Évolution des connaissances et des attitudes après réception du livret dépression : synthèse d un dispositif d évaluation de l Inpes

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1 Évolution des connaissances et des attitudes après réception du livret dépression : synthèse d un dispositif d évaluation de l Inpes Contexte En 2005, le ministère de la Santé avait rendu public un plan de santé mentale prévoyant la mise en œuvre de campagnes de communication afin de «faire connaître au grand public les principales pathologies, leurs causes, leurs symptômes et leurs traitements». C est dans ce cadre l Inpes et le ministère de la Santé ont lancé à l automne 2007 une campagne d information du grand public sur la dépression. Rappel du dispositif de communication La campagne d information utilisait trois médias : la télévision avec la diffusion d un spot télé du 29 octobre au 18 novembre 2007, la radio avec la diffusion de 4 spots radios du 3 au 21 novembre 2007 et enfin le média Internet avec la diffusion de bannières du 29 octobre 2007 au 8 janvier La campagne média définissait la dépression comme une maladie, qui peut toucher chacun d entre-nous. Elle en présentait les principaux symptômes par le biais d un spot d animation (télé) ou de témoignages (radio) et incitait les personnes souhaitant «en savoir plus» sur la dépression à commander un livret d information gratuit par le biais d un numéro de téléphone ou d un site internet. Objectifs L objectif premier de la campagne était de promouvoir des outils d information (livret et site internet). L objectif secondaire étant d informer le grand public sur les symptômes et les prises en charge de la dépression afin de faciliter, le cas échéant, le dialogue avec l entourage et les professionnels de santé, d améliorer les connaissances, de faire évoluer les attitudes et les comportements vis-à-vis de la dépression et in fine de contribuer à l amélioration du recours aux soins. Dispositif d évaluation Le dispositif d évaluation s appuyait sur 4 enquêtes (2 post-tests, l un auprès du grand public, l autre auprès des professionnels de santé et une enquête internet) dont une étude d évaluation de l impact du livret dont nous présenterons ici la méthode et les principaux résultats. Cette évaluation s appuie sur une enquête avant/après réception du livret auprès de 1503 personnes ayant commandé le livret dépression. Ces personnes ont été interrogées une première fois quelques jours avant la réception du livret (vague 1) et une seconde fois 3 mois après le premier entretien (vague 2). Les mêmes questions leur ont été posées lors des deux entretiens afin de comparer (au sein d un même individu) l évolution de leurs réponses suite à la lecture du livret. Objectif d évaluation 1

2 Il s agit d évaluer dans quelle mesure le livret a pu contribuer : A améliorer la connaissance : - des symptômes de la dépression - des professionnels avec notamment la connaissance de la différence entre psychiatre et psychologue - des moyens thérapeutiques - des lieux et des structures d accueil A changer les attitudes vis-à-vis : - de la dépression en général - des dépressifs (stigmatisation) - du risque perçu de parler de sa dépression - des attitudes vis-à-vis des professionnels de santé - de l efficacité perçue des traitements - de l intention de recours aux soins en cas d état dépressif Méthode d analyse Pour chacun des deux groupes d indicateur, les connaissances et les attitudes, nous avons procédé à des analyses de variance (ANOVA) nous permettant d évaluer la significativité des changements observés entre la vague 1 et 2 ainsi que l impact du niveau de lecture du livret sur ces changements. Concernant l amélioration des connaissances, l indicateur retenu est l évolution du nombre de connaissance entre les deux vagues. Concernant le changement d attitude, l indicateur retenu est l évolution du degré d accord ou de désaccord avec les items présentés (cf. tableau 2 pour la liste). L accord a été mesuré sur une échelle en 4 points, 0 signifiant «pas du tout d accord», 1 signifiant «plutôt pas d accord», 2 signifiant «NSP», 3 signifiant «plutôt d accord» et 4 signifiant «tout à fait d accord». Pour une appropriation plus facile des résultats, les scores ont été traduits sur une échelle de 10 points (cf. résultats). Hypothèses d attribution des effets Si les résultats indiquent une différence significative entre la vague 1 et la vague 2, il n est bien sûr pas possible d attribuer l effet à la lecture du livret, une multitude de facteurs, tels que la campagne médiatique, le bruit qu elle a suscité ou tout simplement la répétition de la question (à 3 mois d intervalle), pouvant être à l origine des effets observés. Si la lecture du livret doit avoir un impact sur les connaissances et les attitudes, il est attendu que l effet observé dépende du niveau de lecture. 1 Plus précisément, il est attendu qu une lecture approfondie du livret entraîne une amélioration des attitudes et connaissances, entre la vague 1 et la vague 2, plus importante qu une lecture superficielle. Nous avons donc, en fonction des indicateurs de niveaux de lecture, séparé l échantillon en deux groupes distincts et comparables : un groupe ayant opéré une lecture «approfondie» du livret et un groupe ayant opéré une lecture «superficielle». 1 En l absence de groupe contrôle permettant d évaluer l effet spécifique du livret sur l évolution des connaissances et des attitudes, une variable de niveau de lecture a été construite, comme proxy du niveau d accès à l information présentée dans le livret. La variable «niveau de lecture» est un score global de lecture qui est la somme du niveau de lecture de chacune des 5 rubriques du livret, apprécié par la réponse à une question spécifique de l enquête (absence de lecture 0 points, survol 1 point, lecture partielle mais attentive 2 point lecture entière et attentive rapportant 3 points). Le score maximal est donc de 3 points fois 5 rubriques, soit 15 points. Cette variable a permis de partager la population à la médiane afin de disposer de 2 groupes de taille comparable : le groupe des lecteurs les plus attentifs ( 13 à 15 points) et celui des plus superficiels (de 0 à 12 points). On dispose ainsi d une variable catégorielle (niveau de lecture) à deux modalités, lecture approfondie et lecture superficielle. 2

