Note de conjoncture économique Mexique

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1 Note de conjoncture économique Mexique Août 2016 Le Mexique se distingue toujours en Amérique latine par une croissance régulière bien que modérée. La hausse des IDE témoigne de l attractivité du pays, malgré des prévisions de croissance qui se dégradent. Si les fondamentaux économiques restent solides, la dette continue néanmoins de croître. Les équilibres externes sont également préoccupants, avec un compte courant toujours déficitaire et qui n est plus financé par l excédent du compte financier. Ce dernier s est largement détérioré, en raison principalement de la baisse des investissements de portefeuille. Le pays est en effet soumis à une forte volatilité, ce qui se traduit par une monnaie ayant connu au premier semestre une forte dépréciation par rapport au dollar. Face à cela, des mesures budgétaires et monétaires ont été annoncées conjointement au lendemain du Brexit, avec une nouvelle hausse du taux d intérêt directeur de la Banque centrale à 4,25% et l annonce de nouvelles coupes budgétaires. La principale préoccupation reste le rythme de croissance, dans un contexte de contraction des exportations dans tous les secteurs (automobiles, pétrolières, manufacturières) ainsi que des investissements, notamment publics, et de faiblesse persistante du secteur industriel. De plus, si l inflation est pour l heure sous contrôle, la perspective d une possible remontée des taux par la Fed reste une menace pour l équilibre monétaire. Annexes : Evolution du taux de croissance interannuel trimestriel ; Balance des paiements du Mexique ; Evolution interannuelle des principales composantes des finances publiques ; Evolution de l indice risque-pays EMBI+ I. Les perspectives de croissance se dégradent dans un contexte de ralentissement de la demande américaine, de contraction de l investissement et des exportations et de tensions sur les marchés internationaux a. Le rythme de croissance reste modéré, mais les prévisions se dégradent La croissance économique du Mexique reste régulière avec 2,5% de croissance en 2015 ainsi qu au premier semestre 2016 (après 1,4% en 2013 et 2,1% en 2014). La croissance s est élevée à 2,4% au premier trimestre et 2,5% au deuxième trimestre 2016, ce qui la place devant les principales économies d Amérique latine (avec des projections de contraction en 2016 pour l Argentine, le Brésil, le Venezuela et l Equateur selon la CEPAL 1 ). Pour l année 2016, la croissance devrait rester modérée (2,5% de croissance pour 2016 prévus par le FMI). Dans un contexte externe défavorable (prix du pétrole bas, faiblesse de la demande américaine et contraction des exportations) et en l absence de relais de croissance interne (ralentissement de l investissement, notamment de l investissement public), les analystes revoient globalement leurs prévisions à la baisse. Le Ministère des Finances a revu ses prévisions pour 2016, d un pronostic compris entre 2,2 à 3,2% de croissance du PIB à un pronostic compris entre 2 et 2,6% de croissance 2. La CEPAL a également abaissé ses prévisions de croissance de 2,5 à 2,3% pour 2016, et le Centre d Etudes Economiques du Secteur Privé mexicain (CEESP) de 2,2 à 2%. Les analystes du secteur privé, interrogés régulièrement à l occasion d une enquête de la Banque centrale, ont eux aussi abaissé leurs prévisions de 2,36% pour 2016 et 2,71% pour 2017 à 2,28% pour 2016 et 2,62% pour Selon l IMEF (Instituto Mexicano de Ejecutivos de Finanzas), la croissance du PIB pourrait n être que de 1,8% au deuxième semestre et de 2,2% (g.a.) sur l ensemble de l année Les perspectives de croissance mitigées se retrouvent également dans le recul des indices de confiance du secteur privé 3 et de l indice de