Traitement de la douleur cancéreuse
|
|
- Bernadette Grondin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1
2 Traitement de la douleur cancéreuse Traiter le cancer Traiter la douleur Radiothérapie Chirurgie Chimiothérapie Hormonothérapie Evaluation qualitative Douleur de fond ADP Molécules posologies Effets indésirables Réévaluation du traitement Traiter l homme l malade (et son entourage) 2
3 Epidémiologie nouveaux cas de cancer en France en patients avec un cancer actif 36 études patients - 20 à 50 % douleur au moment du diagnostic - 55 à 95 % douleur aux stades avancés
4 Van den Beuken-van Everdingen MHJ : Prevalence of pain in patients with cancer: a systematic review of the past 40 years. Annals of Oncology 2007; 18:
5 Progrès?? Enquêtes Larue Brasseur 12 ans d intervalle ( ) 608 patients Prévalence douleur - Semaine précède l'enquête Traitement inadéquat (recommandations OMS, ANAES ) % 56% 49% 39% 1995 mêmes auteurs - 38 % palier 3-69 % douleur forte - 30 % pas de traitement - 51 % soulagement insuffisant
6 Douleurs liées à la tumeur 70 % Douleur de fond - Nociceptive - Neuropathique Mixte 60 % ADP Aux traitements spécifiques 20 % Sans lien 10 %
7
8 Chirurgie Curative Exérèse large monobloc * Néphrectomie Localisée Exploratrice d inventaire pré thérapeutique de second look De réduction du volume tumoral Glioblastome Ovaire D exérèse des récidives ou métastases Hépatiques Pulmonaires * Tumorectomie Evidemment Ganglionnaire * Curage de nécessité * curage de principe Préventive Métas osseuses Palliative Dérivation voies urinaires, digestives Réparatrice et de reconstruction Sein Maxillaire. 8
9 Chirurgie Douleurs nociceptives = Post opératoires Douleurs neuropathiques = Post chirurgicales Douleurs morales = Diagnostic, perte, handicap 9
10 Radiothérapie RTE Transcutanée Rayon ४ = Cobalt Accélérateurs linéaires d électrons Hémi corporelle Haute énergie Protons : T. localisées inaccessibles chirurgie doses élevées d irradiation Mélanome œil Rétinoblastome Ion hélium Sarcome base crâne Malformation A-V intracrânienne Curiethérapie Radium Iridium Cesium 10
11 Radiothérapie RTE métabolique Tropisme cellulaire des tissus irradiation sélective IODE RA Strontium Sammarium Association RTE - Chimiothérapie 11
12 Douleurs nociceptives en cours de traitement si chirurgie Douleurs neuropathiques à distance si chimiothérapie Douleurs mixtes à plus long terme = nécroses osseuses, K ORL Si biphosphonates 12
13 Chimiothérapie Première hémopathie Secondaire métastases récidives Néoadjuvante 1 er traitement réduction volume tumoral avant chirurgie Adjuvante Diminuer les micro-métastases K sein, ostéosarcome Loco-régionale Intra artérielle, intra péritonéale Associée à RTE 13
14 Chimiothérapie Douleurs nociceptives Douleurs neuropathiques par Douleurs mixtes Douleurs psychologiques en cours Mucites toxicité nerveuse CDDP/Alcaloïdes pervenche/taxane s nécrose cutanée Anthracycline/VC R/Mitomycine Alopécie, mammectomie 14
15 Autres traitements Facteurs de croissance Douleurs osseuses Interferon Biphosphonates Douleurs musculaires et articulaires Inhibiteurs de l aromatase Douleurs musculo squelettiques 15
16 Douleurs séquellaires Fréquence 25 à 30 % Neuropathiques Chirurgie Radiothérapie Chimiothérapie Surtout si association Indépendantes du pronostic de la maladie Mal reconnues A identifier le plus rapidement Source d anxiété Altèrent la qualité de vie 16
17 17
