Chp3 Particules de matière 5 récapitulatif : classification des constituants de base
|
|
- Gabrielle Élisabeth Morin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chp3 Matière 5 récapitulatif M5 Chp3 Particules de matière 5 récapitulatif : classification des constituants de base La découverte des particules étranges a causé une grande excitation car elle était complètement inattendue (nouvelle forme de matière). La découverte des particules charmées a causé une grande excitation car elle était attendue! via les prédictions du modèle théorique des interactions électrofaibles (fin 6s) pour lequel le nombre de leptons et de quarks devait être identique. Après la découverte d'une 3 ième génération de leptons, on s'attendait à découvrir une nouvelle et 3 ième génération de quarks. M5.1 Les fermions de base La caractéristique fondamentale pour le classement des particules est leur participation aux différentes interactions. Par exemple, l'électron ne participe pas à l'interaction forte, pas plus que le photon. De même pour le muon, ainsi plus comparable à l'électron qu'au pion. la terminologie "leptons", particules de spin 1/2 (fermions), désigne les particules de matière, quelle que soit leur masse, qui ne participent pas à l'interaction forte. Par opposition au terme "hadrons" qui désigne les particules participant à l'interaction forte. Parmi ceuxci on distingue alors, suivant la valeur du spin, les baryons (fermions) comprenant les nucléons & hypérons et les mésons (bosons). participation Int. FORTES Int. EM Int. faibles LEPTONS NEUTRINOS NON NON OUI Chargés NON OUI OUI HADRONS BARYONS OUI Si chargés : OUI OUI MESONS OUI Si chargés : OUI OUI Les neutrinos (ν) ne subissent que l'interaction faible. Les leptons sont considérés comme particules élémentaires (ou ponctuelles dans le sens où elles n'ont pas de taille discernable, pas de sousstructure); tandis que les hadrons sont composés de quarks, particules de spin 1/2, (fermions). On compte plus de 3 hadrons cf. le "petit carnet" des physiciens édité tous les 2 ans par le P.D.G. ("Particle Data Group") qui tient à jour les particules connues et leurs propriétés (c'est la famille des hadrons qui remplit la quasitotalité de ce carnet). En résumé, les constituants de base de matière comprennent 12 fermions, de spin ½ (+12 antifermions associés) : 6 quarks & 6 leptons. Ils se classent en trois générations (ou familles) hiérarchisées selon leurs masses croissantes : Quarks Q/e Leptons Q/e 1 ère génération d (down) u (up) /3 ν e neutrino électronique) e (électron) 2 ème génération s (strange, étrange) c (charm, charme) /3 ν µ (neutrino muonique) µ (muon) 3 ème génération b (bottom) porteur de beauté t (top) /3 ν τ (neutrino tauique) τ (tau) MASSE
2 Chp3 Matière 5 récapitulatif M5 2 M5.2 Universalité des 3 générations Les trois générations se comportent de façon tout à fait similaire du point de vue des interactions; elles se différencient uniquement selon la masse des constituants. Preuve : couplage du Z aux différents leptons chargés. UNIVERSALITE Même pic de résonance: forme largeur hauteur même couplage du Z aux 3 leptons chargés
3 Chp3 Matière 5 récapitulatif M5 3 M5.3 Propriétés des leptons Leptons : se groupent en 3 générations de doublets dont les masses augmentent de,511 MeV pour celle de l'électron à 1,8 GeV pour celle du τ. Les neutrinos sont massifs (expériences dites d"oscillation") bien que leur masse soit presque nulle; les limites supérieures de masse vont de moins de 3 ev à 18 MeV (mesures directes de masse). Nom Masse M(MeV/c 2 ) Charge Q/e Durée de vie τ Electron,511 Neutrino électronique ν e < 3 ev spectre β 3 H : 3 H 3 He e νe Muon 16 Neutrino muonique ν µ: < 19 kev π + µ + ν µ (accélérateur) Leptontau τ Neutrinotauique ν τ < 18,2 MeV τ 5π ν τ (LEP) Stable (> 4, ans) Stable 2,2 µs stable 2, s stable Via la mesure des largeurs de désintégration du Z au LEP: Z qq ( hadronique) Z ll ( leptonique) Γνν = Γinvisible = Γtot 3Γ Γ ll had on sait qu'il n'existe pas d'autre génération de lepton léger (cf. figure). Nombres quantiques attribués aux leptons : nombre leptonique ou charge leptonique, spécifique à chaque type de lepton: Nombre leptonique électronique : L e = +1 aux particules e et ν e ( 1 aux antiparticules) Nombre leptonique muonique : L µ = +1 aux particules µ et ν µ ( 1 aux antiparticules) Nombre leptonique tauique : L τ = +1 aux particules τ et ν τ ( 1 aux antiparticules) Les nombres leptoniques se conservent dans toute réaction (diffusion & désintégration). nombre baryonique B =