confiance des consommateurs 4. Le principal moteur de la croissance demeure la consommation privée, qui représentait 69,5% du PIB au premier trimestre 2016 (contre 21,4% pour l investissement). Elle a connu une croissance de 3,6% (g.a.) en termes réels sur les cinq premiers mois de l année, tirée par la baisse du chômage (3,95% de la population active au deuxième trimestre 2016 contre 4,2% au T4 2015), l augmentation des salaires réels (+1,6% par mois en moyenne, en termes réels, au premier semestre), l augmentation des crédits bancaires au secteur privé (+15,3% g.a. dont une augmentation de 11% g.a. pour les crédits à la consommation au T2 2016) et la forte hausse des remesas. Ces dernières ont crû de 9% (g.a.) 1 Commission Economique Pour l Amérique Latine de l ONU 2 Le Ministère des Finances avait déjà abaissé ses prévisions de croissance en mai 2016, d un pronostic compris entre 2,6 et 3,6% de croissance 3 Baisse en juillet dans tous les secteurs mesurés : indice manufacturier -0,3 point ; indice commercial -1,7 point ; indice de la construction -2,4 points 4-3% g.a. en juillet en série désaisonnalisée, avec -11,4% g.a. pour l indice de confiance dans l économie pour l année à venir

2 sur l ensemble du premier semestre soit l augmentation la plus importante en dix ans, pour atteindre 13,156 Mds USD (niveau historique pour un premier semestre). En revanche, la formation brute de capital fixe a diminué de 9,5% entre le T et le T en raison notamment du recul de l investissement dans le secteur de la construction (-0,6% g.a. en mai 2016) et de la contraction des dépenses publiques d investissement physique 5. b. La croissance demeure très différenciée selon les secteurs Au deuxième trimestre 2016, les activités primaires et tertiaires ont connu une croissance soutenue (respectivement +3,8% g.a. et 3,2% g.a.). Le secteur secondaire connaît quant à lui une croissance toujours faible mais en légère reprise (+1% g.a. au deuxième trimestre contre 0,3% g.a. au premier, et +0,7% g.a. sur l ensemble du semestre). Le rythme de croissance est très différencié selon le secteur d activité : ainsi, le secteur minier connaît un déclin important avec une activité en baisse de 4,3% (g.a.) au deuxième trimestre et de -3,7% (g.a.) sur l ensemble du semestre, tout comme le secteur pétrolier dont la production est en recul, -2,7% g.a. au deuxième trimestre 2016 et - 2,8% g.a. sur l ensemble du semestre, de même que les exportations qui se sont contractées de 37% g.a. au premier semestre. Le secteur a souffert de la baisse de la production nationale 6 et de la baisse des cours : le prix du baril de Mezcla Mexicana ou MME a diminué de 63,4% entre août 2014 et août Néanmoins, l entreprise nationale Petróleos Mexicanos (Pemex), en grande difficulté financière, a réduit son déficit de 65,63% (g.a.) en mai grâce à l injection de 3,99 Mds USD de la part du gouvernement fédéral, ce qui a contribué à la hausse de 19,4% (g.a.) de ses revenus. L entreprise a ainsi amélioré ses états financiers pour le premier semestre 2016, et fait état d une perte nette de 7,7 Mds USD soit un montant inférieur de 21% à ce qu il était pour les six premiers mois de l année Le secteur automobile connaît quant à lui une expansion de la demande intérieure, comme en témoigne le nombre de véhicules vendus au Mexique depuis le début de l'année : véhicules vendus entre janvier et juin 2016, soit 18,4% de plus que pour la même période de l année précédente. Toutefois la production de véhicules a diminué de 1,2% (g.a.) sur la période janvier-juillet 2016, en raison notamment d un baisse des exportations (-5,6% g.a. au premier semestre). Les autres activités du secteur secondaire sont également en recul, comme le démontre la diminution de 3% (g.a.) des exportations