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1 Rapport Annuel 2012

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3 INDEX MESSAGE DU DIRECTEUR GENERAL 06 MISE EN CONTEXTE 10 VUE D ENSEMBLE DE LA AIC 14 STRUCTURE DE L ENTREPRISE 16 IMAGE DE MARQUE DE L ENTREPRISE 20 NOUVELLE IMAGE 22 RAPPORT D ACTIVITES ANNUELLES 24 INTRODUCTION AUX FINANCES DE L ASSURANCE 28 GLOSSAIRE RAPPORT FINANCIER Images par Gerard Jean-Bap ste et Henri Jean L agilité du lézard, capable de réagir rapidement à son environnement La force de la libellule, capable de voler contre les forts courants de vent La capacité de transforma on du papillon, un re et des merveilles de la nature RAPPORT DES VERIFICATEURS INDEPENDANTS 40 Concep on graphique Lester Urbina et Comunicacion Corpora va Ketchum La créa vité de notre peuple est une inspira on pour notre vision d innover et d o rir une main protectrice à tous les Haï ens. LE TÉMOIGNAGE DE NOS PARTENAIRES STRATÉGIQUES

4 MESSAGE DU DIRECTEUR GENERAL Olivier Barrau PDG Chers clients et ac onnaires: C est avec un grand plaisir que nous vous présentons le premier Rapport Annuel de l Alterna ve Insurance Company, qui est à la fois un résumé de 2012 et des 10 premières années d exploita on depuis notre fonda on en Il est évident de souligner que la dernière décennie a été excep onnellement di cile à la fois pour le pays et le secteur des assurances. La combinaison d un manque de stabilité sociale et poli que à long terme et l impact des catastrophes naturelles a considérablement a aibli la croissance d Haï par rapport à d autres pays d Amérique La ne et des Caraïbes exposés à des vulnérabilités similaires, et nous croyons que ce e dégrada on économique s est aggravée, en tenant compte de l e et des risques non mi gés et du manque de développement de l industrie des assurances sur la capacité de notre pays de se rétablir et se développer. L e et économique drama que du séisme de 2010 illustre la façon dont une économie fragile peut sombrer davantage dans la pauvreté suite à un choc externe, quand elle n est pas capable de faire face aux risques. Le coût d un choc est triple: la perte de biens, la dégrada on de la santé ou la vie en elle-même, le recul de la capacité économique de l en té (personnelle ou na onale), et le coût de compensa on de la perte. Sans assurance, l en té peut ne pas être en mesure de se reme re du choc et, par conséquent, l assurance peut être considérée comme un let de sécurité ou une échelle qui peut aider l en té ou la personne à se rétablir plus rapidement de la crise nancière. En plus du coût économique du séisme en Haï, il y eu le coût addi onnel du temps de produc on perdu et une rupture dans la trajectoire posi ve vers l avant qui a été ressen e dans le pays à la n de Ces risques n étaient pas mi gés en raison de la mentalité culturelle «Dieu pourvoira» qui prédomine dans notre pays. Pour éviter un tel impact dans l avenir, le secteur des assurances doit devenir plus puissant et être en meilleure harmonie avec les normes pruden elles interna onales pour soutenir le développement du pays d une manière plus responsable et durable. La réac on de La AIC face à la tragédie a prouvé son engagement à la bonne gouvernance comme un facteur clé dans sa capacité d honorer l ensemble de ses réclama ons. Chez La AIC, la bonne gouvernance implique la structura on des stratégies nancières responsables pour répondre à la fois à nos clients de manière opportune et e cace, tout en protégeant notre capital et con nuant à fournir l assurance de haute qualité qui prépare mieux la popula on haï enne aux chocs à venir. La première étape vers la créa on d une culture de préven on et de ges on des risques est la régula on du secteur de l assurance qui renforce la bonne gouvernance à tous les niveaux. Néanmoins, en dépit du manque de réglementa on, le secteur de l assurance a fait mieux que quiconque aurait pu espérer au moment où il devait répondre aux réclama ons qui ont fait suite au séisme; celles-ci étaient équivalentes à des catastrophes similaires, naturelles ou d origine humaine, dans d autres pays; en fait, la réac on du secteur de l assurance haï en était propor onnelle à la réponse des secteurs d autres pays. A la AIC nous sommes ers et sa sfaits en ce qui concerne notre réac on à la tragédie de 2010 et les dé s qui l ont précédé. Malgré les dé s de notre environnement, nous avons con nué à innover et à développer de nouveaux produits dans le cadre de notre promesse de protec on pour tous les Haï ens. Les points forts de l année dernière comprennent: I. La AIC a structuré un solide portefeuille mul -ligne de produits d assurance pour répondre aux besoins des di érents secteurs de la popula on, variant des personnes, aux professionnels, aux pe tes, moyennes et grandes entreprises et organisa ons. La AIC vend ses produits à travers son réseau na onal de distribu on de 28 points de vente, fonc onnant en alliance avec les banques et les ins tu ons de micro- nance. II. En mai, La AIC a organisé Haï Assurément, le premier Sommet de l Assurance en Haï, qui a réuni des experts na onaux et interna onaux pour présenter et discuter du secteur de l assurance à par r de perspec ves mul ples, et considérer les bonnes pra ques et les expériences de chez nous et à l étranger. Le Sommet a également créé un essor pour mobiliser les e orts conjoints du secteur de l assurance, du Ministère de l Economie et des Finances, du Gouvernement d Haï et des partenaires extérieurs en vue de progresser vers l adop on de la réglementa on du secteur de l assurance. Un des principaux résultats de ce projet de loi sera le renforcement et la croissance du secteur dans un contexte réaliste et pra que. III. L éduca on de la popula on haï enne, sur ses droits en tant que détentrice de polices et sur l importance de la mi ga on des risques, sera un ou l essen el pour la promulga on réussie de la législa on et l applica on de meilleures pra ques de l industrie des assurances. À ce e n, La AIC a conclu un partenariat avec l Université Quisqueya, un leader dans le domaine de l éduca on, pour développer des programmes de forma on et de recherche visant à développer l assurance dans un domaine académique en Haï. Quisqueya partage la vision de La AIC sur la nécessité d améliorer l éduca on et la performance des professionnels de l assurance, et grâce à ce partenariat, La AIC peut partager son exper se et son expérience. En s associant à une université si pres gieuse, nous contribuons à la prépara on de la prochaine généra on, au développement du capital humain pour l ensemble du secteur et à la créa on de possibilités d emploi pour nos jeunes. IV. Finalement, en 2012, La AIC a èrement accueilli de nouveaux partenaires d inves ssement dans l entreprise, augmentant encore notre capital de base et ajoutant des ressources supplémentaires qui sou endront la croissance de La AIC, mobiliseront la capacité de recherche et de développement de l entreprise pour les produits tradi onnels et novateurs et nous aideront à améliorer la qualité de vie de tous les Haï ens. Tandis que nous célébrons nos réussites de la dernière décennie, nous établissons également des objec fs pour l avenir. Il y aura d autres catastrophes naturelles; les menaces sont grandes et imminentes. Haï a besoin d un let de sécurité qui peut protéger les individus en préservant la richesse crée au cours de leur vie, protéger le bien-être d une personne et celui de sa famille, tout en protégeant les ins tu ons privées et publiques d un pays qui sont géographiquement très exposées au risque. Les objec fs de La AIC pour 2013 comprennent: Travailler dans le but de transformer la mentalité haï enne en une mentalité de préven on a n de façonner l avenir du pays de manière plus proac ve. S engager à soutenir l adop on de la législa on sur les assurances, compte tenu de son rôle poten el comme ou l de transforma on dans le développement à long terme de notre na on. Poursuivre notre trajectoire de croissance, en inves ssant sans relâche dans la recherche de solu ons d assurance pour toutes les couches de la popula on de notre pays, et le renforcement des trois piliers de notre performance: la bonne gouvernance, une plateforme nancière saine et la transparence rigoureuse. parency. En n, nous aimerions saisir ce e occasion pour exprimer notre gra tude à tous nos employés pour leur excellent travail et leur dévouement qui ont contribué à transformer la vision de La AIC en une réalité qui est d o rir une main protectrice à tous les Haï ens. Nous espérons que ce Rapport Annuel est un signe clair de l engagement con nu de La AIC à mener le secteur en tant que compagnie qui valorise la con ance de ses clients et partenaires. Le moment présent détermine notre réputa on et notre succès, et ceci demeurera grâce à notre rela on avec vous, avec nos clients et nos ac onnaires. Olivier Barrau Président Directeur Général 6 7