18 Particularités de la douleur en cancérologie Douleur de fond nociceptive Présente 12 h/j Nécessite un traitement de fond par opioïde * Contrôlée si 30/100 Douleur neuropathique Composante de fond Brûlure, fourmillements, élancements, Dysesthésies, paresthésies Composante paroxystique Décharges électriques, coups de poignard. Souvent mixte Examen de la sensibilité superficielle Déficit sensitif, allodynie, Hyperpathie Du secteur douloureux par comparaison au côté opposé. Outils d évaluation spécifiques : DN4
19 Accès douloureux paroxystiques Exacerbation transitoire de la douleur de courte durée,à un niveau intense chez un patient présentant une douleur de fond légère ou modérée, contrôlée par un traitement Opioïde de fond. Existe aussi dans les douleurs non cancéreuses (lombalgiques). (Déf Portenoy) Concernes 50 à 90 % des patients dl K. 64 % Portenoy 65 % Caraceni 19
20 Circonstances de survenue des ADP Dl provoquée 50 à 60 % des ADP (Portenoy) Marche Mastication Soins etc Souvent associées à méta os et fractures Moyens de prévenir dl provoquées par les soins Dl spontanée 20 à 60 % Dl en fin de période d action de l antalgique < à 12 h Dl neuropathique Dl induite par le stress et anxiété Dl autre idiopathique
21 ADP Organes concernés Somatique 33 % Viscérale 20 % Neuropathique 27 % Mixte 20 % Mécanismes Nociceptif Neuropathique Mixte Psycho jamais abordée
22 Caractéristiques I ntensité 5 à 10/10 présentation Nb 4 à 7/Jour moy 1 à 50 Pas de relation avec le type de dl Durée < 30 min. 50 % des patients Portenoy < 20 min. 72 % Zeppetela Survenue en 3 min à 10 min 43% Portenoy Quand plus courte souvent dl neuropathiques Etiologies le cancer 76 % le traitement 20 % Associées à Mauvais contrôle de la douleur Score anxiété-dépression élevé Baisse de la QV : moral,sommeil,activ physique
23 Diagnostic - Douleurs de fin de dose 2 à 3 h avant l horaire de la prise pour LP Installation progressive/durée plus longue Adapter le TT de fond Doses Intervalle de prise - Douleurs en cours d équilibration antalgique - Douleurs aigues autre topographie -Douleurs liées à la progression tumorale
24 Hospitalisation Coût Enquête patients douleur cancer Absence ADP % Avec ADP 36.5 % ADP /year/patient Sans ADP 2 400/year/patient
25 Evaluer la situation algique du patient 1 La douleur de fond est-elle bien contrôlée > 4 ADP/j réévaluer le traitement de fond si EI : Rotation des opioïdes Rechercher 1 douleur de fin de dose Rechercher troubles digestifs (vomissements) 2 Rechercher la cause des ADP - Facteurs déclenchants : Multifactoriels (mobilisation, stress) - Faire décrire l ADP Nociceptif Neuropathique 3 Evaluer l intensité de l ADP p. r. à la douleur de fond et le nombre/jour 4 Déterminer précisément LA DUREE - Durée de l arrivée du pic à l acmé - Durée totale de l ADP
26 Traitement des douleurs 1 ère étape Etiologique 2ème étape 3ème étape 4ème étape Evaluative Pharmacologique Prise en charge globale 26
27 Une stratégie thérapeutique 1ère étape : étiologique Confirmer le mécanisme physio-pathologique 27
28 Une stratégie thérapeutique 1ère étape : étiologique L'interrogatoire du patient * ancienneté et profil évolutif * description de la douleur actuelle * antécédents et traitements effectués Le contexte : familial, psycho-social, médico-légal L'examen clinique détaillé Les outils spécifiques Les examens complémentaires : si besoin 28
29 Une stratégie thérapeutique 2ème étape : évaluative Evaluer le type de la douleur : nociceptive, neuropathique Echelles * QDSA * DN4 Evaluer l'intensité de la douleur : EVA EN - EVS Objectif : * Choix du traitement = Palier II ou III, per os injectable * évaluer le résultat thérapeutique Apprécier l'impact sur la qualité de vie Echelles * QV * HAD S'assurer * des traitements antalgiques antérieurs * de l'importance du retentissement psychologique 29
