Réponses aux questionnaires
|
|
- Angèle Desmarais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réponses aux questionnaires 1. Institutionnalisation et consécration du doit à la liberté de réunion pacifique a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour faciliter l exercice du droit à la liberté de réunion pacifique dans votre pays ; L article 10 de la constitution préserve le droit à la liberté de réunion. Un commissariat aux Droit de l Homme à l action humanitaire et aux relations avec la société civile est chargé expressément de ce dossier et b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où le droit à la liberté de réunion pacifique a été pleinement exercé dans votre pays ; et précisez les raisons pour lesquelles cet (ces) exemple(s) est (sont) cité(s). Récemment les partis de l opposition ont organisé plusieurs meetings autorisés par les pouvoirs publics,ce qui illustre le respect du droit à la liberté de réunion pacifique. Un autre exemple est constitué par les manifestations organisées à Nouakchott et à Kaédi par le mouvement touche pas à ma nationalité qui ont été autorisées par les pouvoirs publics. Ces deux exemples sont cités parce qu il s agit d institutions opposées au Gouvernement et qui ont exercé en toute liberté le droit de réunion pacifique. 2. Protection législative et institutionnel des manifestants pacifiques a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour protéger les manifestants pacifiques, y compris contre les agents provocateurs et/ou les contre-manifestants ; Le code pénal contient des dispositions pour protéger l ordre public. Pour ce faire toute manifestation pacifique bénéficie de cette protection. Les manifestants bénéficient de la protection des forces de sécurité chaque fois que la manifestation est autorisée. et b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où des manifestants pacifiques ont été effectivement protégés. Les manifestation des partis de l opposition et celle des Ne touche pas à ma nationalité sont des exemples qui traduisent cette protection 3. Mesures pour éviter les restrictions de la liberté de manifester a) décrire les mesures prises pour s assurer que toute restriction au libre exercice du droit à la liberté de réunion pacifique est conforme à vos obligations en droit international des droits de l homme (proportionnalité de la mesure prise et respect du droit à une procédure régulière).
2 Les dispositions de droit international relatives à la liberté de manifester ont été intégrées dans le droit national. Les actions sont proportionnelles à l exercice de ce droit. Veuillez expliquer le statut juridique des manifestations spontanées. Les manifestations spontanées sont illégales. a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour s assurer que soient tenus responsables de leurs actes, les auteurs des faits suivants - i) restrictions arbitraires de tenir des réunions ; - ii) utilisation arbitraire ou excessive de la force contre des manifestants pacifiques par des agents chargés de la mise en oeuvre de la loi ; - et iii) violence par des agents provocateurs et/ou des contre manifestants ; - et b) pour chacune de ces situations, fournir un ou plusieurs exemple(s) de la mise en œuvre des mesures prises. Ces faits constituent des délits qui entrainent pour leurs auteurs des sanctions disciplinaires et pénales 5. Renforcement des compétences Dans ce contexte, veuillez décrire les mesures spécifiques positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour renforcer les compétences dans le domaine des droits de l homme des agents (agents administratifs et forces de l ordre) chargés d appliquer la loi dans votre pays. Les fonctionnaires suivent à échéance régulière des séminaires de formation et de sensibilisations relatives à l exercice de ce droit.ces enseignements sont aussi dispensés par les écoles professionnelles spécialisées (police, gendarmerie, ENA) 6. Absence d exemple d irrespect du droit de manifester pacifiquement Veuillez fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où le droit à la liberté de réunion pacifique n a pas été respecté et précisez les raisons pour lesquelles cet (ces) exemple(s) est (sont) cité(s). En particulier, veuillez décrire les défis rencontrés lors de la mise en oeuvre de lois, politiques ou programmes pour la promotion et la protection du droit à la liberté de réunion dans votre pays. Le droit de manifester pacifiquement est respecté si les initiateurs demandent ce droit il leur est accordé conformément à la loi. Leçons tirées. Il ressort de l expérience de la Mauritanie qu une meilleure explication de la loi se traduit par son respect aussi bien par les manifestants que par les forces de l ordre. En outre,chaque fois les manifestations sont autorisée,les organisateurs tiennent à son déroulement
