Lien entre suicide et jeu pathologique Réflexion sur l utilisation des services
|
|
- Arthur Sylvain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lien entre suicide et jeu pathologique Réflexion sur l utilisation des services Monique Séguin Ph.D. Université du Québec en Outaouais Groupe McGill d études sur le suicide, Hôpital Douglas, Université McGill Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine Turecki, G., Lesage A., DiMambro, M Colloque régional sur les dépendances en Outaouais 4 Novembre 2010
2 Facteurs de risque associés au suicide Les facteurs de risque associés au suicide inclus : le genre, les tentatives de suicide antérieures, des antécédents de maltraitances et histoires familiales de santé mentale, la présence de troubles psychiatriques, les troubles de dépendance aux substances, et un traitements inadéquat des troubles mentaux. Plus récemment le jeu pathologique a été identifié par plusieurs auteurs comme étant un facteurs de risque potentiel.
3 Jeu et risque suicidaire Les personnes ayant un trouble de jeu pathologique sont 3.4 fois le plus à risque de tentative de suicide comparativement à la population générale. Les études sur le suicide rapportent des taux variant entre 30% à 60% de troubles de dépendances et 5% de troubles de jeu pathologique (Séguin, Lesage, Guy, Daigle, & Turecki, 2006). Chez les joueurs, on rapporte des taux de comportements suicidaires (tentatives et idées suicidaires) varaint entre 10% and 50%- dans les 12 derniers mois.
4 Jeu et idées suicidaires Les études ayant observé les joueurs en traitement pour leurs problèmes de jeu rapportent qu entre 20 et 40% des personnes ont eu des comportements suicidaires Dans un étude ayant interrogé des hommes et des femmes en traitement pour les problèmes de jeu, 51% indiquent avoir pensé au suicide au cours des 12 derniers mois.
5 Chez les joueurs en traitement pour les troubles de jeux de hasard et d argent: - une association avec la dépression, l anxiété, l abus de substance et les troubles de la personnalité (Lesieur & Rosenthal, 1991); -un moins bon état de santé physique (Erickson, Molina, Ladd, Pietrzak & Petry, 2005) - un fonctionnement social de faible niveau tel que mesuré par les taux de divorce, d arrestation et d incarcération (Blaszczynski & Silove, 1996).
6 L enquête épidémiologique sur l alcoolisme et les troubles associés (NESARC, 2008; National Epidemiological Survey of Alcoholism and Related Disorders n= 43,093) suggère: - plus de cooccurrence de diagnostics psychiatriques sur l axe I chez les femmes que chez les hommes - les femmes rapportent davantage la présence de dépression majeure et de dysthymie - les deux groupes rapportent la présence de troubles d anxiété, alors que les hommes rapportent des taux plus élevés d abus et de dépendances aux substances.
7 Recherche de soins Une étude récente sur l utilisation des services par des personnes ayant des difficultés de jeux pathologiques, observe que les joueurs ont tendance a consulter les services d hospitalisation d urgence
8 Objectifs Notre étude compare : un groupe de 73 personnes décédées après suicide sans problème de jeu à un groupe de 49 personnes décédées après suicide avec un problème de jeu, sur les présence de troubles de santé mentale et l utilisation des services.
9 Procedures Méthodologie de recherche post- mortem dites d autopsie psycholgique. Les personnes avec un trouble de jeu ont été identifiés sur la base du SOGS- South Oaks Gambling Screen- et du module K du SCID-IV. Des vignettes cliniques ont été décrites sur la base des informations recueillis, au SCID-I et SCID-II et sur l utilisation et la recherche de services de santé mentale, informations recueillies auprès des répondants. L accès au dossiers hospitaliers permettaient de vérifier les données recueillies.
10 Données démographiques Jeu Non Jeu Hommes 92% 96%, Age moyen 44.7 years 43.5 years Avec partenaire 47% 45% Education supérieur 28% 19%
11 Activités de jeux Les activités de jeu étaient multiples : loterie vidéo, casino, cartes, activités sportives, etc. Dans la dernière année les activités de jeu étaient centrées surtout sur l achat de billets de loterie et l utiisation d appareils de loterie vidéo Le plus important montant d argent perdu en une journée : - 12% rapportent avoir perdu $5,000; - 69% ont emprunté pour rembourser des dettes de jeux.