manufacturières au premier semestre Le secteur de la construction connaît en revanche une reprise, avec une hausse de la production de 3,1% (g.a.) au deuxième trimestre. L activité industrielle du secteur de la génération, transmission et distribution d électricité, d eau et de gaz a également connu une expansion de 6,4% (g.a.) au deuxième trimestre. Dans le secteur tertiaire, on peut noter la progression du tourisme avec une augmentation de plus de 4% du PIB touristique au premier trimestre 2016, ainsi que du secteur financier et des médias qui ont augmenté respectivement de 7,2 et 8,4% au deuxième trimestre. c. Les équilibres externes restent tendus Les équilibres externes se sont encore tendus au deuxième trimestre : contrairement au trimestre précédent, l excédent du compte financier, en baisse, ne finance pas le déficit croissant du compte courant. Ce dernier est en effet reparti à la hausse, mettant fin à quatre trimestres de réduction, avec un déficit de 7,9 Mds USD (contre 7,0 Mds USD au T1 2016) soit 3% du PIB. L augmentation du déficit courant est le fruit du maintien du déficit de la balance commerciale à -4,9 Mds USD (-2 % g.t, +22,5 % g.a), ainsi que d une importante augmentation du déficit des revenus du capital et du travail à -9,9 Mds USD (+24% g.t., -7% g.a.), que ne compense pas l augmentation des transferts. Sur le plus long terme la tendance à la contraction des exportations se confirme avec une diminution de 5,1% (g.a.) sur l ensemble du premier semestre. Dans le même temps, les importations ont diminué de 3,5% (g.a.). L excédent du compte financier se réduit quant à lui et semble confirmer une tendance régulière à la baisse depuis le T (passage de 28,1 Mds d excédent au T à 8,6 Mds au T et à 6,2 Mds USD au T2 2016). Cette baisse s explique par le fait que l augmentation des IDE à 5,7 Mds USD (+5,5% g.t., +50 % g.a.) et des autres investissements à 5,3 Mds USD (contre -7,9 Mds USD au T1 2016) a été plus que compensée par la forte baisse des investissements de portefeuille à -4,8 Mds USD (contre 12 Mds USD au T1 2016), la baisse la plus importante depuis Les réserves internationales brutes ont baissé au T de 0,9 Md USD pour s établir à 177,409 Mds USD. Les pertes pour valorisation se sont quant à elle établies à -0,5 Mds USD (contre -1,7 Mds USD au T1 2016), conduisant à une diminution de 1,4 Mds USD des réserves nettes. 5 Pour plus de précisions voir II a) 6 Baisse de la production de pétrole brut de 6,6% en 2015 et de 12% depuis Au 3 août 2016 le prix du baril MME s élevait à 34,190 USD

3 II. Dans un contexte de volatilité des marchés internationaux, la gestion des finances publiques et la politique monétaire se veulent rassurantes mais la situation budgétaire reste fragile a. L effet des mesures budgétaires commence lentement à se faire sentir L équilibre des finances publiques mexicaines poursuit sa tendance à la dégradation. Ainsi, sous le mandat du Président Pena Nieto, la dette publique brute a augmenté de 64% passant de 5 496,8 Mds de pesos en 2012 à 9 031,7 Mds de pesos en mai Au premier semestre la dette brute du secteur public a augmenté de 7% (g.a.) pour atteindre 47,8% du PIB, après un pic à 48% du PIB en mars. Moody s a ainsi revu la notation de la perspective souveraine du Mexique à la baisse, de «stable» à «négative» en avril dernier, tout comme Standard & Poor s fin août. Cette dernière estime que la faible croissance risque de limiter les revenus du gouvernement qui dispose d une moindre marge de manœuvre fiscale, ce qui contribuerait à l augmentation de la dette à 49,5% du PIB en 2018 et au creusement du déficit fiscal à 3,3% du PIB en Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé une série de coupes budgétaires. En février 2016, une réduction budgétaire de 132,3 