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6 MISE EN CONTEXTE de l environnement macroéconomique, ce e économie est confrontée à de graves di cultés pour devenir plus produc ve et compé ve, ce qui lui permet de soutenir une croissance constante, élément nécessaire pour améliorer la qualité de vie de la popula on. Pour a eindre cet objec f, l améliora on du climat général des a aires est également nécessaire. Des réformes nécessaires perme raient de réduire les coûts de produc on des entreprises et par conséquent le coût global des a aires en Haï. Haï est parmi les pires pays classés, parmi ceux qui apparaissent dans le Rapport 2013 sur la Compé vité Mondiale avec un classement de 142 sur 144 pays, et un score total de 2,9 sur 7, essen ellement le même score qu en 2012 quand Haï avait été à l avant-dernière posi on dans le classement. Point de Vue Economique Deux ans après le terrible séisme qui a a ecté Haï le 12 janvier 2010 et a causé des milliers de morts et une perte importante de propriétés et d intérêts en ma ère des a aires, l économie haï enne, ayant subi des pertes nancières importantes, ne s est pas encore remise complètement. L économie haï enne a été a ectée par les catastrophes naturelles qui ont causé des pertes considérables, en par culier dans le secteur de l agriculture. Après une réduc on de 5,4% du Produit Intérieur Brut (PIB) au cours de l année scale , l économie a réussi à a eindre un taux de croissance de 5,6% au cours de l année scale Néanmoins, les es ma ons indiquent que la croissance réelle du PIB a été de seulement 2,5% au cours de l année scale , par rapport aux 9% ini alement prévus. Il convient de noter cependant que certaines modi ca ons ont été apportées aux prévisions de croissance du PIB en milieu d année, et ces dernières ont été ajustées à 4,5%. Le ralen ssement économique en 2012 est le résultat d une période de sécheresse et des dommages subis pendant la saison des cyclones; tous ces facteurs ont durement a ecté le secteur de l agriculture. Celui-ci représente plus de 25% du PIB. Les experts ont également a ribué cela à des retards observés dans l exécu on des projets du secteur public, principalement en raison de la faible capacité d absorp on de l État haï en. En outre, la vola lité des prix des denrées dans les marchés interna onaux a causé quelques pressions in a onnistes en Les taux d in a on étaient en moyenne 7% dans la période octobre 2011-septembre Localement, les sécheresses et les dommages subis par le secteur agricole ont causé des répercussions sur l o re et ensuite la baisse de la produc on agricole, générant ainsi des pressions in a onnistes. Cela est par culièrement important étant donné que près de 50% du budget des familles haï ennes sont alloués à l achat de nourriture. Une légère déprécia on de la monnaie locale a eu lieu en 2012, en dépit de l améliora on de la posi on extérieure du pays, avec l augmenta on des ux interna onaux de capitaux, l aide étrangère et les transferts de fonds de la diaspora haï enne. Cela a permis à la Banque Centrale d accumuler six mois d importa ons, soit un niveau confortable lui perme ant de contourner les spécula ons contre la Gourde sur le marché de change local. La valeur du dollar américain, par rapport à la monnaie locale, était en moyenne 41,60 gourdes pour la période octobre Le dollar a augmenté d un taux moyen de 40,90 gourdes en octobre 2011 et a franchi le seuil de 42 Gourdes en septembre 2012, soit une déprécia on de plus de 3% de la Gourde par rapport au dollar américain. De meilleurs contrôles pour les dé cits budgétaires mis en œuvre par les di érentes administra ons depuis 2004, réduisant ainsi la nécessité d un nancement public de la Banque Centrale, ont largement contribué ces dernières années à une baisse rela ve des pressions in a onnistes sur l économie haï enne. Néanmoins, en dépit de l améliora on Après une légère croissance de 2,5% du PIB en 2012, les économistes sont rela vement op mistes en ce qui concerne l année 2013 et prévoient un taux de croissance de 6,5%. Ce e prévision est basée sur un renouvellement d ac vité dans les secteurs de la construc on et de l agriculture. Les autorités scales de leur part souhaitent maintenir les taux d in a on inférieurs à 10%, en tenant compte du fait que la devise américaine devrait être changée à un taux oscillant autour de 42 Gourdes au cours de l exercice scal Les économistes espèrent augmenter les rece es scales au cours de l année scale a n d augmenter les dépenses d inves ssement au sein du budget na onal. Ce e mesure perme rait de compenser la diminu on prévue de l aide étrangère. Ils prévoient également une améliora on de la ges on des dépenses publiques, principalement par la réduc on des subven ons à l entreprise publique d électricité «Electricité d Haï»(EDH), qui s élevait à US$200 millions de dollars en Les autorités locales es ment que la combinaison de poli ques budgétaires, monétaires et de change devrait garan r la stabilité rela ve des prix dans divers secteurs de l économie haï enne. Parmi les principaux engagements entrepris par le Gouvernement pour améliorer le climat général des a aires et renforcer la compé vité économique en 2013, nous pouvons citer: (i) l augmenta on des rece es scales par le renforcement opéra onnel du Bureau de l Administra on Fiscale (Direc on Na onale des Impôts) et de l Administra on Générale des Douanes (l Administra on Générale des Douanes), (ii) l améliora on de la ges on des fonds publics et de la gouvernance publique, (iii) le renforcement des capacités ins tu onnelles a n de faciliter l exécu on des dépenses publiques, (iv) le renforcement de la ges on des liquidités et des opéra ons monétaires, et (v) l accéléra on des réformes visant à améliorer l environnement des a aires. Kesner Pharel Economiste, Haï Contexte des Assurances Le séisme de janvier 2010 a entraîné des pertes et des dommages es més à plus de USD $7.8 milliards (Banque Mondiale), ce qui équivaut au PIB de 2009 du pays, mais seulement une très pe te frac on de ce montant a été couverte par l assurance*. Bien que l ensemble de l économie ait été a ecté de manière néga ve par le séisme, il y a eu un changement radical et immédiat de la percep on en ce qui concerne les assurances en tant qu ou l absolument essen el à la sécurité nancière à long terme, avec une conscien sa on croissante et la demande pour les divers produits d assurance vie, santé et non-vie. Bien que la sensibilisa on du secteur des entreprises et le désir pour les ou ls d assurance aient accéléré car ils sont devenus des ou ls essen els pour la ges on de la santé des employés, la protec on des biens immobiliers et le main en de la richesse créée, ceci permet ainsi aux ges onnaires de se concentrer sur la croissance des entreprises plutôt que la protec on des entreprises. Il a également été noté que la croissance de l industrie est au ralen, dû à une demande non résolue pour une plus grande transparence du secteur de l assurance. Les clients ont besoin d accéder à l informa on nancière des assureurs pour leur perme re d être capables de prendre une décision éclairée quant au choix de leur assureur. Le climat des a aires demeure prudemment op miste avec l espoir d une plus forte croissance à l horizon, et le secteur des assurances a réagi en créant des produits spéci ques pour des entreprises et personnes qui réduisent le risque systémique de faire des a aires. * Réclama ons d assurance prévues après le 12 janvier 2010, variant d USD $120 à USD $200 millions répar s comme suit: USD $40 millions représentant la di érence entre la capacité de remboursement des assureurs et les réclama ons. 80% des réclama ons seront nancés par les compagnies de réassurances étrangères. 80% des réclama ons des entreprises seront payés directement aux banques

