LA CONTREBANDE DU TABAC

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA CONTREBANDE DU TABAC"

Transcription

1 LA CONTREBANDE DU TABAC Chaque année, des dizaines de milliards de cigarettes disparaissent dans le lucratif marché noir des produits du tabac. La contrebande et les contrefaçons de produits tabagiques nuisent gravement à la santé publique en sapant les politiques de taxation du tabac, en faisant baisser le prix moyen des cigarettes et en mettant des cigarettes non taxées à la disposition des jeunes et des fumeurs sensibles aux prix, qui sans cela auraient sans doute arrêté. La contrebande de cigarettes permet également à des groupes criminels et terroristes de se financer, de même qu'elle diminue les recettes du gouvernement, c'est-à-dire une importante source de financement des mesures de luttes antitabac et d'autres programmes de santé publique. Comment fonctionne la contrebande La contrebande organisée du tabac implique généralement le détournement sur le marché noir d'importantes cargaisons de cigarettes pendant leur transit. En détournant les cigarettes alors qu'elles se trouvent dans la chaîne de distribution de gros (où elles sont transportées non taxées), les contrebandiers à grande échelle évitent en général toutes les taxes. Beaucoup de gens s'imaginent que la contrebande vient de l'exploitation des différences entre les taxes pratiquées par les pays, mais il ne s'agit là que d'une facette du problème, bien moins rentable pour les contrebandiers. En fait, même si tous les pays pratiquaient exactement les mêmes prix et la même structure de taxes, la contrebande continuerait à la même échelle. Les gagnants et les perdants de la contrebande : le problème des incitations perverses Les origines du problème tiennent dans ce que les pertes qui résultent de la contrebande retombent sur les ministères des finances des différents pays, et non sur les fabricants de tabac ou les grossistes, qui ont la maîtrise du système de distribution. D'un autre côté, les fabricants de tabac et les grossistes gagnent de plusieurs façons grâce à la contrebande: ils engrangent leurs profits lors de la première vente du produit ; la contrebande crée une offre de cigarettes bon marché et fait baisser les prix moyens, ce qui fait croître la demande. Enfin, la contrebande permet aux lobbyistes au service des cigarettiers d'exercer des pressions pour que les taxes sur le tabac baissent sur le marché légal, encore une fois dans le but de susciter une demande plus forte. Les profits tirés de la contrebande de cigarettes sont énormes. D'après les estimations, ce trafic rapporterait autant que celui des drogues illicites ; mais les sanctions infligées pour la contrebande de cigarettes sont bien plus légères. Ces incitations perverses signifient qu'un conteneur de fret de cigarettes d'une valeur de 2 millions de dollars au prix de détail légal peut d'une certaine façon être abandonné au marché noir pendant son transport. L'essentiel de ces pertes de recettes sera pour les ministères des finances des pays dans lesquels le produit finira par être vendu, puisque les cigarettiers et les grossistes tireront profit de ces ventes, qu elles soient effectuées sur le marché noir, ou pas. Il n'y aurait sans doute pas de contrebande si les sociétés productrices de tabac et les grossistes étaient 1400 I Street NW Suite 1200 Washington, DC USA Phone Fax

2 incités à protéger la totalité des 2 millions de dollars de la valeur au détail de la marchandise. En réalité, ils sont poussés à faciliter la contrebande. Les raisons d'être de la contrebande L'industrie du tabac prétend que les taxes élevées sur le tabac sont la principale cause de la contrebande du tabac et que le seul remède serait de les diminuer. Et pourtant, il y a de la contrebande dans toutes les parties du monde, même dans les régions où les taxes sont faibles.2 La réalité est que le prix n'est que l'un des nombreux facteurs qui influent sur le niveau de contrebande. D autres facteurs sont : La complicité de l'industrie du tabac : comme clairement démontré lors des récents procès et grâce à l accès aux documents internes de l industrie du tabac, les cigarettiers ont lourdement trempé dans des opérations de contrebande. Des cadres dirigeants de l'industrie du tabac ont été condamnés pour des délits en relation avec la contrebande à Hong-Kong et au Canada, et une filiale qui appartient dans sa totalité à R.J. Renolds Tobacco Company a plaidé coupable aux charges qui l impliquaient dans le passage en contrebande de cigarettes des États-Unis vers le Canada. En 2003, le gouvernement fédéral canadien a intenté un procès de 1,5 milliards de dollars contre R.J. Reynolds et Japan Tobacco les accusant d avoir comploté pour inonder le marché canadien de cigarettes de contrebande..3 Pendant ce temps, les gouvernements provinciaux de Colombie ont poursuivi Philip Morris en justice invoquant le motif que la société aurait escroqué le gouvernement de milliards de dollars de recettes grâce à un plan complexe de contrebande et de blanchiment d'argent. 4 En janvier 2005, British American Tobacco a dû répondre à de nouvelles accusations selon lesquelles elle aurait participé à une opération de contrebande de plusieurs millions de dollars au Canada 5. Les faiblesses du système de transport : L'absence de moyens de transport de cigarettes plus sûrs lors des échanges internationaux alimente le marché noir en donnant accès aux contrebandiers à une importante offre en cigarettes exemptes de toutes taxes et droits. Les différences de prix de part et d'autre des frontières : Les différences de prix, qui sont un facteur important dans les cas de trafics à la petite semaine, le sont bien moins dans la contrebande organisée à grande échelle de cigarettes en transit. Contrairement à une croyance répandue, la contrebande est assez rare par exemple dans les pays nordiques où les taxes sur les cigarettes sont élevées 6. Les ventes en hors taxes : L'existence d'importants volumes de produits du tabac en hors taxes dans le commerce international ouvre des portes à la contrebande. Le manque de moyens : La plupart des pays ne consacrent pas les moyens nécessaires pour faire appliquer les taxes sur le tabac, jusqu'à ce que surgisse un problème de contrebande. Il est bien plus difficile d'éradiquer les réseaux de contrebande une fois qu'ils sont établis que d adopter des mesures préventives pour empêcher que les réseaux s établissent. Le laxisme dans l'application de la loi et sanctions insuffisantes : Les contrebandiers ont tendance à prospérer dans les pays qui tolèrent la contrebande, où la loi est peu appliquée et où la corruption répandue. En outre, de nombreux pays ne font rien pour traiter la contrebande du tabac comme un crime grave et imposent des sanctions qui ne représentent qu'une fraction de

