Avis Technique 17/ RESOGEL
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- Catherine Rousseau
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1 Avis Technique 17/ Réhabilitation de réseaux d'assainissement Ne peuvent se prévaloir du présent Avis Technique que les productions certifiées, marque CSTBat, dont la liste à jour est consultable sur Internet à l adresse : rubrique : Evaluations Certification des produits et des services RESOGEL Titulaire : Société RESEAUX CONSULT Domaine de la RABASSE VALENSOLE Tél. : reseaux.consult@orange.fr Internet : Commission chargée de formuler des Avis Techniques (arrêté du 21 mars 2012) Groupe Spécialisé n 17 Réseaux et Epuration Vu pour enregistrement le 1 er avril 2014 Secrétariat de la commission des Avis Techniques CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, FR Marne la Vallée Cedex 2 Tél. : Fax : Internet : Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB ( CSTB 2014
2 Le Groupe Spécialisé n 17 "Réseaux et Epuration" de la Commission chargée de formuler les Avis Techniques a examiné le 3 décembre 2013, le procédé RESOGEL présenté par la société RESEAUX CONSULT. Le présent document, auquel est annexé le Dossier Technique établi par le demandeur, transcrit l'avis formulé par le Groupe Spécialisé n 17 "Réseaux et Epuration" sur le procédé et les dispositions de mise en œuvre proposées pour son utilisation, dans le domaine d'emploi visé, et dans les conditions de la France Européenne, des départements, régions et collectivités d'outre-mer (DROM-COM). Ce document n'est valable que si la certification visée dans le Dossier Technique, basée sur un suivi annuel et un contrôle extérieur, est effective. 1. Définition succincte 1.1 Description succincte Le procédé RESOGEL a pour objectif de restaurer l'étanchéité de canalisations sans ouverture de tranchée. Il s'agit d'un procédé de réhabilitation non structurant. Il permet de restaurer l'étanchéité de la canalisation existante en utilisant successivement deux composants liquides qui se solidifient au contact du sol. La mise en œuvre du procédé RESOGEL, appliquée au tronçon à réparer, comprend les étapes suivantes : nettoyage du tronçon à réhabiliter, injection d'une première solution migrant dans le sol environnant par tous les défauts d étanchéité de la canalisation, évacuation par pompage de la première solution et rinçage du tronçon, injection de la seconde solution, évacuation par pompage de la deuxième solution et rinçage du tronçon. Si nécessaire, le cycle est répété à plusieurs reprises, en fonction de la nature des défauts à réparer. Les solutions en excès peuvent faire l'objet d'une deuxième utilisation. La liste et les caractéristiques des réactifs utilisés sont déposées au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment. 1.2 Identification Conformément au référentiel de certification CSTBat, les indications suivantes sont portées sur une plaque signalétique placée dans chaque regard d'accès à l'ouvrage réhabilité : le logo CSTBat, la référence du certificat, le nom commercial du système : RESOGEL la date de réalisation et le nom du chantier. 2. Avis 2.1 Domaine d'emploi Ce procédé est destiné à restaurer l'étanchéité de canalisations d'assainissement circulaires ou non, à écoulement gravitaire, utilisées pour véhiculer des eaux pluviales et/ou eaux usées domestiques ou assimilées. La gamme de diamètres des ouvrages (ou correspondant à une section équivalente) visés par le présent document, est comprise entre 100 et 400 mm. 2.2 Appréciation sur le procédé 2.21 Satisfaction aux lois et règlements en vigueur et autres qualités d'aptitude à l'emploi Prévention des accidents et maîtrise des risques lors de la mise en œuvre et de l'entretien Le procédé nécessite l'usage de produits qui disposent de Fiches de Données de Sécurité (FDS). L'objet de la FDS est d'informer l'utilisateur de ce produit sur les dangers liés à son utilisation et sur les mesures préventives à adopter pour les éviter, notamment par le port d'équipements de protection individuels (EPI) Données environnementales et sanitaires Il n'existe pas de Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire pour ce procédé. Il est rappelé que les FDES n'entrent pas dans le champ d'examen d'aptitude à l'emploi du produit Autres qualités d'aptitude à l'emploi Afin de résoudre les problèmes fonctionnels du réseau existant, il est nécessaire d étudier et de comprendre leurs causes et leurs effets. Des investigations préalables sont donc