30 Diagnostic au terme de ces 2 premières étapes Douleur liée au cancer et/ou à son évolution Ex. complémentaires - nociceptive - neuropathique - mixte à 70 % Douleur séquellaire du traitement et des actes - neuropathique - retentissement psychologique - information et explication Evaluation du retentissement sur QV - Familial social psychologique - professionnel 30
31 Une stratégie thérapeutique 3ème étape : pharmacologique Objectifs : = Douleur nociceptive - réduire la transmission des messages douloureux = Douleur neuropathique - renforcer/ou diminuer les contrôles inhibiteurs Traitements médicamenteux Traitements non médicamenteux 31
32 Une stratégie thérapeutique 4ème étape : prise en charge globale Approche pluridisciplinaire Projet de soins/thérapeutiques plurimodales Stratégie thérapeutique hiérarchisée Ne pas oublier de prendre en compte les dimensions psychologiques et comportementales 32
33 Synthèse L'efficacité du traitement est conditionnée par plusieurs étapes chronologiques : une prise en charge précoce un interrogatoire précis type de douleur un examen clinique soigneux une évaluation qualitative un traitement adapté et ajusté en fonction de la réponse l'information au patient de la nature du traitement et de ses effets secondaires et leur gestion le respect des contre-indications l'analyse des médicaments associés L'évaluation régulière soulagement 33
34 Traitement médicamenteux de la douleur de fond 34
35 Douleur par excès de nociception À tous les stades de la maladie Révélatrice de la maladie En cours de traitement = Douleurs provoquées Stade de récidive (os) Fin de vie Certaines pathologies cancéreuses plus concernées Tumeurs solides versus hématologie Os, sein, prostate, thyroïde, rein durée de vie : - ADK colique - ORL - Mélanome 35
36 Règles générales applicables à : la composante nociceptive - Respecter la hiérarchie des paliers de l'o.m.s. - Ne pas associer 2 antalgiques de même cinétique - Prescrire des analgésiques à horaires fixes - Ne pas associer d'agonistes - antagonistes - Privilégier la voie orale - Prévenir les effets secondaires - Associer des coantalgiques - Tenir compte des médicaments associés 36
37 Arsenal thérapeutique de la douleur nociceptive Palier II Palier III - Morphine - Fentanyl TTS - Hydromorphone - Oxycodone 37
38 PALIER III PALIER I PARACETAMOL ACUPAN PALIER II Formes LI PARACETAMOL Codéine Formes retard DIHYDROCODEINE DICODIN cp 60 mg 1 cp toutes les 12 heures PALIER II TRAMADOL - Opioïde faible - Activité IRS TRAMADOL Paracétamol MORPHINE FENTANYL HYDROMORPHONE OXYCODONE COANTALGIQUES CT - AINS - ANXIOL. - ANTIDEPRESSEURS - MYORELAXANTS - BIPHOSPONATES 38
39 Sulfate MORPHINE Libération immédiate Délai d'action Durée d'action en heure Sevredol cp sec oral mg Actiskenan ± 45 min. 4 Oramorph sol buv. Délai Libération retard d'action en heure Moscontin Durée d'action en heure Coefficient Morphine Skenan goutte = 1,25 mg 4 Kapanol Chlorydrate Orale/s/c/IV 10 à 45 min /2-1/3 mg Péri. - Intrathécal - ICV 1/50-1/100 Ampoule mg OXYCODONE Libération immédiate Délai d'action Oral mg Durée d'action en heure Oxynorm oro à 30 min. 4 Délai d'action en heure Durée d'action en heure Libération retard Oxycontin LP /2 +/- IR Coefficient Morphine IV - mg Oxynorm inj min. 4 1/2 Posologie orale 1/2 39
