Recommandations pratiques et procédures de prise en charge et de contrôle de la rougeole dans le canton de Genève

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1 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'emploi, des affaires sociales et de la santé Direction générale de la santé Service du médecin cantonal Protocole d intervention Recommandations pratiques et procédures de prise en charge et de contrôle de la rougeole dans le canton de Genève Genève - direction générale de la santé - Service du médecin cantonal Etat : mai 2014 Direction générale de la santé Avenue de Beau-Séjour Genève Tél. +41 (0) Fax +41 (0)

2 Page : 2/24 Rédaction: Dresse Elisabeth Delaporte, Direction générale de la santé Avec la participation de: Mme Brigitte Le Lin, Direction générale de la santé Mme Martine Girard, Direction générale de la santé Dr Philippe Sudre, Direction générale de la santé Dr Stéphane Hugonnet, Service prévention et contrôle de l'infection, Hôpital cantonal universitaire de Genève Dr Hugo Sax, Service prévention et contrôle de l'infection, Hôpital cantonal universitaire de Genève Dresse Claire-Anne Wyler, Service santé de la jeunesse Dr Jean-Luc Richard, Office fédéral de la santé publique

3 Page : 3/24 TABLE DES MATIÈRES 1 INTRODUCTION DÉFINITIONS ET DIAGNOSTIC Cas clinique Cas confirmé Cas contacts Personnes susceptibles Présentation clinique Période d incubation (intervalle entre exposition et symptômes) Période de contagiosité Mode de transmission Phase d invasion Éruption Rougeole modifiée Complications Rougeole post-vaccinale Examens biologiques Sérologie IgM Sérologie IgG IgM salivaires PCR après transcription inverse (RT-PCR : Reverse Transcription - Polymerase Chain Reaction) Culture INVESTIGATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE Déclaration du cas Investigation auprès du médecin Investigation auprès du malade (ou du malade présumé) Identification des contacts MESURES A PRENDRE EN PRÉSENCE D UN CAS CONFIRME DE ROUGEOLE But de la mesure Recommandations lors d'un cas de rougeole confirmé Isolement du malade Identification des contacts Prise en charge des contacts Caractéristiques des contacts Milieux spécifiques... 18

4 Page : 4/24 1 INTRODUCTION La Région européenne de l Organisation mondiale de la santé (OMS) dont la Suisse est membre s est fixé pour but d éliminer la rougeole en Europe d ici Pour y parvenir, deux conditions sont nécessaires: 1) au moins 95% des jeunes enfants doivent être vaccinés avec deux doses auquel s'ajoutent des vaccinations de rattrapage (2 doses) pour les enfants, adolescents et jeunes adultes 2) une concertation intercantonale et internationale (vaccination, surveillance, intervention) doit être mise en œuvre. Afin d éliminer la rougeole de Suisse, l Office fédéral de la santé publique (OFSP) a élaboré en étroite collaboration avec les cantons ainsi que d autres partenaires et acteurs du domaine de la santé la Stratégie nationale d élimination de la rougeole Cette stratégie prévoit, aux niveaux cantonal et national, des mesures afin d atteindre la couverture vaccinale visée, ainsi qu une harmonisation des mesures de lutte contre la rougeole et les flambées de rougeole. L'OFSP a ainsi publié en avril 2013 des Directives de lutte contre la rougeole et les flambées de rougeole ( La stratégie cantonale définit les objectifs visant à limiter voire empêcher la survenue et l'extension de flambées locales. Les plus importantes sont décrites ci-après. Le premier objectif a pour but de renforcer la couverture vaccinale et la surveillance de la rougeole. Aussi longtemps que subsisteront des poches de populations non ou partiellement vaccinées, la population restera exposée à des flambées locales, suite à l'importation de rougeole. Mais ces flambées resteront limitées si l on maintient une couverture vaccinale suffisante dans la population et si des mesures rapides de contrôle sont mises en place. Le second objectif est le contrôle épidémique avec une approche d investigation intensive menée pour chaque cas de rougeole (un cas = une alerte). La confirmation du diagnostic est essentielle pour tous les cas cliniques isolés. La prise en charge des contacts repose prioritairement sur les personnes à risque et sur les fratries non vaccinées des cas. Les autres contacts exposés sont informés et encouragés à mettre à jour leur vaccination. Ces mesures visent à protéger les personnes qui présentent un risque accru de complications, soit les bébés de moins d'un an qui sont trop jeunes pour avoir eu leur première dose de vaccin, les personnes immunosupprimées et les femmes enceintes susceptibles. Ces mesures visent également à limiter la propagation du virus dans les crèches et les écoles par les frères et sœurs des cas. Enfin, l information rapide des parents, des médecins et du public est primordiale pour pouvoir enrayer rapidement les flambées de rougeole. La coordination avec l'ofsp et les cantons constitue le troisième et dernier objectif de la stratégie cantonale. Ce document élaboré dans sa première version en 2008 a pour objectif de proposer des recommandations pratiques de prise en charge et de contrôle de la rougeole. Il est destiné aux professionnels de la santé de la DGS ainsi qu'aux médecins cliniciens (généraliste, pédiatres.) et autres institutions impliquées dans la prise en charge de cas de rougeole (service santé de la jeunesse, HUG, service santé de l'etat). Ce document, après un bref rappel sur la définition et le diagnostic clinique et biologique de la maladie, décrit les procédures de déclaration des cas puis les mesures à prendre autour du malade et autour des contacts.

