toujours être au service du procédé 27
28 Références bibliographiques Alexiadis et al, Canadian kiln drying survey: Benchmarks of problems and issues and a comparison to Europe. Journal of the Institute of Wood Science. 17(4) : Fortin, Y., M. Savard et M. Amazouz Programme de réduction de la consommation énergétique des séchoirs industrie du bois phase I : portrait global du parc de séchoirs du bois de sciage au Québec. Fortin, Y. Outil de calcul bilan énergétique. Université Laval. Règlement et loi sur les mécaniciens de machines fixes. Gouvernement du Québec. Thibault, F Impact des variations de températures dans les séchoirs. Ateliers-Conférences sur le séchage du bois du CIFQ. 28
29 Remerciements François Chabot, Bois Daaquam Jean-François Martel, Produits Forestiers Résolu Marc Savard, FPInnovations 29
30 Merci Pour plus d informations, contactez Vincent Lavoie, Suivez-nous
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailAQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw
COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détail16/05/2012. 15 et 16 mai 2012
15 et 16 mai 212 Le monitoring i centralisé Par Michel Morin Coordonnateur à l énergie et à l entretien de la Commission scolaire des Samares Plan de la présentation Le monitoring énergétique? Une solution
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailAnimation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets.
Le Bois Énergie Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr Animation du sur les Pyrénées Orientales Animation, Information Conseils et accompagnement des projets Réalisation de pré-diagnostics tecnico-économiques
Plus en détailLa rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006
La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailService de Securite lncendie de Montreal
Service de Securite lncendie de Montreal Rapport SSD0047R - Date Heure 205/02/6 06:59 Parametres utilises : Entre Date (Heure) et Date (Heure) No Intervention No Employe - NIP 203/0 /0 00:00:00 203/2/3
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailDP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur
DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée
Plus en détailObjectifs présentés. Discussion générale
Risque de feux et productivité forestière, de part et d autre de la limite nordique d attribution des forêts dans un contexte de changements climatiques Sylvie Gauthier Collaborateur : Yves Bergeron, Martin
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailLa demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME
La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME François MOISAN Directeur exécutif Stratégie, Recherche, International Directeur Scientifique
Plus en détailVARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE. www.zubler.de
FR VARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE www.zubler.de Made in Germany Précision, innovation, pérennité et haute qualité. De telles valeurs sont pour nous
Plus en détailSynthèse N 6. Les unités du boisénergie
Mémento aquitain du bois énergie Synthèse N 6 Synthèse bibliographique Les unités du boisénergie Octobre 2013 2 Les unités du bois-énergie Objectifs : Connaître les unités du bois énergie. Clarifier les
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détailNotice d emploi. Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI
Notice d emploi Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI Table des matières LIRE ATTENTIVEMENT AVANT UTILISATION 1 Lisez-moi... 2 1.1 Bienvenue... 2 1.2 Enregistrement de votre garantie... 2
Plus en détailLE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:
LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détailArrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailCommandes et dispositifs de sécurité des chaudières automatiques
Fi che te chnique d en treti en pr é ven ti f Commandes et dispositifs de sécurité des chaudières automatiques Il est primordial, pour rendre le fonctionnement des chaudières automatiques (bouilloires)
Plus en détailLe monitoring. Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith. André Servais, Stadtwerke St-Vith
Le monitoring Chaufferie et réseau de chaleur de St-Vith André Servais, Stadtwerke St-Vith SITUATION DE DEPART 5 biens fonciers: o Puissance totale installée: o Consommation annuelle: 4.950 kw / 12 chaudières
Plus en détailMulti Menu franchising inc. Franchiseur 1700 Boul. St-Elzear Ouest, local 105 Laval, Qc H7L 3N2 1-877-462-0056 info@multimenu.ca
Multi Menu franchising inc. Franchiseur 1700 Boul. St-Elzear Ouest, local 105 Laval, Qc H7L 3N2 1-877-462-0056 info@multimenu.ca Bonjour, Nous vous remercions de votre intérêt pour Multi Menu. Si vous
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailCURRICULUM VITÆ. Jacques C.P. Bellemare, ing., mba. Adresse 398 De Lévis, Boucherville, (Québec), J4B 5H9
CURRICULUM VITÆ Jacques C.P. Bellemare, ing., mba Adresse 398 De Lévis, Boucherville, (Québec), J4B 5H9 Téléphone (514) 655-4418 Télécopieur (514) 655-9268 Courrier électronique JCPBelle@aol.com FORMATION
Plus en détailDe l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques
De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailFRANCAIS MANUEL D UTILISATION THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26
MANUEL D UTILISATION FRANCAIS THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26 www.thermo-flash.com APPRENTISSAGE RAPIDE DU THERMOFLASH LX-26 Le ThermoFlash LX-26 est pré-paramétré en sortie
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailImputation du salaire d ego dans TeO
Imputation du salaire d ego dans TeO Objet de la note : linéariser la réponse en tranche du salaire, et imputer le salaire en cas de non réponse Champ et principe de la méthode Les individus qui se sont
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailLe premier dispositif 4 en 1.
TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailFORMATS DE JEU POUR LA PRATIQUE DU SOCCER AU QUÉBEC FÉDÉRATION DE SOCCER DU QUÉBEC
FORMATS DE JEU POUR LA PRATIQUE DU SOCCER AU QUÉBEC FÉDÉRATION DE SOCCER DU QUÉBEC MARS 2011 CHEMINEMENT IDÉAL DU JOUEUR DE SOCCER AU QUÉBEC STADES 1 DÉPART ACTIF 2 LES FONDAMEN- TAUX 3 L ÂGE D OR DE L
Plus en détailL évaluation de la rentabilité d un investissement
L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire
Plus en détailRéussir ses communications aux employés
Réussir ses communications aux employés Jimmy Carbonneau Conseiller principal, comptes nationaux Desjardins Assurances Lyne Lebel Directrice corporative, rémunération globale Kruger Inc. L'épargne-retraite
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013
PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10
Plus en détailLe point en recherche
Le point en recherche D écembre 2011 Série technique 11-101 Suivi du rendement de chauffe-eau sans réservoir ayant remplacé des chauffe-eau avec réservoir Contexte Le chauffe-eau est le plus grand consommateur
Plus en détailFEUILLE D'INSTRUCTION N 15
Bundesamt für Bevölkerungsschutz Office fédéral de la protection de la population Ufficio federale della protezione della popolazione Uffizi federal da protecziun da la populaziun Département fédéral de
Plus en détailNOTICE D INSTALLATION
BALLON THERMODYNAMIQUE MONOBLOC EAU CHAUDE SANITAIRE NOTICE D INSTALLATION Lisez attentivement la notice d installation avant le montage de l appareil www.airtradecentre.com SOMMAIRE A. REMARQUES IMPORTANTES...
Plus en détailFeuille de temps Codes de déclaration des exceptions et des heures de travail
Feuille de temps Codes de déclaration des exceptions et des heures de travail 1. Association du personnel administratif professionnel de l Université Laval (APAPUL) 2. Association des cadres supérieurs
Plus en détailCHAUFFAGE PAR LE BOIS ESPACE AQUALUDIQUE DE CARHAIX PREMIER RETOUR D EXPERIENCE APRES TROIS ANNEES DE FONCTIONNEMENT
CHAUFFAGE PAR LE BOIS ESPACE AQUALUDIQUE DE CARHAIX PREMIER RETOUR D EXPERIENCE APRES TROIS ANNEES DE FONCTIONNEMENT 1 2 3 4 5 DEFINITION DES EQUIPEMENTS AQUATIQUES Cet espace aqualudique sports-loisirs
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailCarbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises
PLAN DE COURS FORMATION SUR LE MARCHÉ DU CARBONE POSSIBILITES DE CRÉATION DE CRÉDITS DE GAZ À EFFET DE SERRE Mise en contexte Depuis quelques années, les activités de réduction de gaz à effet de serre
Plus en détailNOTICE D EMPLOI SLT-TR
Tel.: +33 (0) 972 3537 17 Fax: +33 (0) 972 3537 18 info@pce-france.fr NOTICE D EMPLOI SLT-TR Symbole d avertissement Attention: Ne pas exposer le terminal d entrée à une tension de surcharge ou au courant.
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détailRéduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture
Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,
Plus en détailRapport 2014 sur le financement des régimes de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014
Rapport 2014 sur le financement des de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014 Commission des services financiers de l Ontario Mars 2015 Table des matières 1.0
Plus en détailMANUEL D INSTRUCTIONS K-STAR ÉLECTRIQUE Chauffe-piscine/spa électrique
GARANTIE (Valide uniquement pour le propriétaire initial) Le chauffe-piscine/spa K-Star est garanti à l acheteur original pendant un an à partir de la date d achat contre tout défaut de fabrication. Exception
Plus en détailPGA EXPERTS INC. Gicleurs vs Panneau d alarme incendie?
PGA EXPERTS INC Gilles Carrier T.P. PRÉSENTENT Gicleurs vs ACAI CFAA 12 novembre 2014 Présentation du Conférencier GILLES CARRIER T.P. EST UN FINISSANT DU COLLÈGE LIMOILOU EN MÉCANIQUE DU BÂTIMENT ET DEPUIS
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailNouvelle réglementation
Nouvelle réglementation [ ecodesign ] Directive 2009/125/EC à compter du 01/01/2013, les importations de produits à faible efficacité énergétique SEER et SCOP seront interdites en Europe La nouvelle réglementation
Plus en détailTaille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique.
Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique Alexandre SOKI cole Supérieure du ois Atlanpôle P 10605 Rue hristian Pauc 44306
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailCONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH
CONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH DEMANDEUR DE LA PRE-ETUDE Commune de Breitenbach 4, place de l église 67220 BREITENBACH Tél
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Page 1 sur 5 http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/environnement/index.php?avertisseur Santé environnementale > Environnement intérieur > Monoxyde de carbone > Avertisseur Avertisseur de monoxyde
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailL évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement
L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel
Plus en détaildirect serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com
FR direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com 4 3 2 1 71mm 5 6 7 1 2 3 4 5 6 OK Click NO 7 8 9 150ml 10 Nous vous remercions d avoir choisi un appareil de la gamme Moulinex. CONSIGNES DE SECURITE
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailCHAUFFE-EAU RÉSIDENTIELS ÉLECTRIQUES
HUFFE-EU RÉSIDENTIELS ÉLETRIQUES hauffe-eau standards disponibles dans les modèles 30, 40 et 60 gallons hauffe-eau ascade et Super ascade 9 disponibles dans les modèles 40 et 60 gallons ONÇU POUR DURER
Plus en détailManuel 6330084190. SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. 6330084190
SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. Manuel français SAFE-O-TRONIC access Serrure d armoire 1 Indications concernant ce manuel Document number: FR_042014
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailFlanqué d une montagne de documents généalogiques,
PIERRE RACINE L univers des col PHOTOS : JAMES WAGNER Flanqué d une montagne de documents généalogiques, Jean-Pierre Pépin, propriétaire du Fonds de l Institut généalogique Drouin, pelote ses archives
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailSécuritaire Fiable Sans gluten Programme de certification sans gluten
Sécuritaire Fiable Sans gluten Programme de certification sans gluten www.glutenfreecert.com ALLERGEN CONTROL GROUP INC. L Allergen Control Group Inc. (ACG) est représenté par une équipe d experts de l
Plus en détailDu Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax
Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et
Plus en détailLes nouvelles filières de valorisation des bois
www.fpinnovations.ca Les nouvelles filières de valorisation des bois Congrès 2010 OIFQ Retour sur notre futur Hervé Deschênes, Vice-président Québec, 22 septembre 2010 Plan de présentation Pourquoi parle-t-on
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailPrésentation de la société
Présentation de la société Janvier 2013 62 rue Jean Jaurès 92800 Puteaux 01 75 43 15 40 www.enertime.com SAS au capital de 90 930 Siège social : Puteaux (92) Date de création : Février 2008 Levée de fonds
Plus en détailGroupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse
Groupe ROQUETTE Usine de BEINHEIM Chaufferie Biomasse Congrès «Eco-technologies pour le futur» - Lille - 14 juin 2012 Plan de la présentation Le groupe ROQUETTE Notre site de BEINHEIM Nos motivations environnementales
Plus en détailFAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE
FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24
Plus en détailRapport annuel 2013 2014. Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014. www.crepic.ca
Rapport annuel 2013 2014 Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014 www.crepic.ca Table des matières MEMBRES DU COMITÉ DE GESTION... 4 STATISTIQUES SUR DIFFÉRENTES RECHERCHES DES
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailCOURS GRATUITS. A- Approche de quelques fonctions du tableau de bord et leur signification respective
COURS GRATUITS CHAPITRE 4 : LE TABLEAU DE BORD INTRODUCTION Un système asservi est constitué des trois entités : - Les éléments de commande et de consigne - Les éléments de traitement d exécution (partie
Plus en détailCommunauté de Communes des 4B Sud-Charente
Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types
Plus en détailFiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010. Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif acrylique VHB
Dual Lock 250 Système de fixation ouvrable et refermable Fiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010 Description du produit Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailLa combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires
La combinaison naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Informations préliminaires 2 Le futur c'est maintenant 3 et le futur est plus respectueux de l'environnement,
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailIntensifier l aménagement forestier pour un réseau industriel optimisé
Intensifier l aménagement forestier pour un réseau industriel optimisé Luc LeBel Directeur Consortium de recherche FORAC 21 Novembre 2012 Colloque sur l intensification de l aménagement forestier au BSL
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détailIMMEUBLES A VIVRE BOIS UN PROJET EN MOUVEMENT
ACTIONS ADIVBOIS 2014-2017 Fonctionnement et communication Groupe de pilotage 3 ans 1 Suivi techno-administratif Equipe permanente, secrétariat des commissions + frais / Rétribution d'experts / Suivi /
Plus en détail