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1 ECONOMIC RESEARCH ING FOCUS July 2010 N octobre 2012 ING Focus External trade Le commerce extérieur belge à travers la crise Croissance du PIB 2,0% 1,5% 1,0% 0,5% 0,0% -0,5% -1,0% BE Bron: Thomson Reuters, ING Inflation 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0% EZ BE EZ Source: Thomson Reuters, ING Après avoir durement souffert au début de la crise, le commerce extérieur belge progresse à nouveau et a même dépassé son niveau d avant crise. Entre la première moitié de 2008 et la première moitié de 2012, les exportations de marchandises ont ainsi progressé de 6% en valeur. Cependant, les exportations sont loin d avoir progressé de manière homogène. Sur le plan géographique, il est intéressant de voir que le phénomène de diversification observé au cours de la dernière décennie a connu un mouvement d accélération durant le crise : les exportations vers la zone euro restent majoritaires (57%), mais leur part dans les exportations a perdu pas moins de 5 points en 4 ans. La croissance des exportations est donc très largement due aux exportations vers les pays émergents et l Amérique du nord. La composition des exportations vers la zone euro s est elle aussi modifiée au fil de la crise européenne. En effet, les exportations vers les pays de la périphérie se sont contractées de pas moins de 20% durant les quatre dernières années, un phénomène qui illustre par ailleurs l ajustement des balances commerciales de ces pays. Sur le plan sectoriel, les principaux secteurs d exportations ont tiré la croissance vers le haut pendant les années de crise (secteur pharmaceutique, diamantaire, alimentaire, pétrolier) alors que certains secteurs industriels (métallurgie, machines) ont subi la forte baisse de conjoncture. Par ailleurs, la perte de vitesse de certains secteurs (automobile et textile) s est fortement accentuée ces cinq dernières années. Enfin, on notera encore que la balance commerciale de la Belgique est restée déficitaire tout au long de la crise, principalement en raison de prix pétroliers élevés. Redresser la balance commerciale dans un contexte de prix pétroliers durablement élevés reste un défi majeur pour le commerce extérieur belge. Evolution du commerce extérieur belge (milliards ) Philippe Ledent Senior Economist Bruxelles Philippe.ledent@ing.be Julien Manceaux Senior Economist Bruxelles Julien.manceaux@ing.be I 2008-II Source: Belgostat III 2008-IV 2009-I 2009-II 2009-III 2009-IV Exportations 2010-I 2010-II 2010-III 2010-IV Importations 2011-I 2011-II 2011-III 2011-IV 2012-I 2012-II Economic Research DISCLAIMER EN DERNIERE PAGE 1

2 Les précédents numéros de ING Focus External trade ont dressé les grandes tendances du commerce extérieur belge au cours de la dernière décennie, tant sur le plan géographique que sur le plan sectoriel. Ce numéro analyse les quatre dernières années avec plus de précision, en cherchant à comprendre quelles ont été les évolutions majeures en matières d exportations au cours d une période marquée par la crise économique et financière, mais aussi par la crise de l euro. 1. Seul moteur de croissance Après avoir plongé de 25% aux premiers moments de la crise les exportations ont à présent dépassé leur niveau d avant crise. Les exportations belges représentaient 115,7 milliards durant la première moitié de Durant la même période de 2012, elles représentent 122,9 milliards, soit 6% de plus en valeur. Cela ne représente pas une croissance très importante, d autant plus en considérant l augmentation des prix des produits exportés. Cependant, il ne faut pas oublier que lorsque le choc de la crise financière a frappé l économie mondiale en fin 2008, les exportations ont diminué de pas moins de 25%. La croissance quasi continue du commerce mondial et des exportations belges depuis la seconde moitié de 2009 a permis à celles-ci de dépasser récemment leur niveau d avant crise. Elles ont également été un moteur de croissance de l économie, alors même que la demande intérieure n a que faiblement contribué à la croissance, particulièrement depuis plus d un an et demi. Mais si les exportations ont rattrapé le handicap accumulé durant les premiers moments de la crise, cela ne signifie pas que leur composition n a pas changé. Au contraire, le commerce extérieur a connu des changements importants, qui sont l illustration de l évolution de l économie européenne et mondiale. Ces changements représentent également un défi majeur pour les entreprises belges. 