Comment intégrer l histoire des génocides au système éducatif? M. Pascal Zachary, Ministère de l éducation nationale, France
|
|
- Victoire Lambert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 Comment intégrer l histoire des génocides au système éducatif? M. Pascal Zachary, Ministère de l éducation nationale, France 1. Remarques générales sur les programmes scolaires en France 1.1 Programmes actuels Ecole primaire-cycle 3 (CM2) / Programme scolaire 2016 Thème : Deux guerres mondiales au Vingtième siècle : «On aborde le génocide des Juifs ainsi que les persécutions à l encontre d autres populations.» Collège-Cycle 4 (3 ème ) / Programme scolaire 2016 : o Thème : L Europe, un théâtre majeur des guerres totales ( ) : Civils et militaires dans la Première Guerre Mondiale : Combattants et civils subissent des violences extrêmes, dont témoigne particulièrement le génocide des Arméniens en La Deuxième Guerre mondiale, une guerre d anéantissement : Violence de masse et anéantissement caractérisent la Deuxième Guerre mondiale, conflit aux dimensions planétaires. Les génocides des Juifs et des Tziganes ainsi que la persécution d'autres minorités sont étudiés. Lycée (1 ère ) / Programme 2011 o Thème - La guerre au XXème siècle (16-17 heures) Connaissances La Seconde Guerre mondiale : guerre d'anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes.
2 2 1.2 Commentaire général : Donc le thème intervient : à trois reprises au cours de la scolarité sur des temps courts (2-3 heures) est traité dans le cadre général de la guerre caractérisée par la notion d anéantissement pour la Deuxième Guerre mondiale. Evolution de la formulation des programmes avec association aux violences de masse et la persécution d autres minorités. La première précaution dans l enseignement de la Shoah et des génocides est de clairement distinguer ce qui relève d une guerre d anéantissement liée ou de violences de masse très clairement au contexte militaire et ce qui relève du génocide, processus dans lequel existe une idéologie, préalable à la guerre : l idéologie raciale nazie, qui justifie l extermination d un groupe tout entier, idéologie nationaliste jeune-turque sous forme d ingénieurie sociale ou hutupower dérivée d une idéologie ethno-racialiste pour le Rwanda. ces génocides ont une prévisibilité idéologique # que n ont pas forcément les crimes de guerre ; Tout enseignement sur les génocides doivent insister sur ces postulats idéologiques car ce sont eux qui imprègnent, à des degrés variables certes, les auteurs de ces génocides (décideurs ou exécuteurs). Vocabulaire appliqué à la destruction des juifs et aux autres groupes sont le mot : génocide ; L intitulé des programmes actuels s appuie sur un vocabulaire juridique : Notion de crime contre l humanité : définit au tribunal de Nuremberg en 1945 Notion de génocide reprend une formulation juridique adoptée par l Assemblée générale de l ONU lors de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, le 9 décembre Cette notion est reprise dans le statut de Rome créant la CPI en Néologisme formé en 1944 par Raphael Lemkin, professeur de droit américain d origine juive polonaise.
3 3 L'article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide 8 adoptée par l'assemblée générale des Nations unies, le 9 décembre 1948, affirme dans l article II : «Dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ciaprès commis dans l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel : a) Meurtre de membres du groupe ; b) Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ; d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ; e) transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe.» Ce terme sert aujourd hui à déterminer les chefs d accusation pour inculper des individus avec la création des tribunaux ad hoc pour l ex-yougoslavie et pour le Rwanda. Le statut de la Cour pénale internationale, adopté à Rome le 17 juillet 1998, maintient la définition de 1948 dans son article 6 sur le «crime de génocide». L article 29 précise que les crimes relevant de la compétence de cette cour dont le crime de génocide ne se prescrivent pas. Pour chacun des actes la CPI insiste sur deux aspects qu il faut inclure dans un enseignement sur les génocides : L appartenance des victimes de ces actes au même «groupe national, ethnique, racial ou religieux» Appartenance en partie objective servant d identité à ce groupe. Appartenance en partie construite par les responsables du génocide pour définir un ennemi commun : intervention administrative chargé du recensement, de l identification de ce groupe ; souvent un préalable au génocide lui-même. L intention de détruire : S il est assez aisé de montrer qu un meurtre de masse a été commis, que les victimes appartenaient à un même «groupe national, ethnique, racial ou religieux», il l est moins d apporter des preuves directes de l intention criminelle de destruction de ce groupe, car celles-ci reposent sur des documents qui peuvent manquer, avoir été cachés ou détruits pour dissimuler cette intention. L intention implique une idéologie qui désigne un ennemi objectif : le Tutsi, le Juif, l Arménien. L intention implique une planification par un pouvoir hiérarchisé qui prend des décisions : impulsant des actes génocidaires, coordonnant le crime de masse lorsqu il implique des institutions centrales.
