La TVA sociale : une piste de lutte contre le chômage en Tunisie?
|
|
- Sabine Germaine Tassé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Lettre du Cercle Economistes de Tunisie Numéro 1, Octobre 2011 La TVA : une piste de lutte contre le chômage en Tunisie? Hedi. BCHIR Expert international Taoufik. RAJHI Professeur Universités de France 1 Introduction D une manière générale, la TVA dite consiste à augmenter le taux de TVA de quelques points supplémentaires pour que les recettes additionnelles générées par cette hausse puissent financer les dépenses s. De ce point de vue, elle est conçue comme un instrument de socialisation et de solidarité concernant les dépenses de sécurité. Elle est aussi conçue comme un instrument fiscal de relance de l emploi. Dans ce cas, le principe de la TVA consiste à diminuer les s payées par les employeurs et les compenser par une augmentation du taux de TVA afin de continuer d assurer le financement de la protection salariés. C est donc un mécanisme qui permet de substituer une partie/ou la totalité s employeurs par une recette fiscale payée par les consommateurs. Les recettes de ladite taxe sont alors collectées par l organe de sécurité au lieu du trésor public. L ambition de ce dispositif est de baisser le coût du travail afin de permettre aux entreprises d embaucher davantage et de bénéficier d un surplus de compétitivité basé sur une dévaluation déguisée. L idée parait toute simple et facile à mettre en œuvre ; ses répercussions sur l économie et sur le chômage peuvent être relativement significatives, L engagement acteurs, Gouvernement, Entreprises et Syndicat, est cependant crucial pour sa réussite. Les mécanismes économiques de la TVA Dans un système bismarckien, les prestations s sont financées par les charges s. La différence entre le salaire brut réellement payé par l'employeur et le salaire net, revenu réellement perçu par le salarié, est constituée de charges s et d impôts. Cette différence entre le salaire brut et net est communément appelée le coin fiscal. Le succès de la TVA comme instrument de relance de l emploi dépend du poids du coin fiscal dans l économie. S il est élevé, il est alors dommageable pour l emploi et sa réduction permet à court et à moyen terme de relancer l emploi. Dans un tel contexte, l allègement du coût du travail incite les entreprises à embaucher davantage et leur permet également d améliorer leur marge et de profiter d une dévaluation fiscale qui améliore leur compétitivité. Si le mécanisme escompté ne fonctionne pas, la TVA se réduit à un transfert de revenu consommateurs vers les entrepreneurs et l impact sur le chômage est nul. L effet réduction du coût du travail Comme indiqué précédemment, la TVA conduit à un allégement significatif charges payées par les entreprises et par conséquent à une réduction du coût du travail assimilable à une réduction du salaire réel. L effet immédiat à court terme est une amélioration de la marge entreprises ce qui pourrait améliorer la Adresse cercle--economistes-de-tunisie@googlegroups.com
2 profitabilité et la capacité à investir entreprises. Le mécanisme le plus important est celui de la réduction du coin fiscal. Comme en général, la demande de travail entreprises dépend négativement du coût du travail, l impact de la baisse de ce dernier génère une augmentation de l offre d emploi pour un niveau donné de la demande. Cet effet dépend fortement de l élasticité du coût du travail. Plus elle est élevée plus l impact escompté est élevé. Elle induit aussi à court terme une substitution de travail au capital qui est cruciale pour le chômage qualifiés. L impact dépend aussi de la nature de la main d œuvre. L élasticité de l offre d emploi varie selon que la main d œuvre est qualifiée ou non. Il est généralement admis qu elle est plus élevée pour le travail non-qualifié, ce qui justifie dans certains cas l utilisation de la réduction charges s non-qualifiés comme instrument de réduction du chômage de cette catégorie de main d œuvre. Il est par conséquent légitime de cibler le mécanisme de la TVA selon l objectif escompté en choisissant d appliquer la réduction charges s soit d une manière uniforme soit d une manière ciblée. L effet compétitivité Sur le marché étranger, la TVA est assimilée à une «dévaluation fiscale» par opposition à une «dévaluation monétaire». Comme la dévaluation monétaire, l effet de la dévaluation fiscale est immédiat et sans délais. Comme les prix à l exportation ne sont pas soumis à la TVA, elle fait baisser les coûts exportateurs par le biais de la baisse s. Les importateurs subissent une hausse prix de vente produits importés car l augmentation de la TVA s applique aussi à leur produit. Cet effet pourrait être bénéfique pour