3 Ne seront donc considérés comme l indication d un effet du livret que deux cas de figure : - 1er cas : on observe une différence entre la vague 1 et la vague 2 (plus de connaissances citées et/ou attitudes plus favorables) dans le groupe «lecture approfondie» et non dans le groupe «lecture superficielle». - 2ème cas : on observe une différence (plus de connaissances citées et/ou attitudes plus favorables) entre la vague 1 et la vague 2 dans les deux groupes. Dans ce cas, une différence significative, qui n existait pas avant la lecture du livret (en vague 1), doit être observée après la lecture du livret (en vague 2) entre le groupe «lecture approfondie» et le groupe «lecture superficielle». Résultats I. Connaissances Tableau 1 : synthèse des effets sur l augmentation des connaissances Connaissance sur : Augmentation des connaissances entre les vagues 1 et 2 Impact du livret les symptômes les moyens thérapeutiques les professionnels la Différence entre psychiatre et psychologue les structures de soin et d accueil Total des connaissances Les points noirs indiquent la présence d un effet significatif (p<.05), les points gris la présence d un effet marginal (p<.10). Globalement le nombre moyen de connaissances a significativement augmenté entre la vague 1 et la vague 2. Au total, 33.5% des commanditaires du livret ont acquis en moyenne 3 connaissances supplémentaires (sur un total d environ 50 «connaissances» citées dans le livret) entre la vague 1 (6 connaissances en moyenne) et la vague 2 (9 connaissances en moyenne). Si l on regarde plus en détail les 5 éléments de connaissance considérés, on observe que seuls la connaissance des moyens, des professionnels et des structures ont fait l objet d améliorations significatives. La connaissance des symptômes de la dépression et celle de la différence entre psychiatre et psychologue n ont globalement pas fait l objet d améliorations significatives. Concernant les moyens thérapeutiques, 38,3 % des commanditaires ont acquis en moyenne 1,5 connaissance supplémentaire (sur un total de 13 «connaissances» citées dans le livret) entre la vague 1 (0.5 connaissances en moyenne) et la vague 2 (2 connaissances en moyenne). Concernant les professionnels, 37,6% des commanditaires ont acquis en moyenne 1,4 connaissance supplémentaire (sur un total de 6 «connaissances» citées dans le livret) entre la vague 1 (0.9 connaissances en moyenne) et la vague 2 (2,3 connaissances en moyenne). Enfin concernant les structures, 39,9 % des commanditaires ont acquis en moyenne 1,5 connaissance supplémentaire (sur un total de 8 «connaissances» citées dans le livret) entre la vague 1 (0.5 connaissances en moyenne) et la vague 2 (2 connaissances en moyenne). 3