2. Ouverture sur le monde Les exportations restent essentiellement tournées vers la zone euro Mais la crise a accéléré un mouvement d ouverture probablement irréversible compte tenu de la structure de la croissance mondiale. On le sait, les exportations belges sont essentiellement tournées vers les pays de la zone euro. Durant la première moitié de 2008, près de 63% des exportations de marchandises étaient destinées aux pays partenaires de la zone. Cette proportion atteint même 76,5% en comptant l ensemble des pays de l Union européenne. Cette caractéristique a souvent été vue comme un désavantage pour les exportateurs belges, dans la mesure où cela implique d une part une assez forte concentration du risque géographique pour les exportations, et d autre part que les exportateurs ne profitent pas pleinement et directement de la forte croissance économique dans d autres régions du monde. Néanmoins, on avait déjà pu observer au cours de la dernière décennie une plus grande ouverture des entreprises belges sur le monde. Cette tendance a connu un mouvement d accélération au cours des quatre dernières années. En effet, alors que les exportations vers les pays de la zone euro se sont repliées de 3,4% entre 2008 et (-4,1% pour les exportations à destination des pays de l UE hors zone euro), elles ont progressé de l ordre de 50% à destination de l Amérique du nord et des pays BRIC 3. Par conséquent, la contribution de la croissance des exportations vers l Amérique du nord et les BRIC dans la croissance totale atteint respectivement 2,0 points et 2,8 points alors qu ensemble, les exportations vers ces deux régions ne représentent «que» 13,4% des exportations belges. Compte tenu de ces évolutions, la part des exportations vers la zone euro a perdu près de 5 points et est tombée à 57,2% (69,3% pour l ensemble de l Union européenne) en Un tel phénomène n est en soi pas étonnant. Il montre simplement que les exportations suivent l évolution de la structure de l économie mondiale, et donc aussi que les exportateurs modifient leur activité en fonction de cette évolution. Alors que la zone euro a beaucoup de mal à retrouver le chemin de la croissance, il est normal que les exportations à destination de la zone soient en perte de vitesse, et donc que sa part diminue dans le commerce global de la Belgique. En réaction, les exportateurs cherchent 1 Selon le concept national. Il a en effet été délibérément choisi d utiliser le concept nationale du commerce extérieur dans ce numéro de ING Focus External trade, dans la mesure où celui-ci capte mieux le commerce donnant lieu à une réelle activité en Belgique. 2 On considère ici la première moitié de 2008 et la première moitié de Cette augmentation ne peut pas être uniquement expliquée par des effets de changes. Le taux de change nominal effectif de l euro ne s est déprécié que de 15% entre 2008 et

3 la croissance là où elle est. Les pays émergents continuent leur développement à des rythmes enviables, et représentent donc des marchés en forte croissance. Parallèlement, même si l économie américaine soufre encore de nombreux déséquilibres et que la croissance y est inférieure au potentiel, elle reste sur un mode de croissance qui favorise ses importations. Le développement des exportations dans certains secteurs particuliers explique également le dynamisme du commerce à destination de l Amérique du nord (voir ci-dessous). Gr 1 Décomposition géographique des exportation en 2012 (2008) Gr 2 Evolution des exportations (2008 H1 = 100) BRIC 8% (5,3%) Amérique du Nord 6% (4,1%) Autres 17% (14,2%) Union européenne hors zone euro 12% (13,4%) Zone euro 57% (62,9%) I 2009-I 2010-I 2011-I 2012-I Zone euro UE hors zone euro Amérique du Nord BRIC Autres Total Source: Belgostat, Thomson Reuters Les exportations vers les partenaires de la zone euro subissent également des changements importants.marqués surtout par un écroulement des exportations vers les pays de la périphérie alors que les exportations vers le cœur de la zone se sont reprises. En conclusion, les tendances observées sur la dernière décennie se sont fortement exsacerbées durant la crise. Source: Belgostat La structure du commerce intra-zone euro reflète également les évolutions économiques liées à la crise économique grave que connaissent certains pays. Ainsi, nous avons voulu