12 Âge au moment du décès 20 à 29 ans 30 à 39 ans 40 à 49 ans 50 à 59 ans 60 ans et plus TOTAL n=6 n=11 n=15 n=12 n=5 n=49 Antécédents familiaux de jeu pathologique 9,1% 40,0% 14,3% Arrêt du jeu 18,2% 13,3% 8,3% 10,2% Efforts pour arrêter 66,7% 72,7% 46,7% 66,7% 40,0% 59,2% Âge début (moyenne) 17,2 ans 28,7 ans 32,3 ans 43,8 ans 41,0 ans 33,2 ans Âge fin (moyenne) 24,5 ans 36,1 ans 42,8 ans 54,4 ans 67,4 ans 44,2 ans Nb. années (moyenne) 7,3 années 8,1 années 11,3 années 10,6 années 26,4 années 11,4 années
13 Données sur la présence de psychopathologie
14 Pourcentages Psychopathologies à vie 90% 80% 85% 82% 70% 60% 62% 58% 62% 60% 50% 40% 41% 35% Décès sans jeu Décès avec jeu 30% 20% 14% 15% 14% 10% 2% 0% Trouble de l humeur Trouble d abus ou de dépendance Trouble anxieux Psychose et autres symptômes associés Total ayant au moins un DX Total co-morbidité Diagnostics
15 Pourcentages Psychopathologies durant la dernière année 100% 90% 90% 90% 80% 70% 64% 65% 69% 68% 60% 55% 50% 40% 48% Décès sans jeu Décès avec jeu 30% 20% 17% 13% 14% 10% 4% 0% Trouble de l humeur Trouble d abus ou de dépendance Trouble anxieux Psychose et autres symptômes associés Total ayant au moins un DX Total co-morbidité Diagnostics
16 Pourcentages Troubles de la personnalité 45% 40% 40% 35% 30% 25% 23% Décès sans jeu 20% 19% Décès avec jeu 15% 10% 10% 5% 1% 4% 6% 2% 0% Groupe A Groupe B Groupe C Non spécifiez Groupes
17 Utilisation des services
18 Tableau synthèse des services reçus dans le dernier mois DSJ n = 73 DJ n= Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs
19 Tableau synthèse des services reçus dans le dernier mois 7 6,750 Risque (OR) 6 5 4, , ,844 0 Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs Services
20 Tableau synthèse des services reçus dans la dernière année DSJ n = 73 DJ n= Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs
21 Tableau synthèse des services reçus dans la dernière année 7 Risque (OR) 6 5 5, ,469 3, ,272 0 Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs Services
22 Tableau synthèse des services reçus à vie DSJ n = 73 DJ n= Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs
23 Tableau synthèse des services reçus à vie 9 8,248 8 Risque (OR) , , , Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs Services
24 Tableau synthèse des services totalisant toutes les périodes DSJ n = 73 DJ n= Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs
25 Tableau synthèse des services totalisant toutes les périodes 9 8 7,849 Risque (OR) 7 6 6, , , Première ligne médicale Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne Services spécialisés privés ou publics Services bénévoles ou sans but lucratifs Services
26 Tableau synthèse des services reçus mois, année et vie Nombre de personnes ayant consulté au moins un service (%) DSJ n = 73 DJ n = 49 OR IC p Mois Première ligne médicale (généraliste et autres médecins) Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne infirmière, travailleur social, centre jeunesse ou professionnel scolaire, policier) Services spécialisés privés ou publics (psychiatre, psychologue, infirmière, travailleur social, centre de crise, centre de désintoxication, hospitalisation, urgence) Services bénévoles ou sans but lucratifs (ligne d écoute, clergé, AA, NA) Année Première ligne médicale (généraliste et autres médecins) Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne infirmière, travailleur social, centre jeunesse ou professionnel scolaire, policier) Services spécialisés privés ou publics (psychiatre, psychologue, infirmière, travailleur social, centre de crise, centre de désintoxication, hospitalisation, urgence) Services bénévoles ou sans but lucratifs (ligne d écoute, clergé, AA, NA)
27 Tableau synthèse des services reçus mois, année et vie Nombre de personnes ayant consulté au moins un service (%) DSJ n = 73 DJ n = 49 OR IC p À vie Première ligne médicale (généraliste et autres médecins) Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne infirmière, travailleur social, centre jeunesse ou professionnel scolaire, policier) Services spécialisés privés ou publics (psychiatre, psychologue, infirmière, travailleur social, centre de crise, centre de désintoxication, hospitalisation, urgence) Services bénévoles ou sans but lucratifs (ligne d écoute, clergé, AA, NA) Total Première ligne médicale (généraliste et autres médecins) Professionnel de la santé et services sociaux et intervenant de première ligne infirmière, travailleur social, centre jeunesse ou professionnel scolaire, policier) Services spécialisés privés ou publics (psychiatre, psychologue, infirmière, travailleur social, centre de crise, centre de désintoxication, hospitalisation, urgence) Services bénévoles ou sans but lucratifs (ligne d écoute, clergé, AA, NA)
28 Résumé Les deux groupes sont comparables en terme de psychopathologies exception du cluster B et bien sûr la présence de jeu pathologique Malgré que les deux groupes utilisaient peu de services dans le dernier mois et la dernière année, ces résultats sont encore plus importants pour le groupe de joueurs. Un petit nombre des joueurs (2%) ont utilisé des services de psychothérapies pour leurs problèmes de jeux.