40 HYDROMORPHO NE Délai d'action Durée d'action en heure Libération immédiate Délai d'action en heure Durée d'action en heure Oral - mg Coefficient Morphine Libération retard Sophidone gel ,5 4 mg = 30 mg M Orale FENTANYL µg Délai d'action Durée d'action en heure Libération immédiate Délai d'action en heure 10 min. 1 à Max 4 par jour 5 à 10 min. Actiq bat Transmuqueux Abstral cp Effentora cp Durée d'action en heure Libération retard TTS : Durogésic 12 à 100 µg /h Coefficient Morphine 25 µg = 60 mg MO + adapté à IR Effervescent Spray nasal Instanyl Rapinyl cp A venir mucoadhésif Nasalfent spray nasal Kétamine 40
41 Initiation du traitement Opioïde TITRATION J1 J2 - MORPHINE LI - Toutes les 4 h - Interdoses 1/10 e, dose de base - TOUTES les heures si besoin, si > 3 Réévaluation médicale J3 J4 Si EQUILIBRE TOTALISER dose de base + TOTAL interdoses Posologie/24 h/2 LP 12 h X mg 80 mg toutes les 12 h J. Poursuivre interdoses si EVA > 30 Changement d Opioïde (rotation) si EI non contrôlé Tenir compte - Coefficient équianalgésique voie O/s/c/IV - Délai d action nouvel opioïde (Fentanyl TTS) Traiter ADP - Titration Douleur provoquée soins/mobilisation (ne pas intégrer ces doses dans la dose quotidienne Totale) - TITRATION ++ Réévaluer ++ Effet antalgique Effet indésirable 41
42 Effets indésirables des Opioïdes forts CONSTANT = CONSTIPATION La première prescription doit s'accompagner : d'un traitement laxatif d'une évaluation quotidienne du transit de l'utilisation ponctuelle si besoin de traitement drastique (SENE) PROTOCOLES DE TRAITEMENT : PLUSIEURS NIVEAUX intestinal 1 Règles diététiques 2 Osmotiques - Paraffine - Augmentation péristaltisme 3 Lavement Normacol 2 fois par semaine 4 Forlax/PEG/X-PREP 5 Relistor sc 8 mg < 60 kg - 12 mg > 60 kg (187 ) TARGINACT Rd - 5/2.5 10/5 20/10 40/20 (Oxy NLX) Tenir compte des médicaments associés 42
43 EFFETS INDESIRABLES DES OPIOIDES FORTS : II TRANSITOIRES Début de traitement : * Somnolence : dette de sommeil * Troubles digestifs hauts < 1 semaine - nausées : associer : - accélérateur vidange gastrique - neuroleptique (action sur le centre bulbaire) Ex. : MOTILIUM : 2 cps ½ h avant chaque repas HALDOL : 5 gttes ½ h avant chaque repas - vomissements : Passage à la voie sous-cutanée pour passer le cap = ½ dose Mélange dans la seringue : MORPHINE - HALDOL * Troubles cognitifs : - syndrome confusionnel - hallucinations Neuroleptique à petites doses - Hydratation si durables, recherche d'une cause métabolique, d'une adjonction thérapeutique aggravant les effets indésirables. 43
44 EFFETS INDESIRABLES DES OPIOIDES FORTS : III En cours de traitement : * Rétention urinaire * Prurit, sueurs * Troubles cognitifs * Accoutumance : nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet * Dépendance : syndrome de sevrage à l'arrêt brutal ou à l'administration d 'un antagoniste = Naloxone * Assuétude : dépendance psychique. Ceux-ci n'existent pas pour l'utilisation des morphiniques dans la douleur toxicomanie * Tolérance = diminution des récepteurs? Surdosage * Débute par somnolence : 1) lire pancarte : médicaments associés (psychotropes - Benzodiazépines) 2) bilan ionique : - hypercalcémie - hyponatrémie - I rénale * Dépression respiratoire Dr R.DUCLOS - Réseau Douleur Sarthe REMALDO
45 Réduction de doses - chez le sujet âgé > 75 ans - dans l'insuffisance rénale : formes immédiates - dans l'insuffisance hépatique décompensée = shunt portocave, cirrhose oedémato-ascitique Pas de forme retard dans les grêles courts et radiques 45
46 Traitement de la douleur neuropathique 46
47 Etiologies Séquellaire du traitement spécifique Chimiothérapie Radiothérapie Evolution de la maladie = compression tumorale Racines sacrées : K rectal Tumeurs médullaires Méningite carcinomateuse : «douleur mosaïque» Paranéoplasique = Syndrome de P.M FOIX Favorisée par l état déficitaire immunologique Zona, NPZ 47
