Erreur sur le remède, REMED à l erreur
|
|
- Louise Boivin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Erreur sur le remède, REMED à l erreur M.F. Raspiller, M. Aubé, S. Bonn, E. Dufay Hôpitaux Universitaires de Strasbourg et Centre Hospitalier de Lunéville
2 Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Hôpital Civil
3 Nouvel Hôpital Civil
4 Centre antipoison et de toxicovigilance de Strasbourg Tél. :
5 Une des missions : Répondre à toute demande notamment urgente concernant les INTOXICATIONS HUMAINES Art D Décret du 17 septembre 1996
6 service médical 24 h / 24 tout type de public tout type de produit médicaments, produits ménagers, industriels, phytopharmaceutiques, cosmétiques, plantes, champignons
7
8 Strande L. Les erreurs médicamenteuses. Notifications au Centre antipoison de Strasbourg de 1986 à 2006 [Mémoire Stage hospitalier 5ème année de Pharmacie]. Strasbourg: Université Louis Pasteur UFR des Sciences pharmaceutiques; 2008.
9 Introduction
10 Erreur médicamenteuse Écart au cours de la prise en charge thérapeutique médicamenteuse Omission ou réalisation non intentionnelles D après : Société Française de Pharmacie Clinique. Dictionnaire français de l erreur médicamenteuse. 1 ère édition p.
11 Potentielle ou avérée Peut être à l origine d un évènement indésirable médicamenteux
12 Un ou plusieurs types dose adulte / enfant médicament patient technique voie enfant / nourrisson adulte / nourrisson posologie ou concentration et d autres types encore
13 Une ou plusieurs étapes Prescription Dispensation Information Patient Education thérapeutique Suivi et réévaluation Administration
14 Non évitable Erreur Médicamenteuse Evitable Evénement Indésirable Médicamenteux Evitable D après : Société Française de Pharmacie Clinique. Revue des Erreurs Liées aux Médicaments et Dispositifs médicaux associés. Fiche de synthèse. Septembre 2008.
15 Méthode
16 Ensemble des appels téléphoniques pour erreurs médicamenteuses au Centre antipoison de Strasbourg de 1986 à 2006 Données * Recueil dans SIMA (Système Informatique Médico-Administratif) Bilan erreurs médicamenteuses Caractérisation erreurs médicamenteuses 2006 * Exploitation Microsoft Office Excel 2000 La Revue des Erreurs liées au Médicament Et Dispositif associé (Août Société Française de Pharmacie Clinique)
17 Résultats Erreurs médicamenteuses de 1986 à 2006
18 Nombre d appels N total = % erreurs médicamenteuses (5 509 appels)
19 Origine du demandeur Nr = plus de 4 fois sur 5 Nr = N renseigné Famille ou entourage Patient Médecin
20 Sexe du patient Nr = Sex-ratio 0,86
21 Age du patient Nr = plus de la moitié < 15 ans
22 Lieu de l administration Nr = du(des) médicament(s) Hôpital 5 % Ecole/Crèche 3 % Maison 91 % Autre 1 %
23 Catégorie de médicaments Nr = ou plusieurs médicaments 0,4 % oestroprogestatif 0,6 % fluorure de sodium 5,8 % antitussif 10,9 % antibiotique 11,6 % psychotrope Catégories prédéfinies dans SIMA 20,7 % antalgique/ antipyrétique 50 % autres
24 Symptômes au moment de l appel 1 ou plusieurs symptômes Nr = Absents pour 4 patients sur 5
25 Conduite à tenir conseillée Nr = Abstention + surveillance à domicile près de 2/3 des cas
26 À domicile Garçon 15 mois épilepsie Administration par sa mère de 900 mg Dépakine préparés avec système doseur gradué en kg de poids Efferalgan Pas de symptômes Surveillance médicale hospitalière Dépakinémie : 279 mg/l à J 0 et 111 mg/l à J 1 (taux thérapeutique : 40 à 100 mg/l)
27 En maison de retraite Femme 90 ans Instillation oculaire de gel gingival Flogencyl par la résidente elle-même Irritation oculaire Rinçage avec sérum physiologique
28 À l hôpital Deux patientes Inversion de traitement par l infirmière Dépamide 300 mg un comprimé Neuleptil 25 mg un demi-comprimé Temesta un comprimé Lipanthyl un comprimé Neuleptil 25 mg un demi-comprimé Pas de symptômes Surveillance