les produits locaux qui subissent deux effets inverses : la hausse de la TVA et la baisse s. Le prix produits locaux baisse relativement aux produits importés. L effet global sur la balance commerciale dépend du degré de substituabilité produits locaux aux produits étrangers. En définitive, la TVA fiscale possède un puissant impact de compétitivité qui pourrait se traduire par une augmentation de l emploi résultant à la fois de la réduction du coin fiscal et l augmentation de la demande locale et étrangère suite à l effet compétitivité. L effet inflationniste Comme la compensation de la baisse charges s est générée par une hausse supplémentaire de la TVA, les prix à la consommation pourraient augmenter immédiatement et d une manière définitive induisant ainsi une hausse immédiate et permanente prix et une inflation temporaire. En effet, l augmentation de la TVA est faite une fois pour toute et intégrée dès la première année dans le niveau général prix ce qui rend transitoire l effet inflationniste générée par la TVA. Il est bien entendu possible que les entreprises répercutent la baisse charges s sur les prix hors taxes en réduisant leurs prix. Cet effet est peu probable vu la rigidité prix à court terme mais pourrait en tout cas neutraliser l effet inflationniste. L occurrence de ce mécanisme dépend en grande partie du comportement entreprises et de la structure concurrentielle du marché biens. Il y a lieu enfin de noter que l effet inflationniste, contrairement aux autres effets, est immédiat, sans délais d ajustement et fort probable. L effet anti-redistributif La baisse charges s pour les entreprises est compensée par la hausse de la taxe sur les biens de consommation La TVA : une piste de lutte contre le chômage en Tunisie? H. Bchir et T. Rajhi
3 La Lettre du Cercle Economistes de Tunisie Numéro 1, Octobre payée par les consommateurs. Il s agit ainsi d une redistribution au profit entreprises d autant plus que l inflation générée par la hausse de la TVA pourrait conduire aussi à une baisse du pouvoir d achat ménages mesurée par la baisse du salaire réel. A court terme l effet anti-redistributif est incontestable mais les négociations salariales, basées généralement sur l indexation salaires sur l inflation, pourraient l atténuer à moyen et long terme. De même, pris dans leur ensemble, les ménages bénéficient globalement de l augmentation de l emploi et l augmentation de la masse salariale globale. Enfin, ce qui est collecté par la hausse de la TVA sera remis de nouveau aux ménages sous forme de prestations s. D une manière générale, la TVA pourrait être un mécanisme efficace de réduction du chômage. Etant donné son impact sur les acteurs, elle nécessite en particulier une mise en œuvre concertée entre tous les acteurs : le Gouvernement, les syndicats et les entreprises. Quelques expériences internationales. La simplicité de ce mécanisme et son effet quasi immédiat sur le coût du travail ont poussé plusieurs pays à le mettre en œuvre ou à étudier la possibilité de le faire. Les cas du Danemark et de l Allemagne sont les plus connus alors qu en France le débat est lancé depuis longtemps et continue de l être. A la fin années 1980 et au début années 1990, le Danemark avait connu un accroissement de son taux de chômage, déficits publics importants et un déficit important de sa balance paiements. Pour faire face à ce problème, le gouvernement socialiste de l époque avait mis en place un ensemble de réformes dont l introduction de la TVA de + 3 points supplémentaires contre une réduction s. Dans un contexte mondial défavorable, l effet immédiat était une amélioration de la compétitivité de 5% et une légère inflation avec une amélioration marges bénéficiaires entreprises. L effet sur le chômage est mitigé mais ce pays a pu le réduire de 10%, début années 90, à 4% en L Allemagne avait aussi instauré en 2007 un dispositif de TVA qui a conduit à une augmentation de la TVA de 3 points allant de 16 à 19% afin de financer une baisse chômages employeurs. 1 point de TVA était suffisant pour compenser la réduction s. Le coin fiscal allemand était identifié comme l un les plus élevé en Europe et comme une source de chômage. Soutenue par une conjoncture mondiale favorable, l expérience Allemande était un succès en matière de croissance et de chômage. Les craintes inflationnistes étaient dissipées puisque seulement 0.9 point d inflation supplémentaire a été enregistré contre 3 points supplémentaires de TVA. La compétitivité coût de l économie s est améliorée et la marge entreprises a progressé de 37%. En France, la question a été débattue en 2007 et est revenue dans le débat public récemment. Des simulations montrent qu un point de TVA compense 1.5 point de cotisation. Le surcroit d emplois à moyen terme est estimé à plus de Il serait induit par une baisse, concentrée sur les bas salaires, financée par une hausse de 1.5 point de TVA. Les enseignements économiques pour la Tunisie. En Tunisie, le système de sécurité est l un socles de la politique du pays. Les taux de s de % sont subdivisés en une part patronale égale à 16.57% et une part Adresse cercle--economistes-de-tunisie@googlegroups.com