29 Conclusion Les résultats militent en faveur du dépistage des problème de jeux de manière plus précoce, en vue de modifier les attitudes à l égard de l utilisation de services (santé mentale et jeux) et ainsi diminuer la stigmatisation associée au jeu pathologique Meilleur dépistage des problèmes de jeux souvent asociés à d autres troubles de santé mentale.
30 Merci et questions
testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailDr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détaila1 : Le questionnaire South Oaks Gambling Screen (sogs)
a1 : Le questionnaire South Oaks Gambling Screen (sogs) 1. Veuillez indiquer auxquels des types de jeux suivants vous avez déjà joué dans votre vie. Pour chacun, répondez «pas du tout», «moins d une fois
Plus en détailJEUX PATHOLOGIQUES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES (Janvier 2007)
JEUX PATHOLOGIQUES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES (Janvier 2007) Entrée de jeu : «Au Québec, les jeux de hasard et d argent se retrouvent sous différentes formes comme les casinos, les jeux de cartes, les loteries,
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailCoûts sociaux du jeu dans les casinos
BÜRO FÜR ARBEITS- UND SOZIALPOLITISCHE STUDIEN BASS AG KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERN. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Coûts sociaux du jeu dans les
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailPrévenir. le suicide. pour préserver. la vie. Guide de pratique clinique
Prévenir le suicide pour préserver la vie Prévenir le suicide pour préserver la vie Coordination Suzanne Durand, inf., M.Sc.inf., DESS bioéthique Directrice, Direction du développement et du soutien professionnel,
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailIMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES
Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailJEU. Éducation et traitement dans un contexte de soins en établissement PROBLÉMATIQUE. Guide de l animateur
JEU Éducation et traitement dans un contexte de soins en établissement PROBLÉMATIQUE Guide de l animateur Jeu problématique Éducation et traitement dans un contexte de soins en établissement Guide de
Plus en détailRapport sur les maladies mentales au Canada
Rapport sur les maladies mentales au Canada + La société pour les + Association des + Association des + Instituts de troubles de l'humeur du Canada directeurs de départements de psychiatrie du Canada +
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailProgramme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010
Conférence de presse du 6 mai 2008 Salle des Solives, 1er étage Maison Supersaxo à Sion Programme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010 Projet des Centres d Aide et de
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailLe jeu pathologique en Suisse: quelques données épidémiologiques*
Le jeu pathologique en Suisse: quelques données épidémiologiques* Guido Bondolfi, médecin associé, département de Psychiatrie, Hôpitaux Universitaires de Genève; Christian Osiek, psychologue, professeur
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailProgramme Scientifique
Programme Scientifique L AFTAD est un organisme de FMC Agrément n 100381 Le Congrès Les Journées de l AFTAD donne droit à 12 crédits de FMC au titre de la Formation Présentielle, pour les médecins libéraux
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailDans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes.
Dans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes. Centre de Référence du Grand Montréal Organisme de charité enregistré (10689 5840 RR0001)
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailAnnée Universitaire 2008-2009
Année Universitaire 2008-2009 1 ère Année DIPLOME INTER UNIVERSITAIRE de SEXOLOGIE et du DIU D ETUDES BIOLOGIQUES, PSYCHOLOGIQUES, et SOCIALES de la SEXUALITE HUMAINE Les cours auront lieu : Le Vendredi
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailPour joindre Jeu : aide et référence par téléphone: Aide en ligne : www.jeu-aidereference.qc.ca
Dans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes. Centre de Référence du Grand Montréal Organisme de charité enregistré (10689 5840 RR0001)
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détail2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication
Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détaill «Or? Gris» pourquoi et comment? CONNAISSEZ-VOUS LES TISSUS HUMAINS POUR LA RECHERCHE :
CONNAISSEZ-VOUS l «Or? Gris» LES TISSUS HUMAINS POUR LA RECHERCHE : pourquoi et comment? Renseignements préalables au consentement de don de cerveau à la Banque de cerveaux du Centre de recherche de l
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailMISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE)
MISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE) CODE D ÉTHIQUE ET DE DÉONTOLOGIE DES MEMBRES DE L ASSEMBLÉE NATIONALE (chapitre C-23.1, articles 37 et 38)
Plus en détailBesoin de soins en santé mentale versus besoin de soins en pédopsychiatrie. Approche épidémiologique
Neuropsychiatrie de l enfance et de l adolescence 57 (2009) 494 501 Conférence plénière Besoin de soins en santé mentale versus besoin de soins en pédopsychiatrie. Approche épidémiologique Mental health
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail2015-05-19 PLAN DE LA PRÉSENTATION HISTORIQUE DU SI
L APPROCHE BIOPSYCHOSOCIALE DES INFIRMIÈRES CLINICIENNES EN SUIVI INTENSIF DANS LA COMMUNAUTÉ, LÀ OÙ L ÉVALUATION DE LA CONDITION PHYSIQUE ET MENTALE PREND TOUT SON SENS! PAR : LUCE CÔTÉ, INF. M.ED AMÉLIE
Plus en détailSONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE
SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailComment désamorcer une crise suicidaire avant la phase aiguë ou le passage à l acte? Monique SÉGUIN, Ph.D.