3 celles infligées pour la contrebande d'autres produits comme les produits pharmaceutiques ou les armes à feu. Cela rend donc le tabac plus attrayant pour les contrebandiers qui comparent les immenses possibilités de profit au faible risque d'être pris, condamnés, emprisonnés et/ou verbalisés. En mars 2000, le gouvernement britannique avait annoncé une série de mesures destinées à freiner la contrebande de tabac, qui exigeaient par exemple l'apposition d'une marque "droits acquittés" et le déploiement de douaniers supplémentaires. Mais aucune sanction n'est prévue en cas de non-respect. Par opposition, un accord passé en juillet 2004 entre Philip Morris, la Communauté européenne et 10 États de l'ue précisait les graves conséquences que pourrait avoir le non-respect de ces règles. L'accord, prévu pour une durée de 12 ans, était le résultat de l'action en justice intentée contre Philip Morris pour avoir fait illégalement passer des cigarettes dans l'ue. L'aspect le plus intéressant de cet accord est que Philip Morris International (PMI) s'expose à de lourdes sanctions s'il ne fait rien pour arrêter le trafic illicite de ses cigarettes. PMI a donné son accord pour procéder à des paiements en cas de saisies de produits qui seraient vraiment de sa marque, au-dessus de certaines quantités (pour toute saisie de cigarettes authentiquement PMI dans les 10 pays de l'ue, la société a convenu de rembourser toutes les taxes dues - si la saisie porte sur plus de 90 millions de cigarettes authentiques dans ces 10 pays de l'ue, PMI convient de verser 5 fois le montant des taxes dues). Par ailleurs, cet accord comporte des clauses sur la traçabilité logistique et la traçabilité produit, la conservation des archives, sur l'agrément des fournisseurs et la résiliation de leur contrat, sur le blanchiment d'argent, ainsi que des protocoles de respect de la loi pour lutter contre une future contrebande.7 L'absence de coopération internationale efficace : Alors que des traités internationaux et d'autres mécanismes ont été mis en place pour réduire le trafic de médicaments, drogues, armes à feu et d'autres produits, aucun dispositif analogue n'a été mis en place pour réduire la contrebande du tabac. Si la Convention-cadre de l'organisation mondiale de la santé pour la lutte antitabac (CCLAT) comporte bien quelques mesures utiles pour combattre la contrebande, il reste nécessaire de les transformer en protocole (voir ci-dessous). Comment la contrebande de cigarettes nuit à la santé publique Les freins aux taxes sur le tabac dans le monde entier : L'augmentation des taxes sur le tabac est l'une des mesures les plus efficaces dont on dispose pour empêcher les enfants de fumer et inciter les adultes à s'arrêter.8 Or la contrebande (et la crainte qu'elle suscite) est devenue le plus grand obstacle à cette augmentation dans le monde entier. L'industrie du tabac est parvenue à exploiter cette peur, en persuadant les responsables politiques du monde que pratiquement toute augmentation des taxes sur le tabac allait lâcher la bride à la contrebande, ce qui aboutirait pour les États à une perte de recettes et à une anarchie rampante. Et pourtant, sur les centaines d'augmentations de taxes mises en place avec succès dans le monde, il y a très peu de cas dans lesquels un problème de contrebande suffisamment important a contraint le gouvernement d'un État à diminuer les taxes.9 L'ouverture des marchés aux marques et à la publicité occidentales : Certains pays, dont la Chine, ont imposé des restrictions légales sur l'accès aux marques occidentales. Si l'intention de ces lois au départ était de protéger les cigarettiers du marché intérieur, il existe des preuves solides qu'elles ont également bénéficié à la santé publique en diminuant le marketing de style occidental de produits tabagiques pour les femmes et les jeunes. Ces lois tendent aussi à amoindrir la qualité, la compétitivité et l'attrait des produits du tabac eux-mêmes, ce qui diminue également leur prévalence. Comme l'écrit la revue professionnelle World Tobacco, la contrebande a contribué à promouvoir certaines des marques leaders sur des marchés qui étaient