4 4 On peut ajouter que dans le cadre du génocide s appliquant à un groupe, meurtre de masse implique une dimension géographique du crime liée à l implantation spatiale du groupe qui se manifeste : Par une politique de quadrillage criminel du territoire, limitation des déplacements et concentration Par une politique de déplacement forcée (déportations) associée à une purification ethnique.
5 5 2. Enjeux et principes de l enseignement de l histoire de la Shoah et des génocides Identification de quatre enjeux majeurs qui doivent guider la construction de notre enseignement 2.1 L enseignement de la Shoah est confronté au problème de la disparition même du sujet de cet enseignement. La disparition des hommes, des femmes et des enfants de cette communauté. La disparition des traces de cette extermination par la volonté même des criminels qui en sont les auteurs : Tous les historiens insistent que la marque même du génocide c est le vide : Hélène Dumas dans «le génocide au village» indique que la transformation des paysages des collines rwandaises se mesure d abord par le vide : «trace immatérielle des disparus, des maisons détruites, des champs laissé à l abandon. Cette absence est l aboutissement ultime du génocide». Annette Wieworka dans «Auschwitz, la mémoire d un lieu» insiste aussi sur cet aspect en affirmant qu à Auschwitz où sont morts près d un million de juifs «il n y a rien à voir si on ne sait pas ce qu il y a à voir» ; identique dans tous les centres de mise à mort dans la Pologne occupée ou lieux d exécution en Europe de l Est où forêts et clairières se sont substitués aujourd hui au paysage du génocide. L enjeu majeur de notre enseignement est donc de rendre compte de la mort de masse ; de mettre en récit la disparition de milliers d êtres humains qui n ont pas laissé de traces. 2.2 Autre enjeu de restituer la Shoah et les génocides dans l ensemble d un processus historique : historiciser la Shoah et les génocides et ne pas se cantonner dans un registre émotif à l étude du crime lui-même. En montrant la prévisibilité idéologique dans la doctrine nazie mais aussi dans le hutupower mais pas de déterminisme qui imprègnent des groupes sociaux plus ou moins importants dans les sociétés où se déroulent les génocides : biologisation, ethnicisation de certains groupes sociaux.
6 6 En montrant les conditions historiques qui permettent l accomplissement d un tel événement. Restituer les génocides dans une politique de persécution qui suit souvent des étapes avec des dynamiques de radicalisation : discrimination, exclusion, déplécement forcé des populations rôle de la guerre dans les 3 génocides du XXème. Politique de destruction des Juifs d Europe : Montrer que la Shoah est la fin ultime mais non automatique d un processus par étapes de l identification d une communauté jusqu à son extermination finale ; chaque étape ouvrant sur la suivante quand les conditions historiques sont réunies. (éviter coupure dans certains programmes scolaires entre premières persécutions du régime nazi et processus d extermination développé pendant la guerre). Restituer la Shoah dans un processus qui ne se limite pas à la phase finale de l extermination cela permet de montrer surtout à des élèves l intention criminelle, un élément de la qualification de génocide. Pour autant jusqu en 1941 existent plusieurs politiques possibles en matière de persécution Resituer permet d identifier les prodromes de ces crimes de masse, les signes annonciateurs, le chemin qui conduit au fait qu un jour des hommes ou des femmes revêtent les habits du bourreau ou de la victime. Cette identification doit permettre de graver «dans l esprit des jeunes générations les enseignements de l Holocauste afin d aider à prévenir les actes de génocides» comme l indique les résolutions des assemblées générales de l ONU concernant cet enseignement.