savoir comment ont évolué les exportations vers les différents pays de la zone euro en regroupant ceux-ci en trois groupes : le cœur de la zone (DE, FR, NL, AT, LU, FI), la périphérie (IT, ES, PT, GR, IR) et les autres pays. Pour rappel, les exportations vers l ensemble de la zone ont diminué de 3,4% entre 2008 et Les exportations vers le cœur de la zone euro (qui représente 83% des exportations vers la zone euro) ont, en valeur, retrouvé leur niveau d avant crise là où les exportations vers les pays de la périphérie ont diminué de pas moins de 20% sur la même période. La diminution des exportations vers la zone euro est donc entièrement liée à la crise que connaissent les pays périphériques. Cette crise entraîne d importants ajustements dans les pays de la périphérie, notamment en matière de balance commerciale. Une récente étude du think-tank Bruegel 4 montre d ailleurs que les balances commerciales des pays de la périphérie envers leurs partenaires de la zone euro se sont majoritairement rééquilibrées. La chute des exportations belges vers ces pays n est donc rien d autre que le reflet de ce rééquilibrage, par ailleurs indispensable pour la soutenabilité de ces pays. Ce dernier, s il est positif à court terme, devra néanmoins être poursuivi par un renforcement des liens commerciaux (exportations ET importations) entre les pays de la périphérie et ceux du cœur de la zone euro. A défaut de cela, une segmentation de la zone apparaîtra et serait dommageable à la pérennité de celle-ci. En conclusion, les tendances perçues au cours de la dernière décennie se sont accélérées au cours des quatre dernières années. La diversification observée dans la composition des exportations est positive pour la santé des entreprises exportatrices, car elle permettra de profiter de mieux en mieux des marchés en croissance, alors que les partenaires commerciaux traditionnels de la Belgique souffrent d une croissance ralentie. 4 Cf. Z. Darvas (08/2012) : Intra-euro rebalancing is inevitable but insufficient (Bruegel policy contribution 2012/15) 3

4 Gr3 Evolution et décomposition des exportations vers la zone euro (2008 H1 = 100) I 2009-I 2010-I 2011-I 2012-I Zone euro Core Périphérie autres Source: Belgostat 3. Tendances sectorielles Les principaux secteurs d exportations ont bien résisté à la crise et des secteurs moins importants ont également fortement contribué à la reprise de 2009 Au niveau sectoriel, les changements de structure depuis le début de la crise financière sont moins frappants. En effet, il se trouve que les secteurs qui ont connu la plus forte croissance depuis 2008 sont également les principaux secteurs d exportations belges (Cf. Graphique 5). Ainsi, le premier contributeur à la croissance des exportations belges, les produits pharmaceutiques (et en particulier les médicaments 6% 5 de nos exportations au début 2012) soit le chapitre 30 de la nomenclature harmonisée, a vu ses exportations doubler entre le début 2008 et le début Deux autres secteurs d exportations importants font également partie des croissances les plus rapides de la période de crise : les combustibles (chapitre 27 notre principale exportation avec 12,3% du total exporté au début 2012) et les produits de chimie organique (chapitre 29 4,7% 6 de nos exportations au début 2012) ont progressé respectivement de 18,6% et 15%, contre un rythme moyen de 6% pour les exportations totales. D autres secteurs ont fortement contribué à la croissance des exportations : le secteur des produits alimentaires transformés (chapitres 15 à 22 5% de nos exportations au début 2012) et les diamants (chapitre 71 7,5% de nos exportations au début 2012) qui ont cru de respectivement 18% et 24% pendant la crise. Il semble donc bien que les principaux secteurs dans lesquels la Belgique se soit spécialisée soient aussi ceux qui ont le mieux résister à la crise et le plus participé à la reprise de Deux exceptions notables à signaler : les machines mécaniques (chapitre 84) et les matières plastiques (chapitre 39) ont très peu contribué à la croissance malgré le fait qu elles occupent une Les baisses les plus fortes n ont pas frappé les plus gros secteurs 5 Il faut signaler ici que l ING Focus 2012-I utilisait à des fins de comparaison internationales les données d Eurostat calculées selon le concept dit «communautaire», concept qui inclut dans les statistiques les activités d import-export pour lesquelles les