4 Chp3 Matière 5 récapitulatif M5 4 M5.4 Propriétés des hadrons & quarks Hadrons = particules sensibles à l interaction forte et possédant une structure interne. baryons de spin demientier formés de trois quarks qqq Ex: proton = état lié (uud) neutron (udd) Λ (usd) Ω (sss) ++ (uuu) + (udd) (ddd) mésons de spin entier (bosons) formés de paires quarkantiquark qq Ex: π + = état lié ud du, c h π a f π superposition d'états cuu ddh Quark = particule hypothétique à l origine proposée pour expliquer la forte similarité des supermultiplets baryoniques et mésoniques. Ils sont caractérisés par une charge électrique non entière. Les quarks existent en 6 saveurs : u, d, s, c, b, t et se groupent en 3 générations de doublets. Nombres quantiques spécifiques : Nombre baryonique ou charge baryonique B les baryons (antibaryons): B = +1 ( 1) les quarks (antiquarks) B = 1/3 ( 1/ 3). Pour les mésons, B =. nombre leptonique L = (pour tous les quarks & hadrons) I : isospin (I 3 : 3 ième composante I) S : étrangeté (relié au quark s) C : charme (relié au c) B ~ : beauté (relié au b) à ne pas confondre avec le nombre baryonique T : topness (T) hypercharge Y = B + S + C + B+ ~ T avec Y Q = I3 + 2 Relation particule antiparticule particule antiparticule Masse Spin IDEM Temps de vie moyen Charge électrique Moment magnétique +q +M q M Annihilation création En paires pour les fermions I isopsin IDEM Tous les nombres quantiques internes des antiparticules sont opposés à ceux des particules 3 ième composante I 3 I 3 I 3 Nom Masse Q/e I I 3 J P S Charme beauté top Down d 1 à 5 MeV/c 2 /3 ½ ½ ½ + Up u 3 à 9 MeV/c 2 ½ + ½ ½ + Strange s 75 à 17 MeV/c 2 /3 ½ + 1 Charm c 1,15 à 1,35 GeV/c 2 ½ + +1 Bottom b 4, à 4,4 GeV/c 2 /3 ½ + 1 Top t 174,3 ± 5,1 GeV/c 2 ½ + +1 Les quarks u, d et s sont dits "légers" tandis que c, b et t sont des "quarks lourds".
5 Chp3 Matière 5 récapitulatif M5 5 M5.5 Remarques : masse des quarks méson K quarkonium Les masses indiquées pour les quarks sont des masses approximatives. Il est très difficile de déterminer la masse ou même de définir ce que l'on entend par masse d'un quark, car un quark ne peut pas être isolé. C'est spécialement vrai pour la génération la plus légère (u et d), car la majorité de la masse des particules qu'ils constituent ne vient pas de la masse des quarks. Ex proton (uud) : M uud = = 15 MeV 938 MeV! b g b g les masses se déterminent à partir de la masse mesurée des états liés (hadrons) qu'ils composent, en appliquant des "modèles" de liaison des quarks dans les hadrons. Le top est un cas particulier : très lourd (durée de vie extrêmement courte : τ s Γ 1,7GeV) trop instable pour former des états hardroniques observables, sa masse se détermine à partir de ses produits de désintégration (t W + + b). K : méson neutre qui possède 2 modes de désintégration différents, un rapide et un plus "lent" car une particule K, à sa production, est une superposition d'états K S et K L caractérisés par des temps de vie différents τ S et τ L. Au moment de la production des K, les 2 composantes sont en proportions égales. Après quelques durées de vie τ S, la composante K S a disparu (cf. chp5 / violation CP). Quarkonium : état lié quarkantiquark lourds et de même saveur (= méson): charmonoium et bottomium états ccet bb, systèmes considérés comme non relativistes, dans lesquels les énergies cinétiques des quarks sont beaucoup plus petites que leur énergie au repos. analogie avec le système lié e + e (positronium) Prévision des états & états correspondants observés de façon certaine Combinaison moments angulaires état État cc État bb n = 1 L = S = J = 1 S η c (298) S = 1 J = 1 3 S 1 J/Ψ (31) Υ (946) n = 2 L = S = J = 1 S S = 1 J = 1 3 S 1 Ψ (3686) Υ (123) L = 1 S = J = 1 P 1 L = 1 S = 1 J = J = 1 J = 2 3 P 2 3 P 1 3 P Χ c (3415) Χ c1 (3511) Χ c2 (3556) Υ b (986) Υ b1 (9892) Υ b2 (9913) Spectre de masse des états charmonium et bottonium. Ces mésons ont des spectres d'émission de photons très semblables à ceux du positronium.