4 On peut faire l hypothèse que le livret a significativement contribué à l augmentation des connaissances seulement pour les professionnels et les structures de soin et d accueil. II. Attitudes Tableau 2 : synthèse des effets sur les changements d attitudes Attitudes sur : Changement d attitude entre les vagues 1 et 2 Impact du livret La dépression est une maladie la dépression La dépression est un coup de blues passager La dépression peut toucher chacun d'entre nous les dépressifs Par rapport aux gens qui ont une vraie maladie physique, une personne dépressive ne va pas si mal Si une personne fait une dépression c'est parce qu'elle n'a pas de volonté Les personnes dépressives se complaisent dans leur état la perception du risque de parler de sa dépression Si on a une dépression, il est risqué d'en parler à ses amis Si on a une dépression, il est risqué d'en parler à sa famille Si on a une dépression, il est risqué d'en parler à ses collègues de travail Si on a une dépression, il est risqué d'en parler au médecin du travail Si on a une dépression, il est risqué d'en parler à son médecin les professionnels Les médecins généralistes sont compétents pour soigner les problèmes "psy" Les "psy" sont des personnes froides et silencieuses En faisant une psychothérapie, on risque d'être manipulé l efficacité perçue des traitements L'efficacité des psychothérapies a été prouvée L'efficacité des antidépresseurs a été prouvée le recours aux soins Une personne qui fait une dépression peut s'en sortir toute seule Avoir des problèmes de dépression c'est suffisamment grave pour solliciter l'aide d'un professionnel Si vous étiez dépressif, envisageriez-vous de prendre des antidépresseurs? Si vous étiez dépressif, envisageriez-vous de suivre une psychothérapie? Les points noirs indiquent la présence d un effet significatif (p<.05). Sur les 6 domaines d attitude considérés (attitudes vis-à-vis de la dépression, vis-à-vis des dépressifs, vis-à-vis de la perception du risque d en parler, vis-à-vis des professionnels, vis-àvis de l efficacité perçue des traitements et vis-à-vis du recours aux soins), 4 domaines ont fait l objet d évolutions des attitudes dans le sens désiré. Les scores d attitude présentés désignent le niveau d accord mesuré sur une échelle en 10 points, 1 signifiant pas du tout d accord et 10 signifiant tout à fait d accord. 4

5 - La perception des dépressifs : L accord avec l idée que «par rapport aux gens qui ont une vraie maladie physique, une personne dépressive ne va pas si mal» a significativement diminué entre les deux vagues d enquête. Parmi les personnes préalablement en accord avec cette opinion en vague 1(soit 19% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 8,5/10 en vague 1 à 3,8/10 en vague 2. Au total, ce sont 61,4% d entre elles qui ont changé d opinion (elles sont passées de l accord au désaccord) entre les deux vagues d enquête. L accord avec l idée que «les personnes dépressives se complaisent dans leur état» a également significativement diminué.parmi les personnes préalablement en accord avec cette opinion en vague1 (soit 25% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 8,5/10 en vague 1 à 5/10 en vague 2. Au total, ce sont 45,8% d entre elles qui ont changé d opinion entre les deux vagues d enquête. Dans les deux cas, selon les critères présentés dans la méthode, nous pouvons faire l hypothèse que la lecture du livret a significativement contribué à ces évolutions. Concernant l item «si une personne fait une dépression c'est parce qu'elle n'a pas de volonté» l absence d évolution significative s explique par un effet plancher, les personnes interrogées étant, déjà en vague 1 (score = 0,8/10), globalement fortement en désaccord avec cette opinion. - La perception du risque de parler de sa dépression : Seul le risque perçu d en parler à sa famille a significativement diminué entre les deux vagues d enquête, évolution à laquelle la lecture du livret a significativement contribué. Parmi les personnes préalablement en accord avec cette opinion en vague 1 (soit 31% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 8,4/10 en vague 1 à 4,6/10 en vague 2. Au total, ce sont 52.9% d entre elles qui ont changé d opinion entre les deux vagues d enquête. En revanche il n apparaît aucune évolution sur la perception du risque d en parler ni à ses amis, ni à ses collègues de travail, ni à son médecin, que celui-ci soit le médecin personnel ou le médecin du travail. Si le risque perçu d en parler à son médecin personnel est faible (score vague 2 = 1,4/10), le risque perçu d en parler dans le milieu professionnel reste relativement important (collègues de travail = 6,15/10 et médecin du travail = 4/10). - La perception des professionnels de santé : La perception des psys comme des «personnes froides et silencieuses» a significativement diminué entre les deux vagues d enquête, évolution à laquelle la lecture du livret a également contribué.parmi les personnes préalablement en accord avec cette opinion en vague 1 (soit 39% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 8,7/10 en vague 1 à 6,3/10 en vague 2. Au total, ce sont 31,4% d entre elles qui ont changé d opinion entre les deux vagues d enquête. Il n y a eu en revanche aucune évolution sur la compétence perçue des médecins généralistes à «soigner les problèmes psys», ceux-ci étant globalement perçus comme non compétents dans ce domaine (score en v2 = 4/10). - L efficacité perçue des traitements : Les deux traitements considérés (psychothérapies et anti-dépresseurs) ont tous les deux fait l objet d une augmentation de la perception de leur efficacité entre les deux vagues d enquête. Globalement les personnes interrogées sont plutôt d accord avec le fait que les traitements sont efficaces (6,7/10 en vague 2 pour les antidépresseurs et 6,8/10 pour les psychothérapies) Parmi les personnes préalablement en désaccord avec l efficacité des psychothérapies (soit 21% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 1,65/10 en vague 1 à 5,1/10 en vague 2. Au total, ce sont 46,5 % d entre elles qui ont changé d opinion entre les deux vagues d enquête. Nous pouvons faire l hypothèse que la lecture du livret a significativement contribué à l augmentation de l efficacité perçue des psychothérapies. 5