5 Page : 5/24 2 DÉFINITIONS ET DIAGNOSTIC Symptômes: Incubation: Contagiosité: Diagnostic: Fièvre + éruption + toux ou rhinite ou conjonctivite 7-18 jours (moyenne 10 jours) - 4 jours avant rash à + 4 jours après rash Sérologie IgM positif: après apparition rash (3j) PCR oropharyngé / salivaire positive: dès début des symptômes 2.1 Cas clinique Un cas clinique a1 est défini par la présence des manifestations suivantes : 1. fièvre et 2. éruption maculo-papuleuse et 3. toux ou rhinite ou conjonctivite 2.2 Cas confirmé Un cas confirmé biologiquement est défini par la présence des résultats suivants : 1. détection sérologique d'igm spécifiques de la rougeole ou 2. séroconversion ou élévation de quatre fois au moins du titre des IgG contre le virus de la rougeole entre la phase aiguë et la phase de convalescence (intervalle jours) ou 3. détection des IgM spécifiques sur échantillon salivaire ou 4. détection du virus par PCR sur prélèvement sanguin, oropharyngé, salivaire ou urinaire ou 5. culture positive du virus de la rougeole sur prélèvement sanguin, rhino-pharyngé, salivaire ou urinaire 6. détection d'ag sur frottis oropharyngé OU Un cas confirmé épidémiologiquement est défini par la présence d un cas clinique appartenant à une chaîne de transmission dont un cas au moins est confirmé biologiquement. 2.3 Cas contacts Un cas contact est une personne exposée à un cas clinique, biologique ou épidémiologique pendant sa période de contagiosité (de 1 jour avant le début des symptômes ou 4 jours avant le rash à 4 jours après le début du rash). Par exposition, on entend la présence physique durant une courte période de temps b (pas d'information précise dans la littérature) ou dans un espace confiné moins de 2 heures après le passage du cas 2. En outre, seuls les cas contacts non immuns sont considérés comme à risque de rougeole (voir point 2.4) a Définition de cas de la rougeole utilisée pour la surveillance nationale (OFSP). b La transmission par voie aérienne est rapide et le seul fait d'avoir partagé un même espace durant une courte période peut suffire pour avoir été infecté.

6 Page : 6/24 Sont définis comme contacts : Entourage familial Entourage privé Maman de jour Crèche (et autres structures de la petite enfance) Ecoles Entourage professionnel Lieux de consultation Autres (voyages, associations, réunions) les personnes vivant dans le même ménage en particulier les parents et la fratrie (conjoint, colocataires). les amis / proches fréquentés. les enfants et adultes exposés au domicile de garde de l enfant, les personnes vivant sous le même toit. le personnel et les enfants du même groupe, voire toute la crèche**. le personnel et les élèves de la classe, voire toute l'école**. les personnes partageant les mêmes locaux de travail aux mêmes heures; les patients et soignants dans les salles d'attente des cabinets de médecins, des centres hospitaliers, services d'urgence, etc. les passagers de voiture, avions, les personnes qui font partie d une équipe sportive, associative* etc. * Evaluation du risque en fonction du type de contact (par exemple risque lieu confiné > plein air) ** A évaluer au cas par cas 2.4 Personnes susceptibles Sont considérés comme des personnes susceptibles, les individus qui ne sont pas protégés contre la rougeole par une vaccination complète (2 doses), ou maladie antérieure, ou une preuve sérologique d'immunité. Sont considérés comme immuns, les adultes: Nés < 1964 (probablement infectés pendant l'enfance); Avec la preuve de 2 doses de vaccin ROR (ou rougeole) administrés avec au minimum un mois d intervalle; Avec une sérologie démontrant la présence d IgG contre la rougeole; Avec une anamnèse de rougeole confirmée par un médecin; Ces personnes sont exemptes de vaccination. Une anamnèse de rougeole par le patient ou sa famille ne constitue pas une preuve d immunité. Une vaccination complète avec 2 doses est particulièrement recommandée chez le personnel médical et paramédical et les personnes travaillant avec des enfants.

7 Page : 7/ Présentation clinique Période d'incubation (7-18 jours avant les prodromes) Prodromes (env 3 jours) Eruption (env 4-7 jours) Période de contagiosité Jour zéro = apparition de l'éruption Période d incubation (intervalle entre exposition et symptômes) De 7 à 18 jours avant l'apparition des premiers symptômes. De 14 a 21 jours au maximum avant l apparition de l exanthème Période de contagiosité Un jour avant l apparition des premiers symptômes ou 4 jours avant jusqu'à 4 jours après le début de l'éruption Mode de transmission Maladie très contagieuse c parce que la transmission s effectue principalement par aérosols (particules infectieuses 5 µm, capables de rester en suspension dans l'air et d'être inhalées) jusqu'à deux heures après la suppression de la source d'infection Phase d invasion Fièvre d au moins 38 ºC; Toux; Rhinite ; Conjonctivite avec larmoiement excessif et photophobie; Taches de Koplik (pathognomonique): semis de petits points blancs sur la face interne des joues apparaissant peu avant l éruption. c Le taux d attaque secondaire parmi les personnes susceptibles est supérieur à 90%. En communauté non immune, chaque cas de rougeole provoque cas secondaires.

