LA FONCTION ÉDUCATIVE DU MUSÉE STEWART
|
|
- Yolande Bernier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Service de l action éducative et culturelle LA FONCTION ÉDUCATIVE DU MUSÉE STEWART Introduction Les fonctions premières de collectionnement et de conservation sont au cœur même du musée et en constituent le corps. La fonction éducative, quant à elle, en est son âme, et ces deux réalités sont indissociables. Dès le moment où le musée donne un accès public à ses collections et invite le visiteur, il entreprend avec lui un exercice de communication éducative. À l exemple du peintre Jacques-Louis David, qui écrivait en 1793, à propos du tout nouveau Musée du Louvre, créé la même année : «Le Muséum n est point un vain rassemblement d objets de luxe ou de frivolité, qui ne doivent servir qu à satisfaire la curiosité. Il faut qu il devienne une école importante. Les instituteurs y conduiront leurs jeunes élèves, le père y mènera son fils. Le jeune homme, à la vue des productions du génie, sentira naître en lui le genre d art ou de science auquel l appela la nature. 1» Théoriquement et ultimement, ceci voudrait dire que le musée n aurait qu à s ouvrir au public pour accomplir ses responsabilités éducatives. Par expérience, nous savons que cela serait perçu comme une action bien mince, voire de la fausse représentation. La mission éducative du musée d aujourd hui fait en sorte qu il ne peut se limiter à un rôle passif et contemplatif rôle qu il n a jamais joué. Dès le début, l apparition des premiers cartels et textes d exposition visait, et vise toujours, la communication d informations, la diffusion de connaissances et de savoirs. L action éducative Très tôt, la diffusion orale d informations et de connaissances dans le musée par une personne, intermédiaire entre la collection et le visiteur, a pris sa place. Que ce soit le conservateur-chercheur, le guide ou toute autre personne (tous les trois sont désignés sous l appellation «éducateur muséal») qui communique l information, sous forme 1 Dominique Poulot. «Les finalités des musées du XVII e au XIX e siècle», Quels musées pour quelles fins aujourd hui?, Paris, La Documentation française, Collection des «Séminaires de l Ecole du Louvre», 1983, p
2 écrite ou orale, la situation éducative au musée a toujours existé 2. C est ce qui caractérise l action éducative du musée. Depuis les cinquante dernières années, la diffusion des connaissances s est grandement modifiée, passant d un mode de communication unidirectionnel musée-visiteur (conservateur-visiteur) à un mode de communication interactif qui prend en compte les caractéristiques du visiteur à qui l on s adresse. Le mode interactif adopté par le musée confie à une personne intermédiaire (certains l appellent médiateur, agent d interprétation, interprète patrimonial ou guide) la tâche de communiquer au public les informations, la connaissance et les savoirs scientifiques contenus ou révélés par la collection. Parce que tout part de la collection, donc des objets, tout exercice de communication doit en tenir compte, tout en respectant deux éléments fondamentaux de l institution : 1. la mission Acquérir, conserver et mettre en valeur des collections d artefacts, de documents d archives, de livres et d iconographies, tous en relation avec l histoire qui rappellent la présence et l influence des civilisations européennes en Nouvelle-France et en Amérique du Nord jusqu à nos jours. Afin de faire connaître au public cette histoire, le Musée Stewart développe dans sa programmation une approche globale de l histoire où les thèmes sociaux, politiques, militaires, technologiques et scientifiques sont en relation les uns par rapport aux autres. 2. la vision Le Musée Stewart sera perçu comme une institution montréalaise unique, où l histoire prend vie à travers une programmation innovatrice et divertissante favorisant une relation privilégiée avec les objets, témoins de notre passé. Il continuera d être reconnu comme un centre d excellence en matière de recherche, de conservation, d interprétation et de mise en valeur de ses collections et du patrimoine de l Île Sainte-Hélène, pour le bénéfice et le bien-être de la population du Grand Montréal et de ses visiteurs Nous établissons comme principe premier : La collection est la raison d être du Musée Stewart et le rôle de l action éducative est de la mettre en valeur et de la diffuser en suivant la mission et la vision du Musée. 2 Cornelia Brüninghaus-Knubel. «L'éducation par le musée dans le cadre des fonctions muséales» dans Icom, Unesco. Comment gérer un musée : Manuel pratique, Paris, Unesco, 2006, p. 119 ; Michel Allard et Suzanne Boucher. Éduquer au musée : un modèle théorique de pédagogie muséale, Hurtubise HMH, Montréal, 1998, p. 40, coll. : Cahiers du Québec, 119 : psychopédagogie. 2