nécessaires afin de déterminer la pertinence de la réhabilitation. Le procédé RESOGEL permet de corriger des défauts localisés en vue d'assurer les fonctions suivantes : Etanchéité La nature des réactions chimiques des deux solutions crée une liaison locale et étanche avec le sol environnant. Les références fournies ainsi que des essais d'étanchéité réalisés a posteriori montrent l'efficacité du procédé RESOGEL. En fonction du contexte et des conditions de mise en œuvre, le procédé RESOGEL permet de rétablir simultanément l'étanchéité des raccordements et celle du tronçon principal. Tenue mécanique La tenue mécanique de la canalisation réhabilitée n'est pas diminuée par l'intervention effectuée au moyen du procédé RESOGEL. Capacité hydraulique du réseau La réhabilitation réalisée à l'aide du procédé RESOGEL ne modifie pas la capacité hydraulique du réseau initial Gestion des opérations de réhabilitations Les principes généraux de gestion des opérations de réhabilitation des réseaux d'évacuation et d'assainissement relèvent de la norme NF EN Durabilité - Entretien La durabilité des ouvrages réparés ne peut être comparée à celle d'un réseau neuf ou réhabilité au moyen d'un procédé structurant. La pérennité de la réhabilitation peut être vérifiée lors d'inspections visuelles ou en contrôlant le débit de temps sec. Les canalisations réparées sont exploitées à l'identique des autres canalisations et curées conformément aux spécifications de la norme NF EN Fabrication et contrôle Les deux réactifs intervenant lors de la mise en œuvre du procédé RESOGEL font l'objet de contrôles internes tels que décrits dans le Dossier Technique. La mise en œuvre fait l'objet d'un Plan d'assurance Qualité. Ces contrôles ainsi que la certification associée permettent d'assurer une constance convenable de la qualité Mise en œuvre La mise à disposition des produits utilisés par le procédé RESOGEL fait l'objet d'un cahier des charges spécifique à chaque chantier permettant notamment de déterminer les quantités à mettre en œuvre. La procédure de mise en œuvre devant être respectée est décrite dans le Dossier Technique et dans le mémoire technique de la société RESEAUX CONSULT. Elle vise notamment : la préparation de la canalisation existante, et particulièrement le nettoyage, la gestion des effluents, les modalités de mise en œuvre du procédé qui sont effectuées par remplissage répété des deux réactifs, les possibilités de réutilisation des réactifs en excès. La mise en œuvre sur chantier ne peut être réalisée que par les applicateurs certifiés. 2 17/13-278
3 2.26 Essais préalables à la réception Les essais d'étanchéité préalables à la réception sont réalisés conformément à la norme NF EN Cahier des Prescriptions Techniques 2.31 Caractéristiques des matières premières La composition des réactifs utilisés dans le cadre du procédé RESOGEL, doit être conforme aux indications du Dossier Technique Conception L'estimation de la quantité de réactifs nécessaires doit être effectuée par la réalisation d'un essai à l'eau basé sur le protocole de la norme NF EN Le maître d'œuvre fixera la pression d'essai dans le cahier des charges de l'opération Fabrication et contrôle La fourniture des réactifs décrits dans le Dossier Technique doit faire l'objet des contrôles internes tels que décrits dans le Dossier Technique Mise en œuvre La mise en œuvre du procédé RESOGEL est réalisée selon les indications du Dossier Technique par les applicateurs. Il est rappelé que les étapes de nettoyage doivent être impérativement respectées Contrôle des opérations de réhabilitation Le contrôle des opérations de réhabilitation des réseaux d'assainissement par le procédé RESOGEL doit être réalisé selon les exigences de la norme NF EN Marquage Le marquage apposé sur les plaques signalétiques doit être mis en conformité avec celui défini au 1.2. Conclusions Appréciation globale Pour les applicateurs bénéficiant d un certificat CSTBat, le procédé d étanchéification de réseaux d assainissement RESOGEL dans le domaine proposé est apprécié favorablement. Validité Jusqu'au 31 décembre Pour le Groupe Spécialisé n 17 Le Président Christian VIGNOLES 3. Remarques complémentaires du Groupe Spécialisé Le Rapporteur du Groupe Spécialisé n 17 - Abdel LAKEL 17/