3 pacifique et ordonné,ce qui anéantit considérablement les risques de désordre d éventuels agents provocateurs. C est le cas pour le droit de manifester pacifiquement que les pouvoirs publics accordent lorsque les conditions de sécurité sont garanties pour les manifestants. Evaluation de la jouissance du droit à la liberté de réunion Evaluez brièvement, en droit et en pratique, le degré de jouissance du droit à la liberté de réunion pacifique dans votre pays, y compris par les femmes, les individus faisant face à des discriminations ou des violences du fait de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, ainsi que les personnes handicapées, et les personnes professant des opinions ou des croyances minoritaires ou dissidentes ou appartenant à d autres groupes en danger. La liberté de réunion est reconnue et exercée par l ensemble des associations reconnues par la loi. Celles qui ne disposent pas d un titre légal sont interdites de réunion publique. Les femmes à travers leurs associations jouissent de ce droit. Il en est de même pour les personnes handicapées. Les autres croyances se réunissent si elles sont reconnues légalement 7. Droit à la liberté d association : a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour faciliter l exercice du droit à la liberté d association des organisations nationales et internationales (par exemple, les associations sont-elles libres de décider de leurs objectifs, de leurs activités et de la composition de leur bureau dirigent?) ; Les associations sont libres de déterminer leur objet à la seule condition de respecter la moralité et l ordre public tels que prévus par la loi relative au statut des associations b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où le droit à la liberté d association a été pleinement exercé dans votre pays ; et précisez les raisons pour lesquelles cet (ces) exemple(s) est (sont) cité(s). Les personnes handicapées, les personnes vivant avec le VIH Sida,les ONG de droits de l homme,les syndicats,le associations professionnelles.exercent par exemple pleinement ce droit. L exemple des Personnes vivant avec le VIH Sida est cité parce le tabou est encore fort dans ce domaine. 8. Constitution et refus de création d association Veuillez préciser la procédure à suivre pour mettre sur pied une association dans votre pays, y compris les motifs juridiques pour lesquels une association peut se voir opposer un refus de constitution.
4 a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour s assurer que la procédure d enregistrement est non-discriminatoire, rapide, accessible et non onéreuse ; b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où de telles mesures ont été mises en oeuvre. Existe-il un recours effectif en cas de refus ou de retard? Si disponible, veuillez indiquer le nombre de personnes ayant utilisé ces recours, et les résultats obtenus. Veuillez préciser le statut juridique des associations de fait ou non enregistrées Le régime de l autorisation préalable est encore applicable en Mauritanie La création d une association peut être refusée si elle est contraire à l ordre public, si son but est illicite.le recours hiérarchique et le recours contentieux sont permis aux associations qui peuvent s adresser à l autorité administrative ou à la justice administrative en cas de refus de reconnaissance. 9. Recours Veuillez expliquer la procédure disponible pour suspendre ou dissoudre une association dans votre pays. Existe-il un recours effectif en cas de suspension ou de dissolution d association? Si disponible, veuillez indiquer le nombre de personnes ayant utilisées ces recours, et les résultats obtenus. L administration peut suspendre une association alors que la dissolution relève de la justice. Dans les deux cas de figure il existe un recours hiérarchique et judiciaire. 10. Conformité international Veuillez préciser les mesures positives prises pour s assurer que toute restriction au libre exercice du droit à la liberté d association est conforme à vos obligations en droit international des droits de l homme (proportionnalité de la mesure prise et respect du droit à une procédure régulière). La conformité du droit des associations avec le droit international est principalement attestée par les voies de recours reconnues aux associations en cas de grief par l administration. 11. Financement Veuillez indiquer sous quelles conditions les associations peuvent bénéficier de financements nationaux et étrangers et d autres ressources dans votre pays. Existe-il des limitations spécifiques (y compris en pratique) à la réception de financements?