produits ne subissent aucune transformation porteuse de valeur en Belgique. Or, comme la Belgique est devenue depuis une petite dizaine d année un pôle logistique très important pour les produits pharmaceutiques, ce secteur apparaissait comme le plus important selon le concept communautaire (12% des exportations en 2010), mais n est que le sixième (6,5% des exportations en 2010) en concept national. En réalité le commerce du chapitre 30 en concept national représente seulement 30% des activités mesurées en concept communautaire. Le présent Focus utilise le concept national puisque c est lui qui est à la base du calcul de la croissance du PIB (le sujet de ce Focus étant de voir quelles zones géographiques et quels secteurs sont des moteurs de la reprise). 6 Le même commentaire s applique au secteur de la chimie organique : le commerce du chapitre 29 en concept national représente seulement 47% des activités mesurées en concept communautaire : plus de la moitié des activités de ce commerce en Belgique ne fait donc pas l objet d une valeur ajoutée sur le sol national. 4

5 place importante dans nos exportations : respectivement 7,8% et 7,1% de nos exportations totales au début mais certains secteurs industriels importants ont été victimes du cycle économique défavorable Si les hausses les plus fortes ont été enregistrées dans nos principaux secteurs, les baisses les plus fortes concernent des secteurs ayant moins de poids et étant vulnérables aux variations de la demande industrielle, cyclique. Il s agit, de manière anecdotique car ces secteurs représentent moins d 1% de notre commerce extérieur, du bois et du verre (dont les exportations ont baissé de 22% depuis le début 2008). Malgré tout, des secteurs de poids ont aussi vu des baisses importantes de leurs exportations : ainsi de la métallurgie (chapitres 72 et 73 6,7% de nos exportations au début 2012) et des machines électriques (chapitre 85 3,3% de nos exportations au début 2012) qui ont baissé de respectivement 20% et 15%. Ces secteurs sont très vulnérables aux variations de la demande industrielle et sont donc, au même titre que le verre et le bois, très liés au cycle. Le retournement de la conjoncture pourrait ainsi voir ces activités reprendre, à condition que ces activités de production n aient pas simplement disparu (le futur de la filière à froid wallonne n étant toujours pas assuré à l heure d écrire) : Arcelor Mittal assure deux tiers de la production d acier en Belgique. Cela illustrerait le fait qu une baisse d activité conjoncturelle peut, si elle se prolonge, amener un changement de paradigme industriel. Gr 4 Les principaux secteurs exportateurs ont connu la plus forte croissance pendant la crise Gr 5 En métallurgie, les exportations sont particulièrement conjoncturelles Part du secteur dans les exportations en 2012 (%) 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% Metals Electr mach. Cars Meca. Mach. Plastics Organic chemicals Oil Diamonds Pharma -30% -20% -10% 0% 10% 20% 30% Croissance du secteur depuis 2008H1 (%) +107% 15 60% 10 40% 5 20% 0 0% -5-20% % % Q1 1996Q3 1998Q1 2001Q3 2003Q1 2006Q3 2008Q OCDE - Production industrielle totale (% YoY) BE - Exportations du chapitre 72 (métallurgie - % YoY - éch. dr.) Source: Belgostat, calculs ING La tendance défavorable aux industries textiles et automobiles s est accentuée pendant la crise Ici encore, il apparaît que certaines économies émergentes soient des sources de croissance importantes pour certains secteurs Source : Belgostat Un tel changement de paradigme est en cours dans deux autres secteurs depuis une décennie (Cf. ING Focus 2012 I). Ce sont deux autres secteurs importants pour les exportations belges : les automobiles (chapitre 87 11% de nos exportations au début 2012) et le textile (chapitres 50 à 63 2,8% de nos exportations au début 2012). Ces secteurs sont effectivement en baisse pendant la crise, de respectivement 7% et 11%, et sont avec les deux secteurs industriels précédents les plus gros freins à la croissance des quatre dernières années. Toutefois, cette baisse n est sans doute pas que conjoncturelle : elle s inscrit dans une réorientation de long terme de l économie belge qui exporte proportionnellement de moins en moins d automobiles et de matières textiles depuis 15 ans : les voitures représentaient encore 16% de nos exportations en 2003 pour 10% aujourd hui. Il n en demeure pas moins que les automobiles restent le quatrième secteur d exportation pour la Belgique et que notre pays dispose toujours d un avantage comparatif dans ce secteur (Cf. ING Focus 2012 I). Cela dit, comme au cours des dix dernières années, ces exportations ont stagné (+2% entre 2000 et 2010 contre +52% pour les exportations totales), il est peu probable que la croissance de ces exportations reprenne à un rythme très positif, même en cas de retournement de la conjoncture. 5