4 Dossier Technique établi par le demandeur A. Description 1. Généralités Le procédé RESOGEL est destiné à restaurer l'étanchéité de canalisations existantes sans ouverture de tranchée, dans le cadre d'opérations de réhabilitation de canalisations. L étanchéité de la canalisation existante est restaurée en utilisant successivement deux composants liquides qui se solidifient au contact du sol. Le procédé s'applique aux canalisations qui véhiculent gravitairement des eaux usées domestiques ou assimilés, et/ou des eaux pluviales de géométrie circulaire ou ovoïde et dont le diamètre intérieur doit être compris entre 100 et 400 mm (ou section équivalente). Le principe du procédé permet de traiter simultanément les défauts d'étanchéité du collecteur, des branchements et des raccordements. Le procédé s'applique à tout type de matériaux : Béton, grès, PRV, fibro-ciment, PVC, etc en présence de nappe phréatique ou non. La mise en œuvre de la technique n'est pas impactée par les changements de diamètres, ou la présence de coudes. Le procédé RESOGEL est basé sur l'enchainement des étapes suivantes : le tronçon de canalisation est préalablement nettoyé et isolé puis rempli avec une première solution qui migre dans le sol environnant par tous les défauts d étanchéité de la canalisation (fractures, fissures, démanchonnements, etc..). Après un temps spécifique au procédé, la première solution est reprise. Après un lavage intermédiaire avec de l eau, la deuxième solution est injectée. Celle-ci pénètre à son tour dans le sol entourant la conduite, à travers les mêmes défauts. Après un temps spécifique au procédé, la seconde solution est reprise. Les réactions chimiques des deux solutions créent une liaison locale et étanche dans cette zone, incluant les particules du sol environnant. Le cycle de remplissage et de pompage est répété à plusieurs reprises si nécessaire jusqu à obtention de l'étanchéité. Ce procédé a été développé en Allemagne et mis en œuvre depuis près de 20 ans. 2. Définition des matériaux 2.1 Caractéristiques des solutions Le procédé RESOGEL comprend deux solutions distinctes mises en œuvre successivement : réactif R1 : solution de silicate de sodium, réactif R2 : durcisseur organique. Les caractéristiques des deux réactifs utilisés sont déposées au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment. Remarque : Le volume de solution mis en œuvre étant supérieur au volume injecté dans le sol, le volume excédentaire doit être récupéré et peut être réutilisé pour une utilisation ultérieure Réactif R1 Le réactif R1 a les caractéristiques suivantes : Caractéristiques R1 Etat liquide visqueux Couleur incolore Odeur sans odeur Viscosité à 20 C 130 à 170 mpa.s Masse volumique à 20 C 1,37 kg/m 3 ph 12 Solubilité avec l'eau entièrement soluble Ces données peuvent être légèrement modifiées après plusieurs utilisations du R Réactif R2 Le réactif R2 a les caractéristiques suivantes : Caractéristiques R2 Etat liquide Couleur jaunâtre Viscosité à 20 C >40 mpa.s Masse volumique à 20 C 1,1 kg/m 3 ph 5 Solubilité avec l'eau entièrement soluble Ces données peuvent être légèrement modifiées après plusieurs utilisations du R Caractéristiques du produit final Le produit fini résultat de la réaction des produits R1 et R2 avec le sol environnant correspond à un cocon d'étanchéité ferme. La gélification résultant du mélange entre les deux produits commence instantanément. Au contact des deux produits, le sol devient cohésif durablement. Le produit fini n'a qu'un impact limité sur l'environnement : en effet, les excédents de réactifs non gélifiés sont biodégradables dans l'eau à plus de 87% en 28 jours. 3. Conception L'étude préalable doit être réalisée sous le contrôle du Maître d œuvre. L inspection doit être réalisée suivant les spécifications de la NF EN Etude préalable Une étude préalable basée sur une inspection vidéo, suivie d'une reconnaissance de chantier et d'un repérage précis de chacune des portions à traiter, permet de déterminer les éléments conditionnant la faisabilité de la mise en œuvre. Ces derniers comprennent notamment : La nature des défauts admissibles : Fissures radiales avec une largeur inférieure à 5 mm, Fissures axiales avec une largeur inférieure à 3 mm, Fuites au niveau des assemblages, La présence de nappe, La nature de l'encaissant et structure locale, Le contexte du site (zone d'habitation, zone urbaine, zone industrielle, ), Le tracé du réseau avec repérage des regards, Les moyens d'accès des outils de nettoyage et travaux, La période et la durée estimée des travaux, Le mode et le lieu d'évacuation des débris enlevés. Un essai à l'eau est réalisé pour estimer le volume de canalisation à traiter ainsi que la perte estimée en RESOGEL. Ce dernier essai permettra d'estimer au mieux la quantité de produit nécessaire pour le traitement des défauts. 3.2 Longueurs à traiter La longueur du tronçon à traiter varie en fonction des capacités des équipements de chantier, mais aussi du contexte local : Possibilités d'accès des véhicules, Gène pour l'usager, Présence de regards ou accessoires existants, Localisation des carrefours, etc Accessibilité au collecteur principal et aux branchements. 3.3 Volume des produits à injecter La quantité de réactifs à utiliser dépend de plusieurs facteurs : du volume du tronçon de canalisation à réparer, de l'importance des fuites, du sol environnant, 4 17/13-278