4 salariale, égale à 9.18%. La TVA est égale à 18%. Les résultats simulations à l aide d un modèle d équilibre général calculable multisectoriel et dynamique montrent l efficacité d une telle mesure. Nous nous proposons en effet de réaliser deux batteries de simulation. La première consiste en une baisse progressive taux de cotisation d une manière uniforme pour tous les types de travailleurs (qualifiés et non qualifiés). La baisse varie de 5 points à 15 points. La deuxième, limite uniquement cette baisse aux travailleurs qualifiés puisque le chômage en Tunisie touche beaucoup plus cette catégorie. Tableau 1 : effet d une baisse s pour tous les types de travailleurs (2015) Taux de la TVA de croissance du PIB de chômage qualifiés de chômage non-qualifiés 5 points 10 points 15 points Le tableau 1 présente les résultats de la première batterie de simulations qui consiste en trois scénarios de baisse respectivement de 5 points, 10 et 15 points s. Dans tous les cas, une baisse de 5 points est compensée par 1.1 point d augmentation de la TVA ce qui s explique largement par l importance de l assiette fiscale de la TVA par rapport à celle s. L impact de la baisse de 5 points s se traduit par un demi-point de croissance supplémentaire et une réduction de 3.5 points du taux de chômage qualifiés et 4.3 points du chômage non-qualifiés. Cet effet est d autant plus prononcé que la baisse est importante. Le cas extrême est celui d une baisse de 15 points compensée par une hausse 3.4 points de TVA. L impact sur la croissance est de 3.4 points supplémentaires avec une réduction du chômage qualifiés et non-qualifiés respectivement de 9.89 et de points. La deuxième variante de simulation est présentée dans le tableau 2. L impact est à peu près le même en ce qui concerne la réduction du chômage qualifiés alors que le chômage non-qualifiés augmente légèrement. L emploi qualifiés est imparfaitement substituable à celui non qualifiés et donc les entreprises sont tentées d embaucher qualifiés à la place non-qualifiés ce qui explique la légère augmentation du taux de chômage non-qualifiés. En termes de croissance du PIB, l impact est assez faible de l ordre de 0.2 points lorsque la baisse concerne 15 points s. La compensation 15 points de baisse par la TVA est aussi très faible et de l ordre de 0.8 points supplémentaires. Tableau 2 : effet d une baisse s pour les travailleurs qualifiés (2015) Taux de la TVA de croissance du PIB de chômage qualifiés de chômage non-qualifiés Conclusion 5 points 10 points points La TVA est une piste à explorer pour lutter contre le chômage. Elle nécessite en tout cas que les entreprises jouent le jeu et traduisent la baisse en un surcroit d emploi. Sa mise en œuvre commence par un débat social et économique et se termine par un engagement de tous les acteurs : Gouvernement, Syndicat et Entreprises. La TVA : une piste de lutte contre le chômage en Tunisie? H. Bchir et T. Rajhi
5 La Lettre du Cercle Economistes de Tunisie Numéro 1, Octobre 2011 Le Cercle Economistes de Tunisie 5 Le Cercle Economistes est créé par professeurs d université en sciences économiques pour les universitaires spécialistes en économie pour pouvoir organiser les débats et les discussions économiques. La vocation du Cercle est de produire analyses enrichissantes et propositions constructives et de les exposer au plus grand nombre. Les approches adoptées sont multiples et se caractérisent par le professionnalisme, la diversité mais reposent toujours sur l examen faits et la rigueur analyses. Il en résulte un enrichissement du débat et la confrontation idées et politiques qui est menée dans un esprit contradictoire constructif. De même, les membres du Cercle sont animés par l esprit d ouverture, de tolérance et de respect positions politiques uns et autres. Le programme de travail repose sur les éléments suivants: 1. Le développement d un site web du cercle. Le contenu du site repose sur les informations produites par les membres en l occurrence, les publications, les notes, les cahiers, les rencontres, les liens utiles, les informations. 