Contribution à l analyse des premières données de l expérience CMS au LHC.
Faculté des Sciences appliquées MA2 - Physique Contribution à l analyse des premières données de l expérience CMS au LHC. Promoteurs : Sparenberg Jean-Marc et Vanlaer Pascal Alaluf David Mémoire de fin
Plus en détailUn miroir brisé qui fait le bonheur des physiciens
La mesure du très subtil La violation de parité dans les interactions faibles Un miroir brisé qui fait le bonheur des physiciens La mesure de la violation de parité dans les interactions faibles, phénomène
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailFig. 1 Le détecteur de LHCb. En bas à gauche : schématiquement ; En bas à droite: «Event Display» développé au LAL.
LHCb est l'une des expériences installées sur le LHC. Elle recherche la physique au-delà du Modèle standard en étudiant les mésons Beaux et Charmés. L accent est mis entre autres sur l étude de la violation
Plus en détailOù est passée l antimatière?
Où est passée l antimatière? CNRS-IN2P3 et CEA-DSM-DAPNIA - T1 Lors du big-bang, à partir de l énergie disponible, il se crée autant de matière que d antimatière. Alors, où est passée l antimatière? Existe-t-il
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailLes rayons cosmiques primaires chargés
Les rayons cosmiques primaires chargés Historique de leur découverte Spectre en énergie Composition: abondance Electrons/positons Muons Antiprotons Processus d accélération Expériences Ballons (BESS) Satellites
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo
PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailReconstruction et identification des électrons dans l expérience Atlas. Participation à la mise en place d un Tier 2 de la grille de calcul.
Université Denis Diderot, Paris 7 Mémoire présenté pour obtenir l habilitation à diriger des recherches par Frédéric DERUE LPNHE - Laboratoire de Physique Nucléaire et de Hautes Énergies IN2P3 - CNRS ;
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailUNIVERSITE BLAISE PASCAL. (U.F.R de Recherche Scientique et Technique) ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES THESE
UNIVERSITE BLAISE PASCAL (U.F.R de Recherche Scientique et Technique) ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES THESE presentee pour obtenir le grade de DOCTEUR D'UNIVERSITE (SPECIALITE : PHYSIQUE DES
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailSujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009
Sujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009 FYNU/CP3 expérimental : Physique des interactions fondamentales et des particules élémentaires Le
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailQuelques aspects de l intégration du premier prototype de ligne d ANTARES
Quelques aspects de l intégration du premier prototype de ligne d ANTARES Stage expérimental, MIP deuxième année Cédric Roux Laboratoire d accueil : Centre de Physique des Particules de Marseille 163,
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailRapport d'activité 1998-1999
u a^uvnt; 1770-1777- Rapport d'activité 1998-1999 FR0201497 Doc. Enreg.!e fjàfa
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailw L atome w De l infiniment grand à l infiniment petit
w 1 w L atome AU CŒUR DE LA MATIÈRE : LES ATOMES PROPRIÉTÉS PHYSICO-CHIMIQUES DE LA MATIÈRE LE NOYAU ATOMIQUE, UN AUTRE MONDE, UNE AUTRE PHYSIQUE 2 w SOMMAIRE L atome AU CŒUR DE LA MATIÈRE : LES ATOMES
Plus en détailStabilité et instabilité des systèmes quantiques à petit nombre de corps, applications en physique atomique, nucléaire et hadronique
Stabilité et instabilité des systèmes quantiques à petit nombre de corps, applications en physique atomique, nucléaire et hadronique Jean-Marc Richard Laboratoire de Physique Subatomique et Cosmologie
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailHistorique. Les radiations nucléaires 1