7 7 2.3 Construire un enseignement qui restitue les génocides dans leur spécificité historique : L utilisation d un vocabulaire juridique risque de gommer les spécificités historique de chaque génocide : Spécificité du génocide rwandais est le croisement entre deux dynamiques : une dynamique verticale impulsée par L Etat et une dynamique horizontale avec actions des populations locales où intimité entre tueurs et victimes est très poussée. Spécificité de la Shoah : A son extension géographique : les juifs ont été déportés vers les centres d extermination du cercle polaire norvégien aux plus petites îles grecques proches de la côte turque. A sa place centrale dans la Deuxième Guerre mondiale menée par l Allemagne nazie : La Shoah n est pas une conséquence de la Deuxième Guerre mondiale, elle est au centre de ce conflit pour les nazis. Quelle que fut l évolution du conflit, l assassinat de masse a continué en dépit de toute logique stratégique militaire. Si les nazis perdent la guerre militaire, ils veulent gagner leur guerre raciale, qui était une fin en soi pour Hitler et pour les nazis qui menaient contre eux une guerre à l échelle mondiale. A l existence de centres de mise à mort et de bâtiments spécifiques sans précédent dédiés à l extermination fonctionnant selon une rationalité «industrielle», destinés à l assassinat en masse des juifs d Europe. Il est essentiel de restituer aux élèves cette dimension spécifique de chaque génocide : Sujets d histoire s appuyant sur des faits historiques pour combattre tout négationnisme. Montrer que rien n est écrit d avance : et c est ce qui a perdu ces populations juives ou tutsis qui persécutées auparavant ont recherché les solutions habituelles de protection qui n ont pas fonctionné. mais aussi dans la perspective de reconnaître les prodromes d un génocide 2.4 Construire un enseignement qui évoque aussi le processus de sortie des génocides : la reconnaissance de ces génocides par la justice et la mémoire. Le génocide des juifs a donné lieu à une justice très institutionnelle : jugements rendus par des tribunaux internationaux (Nüremberg) ou nationaux.
8 8 Le génocide des Tutsis au Rwanda a donné lieu à l expression d une justice très diverse : o Tribunal pénal international d Arusha o Tribunaux rwandais ou d autres juridictions internationales (compétence universelle) o Juridiction originale d inspiration traditionnelle : les gacaca se déroulant suivent sur les lieux même du crime = particularité de ce génocide entre voisins. Prise en compte des génocides par les mémoires nationales : o Source de tensions et de divisions : quand cette mémoire est occultée ou niée dans le cadre d une concurrence de mémoires de groupes de victimes o Source d apaisement : quand cette mémoire est enseignée dans sa réalité historique Enjeu est de montrer par quels moyens tente-t-on de parvenir à des processus de réconciliations nationaux dans une perspective de rétablir une forme d unité nationale autours d une mémoire consensuelle sur ces événements.
9 9 3. Enjeux de la formation des enseignants : formation des enseignants doit s appuyer sur deux pôles : 3.1 Un pôle scientifique : conférences, mise au point scientifique sur les questions des génocides à la fois dans leur approche spécifique mais aussi dans une démarche comparative. 3.2 Un pôle didactique et pédagogique articulé au précédent : mise en œuvre des programmes devant des élèves. Insister sur l aspect mise en activité des enseignants dans des situations de mise en œuvre des cours. o Afin qu il y ait une meilleure appropriation des contenus o En matière de formation il y a toujours un principe : c est qu on enseigne à des élèves de la manière dont on a été formé. 3.3 Si possible des visites sur les lieux mémoriels : essentiel pour se rendre de l absence et du vide laissés par ces génocides pour des enseignants qui doivent transmettre cette histoire. 4. Matériaux et contenus pédagogiques appropriés d un enseignement de la Shoah et des génocides. Objectif principal : Donner aux élèves un caractère à la fois historique et concret à ce processus génocidaire sans tomber dans le piège d une étude affective ou partielle. Matériaux pédagogiques qui doivent servir de support à l étude des génocides doivent s appuyer sur une documentation historique qui relève de trois registres : 4.1 Des documents sur la vie d avant celle dont la disparition est la preuve même du génocide : a. restituer des scènes de la vie quotidienne de ces groupes qui ont disparu par des témoignages, des photographies, voire des films lorsqu ils existent. b. redonner un visage aux victimes : c. principe muséographique retenu par de nombreux mémoriaux et musées : Mémorial de la Shoah, Musée d Auschwitz.
