L ORGANISATION DES PSYCHOTHÉRAPIES AVEC DES AUTEURS DE VIOLENCES SEXUELLES JUDICIARISÉES

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1 L ORGANISATION DES PSYCHOTHÉRAPIES AVEC DES AUTEURS DE VIOLENCES SEXUELLES JUDICIARISÉES André Ciavaldini Docteur en Psychopathologie clinique Psychanalyste (SPP) Chercheur associé au Laboratoire de Psychologie Clinique de l Université de Paris 5 P. A. R. I. : Centre de recherches de traitements et psychanalytiques du CH de Saint-Égrève

2 PLAN I Généralités sur l organisation des psychothérapies II - Qu est-ce qu une psychothérapie III - Généralités sur le fonctionnement psychique et relationnel de l AVS IV - Les principales thérapies utilisées avec l AVS V - Le temps judiciaire et l organisation des psychothérapies CH Saint-Égrève 2

3 I GÉNÉRALITÉS SUR L ORGANISATION DES PSYCHOTHÉRAPIES Tout soin par une technique psychothérapique suppose pour le thérapeute : a) Évaluation des potentiels de traitement du patient b) Connaissance des potentiels thérapeutiques dont dispose le thérapeute c) Réflexion éthique portant sur 1) La légitimité du soin 2) La finalité du soin CH Saint-Égrève 3

4 II QU EST-CE QU UNE PSYCHOTHÉRAPIE (1) 1) Soin par l esprit et non de l esprit 2) Une psychothérapie est toujours intégrée à une culture donnée 3) Une psychothérapie s initie et se développe dans un espace en continuité avec l espace social 2 conséquences : - Les psychothérapies ont une histoire - Leur développement suppose une éthique Actuellement : entre 300 et 400 formes de psychothérapies CH Saint-Égrève 4

5 II QU EST-CE QU UNE PSYCHOTHÉRAPIE (2) 5) Définition 4 éléments : Moyen : TTT qui s effectue par des moyens psychologiques Objet : le conflit soit dans la vie psychique du sujet, soit dans la relation à l autre Fonction : TTT qui s accomplit toujours dans le cadre d une relation inter-humaine But : implication d un processus de changement relative imprévisibilité CH Saint-Égrève 5

6 II QU EST-CE QU UNE PSYCHOTHÉRAPIE (3) 6) Classifications Protéiformes. a) Multiples selon diverses références : théoriques techniques aspects formels indications b) Tenir compte de la disjonction entre l hypothèse de l Inconscient actions au niveau du conscient. c) L utilisation du corps (relaxation) ou au contraire accent mis sur un représentant en image ou en symbole. d) Etc. CH Saint-Égrève 6

7 II QU EST-CE QU UNE PSYCHOTHÉRAPIE (4) Exemple : 1) la psychanalyse et ses dérivés «face à face» 2) les thérapies dites «de groupe» ou «en groupe» avec hypothèse de l inconscient : a) avec ou sans support technique : groupe de parole libre ou groupe de pychodrame ; b) avec utilisation de média. 3)les thérapies dites «de groupe» ou «en groupe» sans hypothèse de l inconscient 4)Les thérapies familiales 5)Les thérapies corporelles et émotionnelles 6)Les thérapies comportementales et cognitives 7) Les appuis pédagogiques et insertifs CH Saint-Égrève 7

8 II QU EST-CE QU UNE PSYCHOTHÉRAPIE (5) Toutes les classifications zones de chevauchement Penser en termes de STRATÉGIE DE SOINS «Quelle psychothérapie, pour quel patient et réalisé par quel thérapeute et dans quelle circonstance sociale?» CH Saint-Égrève 8