Les radiations nucléaires Dans notre vie de tous les jours, nous sommes continuellement bombardés de radiations de toutes sortes. Certaines sont naturelles et d autres, artificielles. Les premières proviennent
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détailEquations de Dirac et fermions fondamentaux ( Première partie )
Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 24, 1999 175 Equations de Dirac et fermions fondamentaux ( Première partie ) Claude Daviau La Lande, 44522 Pouillé-les-coteaux, France email : cdaviau@worldnet.fr
Plus en détailThèse présentée par. Détermination du flux de muons atmosphériques avec le télescope à neutrinos ANTARES
UNIVERSITE PARIS CEA/IRFU/SPP APC DIDEROT (Paris 7) Thèse présentée par Claire Picq Détermination du flux de muons atmosphériques avec le télescope à neutrinos ANTARES Pour l obtention du titre de Docteur
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailbulletin de la société française de physique
NUMERO 92 Nouvelle série Abonnement : 250 F, le numéro : 60 F Publication pentannuelle : DÉCEMBRE 1993 AU SOMMAIRE Société Française de Physique Siège social et Administration 33, rue Croulebarbe 75013Paris-Tél.:47.07.32.98
Plus en détailINTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE
INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE I) PRINCIPE Considérons l'énergie de liaison par nucléons pour différents noyaux (Fig. I.1). En examinant la figure I-1, nous constatons que deux types de réactions
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailStabilité et Réactivité Nucléaire
Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailLes Environnements Radiatifs
INTRODUCTION Les composants électroniques sont sensibles à l environnement dans lequel ils évoluent et de nombreux facteurs peuvent être à l origine de leur dysfonctionnement. C est le cas des radiations
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailNOYAU, MASSE ET ENERGIE
NOYAU, MASSE ET ENERGIE I - Composition et cohésion du noyau atomique Le noyau atomique est composé de nucléons (protons+neutrons). Le proton a une charge positive comparativement au neutron qui n'a pas
Plus en détailSur une possible fusion nucléaire quasi-catalytique à basse température
Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 37, 2012 187 Sur une possible fusion nucléaire quasi-catalytique à basse température Georges Lochak Fondation Louis de Broglie 23, rue Marsoulan 75012 Paris
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailEnvironnement logiciel LHCb
Environnement logiciel LHCb A. Tsaregorodtsev CPPM, Marseille Journées informatiques de l IN2P3 et du DAPNIA Cargèse, 26 Juillet 2001 Plan Introduction de l expérience LHCb Défis logiciels Solution GAUDI
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détail3 Charges électriques
3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailMeasurements of B Meson Lifetime Ratios with the LHCb Detector
Measurements of B Meson Lifetime Ratios with the LHCb Detector THÈSE N O 5280 (2012) PRÉSENTÉE le 30 mars 2012 À LA FACULTÉ DES SCIENCES DE BASE LABORATOIRE DE PHYSIQUE DES HAUTES ÉNERGIES PROGRAMME DOCTORAL
Plus en détailL ATOME ÉCOLOGIQUE. Bernard WIESENFELD. 7, avenue du Hoggar Parc d Activités de Courtabœuf, B.P. 112 9 1944 Les Ulis cedex A, France
L ATOME ÉCOLOGIQUE Bernard WIESENFELD 7, avenue du Hoggar Parc d Activités de Courtabœuf, B.P. 112 9 1944 Les Ulis cedex A, France Nota bene Tous les tableaux ou figures reproduits dans cet ouvrage émanent
Plus en détailInstitut de Physique Nucléaire (et IN2P3), Université Claude Bernard Lyon-I, 43, Bddu 11 Novembre 1918, 69622 VILLEURBANNE Cedex (France)
> LYCEN/8145
Plus en détailASTROPHYSIQUE. Aurélien Barrau et Gaëlle Boudoul sont chercheurs à l Institut des sciences nucléaires de Grenoble (CNRS/université Joseph-Fourier).