8 Page : 8/24 Figure 1: Évolution des manifestations cliniques au cours de la rougeole Source: OMS; Éruption Éruption maculo-papuleuse généralisée; Débute trois à cinq jours après le début des symptômes; Débute derrière les oreilles et sur le visage, puis s'étend au tronc et aux membres; L éruption dure 4-7 jours, mais au moins 3 jours Rougeole modifiée Il s agit d une rougeole atténuée chez des personnes avec une immunité partielle (bébés de moins de 6 mois qui ont encore des anticorps maternels, personnes ayant mal répondu à une seule dose de vaccin, voire à deux). Les symptômes sont moins intenses qu avec une rougeole typique et l éruption peut être absente. La période d incubation peut être prolongée (21 jours) Complications Les complications les plus fréquentes sont l'otite moyenne (7-9%) et la bronchopneumonie (1-6%) d. La pneumonie conduit fréquemment à une hospitalisation, surtout chez les adultes. L'incidence de l'encéphalite est de 0.5-1/1000 cas. Elle peut laisser des séquelles neurologiques ou entraîner le décès. Une panencéphalite subaiguë sclérosante ( /1000 cas) peut survenir en moyenne 7 ans (1 mois - 27 ans) après l'infection. Elle est toujours létale. Dans les pays industrialisés, la létalité de la rougeole est de /1000 cas de rougeole déclarés Rougeole post-vaccinale Il ne s'agit pas d'une rougeole à proprement parlé mais de la survenue 7 à 12 jours après une dose de vaccins de signes / symptômes de rougeole. Cette présentation est rare (2% des vaccinations) 1 mais plus fréquente après la 1 ère dose qu'après la seconde dose de vaccin. Elle d A Genève, 7% des 54 cas ont été hospitalisés en 2003 et 23% des 43 cas en 2007, les pneumonies ont concerné 9% et 12% des malades respectivement et les otites moyennes aiguës 0% et 7% des cas. Aucune encéphalite n'a été rapportée. Au niveau suisse nov janv. 2008: 8.2% d'hospitalisations, 4.7% de pneumonies, 4.9% d'otites et 0.3% d'encéphalites (8 cas) parmi un total de 2740 cas avec une déclaration complémentaire.

9 Page : 9/24 consiste en une fièvre de 39.4 chez 5-15% des cas et un rash d'une durée de 2 jours chez 5% des cas. En principe les tâches de Koplik sont absentes Examens biologiques Toute suspicion de rougeole doit être confirmée rapidement à moins d'avoir un lien épidémiologique connu avec un cas confirmé e. En cas de refus du patient ou de la famille, le médecin cantonal délégué peut imposer une analyse de laboratoire en application de la loi fédérale sur les épidémies (K1 15) article 2 alinéa 1 f. Figure 2: Réponse en anticorps à l'infection par le virus rougeoleux Source: OMS, Sérologie IgM Les IgM spécifiques sont négatifs pendant la phase prodromale de la rougeole. Ils apparaissent dès les premiers jours de l éruption mais ils sont le plus souvent positifs entre 3 et 28 jours après l'éruption (pic à 7-10 jours). Après une vaccination contre la rougeole, les tests sérologiques ne permettent pas de faire la distinction entre les IgM produites par le virus vaccinal et celles produites par le virus sauvage. Le diagnostic repose sur l isolement du virus par PCR ou culture Sérologie IgG Les anticorps IgG spécifiques apparaissent à peu près en même temps que les IgM (pic à 2 semaines). La sérologie IgG est indiquée pour la recherche d'une immunité ancienne ou d'une séronconversion lorsque la sérologie IgM effectuée dans les trois premiers jours après e La baisse de l incidence de la maladie entraîne automatiquement une diminution de la valeur prédictive positive de la définition d un cas clinique (pourcentage de cas diagnostiqués comme rougeole qui sont véritablement des rougeoles). f Cette mesure est exceptionnelle. Elle ne peut être prise que sous certaines conditions, en particulier l'information du patient et la nécessité / faisabilité des mesures préventives en cas de test prositif. Un adolescent dès 12 ans est considéré comme ayant sa capacité de discernement et la décision d autorité lui est adressée directement (commun. personnelle Prof. Harding, sept 2007)