Mds de pesos (soit 7,2 Mds USD*) a été annoncée, dont 100 Mds de pesos (5,5 Mds USD*) pour Pemex et 32,3 Mds de pesos soit 1,8 Mds USD pour le gouvernement fédéral (dont 40 % devaient concerner des dépenses en infrastructures). A la suite du Brexit, le gouvernement a annoncé une nouvelle coupe budgétaire de 31,715 Mds de pesos (1,746 Mds USD*) concernant pour moitié les secteurs de l agriculture et de la pêche, l éducation publique et la santé (6,5 Mds de pesos pour ces deux dernières soit 356 MUSD*). Le ministre des Finances Luis Videgaray a également précisé que ces coupes budgétaires concerneraient à 91,7% les dépenses courantes. En effet, ces dernières n ont diminué que de 2,3% (g.a.) au premier semestre 2016, les coupes budgétaires ayant plutôt été faites au détriment de l investissement, qui a diminué de 16,6% (g.a.) sur cette période (la diminution la plus importante depuis les années 1940). Au total, l effet des mesures commence seulement à se faire sentir, avec une diminution de 0,2% (g.a.) de la dépense publique au premier semestre. En revanche, la réforme fiscale de 2013, entrée en vigueur fin 2014, a porté ses fruits : les recettes fiscales ont augmenté de 10,7% (g.a.) au premier semestre, pour s élever à près de Mds de pesos (76,7 Mds USD*). Les recettes liées à l impôt sur le revenu (Impuesto Sobre la Renta, ISR) ont augmenté de 12,6% (g.a.) et les recettes de l impôt sur la valeur ajoutée (Impuesto sobre el Valor Agregado, IVA) de 5,3% (g.a.). En outre, les revenus de l impôt spécial sur la production et les services (Impuesto Especial sobre Produccion y Servicios, IEPS) ont également augmenté de manière très importante : ainsi au premier semestre 2016 ils étaient en hausse de 14,9% (g.a.). Le montant perçu à travers l IEPS sur l essence et le diesel s est élevé à 143,614 Mds de pesos (7,9 Mds USD*), contre 92,7 Mds de pesos (5 Mds USD*) attendus. Il s agit d une hausse de 22,3% (g.a.) qui permet de couvrir près de 65% des recettes sur cet impôt attendues sur l ensemble de l année et qui, selon le Ministère des Finances, a permis de compenser les 2/3 des revenus pétroliers manquants au premier semestre. Cette augmentation des recettes fiscales a contribué à la hausse de 11,4% (g.a.) des recettes budgétaires au premier semestre (l augmentation de 18,4% (g.a.) des recettes non pétrolières à 2 023,9 Mds de pesos ayant largement compensé la baisse de 19,6% (g.a.) des recettes pétrolières à 381,9 Mds de pesos), qui ont entraîné une réduction importante du déficit, de 67,7% (g.a.) sur cette période. Il s élevait à la fin du premier semestre à 116,6 Mds de pesos (soit 6,39 Mds USD*). Cette réduction a été favorisée par le solde d opération positif record de la Banque centrale, de 239 Mds de pesos (13 Mds USD*), dont 70% a servi à financer la dette publique et 30% est allée au Fonds de stabilisation des revenus budgétaires. b. Face à la volatilité des marchés et la dépréciation du peso, la Banque centrale a procédé à un nouveau resserrement de la politique monétaire Le Mexique, comme la plupart des pays émergents, est soumis à une volatilité importante en raison du contexte économique mondiale de faible croissance ainsi qu aux retombées liées au Brexit (moindre appétence des investisseurs pour le risque et retour vers des valeurs refuges comme le dollar et le yen). Le risque-pays a connu une progression fin 2015 et au début 2016, mais est en diminution depuis février, diminution qui s est accrue ces dernières semaines 8. Le peso s est en revanche déprécié de 10% sur les 6 premières semaines de 2016, et de 5,47% entre janvier et août , en dépassant les 19 pesos MXN pour 1 USD au lendemain du Brexit. Même si la monnaie 8 Indice EMBI + élaboré par JP Morgan : 173 le 1/03/2016, 218 le 31/12/2015, 311 le 11/02/2016, 239 le 07/04/2016, 193 le 23/08/ USD = 17,3529 pesos MXN au 04/01/2016 ; 1 USD = 18,3023 pesos MXN au 22/08/2016