4 restés fermés aux exportations étrangères et où la demande en cigarettes occidentales a continué à croître. 10 La réduction du financement pour la lutte antitabac : La contrebande de cigarettes coûte aux gouvernements des dizaines de milliards de dollars par an en taxes et en recettes de douanes non perçues.11 Dans un nombre croissant de pays, ces fonds sont devenus une source essentielle de financement pour mener des programmes efficaces de lutte antitabac. Par conséquent, dans la mesure où les augmentations de taxes sur le tabac sont rejetées en raison de la crainte de la contrebande, même le spectre de la contrebande vole la lutte antitabac de l'une des sources les plus prometteuses d'un financement dont elle a désespérément besoin. Une offre de cigarettes à prix réduit : La contrebande offre des cigarettes à prix réduit aux jeunes et à des fumeurs sensibles aux prix qui sans cela se seraient sans doute arrêtés. La mise en place de la CCLAT L'article 15 de la CCLAT oblige les pays qui l'ont ratifiée à prendre les mesures suivantes : adopter et faire appliquer toutes les mesures nécessaires pour faire en sorte que tous les paquets et cartouches des produits du tabac et toutes les formes de conditionnement extérieur de ces produits comportent une marque destinée à aider les Parties à déterminer leur origine ; exiger que les produits du tabac vendus sur leur marché intérieur portent l indication : Ventes autorisées uniquement en (nom du pays) ou toute autre marque appropriée susceptible d'aider les autorités à déterminer si le produit est légalement en vente sur le marché intérieur ; envisager la mise en place d'un régime pratique permettant de suivre et de retrouver la trace des produits ; surveiller le commerce transfrontalier de produits du tabac, y compris le commerce illicite et recueillir des données à ce sujet et assure l échange d informations entre les admnistrations douanières et fiscales et les autres administrations ; adopter ou renforcer des mesures législatives, assorties des sanctions et des recours appropriés, contre le commerce illicite des produits du tabac ; prendre des mesures appropriées pour assurer la destruction de tout matériel de fabrication et des cigarettes et autres produits du tabac de contrefaçon et de contrebande confisqués, au moyen si possible de méthodes respectueuses de l environnement ; adopte et applique des mesures pour surveiller, vérifier et contrôler l entreposage et la distribution des produits du tabac gardés ou circulant en franchise de droits ou de taxes dans le cadre de sa juridiction ; coopérer avec d'autres pays en ce qui concerne les enquêtes, les poursuites et les procédures, pour éliminer le commerce illicite des produits du tabac ; et

5 adopter des mesures pour permettre la confiscation des profits dérivés du commerce illicite des produits du tabac. La nécessité d'un protocole d'action face à la contrebande Bien que l'article 15 de la CCLAT offre aux pays de grandes lignes pour commencer à réduire la contrebande, il manque de précisions. Ses obligations, vagues et générales, doivent être développées plus en détail dans un protocole. Un protocole qui contrôle le commerce illicite de produits du tabac est nécessaire et peut suivre l'exemple de conventions similaires telles que le Protocole contre la fabrication et le trafic illicite des armes à feu, leurs parties, composants et munitions, qui complète la Convention des Nations Unies contre le Crime organisé transnational.12. Un protocole sur la contrebande doit travailler sur les aspects suivants : Un système de traçabilité logistique et de traçabilité produit : un système de traçabilité logistique (localisation géographique) des produits du tabac permettrait aux autorités d'en surveiller la circulation dans le monde afin d'éviter leur détournement sur des marchés illégaux. Un système de traçabilité des produits eux-mêmes aiderait lors des enquêtes menées sur les échanges illicites à repérer le pays d'exportation, l'ultime pays de destination et le premier client. La capacité donnée aux autorités de suivre le produit est la clé pour repérer où il a été détourné et à incriminer les auteurs du détournement pour leur faire rendre des comptes. Des marquages - occultés et visibles : De manière à permettre aux autorités de suivre les produits du tabac et de mettre le doigt sur les échanges illégaux, les marquages et les codes sur les emballages, les cartouches et les cartons d'emballage extérieurs doivent être rendus obligatoires. Tout système prospectif doit avoir une certaine souplesse pour s'adapter aux progrès technologiques, mais il faut tout de même qu'il soit uniformisé de façon à éviter d'avoir une multiplicité d'autres systèmes de suivi logistique et de traçabilité produits non compatibles. La tenue d'archives : Reliées à un système de traçabilité logistique et de traçabilité des produits, et en utilisant des codes et des marquages scannables en machine, les autorités doivent conserver la trace informatisée des données de toutes les expéditions, y compris sur le pays d'exportation, le pays d'importation, les pays de transit, les dates de délivrance et d'expiration des licences, la destination finale et les quantité de produits tabagiques commercialisés. Les concessions de licences : Un système d'accord de licence d'exportation et/ou importation peut être la clé pour habiliter les autorités douanières à conserver la trace des transactions légales et des négociants légaux. Un système de paiements et de dépôt de caution: La charge de fournir la preuve que les produits du tabac parviennent bien sur leur marché de destination prévu devrait revenir carrément aux fabricants, qui devraient supporter tous les droits et taxes jusqu'à ce que les produits atteignent leur destination ultime et que toutes les taxes exigibles aient été correctement acquittées. Au cours des négociations de la CCLAT, a été évoquée l'idée d'un système de dépôt de caution pour les exportateurs qui exigerait d'eux l'instauration de cautions, qu'ils devraient garder approvisionnées afin de couvrir leur responsabilité financière. La criminalisation des contrefaçons et de la contrebande des produits du tabac, ainsi que de la suppression et de l'altération des marquages contribuerait à dissuader les activités illicites.