3 L approche client Si l on établit comme prémisse que le Musée Stewart se préoccupe des caractéristiques du visiteur dans l élaboration des stratégies mises en œuvre pour accomplir sa mission éducative, il se doit de bien les identifier : le Musée sert le grand public, donc tous les publics à la fois. Le groupe d âge, le groupe linguistique, l origine sociale, le centre d intérêt, la provenance sont autant de critères qui servent à l identification des clientèles. Deuxième principe : La mise sur pied d une programmation d activités et d actions éducatives répondant aux caractéristiques de chacun des publics identifiables est fondamentale, et elle doit se faire en fonction de la collection, de la mission et de la vision du Musée Stewart. Il existe dans notre société contemporaine beaucoup de lieux dits «éducatifs» autres que les musées. Cependant, une seule institution porte la responsabilité sociale d instruire et d éduquer : c est l école. L école doit être considérée par le Musée comme un client particulier, avec des caractéristiques bien spécifiques. Les activités éducatives que le Musée développe pour la clientèle scolaire sont des activités scolaires qui s inscrivent dans une programmation spécifique correspondant aux besoins de l école. Elles s élaborent selon le modèle éprouvé du Groupe de recherche sur l éducation et les musées (GREM), auquel nous avons contribué. Ce modèle propose à l école des activités de préparation avant la visite et des activités de prolongement après la visite, qui sont mises en adéquation avec celles de la visite au Musée. Toutefois, même si l action éducative répond aux besoins de l école en proposant des savoirs, elle les dépasse aussi en offrant à l élève-visiteur un savoir-être (au Musée) qu il pourra réutiliser. L activité scolaire doit donc dépasser le modèle éducatif formel (question-sanction). Dans ces cas-là, le Musée et l école font œuvre de coéducation. Troisième principe : Les activités scolaires ne sont pas transférables aux autres clientèles et, inversement, le Musée Stewart ne peut prétendre faire œuvre de coéducation auprès de l école en n offrant que des activités éducatives non arrimées, i.e. activités tous publics. 3
4 L action éducative et ses moyens L action éducative est donc un ensemble d actes de communication posés par le Musée à l endroit du visiteur. Dans la conduite des actes de communication, le médiateur, agent d interprétation ou guide-interprète, a habituellement recours à l un des trois types de discours suivants : Le discours magistral, quasi unidirectionnel, où le visiteur est contraint à l écoute. C est une manière passive et traditionnelle. Le discours interrogateur, qui appelle la participation du visiteur. C est une manière très interactive. Le discours théâtral, qui sollicite l imaginaire, l affectif. C est une manière passive et affective. Cependant, tous les visiteurs n apprennent pas de la même façon. Trois modes d apprentissage sont mis en œuvre au Musée Stewart : le mode cognitif, qui regroupe ceux qui aiment comprendre avant d agir, ceux qui lisent les textes, les étiquettes; le mode sensitif, qui regroupe ceux qui apprennent dans l action, ceux qui examinent, observent attentivement avant de lire, touchent quand ils le peuvent; le mode affectif, qui regroupe ceux qui sont stimulés par le contact humain, qui cherchent à entrer en contact avec les autres pour comprendre. La mise en œuvre d un programme d activités éducatives et d activités scolaires doit préciser lequel de ces discours il privilégie et prévoir lequel des modes d apprentissage du visiteur est le plus susceptible d assurer la meilleure communication des connaissances. Le musée peut faire appel au jeu comme approche de communication éducative. Le ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport du Québec propose quatre types de jeux 3 : le jeu d exercice, qui demande une répétition du même geste pour l appréhender; le jeu symbolique, «faire semblant»; le jeu de règles ou de société, d équipe, où il faut se conformer à des règles, jouer un rôle en interdépendance avec d autres joueurs; le jeu de construction, qui permet de développer les habiletés motrices et intellectuelles. Enfin, de la même manière, on fait appel à plusieurs procédés pour mieux communiquer avec le visiteur. Par exemple, on peut avoir recours à la référence aux besoins essentiels (se nourrir, se vêtir, se chauffer, etc.), à l analogie et à l opposition (le passé comparativement au présent, ici comparativement à ailleurs, etc.), à l origine culturelle des objets ou des coutumes, à l actualité présente. 3 Ministère de l Éducation du Québec. L école. Tout un programme. Énoncé de politique éducative, Québec, Direction des communications, 1997, p. 6-7, (1 octobre 2011). 4