6 et l Amérique du Nord n est pas en reste La contribution des différentes zones géographiques à ces différents taux de croissance (positifs ou négatifs) apporte quelques éléments intéressants. Pour les médicaments, c est essentiellement la zone euro qui a été à l origine des 50% de croissance depuis le début de la crise alors que pour les combustibles, l origine de la croissance se trouve dans la zone euro (40%), en Amérique du Nord (40%) et dans les BRIC s (20%). Si la zone euro est aussi à l origine de la croissance des exportations de produits alimentaires transformés, ce sont les BRIC s (et l Inde en particulier) qui ont tiré la croissance des exportations de diamants. Du côté de la baisse des exportations, il est intéressant de constater que ce sont les pays européens qui sont à l origine de la baisse car tous les secteurs baissiers ont en réalité vu une augmentation de leurs exportations vers les BRIC s. Cela montre encore une fois que si les pays émergents sont encore loin d être une destination «principale» de nos exportations, ils n en tirent pas moins leur croissance vers le haut. 4. Une balance commerciale déficitaire La balance commerciale reste pour le moment négative notamment en raison de prix pétroliers élevés mais elle s est nettement améliorée dans plusieurs secteurs importants. La balance commerciale belge accuse en 2012 un déficit, comme c est le cas depuis plusieurs années maintenant. Pourtant, on constate un récent redressement de la balance commerciale vis-à-vis des pays BRIC s et de l Amérique du nord. Cependant, elle reste principalement dominée par les échanges avec les pays de la zone euro, aces lesquelles elle reste largement déficitaire. Ceci s explique par un déficit commercial élevé enregistré du côté des produits pétroliers, et par le prix élevé et de ceux-ci. En effet, les importations de pétrole sont comptabilisées dans les échanges avec les pays de la zone euro, en raison du pétrole transitant par le port de Rotterdam. Ainsi, si les produits combustibles représentent une de nos premières exportations, notre pays est aussi un grand consommateur d énergie et une grande partie des produits pétroliers importés et transformés chez nous est aussi consommée, nos importations nettes de produits pétroliers atteignant 5,5% du PIB. En dehors de cela, on constate que les plus gros surplus de balance commerciale sont dégagés dans les produits pharmaceutiques (1,4% du PIB) et alimentaires (0,7% du PIB), deux secteurs où les exportations nettes ont fortement progressé pendant la crise. On remarquera que la baisse des immatriculations chez nous a permis de créer un léger surplus commercial dans le secteur automobile alors que le surplus a diminué dans les industries diamantaire et métallurgique. De manière globale ces développements ont permis au déficit de la balance commerciale de se réduire quelque peu pendant la crise, passant de 2,2% à 1,3% du PIB. Gr 6 Evolution de la balance commerciale par zone Gr 7 La balance commerciale par secteur I 2009-I 2010-I 2011-I 2012-I Zone euro UE hors zone euro Amérique du Nord BRIC Autres Total 2.0% 1.5% 1.0% 0.5% 0.0% -0.5% -1.0% -1.5% Food Cloth H H1 Source: Belgostat (Mlrd. ) Source : Belgostat 6

7 A plus long terme, sans correction majeure des prix pétroliers, atteindre l équilibre commercial reste un défi pour la Belgique Pour conclure, le redressement de la balance commerciale va donc rester un défi important pour les entreprises belges, car il ne viendra pas d une baisse drastique des prix pétroliers. Poursuivre la voie de la croissance des exportations vers les pays en forte croissance économique apparaît comme la manière la plus fiable de redresser la balance commerciale. 7