2. Le développement de Blogs thématiques. Un blog est un lieu ou un forum de discussion d un ou plusieurs sujets avec un modérateur qui gère la mise en ligne différents commentaires 3. L organisation de débats périodiques sous forme de rencontres économiques : C est un lieu d échange et de discussion ouvert au public. Ces rencontres thématiques doivent être mensuelles, publique, préparées à l avance avec un présentateur spécialisé sur thèmes spécifiques. L intervenant pourrait être un membre interne ou externe au cercle. 4. La publication de points de vue dans journaux et magazines : C est une activité individuelle auquel chaque membre devrait participer activement. Les notes préparées par le cercle peuvent faire l objet de publication. Ces articles traduisent en grande partie le point de vue de ses rédacteurs 5. La participation dans les médias audiovisuels : Il est important de diversifier la présence membres dans les émissions spécialisées médias audiovisuels. Cependant, il convient d adopter une approche stratégique en établissant un lien durable avec un partenaire spécialisée dans le domaine économique. 6. Les publications : Deux types de publications sont envisagées : 6.1 Les cahiers : Chaque année, cahiers qui rendent compte travaux et débats du Cercle sur sujets d actualité (chômage, développement régional, inégalités ) doivent être publiés. 6.2 La Lettre du Cercle Economistes de Tunisie. Ces Lettres sont une synthèse de point de vue sur questions importantes. Elles résultent en principe de discussions internes du Cercle et sont en quelque sorte supports aux discussions et à l exposé points de vue membres du cercle. 7. L organisation d une conférence annuelle du cercle : C est une activité importante et devrait s effectuer en collaboration avec partenaires scientifiques nationaux et internationaux. Adresse cercle--economistes-de-tunisie@googlegroups.com
ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailNote de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME
ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME SOMMAIRE I. IMPACT MACROÉCONOMIQUE DES VOIES DE RÉFORMES ENVISAGÉES.. 3 A. EVALUATION DES EFFETS MACROÉCONOMIQUES DE COURT TERME EN CAS DE BAISSE UNIFORME
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailLa France et le Royaume-Uni face à la crise (2008-2014) Deux approches de la gestion de la crise et leurs conséquences sur la croissance et l emploi
La France et le Royaume-Uni face à la crise (2008-2014) Deux approches de la gestion de la crise et leurs conséquences sur la croissance et l emploi RĖSUMĖ Septembre 2014 www.cercledoutremanche.com SOMMAIRE
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailAccord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008
Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailL activité des institutions de prévoyance en 2007
L activité des institutions de prévoyance en 2007 Progression de l activité des institutions de prévoyance Une croissance régulière des cotisations sur 9 ans (en millions d euros) Var. 2007/06 + 3,7 %
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailChapitre 2 Quel est l impact des variables économiques et démographiques sur le financement de la protection sociale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 12 février 2015 à 12:24 Chapitre 2 Quel est l impact des variables économiques et démographiques sur le financement de la protection sociale? 1 Quelles variables
Plus en détailLe risque de négociation dans la gouvernance des régimes de retraite
dans la des Professeur au département des relations industrielles Université Laval frederic.hanin@rlt.ulaval.ca 30 mars 2015 - InterContinental Montréal, 14h10 Introduction Cette communication porte sur
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailL ASSURANCE CHÔMAGE AUX ÉTATS-UNIS. Stéphane Auray et David L. Fuller
L ASSURANCE CHÔMAGE AUX ÉTATS-UNIS Stéphane Auray et David L. Fuller Catalogage Électre-Bibliographie (avec le concours de la Bibliothèque de Sciences Po) L assurance chômage aux États-Unis / Stéphane
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit
Plus en détailLe Bulletin de salaire
Le Bulletin de salaire Mentions obligatoires : Le bulletin de salaire doit mentionner les éléments suivants : - Les coordonnés du Syndicat de copropriétaires dont dépend le salarié - Le numéro de SIRET
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailModèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé
Modèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé L entreprise Forme juridique, au capital de dont le siège est à Code NAF n SIRET Effectif salarié : Représentée par
Plus en détailProjet de décision unilatérale instituant (ou régularisant) un régime collectif complémentaire obligatoire couvrant le risque
Papier Sté Date : Projet de décision unilatérale instituant (ou régularisant) un régime collectif complémentaire obligatoire couvrant le risque La direction de l entreprise : Dont le siège social est situé