5 L action éducative et ses manifestations Le catalogue d actions éducatives du Musée Stewart est rempli d une grande variété d activités qui se situent à plusieurs niveaux d intervention et qui font appel à plusieurs moyens de communication. Dans une exposition, le Musée Stewart utilise toujours le discours écrit pour communiquer. Le discours écrit se décline en quatre niveaux dans l exposition Histoires et mémoires (l exposition temporaire ne présentant habituellement que les trois derniers) : la ligne du temps (ou chronologie), les textes principaux, les textes intermédiaires et les cartels (ou étiquettes des objets). Dans l exposition, Histoires et Mémoires, le Musée Stewart a aussi recours aux multimédias, bornes interactives et autres moyens audiovisuels, par exemple, la maquette de Montréal. En parallèle des expositions, le Musée Stewart diffuse les connaissances en publiant des ouvrages, des catalogues et autres types de publications. Il produit ou coproduit des documents multimédias comme des disques CD-ROM. Le programme de l action éducative du Musée Stewart propose des activités d ordres divers : les activités scolaires, les activités éducatives, les activités ludiques et les activités de divertissement (edu-entertainment). Les activités scolaires ont pour cible l école et proposent des activités d apprentissage scolaire au Musée, idéalement à tous les ordres d enseignement, depuis la maternelle jusqu à l université ; par exemple, l activité scolaire pour le troisième cycle du primaire, «Défendre la Nouvelle-France contre les Britannique vers 1758», ou pour le préscolaire, «À la rencontre des gens d autrefois». Les activités éducatives sont destinées à tous les publics. Elles sont construites sur des objectifs de communication clairement énoncés et s auto-suffises en matière de communication ; par exemple, les visites des expositions permanente et temporaire, les visites du Complexe militaire britannique et les visites thématiques. Les activités ludiques sont destinées, elles aussi, à tous les publics. Elles sont caractérisées par leur approche ludique à la communication, où le jeu tient une place importante, par exemple; les activités «Petits soldats de la Nouvelle-France» ou «Curling à l ancienne». Les activités de divertissements (edu-entertainment) concernent le grand public. Elles sont de l ordre du spectacle et du divertissement ; par exemple, les équipes d interprétation militaire de la Compagnie franche de la Marine (XVIII e siècle) et du 78 th Fraser Highlanders (XVIII e siècle) ou des canonniers du Royal Regiment of Artillery (XIX e siècle). 5
6 Quatrième principe : Le Musée Stewart offre dans sa programmation d actions éducatives une variété de produits qui sont différents, parfois complémentaires, tant au niveau des objectifs que du déroulement et des stratégies de communication. Les stratégies de l action éducative Le Musée Stewart a recours à plusieurs stratégies dans la mise en œuvre des activités éducatives. La stratégie éducative «[ ] est élaborée en vue de l intervention d un ou de plusieurs Agents auprès d un Sujet ou d un ensemble de Sujets, et jugée efficace pour amener chez ces derniers l atteinte des objectif visées. 4». Ainsi, pour un musée, la visite guidée, le jeu de rôle, la démonstration, la manipulation, la représentation théâtrale sont des stratégies éducatives. Toutes ces stratégies peuvent se résumer sous le vocable «d interprétation». L interprétation est une «méthode de sensibilisation qui consiste à traduire, pour un public en situation, le sens profond d une réalité et ses liens cachés avec l être humain, en ayant recours à des moyens qui font d abord appel à l appréhension, c'est-à-dire qui mènent à une forme vécue et descriptive de la connaissance plutôt qu à une forme rigoureusement rationnelle 5». À la lumière de cette définition, toutes les personnes qui se trouvent en présence des publics du Musée dans le cadre d activités relevant de l action éducative, que ce soit des activités scolaires, éducatives, ludiques ou de divertissement, sont des agents d interprétation 6. Ainsi, tous les membres des équipes de la Compagnie franche de la Marine, du 78 th Fraser Highlanders et des guides-interprètes répondent à cette définition. Tous contribuent à leur façon à la poursuite des objectifs de l action éducative du Musée Stewart, dont le principe premier est : la mise en valeur et la diffusion de la collection en suivant la mission et la vision du Musée. Dans ce contexte, le Musée Stewart propose différentes procédures de communication, qui sont soumises aux mêmes paramètres, en fonction des discours adoptés, des modes d apprentissage sollicités et des procédés utilisés. Ainsi, on retrouve quatre catégories d agent d interprétation au Musée Stewart. Idéalement, une même personne devrait œuvrer dans plus d une de ces catégories. 