10 Des documents qui retracent les signes annonciateurs d un possible génocide, étapes nécessaires mais non-déterminantes du génocide : a. Concernant l idéologie des génocidaires et des forces armées (les trois génocides du XXème siècle associés à des expériences de conflits avec un discours de guerre.) b. Montrant des pratiques discriminatoires et d exclusion sociale dans les sociétés. c. Le rôle de la guerre dans les représentations de l ennemi et dans la désinhibition de la violence. 4.3 Enfin des documents qui montrent fonctionnement de l extermination à partir d étude de cas mises en perspective (dimension géographique du génocide) a. Etudes de cas fondée sur L itinéraire des victimes Les lieux de l extermination b. Ces études de cas doivent être mises en perspective pour avoir la vision la plus large possible du génocide : Elargir les études et montrer éléments permanents et variables de l extermination. Montrer l aspect global du processus génocidaire puisque par nature il concerne un groupe. Montrer comment décisions centrales des dirigeants interviennent dans ce processus génocidaire permet de montrer : (Wannsee). o Ces deux derniers points permettent de montrer l aspect de la planification et aussi l intentionnalité qui sont deux critères essentiels pour identifier le génocide. o Recours à des cartes, des tableaux synthétiques, des documents permettant cet élargissement prend ici tout son sens.
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détail27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste
27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste "Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l'oubli" (Elie Wiesel) Quand ils ont arrêté les communistes,
Plus en détailAncienne gare de déportation de Bobigny. Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012
Ancienne gare de déportation de Bobigny Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012 Sommaire : 1. Bobigny, une gare entre Drancy et Auschwitz 2. Après la guerre,
Plus en détailI) La politique nazie d extermination
I) La politique nazie d extermination La Seconde guerre mondiale a été marquée par l extermination de 10 millions de personnes par les nazis. Les Juifs en particulier ont été les victimes d un génocide
Plus en détailThème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre
Plus en détailIII. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides?
III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? Dans les régions occupées par l URSS, des divisions SS les Einsatzgruppen) massacrent systématiquement les Juifs à partir de 1941. Ils sont gazés
Plus en détailCORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème
CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème LE NAZISME (1933-1945) DU TRAITE DE VERSAILLES A L ARRIVEE D HITLER AU POUVOIR PAGES 4-5 Comment Mussolini, nouveau dirigeant de l Italie est-il mis en valeur
Plus en détailApplication de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. (Croatie c. Serbie).
COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE Palais de la Paix, Carnegieplein 2, 2517 KJ La Haye, Pays-Bas Tél : +31 (0)70 302 2323 Télécopie : +31 (0)70 364 9928 Site Internet : www.icj-cij.org Communiqué de presse
Plus en détailDans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de)
Dans nos classes La Résistance et la Déportation dans les manuels Classe de troisième Les leçons : Belin, avril 2003. Eric Chaudron, Remy Knafou. Leçons La 2 guerre mondiale. * Les grandes phases de la
Plus en détailPour en savoir plus sur l histoire des Juifs de Vire, sur Lublin, Majdanek, Belzec, l Aktion Reinhard rdv sur www.memoire-viretuelle.fr.
La «Shoah» qu est-ce que c est? Un génocide. Presque six millions de morts. Difficile de réaliser. Personne peut-être ne parvient à le faire Contre toute attente, la Shoah s est aussi passée à Vire. Vingt
Plus en détailLa seconde guerre mondiale
CM2 Découverte du monde Histoire Compétences : La violence du XXe siècle : les deux conflits mondiaux La seconde guerre mondiale - À partir de l étude de cartes et de documents statistiques, comprendre
Plus en détailHISTOIRE. Chapitre 1. Lecture historique de mémoires : l historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France
HISTOIRE Chapitre 1 Lecture historique de mémoires : l historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France Je révise et je me perfectionne Structure de la leçon I. Une mémoire sélective (1945
Plus en détailCommuniqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc
Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Les Voies de la Liberté Du 15 septembre 2015 au 28 mai 2016 Communiqué de presse Mémorial de la Shoah, CDLV82017 Le Mémorial En 2009,
Plus en détailGlossaire 3 : 3 Ressources :
Le vocabulaire concernant l extermination des Juifs d Europe par les nazis Le régime nazi a, de 1941 à 1945, mis en œuvre sa décision planifiée de destruction des populations juives d Europe. L objectif
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI
Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI enseigner l Holocauste? Publié en 2013 par l Organisation des Nations unies pour l éducation, la science et la culture
Plus en détailLa IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement
H2.1 : Guerres mondiales et espoirs de paix. La II e Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides. Introduction : Si la 1 ère guerre mondiale fut la première guerre totale, la 2 ème GM, par
Plus en détailExposition Camps d internement du Limousin (1940-1944)
COMMUNIQUE DE PRESSE Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) Du 11 mars au 20 avril 2013 au musée Edmond-Michelet Destinés à l origine à regrouper les étrangers «indésirables», les camps
Plus en détailLes jeunes contre l oubli
Ici, il y a des gens qui : Fabriquent de faux-papiers, Tout en restant discrets ; Aident des enfants, Même pas pour un franc. Ils sont cachés dans les maisons, Au lieu d être dans les camps de concentration.