Comment désamorcer une crise suicidaire avant la phase aiguë ou le passage à l acte? Monique SÉGUIN, Ph.D. Directrice du programme de psychologie - Université du Québec à HullDirectrice du Laboratoire
Plus en détailDIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie
DIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie Accompagnement des Personnes Atteintes de Maladies Génétiques et de leur Famille D.U. - 1
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailSignes précurseurs. Jeu problématique
L aide aux enfants et aux jeunes qui ont des problèmes de jeu compulsif Information à l intention des parents et des aidants Que sont les jeux de hasard? Le jeu de hasard est toute activité où quelqu'un
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailde s appliquer aux enseignantes et enseignants qui ont commencé à cotiser au RRE avant l entrée en vigueur du RREGOP et qui n ont pas :
ANNEXE IV Régime de retraite Trois régimes peuvent s appliquer aux enseignantes et enseignants. Le RREGOP (Régime de retraite des employés du gouvernement et organismes publics) En vigueur depuis le 1
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailDans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes.
Dans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes. Centre de Référence du Grand Montréal Organisme de charité enregistré (10689 5840 RR0001)
Plus en détailLes soins de santé se sont les services de la part des médecins et des hôpitaux
Les soins de santé se sont les services de la part des médecins et des hôpitaux Qui peut obtenir des soins de santé au Canada? Tous les résidents permanents Vous avez besoin d'une carte d'assurance-maladie.
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLe taux de retour au joueur, un des facteurs de risque du jeu problématique liés à l'offre de jeu
Le taux de au joueur, un des facteurs de risque du jeu problématique liés à l'offre de jeu 1 JEAN-MICHEL COSTES OBSERVATOIRE DES JEUX 5èmes Assises nationales de la FFA Paris 27 septembre 2012 Plan 2 duction
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDoit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir?
CG 08-02-29 / 011 (FEC) Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? Document de réflexion présenté au Conseil général de la Fédération des enseignantes
Plus en détailPlan de la présentation
De «pair patient» à «pair aidant» : vers de nouvelles fonctions des destinataires de l action médico-sociale? Présentation Association Trait d Union 07.02.2014 Esther Hartmann, Pro Mente Sana Florence
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailStatuts de l Association Internationale de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescents, et des Professions Associées Constitution Amendé 2004
Statuts de l Association Internationale de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescents, et des Professions Associées Constitution Amendé 2004 Statuts IACAPAP version française 2004 p. 1 Statuts de L Association
Plus en détail«L amour érige des ponts là où il n y en a pas.»
«L amour érige des ponts là où il n y en a pas.» Madame, Monsieur, Je vous remercie de l intérêt que vous portez au Camp Bridges. Vous trouverez ci-joint le dossier de demande de participation. Le camp
Plus en détailJournée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre
Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au
Plus en détailRAPPORT DE RECHERCHE. Fondation de recherche en sciences infirmières du Québec (FRESIQ) Programme de recherche clinique en soins infirmiers
RAPPORT DE RECHERCHE Évaluation d un service téléphonique d information et de référence en santé mentale : une innovation clinique conçue par des infirmières Fondation de recherche en sciences infirmières
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailGUIDE DE L ASSURÉ. Optez pour l assurance. qui peut regrouper maladies graves et assurance vie
GUIDE DE L ASSURÉ Optez pour l assurance qui peut regrouper maladies graves et assurance vie Ne laissez rien au hasard AU CANADA ON ESTIME QUE À chaque heure : 16,65 personnes apprendront qu elles sont
Plus en détailDépendance au gambling repères pour le médecin de famille
C E S T S U R T O U T S U R L A C U L T U R E Q U I L F A U T A G I R Dépendance au gambling repères pour le médecin de famille par Amnon Jacob Suissa «Le pari le plus sûr dans un casino est d en être
Plus en détail