4 Rénald Legendre. «Stratégie éducative», Dictionnaire actuel de l'éducation, 3 e édition, Montréal, Guérin, 2005, p Office québécois de la langue française. Le Grand dictionnaire terminologique, «interprétation - domaine : éducation», p. 4, (1 octobre 2011). Voir aussi Daniel Jacobi et Anik Meunier. «Au service du projet éducatif de l exposition : l interprétation», La lettre de l OCIM, 61 (1999) p Michel Allard, Marie Claude-Larouche, Anick Meunier et Pierre Thibodeau. Guide de planification et d évaluation des programmes éducatifs. Lieux historiques et autres institutions muséales, Montréal, Éditions Logiques, 1998, p
7 La première catégorie est celle du guide-interprète accompagnateur. Cette catégorie d agents d interprétation, qui a habituellement recours au discours interrogateur, fait appel au mode d apprentissage sensitif. Les activités où le guideinterprète accompagnateur excelle sont, entre autres, les activités scolaires, celles où l on utilise la manipulation et des procédés d apprentissage comme l analogie, l opposition, l actualité présente, les références culturelles. Il participe à la poursuite des objectifs déterminés par les programmes éducatifs à l endroit de publics ciblés. La deuxième catégorie est celle du guide-interprète conférencier. Ce type d agent d interprétation a recours au discours magistral et fait appel au mode d apprentissage cognitif. L activité où le guide-interprète conférencier excelle est la visite guidée. Il a la responsabilité de diriger les activités éducatives conçues en fonction de publics ciblés, en poursuivant des objectifs de communication identifiés. La troisième catégorie est celle de l interprète militaire, dont font partie tous les membres de la Compagnie franche de la Marine et du 78 th Fraser Highlanders, et dont le principal objectif éducatif est de faire comprendre le métier de soldat au XVIII e siècle. L interprète militaire a recours à la démonstration, au discours théâtral et s adresse au mode d apprentissage affectif. C est là une des innovations du Musée Stewart, une première au Québec qui remonte au début des années soixante. L interprète militaire porte toujours son uniforme en public et adopte le comportement habituel des militaires de cette époque. Ces reconstitutions permettent de diffuser les collections d armes, de costumes et d iconographies militaires du Musée. Enfin, la quatrième catégorie est celle du guide-interprète personnage. Ce type d action a recours au discours théâtral et fait appel au mode d apprentissage affectif. Le guide-interprète personnage excelle principalement dans les activités éducatives où l on utilise, entre autres, le jeu de rôle, la démonstration, la représentation théâtrale. Cinquième principe : Comme le Musée Stewart offre une variété d activités et d actions éducatives, il a recours à plusieurs types de stratégies éducatives et, par conséquent, à plusieurs types d agents d interprétation, parfois complémentaires, qui participent tous à la poursuite de la mission éducative du Musée. Guy Vadeboncoeur, directeur exécutif et conservateur en chef (4 mai 2000) Alain Fréchette, chef du Service de l action éducative et culturelle (mise à jour 10 novembre 2011) 7
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailDanseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant
Les métiers du spectacle vivant Filière : artistique Domaine : art chorégraphique Appellations voisines : artiste chorégraphique Autres métiers du domaine : chorégraphe, maître de ballet, notateur Danseur
Plus en détailLA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS
DOSSIER D INFORMATION N 4 LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS INTRODUCTION Les festivals d arts visent à célébrer la richesse et la diversité des cultures dans le monde en réunissant des
Plus en détailService de l adaptation scolaire et des services complémentaires
Service de l adaptation scolaire et des services complémentaires 2955, boulevard de l Université, Sherbrooke (Québec) J1K 2Y3 Téléphone : 819 822-5540 Télécopieur : 819 822-5286 Le concept de besoin Dans
Plus en détailCIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives
CIRCULAIRE CONJOINTE Ministère de l éducation nationale Ministère de la défense Ministère de l éducation nationale Direction de l enseignement scolaire Ministère de la défense Direction de la mémoire,
Plus en détailUsages pédagogiques des tablettes
Usages pédagogiques des tablettes 1. Qu est-ce qu une tablette? Bien que définie comme un «ordinateur portable et ultraplat, qui se présente comme un écran tactile et qui permet notamment d accéder à des
Plus en détailContact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.
Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.fr La forteresse royale de Chinon, propriété du Conseil général d
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailGuide d accompagnement à l intention des intervenants
TABLE RÉGIONALE DE L ÉDUCATION CENTRE-DU-QUÉBEC Campagne de promotion la de la lecture Promouvoir Guide d accompagnement à l intention des intervenants Présentation Le projet sur la réussite éducative
Plus en détailFaculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières
Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe Campus de Fouillole 9757 Pointe-à-Pitre Pitre Cédex Pour mieux vous aider A choisir vos matières SOMMAIRE Page Schéma des études 3 Maquette
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailProjet. Politique de gestion des documents et archives. Service du greffe (Avril 2012)
Projet Politique de gestion des documents et archives Service du greffe (Avril 2012) Ensemble des documents, quel que soit leur date, leur nature ou leur support, réunis (élaborés ou reçus) par une personne
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détail22 2011 (CC-20111-110)
Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...
Plus en détail2014-2015. Animations pédagogiques TANINGES. - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3. Arcade MAISON du PATRIMOINE
Animations pédagogiques 2014-2015 TANINGES - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3 «Située à Taninges, au cœur de la vallée du Giffre, la Maison du Patrimoine vous emmène dans une rue reconstituée pour découvrir,
Plus en détailLE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE
LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailFaites du Théâtre! 8 ème édition Une journée de pratique du théâtre. - - Lycées et Collèges - -
Faites du Théâtre! 8 ème édition Une journée de pratique du théâtre - - Lycées et Collèges - - Réunion d information pour les enseignants et les enseignantes Jeudi 18 juin 2015 à 18h Mardi 15 Septembre
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.
Plus en détaild évaluation Objectifs Processus d élaboration
Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner
Plus en détailUne nouvelle muséologie pour le musée moderne
Une nouvelle muséologie pour le musée moderne André Desvallées, dir., Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie André Desvallées, dans cet extrait de Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie
Plus en détailÉtude publique sur Montréal, métropole culturelle
Étude publique sur Montréal, métropole culturelle Présentation de Jean-Robert Choquet Directeur Direction du développement culturel Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et
Plus en détailComité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013
PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4
Plus en détailCOLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL BEAUCE-APPALACHES POLITIQUE RELATIVE À LA FORMATION GÉNÉRALE COMPLÉMENTAIRE
COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL BEAUCE-APPALACHES POLITIQUE RELATIVE À LA FORMATION GÉNÉRALE COMPLÉMENTAIRE 1055, 116 e rue Ville Saint-Georges (Québec) G5Y 3G1 La présente politique a
Plus en détailCFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS
CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers
Plus en détailPROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE
PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE B.O. n 3 du 19 juin 2008 HORS SERIE Maternelle : AGIR ET S EXPRIMER AVEC SON CORPS Compétences visées (Cv) Se repérer et se déplacer dans l espace. Adapter ses actions
Plus en détailPistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement
Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document
Plus en détailPolitique linguistique
Politique linguistique Informations sur le soutien apporté par le Baccalauréat International en matière de langues, cours de langue et langues d enseignement Mise à jour en octobre 2014 Cette politique
Plus en détailService-conseil à la clientèle en équipement motorisé
DEP 5258 Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé STAGE DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN MILIEU DE TRAVAIL 359-147 GUIDE DE PRÉPARATION AVANT LE STAGE Tables des matières Introduction...3 Mon
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détailCours de développement personnel
Cours de développement personnel AYEZ DU PUNCH DANS VOS COMMUNICATIONS (pour tous) FORMATION RECONNUE PAR LE BARREAU DU QUÉBEC Cours enregistré au nom de L École d animation et de communications Stéphan
Plus en détailGUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année
GUIDE DU TUTEUR Ce guide est complété par le tuteur durant la première année de BTS. Une copie doit être fournie au professeur et à l étudiant ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC Management des Unités Commerciales
Plus en détailINVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST. Le positionnement des bâtiments
23B Grange étable située au 18 21, rang des Lacs, Notre Dame des Monts. Patri Arch, 2011 INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST Le positionnement des bâtiments Décembre 2011 Le
Plus en détailFiamp.2014. Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine. Dossier d'inscription à la compétition
ICOM Conseil International des Musées Comité pour l'audiovisuel et les nouvelles technologies de l'image et du son Fiamp.2014 Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine
Plus en détailLa série L est revalorisée
La série L est revalorisée «elle devient une série d excellence pour les langues» Option LVE de 3 H = Un enseignement obligatoire de 2H = LV1 ou 2 ou LV3 approfondie education.gouv.fr Bulletin officiel
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailLes bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire
Réunion d'experts sur Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire organisée par le Programme pour la construction et l'équipement de l'éducation et le Programme pour la
Plus en détailLe rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative
Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-
Plus en détailRèglement Intérieur du. Collège. Collège. Blanche de Castille. 1. Pédagogie. 2. Organisation. Calendrier scolaire. Horaires et ponctualité
Collège Blanche de Castille Règlement Intérieur du Collège 1. Pédagogie Le Collège Blanche de Castille est un collège privé catholique hors contrat. Son but est d éduquer toute la personne de l enfant
Plus en détailNom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint)
Dossier à établir en 2 exemplaires : 1 exemplaire pour l IEJ 1 exemplaire à conserver Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint) Agrafer ici photo d identité Prénom :..