5 Le recours aux financements étrangers est libre à condition qu ils soient destinés aux objectifs recherchés par l association. Il n y a aucune limitation à la réception des financements internes et externes. 12. Participation à la prise de décision a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour favoriser et pour s assurer de la participation des associations au processus de prise de décision dans votre pays ; et b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où de telles mesures ont été mises en œuvre. Les associations apolitiques. Elles contribuent à préparer la société à mieux participer aux activités de développement économique et social 13. Renforcement des capacités des fonctionnaires Dans ce contexte, veuillez a) décrire les mesures positives sur les plans législatif et/ou institutionnel prises pour renforcer les compétences dans le domaine des droits de l homme des agents administratifs chargés d appliquer la loi dans votre pays ; et b) fournir un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où de telles mesures ont été mises en œuvre Les fonctionnaires reçoivent des formations de base et des séminaires continus sur les droits de l homme pour mieux intégrer cette notion dans leur travail quotidien œuvre. 14. Respect du droit d association Veuillez décrire un ou plusieurs exemple(s) récent(s) où le droit à la liberté d association n a pas été respecté et précisez les raisons pour lesquelles ce (ces) exemple(s) est (sont) cité(s). En particulier, veuillez décrire les défis rencontrés lors de la mise en oeuvre de lois, politiques ou programmes pour la promotion et la protection du droit à la liberté d association dans votre pays. Il n existe pas de cas de non respect du droit d association Veuillez faire valoir/indiquer les leçons retenues à ce sujet. Si les fonctionnaires sont formés et sensibilisés sur les droits de l homme, l exercice du droit d association sera respecté. Evaluation Evaluez brièvement, en droit et en pratique, le degré de jouissance du droit à la liberté d association dans votre pays, y compris par les femmes, les individus faisant face à des
6 discriminations ou des violences du fait de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, ainsi que les personnes handicapées, et les personnes professant des opinions ou des croyances minoritaires ou dissidentes ou appartenant à d autres groupes en danger. Il s agit de l un des droits et libertés publiques les plus respectés Coopération avec les mécanismes des NU et régionaux de protection des droits de l homme : 15. Veuillez indiquer tout programme de coopération de votre pays avec les Nations Unies et les mécanismes régionaux de protection des droits de l homme visant à optimiser la promotion et la protection du droit à la liberté de réunion et d association pacifiques. Les programmes de coopération portent plus les domaines économique, social et sanitaire. Le droit d association relève plutôt de la volonté des associations nationales qui le défendent bien et assurent sa promotion.
GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)
Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité
Plus en détailRéponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres
Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres Question 1 : «En France, la rédaction d un rapport sur la responsabilité sociale et environnementale
Plus en détailDéclaration des droits sur Internet
Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.
Plus en détailMINISTÈRE DE L ÉDUCATION DES ÉTATS-UNIS. Bureau des Droits Civiques (BDC) Formulaire de plainte pour discrimination
MINISTÈRE DE L ÉDUCATION DES ÉTATS-UNIS 1. Saisissez les informations vous concernant. Bureau des Droits Civiques (BDC) Formulaire de plainte pour discrimination Prénom : Nom Adresse : Ville : État : Code
Plus en détailModifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014
FM 14/08/14 Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 Article L1153-5 L employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d
Plus en détailL EVALUATION PROFESSIONNELLE
INFODROIT- 22 mars 2011 L EVALUATION PROFESSIONNELLE Dossier préparé et présenté par Lamiel TURLOT, juriste à l UD CFDT Paris SOMMAIRE L évaluation professionnelle, une obligation pour l employeur?...3
Plus en détailNormes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies
Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies Introduction et raison d être 1. La Police des Nations Unies fut déployée pour la première fois dans les années 1960 au sein d une
Plus en détailMise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux
Mise sur le marché des engrais en Europe Paris, le 9 septembre 2009 Vincent Delvaux Implémentation pratique des Articles 28 et 30 et 95 du Traité CE Législation harmonisée garantit que les produits sont
Plus en détailAssociation Suisse des Managers du Sport Statuts
Association Suisse des Managers du Sport Statuts Statuts Association Suisse des Managers du Sport Page 1 / 11 Statuts de l'association Suisse des Managers du Sport (ASMS) I. NOM ET SIEGE Article 1. L'Association
Plus en détailPROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES RELATIF AUX DROITS DES FEMMES
PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES RELATIF AUX DROITS DES FEMMES 1 PROTOCOLE A LA CHARTE AFRICAINE DES DROITS DE L HOMME ET DES PEUPLES, RELATIF AUX DROITS DE LA FEMME
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailDIRECTION GENERALE - SIEGE SOCIAL DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
DIRECTION GENERALE - SIEGE SOCIAL DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION DOCUMENT UNIQUE PRECISANT LES DEFINITIONS DE FONCTION ET LA DELEGATION DE POUVOIRS DU DIRECTEUR GENERAL DE L'association. NOM : Prénom :
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailAsie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan
Environnement opérationnel Kazakhstan Kirghizistan Ouzbékistan Tadjikistan Turkménistan Les abondantes réserves de pétrole et de gaz de l Asie centrale expliquent en partie l importance géopolitique que
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailFICHE OBLIGATIONS LEGALES
FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détail4./4/14 DE DROIT AÉRIEN. (Montréal, 26 CONVENTION SURVENANT. (12 pages) 14-1044 DCTC_WP_DCTC_
DCTC Doc n o 33 4./4/14 CONFÉRENCE INTERNATIONALE DE DROIT AÉRIEN (Montréal, 26 mars 4 avril 2014) TEXTE REFONDU DE LA CONVENTION RELATIVE AUX INFRACTIONS ET À CERTAINS AUTRES ACTES SURVENANT À BORD DES
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détailRESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL
RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailGUIDE DE LA GÉOLOCALISATION DES SALARIÉS. Droits et obligations en matière de géolocalisation des employés par un dispositif de suivi GSM/GPS
GUIDE DE LA GÉOLOCALISATION DES SALARIÉS Droits et obligations en matière de géolocalisation des employés par un dispositif de suivi GSM/GPS De plus en plus d entreprises, par exemple les sociétés de dépannage
Plus en détailCHARTE ETHIQUE DE WENDEL
CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailCODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO
CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail
Plus en détailCHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES.
DQ- Version 1 SSR Saint-Christophe CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES. I] INTRODUCTION L emploi des nouvelles technologies nécessite l application
Plus en détailNotre expertise au service de votre entreprise
Code Apporteur : Note de présentation - Promoteur Conformément à l article 27 de la loi du 6 Janvier 1978 N 78.17 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, le proposant peut demander à l
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailBILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015. The African Mobile Phone Financials Services Policy Inititive
BILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015 Sommaire 1. ACTIVITES REALISEES SUR LA PERIODE DE FEVRIER 2014 A JUILLET 2015 2. CHANTIERS EN COURS 3. DEFIS 4. PERSPECTIVES
Plus en détailQuestionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse : [date] : Le 13 Février 2013
CONVENTION DE LA HAYE DU 25 OCTOBRE 1980 SUR LES ASPECTS CIVILS DE L ENLÈVEMENT INTERNATIONAL D ENFANTS Questionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES
informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailCHARTE DE LA VIE ASSOCIATIVE ETUDIANTE : REGLEMENT SUR LES LIBERTES POLITIQUES, ACTIVITES CULTURELLES ET ASSOCIATIVES
CHARTE DE LA VIE ASSOCIATIVE ETUDIANTE : REGLEMENT SUR LES LIBERTES POLITIQUES, ACTIVITES CULTURELLES ET ASSOCIATIVES Vu le code de l éducation et notamment ses articles L.715-5, L123-1 et suivants, L.141-6
Plus en détailOFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC
OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC «Consultant en suivi-évaluation et élaboration d outils de suivi-évaluation pour le programme PARJ-E «Uhaki Safi» Profil recherché: Objectif
Plus en détailDispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5
Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Code pénal social Application sur la Loi et le Code du Bien-être au travail Dispositions pénales de la Loi du Bien-être de 1996 Les articles