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8 VUE D ENSEMBLE DE LA AIC Fondée par un entrepreneur venant d une famille ayant une expérience vaste, riche et consacrée au secteur des Assurances, La AIC fait par e des entreprises les mieux capitalisées d assurances mul -lignes en Haï et qui fournit une protec on d assurance able pour des personnes et des entreprises dans toutes les régions du pays. La compagnie o re une couverture pour l automobile, les résidences, les entreprises, la vie, la santé et la micro-assurance avec des polices spéci quement adaptées aux besoins uniques du marché haï en. Depuis sa créa on en décembre 2001 en tant que société haï enne, La AIC, grâce à la combinaison de ses portefeuilles, a fait preuve d un profond engagement envers le pays, en protégeant de pertes éventuelles de l ordre de HTG 491,442 milliards (tous les portefeuilles combinés) et en fournissant une couverture d assurance pour plus de 102,000 clients. Les clients de La AIC comportent certaines des plus grandes entreprises en Haï en quête de protec on (vie et non-vie) pour leurs besoins d entreprises, mais aussi pour les personnes à faible niveau de revenu qui désirent une protec on de base pour leurs vies et leurs biens et sont en quête d une plus grande sécurité nancière. AIC est également l un des assureurs les plus stables et les mieux capitalisés du pays. La Société gère ses états nanciers conformément aux Normes Interna onales d Informa on Financière (IFRS) et aux normes comptables et depuis plus de 5 ans, elle e ectue des audits nanciers complets de ses états nanciers. Selon les normes de solvabilité 1, les ra os de solvabilité de La AIC (qui mesurent la capacité nancière d une compagnie d assurances concernant le paiement de ses réclama ons poten elles) ont a eint un niveau de plus de 3 fois les exigences de fonds propres réglementaires. Grace à ce e discipline nancière, La AIC a été capable de payer les créances des 10 dernières années pour des pertes de plus de HTG 1,573 milliards, incluant plus de HTG 720 millions en pertes, provenant uniquement du séisme de janvier En 2011, La AIC a développé des partenariats avec certains des plus grands inves sseurs haï ens et interna onaux en tant qu ac onnaires et fournisseurs de capitaux; chacun d entre eux con nue à travailler en étroite collabora on avec La AIC pour renforcer et élargir le secteur des assurances dans chaque province du pays. Pour assurer une plus grande stabilité au système et dans la perspec ve du succès du secteur bancaire, La AIC est un ardent promoteur et un par cipant ac f à l introduc on d une législa on sur les assurances qui réglementera complètement les exigences opéra onnelles, de capitaux et de transparence de toutes les compagnies d assurances en Haï. Bien que cela engendre une augmenta on des coûts pour le secteur des assurances, les avantages à long terme pour le système, pour Haï et pour son peuple, sont suscep bles de compenser largement sur les inconvénients

9 STRUCTURE DE L ENTREPRISE MEMBRES DU CONSEIL M. Olivier Barrau, Président Directeur Général Plus de 18 ans d expérience dans les Assurances en Haï : Implica on profonde dans le courtage, la souscrip on, le marke ng/la commercialisa on et les réclama on Vie, non-vie, santé et autres produits spéci ques en Haï Liens étroits avec le secteur nancier en Haï et d autres acteurs clés dans le marché haï en et interna onal Diplôme du Collège des Assurances (New York City) M. Jean Kellens Jolivert, Directeur des Opéra ons, Recherche et Développement Reverche & développement de nouveaux produits pour l entreprise, prétest et post-test du marché Forma on approfondie et con nue dans les Assurances depuis son arrivée à La AIC en 2007 Diplômes en Administra on, Economie & Comptabilité de l Ins tut Na onal de Ges on et des Hautes Etudes Interna onales (INAGHEI) et de l Université Quisqueya (Haï ) M. Raoul Turnier, Directeur des Systèmes d Informa ons Architecte de la stratégie Informa que de La AIC, un élément clé dans la stratégie de croissance de l entreprise Expérience approfondie dans la ges on et les nances Diplôme en ingénierie structurelle de l Université Polytechnique (New York City) Mme Nathalie Barrau, Directeur Assurances Dommages Supervision et ges on des biens, de la responsabilité, et des services d automobile avec plus de 18 ans d expérience dans l industrie de l assurance Rela ons profondes et amples dans le secteur privé haï en Forma on con nue en Assurance à l Ins tut de Forma on de la Profession de l Assurance (IFPASS, France) et Educa on Execu ve en Comptabilité et Finance(The Wharton School, Etats Unis) Diplôme en assurance de l ADAP (France) M. Emile Pantaléon, Directeur Technique Vaste expérience actuarielle (d actuaire), travaillant dans les assurances en Haï depuis plus de 20 ans, parmi lesquels 8 ans avec La AIC Expérience dans le secteur public haï en au Ministère de l Economie et des Finances (Assurances) Diplômes de la Faculté de Droit et d Economie (Haï ), LOMA (Atlanta, Georgia) M. Laurent Saint-Cyr, Directeur Administra f Assurances de Personnes Expérience en plani ca on stratégique approfondie et ges on des coûts, 3 ans avec La AIC Expérience de travail et liens avec l ensemble des industries dans le secteur privé haï en Diplôme en Administra on des A aires (Haï ) Olivier Barrau ALTERNATIVE INSURANCE COMPANY Jean-Philippe Vixamar BANQUE NATIONALE DE CREDIT Manuel Escobedo REASEGURADORA PATRIA OBSERVATEURS DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA AIC Jean Philippe Dufort REBO Gary Edson CLINTON BUSH HAITI FUND Jean Claude Flambert KAY CLAUDY COMITE A LA AIC Bryce Bergey SARONA ASSET MANAGEMENT MEDA Julie Kennedy SEVEN FUND Nicole Pasricha MEDA Patrick Thebaud THEBAUD AGENTS MARITIMES Harrison Sapru CORDEMA, LLC Jacques Villejoint SOCOPROSA M. Henri Jean, Directeur Administra f et Trésorerie Plus de 20 ans d expérience dans la ges on nancière et les services bancaires Forma on approfondie en ges on et en opéra ons de change Diplôme en Finance de l Université St-John (Queens, N.Y) Développement Humain Il détermine les principaux besoins en capital humain, établit et améliore les poli ques et procédures visant à réduire l exposi on et les dépenses, et assure la forma on et le développement pour accroître la produc vité du personnel dans tous les domaines clés. Audit Interne Il évalue la conformité des divisions et des employés avec les poli ques les lignes directrices de la Société/Compagnie et il xe ou augmente les poli ques et les lignes directrices existantes en fonc on des changements dans l environnement d exploita on/d opéra ons (par exemple la législa on). Ges on des Risques Elle examine/ revoit les poli ques et le statut des inves ssements, la réassurance, la tari ca on, l exposi on commerciale, l exposi on à la clientèle, la con nuité des ac vités et tout aspect clé de l entreprise qui pourrait avoir une incidence sur les opéra ons. Conseil Légal Me. Alexandra Brun, Cabinet Juris-Consult 16 17