6 1 Framework Convention Alliance, The FCTC and Tobacco Smuggling. NGO Brief for the International Conference on Illicit Trade in Tobacco. New York, July 30 August 1, 2002; 2 Joossens L, Raw M. Turning off the tap: the real solution to cigarette smuggling, The International Journal of Tuberculosis and Lung Disease March 2003 Vol. 7(3): Western Europe has the highest cigarette prices in the world in 1996 they were four to five times higher than in Africa, the Middle East and Eastern Europe yet, despite these high prices, smuggling is generally lower here than in other regions of the world. (Joossens L, Raw M. How can cigarette smuggling be reduced? BMJ 2000; ) 3 Department of Justice, Canada, Government of Canada Announces Legal Action Against Tobacco Companies, press release, August, 13, 2003, 4 For details, see and Meg Richards, Ecuador Files Tobacco Suit, Associated Press, 6 June Jamie Doward. Smuggling claims hit tobacco giant. The Observer. January 9, Luk Joossens, Smuggling and Cross-border Shopping of Tobacco Products in the European Union: a Report for the Health Education Authority, London, December, ASH media briefing: 9 th July 2004, Key features of the agreement on smuggling between the EC and Philip Morris, For full details of agreement see OLAF website at 8 Jha P, Chaloupka FJ, Curbing the Epidemic: Governments and the Economics of Tobacco Control (Washington: World Bank, 1999), www1.worldbank.org/tobacco/reports.htm 9 Ce n'est qu'au Canada (1994) et en Suède (1998) que les gouvernements ont augmenté les taxes avant de les baisser à nouveau à cause de problèmes de contrebande. Au Canada, la preuve a maintenant été apportée de façon définitive que l'industrie du tabac elle-même prenait une part active dans l'organisation d'une grande part de la contrebande. L'industrie du tabac a tiré profit de son succès au Canada pour faire échouer les principales hausses proposées aux États-unis en 1994 et 1998, et s'est servie de ce qu'elle a appelé "l'exemple canadien" dans le monde entier comme d'une leçon ainsi que d'une menace contre les gouvernements qui envisagent d'importantes augmentations des taxes sur le tabac. 10 World Tobacco. World Tobacco file 1996 (London). 11 Raymond Bonner and Christopher Drew, Cigarette Makers Are Seen as Aiding Rise in Smuggling, New York Times, 25 August 1997; 12 For the text of the Protocol see Framework Convention Alliance on Tobacco Control Rue Henri-Christine 5, Case Postale 567, CH-1211 Geneve, Switzerland Tel ; fax fca@globalink.org Adapted and updated with permission from the 2000 World Conference on Tobacco OR Health fact sheets. June 2005

Proposition de DÉCISION DU CONSEIL

Proposition de DÉCISION DU CONSEIL COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le

Plus en détail

Imprimé par le service de production des documents de l OMS, Genève, Suisse.

Imprimé par le service de production des documents de l OMS, Genève, Suisse. Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS: Protocole pour éliminer le commerce illicite des produits du tabac. 1.Tabac. 2.Commerce - législation et jurisprudence. 3.Industrie du tabac législation et

Plus en détail

LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES

LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES. Définition... 2. Qu'est-ce que la contrefaçon?... 2. Un fléau mondial... 2. Ses dangers... 3. Comment la déceler?... 4. Lutter contre la contrefaçon... 4. Qui est en

Plus en détail

Commerce illicite du tabac Profits illégaux et danger public

Commerce illicite du tabac Profits illégaux et danger public Commerce illicite du tabac Profits illégaux et danger public Action pour une enfance sans tabac Octobre 2008 Compréhension du commerce illicite Les grands perdants dans le monde L implication des fabricants