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailNouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement
Nouveaux médias Guide pour les écoles obligatoires Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement 1 Police cantonale bernoise Etat-major/Prévention Groupe nouveaux médias Case postale 7571, 3001
Plus en détailA/RES/55/25 II. Protection des victimes de la traite des personnes
2. L original de la présente Convention, dont les textes anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposé auprès du Secrétaire général de l Organisation des Nations
Plus en détailLISTE DES MOTS DU DICTIONNAIRE
LISTE DES MOTS DU DICTIONNAIRE Les numéros indiqués sont ceux des pages Les mots suivis d un astérisque renvoient à des définitions synonymes Une table thématique figure aux pages 13 à 20 et une table
Plus en détailCRC/C/GC/12. Convention relative aux droits de l enfant. Observation générale n o 12 (2009) Nations Unies. Le droit de l enfant d être entendu
Nations Unies Convention relative aux droits de l enfant Distr. générale 20 juillet 2009 Français Original: anglais CRC/C/GC/12 Comité des droits de l enfant Cinquante et unième session Genève, 25 mai-12
Plus en détailACCORD DU 5 AVRIL 2006
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 7501. CRÉDIT AGRICOLE (4 novembre 1987) ACCORD DU 5 AVRIL 2006 RELATIF AUX MODALITÉS D APPLICATION
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailCHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM
CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...
Plus en détailA Absence lors de la journée de solidarité... 3
Partie 1 - L actualité 2011.... 1 A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Absence pour maladie sans justification... 9 Absences répétées pour maladie et évolution professionnelle.... 10 Accident
Plus en détailFORMATION AU PERMIS D EXPLOITATION DE LICENCES CHRD MODULE 2,5 JOURS ---------- * ---------- Arrêté d agrément du 07 Avril 2014 : NOR INTD1408248A
CREER, ACCOMPAGNER, DEVELOPPER UN CAFE, HOTEL, RESTAURANT, DISCOTHEQUE FORMATION AU PERMIS D EXPLOITATION DE LICENCES CHRD MODULE 2,5 JOURS ---------- * ---------- Arrêté d agrément du 07 Avril 2014 :
Plus en détailTable des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3
OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux
Plus en détailVIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris
VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris La question à traiter concerne le respect de la vie privée dans le monde du travail. Jusqu à quel point
Plus en détailFiche d information relative au fonctionnement des garanties «responsabilité civile» dans le temps
GENERALI assurances Société Anonyme d Assurances Au capital de 53 193 775 EUR Entièrement versé. Entreprise régie par le code des Assurances Siège social : 7, boulevard Haussmann 75456 Paris Cedex 09 552
Plus en détailQuestionnaire Assurance Responsabilité Civile Professionnelle Promoteurs (Partie courtier)
Questionnaire Assurance Responsabilité Civile Professionnelle Promoteurs (Partie courtier) Nom Adresse CP N tel E-mail N ORIAS Prétentions Coordonnées du courtier Ville Cadre réservé à SFS Origine de la
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailCode de conduite pour les responsables de l'application des lois
Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de
Plus en détailStatuts de la Fédération mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux (VINOFED) CHAPITRE 1 LA FÉDÉRATION
Statuts de la Fédération mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux (VINOFED) CHAPITRE 1 LA FÉDÉRATION ARTICLE 1 NOM / SIEGE / DUREE 1.1 Sous le nom de la «Fédération Mondiale des
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailObservations de Reporters sans frontières relatives aux projets de loi sur la presse marocains -
Dernière révision : 19 novembre 2014 Observations de Reporters sans frontières relatives aux projets de loi sur la presse marocains 15 novembre 2014 Reporters sans frontières (RSF), organisation internationale
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailLE PRET DE MAIN D OEUVRE
LE PRET DE MAIN D OEUVRE CCI CHERBOURG-COTENTIN Marie-Laure LAURENT Avocat au Département Droit social Tel : 02.33.88.36.36 Mail : marie-laure.laurent@fidal.fr Mardi 25 juin 2013 1 Relation triangulaire
Plus en détailRÈGLEMENT* CONCERNANT L'AUDIT DE QUALITÉ DANS LE DOMAINE DES SERVICES COMPTABLES
RÈGLEMENT* CONCERNANT L'AUDIT DE QUALITÉ DANS LE DOMAINE DES SERVICES COMPTABLES * ) Approuvé par la Décision no. 00/39 du Conseil Supérieur du Corps des Experts Comptables et des Comptables Agréés de
Plus en détailCopie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement.