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11 IMAGE DE MARQUE DE L ENTREPRISE Mission Alterna ve Insurance Company est une société haï enne mul -lignes qui o re, avec les plus hautes normes d intégrité, une large gamme de produits d assurance et de services de première classe qui répondent aux besoins et aux a entes des par culiers et des entreprises dans la région des Caraïbes. Notre Philosophie Alterna ve Insurance Company s e orce d être la compagnie de ges on de risques la plus able et la plus stable en Haï, en fournissant la plus grande transparence à ses clients, et les plus hauts niveaux de service à la clientèle. L intégrité, le respect mutuel et l esprit d équipe sont les fonda ons sur lesquelles nous bâ ssons notre entreprise. Nous accueillons et traitons nos clients comme des membres de notre propre famille et travaillons en permanence pour assurer leur tranquillité d esprit. Nous prenons des décisions et nous agissons dans un but unique: être présents quand nos clients ont besoin de nous. Nos Valeurs Professionnalisme Service Innova on Dynamisme Accompagnement Fiabilité Présence Proximité Partenariat Leadership Vision Alterna ve Insurance Company s est xé pour objec f de devenir le leader de l industrie locale de l assurance et un concurrent important sur le marché régional

12 NOUVELLE IMAGE Assurance Vie Excess Life est des née à protéger les familles, en aidant à prendre soin des proches en cas de décès du membre de la famille couvert, en payant au béné ciaire ou aux mul ples béné ciaires une somme spéci que d argent. L assurance-vie peut également être u lisée en tant que garan e pour couvrir les de es, telles que l hypothèque. LA AIC o re di érents produits d assurance adaptés aux besoins et revenus spéci ques, qu il s agisse d une assurance vie à court terme o rant des béné ces pour une période de temps donnée ou d une assurance vie universelle fournissant un béné ce en cas de décès, plus une composante d inves ssement qui peut être collectée ou empruntée sur les primes de la police ou u lisée pour les payer. Assurance Santé Medicarte est un produit d assurance groupe qui protège l assuré contre le choc nancier en cas de maladie, de grossesse ou d invalidité. L assurance santé garan t aussi un revenu minimal lorsque l assuré est incapable de travailler pour cause de maladie. Ceci est o ert en vertu d une police d assurance groupe pour les organisa ons a n de couvrir leurs employés. Après 10 ans dans l industrie de l assurance et dans le cadre de la célébra on de l anniversaire de La AIC, la société a entrepris une rénova on de son image, en modernisant et humanisant son aspect sans perdre son essence, a n de mieux re éter sa promesse de protec on à tous les Haï ens. Eléments du logo: La èche AIC: En pro tant de la posi on que cet élément a acquis par son u lisa on dans les di érents produits de la compagnie, la èche se dirige vers l avant et vers le haut comme un symbole de croissance et de développement, mais elle a incorporé maintenant une courbe pour donner le sens de la protec on en embrassant la typographie, tandis que les lignes stylisées et lisses fournissent une connota on plus humaine. Les couleurs: le logo garde les couleurs originales de La AIC et l équilibre entre le chaud et le froid. Le Bleu: la sécurité, la stabilité, la con ance et la tranquillité. Le Rouge: la passion, le courage et l énergie. Le nom est écrit maintenant avec une typographie stylisée et moderne. Nos Produits La AIC est une compagnie d assurance mul -lignes fondée en 2001 pour fournir des produits d assurance à tous les segments de la popula on. La AIC o re une variété de produits d assurance des nés à répondre aux besoins de tous les Haï ens. Les Secteurs d ac vités incluent des produits d assurance Automobile, Entreprise, Résidence, Vie, Santé, Funéraire et Micro-assurance, appuyés par un réseau solide de distribu on et un excellent record de gouvernance et de capacité de réac on aux besoins de la clientèle. Assurance Automobile Elle fournit une protec on nancière en payant les réclama ons pour les dommages causés aux véhicules assurés, aux camions, aux motocycle es ou aux o es de véhicules, les dommages causés aux chau eurs et aux passagers, ainsi que et la responsabilité civile vis à vis des ers. Assurance Résidence Elle protège des pertes ou de la destruc on de la maison d une personne, de son contenu, de la perte de son u lisa on (frais supplémentaires), de la perte ou du vol des objets de valeur et des objets personnels de la maison; elle o re aussi l op on de l assurance responsabilité civile pour les accidents qui peuvent se produire à la maison. Assurance Funéraire Protecta est l assurance funéraire de La AIC pour libérer principalement la famille du fardeau économique de l organisa on de funérailles suite au décès de l assuré; elle s appuie sur un vaste réseau de prestataires de haute qualité de services funéraires dans tout le pays. Assurance Funéraire Interna onale SSoutniFanmi w est le programme de La AIC pour les haï ens vivant à l étranger en vue de parrainer leurs proches vivant en Haï en payant la prime pour ces derniers a n de les faire pro ter des béné ces de Protecta. Micro Assurance Elle fournit une couverture adéquate aux personnes à faible revenu, en par culier celles qui appar ennent au secteur informel, qui ne peuvent pas avoir accès à des services d assurance par le biais des canaux tradi onnels. La micro-assurance peut couvrir tous les risques tradi onnels, tels que la maladie, l accident et la mort, entre autres, par l u lisa on de produits d assurance simples, accessibles et abordables. Les programmes de microassurance peuvent être conçus comme des produits d assurance volontaires ou distribués sur une base obligatoire par le biais du portefeuille de produits d une ins tu on nancière. Assurance Entreprise Elle est une solu on intégrale pour les sociétés et les propriétaires d entreprises. Elle permet à l entreprise de protéger ses ac fs, ses installa ons, son mobilier et son équipement, de manière exhaus ve, contre les di érents types de pertes, ses obliga ons envers des ers, et la perte de revenus au cas où un sinistre ralen rait les ac vités commerciales. Assurance Tous Risques Chan ers Ce produit assure un projet de construc on en cours contre les dommages poten els, tels que les incendies, les explosions, les dégâts causés par les eaux, les e ondrements, les désastres naturels, le vandalisme et le vol ainsi que la responsabilité civile envers les ers au cours des travaux. Assurance pour Les Engins de chan ers Ce e assurance protège l équipement sur un chan er de construc on. Ce produit couvre également la responsabilité civile en cas de dommages accidentels résultant de l u lisa on de cet équipement. Assurance Argent en Transit Elle garan t que les fonds et autres ac fs en transit sont protégés contre tous les dommages, tels que la perte, le vol et la dispari on. Assurance Globale de Banque (Bankers Blanket Bond) Un produit qui protège les banques ou les ins tu ons nancières contre les pertes pécuniaires résultant d actes frauduleux commis par des employés, ainsi que le vol ou le cambriolage perpétré par des ers