9 III GÉNÉRALITÉS SUR LE FONCTIONNEMENT PSYCHIQUE ET RELATIONNEL DE L AUTEUR DE VIOLENCES SEXUELLES (AVS) L AVS se caractérise par : 1) Psyché mal, ou pas limitée 2) Difficile reconnaissance de l altérité peu ou pas de culpabilité 3) Modalités défensives «primaires» 4) Peu d investissement du registre verbal 5) Le «passage à l acte» = fonction de régulation psychique 6) L environnement participe à sa régulation psychique 7) De multiples déficits : sexualité, émotionnalité, affectivité, habiletés sociales 8) Des carences affectives précoces, des violences dans l enfance, une délinquance autre que sexuelle CH Saint-Égrève 9

10 IV LES PRINCIPALES THÉRAPIES UTILISÉES AVEC LES AVS 1) Les thérapies psychodynamiques Dérivées des concepts psychanalytiques a) Buts du traitement : Réaménagement de l équilibre des forces internes Assouplissement des mécanismes défensifs des risques de passages à l acte + qualité de vie c) Indications : large spectre, mais nécessite Reconnaissance minimale de l acte Identification a minima d une souffrance psychique (perte de contrôle) Capacité minimale de flexibilité défensive Capacité minimale de verbalisation CH Saint-Égrève 10

11 Les 5 critères de «bon répondeur» à une proposition de psychothérapie psychodynamique (évalués sur la base de passation du QICPAAS) 1) Reconnaissance totale de l infraction 2) Se sentir anormal au moment de l infraction 3) Reconnaissance spontané&e dune impulsion à l origine de l acte 4) Arrestation = soulagement 5) Reconnaissance qu une contrainte a été exercée pendant l acte CH Saint-Égrève 11

12 2) Les thérapies de groupe Inspirée principalement des concepts analytiques (ou systémiques) a) Indications : Piètre maîtrise de la verbalisation Peu de tolérance à l angoisse Peu de culpabilité Notion d altérité mal limitée Faible motivation au traitement Première intention b) Avantages La confrontation avec des pairs Groupe = qualité d organisation psychique L action = mode d expression prévalent = vecteur thérapeutique utilisation de techniques : jeu de rôle et psychodrame CH Saint-Égrève 12

13 Buts de la thérapie de groupe i. Généraux = identiques à la thérapie psychodynamique ii. Individuels = définis au cas par cas a. Stimulation de l alliance thérapeutique b. Propose d emblée des axes de travail psychique c. Amélioration rapide i. tolérance à la critique ii. expression et gestion des émotions iii. habiletés sociales : expression verbale compréhension écoute de l autre réflexion etc. CH Saint-Égrève 13

14 3) Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) Base psychologie scientifique fonctionnement cérébral explique le fonctionnement psychologique. intègrent : Neuro-sciences (mémoire, schéma cognitifs) évaluation facile a) La thérapie comportementale S appuie sur la théorie de l apprentissage Tout comportement est appris et donc modifiable par une technique appropriée Techniques de conditionnement : renforcement ou aversion b) La thérapie cognitive fonctionnement mental = traitement de l information Le fonctionnement pathologique = erreur (bugs) de TTT CH Saint-Égrève 14

15 Fonctionnement clinique des TCC Symptôme = comportement inadapté Mise en place de procédure de correction = programme thérapeutique (procédure thérapeutique standardisée dans le temps et l espace) + évaluation BUT = réduire le symptôme par apprentissage de séquences incompatibles avec la séquence inadaptée Leurs buts sont plus proches d une psycho-pédagogie que d une thérapie CH Saint-Égrève 15

16 4) Les thérapies familiales Trois modèles : systémique, psychanalytique, comportemental Modèle psychanalytique : But : - Autonomisation des psychismes individuels - Rétablissement de la circulation fantasmatique intra-familiale Technique : - Réunion des membres d une famille représentant deux générations - Pas de refus formel d un membre - Cadre temporel, géographique et de fonctionnement fixe - Interprétation symbolique et analyse des rêves Indications générales des thérapies familiales : Psychopathie, Violence sexuelle, inceste Pathologie psychosomatique Psychose, schizophrénie Toxicomanie TCA, anorexie Répétition et / ou multiplication de symptômes CH Saint-Égrève 16