5 de la température d'utilisation du RESOGEL (produit R1). RESEAUX CONSULT considère deux cas de figure lors de l'essai initial à l'eau (essai sur 15 minutes) : pertes d eau inférieures à 30% du volume de la canalisation, pertes d'eau supérieures à 30% du volume de la canalisation. Dans le dernier cas, un traitement préalable devra avoir lieu (utilisation de bentonite, pose de manchette ou chemisage partiel, etc). Le volume de réactifs nécessaire pour réparer le tronçon correspond à la quantité d'eau initiale mesurée lors de l'essai et augmentée d'un volume minimum de 1000 litres par réactifs. Un manque de liquide au moment du remplissage traduit l échec de l'opération. 4. Opérations préalables 4.1 Effluents L'écoulement doit être interrompu pendant toute la durée des travaux. Si nécessaire un by-pass est installé. 4.2 Canalisations existantes Avant l'injection des réactifs, l ouvrage est nettoyé par hydrocurage. Les obstacles rencontrés (branchements pénétrants, racines ) sont enlevés par robot découpeur. Si nécessaire, les entrées d eaux parasites très importantes sont préalablement traitées (manchettes par exemple). 4.3 Curage Les déblais consécutifs à la phase précédente sont éliminés par hydrocurage. La canalisation à réparer doit être le plus propre possible afin de pouvoir réutiliser les réactifs en excédent. 4.4 Inspection télévisée et positionnement des branchements Une inspection vidéo permet de vérifier la qualité de la préparation effectuée. 5. Mise en œuvre 5.1 Description de la mise en œuvre Lors de la mise en œuvre, la température extérieure doit être supérieure à 5 C. Si la température est inférieure, des citernes chauffées doivent être utilisées. Le système nécessite deux regards d'accès. Les différentes étapes de la mise en œuvre du procédé sont décrites dans les figures 1 à 7. Les cuves de réactifs R1 et R2 sont positionnées au droit du regard aval du tronçon et une cuve d'eau est à disposition pour le test à l'eau et le nettoyage. Les étapes sont les suivantes : 5.11 Préparation et réalisation d'un test à l'eau : Mise en place des obturateurs dans les regards (aval raccordé à la pompe, et amont raccordé à la colonne de contrôle), et gonflage de l'obturateur aval, Mise en place des obturateurs dans les regards de contrôle des branchements des particuliers. Du côté particulier il est gonflé immédiatement (sécurisation). Côté branchement/collecteur, il ne sera gonflé qu une fois le regard de contrôle remplis d'eau dans le but d'éviter toute présence d'air dans le branchement, Sécurisation du blocage des effluents amont via un ou des obturateur(s) dans le regard amont, Dans le regard amont, tous les collecteurs raccordés sont obturés, à l'exception de celui à réparer, Mise en route de la pompe et remplissage en eau de la canalisation à réparer. Un test à l'eau est systématiquement réalisé pour estimer la quantité de produit à injecter. Une fois l'essai réalisé, l'eau est évacuée et l'injection des réactifs débute Réalisation d'un cycle R1-R2 : L'injection des réactifs débute : Mesure du niveau de réactifs dans les cuves R1 et R2, Raccordement de la pompe d'injection des réactifs de la cuve R1 à l'obturateur du regard aval, Mise en place des obturateurs dans les regards (aval raccordé à la pompe, et amont raccordé à la colonne) ainsi qu au niveau des regards de contrôle des branchements, Gonflage de l'obturateur aval, mise en route de la pompe et remplissage de la canalisation à traiter par le réactif R1. Remplissage lent avant d'atteindre la génératrice supérieure de la canalisation à traiter pour éviter la présence d'air. Lorsque dans le regard amont, le niveau du réactif R1 dépasse la partie supérieure de la canalisation à traiter, finir de gonfler l'obturateur amont et ce afin d éviter la stagnation d'air dans la canalisation à réparer, Laisser ensuite