13 RAPPORT D ACTIVITES ANNUELLES A l occasion de son 10 ème Anniversaire, La AIC a organisé le premier Sommet de l Assurance en Haï - Haï Assurément: Saisir le Poten el de l Industrie de l Assurance pour le Développement Durable, du 9 au 11 mai Comme le pays évolue vers la réglementa on de l industrie de l assurance, le thème principal du Sommet était d encadrer ce e législa on en tant que succès pour l industrie en suscitant un dialogue autour des moyens d accélérer son accepta on et sa réussite, compte tenu de son rôle poten el comme ou l de transforma on dans le développement à long terme du pays. Des panélistes haï ens et des conférenciers interna onaux sélec onnés minu eusement, y compris des responsables gouvernementaux des Ministères et du Parlement, ainsi que des représentants de la Banque Interaméricaine de Développement, de la Banque Mondiale, et de Zurich Re, entre autres, ont mené des discussions autour des sessions plénières suivantes: Législa on du Secteur des Assurances: D une Nécessité à une Opportunité Le Rôle d un Système d Assurance Santé pour une Meilleure Pénétra on de la Sécurité Sociale en Haï Développement Durable et le Rôle de l Assurance: Calculer et se Préparer pour le Coût Réel des Chocs Aléatoires Technologie et Micro-assurance: Pour Augmenter l Accès aux Ou ls de Mi ga on de Risque dans le Pays Assurance Paramétrique et Assurance Récolte, une Solu on pour Développer l Agriculture? Educa on et Communica on: Créer une Culture de Préven on en Rendant l Assurance Accessible à Tous En se basant sur l expérience du séisme de 2010 en Haï, le Sommet a o ert la possibilité de partager les leçons apprises pour souligner la nécessité d une bonne gouvernance de l industrie en vue de gagner la con ance de la popula on, me re en place des normes pruden elles pour assurer sa pérennité et ins tu onnaliser une culture de préven on dans un cadre juridique exécutoire. Nouvelle loi pour la viabilité de l industrie L objec f du Premier Sommet de l Assurance en Haï était de mobiliser les e orts conjoints de l industrie de l assurance, du Ministère de l Economie et des Finances, du Gouvernement haï en, et des partenaires externes vers l adop on de la nouvelle législa on du secteur de l assurance proposée, a n de perme re que le renforcement et la croissance du secteur se produisent dans le contexte réaliste et pra que. Le cadre juridique établit des lignes directrices qui sont accessibles à l industrie et incluent un délai pour sa mise en œuvre, accordant le temps aux compagnies d assurance pour ajuster leurs stratégies et leurs pra ques commerciales. Il convient de souligner que le projet de loi met en place des normes pruden elles et la supervision pour les compagnies d assurance, garan ssant la stabilité du secteur et le meilleur intérêt des clients. Nous tenons à remercier les conférenciers, panélistes et invités dont la par cipa on a été un élément déterminant dans la réussite de ce Sommet, car elle a permis au secteur de l assurance de recueillir de bonnes pra ques et des expériences des experts et de comprendre en profondeur le contexte réaliste pour la future législa on. Nous espérons que nous con nuerons à travailler ensemble pour me re en place des moyens d accélérer la mise en œuvre de la législa on sur les assurances, et surtout pour aider à rendre l assurance accessible à tous en assurant un avenir meilleur pour Haï. L équipe AIC Nouveaux partenaires L année 2012 a été une année cruciale pour la Société, avec les nouveaux partenariats axés sur la force du groupe d inves ssement ini al AIC, apportant une valeur ajoutée unique à notre structure: la Banque Na onale de Crédit, partenaire local de bancassurance de La AIC, Patria Re, un partenaire de réassurance de longue date et maintenant partenaire stratégique, MEDA/Sarona Asset Management, la Banque Interaméricaine de Développement et le Fonds Clinton Bush pour Haï. Ces derniers partenaires se sont joints en tant que partenaires avec un regard par culier orienté vers le développement du portefeuille du marché de l inclusion nancière. Les inves ssements de ce groupe prodigieux de partenaires fournissent à La AIC un capital supplémentaire pour renforcer et faire face à la croissance de son portefeuille de produits d assurance et mieux préparer la popula on haï enne aux situa ons imprévues. L approba on par la Banque Interaméricaine de Développement d un prêt subordonné à La AIC a été le premier partenariat de la BID dans son histoire, approuvé pour une société du secteur privé haï en. Ce e décision est un signe fort d appui à l engagement stratégique de la société à o rir des produits d assurance à tous les haï ens par le biais des lignes de produits tradi onnels de La AIC, et aux popula ons les plus vulnérables du pays par le biais de ses produits de marché de l inclusion nancière

14 Les commentaires d autres nouveaux partenaires incluent: Notre partenariat avec La AIC est une situa on excep onnelle provoquée par des circonstances excep onnelles. Il aide nos marchés au-delà des a aires simples et il est soutenu par le grand professionnalisme de l équipe de La AIC et la con ance qu elle a inspirée à chacun d entre nous, bien que le pays ait vécu des temps durs après le séisme. Ingrid Carlou, Directrice Générale, CEO Reaseguradora Patria, S. A. B. Notre décision de soutenir l inves ssement réalisé par MEDA dans La AIC a été mo vée par la qualité de son équipe de direc on, sa posi on de leadership dans le secteur de l assurance dans le pays et son accent sur le développement des produits de micro-assurance pour les travailleurs pauvres en Haï. Serge LeVert-Chiasson, Directeur des Opéra ons, COO Sarona Asset Management Nous sommes heureux de collaborer avec La AIC pour alléger la pauvreté en Haï. Philosophiquement, nous sommes bien alignés sur des valeurs partagées, une expérience solide des a aires et un engagement envers la clientèle qui se trouve au bas de la pyramide. Julie Redfern, Vice-Présidente des Services Financiers MEDA Un secteur de l assurance robuste est une condi on préalable importante à la reconstruc on durable et à la mi ga on des risques futurs en Haï, un pays exposé aux catastrophes naturelles. L accès à l assurance améliore la réponse en cas de catastrophe, aide les par culiers et les entreprises à se relever plus vite, et rassure les inves sseurs sur la sécurité de leurs inves ssements. En renforçant les fonds propres de La AIC, nous aidons La AIC à o rir ceci et à agir comme un phare pour ce que l assurance peut être en Haï. Gary Edson, Directeur Général, CEO Directeur Général, Fonds Clinton Bush pour Haï 26 27