48 I Traitement spécifique de l étiologie Compression tumorale Diabète, Ethylisme II Traitement préventif Toxiques = CDDP - Taxanes Chirurgical = Amputation III Traitement de la douleur Analyse des composantes sensorielles : Fond paroxysmes Analyse des composantes associées : Psychologiques, sociales Prise en charge globale. 48
49 Mécanisme responsable de la douleur Evolutif Séquellaire - Préciser l étiologie - Traitement spécifique - Traitement de la douleur - Abstention des gestes agressifs - Traitement de la douleur 49
50 LES TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX - les antidépresseurs (+) - les antiépileptiques (+) - les anesthésiques locaux (Xylocaïne IV) - les anti-arythmiques - les topiques (capsaïcine) - Emplâtres Lidocaïne (Versatis) - la Kétamine 50
51 Règles générales de traitements Explications au patient - Les molécules utilisées - Leur rôle (tricycliques, antiépileptiques) - Leurs effets indésirables - Leur latence d action Douleur neuropathique peu sensible aux opioïdes Initiation des médications à doses progressives Titration individuelle Monothérapie première 51
52 Mécanismes d actions des molécules Renforcement des contrôles inhibiteurs descendants Blocage des récepteurs adrénergiques des bourgeons de régénération au niveau périphérique Action sur le système opioïde endogène Blocage des récepteurs NMDA Action sur le métabolisme de la substance P Bloqueur des canaux sodiques et calciques 52
53 Traitements pharmacologiques Tricycliques Modalités Débuter petites doses 5 à 10 mg Augmenter tous les 3 5 jours EI bouche sèche Amélioration Effets indésirables Anticholinergiques doses dépendants - (effet antalgique) Bouche sèche Somnolence Baisse TA Constipation Confusion Troubles de l accommodation Contre indications Hypertrophie prostatique Glaucome IDM récent Troubles du rythme 53
54 IRS Cannabinoides Antiépileptiques Prozac = 0 Deroxat = +/- Désipramine : N.diabète Duloxetine (Cymbalta) : Seropram N.diabète Effexor : Allodynie thermique, K Sativex (SEP) 1 ère génération Rivotril en gouttes Tégrétol Phenytoine 2 e génération Gabapentine Oxcarbazépine Lamotrigine Prégabalin Action sur les 2 composantes de la douleur 54
55 PALIER D PALIER C PALIER A PALIER B PALIER C Composante de fond Tricycliques OU IRS Composante paroxystique AE Les 2 Composantes AE 2 e génération - Gabapentine - Oxcarbazepine - Prégabalin PALIER A Bithérapie TENS +/- Lidocaïne Patch PALIER B Relaxation Suivi psychologique Kétamine Xylo IV Cathéter intrathécal Stimulation médullaire Stimulation corticale 55
56 Spécificités 1 ) Prévention du syndrome douloureux chronique par une prise en charge précoce. 2 ) Fréquence d un intervalle libre entre la surven ue de la lésion responsable et l apparition de la douleur Aspect médico-légal. 3 ) Pas de parallélisme entre l importance de la lé sion et de l intensité de la douleur 4 ) Aggravation du processus douloureux par les agressions locales (chirurgie de cicatrice) 5 ) Caractéristiques sémiologiques particulières 56
57 6 ) Caractéristiques évolutives particulières : pér iodes de rémission, périodes de récidive 7 ) Influence négative des émotions, stress etc 8 ) Peu sensible aux antalgiques usuels (paliers OM S) 9 ) Très souvent séquellaire, donc durable 10 ) Toutes ces données justifient une information au patient. 57
58 Traitement médicamenteux des ADP 58
59 Exacerbation transitoire de la douleur de courte durée,à un niveau intense chez un patient présentant une douleur de fond légère ou modérée, contrôlée par un traitement Opioïde de fond. 59