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET 1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique

Plus en détail

La lutte contre le trafic illicite de biens culturels sur Internet : L UNESCO et la réponse de ses partenaires

La lutte contre le trafic illicite de biens culturels sur Internet : L UNESCO et la réponse de ses partenaires La lutte contre le trafic illicite de biens culturels sur Internet : L UNESCO et la réponse de ses partenaires Introduction L'UNESCO est un acteur majeur dans la lutte contre le trafic illicite d objets

Plus en détail

White paper. e-commerce transfrontalier : repenser les réseaux de distribution. www.landmarkglobal.com

White paper. e-commerce transfrontalier : repenser les réseaux de distribution. www.landmarkglobal.com White paper e-commerce transfrontalier : repenser les réseaux de distribution White Paper. e-commerce transfrontalier : repenser les réseaux de distribution. 2 Sommaire L e-commerce transfrontalier est

Plus en détail

Avons ordonné et ordonnons:

Avons ordonné et ordonnons: Sanctions pécuniaires - principe de reconnaissance mutuelle Loi du 23 février 2010 relative à l'application du principe de reconnaissance mutuelle aux sanctions pécuniaires. - citant: L du 30 mars 2001

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES ET RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

LIGNES DIRECTRICES ET RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX MÉMORANDUM D11-6-5 Ottawa, le 4 janvier 1993 OBJET DISPOSITIONS RELATIVES AUX INTÉRÊTS ET AUX PÉNALITÉS : DÉTERMINATIONS, CLASSEMENTS OU APPRÉCIATIONS ET RÉVISIONS OU RÉEXAMENS ET EXONÉRATIONS DE DROITS

Plus en détail

T R A N S F R O N TA L I E R S

T R A N S F R O N TA L I E R S GLOSSAIRE DES TERMES T R A N S F R O N TA L I E R S ACRONYMES CSXT Intermodal fournit aux expéditeurs de précieux outils pour mieux comprendre et naviguer dans le monde des expéditions transfrontalières.

Plus en détail

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de M. François Lefort : Le Conseil d Etat a-t-il estimé l évasion fiscale à partir de Genève?

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de M. François Lefort : Le Conseil d Etat a-t-il estimé l évasion fiscale à partir de Genève? Secrétariat du Grand Conseil QUE 72-A Date de dépôt : 15 mai 2013 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de M. François Lefort : Le Conseil d Etat a-t-il estimé l évasion fiscale à partir

Plus en détail

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess)

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Les bases de la French Connection Un trafic d héroïne planétaire (Liban, Pakistan, France, USA) de 1935

Plus en détail

Les autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.

Les autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine. COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique

Plus en détail

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.

Introduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement. le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement

Plus en détail

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES La libre circulation des marchandises, la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur, est garantie par la suppression des droits de douane et des

Plus en détail

PROTECTION DES SIGNES DISTINCTIFS D'UNE ENTREPRISE

PROTECTION DES SIGNES DISTINCTIFS D'UNE ENTREPRISE PROTECTION DES SIGNES DISTINCTIFS D'UNE ENTREPRISE 17/11/2011 L'entreprise peut être désignée par un ensemble de signes distinctifs. Une entreprise individuelle est identifiable par son nom commercial,

Plus en détail

Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction., président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction., président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Le : 22/11/2011 Cour de cassation chambre criminelle Audience publique du 10 avril 1997 N de pourvoi: 96-83152 Publié au bulletin Rejet Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction.,

Plus en détail

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 «Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu'un terroriste» (Chateaubriand, Mémoires

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen

Plus en détail

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations

Plus en détail

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT CHIFFRE D AFFAIRES PREMIER TRIMESTRE 2015 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT Forte croissance du chiffre d affaires Communication

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Loi fédérale sur le transfert international des biens culturels

Loi fédérale sur le transfert international des biens culturels Loi fédérale sur le transfert international des biens culturels (Loi sur le transfert des biens culturels, LTBC) 444.1 du 20 juin 2003 (Etat le 1 er janvier 2012) L Assemblée fédérale de la Confédération

Plus en détail

SUBVENTIONS. Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE

SUBVENTIONS. Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE ACCORD GENERAL SUR LES TARIFS DOUANIERS ET LE COMMERCE RESTRICTED L/7162/Add.l8 6 mai 1994 Distribution limitée (94-0829) Original: anglais SUBVENTIONS Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE

Plus en détail

Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles.

Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles. Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles. établies par la "Vereniging van Groothandelaren in Bloemkwekerijprodukten" (VGB - Association des Grossistes en Produits Floricoles)

Plus en détail

Les aspects prix de transfert des biens incorporels. Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes

Les aspects prix de transfert des biens incorporels. Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes Les aspects prix de transfert des biens incorporels Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes Sommaire I- Le concept de prix de transfert II- Les biens incorporels III- Les réflexions actuelles

Plus en détail

Avis de consultation

Avis de consultation Avis de consultation Introduction Conformément aux traités de l UE, les décisions relatives à la politique commerciale sont prises au niveau de l UE. Les représentants des gouvernements des États membres

Plus en détail

Le choix stratégique des canaux de communication

Le choix stratégique des canaux de communication Le choix stratégique des canaux de communication Une analyse des attitudes des entreprises du domaine Business to Business (B2B) face à différentes combinaisons de médias Introduction La fragmentation

Plus en détail

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées

Plus en détail

Silence, on meurt! 1

Silence, on meurt! 1 Silence, on meurt! 1 Quatre-vingt-quinze pour cent des personnes infectées par le VIH sont toujours privées de traitement 1. Chaque année, lors de la Journée mondiale du sida, il nous faut regarder les

Plus en détail

«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»

«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» «Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée

Plus en détail

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees For Immediate Release October 10, 2014 Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees The Senate Standing Committee on Banking, Trade, and Commerce resumed hearings

Plus en détail

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de

Plus en détail

Programme d appui aux investissements des PME

Programme d appui aux investissements des PME Programme d appui aux investissements des PME MIGA : apporter aux clients des atouts sans pareil L Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) a pour mission de promouvoir l investissement

Plus en détail

Université Laval, Québec, 28 mai 2014

Université Laval, Québec, 28 mai 2014 La criminalité économique Dispositions de la Loi sur la concurrence et de la loi canadienne anti-pourriel applicables aux indications fausses ou trompeuses Bureau de la concurrence Université Laval, Québec,

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES

Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES Les régimes douaniers économiques LES AVANTAGES DES REGIMES ECONOMIQUES Définition Un régime douanier correspond à la situation douanière d'une marchandise tierce ou communautaire et doit être distingué

Plus en détail

La plateforme Cloud Supply Chain. Présentation de GT Nexus

La plateforme Cloud Supply Chain. Présentation de GT Nexus La plateforme Cloud Supply Chain Présentation de GT Nexus Une idée simple mais très efficace Les entreprises gagnantes fonctionneront en réseau A l avenir, les entreprises les plus performantes n opèreront

Plus en détail

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée

Plus en détail

L Organisation mondiale du commerce...

L Organisation mondiale du commerce... L Organisation mondiale du commerce......en quelques mots, l Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale qui s occupe des règles régissant le commerce entre les pays.

Plus en détail

Nos banques et l Afrique. Les banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne

Nos banques et l Afrique. Les banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne Nos banques et l Afrique Les banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne Pertes de capitaux Afrique sub-saharienne (33 pays) Total 1970-2010: $814 mld ( 637,5 mld) Ndikumana & Boyce,

Plus en détail

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai

Plus en détail

CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION

CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION International Legal Framework for Development of Anti-Corruption Programs 1 AUGMENTATION DES ACCORDS CONTRE LA CORRUPTION

Plus en détail

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES INCOTERMS

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES INCOTERMS LES INCOTERMS Avertissement! Cet article fait référence aux incoterms, version 2000. Voir : les innovations de la version 2010 des incoterms sur Logistiqueconseil.org Les INCOTERMS (International Commercial

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28 Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions

Plus en détail

Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007

Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007 Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007 LE FORUM DES POLITIQUES PUBLIQUES Donner aux Canadiens un meilleur gouvernement Le Forum des politiques publiques est

Plus en détail

Au sens des dispositions de l article 2, du règlement n 07 01, sont considérées comme :

Au sens des dispositions de l article 2, du règlement n 07 01, sont considérées comme : Le règlement N 07 01 du 09/01/2007, relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l étranger et aux comptes devises a modifié et remplacé les règlements n 91 12 relatif à la domiciliation

Plus en détail

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION

COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

Accès des autorités américaines aux données du trafic international des paiements et implications pour la Suisse

Accès des autorités américaines aux données du trafic international des paiements et implications pour la Suisse Le Conseil fédéral A la Commission de gestion du Conseil national (CdG-N) 3003 Berne Berne, le Accès des autorités américaines aux données du trafic international des paiements et implications pour la

Plus en détail

ADDENDA AU CONTRAT BLACKBERRY SOLUTION DE LICENCE POUR WATCHDOX CLOUD DE BLACKBERRY («le ADDENDA»)

ADDENDA AU CONTRAT BLACKBERRY SOLUTION DE LICENCE POUR WATCHDOX CLOUD DE BLACKBERRY («le ADDENDA») ADDENDA AU CONTRAT BLACKBERRY SOLUTION DE LICENCE POUR WATCHDOX CLOUD DE BLACKBERRY («le ADDENDA») AVIS IMPORTANT: Afin d'accéder et / ou utiliser ce service Cloud (tel que défini ci-dessous) Vous devez

Plus en détail

Convention sur les missions spéciales

Convention sur les missions spéciales Convention sur les missions spéciales 1969 Adoptée par l Assemblée générale des Nations Unies le 8 décembre 1969. Entrée en vigueur le 21 juin 1985. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 1400, p. 231.