monter le réactif R1 dans la colonne de contrôle transparente raccordée à cet obturateur et attendre que le niveau de liquide dans la colonne soit compris entre 2 m et 6 m au dessus du niveau de la génératrice supérieure de la canalisation. Ces hauteurs sont conservées pour une mise en place avec nappe phréatique. Arrêter la pompe, mesurer le débit de fuite de réactif, et remettre en route la pompe 1 à 2 fois ponctuellement pour combler tous les interstices. Cette première étape varie d'une dizaine de minutes à une demiheure. Pour récupérer le réactif R1, faire les opérations inverses. Noter la perte de quantité de R1 (quantité qui aura migré dans le sol par les défauts d'étanchéité). Le mécanisme (obturateur, colonne, pompe, tuyauterie) est alors rincé abondamment. La canalisation à traiter est finalement rincée abondamment à l'eau, via le regard amont ou via les boîtes d'inspection après avoir ôté les obturateurs. On renouvelle exactement la même opération avec le réactif R2. In fine, le niveau de produit R2 se stabilise dans la colonne de contrôle. Par sécurité, il est attendu 30 minutes après stabilisation du niveau de la colonne. L'ensemble des équipements (obturateurs, colonne, pompe, tuyauterie) est rincé abondamment Réalisation de cycles complémentaires au besoin Selon la perte en eau au test initial, le nombre de cycle à réaliser est estimé. Pour chaque nouveau cycle on renouvelle la totalité des opérations décrites précédemment (R1-rinçage-R2-rinçage). A titre informatif, il est pratiqué en moyenne 2 à 3 cycles successifs. 6 cycles successifs sont un maximum. Si la ou les fuites ne sont pas stabilisées après autant de passage, un nouveau passage caméra suivi d'un traitement local spécifique devra avoir lieu. La réparation est finalisée lorsque le niveau du réactif R2 est stabilisé dans la colonne transparente. Une fois l'ensemble des opérations réalisées, il est pratiqué un nouveau rinçage à l'eau. En présence de nappe phréatique, les apports importants d'eau sont préalablement traités par la pose de manchettes. Les autres fuites ou entrées d eaux parasites sont traitées avec le même mode opératoire que celui décrit ci-avant, la quantité de produits R1 et R2 injectée étant plus importante. Un guide de pose détaillé reprenant l'ensemble des opérations a été déposé au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment. 5.2 Traitement des raccordements Le principe même du procédé permet le traitement des collecteurs principaux et des branchements annexes ainsi que leurs raccordements. 5.3 Essais avant remise en service Un essai à l'eau sur l'ensemble du tronçon suivant la norme NF EN 1610 et une inspection caméra sont réalisés en fin de chantier par RESEAUX CONSULT. 5.4 Remise en service La remise en service est immédiate. Les effluents déviés pendant la mise en œuvre de la réparation sont alors redirigés dans la canalisation réparée. La durée totale de l'intervention est de l'ordre de 3 à 12 heures, celleci dépend de la longueur, du diamètre à traiter et de l importance des défauts à traiter. 5.5 Essai de réception A l'issue de ce traitement, les essais de réception sont effectués conformément aux modalités de la norme NF EN Récupération et évacuation des produits souillés A la fin de l'opération, les réactifs excédentaires sont filtrés. Les réactifs récupérés font l'objet des vérifications suivantes : ph, densité, réactivité des produits, avec et sans présence d'eau. Les produits R1 et R2 peuvent faire l'objet de complément de produit neuf. 17/
6 La réutilisation des réactifs est fortement dépendante de la qualité des nettoyages initiaux de la canalisation. Lorsque le produit n'agit plus lors des tests initiaux de réactivité, il est stocké sur une zone identifiée et renvoyé pour élimination conformément à la règlementation relative à l'élimination des déchets. 6. Mode d exploitation commerciale du procédé La société RESEAUX CONSULT commercialise le procédé RESOGEL. La mise en œuvre du procédé RESOGEL est confiée à un Applicateur formé par la société RESEAUX CONSULT. 