29 À la pharmacie et à domicile Garçon 7 ans 26 kg Délivrance par le pharmacien de Théralène 4 % et non 0,05 % Administration par la famille de 200 mg Théralène Somnolence Surveillance médicale hospitalière
30 Au cabinet médical Femme 62 ans Infiltration du rachis lombaire par le médecin généraliste de Coltramyl (myorelaxant), Altim (corticoïde) et Xylocaïne (anesthésique local) Douleur à l endroit de l infiltration, myoclonies, désorientation, état de mal convulsif Hospitalisation en réanimation Scanner : œdème et inflammation méningée Décès Autopsie : 3 principes actifs de l infiltration dans le liquide céphalorachidien
31 Résultats Caractérisation des erreurs médicamenteuses en 2006
32 Erreurs médicamenteuses : 6 % des appels Résumé de la caractérisation : Avérées non interceptées avant administration Avec gravité des conséquences cliniques variable : de l échappée belle à l événement indésirable médicamenteux grave De tout type hormis omission Survenues au moins à l administration Référence : Société Française de Pharmacie Clinique. La Revue des Erreurs liées au Médicament Et Dispositif associé. Août 2008.
33 Conclusion
34 Gestion des erreurs médicamenteuses a posteriori récupération a priori demandeur déclaration REMED Pharmacovigilance Eviter l évitable Revue Prescrire Guichet Erreurs médicamenteuses Afssaps REMED : Revue des Erreurs liées aux Médicaments Et Dispositifs médicaux associés
35 La Revue des Erreurs liées aux Médicaments et Dispositifs médicaux associés Le manuel de la REMED
36 Les méthodes d EPP - HAS* Objectifs Approches Méthodes Réaliser le bilan d une pratique au regard de l état de l art Optimiser ou améliorer une prise en charge Traiter un dysfonctionnement, des événements indésirables Surveiller un phénomène important * Noir = méthodes de la HAS Par Comparaison Par Processus Par Problème Par Indicateur Audit clinique Audit clinique ciblé Revue de pertinence Analyse de processus Chemin clinique Revue de Morbidité Mortalité RMM & HAS Revue des Erreurs liées aux Médicament et Dispositifs associés REMED & SFPC Comité de Retour d Expérience CREX & MEAH Mise en place et analyse d indicateurs
37 Domaines d investigation de la RMM et de la REMED RMM REMED Erreur Médicamenteuse - EM Événement Indésirable Médicamenteux Évitable (dû à une EM) Événement Indésirable Médicamenteux Non Évitable (effet indésirable pharmacovigilance) Événement Indésirable en santé - EI (autre que médicament : dû à un acte chirurgical, infection nosocomiale) EM EI REMED : méthode fille de la RMM (HAS)
38 La REMED Objectif Analyser les erreurs médicamenteuses et leurs conséquences éventuelles chez le malade afin de mettre en place des actions évitant leur réapparition. EM potentielle = circonstances favorables à la survenue d une EM avérée interceptée avant administration non interceptée avant administration échappée belle cible de la REMED EI = dommage
39 La REMED Propositions structurant son organisation Qui participe? Qui gère et anime la revue? Qui est destinataire de l intégralité de la réflexion du groupe de travail? Quelle information est restituée au niveau institutionnel? Où sont archivés les documents utilisés ou produits au cours de la REMED? Quelle anonymisation adopter? Quel accompagnement des personnes concernées?
40 La REMED Propositions structurant l étude de cas Quelle est la chronologie des faits? Quel est le ou les produit(s) de santé impliqué(s)? Quelles sont les caractéristiques de l erreur médicamenteuse? Quels sont les situations, les dysfonctionnements et les facteurs contributifs de l erreur, voire son dommage? Autrement dit, pourquoi? Quel est le scénario de l étude? Comment a-t on rattrapé la situation? Quels sont les actions réduisant le risque de survenue d un événement analogue? Autrement dit, comment éviter la récidive? Quelles sont les recommandations à prioriser puis à mettre en oeuvre?