6 Parmi les personnes préalablement en désaccord avec l efficacité des antidépresseurs (soit 26% de l échantillon) le score moyen d accord est passé de 1,6/10 en vague 1 à 4,6/10 en vague 2. Au total, ce sont 42,6% d entre elles qui ont changé d opinion entre les deux vagues d enquête. Concernant les antidépresseurs, nous ne pouvons pas faire l hypothèse que la lecture du livret a significativement contribué à l augmentation de leur efficacité perçue. L absence d effets observés sur les attitudes vis-à-vis de la dépression (1 er domaine d attitude) n est pas lié à un manque potentiel d efficacité du guide à changer ces représentations mais s explique par un effet plafond, du fait que les personnes interrogées disposaient de représentation déjà très favorables. Si l on considère par exemple l item «La dépression est une maladie», l accord en vague 1 atteignait déjà un score moyen de 9,2 sur une échelle de 10. Au total, seulement 53 personnes (sur environ 1350) étaient en désaccord avec cette proposition avant la lecture du guide. Sur ces 53 personnes, 39 (soit plus de 73%) ont d ailleurs changé d opinion suite à la lecture du guide. Les deux autres items n ont globalement pas fait l objet d une évolution entre les deux vagues d enquête pour les mêmes raisons. L intention de recours aux soins, perfectible, mais globalement assez bonne (7,4 pour les antidépresseurs et 7,7 pour la psychothérapie) n a fait l objet d aucune évolution suite à la lecture du livret. Conclusions Le livret a montré son efficacité à améliorer la connaissance des professionnels et des structures susceptibles de prendre en charge les personnes souffrant de troubles dépressifs, ainsi qu à changer les attitudes dans le sens d une moindre stigmatisation des personnes dépressives, d une diminution du risque perçu d en parler à sa famille, d une amélioration de l image des «psys» et d une amélioration de l efficacité perçue des psychothérapies. D autres éléments tels que la connaissance des symptômes de la dépression, la différence entre psychiatre et psychologues, la perception du risque d en parler dans son environnement professionnel ou amical ou encore l intention de recourir aux soins (bien que positive) n ont fait l objet d aucune évolution significative. Enfin certains éléments, même s ils ont été l objet d améliorations, soit du fait du livret (telle que l image des «psys») soit du fait d autres éléments (telle que l efficacité des antidépresseurs), disposent encore d une marge d évolution importante. Ainsi les personnes qui avaient une image négatives des «psys» ou qui ne croyaient pas à l efficacité des antidépresseurs ont certes évoluées dans le sens désiré mais n ont pas changé la valence de leur opinion. De même, si le total des connaissances a significativement augmenté, le nombre moyen de connaissances enregistré en vague 2 constitue moins d 1 cinquième du total des connaissances présentées dans le livret, ce qui laisse place, une fois encore, à une importante marge de progression. Enguerrand Du Roscoat, Xavier Briffault, Béatrice Lamboy, département Évaluation et Expérimentation, Inpes,

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