PROTOCOLE ADDITIONNEL À LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CRIMINALITÉ TRANSNATIONALE ORGANISÉE VISANT À PRÉVENIR, RÉPRIMER ET PUNIR LA TRAITE DES PERSONNES, EN PARTICULIER DES FEMMES ET DES ENFANTS
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailR E C R U T E M E N T S D E M A G I S T R A T S C O N C O U R S C O M P L E M E N T A I R E S 2 0 1 4
LES TEXTES Ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature. Décret n 2001-1099 du 22 novembre 2001 relatif aux modalités du recrutement de
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER CE FORMULAIRE NE PEUT ETRE EXPLOITE QUE DANS LA MESURE OU TOUTES LES QUESTIONS RECOIVENT UNE REPONSE. COURTIER Nom
Plus en détailCoach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency
I PRÉAMBULE Coach motive est un organisme de formation professionnel indépendant dont le siège social est au 1 allée des 4 sous 95160 Montmorency Coach motive est déclaré sous le numéro de déclaration
Plus en détailLes personnes handicapées ont les mêmes droits
Les personnes handicapées ont les mêmes droits La stratégie européenne 2010-2020 en faveur des personnes handicapées Commission européenne Égalité des droits, égalité des chances La valeur ajoutée européenne
Plus en détailDEMANDE D AGRÉMENT «SERVICES À LA PERSONNE» POUR LES AUTO-ENTREPRENEURS
DEMANDE D AGRÉMENT «SERVICES À LA PERSONNE» POUR LES AUTO-ENTREPRENEURS Un auto-entrepreneur déclaré peut choisir d exercer dans le secteur des services à la personne. Rappel : Le régime de l auto-entrepreneur
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailLa fonction publique en France
MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE édition 2013 La fonction en France Des métiers au service des citoyens les essentiels Dans la fonction, tous les agents
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détailUn contrôle citoyen avec les entreprises
Un contrôle citoyen avec les entreprises mai 2014 2 L objectif du plan d action La grande majorité des entreprises s inscrivent dans une démarche citoyenne et veillent à acquitter correctement leurs impôts.
Plus en détailForum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations
Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations Centre de Ressources et d Information des Bénévoles Ce que l on va aborder Propos introductifs : l esprit
Plus en détailFaire réaliser des travaux chez soi. Ce qu il faut savoir pour préparer, suivre et faire aboutir des travaux dans votre logement
Faire réaliser des travaux chez soi Ce qu il faut savoir pour préparer, suivre et faire aboutir des travaux dans votre logement Édition : mars 2015 Des informations juridiques à connaître quand on se lance
Plus en détailNOTE D ORIENTATION DU SECRETAIRE GENERAL. Aide à la consolidation de l état de droit : l approche de l ONU
U N I T E D N A T I O N S N A T I O N S U N I E S NOTE D ORIENTATION DU SECRETAIRE GENERAL Aide à la consolidation de l état de droit : l approche de l ONU 12-38583 (F) Avril 2008 U N I T E D N A T I O
Plus en détailRéglementation. Import/Export CHAPITRE 6
CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance
Plus en détailConvention relative aux droits des personnes handicapées et Protocole facultatif
Convention relative aux droits des personnes handicapées et Protocole facultatif NATIONS UNIES CONVENTION RELATIVE AUX DROITS DES PERSONNES HANDICAPÉES Préambule Les États Parties à la présente Convention,
Plus en détailREVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA
REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances
Plus en détailEXAMEN PÉRIODIQUE UNIVERSEL
GUIDE PRATIQUE EXAMEN PÉRIODIQUE UNIVERSEL Plan de mise en œuvre des recommandations et des engagements Produit par la Direction de la paix, de la démocratie et des droits de l Homme Directeur : Christophe
Plus en détailModule 5 Communication interne: Clés de succès, évaluation Présentations D. Lannel