Plus en détailRéaménagement de la place d Armes Idée maîtresse et proposition d aménagement Présentation à la Table de concertation 12 avril 2010 (révision 21 juin
Réaménagement de la place d Armes Idée maîtresse et proposition d aménagement Présentation à la Table de concertation 12 avril 2010 (révision 21 juin 2010) PLAN DE PRÉSENTATION 1. CONTEXTE 2. RETOUR ÉLÉMENTS
Plus en détailComment faire passer un message
Comment faire passer un message 1 Les Outils Pédagogiques Un cours en salle Le tableau Le rétroprojecteur Le matériel à présenter Un cours dans l eau La démonstration La découverte, les jeux L ardoise
Plus en détailFORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre
DU PERSONNEL Année Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre 1. LE PLAN DE. L élaboration du plan de formation. La direction des ressources humaines est chargée
Plus en détailMASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES. Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr
ARTS, LETTRES & LANGUES MASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION A l issue de la formation,
Plus en détailLES REPRESENTATIONS DES NOMBRES
LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailJoëlle Bolot, Stéphane Cipriani.
Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Sommaire Programme, Capacités (http://www.education.gouv.fr/cid50636/ mene0925419a.html) Dossier documentaire d histoire géographie en CAP : Note de cadrage de l épreuve.
Plus en détailLicence professionnelle Marketing des Produits Financiers et d Assurance
Licence professionnelle Marketing des Produits Financiers et d Assurance Guide des études Responsable de la formation Marie Christine DEGHAYE-FILARETO Tél: 03 28 23 70 65 Mél : marie-christine.deghaye@sfr.fr
Plus en détailPlanifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans
Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices
Plus en détailLilia Parisot, DAEMI académie de Nice Jean-Paul Delbrayelle, Référent CLEMI Alpes-Maritimes académie de Nice
Animatrice : Evelyne Bévort, Directrice déléguée du CLEMI Lilia Parisot, DAEMI académie de Nice Jean-Paul Delbrayelle, Référent CLEMI Alpes-Maritimes académie de Nice De nos jours Internet constitue une
Plus en détailLa liberté guidant le peuple sur les barricades
La liberté guidant le peuple sur les barricades Eugène DELACROIX 1830 Une étrange lumière Le soleil brille à travers la fumée de la poudre. Les écrits nous disent que nous sommes en début de matinée et
Plus en détail3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032)
3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032) Page 1 sur 8 1.0 OBJECTIF GÉNÉRAL Constituer la banque ou «mémoire» des données importantes nécessaires à la Commission
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailNotice descriptive à conserver. Licence professionnelle Conception et mise en œuvre de projets culturels
Licence professionnelle Conception et mise en œuvre de projets culturels Université de Provence (Aix-Marseille 1) Préparation complète UE capitalisables Publics concernés Personnes en activité dans le
Plus en détailBIEN A VOUS LECTURE - SPECTACLE LETTRES DE FEMMES PENDANT LA GRANDE GUERRE DOSSIER PÉDAGOGIQUE
BIEN A VOUS LECTURE - SPECTACLE LETTRES DE FEMMES PENDANT LA GRANDE GUERRE DOSSIER PÉDAGOGIQUE INTERET PEDAGOGIQUE «Bien à vous» est une lecture-spectacle de lettres écrites par des femmes durant la guerre
Plus en détailCollections et dépôts techniques aux XVIIIe et XIXe siècles
Collections et dépôts techniques aux XVIIIe et XIXe siècles INTRODUCTION * Soraya BOUDIA: tension chez les scientifiques : entre légitimation par le patrimoine / hantise de l obsolescence des représentations