10 Page : 10/24 l apparition de l éruption est négative et que le cas répond à la définition de cas clinique (point 2.1). Le diagnostic sérologique de la rougeole repose ainsi sur la présence d IgM spécifiques et/ou sur la séroconversion ou l ascension (multiplication par 4 des titres) des IgG entre la phase aiguë (sérum prélevé dans les 7 jours qui suivent le début de l éruption) et la phase de convalescence (sérum prélevé 10 à 20 jours après le premier) IgM salivaires Les IgM sont présents dans la salive à peu près en même temps que dans le sang. Le séquençage viral n'est pas possible avec ce type d analyse PCR après transcription inverse (RT-PCR : Reverse Transcription - Polymerase Chain Reaction) La détection du virus par RT-PCR 4 permet de poser un diagnostic précoce dès le début des symptômes et jusqu à 2 semaines après le début des symptômes. Ce test peut s'effectuer aussi bien avec un échantillon de salive qu avec un frottis oropharyngé. Le séquençage du virus aide à établir l'origine de l'infection (rougeole importée ou liée à une importation) et à identifier et à confirmer les chaînes de transmission 2. Les échantillons positifs en RT-PCR au LCV sont analysés à la demande de l'ofsp ou de la DGS Culture L isolement du virus de la rougeole en culture n est pas pratiqué en diagnostic de routine. Tableau 1 : Période de positivité des examens biologiques Source: OFSP 4

11 Page : 11/24 3 INVESTIGATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE L investigation épidémiologique menée par la Direction générale de la santé (DGS) en collaboration avec le médecin clinicien en charge du patient et le Service santé de la jeunesse (SSEJ) lorsque le cas concerne un enfant, vise à 1) confirmer le cas, 2) déterminer la source de contamination et 3) identifier les contacts susceptibles qui peuvent bénéficier d une intervention. Il convient d'initier l'enquête d'entourage avant la réception de la confirmation biologique, surtout en cas de suspicion élevée (liste des contacts d'un malade présumé). 3.1 Déclaration du cas La rougeole est une maladie à fort potentiel épidémique qui nécessite une intervention urgente (notamment des mesures vaccinales et d isolement). Tous les cas cliniques ou confirmés de rougeole doivent être déclarés à la Direction générale de la santé (DGS) et à l Office fédérale de la santé publique (OFSP) dans un délai de 24 heures (lien: La déclaration peut se faire par courrier, fax ou par téléphone ( ou ) et en dehors des heures d ouverture des bureaux via le urgence santé. Les médecins doivent déclarer le cas par l'envoi de la déclaration initiale et/ou la déclaration complémentaire à la DGS qui la vise et la transmet à l OFSP. Les laboratoires doivent déclarer le cas par l'envoi de la déclaration de laboratoire à la DGS et à l OFSP. Lorsque le malade est un enfant scolarisé ou fréquentant une crèche, le médecin doit informer simultanément la DGS et le SSEJ ( ). 3.2 Investigation auprès du médecin Au début de l'investigation, il faut vérifier le diagnostic auprès du médecin qui a vu le malade et s assurer qu une analyse de laboratoire a été demandée lorsque ce malade n'a pas de lien épidémiologique avec un cas confirmé par laboratoire (IgM spécifiques, PCR). Rappeler au médecin qu il doit prendre les mesures nécessaires pour éviter que le cas ne contamine d'autres personnes Le médecin devrait contrôler le statut vaccinal des autres membres de la famille du patient, et recommander la vaccination si nécessaire. Il devrait également vérifier la liste et l'information des patients ayant séjourné dans la salle d'attente et le cabinet en même temps et 2h après le patient (voir point 4). Une fiche de renseignements figure dans l'annexe 1 comme aide à la récolte des informations utiles à l'investigation. 3.3 Investigation auprès du malade (ou du malade présumé) L enquête auprès du malade (ou malade présumé) consiste à : recueillir l'information permettant de vérifier la définition de cas (cas clinique ou confirmé, points 2.1 et point 2.2);

12 Page : 12/24 vérifier s'il s'agit d'un cas lié épidémiologiquement avec un cas confirmé en laboratoire ou s il survient suite à un voyage récent dans une région où sévit la rougeole; vérifier le statut vaccinal du malade. Une fiche de renseignements figure dans l'annexe 1 comme aide à la récolte des informations utiles à l'investigation. 3.4 Identification des contacts Lorsque le diagnostic est très probable (malade présumé) ou qu'il est confirmé, la DGS identifie les personnes contacts selon la définition donnée au point 2.3. Toutes les informations connues telles que l âge, le statut vaccinal, l appartenance à une catégorie à risque (nourrissons de moins de un an, femmes enceintes susceptibles et personnes immunosupprimées) ou à une catégorie professionnelle à risque (professionnel de la santé ou contact avec des enfants) ainsi que la date du contact doivent être notées. Une fiche de renseignements sur les contacts figure dans l annexe 2 comme aide à l'identification et au suivi des contacts.