Plus en détail

CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION

CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION Étude sur les ressources humaines du commerce international du FITT d intérêts et de connaissances. Toutefois, compte tenu de la nature du commerce d intégration,

Plus en détail

Fixer son prix à l export

Fixer son prix à l export Fixer son prix à l export Commerce extérieur Juin 2009 Politique de prix Dans le cadre de votre stratégie internationale, vous devez fixer un prix de vente pour vos marchés d exportation. La politique

Plus en détail

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale.

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale. Strasbourg, 2 mai 2014 CODEXTER (2014) 5 COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) COMITE EUROPEEN POUR LES PROBLEMES CRIMINELS (CDPC) CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE TERRORISME ET LE CRIME ORGANISE

Plus en détail

La prise illégale d intérêts

La prise illégale d intérêts La prise illégale d intérêts Valeurs sociales protégées : Il s agit simplement de préserver, d une part, la probité dans la gestion des affaires publiques en respectant le vieil adage " nul ne peut servir

Plus en détail

ORGANISATION MONDIALE

ORGANISATION MONDIALE ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE Comité du commerce des services financiers S/FIN/W/25/Add.1 19 juin 2003 (03-3275) Original: anglais COMMUNICATION DE HONG KONG, CHINE Tendances du marché et questions

Plus en détail

Partenaires en protection Aller de l avant

Partenaires en protection Aller de l avant Partenaires en protection Aller de l avant Rapport de situation Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière Le 26 février 2008 Table des matières Point de vue du gouvernement 3 Consultations

Plus en détail

Etude de cas sur la politique régionale de l UE

Etude de cas sur la politique régionale de l UE Etude de cas sur la politique régionale de l UE Le développement des entreprises dans le Yorkshire et Humber Région, Royaume-Uni 1 Partie 1 - La création d'agences de développement régional en Angleterre

Plus en détail

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU

LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des

Plus en détail

SONJA KORSPETER ET ALAIN HERMANN *

SONJA KORSPETER ET ALAIN HERMANN * Les nouvelles technologies et la maîtrise des données personnelles comment l Allemagne et la France abordent-elles l impact de l évolution technologique sur la protection des données? SONJA KORSPETER ET

Plus en détail

L Essentiel des techniques du commerce international

L Essentiel des techniques du commerce international Désiré Loth L Essentiel des techniques du commerce international Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook

Plus en détail

Qu est-ce que le TIR?

Qu est-ce que le TIR? Qu est-ce que le TIR? Le «TIR» (Transports Internationaux Routiers) est un régime de transit international basé sur une Convention de l ONU mise en œuvre au niveau mondial dans le cadre d un partenariat

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Maître Cathie-Rosalie JOLY, ULYS Monsieur Alain BRECKLER, ORDRE NATIONAL DES PHARMACIENS Monsieur Charles RABILLER, PHARMADOMICILE

Maître Cathie-Rosalie JOLY, ULYS Monsieur Alain BRECKLER, ORDRE NATIONAL DES PHARMACIENS Monsieur Charles RABILLER, PHARMADOMICILE CONFÉRENCE DÉJEUNER ULYS, 7 MARS 2013 Intervenants: Maître Cathie-Rosalie JOLY, ULYS Monsieur Alain BRECKLER, ORDRE NATIONAL DES PHARMACIENS Monsieur Charles RABILLER, PHARMADOMICILE 13/03/2013 www.ulys.net

Plus en détail

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de

Plus en détail

Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique. Andrew Grainger

Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique. Andrew Grainger Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique Andrew Grainger Nottingham University Business School andrew.grainger@nottingham.ac.uk Page: 1 Incitants politiques génériques 1. Modernisation

Plus en détail

An Act to Amend the Tobacco Sales Act. Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac CHAPTER 46 CHAPITRE 46

An Act to Amend the Tobacco Sales Act. Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac CHAPTER 46 CHAPITRE 46 2015 CHAPTER 46 CHAPITRE 46 An Act to Amend the Tobacco Sales Act Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac Assented to June 5, 2015 Sanctionnée le 5 juin 2015 Her Majesty, by and with the advice and

Plus en détail

Fiche 2 - La responsabilité pénale

Fiche 2 - La responsabilité pénale Fiche 2 - La responsabilité pénale Le droit positif belge ne connaît pas la responsabilité pénale des pouvoirs publics tels que l'etat, les Régions, les Communautés, les provinces, les communes. En effet,

Plus en détail

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA)

QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Questions Quand un exportateur doit-il prendre le statut d'exportateur agréé? QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Réponses

Plus en détail

PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION -----------------

PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION ----------------- LIBERTE EGALITE FRATERNITE REPUBLIQUE D HAITI PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION ----------------- Vu la Constitution de la République ; Vu la Convention des Nations Unies

Plus en détail

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN 1. Introduction Le règlement (UE) n 610/2013 du 26 juin 2013 a modifié la convention d'application de l'accord de Schengen,

Plus en détail

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14 réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée

Plus en détail

Informations de base concernant la publicité pour le tabac

Informations de base concernant la publicité pour le tabac Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Informations de base concernant la publicité pour le tabac Avril 2015 Office fédéral de la santé publique OFSP Table des

Plus en détail

Taxer la finance. Toby Sanger

Taxer la finance. Toby Sanger Taxer la finance Toby Sanger La crise financière et économique a entraîné une réévaluation du rôle, de la régle - mentation et de l imposition du secteur financier dans le monde, qui aurait dû être faite

Plus en détail

CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P)

CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P) CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P) N ASSURÉ : Adresse : N de siren : Le contrat d assurance prospection premiers pas ci-après dénommé «le contrat», est régi par le droit commun des contrats.