Plus en détailL'Holocauste. Table des matières. L Holocauste : aperçu
L'Holocauste Table des matières The Holocaust: Theme Overview 1 Objets personnels Helena Zaleska 2 Auschwitz-Birkenau, 1944 3 Étoile de David 4 Gobelet de métal 5 Chaussure d enfant 6 L Holocauste : aperçu
Plus en détail«Croatie, Bosnie et Serbie face à la justice internationale»
Observatoire de la Modernité Séminaire 2014-2015 «Mémoire et persistance du communisme en Europe centrale et orientale» Séance du 1 juillet 2015 Intervenant : Joseph Krulic Compte-Rendu : Catherine Dupeyron
Plus en détailChapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE Pourquoi la Seconde guerre mondiale est-elle une guerre d anéantissement? I. Un affrontement planétaire A. Les grandes phases de la guerre ...................... 1
Plus en détailBrève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas
Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas La présence juive aux Pays-Bas En 1579, l abolition de l Inquisition par la République hollandaise fait de ce pays une terre d accueil par excellence pour les
Plus en détailExtrait de l'ouvrage Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. éditions A.Pedone EAN 978-2-233-00653-0 AVANT-PROPOS
Extrait de l'ouvrage Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale. éditions A.Pedone EAN 978-2-233-00653-0 AVANT-PROPOS «Charbonnier est maître chez soi. Nous traiterons comme nous l'entendons nos
Plus en détailCHAPITRE 2 La Seconde Guerre mondiale : Guerre d anéantissement et génocide des juifs et des Tziganes.
CHAPITRE 2 La Seconde Guerre mondiale : Guerre d anéantissement et génocide des juifs et des Tziganes. INTRODUCTION ET RAPPELS Comme la Première Guerre mondiale, la seconde est une Guerre Totale qui implique
Plus en détailRessources pour Faire la classe MÉMOIRE ET HISTOIRE DE LA SHOAH À L ÉCOLE
Ressources pour Faire la classe MÉMOIRE ET HISTOIRE DE LA SHOAH À L ÉCOLE Ressources pour faire la classe Mémoire et histoire de la Shoah à l école Ministère de l Éducation nationale Pour aller plus loin
Plus en détailÉléments des crimes *,**
des crimes *,** * Note explicative: La structure des éléments des crimes de génocide, des crimes contre l humanité et des crimes de guerre suit celle des dispositions correspondantes des articles 6, 7
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 41 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1992-1993 Annexe au prunes verbal Je la séance du 10 novembre 1992. PROPOSITION DE LOI relative à la reconnaissance des crimes contre I'humanité commis par le régime
Plus en détailTROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale
TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale Qu est-ce que ce film nous apprend sur l évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en France?
Plus en détailFilms à la Fiche. NUIT ET BROUILLARD Un dispositif d alerte NUIT ET BROUILLARD
Films à la Fiche NUIT ET BROUILLARD Un dispositif d alerte TH6790 Présentation Musique de l allemand Eisler, commentaire écrit par l ex-déporté Jean Cayrol et lu par Michel Bouquet, ce court métrage «de
Plus en détailCORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE
CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE 1/ en 1804 2/ le second empire 3/JULES FERRY 4/régime de Vichy : 1940/1944 La collaboration caractérise ce régime. Par exemple, la milice française
Plus en détailBrevet Blanc d'histoire Géographie Education Civique Mardi 17 Avril 2012
Brevet Blanc d'histoire Géographie Education Civique Mardi 17 Avril 2012 (Rappel : la maîtrise de la langue (orthographe et expression écrite) est notée sur 4 points) Pour la première partie, le candidat
Plus en détailOù et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?
Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses
Plus en détail27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité
Monsieur le Maire, Eric LEJOINDRE Mesdames et Messieurs Les enseignants et représentants de l Education Nationale Mesdames et Messieurs les Présidents et représentants d associations patriotiques Mesdames
Plus en détailAllocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014
United Nations Mechanism for International Criminal Tribunals Nations Unies Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux ALLOCUTION (Destiné exclusivement à l usage des médias. Document non officiel.)