41 La REMED Les outils pour aider à la conduite de la Revue 1. Repérer un EI à l aide des événements sentinelles 2. Déclarer une erreur médicamenteuse 3. Faciliter l expression 4. Repérer les documents utiles 5. Identifier les produits de santé 6. Caractériser l erreur médicamenteuse 7. Diagnostiquer les causes Diagramme des 7M 8. Construire un scénario 9. Pondérer les causes 10. Rédiger le compte rendu d analyse approfondie 11. Prioriser les mesures d amélioration
42 La REMED L outil "Caractériser " Caractériser l erreur médicamenteuse Cocher la (ou les) case(s) correspondant à la caractérisation de l'em : 1 ère caractérisation : selon le degré de réalisation o EM potentielle o EM avérée 2 ème caractérisation : selon la gravité des conséquences cliniques pour le patient o Catégorie A: Circonstance ou événement susceptible de provoquer une erreur o Catégorie B: Une erreur s est produite, mais le médicament n est pas parvenu au patient o Catégorie C: Une erreur s est produite pour le patient, sans dommage pour le patient o Catégorie D: Une erreur s est produite et a provoqué une surveillance accrue pour le patient mais sans dommage pour le patient o Catégorie E: Une erreur s est produite et a motivé un traitement ou une intervention en provoquant un préjudice temporaire pour le patient o Catégorie F: Une erreur s est produite en entraînant ou en allongeant un séjour hospitalier et en provoquant un préjudice temporaire au patient o Catégorie G: Une erreur s est produite et a provoqué un préjudice permanent au patient o Catégorie H: Une erreur s est produite et a provoqué un accident mettant en jeu le pronostic vital du patient o Catégorie I: Une erreur s est produite et a provoqué le décès du patient 3 ème caractérisation : selon le type d erreur o Erreur d omission o Erreur de dose o Erreur de posologie ou de concentration o Erreur de médicament o Erreur de forme galénique o Erreur de technique d administration o Erreur de voie d administration o Erreur de débit d administration o Erreur de durée d administration o Erreur de moment d administration o Erreur de patient o Erreur de suivi thérapeutique et clinique o Médicament périmé ou détérioré 4 ème caractérisation : selon l étape de survenue dans le circuit du médicament o Prescription o Transcription o Analyse pharmaceutique o Préparation galénique o Délivrance o Administration o Information du patient o Suivi thérapeutique et clinique
43 La REMED L outil «Diagnostiquer " Classification de 160 éléments d analyse causale
44 REMED mesures d amélioration & sécurité thérapeutique Diminuent la probabilité d occurrence de l EM Facteurs contributifs Mesures de prévention Caractéristiques patient Diminuent la probabilité d occurrence des conséquences liées à l EM Erreur médicamenteuse Mesures d interception Caractéristiques organisation Diminuent la gravité des conséquences liées à l EM Mesures de récupération Caractéristiques événement Conséquences pour le patient Conséquences institutionnelles Mesures d amélioration Actions prises pour sécuriser la prise en charge du patient et l exercice des professionnels
45 Étude MERVEIL Année Étude Multicentrique pour l Évaluation de la ReVue des Erreurs et de leur Iatrogénie Liées aux médicaments Coordonnateur : Edith Dufay edufay@ch-luneville.fr
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détail«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»
«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailSécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur
Repères pour votre pratique Sécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur Mars 2012 Mise à jour en
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailMise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM
Mise en place du Système de Managagement de la Qualité de la prise charge médicamenteuse pour la pharmacie à usage interne du CRM Jean-Claude SCHREPFER Année 2011 2012 DU Qualité et Gestion des Risques
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailPharmacovigilance des Essais cliniques
Pharmacovigilance des Essais cliniques Edouard LECHAPTOIS DIU FIEC 22 janvier 2013 1 Introduction S o m m a i r e Eléments de réglementation Définitions Responsabilité des investigateurs / promoteurs Organisation
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction
Plus en détail"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"
"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,
Plus en détailPrescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Prescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale RECOMMANDATIONS Février 2009 HAS/Service des bonnes pratiques professionnelles
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailLa gestion des risques dans les établissements de soins
La gestion des risques dans les établissements de soins Forum des Usagers 01/03/2010 Dr Agnès PERRIN Sce de Gestion du Risque Infectieux et des Vigilances CHRU de LILLE Débuts de la gestion des risques
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailPharmacie, L équipe. Sommaire
Pharmacie, L équipe Jean-Luc Le Moal Docteur en pharmacie, diplômé en économie et gestion des systèmes de santé (CNAM). Rejoint le CNEH en 1999 après des fonctions au CH de Quimper et au CHU de Nantes.