ASTROPHYSIQUE EN DEUX MOTS Des trous noirs aussi petits que le noyau d un atome, mais aussi lourds qu une montagne pourraient avoir été créés dans les premières phases de l Univers. Dans les années soixantedix,
Plus en détailHABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Sandrine Courtin. Structures Exotiques et Mécanismes de Réactions entre Ions Lourds àlabarrière de Coulomb
HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES présentée par Sandrine Courtin Spécialité :PhysiqueNucléaire Structures Exotiques et Mécanismes de Réactions entre Ions Lourds àlabarrière de Coulomb soutenue le 14
Plus en détailUniversité Paris XI THESE DE DOCTORAT. pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L UNIVERSITE Paris XI Spécialité : astroparticules.
Université Paris XI THESE DE DOCTORAT pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L UNIVERSITE Paris XI Spécialité : astroparticules Présentée par Damien DORNIC Institut de Physique Nucléaire d Orsay Développement
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailChapitre 9 : fusion nucléaire dans les étoiles et fusion nucléaire contrôlée
Réactions de fusion nucléaire dans les étoiles Historique Chapitre 9 : fusion nucléaire dans les étoiles et fusion nucléaire contrôlée On comprit aussi dans les années 1930 que la production d énergie
Plus en détailTravailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination
Travailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination Emmeric DUPONT Comment travailler dans un environnement de plus en plus irrationnel complexe et contraint? 20 ans de la SCM, Paris, 11-12
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires
Plus en détailBilan de référencement
www.hotel-gran-carlina.com 355, avenue Georges-Claude Pôle d Activités d Aix-en-Provence CS 70383 13799 Aix-en-Provence Cedex 3 www.eliophot.com 1 TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 1 RESUME... 2
Plus en détailFaculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011
Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailThéorie quantique et échelles macroscopiques
Adapté du Bulletin de l Union des Physiciens, 1997 (JMLL) Théorie quantique et échelles macroscopiques Jean-Marc Lévy-Leblond * «Pourquoi ma connaissance est-elle bornée? Ma taille? Quelle raison a eue
Plus en détailHTMTE >ES$ECTEUH$ OENT8RQUES. illlillêi-- ~,r_: m ïï. KT^'-fê. : v'!.?"2l_. *\ URi-WI-^ !" ^«-:*S»> «><&". a> «. ,. Hg^f^ "^' 1 -.''''^.
*\ URi-WI-^ Hi V KT^'-fê illlillêi-- ;!" ^«-:*S»> «>
Plus en détailNote. Membres de la collectivité canadienne de la physique subatomique. Chef d équipe, physique et astronomie
Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada Note Date : Le 21 avril 2010 Destinataires : Expéditeur : Objet : Membres
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailLe savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale
Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale La naissance de la mission internationale GLAST Observer des étoiles et des planètes,
Plus en détailSur la possibilité d une structure complexe des particules de spin différent de 1/2
Sur la possibilité d une structure complexe des particules de spin différent de 1/ Louis De Broglie To cite this version: Louis De Broglie. Sur la possibilité d une structure complexe des particules de
Plus en détailStructure et Evolution des étoiles
Structure et Evolution des étoiles Rayon = 0.697 10 6 km Luminosité = 3.826 10 26 W Notre Soleil Mesurable connaissant : - Sa distance d (mesure de parallaxe) - Son diamètre angulaire θ R = d tg θ/2 Mesurable
Plus en détailGRANDE CONFÉRENCE LES MATÉRIAUX QUANTIQUES TOPOLOGIQUES SUR LES MATÉRIAUX DE POINTE
GRANDE CONFÉRENCE SUR LES MATÉRIAUX DE POINTE LES MATÉRIAUX QUANTIQUES TOPOLOGIQUES VENDREDI, LE 15 NOVEMBRE 2013 CENTRE CULTUREL, FOYER MONT-BELLEVUE UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE 2500 BOUL. DE L UNIVERSITÉ,
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailLa fusion nucléaire. Le confinement magnétique GYMNASE AUGUSTE PICCARD. Baillod Antoine 3M7 29/10/2012. Sous la direction de Laurent Locatelli
GYMNASE AUGUSTE PICCARD La fusion nucléaire Le confinement magnétique Tokamak JET (http://www.isgtw.org/feature/small-sun-earth) Baillod Antoine 3M7 29/10/2012 Sous la direction de Laurent Locatelli RÉSUMÉ
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailITER et la fusion. R. A. Pitts. ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France
ITER et la fusion R. A. Pitts ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France This report was prepared as an account of work by or for the ITER Organization. The Members of the Organization
Plus en détail