15 INTRODUCTION AUX FINANCES DE L ASSURANCE Chez La AIC, la transparence est un pilier sur lequel nous bâ ssons notre entreprise. Il est donc très important pour nous que nos clients comprennent comment fonc onne l assurance, le mode de fonc onnement de notre société et les états nanciers inclus dans le présent rapport. Dans ce e sec on, nous tenterons de clari er ces points pour vous. Il y a de nombreux facteurs à examiner quand on regarde les compagnies d assurances. Plus que tout, les consommateurs et les inves sseurs devraient se préoccuper de la solidité nancière de l assureur et de sa capacité à s acqui er de ses obliga ons courantes envers les assurés. Des fondamentaux médiocres peuvent indiquer une faible opportunité d inves ssement et une faible capacité d honorer les obliga ons; ils entravent la capacité de l entreprise de se développer dans l avenir, et ils peuvent aussi indiquer que la compagnie peut ne pas être en mesure de couvrir ses engagements. En n de compte, rien n est pire pour un client que de découvrir que sa compagnie d assurance pourrait ne pas avoir la stabilité nancière pour payer toutes ses réclama ons face à une catastrophe naturelle ou des troubles sociaux. Il y a trois principaux facteurs que l on doit prendre en considéra on en analysant et iden ant la compagnie d assurance qui a le meilleur pro l pour faire des a aires avec le client: 1- E et de Levier. La première chose que vous voulez véri er quand vous cherchez à connaître une compagnie d assurance est la qualité et la solidité du bilan. Chaque jour, les assureurs perçoivent des primes et paient des réclama ons aux assurés. Les entreprises devraient trouver un équilibre entre les rentabilités élevées tout en gardant intact l e et de levier. Une entreprise qui est fortement ende ée pourrait ne pas être en mesure de faire face à ses obliga ons nancières quand un grand événement catastrophique se produit. Les trois éléments suivants visent à accroître les avantages: a) Eme re un plus grand nombre de polices d assurance. b) Dépendre de la réassurance. La réassurance permet à une société de passer le risque à d autres assureurs (généralement une bonne chose), mais soyez prudent. Une trop grande dépendance de réassurance signi e que l entreprise ne garde pas une par e équitable des responsabilités pour chaque dollar de prime. c) U lisa on de la de e 2- Liquidité. Le premier test de la capacité de l assureur à remplir ses obliga ons nancières est crucial. Il véri e si une entreprise a su samment d ac fs à court terme pour couvrir ses engagements immédiats. Examinez de près le ux de trésorerie (cash ow). Un assureur devrait presque toujours avoir un ux de trésorerie posi f. Un autre point à examiner est: le degré d inves ssement du portefeuille de la société. Trop d obliga ons à haut et moyens risques pourraient conduire à l instabilité. 3- Rentabilité. Comme dans toute entreprise, la rentabilité est un facteur déterminant dans votre analyse. Pour une compagnie d assurance, il y a deux composantes de béné ces que nous devons prendre en compte: revenu de prime/souscrip on et revenu de placement. Le revenu de souscrip on est simplement: tout revenu provenant de l émission des polices d assurances. En faisant la moyenne des taux de croissance de la prime de plusieurs années passées, vous pouvez déterminer les tendances de croissance. Le revenu croissant de prime est une impasse inextricable pour les compagnies d assurance. Idéalement, vous voulez que le taux de croissance soit supérieur à la moyenne du secteur, mais vous voulez aussi être sûr que ce e croissance plus élevée ne soit pas au détriment de l accepta on de clients à haut risque. Inversement, une entreprise dont le revenu de primes augmente à un rythme plus lent pourrait être trop poin lleuse et seulement à la recherche d opportunités d assurances de la plus haute qualité. La seule chose à retenir est que les collec ons de primes plus élevées ne signi ent pas forcément des pro ts plus élevés. La baisse du nombre de réclama ons (par le biais des clients à faible risque) contribue davantage au résultat nancier. Le deuxième domaine de rentabilité que vous devez inclure dans votre analyse est le revenu d inves ssement. Comme nous l avons men onné plus haut, une grande propor on du revenu d un assureur provient des inves ssements. Pour évaluer ce domaine, examinez la stratégie d alloca on d ac fs de l entreprise. Une majorité des ac fs doit être inves e dans des obliga ons à faible risque, des équités ou des tres du marché monétaire. Certains assureurs (surtout des sociétés d assurance vie) inves ssent une par e importante de leurs ac fs dans l immobilier. Si tel est le cas, examinez ce type de propriété et sa localisa on. ROA, ROE, et les taux de chute (appelés aussi taux de renouvellement) sont également u les pour évaluer la rentabilité de l assureur. Calculer les chi res du ROA et ROE au cours des dernières années a n de déterminer si la direc on a augmenté le taux de rendement pour les ac onnaires. Le taux de chute aidera à savoir si la société a réussi à maintenir les frais de commercialisa on sous contrôle. Il convient mieux qu un plus grand nombre de polices reste en vigueur (ne soit pas résilié). En n, nous comprenons que la lecture et la compréhension des états nanciers d une compagnie d assurance peuvent être une tâche di cile, alors laissez-nous décomposer ce e tâche en pe tes sec ons: a) Ilest important de se familiariser à la fois avec le vocabulaire et la façon dont les calculs sont faits pour comprendre comment les divers états sont liés et comment ils s intègrent l un dans l autre. b) Les compagnies d assurance sont des entreprises axées sur un bilan; donc, il est important de comprendre la rela on entre les ac fs, les passifs et les capitaux propres de l ac onnaire. Les engagements les plus importants pour les assureurs sont les réserves d assurance. Les réserves d assurance incluent la responsabilité pour les futurs béné ces de polices et les réserves pour les réclama ons. Ces réserves concernent à la fois l assurance directe et la réassurance envisagée. Autres Facteurs Un autre élément important qui a ecte la performance d une compagnie d assurance est la uctua on du taux d intérêt. Les compagnies d assurance inves ssent une grande par e des primes collectées; ainsi, le revenu généré par les ac vités d inves ssement dépend fortement des taux d intérêt. La baisse des taux d intérêt équivaut habituellement à la croissance plus lente des revenus d inves ssement. Un autre inconvénient aux uctua ons des taux d intérêt (pas exclusif aux compagnies d assurance) est le coût de l emprunt. Renseignez-vous sur la date de maturité de la de e de l entreprise et les taux d intérêts. Si l entreprise est sur le point d emprunter ou d apurer le montant de sa de e, les ux de trésorerie pourraient subir un grand choc tandis que les frais d intérêts augmentent. Certains Ra os Clés: Examiner le «ra o combiné» de la compagnie d assurance pour voir comment elle gère e cacement son passif de réclama ons. Un ra o combiné d assureur devrait inclure: des comptes débiteurs (primes ne es émises et primes acquises), des comptes créditeurs (pertes subies, dépenses encourues pour pertes, autres dépenses de souscrip on encourues et demandes de remboursement globale pour les déduc ons de souscrip on) et les dividendes aux tulaires de polices. Notez si le ra o combiné de la compagnie est inférieur ou supérieur à 100 pour cent. Un ra o combiné inférieur à 100 pour cent signi e que le revenu de l assureur dépasse son passif et ses dépenses. Soustraire le passif de la société et l excédent du total de ses ac fs pour obtenir «l état de la situa on» de l entreprise. Si les ac fs sont plus grands, c est une condi on posi ve; si le passif est supérieur, c est une condi on néga ve. Examiner le résumé des données d exploita on de l entreprise. Voir si elle a versé des dividendes à ses ac onnaires et si elle a eu un revenu net ou une perte ne e Examiner le ROE: il indique le retour qu une entreprise génère des inves ssements des propriétaires. En règle générale pour les compagnies d assurance, le ROE devrait se situer entre 10-15%. Examiner le ROA: il indique le retour qu une entreprise génère sur les ac fs (inves ssements) de l entreprise. Examiner le retour sur le chi re d a aires total: revenu net/chi re d a aires total. Ceci est une autre varia on des ra os de rentabilité. Le rendement moyen du secteur de l assurance est d environ 3%