Plus en détailNote commune N 3 / 2014
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54
Plus en détailGUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2
GUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2 SOMMAIRE Composez votre dispositif sur mesure 4 Étoile PEI 2 - Étoile PERCOI 2 Principales caractéristiques 5 Conseils d optimisation pour le dirigeant et les
Plus en détailHeures supplémentaires
Heures supplémentaires Présentation et évolutions des allégements Tepa La loi du 21 août 2007 en faveur du travail, de l emploi et du pouvoir d achat a créé au 1er octobre 2007, une exonération d impôt
Plus en détailCOMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES»
COMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES» Le système interprofessionnel de Sécurité Sociale est obligatoire : le
Plus en détailFORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga
FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailChapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée
Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée Le Conseil d orientation des retraites s est doté d outils de projection
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détailRégime social et fiscal des primes d intéressement
Régime social et fiscal des primes d intéressement Les primes d intéressement constituent pour le salarié un complément de rémunération. Cependant, afin de favoriser la mise en place d un régime d intéressement
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurance sociale des administrations de sécurité sociale
Plus en détailMODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle...
MODE D EMPLOI Valérie Coutteron LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... LA LOI N 2008-111 DU 8 FÉVRIER 2008 pour le pouvoir
Plus en détailACCORD DU 18 JUIN 2010 PRÉAMBULE
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3367 Convention collective nationale IDCC : 2847. PÔLE EMPLOI ACCORD DU 18 JUIN 2010 RELATIF AU TRANSFERT
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailLa Réforme de la fiscalité dans l Horeca
Les Analyses du Centre Jean Gol La Réforme de la fiscalité dans l Horeca Décembre 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle
Plus en détailAVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4
LETTRE D ACTUALITE SOCIALE GROUP S MANAGEMENT SERVICES DONNEES ET CHIFFRES CLES POUR 2015 SOCIAL : GENERALITES ET ELEMENTS DE COTISATIONS 2 SMIC ET MINIMUM GARANTI 2 PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2 FORFAIT
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE
COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE SOYEZ PRO ACTIF! Anticipez et transformez cette contrainte en opportunité SALON DES ENTREPRENEURS 2015 5 février 2015 LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE DANS
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLa qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine
La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS
ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS Entre la Direction Générale de la société Herakles, représentée par Philippe BOULAN, en sa qualité de Directeur des Ressources Humaines, D une part, Et les organisations
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailRésumé de la réforme des pensions février 2012
NOTE AU BUREAU DU PARTI 27 février 2012 Résumé de la réforme des pensions février 2012 Ce résumé ne concerne que les pensions du secteur privé. Un autre document suivra lorsque la réforme des pensions
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailConsultation publique
Consultation publique Paris, le 15 juillet 2010 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la structure des tarifs d utilisation des réseaux publics d électricité 1. Contexte
Plus en détailCICE - Présentation Accès à DS mode CICE
CICE - Présentation Accès à DS mode CICE Menu Etats / CICE (disponible uniquement avec Sage Déclarations Sociales Avancée) 2 options sont proposées : «Accès direct», c est-à-dire sans transfert de données
Plus en détailDes dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs
Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Plus le taux de versement des dividendes est élevé, plus les anticipations de croissance des bénéfices sont soutenues. Voir
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailSalary Plan. L assurance de groupe flexible pour salariés
Salary Plan L assurance de groupe flexible pour salariés Une assurance de groupe : oui ou non? La question ne se pose plus. Mais choisissez la bonne formule. La pension complémentaire : plus que jamais
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailGERANCE MINORITAIRE OU MAJORITAIRE : QUEL EST LE MEILLEUR STATUT?
Réf. :DEV/O/FC/015/06-06/OC 1/9 Pendant longtemps, le statut de gérant majoritaire de SARL a été le plus défavorable des statuts de dirigeant, tant au niveau fiscal que social. A contrario, le statut de
Plus en détail«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire
«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire Congrès exceptionnel FGTB Liège-Huy-Waremme 2009 - Document de travail
Plus en détailGuide technique relatif aux contrats collectifs obligatoires complémentaires frais de santé bénéficiant d aides fiscales et sociales
Guide technique relatif aux contrats collectifs obligatoires complémentaires frais de santé bénéficiant d aides fiscales et sociales Exonération sociale et déductibilité fiscale du financement patronal
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailProjet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss
Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit
Plus en détailRevendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!
Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations
Plus en détailPremière société de portage salarial en Languedoc-Roussillon depuis 1999
Première société de portage salarial en Languedoc-Roussillon depuis 1999 Qui est AXE ENTREPRISES? Qu est-ce que LE PORTAGE? Qu est-ce qu une SOCIÉTÉ DE PORTAGE? LE PORTAGE le principe qui est concerné?
Plus en détailExpert. en Protection Sociale Complémentaire
Expert en Protection Sociale Complémentaire Notre métier _Optimiser les régimes de protection sociale dans l intérêt mutuel des employeurs et des salariés. COLLECteam La force d un groupe Filiale du groupe
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détailLivret Pratique. sur le portage salarial. L alternative à la création d entreprise
Livret Pratique sur le portage salarial L alternative à la création d entreprise Le portage salarial En quoi consiste le portage salarial? Le portage salarial est une solution alternative à la création
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailPAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLa retraite et l inaptitude au travail
La retraite et l inaptitude au travail 1 Le calcul de la retraite Salaire annuel moyen X Taux X Trimestres du RG Calculé sur les 25 meilleures années Varie entre 160 25% minimum et 50% maximum 2 Le taux
Plus en détailCRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS
CRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS La réforme 28 est particulièrement incitative à l embauche de jeunes docteurs. Deux des nouvelles dispositions de la réforme 28 du crédit d impôt recherche (CIR)
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détail«seul le prononcé fait foi»
«seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs
Plus en détailXXVI E ASSISES DE LA TRADUCTION LITTÉRAIRE
XXVI E ASSISES DE LA TRADUCTION LITTÉRAIRE COLLOQUES TRADUIRE ÉROS 73 TRADUCTION / ÉDITION : ÉTAT DES LIEUX DELPHINE RIVET 86 COLLOQUES QUI sont les traducteurs aujourd hui? Comment leur rémunération a-t-elle
Plus en détailREUNION PARITAIRE DU 12 OCTOBRE 2007 SUR LA MODERNISATION DU MARCHE DU TRAVAIL LE RETOUR A L'EMPLOI. Note de problématiques
12/10/2007 REUNION PARITAIRE DU 12 OCTOBRE 2007 SUR LA MODERNISATION DU MARCHE DU TRAVAIL LE RETOUR A L'EMPLOI Note de problématiques Les travaux des groupes paritaires de la délibération sociale ont fait
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailObjet : Remarques de Manufacturiers et exportateurs du Québec sur le régime d assuranceemploi
Le 15 juillet 2013 Madame Rita Dionne-Marsolais Monsieur Gilles Duceppe Coprésidents Commission nationale d examen sur l assurance-emploi Tour de la Place Victoria, C.P. 100 800, rue du Square Victoria,
Plus en détailNouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée
Nouveaux enjeux du mandat Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée - 121,8-117,1 Déficit budget Etat (en milliards d'euros) - 130,0-120,0-110,0-100,0-90,0-80,0-70,0-60,0-50,0-40,0-30,0-20,0-10,0
Plus en détailL euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité
L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailENTREPRISE DE NETTOYAGE
ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE
Plus en détailwww.expert-invest.fr
www.expert-invest.fr Ce document est une synthèse non exhaustive du contenu du bilan patrimonial professionnel que nous proposons. Il ne saurait se substituer à une véritable analyse de notre part ni remplacer
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détail