13 Page : 13/24 4 MESURES A PRENDRE EN PRÉSENCE D UN CAS CONFIRME DE ROUGEOLE 4.1 But des mesures La vaccination des petits enfants avec deux doses de vaccin (1 ère dose à 12 mois et 2 e dose à mois) constitue la meilleure prévention contre les épidémies. Aussi longtemps qu une bonne couverture vaccinale sera maintenue à Genève, le risque d épidémie demeurera relativement faible. Mais des flambées de petite taille pourront continuer à survenir, surtout chez les jeunes adultes ou les regroupements de personnes non vaccinées (famille, école), de même que dans les communautés où la couverture vaccinale est faible. La mesure prioritaire, suite à l'apparition d'un cas de rougeole, vise à protéger les contacts qui ne peuvent pas recevoir une vaccination ou qui sont à risque élevé de complications. L'investigation vise donc à identifier ces personnes pour leur offrir rapidement la protection optimale (immunoglobulines ou vaccin). L'autre mesure importante vise à éviter la propagation du virus dans les établissements fréquentés par les frères et sœurs d'un cas, au moyen d'une éviction préventive. Enfin, les mesures visent à éviter que d'autres personnes ne soient contaminées en particulier, par l'isolement du cas, et la vaccination post-exposition des personnes-contacts non immunes travaillant dans la santé ou en contact avec des enfants. En cas de survenue d'un cas, ces mesures sont d'autant plus efficaces qu'elles sont mises en œuvre ou au moins initiées en urgence, le plus vite possible, dans les 24 heures qui suivent le diagnostic. 4.2 Recommandations lors d'un cas de rougeole confirmé La figure 3 (page 14) résume de manière schématique la prise en charge d'un cas de rougeole et des contacts qui résident dans le canton. Pour le malade et/ou les contacts résidant dans un autre canton, le médecin cantonal du canton de résidence du malade ou/et des contacts est immédiatement informé par la DGS et est responsable de la prise en charge du suivi du cas et/ou des contacts. Si le médecin cantonal ne peut être atteint directement en urgences, le médecin de piquet peut être joint via le Isolement du malade Le malade doit être exclu de la crèche, de l'école ou du milieu professionnel jusqu'à la fin de la période de contagiosité, soit quatre jours après le début de l'éruption. Recommander le port du masque g pour le malade en cas de sortie indispensable durant la période de contagiosité (par exemple pour aller consulter un médecin). g Dans l'idéal, il convient d'utiliser un masque FFP". Un masque chirurgical est une alternative envisageable par défaut mais beaucoup moins efficace.

14 Page : 14/ Identification des contacts Dans la liste des contacts établie au point 2.3, identifier prioritairement les bébés de moins de un an, les femmes enceintes susceptibles et les personnes immunosupprimées. Identifier les autres personnes susceptibles selon la définition donnée au point 2.4, en particulier celles travaillant dans le domaine de la santé ou en contact avec des enfants. Figure 3: Algorithme de prise en charge d'un cas de rougeole et des contacts Cas clinique de rougeole DGS Prise en charge du cas Déclaration cas DGS < 24h SSJ Annonce cas au SSJ si cas = enfant crèche/école labo DGS/médecin SSJ Sérologie IgM /PCR Ou lien épidémiologique Isolement du cas 4 j après rash NON Identifier tous les contacts (4 j avant 4 j après rash) Contacts susceptibles? DGS/médecin DGS OUI médecin Eviction scolaire frères et sœurs non immuns SSJ Vérifier carnets vaccin Lettre info aux parents d'élèves de classe/école Information Bébé < 6m** F enceinte sip* Immunosupprimés Pers sip nés > 1963 Pers. < 2 d ROR Bébé 6m < 12m non vaccinés** Contact avec cas 6j Contact avec cas < 72h Contact avec cas 72h-6j Dosage IgG rougeole IgG + IgG - *sip: sans immunité prouvée **voir figure 4 Aucune mesure Immunoglobulines** + vaccin ROR après délai min de 6m (dès 9m) Vaccin ROR Immunoglobulines** Prise en charge des contacts La prise en charge variera selon les caractéristiques des personnes ayant eu un contact avec le cas confirmé et le milieu dans lequel elles se trouvent. Des mesures particulières pourraient s'avérer nécessaires dans les milieux où la couverture vaccinale serait faible, telles que la vaccination rapide du plus grand nombre de susceptibles (campagne de masse). Une vaccination dans les 72 heures suivant l'exposition est recommandée, car elle peut conférer une protection totale ou partielle. En cas d'exposition intrafamiliale, la première dose peut être administrée aux enfants dès l'âge de 6 mois. Une seconde dose entre 12 et 15 mois (avec un

15 Page : 15/24 intervalle d'au moins 1 mois entre les deux doses) complète alors la vaccination ROR. La vaccination d une personne éventuellement immune ou en cours d incubation ne fait courir aucun risque particulier. L'immunisation passive par des immunoglobulines standard est recommandée dans un délai de 6 jours après l'exposition pour les contacts particulièrement à risque (bébés non immuns de < 6 mois, personnes immunodéprimées, femmes enceintes non immunes) (figure 3 et point ). Elle est également à envisager pour les enfants de 6 à 11 mois pour lesquels une vaccination post-expositionnelle n'est plus possible (entre 72 heures et 6 jours). Ces situations relèvent cependant de la consultation spécialisée d'infectiologie pédiatrique. Suite à l administration d immunoglobulines, la vaccination pourra être mise à jour après un délai minimum de 6 mois, à moins d une contre-indication vaccinale. S'il apparaît un ou des symptômes compatibles avec la rougeole chez les contacts, les référer rapidement à leur médecin en les prévenant auparavant pour éviter d'exposer d'autres patients au virus. Il peut s'avérer utile de rappeler les contacts ultérieurement pour noter la survenue de symptômes (particulièrement les fratries pour lesquelles une consultation chez les médecins n'a pas toujours lieu).