16 GLOSSAIRE Termes fréquemment u lisés dans le secteur de l assurance 1. Cas de Force Majeure (cause naturelle): les catastrophes naturelles qui n auraient pas pu être raisonnablement prévenues ou évitées. 2. Assurance: un contrat entre deux par es, dans lequel l acheteur d assurance verse un pe t montant (la prime) et, en retour, le vendeur d assurance accepte de garan r un paiement à l acheteur en cas de réalisa on du type de perte dé nie dans le contrat. 3. Réassurance: l assurance qu une compagnie d assurance achète pour sa propre protec on, de sorte que la totalité de la perte ne soit pas en èrement absorbée par une seule compagnie. La réassurance permet à une compagnie d assurance d accroître sa capacité d éme re un plus grand nombre de polices, mais aussi d assurer la protec on en cas de catastrophe contre les pertes considérables. 4. Réclama on: une demande faite par l assuré en cas de perte pour le paiement des béné ces prévus par la police (contrat d assurance). 5. Franchises (déduc bles): les montants que vous payez pour couvrir une perte avant d avoir droit à un paiement par votre assureur. C est ce qu on appelle la par cipa on de l assuré à la perte. 6. Exclusions: ar cles, périls ou situa ons qui ne sont pas couverts par votre police. 7. Responsabilité civile: l assurance responsabilité civile protège contre la perte pécuniaire que les ers réclament pour les dommages corporels et matériels causés par vous. 8. Police: le contrat d assurance écrit et conclu, ou le cer cat de celui-ci, quelque soit le nom qui le désigne, y compris les clauses, couvertures addi onnelles, endossements, avenants et documents qui y sont a achés et font par e intégrante de celui-ci. 9. Prime (ou co sa on): le prix de la protec on d assurance pour un risque spéci é pour une période de temps spéci ée. Titulaire de la police: Une personne, une entreprise ou une contrepar e qui conclut un contrat avec une compagnie d assurance, qui à son tour promet d e ectuer le paiement en cas de perte. 10. Souscrip on: la procédure de sélec on des risques d assurance et leur classement en fonc on de leur degré d assurabilité et de risque de sorte que les taux appropriés soient a ribués. Le processus comprend également le rejet de ces risques qui ne sont pas admissibles en vertu des lignes directrices de la tolérance des risques de l entreprise. 11. Portefeuille: chaque compagnie d assurance inves t ses primes dans une variété d instruments du marché monétaire, dans des obliga ons et des ac ons a n que le capital de base de la société con nue à se renforcer et fournisse ainsi une plus grande stabilité à gérer à travers les événements dans lesquels des pertes sont encourues. La somme de tous ces instruments nanciers est appelée le portefeuille. 12. Solvabilité 1: Une formule standard adoptée par le secteur mondial de l assurance qui permet à une compagnie d assurance de calculer le niveau minimal de capital et les réserves qu elle doit avoir pour protéger les souscripteurs dans le cas où il y aurait un événement de perte importante qui déstabilise le marché. Une entreprise avec un ra o de solvabilité plus importante est considérée comme beaucoup plus stable et avec une plus grande probabilité de supporter de forts événements qui engendrent des pertes (tels que les ouragans et les tremblements de terre). 13. Chi re d a aires: Le montant des primes qui sont reçues par un assureur (total des primes payées par l assuré pour une police ne e d impôt). Les rece es sont classées en deux branches principales: les Primes Acquises et non Acquises. La Prime Acquise est la por on de la prime qui a été versée à l avance qui a été «acquise» en vertu du fait que le temps s est écoulé (c est le revenu réel d une compagnie d assurance). La Prime non Acquise est la por on de la prime qui n est pas encore acquise par l assureur car le temps ne s est pas encore écoulé. Ceci est considéré comme un passif pour la compagnie d assurance qui doit prévoir le remboursement par exemple dans le cas où le client décide de résilier la police. Par exemple, une police de 12 mois, payée à l avance et ayant deux mois d existence, aurait par ellement acquis la prime. 14. Pertes et Dépenses: Représentent le montant total des réclama ons soumises par les assurés pour les pertes encourues de leurs polices, et les dépenses comprennant tous les coûts liés aux opéra ons d assurance de base incluant les règlements de sinistres. 15. Pro t net: Le montant total des béné ces après impôts (revenus moins pertes et dépenses) provenant de l exploita on et du revenu d inves ssement, ainsi que tout autre revenu généré par la compagnie d assurance, au cours d une certaine période de temps. 16. Marge brute d exploita on: Revenu (rece es moins pertes et dépenses) provenant des ac vités principales d une compagnie d assurance et ne comprenant pas d autres revenus tels que les revenus d inves ssement, au cours d une certaine période de temps. 17. Bilan: Un terme comptable se référant à la liste des ac fs, du passif d une entreprise, et l excédent (ou équité) à une date spéci que. 18. Ra o de sinistralité: Le ra o de sinistres et dépenses liées aux primes ne es acquises. Ce ra o mesure la rentabilité sous-jacente de la société ou l expérience de perte, sur son volume d a aires total. 19. Ra o des frais d acquisi on/des dépenses: Le ra o des frais d acquisi on et autres dépenses liées à l assurance jusqu aux primes ne es acquises. Ce ra o mesure l e cacité de l entreprise dans la sécurisa on de nouvelles a aires. 20. Ra o combiné: La somme du ra o de sinistre et du ra o des frais d acquisi on, sans l ajout des revenus d inves ssement ou des impôts sur le revenu. Ce ra o mesure la rentabilité globale de souscrip on de l entreprise, et un ra o combiné inférieur à 100 indique un pro t de souscrip on 21. Ra o de chute: Ra o du nombre de polices d assurancevie arrivées à échéance (ou n ont pas été renouvelées) pendant une période donnée par rapport au nombre en vigueur au début de ce e période; il est aussi connu sous le nom de taux de renouvellement. 22. Réten on: Le montant du risque d assurance (ou le montant de la couverture) qui est gardé par une compagnie d assurance dans ses livres après la réassurance de toute por on. 23. Ac fs à court terme: Les ac fs qui sont détenus par la compagnie d assurance et sont facilement disponibles pour être u lisés pour payer toute réclama on ou perte des assurés. 24. Total des ac fs: Il se réfère à toutes les propriétés disponibles de toute nature ou la possession d une compagnie d assurance qui pourraient être u lisée pour payer ses de es

17 25. Flux de trésorerie: Se rapporte à la mesure du montant d argent liquide qu une compagnie d assurance apporte moins le montant d argent liquide payé sous la forme de paiements de réclama ons et autres dépenses, sur une certaine période de temps. Une compagnie qui génère un ux de trésorerie posi f renforce sa capacité de construc on et donc est plus en mesure de mieux résister à des événements qui engendrent des pertes considérables (tels que les ouragans et les tremblements de terre). 26. De e à nota on «investment grade»: Ceci se réfère à la haute qualité des obliga ons et des autres tres d inves ssements à revenu xe (en fonc on des taux interna onalement reconnus par Moody, Standard & Poor et Fitch) faits par une compagnie d assurance à par r de la liquidité générée par ses primes. En règle générale, l assureur doit conserver une large gamme d inves ssements de qualité généralement conservateurs dans son portefeuille, de sorte que les fonds des assurés soient protégés en cas de stock important ou de choc entraîné par les obliga ons déterminées par le marché. 27. Obliga ons à haut et moyen risque: Il s agit d obliga ons et d autres inves ssements à revenu xe qui ne répondent pas aux critères d inves ssements de haut niveau (en fonc on des indices interna onalement reconnus par Moody, Standard & Poors et Fitch), mais apportent à la compagnie d assurance un rendement qui est plus élevé que les tres de créance; ceci génère un revenu plus élevé pour une compagnie d assurance et ajoute plus de stabilité à sa base de capital au l du temps. Une combinaison diversi ée des tres de créance et de la de e à haut et moyen risque se trouve dans le portefeuille d une compagnie d assurance, fournissant une combinaison de stabilité et de rendements. 28. Stratégie d alloca on d ac fs: Le mélange de di érents types d inves ssements dans le portefeuille d une société d assurance qui se compose habituellement des tres de créance, de la de e à haut et moyen risque et des équités. Une compagnie d assurance tente typiquement d a eindre un équilibre entre le rendement sur le capital et la préserva on du capital, vu que chacun est nécessaire pour con nuer à maintenir la stabilité à long terme. 29. Obliga ons à faible risque: Voir «tres de créance. 30. Capitaux propres: Instruments d inves ssement dans le portefeuille d une compagnie d assurance qui sont cons tués d ac ons (des par cipa ons) dans diverses entreprises publiques et privées. 31. Titres du marché monétaire: Ils consistent en instruments d inves ssement à court terme, très liquides (faciles à vendre) et conservateurs et en tres gouvernementaux et quasi-gouvernementaux dont les rendements sont généralement faibles, mais o rent une stabilité extrême pour un portefeuille. 32. ROAA: Pendant une certaine période, le béné ce net en pourcentage de la moyenne des ac fs de la compagnie d assurance au cours de ce e même période démontre la façon e cace dont une compagnie d assurance u lise et met à pro t sa base d ac fs. 33. ROAE: Pendant une certaine période, le béné ce net en pourcentage de la moyenne des fonds propres de la compagnie d assurance au cours de ce e même période démontre l e cacité d une compagnie d assurance u lisant ou me ant à pro t sa base de capital