8 Disclaimer Les opinions exprimées dans ce rapport sont le reflet exact des opinions personnelles des analystes à propos des titres et des émetteurs cités dans ce document. Aucune tranche de la rémunération des analystes n'a été, n'est ou ne sera directement ou indirectement liée à l'inclusion de recommandations ou opinions spécifiques dans ce rapport. Les analystes qui ont participé à la préparation de cette publication respectent tous les exigences nationales liées à leur profession. Cette publication a été préparée au nom de ING (dans le cas présent ING Groep NV, sis aux Pays-Bas, et certaines de ses filiales et succursales) pour ses clients, uniquement à titre informatif. ING fait partie du Groupe ING (dans le cas présent ING Groep NV et ses sociétés filiales et apparentées). Cette publication ne constitue pas une recommandation de placement ni une offre ou une incitation à acheter ou vendre des instruments financiers. Même si toutes les précautions ont été prises pour assurer que les informations contenues dans ce document ne soient ni erronées, ni trompeuses au moment de la publication, ING ne peut en garantir ni l'exactitude ni l'exhaustivité. Les informations contenues dans ce document peuvent être revues sans avis préalable. ING Groep et ses cadres dirigeants, employés et mandats liés et discrétionnaires peuvent, dans les limites autorisées par la loi, avoir des positions longues ou courtes ou peuvent par ailleurs avoir des intérêts dans des transactions ou des investissements (en ce compris des produits dérivés) auxquels fait référence cette publication. En outre, ING Groep peut fournir ses services bancaires, d'assurances ou de gestion de patrimoine aux, ou solliciter de telles services auprès des, sociétés citées dans cette publication. Ni ING ni aucun de ses cadres dirigeants ou employés ne peuvent être tenus pour responsables d'éventuelles pertes directes ou indirectes suite à l'utilisation de cette publication ou de son contenu. Cette publication est soumise à la protection du copyright et des droits des bases de données et ne peut être reproduite, distribuée ou publiée par quiconque, quel que soit l'objectif, sans l'accord préalable de ING. Tous droits réservés. Tous les investissements mentionnés dans ce document peuvent comporter des risques considérables, ne sont pas nécessairement disponibles dans toutes les juridictions, peuvent être illiquides et peuvent ne pas convenir à tous les investisseurs. La valeur ou les revenus des investissements cités dans cette publication peuvent fluctuer et/ou être influencés par l'évolution des taux de change. Les performances passées ne constituent en rien une indication des résultats futurs. Les investisseurs doivent prendre leurs propres décisions de placement sans se baser sur cette publication. Seuls les investisseurs disposant d'une connaissance et d'une expérience suffisantes dans le domaine financier pour pouvoir en évaluer les mérites et les risques peuvent envisager d'investir dans les émetteurs et les marchés auxquels fait référence cette publication. Toute autre personne ne devrait pas prendre de décision sur la base de cette publication. Cette publication est émise:1) au Royaume-Uni seulement à l'attention des personnes prévues dans les articles 19, 47 et 49 du Financial Services and Markets Act 2000 (Financial Promotion) Order 2005 et ne doit pas être distribuée, directement ou indirectement, aux autres catégories de personnes (en ce compris les investisseurs privés); 2) en Italie, seulement à l'attention des personnes décrites dans l'article No. 31 de la réglementation Consob No /98 ; 3) aux Etats-Unis, seulement à l attention des investisseurs institutionnels qualifiés (QIB) et des grandes entreprises. Les clients doivent prendre contact avec des analystes auprès de, et exécuter des transactions via, une entité ING de leur juridiction nationale sauf si la loi en vigueur le permet d'agir autrement. ING Bank N.V. ses succursales et/ou ses filiales sont toutes enregistrées et contrôlées par les autorités de contrôle nationales concernées. ING Bank N.V. est agréée par la banque centrale néerlandaise et est supervisée par la Authority for the Financial Markets. Elle est sise aux Pays- Bas et est enregistrée aux Pays-Bas (numéro ) à Amstelveenseweg 500, 1081 KL, Amsterdam. ING Financial Markets LLC, qui est membre du NYSE, du NASD et du SPIC et qui fait partie de ING, a accepté la responsabilité de la distribution de ce rapport aux Etats-Unis conformément aux dispositions en vigueur. En Belgique, l'éditeur responsable est Peter Vanden Houte, avenue Marnix 24, 1000 Bruxelles. 8

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