Plus en détailEXPERTS NATIONAUX. Tél. 01.40.20.50.61. Département des antiquités grecques, étrusques et romaines : M. Alain PASQUIER
EXPERTS NATIONAUX I - Chefs des 14 départements patrimoniaux : 1) musée du Louvre : Palais du Louvre 34, quai du Louvre 75058 PARIS CEDEX 01 Standard général : 01.40.20.50.50 Département des antiquités
Plus en détailMICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications. Automne 2015 (10 juin 2015)
MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications Automne 2015 (10 juin 2015) Table des matières Centre culturel de l Ude S / Série Arrière cours Publicité et promotion... 3 Centre culturel de
Plus en détailDe la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du quai Branly
Séminaire «Muséologie, Muséographie et nouvelles formes d adresse au public» Paris, 28 mars 2007 De la fiche manuscrite à Internet : l informatisation des collections et de la documentation au musée du
Plus en détailTROUSSE DE PROMOTION DE LA LECTURE AUX TOUT-PETITS LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS
LE LE MEILLEUR JOUET DES TOUT-PETITS CONTENU DE CETTE TROUSSE 12 CONSEILS AFFICHE ET AUTOCOLLANTS 11 VIDÉOS 5 PAQUETS D AFFICHETTES RONDES DÉCORATIVES LIVRE «AU PARC AVEC CHAMINOU» (LIVRE NON DISPONIBLE
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailFlanqué d une montagne de documents généalogiques,
PIERRE RACINE L univers des col PHOTOS : JAMES WAGNER Flanqué d une montagne de documents généalogiques, Jean-Pierre Pépin, propriétaire du Fonds de l Institut généalogique Drouin, pelote ses archives
Plus en détailPolitique d acquisition des archives privées
Politique d acquisition des archives privées 3 TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction 3 2. Objectifs 3 3. Définitions 3 4. Principes directeurs 4 5. Champs d application 5 6. Mécanismes d acquisition 5 7.
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS
POLITIQUE N o 11 POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS Adoptée le 14 juin 2005 cegepdrummond.ca Adoptée au conseil d administration : 14 juin 2005 (CA-05-06-14-19) Cégep de Drummondville 960,
Plus en détailUniversité de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements
Ce fascicule a été réalisé dans le cadre d une recherche-action commanditée par la Province de Hainaut intitulée «Implémentation de l approche orientante au sein de l enseignement secondaire provincial».
Plus en détailL utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes
L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes Table des matières 1. Objet de la politique... 4 2. Cadre légal et règlementaire...
Plus en détailDevenir une banque relationnelle de référence : pourquoi et comment?
conseil organisation management Réussir ensemble Devenir une banque relationnelle de référence : pourquoi et comment? Conférence CCM Benchmark Banques sur Internet 2012-13 Mars 2012 csa consulting 80,
Plus en détailLE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS
A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du
Plus en détailPolitique de gestion documentaire
Politique de gestion documentaire L application de cette politique est sous la responsabilité du cadre de direction qui remplit les fonctions de secrétaire général Adopté par le conseil d administration
Plus en détailÀ l école pour développer des compétences
_x áxüä vx wxá ÜxááÉâÜvxá wâvtà äxá tâå }xâçxá 2007-2008 2008 À l école pour développer des compétences -au préscolaire- - 1 - - 2 - Mot de présentation Votre enfant entre à la maternelle cette année.