Plus en détailHistoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche
Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion
Plus en détailLA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES
LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES PAR François ROUX Depuis Nuremberg jusqu au Tribunal spécial pour le Liban, la défense devant les tribunaux pénaux internationaux a subi une évolution
Plus en détailDécision du Défenseur des droits n MLD-2011-89
Paris, le 12 janvier 2012 Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011 relative au Défenseur des
Plus en détailDossier VI. Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises
1 Dossier VI Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises A/ Les guerres au XX ème siècle 1 La Première Guerre mondiale (la «Grande Guerre») a) Quelles sont
Plus en détailHistoire Thème I : L historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale Instructions officielles
Histoire Thème I : L historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale Instructions officielles Les effets du contexte sur l élaboration des mémoires de la seconde Guerre mondiale en France. Les
Plus en détailDe la discrimination à l extermination
De la discrimination à l extermination La crise des années trente a réveillé en France l antisémitisme qui sommeillait depuis l affaire Dreyfus. Les groupes d extrême-droite mènent des campagnes dont la
Plus en détailRECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI
CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication
Plus en détailLe Journal d Anne Frank. De Julian Y. Wolf et Nagaoka Akiyoshi 1999. France/Grande-Bretagne/Irlande/Japon. 89 min. Animation. Couleurs.
Le Journal d Anne Frank De Julian Y. Wolf et Nagaoka Akiyoshi 1999. France/Grande-Bretagne/Irlande/Japon. 89 min. Animation. Couleurs. En juin 1942, Anne Frank fête ses 13 ans à Amsterdam. Son père lui
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailN 607 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 607 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 16 janvier 2013. PROPOSITION DE LOI relative à la reconnaissance
Plus en détailRévision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009.
Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. SOMMAIRE Un plaignant estime que le Téléjournal du 30 novembre a commis
Plus en détailAnnette BECKER Penser et nommer les génocides : Raphaël Lemkin.
1 Annette BECKER Penser et nommer les génocides : Raphaël Lemkin. En 1941, un juriste polonais ayant trouvé asile aux Etats-Unis, Raphaël Lemkin, prend connaissance du discours radiophonique prononcé le
Plus en détailDISCOURS MADAME SIMONE VEIL. Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH
DISCOURS DE MADAME SIMONE VEIL Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH Athènes, le 30 janvier 2006 Journée nationale à la mémoire des héros et des martyrs de l Holocauste en Grèce Monsieur
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailMémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE POINT DE RENCONTRE. 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5
POINT DE RENCONTRE Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5 Mémorial de Caen Sommaire CANOPÉ ACADÉMIE DE CAEN Directeur de la publication
Plus en détailStatut de Rome de la Cour pénale internationale
Statut de Rome de la Cour pénale internationale Le texte du Statut de Rome est celui du document distribué sous la cote A/CONF. 183/ 9, en date du 17 juillet 1998, et amendé par les procès-verbaux en date
Plus en détailEtre citoyen, c'est avoir des droits, mais aussi des devoirs.
Etre citoyen, c'est avoir des droits, mais aussi des devoirs. Le sens actuel du mot citoyen est hérité de la révolution française qui a initié le droit de vote. La citoyenneté confère des droits, mais
Plus en détailDéclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones
Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Nations Unies Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Résolution adoptée par l Assemblée générale [sans
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailChapitre 1 L historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN IMPRESSION DU 23 septembre 2014 Chapitre 1 L historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale Table des matières 1 L élaboration d une mémoire résistancialiste