7. Stockage La durée de stockage des réactifs en entrepôt ne doit pas dépasser 12 mois, pour des récipients fermés. La température de stockage ne doit pas descendre en dessous de 5 C, et ne doit pas supérieure à 35 C. 8. Contrôles qualité 8.1 Contrôles réalisés par RESEAUX CONSULT 8.11 Contrôles à réception des produits Les contrôles à réaliser par RESEAUX CONSULT lors de la réception des produits sont les suivants: Conformité à la commande : vérification de la présence de certificats d'analyse type 2.2 conforme à la norme NF EN 10204, Poids, ph, Densité, Réactivité de R1 et R2 en présence de 50% d eau (R1-R2 mélangés), Test de réactivité en colonne en présence de sable (avec 50% d eau), Etiquetage propre et numérotation des cuves (lots) Archivage La mise en œuvre du procédé lors d'un chantier fait l'objet d'un dossier constitué et archivé par RESEAUX CONSULT : Numéro de lot des produits, Inspections vidéo, Résultats des essais à l'eau initiaux, Contrôle de la réactivité des produits (R1 et R2), Etat du matériel de chantier, notamment : groupe électrogène; pompes, obturateurs, compresseurs, tuyaux et raccords, hydrocureur et moyens de manutention, Déroulement des différentes phases incluant les tests initiaux (passage caméra, tests à l'eau, ), Compte-rendu de chantier, Essais avant remise en service (essai à l'eau et inspection caméra). 8.2 Contrôles externes Le procédé RESOGEL fait l'objet d'une certification matérialisée par la marque CSTBat qui atteste la régularité et le résultat satisfaisant du contrôle interne. Les produits bénéficiant d un certificat valide sont identifiables par la présence dans les regards du logo CSTBat. Dans le cadre de la certification, RESEAUX CONSULT transmet la liste de ses chantiers au CSTB. Le CSTB visite périodiquement le ou les sites de stockage pour : Examiner le système qualité mis en place, Examiner les résultats du contrôle interne, Vérifier la réactivité des produits entre eux, Examiner les PV d'essais de réception des chantiers précédents. Les résultats de ce suivi sont examinés par le Comité d'évaluation des certificats. Le certificat est disponible sur le site : 2/ Examen de l'incidence sur l'environnement du procédé de réhabilitation de canalisations d'assainissement TUBOGEL à base de verre soluble Institut d'hygiène de la région de la Ruhr (Octobre 1996) n K Ko 11/12/1996 3/ Comportement structurel et statiques des conduites réhabilitées par le système SILAGO dans le domaine des stations service sous charges dynamiques LGA n BBISO /02/2004 4/ Test de résistance chimique pour 1000 heures LGA n BBV /06/2006 5/ Test de tenue chimique à la solution aqueuse d'urée (32,5%) LGA n BBV /03/2004 6/ Rapport interne sur les procès-verbaux des essais d'étanchéité (suivant la NF EN 1610) effectués sur les chantiers de RESEAUX CONSULT n 2013-T01 21/11/2013 7/ Rapport interne Tests de contrôle des canalisations réhabilités à 4 ans n 2014DW01 29/01/14 C. Références C1. Données Environnementales et sanitaires (1) Le produit ne fait pas l'objet d'une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES). Les données issues des FDES ont pour objet de servir au calcul des impacts environnementaux des ouvrages dans lesquels les produits (ou procédés) visés sont susceptibles d'être intégrés. C2. Autres références Une liste de références est déposée au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, représentant plus de 2700 km en Europe dont 5 km en France. D'autre part, le procédé RESOGEL (le nom commercial du procédé en Allemagne étant TUBOGEL ou SILAGO) dispose d'un agrément formulé par le DIBT. (1) Non examiné par le Groupe Spécialisé dans le cadre de cet Avis. B. Résultats expérimentaux Le procédé mis en œuvre par RESEAUX CONSULT a fait notamment l'objet des essais et analyses suivants : 1/ Analyse de la composition des produits R1 et R2 (perte au feu, GC- MS, Karl-Fisher, ICP-AES, CLI) Filab n /04/ /13-278
7 Tableaux et figures du Dossier Technique Figure 1 Préparation de la canalisation à rénover Nettoyage et hydrocurage Figure 2 Etape 2 - Mise en place des obturateurs, et test initial à l'eau - Evaluation de la perte de produit 17/
8 Figure 3 Etape 3 - Mise en place des obturateurs, et injection du produit R1 par pompage Figure 4 Pompage du produit R1 et rinçage à l'eau claire 8 17/13-278
9 Figure 5 Etape 4 - Remise en place des obturateurs, et injection du produit R2 par pompage. Réaction entre les deux produits et le sol. A la fin de l'opération, vérification de la baisse de niveau du liquide R2. Si le liquide baisse, reprise du cycle de traitement à l'étape 2 Figure 6 Si le niveau de liquide R2 ne baisse plus, la canalisation est réparée. 17/
10 Figure 7 Réaction entre les deux produits et le sol. Vérification de la réparation par inspection caméra et essai à l'eau. Remise en service de la canalisation. Figure 8 Schéma de principe de la réparation 10 17/13-278
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