60 Traitement des ADP 1 Expliquer au patient 2 Rassurer le patient 3 Traiter tôt (médicament sur lui) 4 Signaler l éventuel effet flash 5 Le choix, la galénique sera fonction de la cinétique, de l intensité, du type de l ADP
61 Molécules Opioïdes d action rapide à libération immédiate MORPHIN E Sevredol cp mg Actiskenan gél mg Oramorph - Unidose : mg/5 ml - Flacon 20 mg/1 ml 1 goutte = 1.25 mg Mo Intérêt sujet âgé IR Enfant sujet fragile Action antalgique 45 min. 4 h OXYCODO NE Utilité En interdoses : 1/10 e de la dose de base En prévention des douleurs des soins ou des douleurs provoquées (1 h avant) Oxynorm gel et cp orodispersible mg (1/2 dose Mo) Action antalgique de 15 à 30 min. 4 h moins d effets cognitifs que Mo Action sur douleur neuropathique Dr Roseline DUCLOS Réseau Douleur Sarthe REMALDO
62 FENTANYL ACTIQ Bâtonnet buccal 200 à microg. Application pendant 15 min. 15 à 20 min. 1 h ABSTRAL cp sublingual 100 à 800 microg. 5 min. 30 min. 1 h (max min.) EFFENTORA cp gingival Effervescent 100 à 800 microg. 10 min. 2 h (max min.) A VENIR -INSTANYL Spray nasal - NASALFENT Spray nasal - RAPINYL cp muco adhésif - AD 923 Spray buccal - PMI 150 (Kétamine)
63 Nécessité de Pas de ratio dose de secours et posologie de base Titration de la molécule choisie Réévaluation - Tolérance (effet flash) - Efficacité Produits onéreux L absence de soulagement impose une réévaluation de la douleur et de son mécanisme (évaluation tumorale) Bilan et traitement carcinologique ADP Douleur neuropathique A venir Revoir traitement médicamenteux TENS **** stimulation Gérer stress et anxiété Education thérapeutique Traitement de fond des ADP
64 Conclusion Les traitements existent à ce jour pour adapter le traitement de fond et celui des accès douloureux transitoires de la douleur du cancer, au moins pour la douleur nociceptive Mais traiter avec seuls opioïdes même la douleur neuropathique?? L évaluation reste l étape capitale pour décrypter le mécanisme de l accès douloureux et adapter le traitement à l objectif du soulagement maximal et des effets secondaires a minima
65 Soulagement Effets indésirables irables SFETD 2008 Strasbourg
66 Autres traitement non médicamenteux 66
67 Est utilisé en cas d'échec des antalgiques 1 Techniques non invasives : Neurostimulation transcutanée ou périphérique Principe : contre stimulation - théorie du GATE-CONTROL. Activation des fibres sensitives de gros calibre (vectrices de la sensibilité tactile) ayant pour conséquence un effet inhibiteur sur la réponse des neurones de la CDM à des stimulations douloureuses provenant des fibres sensitives fines (vectrices du message douloureux). Technique : 1 générateur d'impulsions, alimenté par une pile et des électrodes.intensité faible de 5 à 10 ma. Fréquence de 50 à 100 Hertz Durée et nombre de séances variables 67
68 Indication : Douleurs chroniques Contre-indications : - neurogènes topographie fixe - limitées sans allodynie - intellect suffisant Pace maker Sinus carotidien Lésions cutanées Grossesse 68
69 Physiothérapie, massage, kinésith sithérapie 2 Techniques invasives : - Blocs thérapeutiques aux anesthésiques - Blocs thérapeutiques aux neurolytiques - Cimentoplastie ou vertébroplastie - Neurochirurgie. en périphérie au niveau des paires crâniennes thermocoagulation du Gasser. au niveau médullaire radicellectomie sélective, Drezotomie, Tractotomie pédonculaire - Stimulation. médullaire. centrale, thalamique - Pompes implantées. Morphine. Baclofène. péri ou intrathécales ou ICV 69