17 5) Les techniques corporelles et de relaxations Base : tonus musculaire = variable développementale a. participe de l adaptation à notre environnement b. mémoire corporelles de l histoire de nos adaptations primitives base de l affectif c. But = permettre de trouver / retrouver un éprouvé d une unité corporelle Reconstituer une enveloppe corporelle Lier des éprouvés archaïques à des représentations verbales Ne peut être qu un appoint dans une stratégie de soin CH Saint-Égrève 17

18 6) Les appuis pédagogiques et insertifs non directement psychothérapiques a) BUT : permettre la découverte, l amélioration, le développement et / ou l expression de certaines données absentes et / ou déficitaires information sexuelle développement sensoriel expression émotionnelle etc. b) Techniques utilisant des médias Photolangage, art-thérapies, jeux, etc. Groupes pédagogiques ciblés Ateliers divers Appoints spécifiques dans une stratégie de soin psychodynamique ou TCC CH Saint-Égrève 18

19 V LE TEMPS JUDICIAIRE ET L ORGANISATION DES PSYCHOTHÉRAPIES 4 temps judiciaires : I - L instruction puis le jugement II - L incarcération III - La libération IV - Le suivi post-carcéral 2 lieux : La détention L espace libre ou ouvert Les stratégies thérapeutiques seront différentes selon les temps judiciaires et les lieux de prise en charge CH Saint-Égrève 19

20 Temps I : Instruction 1 - L instruction sans détention Ambiguité de la demande : Présomption d innocence Demande incitée par les avocats Embolisation du processus thérapeutique par l attente du jugement Risque sérieux de faux travail thérapeutique Grande réserve dans l acceptation des «demandes» CH Saint-Égrève 20

21 Temps II : l incarcération = incitation sous contrainte aux soins En général exécution de la peine dans un établissement capable d assurer un suivi médico-psychologique adapté Pendant la détention pas d Injonction de soins Incitation sous contrainte (accès aux RPS) aux soins CH Saint-Égrève 21

22 Schéma d un principe de soin en détention Le patient = patient détenu Contenu par l espace de détention qu est la prison L environnement = contrainte = contention Contenance corporelle apaisement psychique Favorise le travail psychique permettra une élaboration psychique En détention offre précoce de soins CH Saint-Égrève 22

23 Le triple objectif thérapeutique 1) Réorganiser le système défensif psychique 2) Renforcement du contrôle pulsionnel Utilisation des moyens disponibles pour permettre à l AVS i. Acquérir des compétences cognitives et affectives conduisant à des relations satisfaisantes avec son environnement ii. Développer sa capacité de maîtrise de son excitation sexuelle déviante iii. Corriger les distorsions cognitives en matière de sexualité iv. Identifier les situations (cognitives, affectives) favorisant le passage à l acte, pour les éviter, s en échapper ou y mettre fin. 3) Augmentation (à terme) de la qualité de vie CH Saint-Égrève 23

24 Mise en place de stratégies et de programmes de soins psychothérapiques À l arrivée en détention, que font les sujets? Ils dupliquent leurs modèles de fonctionnement psychique Projettent à l extérieur celui-ci l équipe de soin, la psyché du soignant surcharge de processus archaïque violences institutionnelles risque de clivage Nécessité d un travail institutionnel + procédures codifiées CH Saint-Égrève 24

25 Nécessité de procédures codifiées et identifiées par tous 1- Proposition précoce de soin 2- Recherche d une alliance thérapeutique - une attitude active du thérapeute Susciter la «demande» - l utilisation de média aménageant la relation d accueil : type QICPAAS 3- Diagnostic a - psycho-dynamique b - psychiatrique c - sexologique d - socio-éducatif e - insertion affective CH Saint-Égrève 25

26 Proposition d un programme thérapeutique adapté En fonction - des capacités de reconnaissance du sujet - du degré d alliance thérapeutique - des capacités intellectuelles et de verbalisation - des moyens techniques disponibles 4- Élaboration et proposition d un programme de soin adapté à chaque patient à objectif gradué 1-purement comportemental (prévention de la récidive, renforcement des interdits) 2-amélioration du contrôle de soi 3-réorientation des choix sexuels 4-réaménagement des défenses psychiques CH Saint-Égrève 26

27 Construction du programme et évaluation 5-Utilisation des diverses techniques disponibles en fonction des objectifs définis (en alliance avec les TTT médicamenteux nécessaires) - Ateliers d expressions - Groupes d aide pédagogique - Psychothérapies proprement dites 6 -Évaluations régulières des procédures mises en œuvres 7 - Ré-évaluations régulières, si nécessaire, du programme de soin CH Saint-Égrève 27

28 Adéquation négociée du programme et de l objectif thérapeutique TOUT PROGRAMME DE SOINS PSYCHIQUES POURRA UTILISER DIVERSES TECHNIQUES QUI SERONT JUGÉES COMPLÉMENTAIRES ET ADAPTÉES À CHAQUE CAS EN FONCTION DE L OBJECTIF DÉFINI AVEC LE PATIENT ET ÉVALUÉES PAR L ÉQUIPE COMME NÉCESSAIRE POUR PARVENIR À CE BUT CH Saint-Égrève 28

29 Nécessité d un travail psychothérapique institutionnel 1- Travail d équipe : pas de secret entre membre d une équipe (éviter l emprise et le clivage) 2- Consignation du contenu des séances et des éléments émotionnels contre-transférentiels 3- Supervision régulière permettant aux soignants l élaboration de leurs contenus émotionnels et psychiques en rapport avec le soin psychique CH Saint-Égrève 29

30 Temps III : La libération Temps thérapeutique important Travail de liaison intra-extra carcéral Assurer une continuité des investissements thérapeutiques du patient Ce sera à l équipe soignante intra-carcérale d aider le patient à effectuer la séparation d avec elle. Liaison pendant l incarcération (courrier, rencontre lors d une sortie d essai) avec l équipe ou le thérapeute qui suivra le sujet dans le milieu libre CH Saint-Égrève 30

31 Temps IV : Le suivi en milieu ouvert : la thérapie sous contrôle judiciaire Activation de l injonction de soin Information faite par JAP médecin coordonnateur Choix du «médecin traitant» Le «médecin traitant» - Il est volontaire pour suivre ce type de patient et spécialisé dans leur traitement - L obligation de soin ne lui est pas destinée - Il respecte les règles de sa déontologie professionnelle et celles imposées par les prises en charge sous contrainte pénale CH Saint-Égrève 31

32 Le «médecin traitant» et l organisation des psychothérapies (1) 1) Le «médecin traitant» = équipe de soins de secteur psychiatrique (voir annexe 2) Ce peut-être des non-médecins qui assurent les prises en charges (principalement des psychologues) sous la responsabilité du médecin responsable médical du centre L organisation de la psychothérapie se fera en suivant peu ou proue les mêmes règles que pour l équipe intra-carcérale La confidentialité ne s adresse qu aux membres de l équipe qui ne souhaitent pas travailler avec ces sujets. CH Saint-Égrève 32

33 Le «médecin traitant» et l organisation des psychothérapies (2) 2) Le «médecin traitant» = praticien de cabinet libéral - Le praticien traitant est libre des techniques thérapeutiques mises en œuvre - Il a un interlocuteur privilégié qui est le médecin coordonnateur CH Saint-Égrève 33

34 Le réseau santé-justice et l organisation des psychothérapies Pour le médecin coordonnateur, (voire le «médecin traitant»), la participation au réseau régional santé-justice permet a) Identification des partenaires nécessaires ou obligés -Du soin -De la justice -De l accompagnement social b) Représentation de l espace judiciaire du probationnaire c) Évite les clivages Participe pleinement de l organisation des psychothérapies CH Saint-Égrève 34