Plus en détail

Conditions générales de vente de Hologic Canada Limitée

Conditions générales de vente de Hologic Canada Limitée Conditions générales de vente de Hologic Canada Limitée Les présentes Conditions Générales de vente de Hologic Canada Limitée (les «Modalités») s appliquent à l utilisation et/ou à la vente d équipement

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

LA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.

LA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions. LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL

Plus en détail

Demander des comptes en justice à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international!

Demander des comptes en justice à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international! Demander des comptes en justice à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international! Renaud Vivien (CADTM Belgique) Le 02/07/11 2ème Université d'été du CADTM Europe www.cadtm.org Plan Pourquoi intenter

Plus en détail

TRAITEMENT DES PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT 203

TRAITEMENT DES PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT 203 TRAITEMENT DES PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT 203 TRAITEMENT DIFFERENCIE ET PLUS FAVORABLE, RECIPROCITE ET PARTICIPATION PLUS COMPLETE DES PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT Décision du 28 novembre 1979 (L/4903)

Plus en détail

Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954)

Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954) Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954) Source: Archives Nationales du Luxembourg, Luxembourg. Affaires étrangères. Communauté européenne de

Plus en détail

Stella-Jones pilier du secteur grâce à IBM Business Analytics

Stella-Jones pilier du secteur grâce à IBM Business Analytics Stella-Jones pilier du secteur grâce à IBM Accélération et précision des rapports, budgets et prévisions au service d une entreprise en plein essor En bref Les besoins À la suite de plusieurs acquisitions

Plus en détail

Gestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012

Gestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012 Véhicules du gouvernement Gestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012 Maximes «No man hath endurance, as he that selleth insurance» -Anon 2 Notre

Plus en détail

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale République des Seychelles Situation générale 1. Géographie La Républiques des Seychelles est un archipel composé de 115 îles, situé au nord-est de Madagascar. L île la plus importante est l île de Mahé.

Plus en détail

Conditions Générales de ventes www.funsportscycles.com

Conditions Générales de ventes www.funsportscycles.com Conditions Générales de ventes www.funsportscycles.com Les présentes conditions de vente régissent les ventes de la société Fun Sports Cycles sur son site Internet www.funsportscycles.com. Ces conditions

Plus en détail

De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois

De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois Un commerce de plus de 30 milliards de dollars (USD), structuré par le crime organisé, responsable de 90% de la déforestation tropicale Un rapport

Plus en détail

' '(!)('( ' #$%&'# ! '! " #$%&

' '(!)('( ' #$%&'# ! '!  #$%& ATTAQUER LE LISTING DU SOUTIEN AU TERRORISME DE NOUVELLES OPTIONS JURIDIQUES? UN RESUME DES JUGEMENTS RECENTS DE LA COUR DE JUSTICE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Dès les arrêts Yusuf 1 et Kadi 2, d une part,

Plus en détail

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Exportation et développement Canada Juin 2012 Quelques mots sur EDC Organisme de crédit à l exportation du Canada créé

Plus en détail

INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe)

INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe) INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe) LE TRIBUNAL EST SAISI DU FOND DANS L'AFFAIRE "D'AVITAILLEMENT" DE NAVIRES

Plus en détail

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies Lecture du mercredi 30 mars 2011 Société Betclic Enterprises Limited M. Stirn, président M. Xavier de Lesquen, rapporteur M. Thiellay Jean-Philippe,

Plus en détail

Convention sur la réduction des cas d apatridie

Convention sur la réduction des cas d apatridie Convention sur la réduction des cas d apatridie 1961 Faite à New York le 30 août 1961. Entrée en vigueur le 13 décembre 1975. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 989, p. 175. Copyright Nations Unies

Plus en détail

POLITIQUE DE LUTTE CONTRE LA

POLITIQUE DE LUTTE CONTRE LA POLITIQUE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION Politique de conformité mondiale Décembre 2012 Freeport-McMoRan Copper & Gold INTRODUCTION But Le but de cette politique de lutte contre la corruption (la «Politique»)

Plus en détail

Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario

Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 138/5 Logiciels Introduction La Commission a consacré une étude approfondie au traitement comptable de la création ou de l acquisition d un logiciel par une entreprise,

Plus en détail