Secrétariat d Etat auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement chargé de l Eau et de l Environnement Département de l Eau Module 5 Communication interne: Clés de succès,
Plus en détailSOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE
SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE Veuillez trouver ci-après la version sommaire des Standards Minimums pour la protection de l enfance dans l intervention
Plus en détailPROPOSANT (sera le Preneur d Assurance si le contrat est souscrit)
FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE RISQUE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNEL DE L IMMOBILIER COURTIER Nom du Cabinet Nom et prénom du représentant Email Téléphone Adresse N Type de voie Nom de la voie Code
Plus en détailMaître Laetitia CANTOIS AVOCAT au Barreau de Caen 6 rue Samuel Bochard 14000 CAEN Tel : 02,31,23,96,26 Port : 06,87,193,293 Fax : 02,31,23,96,26 Site
Maître Laetitia CANTOIS AVOCAT au Barreau de Caen 6 rue Samuel Bochard 14000 CAEN Tel : 02,31,23,96,26 Port : 06,87,193,293 Fax : 02,31,23,96,26 Site internet: www,avocat-cantois,fr Mail : avocat_cantois@yahoo.fr
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailPROFILAGE : UN DEFI POUR LA PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES Me Alain GROSJEAN Bonn & Schmitt
PROFILAGE : UN DEFI POUR LA PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES Me Alain GROSJEAN Bonn & Schmitt ASPECTS TECHNIQUES M. Raphaël VINOT CIRCL SEMINAIRE UIA ENJEUX EUROPEENS ET MONDIAUX DE LA PROTECTION DES
Plus en détailLa peur de la sanction, principale raison du changement de comportement des conducteurs La vitesse, un danger encore sous-estimé
Filiale du COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 16 novembre 2009 La peur de la sanction, principale raison du changement de comportement des conducteurs La vitesse, un danger encore sous-estimé Alors que le
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailDOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE
DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences
Plus en détailLégislation et droit d'un administrateur réseaux
Législation et droit d'un administrateur réseaux Réalisé par : GUENGOU Mourad OULD MED LEMINE Ahmedou 1 Plan de présentation I. Introduction générale II. L Administrateur Réseaux 1) Mission de l administrateur
Plus en détailUNICEF/NYHQ2009-0870/SokoL. Principes Régissant les Entreprises dans le Domaine des Droits de l enfant
UNICEF/NYHQ2009-0870/SokoL Principes Régissant les Entreprises dans le Domaine des Droits de l enfant 12345678910 UNICEF/NYHQ2008-1775/Pirozzi Introduction Les enfants de moins de 18 ans représentent près
Plus en détailpartenaire(s) 20-21-22 Novembre 2013
Activité Session de formation en «techniques de communication et de dialogue au sein de la famille : prévention de la violence/éducation sexuelle» Lancement de l opération de formation des adhérentes à
Plus en détailL égalité entre les femmes et les hommes. Un pilier de la politique du Groupe PPE
Commission des droits de la femme et de l égalité des genres au Parlement européen L égalité entre les femmes et les hommes Un pilier de la politique du Groupe PPE FR Chères citoyennes, chers citoyens
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailProjets de principes sur la répartition des pertes en cas de dommage transfrontière découlant d activités dangereuses 2006
Projets de principes sur la répartition des pertes en cas de dommage transfrontière découlant d activités dangereuses 2006 Texte adopté par la Commission du droit international à sa cinquante-huitième
Plus en détailDeuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie
DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L HOMME ET DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DES MONITORINGS Strasbourg, 11 juin 2010 Public Greco RC-II (2008) 4F Addendum Deuxième Cycle d Evaluation Addendum au Rapport
Plus en détailViolence au travail Un organisme national
Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détail