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailCode de conduite pour les responsables de l'application des lois
Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de
Plus en détailDistr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH
Distr. GENERAL HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008 FRANÇAIS Original: ENGLISH PRINCIPES DIRECTEURS SUR LA PROTECTION INTERNATIONALE: «L appartenance à un certain groupe social» dans le cadre de l'article
Plus en détailTerrorisme, crimes contre l humanité et Cour pénale internationale
Terrorisme, crimes contre l humanité et Cour pénale internationale Philippe KIRSCH Président de la Commission préparatoire de la Cour pénale internationale Ambassadeur du Canada en Suède Les événements
Plus en détailSommaire. Séquence 7 Histoire. Thème 1 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement, 1939-1945
Sommaire Histoire Thème 1 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement, 1939-1945 Séance 1 La Seconde Guerre mondiale, un affrontement aux dimensions planétaires Séance 2 Séance 3 La bataille
Plus en détailDr Marcel Tenenbaum rescapé de la Shoah
D ix questions à Dr Marcel Tenenbaum rescapé de la Shoah La Caserne Dossin en bref... La Caserne Dossin est située à Malines en Belgique. C est à cet endroit que l on regroupa les Juifs de ce pays avant
Plus en détailL antisémitisme et les premières actions contre les juifs
L idéologie nazie Basée sur l idée d une race aryenne supérieure, l idéologie nazie s imposera à tous les niveaux dans l état allemand. Le parti nazi se base sur toute une série de principes. L ensemble
Plus en détailPrésentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire
Présentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire Ce témoignage de Francine Christophe, expérience douloureuse d une partie de sa vie, «croise»
Plus en détailL approche du TPIY des massacres à «grande échelle» : Réflexion sur l affaire Lukić & Lukić
PORTAIL JUDICIAIRE DE LA HAYE L approche du TPIY des massacres à «grande échelle» : Réflexion sur l affaire Lukić & Lukić Andrea Ewing Introduction Même dans le contexte de la brutale guerre de Bosnie-Herzégovine
Plus en détailCORRECTION BREVET PONDICHERY 2014
CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailL émergence progressive d une politique internationale de la mémoire : l exemple des actions publiques de partage de la mémoire
L émergence progressive d une politique internationale de la mémoire : l exemple des actions publiques de partage de la mémoire Sarah Gensburger To cite this version: Sarah Gensburger. L émergence progressive
Plus en détailCOMPTE RENDU DU STAGE ACADEMIQUE AU MEMORIAL DE LA SHOAH A PARIS ET A CRACOVIE (I)
COMPTE RENDU DU STAGE ACADEMIQUE AU MEMORIAL DE LA SHOAH A PARIS ET A CRACOVIE (I) du 11 au 14 février 2010 G. Sabatier, Lycée Claude Fauriel et IUFM de Saint-Etienne (42) L objectif de ce compte-rendu
Plus en détailLa politique d'extermination nazie. Les ghettos
La politique d'extermination nazie Les ghettos Le regroupement des Juifs dans les ghettos (ici : le ghetto de Varsovie) Vivre dans le ghetto de Varsovie Les plus pauvres ne pouvaient se protéger du froid
Plus en détailLes camps de concentration et d extermination nazis : quelle organisation spatiale? L exemple d Auschwitz. DIAPO I :
Les camps de concentration et d extermination nazis : quelle organisation spatiale? L exemple d Auschwitz. DIAPO I : Les camps de concentration et d extermination nazis : quelle organisation spatiale?
Plus en détailLES FUSILLADES MASSIVES DE JUIFS EN UKRAINE,
DOSSIER PEDAGOGIQUE EXPOSITION LA SHOAH PAR BALLES LES FUSILLADES MASSIVES DE JUIFS EN UKRAINE, 1941-1944 2 Table de matières Aux jeunes visiteurs...p.3 1. Qui?...p.4 2. Comment?...p.7 3. Comment le sait-on?...p.9
Plus en détailDocument 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important?
Pages 77-78. Passage en italique. «Je crois devoir attirer votre attention sur le fait qu en exécution des ordres reçus du commandeur des SS, les arrestations ont été opérées uniquement par la police française
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailUne guerre juste est-elle possible?
Pseudonyme : Colombine Nombre de mots : 1942 mots Une guerre juste est-elle possible? 8000 traités de paix ont été dénombrés jusqu à aujourd hui 1. C est dire qu au moins 8000 guerres ont façonné l histoire.