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPoitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit
Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»
Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,
Plus en détailMaster transrégional en Sciences Pharmaceutiques
Préparation du consortium d appui aux formations francophones Université de Médecine de Hanoi 3 octobre 2012 Master transrégional en Sciences Pharmaceutiques Présentation du projet: Sébastien Clavel Fondation
Plus en détailActivité des programmes de médicaments
Chapitre 4 Section 4.05 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Activité des programmes de médicaments Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.05 du Rapport annuel
Plus en détailContribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)
Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) pour un cahier des charges des bases de données des produits de santé exigeant Rappelons pour mémoire que le législateur
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailSécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailResponsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection
Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants dans les essais cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection Anne RAISON Chef de l Unité Inspection
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLes médicaments génériques
ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailRESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE
RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailPEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN
PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,
Plus en détailLe Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données
www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailPlace des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes
Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détailGuide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE
Plus en détailPAR ANAT. Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur sanitaire BLOC OBSTÉTRICAL SCÉNARIO CONSULTATION IDENTITO-VIGILANCE
IDENTITO-VIGILANCE SCÉNARIO CONSULTATION SUIVI QUALITÉ GESTION DES IDENTITÉS SCÉNARIO ADMISSION PAR EXAMENS TRANSPORT RECOMMANDATIONS Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur
Plus en détailPROTECTION SOCIALE EN FRANCE
Qu est-ce que la protection sociale? PROTECTION SOCIALE EN FRANCE La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières
Plus en détail1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?
1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?... 1 2. LES TABLEAUX DE BORD, OUTILS DE PILOTAGE... 2 3. LES TABLEAUX DE BORD : OUTILS DE DIALOGUE A L'INTERIEUR DE L'ORGANISATION... 3 4. LA PRESENTATION
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS Références juridiques : Articles L.5125-33 à L.5125-41, article L.5122-6-1 et article
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPublication des liens
Le Leem vous informe Publication des liens entre professionnels de santé et entreprises du médicament Vous êtes médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, pharmacien, professionnel paramédical ou tout autre
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailFédération des Syndicats Pharmaceutiques de France
Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Note de synthèse relative à la formation pharmaceutique continue en Présenta Plus de 150 000 personnes travaillent dans les 23 006 pharmacies d'officine
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?
24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailLE DOSSIER PHARMACEUTIQUE. Guide pratique. à l usage du pharmacien
LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE Guide pratique à l usage du pharmacien Abréviations ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé CNIL Commission nationale de l informatique et des
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailASSISTANCE SANTÉ PRÉ- VOYANCE
santé & prévoyance PRIMA ASSISTANCE ASSISTANCE SANTÉ PRÉ- VOYANCE CONVENTION AG2R PRÉVOYANCE N 620 339 ASSISTANCE DE BASE CONVENTION AG2R PRÉVOYANCE N 620 339 Pour plus d infos, contactez-nous au : 0 800
Plus en détail2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15
2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL (2 ème année)
C U R R I C U L U M 04-05 MASTER PROFESSIONNEL ( ème année) Domaine : Sciences Technologies Santé Mention : Sciences de la Vie et de la Santé Spécialité : Produits de Santé : développement et distribution
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détail