16 Page : 16/24 Figure 4: Algorithme de prise en charge d'un enfant non vacciné en contact avec un cas (source: article Rev.Méd.Suisse, HUG pédiatrie, 2008) Délai < 7 jours IgG + IgM - Ac maternels Vaccin ROR dès 9-12 mois Age < 6 mois Dosage IgM / IgG Anti-rougeole IgG - IgM - IgM+ Absence d immunité Rougeole confirmée Ig 0.4 g/kg Vaccin ROR après un délai minimum de 6 mois (dès 9 mois) Hospitaliser selon la clinique Pas de vaccin ni d Ig Contact avec rougeole Délai 7 jours IgM- Absence d immunité incubation possible* Vaccin ROR dès l âge de 6 mois, au minimum 3 semaines après le contact 2 ème dose entre 12 et 15 mois, au plus tôt 1 mois après la 1 ère dose Délai < 72 h Absence d immunité présumée Vaccin ROR immédiat et rappel à 12 mois, au plus tôt 1 mois après la 1 ère dose Age 6 mois Délai 72 h à <7 jours < 12 mois non vacciné Absence d immunité présumée Ig 0.4 g/kg + Vaccin ROR après un délai minimum de 6 mois, puis rappel au plus tôt 1 mois après la 1 ère dose 12 mois non vacciné Absence d immunité présumée Vaccin ROR après un délai de 3 semaines minimum Délai 7 jours Dosage IgM / IgG Anti- Rougeole IgM+ Rougeole confirmée Hospitaliser selon la clinique Pas de vaccin ni d Ig IgM- Absence d immunit Vaccin ROR après un délai de 3 semaines minimum incubation possible *Au-delà de 7 jours après le contact avec un cas de rougeole, l efficacité des immunoglobulines n est plus prouvée.

17 Page : 17/ Caractéristiques des contacts Bébé de moins de six mois Un enfant de moins de six mois en contact avec un cas de rougeole confirmé, devra bénéficier d un dosage des IgG contre la rougeole pour vérifier la présence d anticorps maternels protecteurs. En cas de sérologie IgG négative, il devra recevoir des immunoglobulines si le délai 6 jours après le premier contact avec le cas. Au-delà de 6 jours, aucune mesure n'est efficace. Bébé entre six et douze mois Un enfant entre six et douze mois, non vacciné, en contact avec un cas de rougeole confirmé, devra recevoir le vaccin contre la rougeole (ROR) si le délai est <72 heures après le contact avec le cas et des immunoglobulines si le délai est de 72 heures à 6 jours. Femme enceinte h Une femme enceinte en contact avec un cas de rougeole confirmé et qui n a aucune preuve d immunité, devrait bénéficier d un dosage des IgG contre la rougeole en urgence. En cas de sérologie IgG négative ou d'attente du résultat, elle devra recevoir des immunoglobulines si le délai est 6 jours après le contact. Personne immunosupprimée Une personne immunosupprimée (même si elle a déjà été complètement vaccinée) en contact avec un cas de rougeole confirmé devra recevoir des immunoglobulines dans un délai 6 jours après le premier contact avec le cas. Personne non ou incomplètement vaccinée (1 dose) et non immune travaillant dans le domaine de la santé ou en contact avec des enfants Toutes les personnes travaillant dans le domaine de la santé ou en contact avec des enfants devraient être vaccinées (2 doses) ou immunes. Si elles sont non ou incomplètement vaccinées ou non immunes, une vaccination post-exposition dans les 72 heures qui suivent le premier contact est vivement recommandée pour empêcher la transmission à des patients et des enfants. h Le vaccin ne devrait pas être administré aux femmes enceintes, mais aucun effet tératogène n a été rapporté chez les bébés de femmes vaccinées par inadvertance durant la grossesse au moyen du vaccin ROR. Les femmes non enceintes en âge de procréer devraient bénéficier d'un contrôle systématique du statut vaccinal ROR lors de la première consultation gynécologique avec rattrapage des vaccinations manquantes (seules les vaccinations documentées sont prises en compte).