18 RAPPORT FINANCIER Etats Financiers À notre avis, les bilans consolidés et les comptes de résultats de revenus présentent dèlement, dans tous leurs aspects signi ca fs, la situa on nancière et les résultats d exploita on de la Alterna ve Insurance Company S.A. au 30 septembre 2012, ainsi que pour chacun des exercices scaux depuis Ces états nanciers relèvent de la responsabilité de la ges on de l entreprise; notre responsabilité consiste à exprimer une opinion sur ces états nanciers en nous fondant sur nos audits. Nous avons e ectué nos audits de ces états nanciers, conformément aux normes de véri ca on généralement reconnues qui exigent de plani er et réaliser l audit pour obtenir une assurance raisonnable que les états nanciers sont exempts d anomalies importantes. Un audit consiste à examiner, sur la base d un contrôle, les éléments probants jus ant les montants et les informa ons gurant dans les états nanciers; en outre, il sert à évaluer les principes comptables suivis et les es ma ons importantes faites par la direc on, et à évaluer la présenta on d ensemble des états nanciers. Nous es mons que nos audits fournissent une base raisonnable pour l opinion exprimée ci-dessus. Joseph PAILLANT, FCPAH BucoFisc Primes Emises 283, , ,044 Primes Ne es 259, , ,953 Charge de sinistre (450,858) (110,496) (180,600) Frais d Acquisi on (44,759) (57,159) (73,985) Pro t technique (235,926) 178, ,368 Frais d Exploita on (36,889) (102,971) (114,799) Pro t, avant autres revenus et taxes (272,815) 75,500 96,569 Autre Revenu (Dépenses) (25,127) 99,426 14,783 Pro t avant impôts et taxes (297,942) 174, ,352 Taxes - (16,868) (33,037) Pro t Net (297,942) 158,058 78,315 Bilan La posi on de capital de la Société, renforcée plus loin avec un capital total (avoir des ac onnaires et de es subordonnées) au 30 septembre 2012 de plus de HTG 304 millions, dépasse largement les normes interna onales d adéqua on de capital. Cela permet aussi à La AIC de prendre en charge des a aires supplémentaires a n de lui perme re de fournir une couverture pour divers risques d assurance Ac fs En caisse 35, , ,767 Total ac fs à court terme 127, , ,612 Total ac fs à long terme 148, , ,356 Autres ac fs 3,236 2,224 3,282 Total ac fs 314, , ,017 Passifs Réserves Techniques 326, , ,077 Autres passifs à court terme 172, , ,420 Total Passifs à long terme 63, , ,284 Total passifs 561, , , Revenus Les primes émises par La AIC ont augmenté de plus de 30% par an au cours des cinq dernières années, et elles génèrent aujourd hui plus de HTG 625 millions en primes et couvrent plus de HTG 1,701 milliards (tous les portefeuilles combinés) de pertes poten elles en Haï. Le portefeuille de la Société est 28% pour l assurance vie et 72% pour les produits non-vie (qui ne sont pas rela fs à l assurance vie). Certains secteurs d ac vité, tels que l assurance funéraire (Protecta), se développent rapidement et assurent un grand nombre de personnes aux niveaux de revenu inférieurs. 72 % Portefeuille de La AIC 28 % Vie & Santé (assurance) 28% Non-Vie (assurance) 72% Capitaux propres (247,277) (83,376) 162,236 Total passifs et capitaux propres 314, , ,017 Ven la on générale des primes de La AIC,

19 Pertes et dépenses Depuis sa créa on, La AIC a payé plus de HTG 1,563 milliards en réclama ons. Pendant l année 2010 seulement, La AIC a payé toutes les réclama ons liées au séisme aux par culiers et aux entreprises pour les pertes en vie humaines et les pertes en biens s élevant à plus de HTG 720 millions. Ce e expérience a permis à La AIC d avoir une meilleure provision pour les pertes futures et de con nuer à gérer son bilan de façon conservatrice. Par conséquent les pertes con nuent à être sous contrôle, et le ra o de sinistre reste inférieur à 40%. Et malgré une concurrence croissante et des pressions in a onnistes, les dépenses d acquisi on et d exploita on con nuent à demeurer sous contrôle. Pro t net AIC a réalisé une marge ne e avant impôt supérieure à 20% avec un rendement sur la moyenne des ac fs de plus de 15%. RATIOS CLES % Réclama ons payées 100% 100% 100% Performance Rendement sur la moyenne des ac fs (100%) 40% 15% Performance de souscrip on Ra o de sinistralité 174% 32% 39% Ra o de dépense 13% 21% 18% Ra o des frais d acquisi on 17% 17% 16% Ra o Combiné 204% 69% 73% Pour , La AIC a représenté 64% des taxes payées par les compagnies d assurances privées et 31% lorsque les secteurs privé et public d assurance sont combinés. (Source: liste des 100 plus grands payeurs d impôts de la DGI). 36 % AIC 64% 64 % AIC 31% Secteur Privé (Assurance) 18 % Secteur Public (Assurance) 51 % Secteur Privé (Assurance) 36% 2012 Ra o Combiné AIC 73% Pourcentage de réclama ons payées par La AIC pendant les 3 dernières années 100% 51 % 18 % 31 % Croissance de La AIC dans chacune des 2 dernières années 35% 36 37

20 Indicateurs Sociaux Rony Jaques est propriétaire de l Atelier Le Palmier à Noailles, Croix des Bouquets, où il crée des pièces uniques de travail en métal qui sont vendues dans le monde en er. Jaques conseille et entraîne une équipe d ar sans et son espoir est d avoir une entreprise durable qui emploiera un plus grand nombre de membres de sa communauté. AIC est ère de soutenir son e ort en lui con ant la mission de concevoir et d élaborer une œuvre d art symbolisant sa vision pour aider les haï ens à construire un let de sécurité et protéger leur bien-être. Rony a u lisé de l acier recyclé provenant de barils de pétrole usés pour créer une pièce unique. A La AIC nos résultats re ètent non seulement notre performance nancière, mais aussi notre contribu on au développement social durable de notre pays. Conformément à notre vision de rendre l assurance accessible à toutes les couches de la popula on, nous présentons ici nos résultats sociaux pour En 2012, La AIC a recueilli ces données pour ses portefeuilles sa santé, vie, micro-assurance et Protecta. Au cours de l année écoulée, La AIC a présenté les conclusions suivantes: Dans ses portefeuilles vie, santé, Protecta et micro-assurance, La AIC compte clients à faible revenu. Dans ses portefeuilles vie, santé, Protecta, et micro-assurance, les femmes représentent 44% de la clientèle de La AIC. Dans ses portefeuilles Protecta et micro-assurance, 36% des clients de La AIC sont localisés en dehors du Département de l Ouest. Produit Nombre de Polices /Prime < $250 USD (faible revenu*) Vie Santé 8,233(**) 10,820(**) Funéraire 6,704 3,158 2,815 Micro-assurance 51,655 51,448 50,695 Commerciale Résidences Automobile TOTAL 67,021 65,885 53, Femmes Assurées Clients Clients Ruraux (Clients en-dehors de PAP) *En u lisant l ac vité liée aux primes comme point de référence, La AIC présume que toute personne qui génère une prime allant jusqu à $250 USD par année est considérée comme une personne à faible revenu. Ce calcul est basé sur l hypothèse qu un maximum de 5% du revenu est consacré par mois à l assurance et le revenu mensuel maximal est juste au-dessus de $400 USD par mois. ** Les données indiquées pour le produit Santé sont basées sur l assuré principal.

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