4 mexicaine regagne légèrement du terrain sur le dollar en août (+4,3% entre le 28 juillet et le 18 août 2016), son niveau reste faible : les analystes du secteur privé prévoient un niveau supérieur à 18 pesos pour 1 USD pour les deux années à venir 10. Toutefois, ces réactions des marchés paraissent exagérées au vu des fondamentaux relativement sains de l économie et s expliquent en partie par des attitudes spéculatives, le peso restant la monnaie émergente la plus échangée 11. Le FMI a par ailleurs accepté de renouveler et augmenter la ligne de crédit flexible pour le Mexique en mai dernier, de 67 Mds USD à 88 Mds USD 12, témoignant sa confiance dans les fondamentaux économiques du pays mais soulignant leur vulnérabilité aux choc externes et la nécessité de renforcer la confiance des marchés. Dans ce contexte, et malgré une inflation historiquement basse (2,65 % en juillet 2016, soit 15 mois consécutifs sous la barre des 3%), la Banque centrale a cherché à contrôler l impact de la normalisation de la politique monétaire américaine sur le taux de change dollar/peso, et à rassurer les investisseurs. Le 30/06, elle a ainsi décidé d augmenter de 50 pdb le taux d intérêt au jour le jour. Le taux directeur s élève donc aujourd hui à 4,25% 13. Le 11 août dernier, la Banque centrale a décidé de maintenir le taux interbancaire à ce niveau en invoquant une détérioration ou une stagnation des risques par rapport à la déclaration de politique monétaire précédente. Dans son communiqué, elle a souligné la nécessité de «maintenir une politique monétaire préventive» afin de limiter l augmentation des prix 14 face à la détérioration des risques, mettant en avant la contraction économique du deuxième semestre (-0,2% de croissance g.t. en série désaisonnalisée), la faiblesse des secteurs de l industrie et de la construction, la baisse de la production industrielle aux Etats-Unis favorisant la contraction des exportations, le faible niveau d investissement, le creusement du déficit courant, la volatilité de la monnaie et le risque d instabilité monétaire internationale. Il faut également prendre en compte l éventualité d une remontée des taux par la Fed. Ces éléments n excluent donc pas une révision des taux d ici la fin de l année. 10 Selon les prévisions des analystes du secteur privé interrogés par Banco de Mexico : Fin 2016 : 18,43 pesos MXN pour 1 USD Fin 2017 : 18,17 pesos MXN pour 1 USD Fin 2018 : 18,09 pesos MXN pour 1 USD 11 Ventes à découvert spéculatives ou shorting, achat ou vente de peso comme proxy du «risque émergent» en profitant du fait que le peso s échange 24h/24 contrairement au réal et au peso colombien, du large volume d échanges, et donc de la différence faible entre le cours acheteur et le cours vendeur. 12 Il s agit d un instrument de précaution, dont le Mexique ne se servirait qu en cas d impossibilité d assurer la dépense publique. Néanmoins, cette ligne de crédit est ouverte depuis 2009 et a été réévaluée en 2010, 2011, 2012 et 2014, ce qui pose la question de la stratégie de sortie de la part du Mexique. 13 Après une augmentation de 25 pdb en décembre 2015, suite à l augmentation des taux par la Fed, et une autre augmentation de 50 pdb en février dernier 14 Minuta número 45, Réunion des gouverneurs de Banco de Mexico, au sujet de la décision de politique monétaire annoncée le 11 août Document publié le 25 août 2016

5 ANNEXES Source : INEGI Source : Banco de Mexico

6 Source : Ministère des Finances SHCP Source : JP Morgan Note méthodologique : les données correspondent à la moyenne de l indice EMBI+ sur l ensemble du mois

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