18 Page : 18/24 Autres contacts Pour les autres contacts (hors milieux spécifiques, point ), lorsque le délai d'intervention est dépassé, la seule mesure consistera généralement à aviser les personnes. Cette information peut se faire par lettre si la situation le permet, ou en demandant à l entourage du malade de téléphoner aux contacts proches, qu'il y a eu contact avec un cas de rougeole confirmé et que chaque personne, sans preuve d'immunité, est encouragée à mettre à jour sa vaccination contre la rougeole le plus tôt possible Milieux spécifiques Crèches et écoles Le Service santé de l'enfance et de la jeunesse (SSEJ) est responsable de la mise en oeuvre des mesures de prévention lorsque les contacts concernent des enfants fréquentant une crèche (ou autre institution de la petite enfance) ou une école (à l exclusion des HES et de l université i ). Le SSEJ se coordonne avec le médecin cantonal délégué pour l'application de ces mesures. Compte tenu du nombre élevé de personnes potentiellement concernées et de la faible valeur prédictive positive du diagnostic clinique, les mesures suivantes ne sont prises que si le cas est confirmé (biologiquement ou épidémiologiquement avec un cas confirmé biologiquement). Une éviction (école / crèche) des frères et soeurs et autres enfants, non immuns, vivant dans le même foyer que le cas est requise par la DGS en accord avec le SSEJ. La base légale de cette décision découle de la loi fédérale sur les épidémies. Cette éviction, visant à empêcher la propagation du virus dans l école ou la crèche fréquentée par ces enfants j est requise durant une période de 21 jours après le dernier contact avec la personne contagieuse (ou du jour de survenue de l exanthème chez le patient) k. Une éviction (école / crèche) des contacts avérés au sein de l'établissement, non immuns et en l'absence d'une vaccination post-expositionnelle dans les 72 heures, est requise par la DGS en accord avec le SSEJ. Cette éviction, visant à empêcher la propagation du virus dans l école ou la crèche est requise durant une période de 21 jours après le dernier contact avec la personne contagieuse. Une éviction ou une quarantaine à domicile est également requise pour les autres contacts nonimmuns et en l'absence d'une vaccination post-expositionnelle dans les 72 heures (collègues, étudiants des universités, des HES, des recrues etc) durant une période de 21 jours après le dernier contact avec la personne contagieuse. Le SSEJ informe la direction de l établissement concerné. Il avise par téléphone les parents des enfants non-vaccinés connus, sur la base des carnets de vaccination enregistrés, de l'importance d'une prise en charge rapide (selon point ). Une lettre d'information est i Lorsqu un cas confirmé concerne un étudiant de l Université ou d une HES, l Antenne Santé de l Université assume le rôle décrit ci-dessus pour le SSEJ. j En raison de la très grande contagiosité du virus et de l importante transmission familiale documentée (43% de transmission familiale en 2003 à Genève). k L éviction est demandée même lorsque le contact a eu une vaccination post-exposition. En effet, la vaccination effectuée dans l entourage familial (fratries non vaccinées) excède généralement les 72 h entre le contage et le diagnostic (généralement posé au moment du rash).

19 Page : 19/24 envoyée à l'ensemble des parents leur recommandant la mise à jour de la vaccination chez leur enfant et la visite chez un pédiatre en cas de symptômes compatibles. Le service de santé du personnel de l Etat, avisé par la DGS ou le SSEJ, informe les membres du personnel de l établissement scolaire l des risques de contamination et émet des recommandations de mise à jour de leurs vaccins. Les pédiatres sont informés par un message d alerte, préparé conjointement par le SSEJ et la DGS, et diffusé via le réseau sentinelle pédiatrique cantonal. Si nécessaire, les autres médecins du canton sont également informés via l'amg. Lieux de consultation et lieux de soin Le malade ou le malade présumé En cas de suspicion de rougeole chez leur patient, les médecins devraient prendre toutes les mesures permettant de réduire le risque de transmission dans la salle d'attente (consultation en fin de journée, pièce séparée, masque). Le personnel en contact Le suivi des membres du personnel exposés est du ressort de l'employeur (médecin ou infirmière d'entreprise s'il existe ou responsable MSST) qui doit être informé de la situation. En cas d'absence d'immunité prouvée et d'un délai > 72 heures ou de refus de la vaccination postexposition, le personnel médical devrait être tenu éloigné des patients aussi longtemps qu il est potentiellement contagieux (interruption du travail entre le 5 ème et le 21 ème jour ou jusqu'au 5 e jour après le début du rash) m. Les patients en contact L identification, la recherche et l information des contacts relèvent de la responsabilité de l institution de soins (y compris cabinet) où a eu lieu l exposition. En cas de situation exceptionnelle, la DGS peut apporter son appui pour l'appel des contacts communautaires. Entourage professionnel La DGS informe le médecin, l'infirmière d entreprise ou le responsable MSST (ou à défaut la direction des ressources humaines) d un cas de rougeole au sein de l entreprise. L identification, la recherche et l information des contacts parmi les employés est du ressort de cette instance. Cette instance demandera le rattrapage vaccinal ou une vaccination postexposition des personnes contacts, sans immunité prouvée, nées après Voyage international Lorsqu'il s'avère que le cas confirmé biologiquement était contagieux durant le trajet (avion ou car), relever les coordonnées précises du vol (compagnie, ligne, date, heure) et informer la l Institutions de la petite enfance exclues (informés par le médecin ou l'infirmière d entreprise (ou à défaut la direction des ressources humaines). m Hugonnet S, Uçkay I et al. Rougeole et plan stratégique institutionnel en cas d épidémie. Swiss-NOSO bull. 2005; 12(1): 5-8.

20 Page : 20/24 division maladies transmissibles de l OFSP qui informera les autorités sanitaires du pays de départ ou d'arrivée si nécessaire..