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détailService de presse 15 20 novembre 2014
Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour
Plus en détailSURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE
Strasbourg, 21 juin 2012 pc-cp\docs 2012\pc-cp (2012) 7 f rév PC-CP (2012) 7 rév COMITÉ EUROPÉEN POUR LES PROBLÈMES CRIMINELS (CDPC) Conseil de coopération pénologique (PC-CP) CHAMP D APPLICATION ET DÉFINITIONS
Plus en détailHistoire - Géographie
BRUZ Histoire - Géographie Collège Pierre Brossolette Caen UNE JOURNÉE DANS L'HISTOIRE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE Rennes CimetiEre allemand de LA CAMBE CimetiEre americain de Colleville O m a h a B
Plus en détailExposition A CONTRE COURANT, organisée par l association. mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2
Exposition A CONTRE COURANT, organisée par l association mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2 http://lesamisdemagda.fr/ Contact : bertrandbernicot@hotmail.fr Des élèves de 8 lycées
Plus en détailProgramme. Modératrice de la matinée Sylvie Braibant, rédactrice en chef à TV5 Monde
Programme 9h30-10h00 Accueil Marie-José Chombart de Lauwe, présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation et directrice de recherche honoraire au CNRS Représentant de la Conférence internationale
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailRECOMMANDATIONS POUR L EVALUATION ET LE TRAITEMENT DES DOSSIERS D ETUDIANTS
1. AVANT-PROPOS Ces Recommandations ont été élaborées par le Conseil international des Archives- Section des archives des universités et institutions de recherche dans le cadre du projet P2010 SUV "Evaluation
Plus en détailPRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS
PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire
Plus en détailCLAIMS RESOLUTION TRIBUNAL
CLAIMS RESOLUTION TRIBUNAL [Seule la version originale en langue anglaise fait foi] dans le cadre du Holocaust Victim Assets Litigation Affaire Numéro CV96-4849 Décision d attribution certifiée en faveur
Plus en détailDe l Etat français à la IVème République (1940-1946)
De l Etat français à la IVème République (1940-1946) Introduction : Présentation de la défaite : -En juin 1940, la chute de la IIIème République (1875-1940) accompagne la déroute militaire. -Le 10 juillet
Plus en détailComprendre un texte fictionnel au cycle 3 : quelques remarques
Contribution aux travaux des groupes d élaboration des projets de programmes C 2, C3 et C4 Anne Leclaire-Halté, Professeure d université, Université de Lorraine/ESPÉ Comprendre un texte fictionnel au cycle
Plus en détailTHEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne
THEME : CLES DE CONTROLE Division euclidienne Soit à diviser 12 par 3. Nous pouvons écrire : 12 12 : 3 = 4 ou 12 3 = 4 ou = 4 3 Si par contre, il est demandé de calculer le quotient de 12 par 7, la division
Plus en détailGuide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015
Guide des expositions temporaires Service Educatif Édition 2015 Résistance et Monde rural en Zone interdite 1940-1944 Le Musée de la Résistance de Bondues Le musée a pour vocation de transmettre ce que
Plus en détailLe monde a besoin de paix en Palestine
ANALYSE 2007 Le monde a besoin de paix en Palestine Publié avec le soutien du service de l éducation permanente de la Communauté française Pax Christi Wallonie-Bruxelles Le monde a besoin de paix en Palestine
Plus en détailVISITE DE L EXPOSITION AU THÉÂTRE DE PRIVAS :
VISITE DE L EXPOSITION AU THÉÂTRE DE PRIVAS : Tania Mouraud : Glamour-ing, 2000 C est un film vidéo qui montre un acteur de théâtre qui se maquille avant d aller sur scène. Ça se passe en Inde. L acteur
Plus en détailASSICURAZIONI GENERALI - 2-34132 TRIESTE
CLAIM FORM Form no. ASSICURAZIONI GENERALI S.p.A. - Policy Information Center Piazza Duca degli Abruzzi, 2-34132 TRIESTE - Italy Fax: +39 040/671536 E-mail: pic@generali.com Veuillez remplir le formulaire
Plus en détailConférence de révision du Statut de Rome
Cour pénale internationale Conférence de révision du Statut de Rome RC/ST/PJ/1/Rev.1 Distr. : générale 24 juin 2010 FRANÇAIS Original : anglais Kampala 31 mai 11 juin 2010 Bilan de la justice pénale internationale
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailColombie et Gaza : Génocides et impunités
1 sur 10 24/07/2014 12:39 print Colombie et Gaza : Génocides et impunités De Jules Dufour Global Research, juillet 23, 2014 Url de l'article: http://www.mondialisation.ca/colombie-et-gaza-g-nocides-et-impunit-s/12080
Plus en détailLA SHOAH. Document du Mémorial de la Shoah. 2007
LA SHOAH Document du Mémorial de la Shoah. 2007 Au cours de la Seconde Guerre mondiale, 5 à 6 millions de Juifs européens ont été assassinés par l Allemagne nazie et ses complices. Le nombre des victimes,
Plus en détailRapport Séance n 9. Raphaël Dokhan premier secrétaire
1 Rapport Séance n 9 Raphaël Dokhan premier secrétaire «Des propos invitant à la libre discussion historique sur le nombre de victimes des camps nazis échappent-ils à la qualification de contestation de
Plus en détailGROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)
Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détail