Plus en détailMUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE
MUSÉOGRAPHIE P Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE Ensemble de techniques héritées de la muséologie destinées à la mise en valeur pérenne des collections
Plus en détailPRISES DE VUE MUSEALES
Les Ateliers de l Image REFERENTIEL DE FORMATION REFERENTIEL DE FORMATION PRISES DE VUE MUSEALES Objectif de la formation Perfectionner les techniques de prise de vues nécessaires à la réalisation de photographies
Plus en détailCommunication Opérationnelle Franchises et Réseaux
Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Matérialiser votre concept CONSTRUCTION DE L IMAGE ET DE LA COMMUNICATION Traduire votre concept en véritable projet d entreprise >> Confirmer votre offre
Plus en détailASSURANCES. Votre partenaire formation continue. MODULES Salaires et Assurances dans la pratique : débutant, avancé, confirmé
ASSURANCES MODULES Salaires et Assurances dans la pratique : débutant, avancé, confirmé CERTIFICAT Généraliste en assurances sociales Votre partenaire formation continue www.virgile.ch tél. 021 921 19
Plus en détailLe Programme «Archives Audiovisuelles de la Recherche»
1 Maison des Sciences de l Homme (MSH) Equipe Sémiotique Cognitive et Nouveaux Médias (ESCoM) Le Programme «Archives Audiovisuelles de la Recherche» L édition de CD/DVD Rapport rédigé par Peter Stockinger
Plus en détailDOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE
209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailSYNTHÈSE HISTORIQUE VÉCU DE L'AAR PARTIE 2
ALLIANCE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS SYNTHÈSE HISTORIQUE DU VÉCU DE L'AAR PARTIE 2 Par Jacques Guilmain (Membre de l'association des employés retraités de la ville de Montréal et membre du conseil d'administration
Plus en détailLes 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada
Formation et Coaching en Leadership inclusif et en Management interculturel Les 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada Une approche holistique
Plus en détailPROGRESSION TIC AU PRIMAIRE. Document de référence. Commission scolaire des Découvreurs
PROGRESSION TIC AU PRIMAIRE Document de référence Commission scolaire des Découvreurs Les tableaux que vous trouverez aux pages suivantes présentent les quatre niveaux des Carnets TIC et leur progression
Plus en détailEvaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010
Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,
Plus en détailLA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET
LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET IMMATÉRIEL DU QUÉBEC ET LE RÉPERTOIRE DU PATRIMOINE CULTUREL DU QUÉBEC. ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES POUR L INVENTAIRE DU PATRIMOINE IMMATÉRIEL.
Plus en détailDossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon
Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique
Plus en détailMASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN
MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN Porteur de Projet : Francis GAST, Directeur de la Faculté des Arts Université de Strasbourg OBJECTIFS Le MASTER DE PRODUCTION ET
Plus en détailMinistère des Affaires étrangères et européennes. Direction de la politique culturelle et du français. Regards VII
Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la politique culturelle et du français Regards VII Sciences et techniques 4. Comment se libérer du vertige? Réalisation Thomas Sorin, CAVILAM
Plus en détailTitre du MASTER : Lettres, Langues et Sciences humaines Mention : Sciences de l Information et Métiers de la Culture Spécialité : Archivistique
Titre du MASTER : Lettres, Langues et Sciences humaines Mention : Sciences de l Information et Métiers de la Culture Spécialité : Archivistique Objectifs et Débouchés Ce Master professionnel propose, outre
Plus en détailDe ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication
De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente
Plus en détailLa postproduction. 2014 Pearson France Canon EOS 70D Philippe Garcia
7 La postproduction 7 n La postproduction Revenons maintenant à la photo. Vous venez d immortaliser un instant et vous êtes satisfait de la prise de vue que vous avez contrôlée sur l écran arrière. Attention,
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailN 334 - SIMON Anne-Catherine
N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction
Plus en détaille futur centre des congrès de Rennes Métropole Illustrations Labtop / Jean Guervilly Couvent des Jacobins
le futur Illustrations Labtop / Jean Guervilly e x p o s i t i o n Couvent des Jacobins du 16 novembre au 18 décembre 2010 Illustrations Labtop / Jean Guervilly 1. histoire Le couvent des Jacobins dans
Plus en détail«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?»
«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?» Introduction Le travail que nous présentons ici repose sur une expérience
Plus en détailFiamp.2015. Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine. Dossier d'inscription à la compétition
ICOM Conseil International des Musées Comité pour l'audiovisuel et les nouvelles technologies de l'image et du son Fiamp.2015 Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Conception de projets multimédia et de dispositifs numériques Médiation, médiatisation des savoirs
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Conception de projets multimédia et de dispositifs numériques Médiation, médiatisation des savoirs Dix années d expérience en formation de chef de projet multimédia
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailQuestions typiques d entrevue
Questions typiques d entrevue 1- Parlez-moi de vous? Question la plus importante de l entrevue; pourrait être la seule. Soyez bref. Ne tombez pas dans le piège de donner tout en détail. Ne dépassez pas
Plus en détail