21 REFERENCES 1. Office fédéral de la santé publique. Prévention de la rougeole, des oreillons et de la rubéole. Directives et recommandations. Juin Delaporte E, Wyler CA, Richard JL et Sudre P. Contribution des fratries non vaccinées à une flambée de rougeole en Suisse. Rev. Epidemiol Santé Publique. 2004; 52(6): Redd SC, Markowitz LE, Katz SL, Measles Vaccine ch 12 pp Office fédéral de la santé publique, Renforcement de la surveillance biologique de la rougeole : nouveaux tests non invasifs et fiables, Bull OFSP 2004; 22 : Office fédéral de la santé publique. ROR et varicelle: Recommandations pour les vaccinations des femmes en âge de procréer contre la rubéole, la rougeole, les oreillons et la varicelle. Directives et recommandations. Février Richard JL, Boubaker K, Doutaz M, Schubiger G. Déclaration obligatoire de la rougeole en Suisse: forte augmentation du nombre de cas au printemps Bulletin des médecins suisses 2003; 27: Office fédéral de la santé publique. Epidémie de rougeole en Suisse: plus de 420 cas depuis novembre Bull OFSP 2007; 33: Vaudaux B, Anderau R, Bouvier P et al. Recommandations romandes et tessinoises d éviction (pré)scolaire pour maladie transmissible. Paediatrica 2005; 16(5): Hugonnet S, Uçkay I et al. Rougeole et plan stratégique institutionnel en cas d épidémie. Swiss-NOSO bull. 2005; 12(1): Golay M, Sudre P. Immunization of 28 months old children in Geneva, Switzerland: trend over a 6-year period, Soz. Praventivmed. 2005; 50(5): Delaporte E, Wyler CA, Richard JL, Sudre P. Outbreak of measles in Geneva, Switzerland, March-April 2007, Eurosurveillance weekly, 2007; 12(5). Direction générale de la santé Avenue de Beau-Séjour Genève Tél. +41 (0) Fax +41 (0)

22 Page : 22/24 ANNEXE 1 : FICHE DE RENSEIGNEMENTS POUR UN CAS DE ROUGEOLE (PROBABLE OU CONFIRMÉ) COMME AIDE POUR L'INVESTIGATEUR Renseignements Réponses Date de l information Nom, fonction et tél. de la personne qui a signalé le cas h Nom et coordonnées du médecin traitant Patient/e Nom et prénom du patient Date de naissance Adresse N de téléphone fixe et mobile Diagnostic Manifestations: Prélèvement: Résultats Evolution Hospitalisation / / date du début des manifestations / / fièvre exanthème et date du début / / toux conjonctivite rhinite autre: Date: / / Matériel: sérum frottis/salive autre IgM spécifiques pos. nég Test génomique pos nég non oui, date d'entrée: -----/-----/----- date de sortie: -----/-----/----- motif: Complications: aucune pneumonie otite moyenne encéphalite autre: Statut vaccinal Vacciné contre rougeole oui, nombre de doses: non inconnu Date de dernière vaccination: -----/-----/-----

23 Page : 23/24 Renseignements Réponses Exposition (dans les 3 semaines avant le début de l'exanthème) Où: Quand: Comment: Contacts (depuis veille des premiers symptômes) Crèche / École Famille Visites/ Amis Travail Lieux de consultations: Activités de loisirs CH lieu: étranger (pays): inconnu Date d'exposition / / Date de départ et de retour en CH si séjour à l'étranger / / inconnu crèche école travail famille amis salle d'attente autre: inconnu Noter les infos sur la liste de contact (annexe 5) Nom et classe: Dernier jour de présence: / / femmes enceintes: bébés 1 an immunosupprimés autres Lieu: Contacts: Nom de l'établissement/ médecin: Date et heure d'arrivée: / / h Date et heure de départ: / / h Quoi: Où : Date:

24 ANNEXE 2 : LISTE DES CONTACTS Page : 24/24

25 Page : 25/24 ANNEXE 3 : ADRESSES ET NUMÉROS DE TÉLÉPHONE UTILES Direction générale de la santé (DGS) Tél: Avenue de Beau-Séjour 22, 1206 Genève Fax: /21 Prof. Jacques-André Romand Tél: jacques-andre.romand@etat.ge.ch Dr Elisabeth Delaporte Tél elisabeth.delaporte@etat.ge.ch Office fédérale de la santé publique (OFSP) Tél Secrétariat Division MT Tél Fax Urgences épidémiques epi@bag.admin.ch Service santé de l'enfance et de la jeunesse (SSEJ) Tél Rue Glacis-de-Rive 11, 1211 Genève 3 Fax Dr Claire-Anne Wyler Lazarevic Tél claire-anne.wyler@etat.ge.ch Antenne Santé Tél Rue De-Candolle 4, 1211 Genève 4 Dr Tiziana Farinelli Ebengo tiziana.farinelli@unige.ch Agence régionale de santé (ARS) (7/7 et 24/24) ARS Ain Fax ars-dt01-alerte@ars.sante.fr ARS Haute-Savoie Fax ars-dt74-alerte@ars.sante.fr

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