70 ❸ Prise en charge globale : Le caractère multidimensionnel de la douleur justifie l'intervention d'une équipe pluridisciplinaire. Le traitement de la douleur au sens physique vient d'être analysé, mais ne peut se concevoir sans la prise en charge du patient dans sa globalité et non de sa seule maladie ou symptôme. La prise en compte des facteurs environnementaux : sociaux familiaux, professionnels, psychologiques et culturels est indispensable, assurée par des professionnels compétents. 70
71 ❸ La prise en charge cognitivo-comportementale comportementale Elle va rechercher des processus mentaux mal adaptés, facteur de majoration de la perception de la douleur, et la participation affective et émotionnelle (anxiété, dépression). Elle part de l'hypothèse que le comportement douloureux chronique peut persister ou être majoré par des facteurs non organiques, psychiques, comportementaux, environnementaux, indépendants de l'atteinte somatique. Les objectifs des techniques cognitives et comportementales sont d'aider le patient douloureux chronique à mieux faire face, à mieux affronter son état, à mieux vivre une douleur qui même atténuée persistera. 71
72 72
73 1 ) Ponctions osseuses 2 ) Ponctions veineuses 3 ) Préconisations 73
74 1 ) Voie orale Préconisations 1 h avant les soins Opioïdes III libération immédiate - Oramorph 4 gouttes = 5 mg Morphine - Sévrédol cp 5 mg Si patient déjà sous Opioïdes palier III Morphine/Oxycodone 1/10 e dose 24 h Fentanyl transmuqueux 1 batonnet 200 Ng/h 2 ) Voie injectable Morphine - Oxycodone Protoxyde d Azote Au moment des soins Kalinox - MEOPA 74
75 Conclusion La prise en charge de la douleur du cancer est une URGENCE, ETHIQUE. La douleur du cancer est une douleur aiguë en terme d urgence est une douleur chronique dans la démarche thérapeutique Impose Evaluation du type de la douleur, fréquence des douleurs mixtes Traitement de la douleur médicamenteux technique (TENS, blocs ) Prise en charge globale Réévaluation constante du soulagement des effets indésirables du traitement Responsabilité du traitement opioïde/conséquence de la maladie (hypercalcémie, métastase cérébrale ) 75
76 Interroger Ecouter Examiner Evaluer Traiter Réévaluer
77
78 Patient de 59 ans 2005 ATCD : K rectum traité par : Radiochimiothérapie Chirurgie Radiothérapie 2007 Découverte d une localisation osseuse D4 * RTE antalgique bénéfice 70 % sous Fentanyl TTS 25 µg/h depuis Pas de douleur : 2/10 parfois le soir * Chimiothérapie pendant 6 mois er trim. Récidive douloureuse dorsale accompagnée de douleurs en hémi ceinture non permanentes, à type de brûlure et de coups de poignard, basithoraciques bilatérales 8/10 Type de douleur? Traitement antalgique préconisé? 2 e trim. 1 ) Intensité de la douleur dorsale 6/10 continue 2 ) Amélioration de la douleur hémiceinture Propositions
79 Amélioration globale 4 e trim. * Douleur évaluée à 2/ * 2 à 3 fois/j épisodes douloureux survenant de façon inopinée h 15. Installation d une douleur intense 8/10 en 10 min. Durant 1 h à 1 Propositions et modalités thérapeutiques Ou Installation progressive sur 1 heure environ d une douleur démarrant à 3/10 s amplifiant pour atteindre une intensité à 8/10 en 1 h Propositions Janv * Nette amélioration Mars 2009 * AEG anorexie amaigrissement * Douleur dorsale basse sans irradiation survenant dès 17 h quotidiennement de façon +/- progressive 4/10 à 8 h 7/10 à 17 h Diagnostic Propositions