35 Bibliographie générale Psychothérapies et violences sexuelles AUBUT J. et al. (1993) : Les agresseurs sexuels, Paris, éd. Maloine. BALIER Cl. (1996) : Psychanalyse des comportements sexuels violents, Paris, éd. PUF. BARON-LAFORÊT S. (2001) : «Les soins pour les auteurs d infractions sexuelles», Psychiatrie Française, n spécial, pp CONFÉRENCE DE CONSENSUS (2001) : Psychopathologie et traitements actuels des auteurs d agression sexuelle, nov 2001, Paris, éd. John Libbey eurotext et Fédération Française de Psychiatrie. CIAVALDINI A.(1999) : Psychopathologie des agresseurs sexuels, Paris, éd. Masson, éd. revue CIAVALDINI A. ss dir. (2003) : Violences sexuelles : le soin sous contrôle judiciaire, Paris, éd. In Press. CIAVALDINI A., BALIER Cl. ss dir. (2000) : Agressions sexuelles : pathologies, suivis thérapeutiques et cadre judiciaire, Paris, éd Masson. GABEL M. (1992) : Les enfants victimes d abus sexuels, Paris, éd. PUF. GABEL M., LEBOVICI S., MAZET PH. ss dir. (1995) : Le traumatisme de l inceste, Paris, éd. PUF. MORO M.-R., LACHAL C. (1996) : Introduction aux psychothérapies, Paris, éd. Nathan, col WIDLÖCHER D., BRACONNIER A. (1996) : Psychanalyse et psychothérapies, Paris, éd. Flammarion, col. Médecine Sciences. CH Saint-Égrève 35

36 Annexe Exemple d une organisation des psychothérapies en Maison d Arrêt (Guillon É., ARTAAS Info, n 7 printemps 04) La MA de Blois : protocole facilitateur de soins psychiques 1) Premier contact : entretien d accueil par des infirmiers psy. demande ou reconnaissance d une nécessité de soin. 2) Mise en place d entretiens à visée thérapeutique avec un psychologue et un infirmier qui a réalisé l entretien d accueil. 3) Lors d un entretien psychiatrique d évaluation des motivations et de la demande de soins proposition d intégrer un groupe de parole, avec signature d un contrat de soin. Le groupe de parole est un «accélérateur de soin» (10 séances en 3 mois) - définition des termes (reconnaissance implicite des faits) - évaluation des responsabilités - place de la reconnaissance de la victime - sens donné au passage à l acte dans son histoire - différence entre soi et autrui - dissociation fantasme et réalité - reconnaissance de sa propre violences - repérage des comportements sociaux admis et interdits CH Saint-Égrève 36

37 Annexe 2 Exemple d une organisation des psychothérapies en milieu ouvert Centre du PARI, Grenoble (Centre de recherches et de psychothérapies psychanalytique du CH de Saint-Égrève) Intersectoriel, uniquement psychothérapique, tête de réseau. 1) Entretien d accueil : sujet vu par un psychologue et un médecin Évaluation psychiatrique, psychodynamique de l organisation psychique, des possibilités d alliance thérapeutique et de la reconnaissance des faits, de la position à l égard de la loi, de la sentence et de la peine effectuée + documents judiciaires 2) Bilan psychologique : épreuves projectives + échelles spécifique (première évaluation) 3) Confrontation en staff d équipe des conclusions du bilan et des conclusions et éprouvés des deux premiers intervenants : une indication est posée. 4) Rencontre du probationnaire et proposition thérapeutique, étude de sa faisabilité + négociation Si accord : demande d engagement dans le soin présentation des contraintes et des règles de fonctionnement 5)Entretien trimestriel de perlaboration à deux (avec un tiers non engagé dans la thérapie) 6) Bilan semestriel avec les diverses instances (dont SPIP et médecin coordonnateur) 6) Bilan psychologique annuel et réévaluation du soin si nécessaire CH Saint-Égrève 37

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