80 Puis douleur systématique à 6/10 lors du passage de la position couchée à la position debout apparaissant aussitôt et pouvant durer ½ h Propositions Sept * Persistance de l AEG * Douleur dorsale de fond de 4 à 6/10 * Survenue de troubles sphinctériens, de FM des MI Examens complémentaires Traitements
CAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailSPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailDOULEURS NEUROPATHIQUES. André Muller
DOULEURS NEUROPATHIQUES André Muller La douleur, ce n est pas ce que sent l individu, c est ce qu il fait de la sensation. Il fait avec ce qu il est. Il est ce que les autres et lui-même ont fait de lui.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailProjet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités
Projet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités Formation des médecins généralistes et gynécologues EFFETS INDESIRABLES ET COMPLICATIONS DES TRAITEMENTS DANS LE CANCER DU
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailAGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON
Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailAvoir un cancer après 70 ans
Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les malades et leurs proches Avoir un cancer G R A N D P U B L I C Edition actualisée juin 2009 Nous remercions chaleureusement le groupe des
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailSociété d étude et de traitement de la douleur. Ministère de la Santé et de la Protection sociale
Société d étude et de traitement de la douleur Ministère de la Santé et de la Protection sociale Avant-propos........................ 3 Introduction........................ 5 Pourquoi La Douleur en questions?................
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailMaladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques
Médecine palliative Soins de support Accompagnement Éthique (2011) 10, 230 244 DOSSIER THÉMATIQUE «GÉRIATRIE» Maladie d Alzheimer et fin de vie : aspects évolutifs et stratégies thérapeutiques Alzheimer
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailDouleurs et Neuropathies
Douleurs et Neuropathies J-Y SALLE Service de médecine physique et de réadaptation P VERGNE-SALLE Service de Rhumatologie et consultations de la douleur CHU Limoges Selon l IASP: douleur neuropathique
Plus en détailLES DOULEURS ORO- FACIALES
LES DOULEURS ORO- FACIALES Diagnostic différentiel CNO SA 16-17 Septembre 2011 Mathieu PITZ Douleurs Bruits articulaires Limitation des mouvements mandibulaires Abrasions dentaires MOTIFS DE CONSULTATION
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE
ÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE OCTOBRE Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailRecommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS
Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT Partie 1 : Prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et situations particulières
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailI. Palier 1 : douleurs légères à moyennes Les médicaments de différentes classes palier 1 peuvent être prescrits en association.
Chap ii ttrree 9 TRAITEMENT de la DOULEUR Les injections ne sont pas nécessaires lorsque la voie orale est possible. Le recours à la morphine est recommandé d emblée en cas de douleur très intense y compris
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailde la douleur et des malades en fin de vie
1 131 Chapitre 12 - Prise en charge de la douleur et des malades en fin de vie Plan du chapitre 1. La douleur Définition Mécanismes physiopathologiques 2. Spécificités cliniques de la douleur chez les
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail