Atelier de restitution des résultats de l évaluation de la qualité des acquis scolaires des élèves de l enseignement primaire

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1 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE CONFERENCE DES MINISTRES DE L EDUCATION DES PAYS AYANT LE FRANÇAIS EN PARTAGE Atelier de restitution des résultats de l évaluation de la qualité des acquis scolaires des élèves de l enseignement primaire Rapport Général Janvier 2008

2 Les mercredi 9 et jeudi 10 janvier 2008, s est déroulé dans les locaux de l annexe du Ministère de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique (MENRS) à FIADANANA, l atelier de restitution des résultats de l évaluation de la qualité de l enseignement primaire à Madagascar. Organisé conjointement par le MENRS, l Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et le Secrétariat Technique Permanent (STP) de la Conférence des Ministres de l Education des pays ayant le français en partage (CONFEMEN), cet atelier avait pour objectifs : - la présentation aux différents acteurs et partenaires du système éducatif malgache, les résultats issus de l évaluation menée au cours de l année scolaire auprès des élèves de CP2 et de CM2, sur un échantillon national de 150 écoles primaires ; - l organisation d atelier de réflexions autour de ces résultats; - la formulation de pistes et stratégies d action ou de suggestions de thématiques à approfondir afin de corriger ou d éclairer la prise de décision visant à corriger les différentes situations observées à travers l évaluation. Ont pris part à l atelier, sous le haut patronage de son Excellence Monsieur le Ministre de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique : - les directeurs Généraux, Centraux et Régionaux du MENRS ; - les membres du Cabinet, les Conseillers Techniques du PASEC ; - les membres de l équipe nationale PASEC ; - le Directeur de l Institut National de la Formation Pédagogique (INFP) ; - des chefs de Centres Régionaux de l Institut National de la Formation Pédagogique (CRINFP) ; - des représentants des Directions Régionales de l Education Nationale (DREN) ; - des chefs de Circonscription Scolaires (CISCO) ; - des directeurs d école ; - des enseignants de CP2 et de CM2 ; - des représentants des partenaires techniques financiers (UAT, AFD, Aide et Action, ATEC, JICA, UNESCO, UNICEF) 2

3 1. Cérémonie d ouverture La cérémonie d ouverture de l atelier s est déroulée sous la Présidence de Monsieur RAHERINIAINA Harry Serge, Secrétaire Général, représentant de son Excellence Monsieur Andriamparany Benjamin RADAVIDSON, Ministre de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique. Elle a été marquée par deux allocutions. Prenant en premier la parole, le Conseiller technique, Monsieur Kenneth HOUNGBEDJI, représentant de Madame Adiza HIMA, Secrétaire Générale de la CONFEMEN a exprimé toute la reconnaissance de la CONFEMEN aux autorités en charge de l enseignement primaire à Madagascar. Il a souligné qu en dépit des progrès enregistrés dans le domaine de l accès à l éducation et de la dotation en matériels pédagogiques, la garantie d une éducation de qualité pour tous demeure un défi. Cette préoccupation est partagée par les Ministres de l Education des pays ayant le français en partage et a amené la CONFEMEN à créer le Programme d Analyse des Systèmes Educatifs (PASEC) pour servir d outil de pilotage de la qualité de l éducation. Au cours de son allocution, le représentant de la Secrétaire générale, a mis l accent sur le fait que la restitution des résultats de l évaluation des facteurs d efficacité de l apprentissage des élèves de l enseignement primaire menée à Madagascar, ainsi que leur discussion permettront de sortir des recommandations pertinentes qui contribueront à relever les défis identifiés. Dans son discours d ouverture, Monsieur RAHERINIAINA Harry Serge, Secrétaire Général du MENRS, après avoir souhaité la bienvenue aux participants, a renouvelé au nom de Monsieur le Ministre, toute la gratitude de l Etat malgache à l endroit de la CONFEMEN pour tous les efforts fournis dans le pilotage et l amélioration de la qualité des systèmes éducatifs. Tout en reconnaissant qu au plan national d énormes progrès ont été réalisés en ce qui concerne l amélioration de l accès et de la qualité de l éducation, il a exhorté les participants à analyser avec beaucoup d objectivité les résultats issus de l enquête du PASEC afin de chercher les solutions appropriées aux défis de l amélioration de la qualité des apprentissages scolaires des élèves malgaches du cycle primaire. Enfin, au nom de son Excellence Monsieur Andriamparany Benjamin RADAVIDSON, Ministre de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique, il a déclaré officiellement ouverts, les travaux de l atelier de restitution des résultats de l évaluation de l enseignement primaire à Madagascar. 2. DEROULEMENT DES TRAVAUX Le déroulement des travaux s est fait sous la direction d un membre de l Equipe Nationale PASEC, Madame Lina RAJONHSON assisté d un Conseiller Technique PASEC, Monsieur Beïfith KOUAK TIYAB. Ont été désignés rapporteurs Madame Yolande RAKATOBE RAVELOARISON, Messieurs Arsène RAVELO et Rolland Justet RABESON, membres de l équipe nationale PASEC. Les travaux de la première journée se sont poursuivis par la présentation de deux communications suivies de débats et de travaux de groupe. a. Les communications La première communication présentée par Monsieur Beïfith KOUAK TIYAB, Conseiller Technique du PASEC et portait sur la présentation de la CONFEMEN, des missions du PASEC et de la méthodologie d évaluation du programme. Cette présentation avait donc pour thème: «la CONFEMEN et la méthodologie du PASEC». Dans sa présentation, Monsieur KOUAK TIYAB a amplement informé les participants sur les rôles, missions et fonctionnement de la CONFEMEN, les objectifs, les activités, l historique des évaluations et les tenants et aboutissants de la méthodologie du Programme d Analyse des Systèmes Educatifs (PASEC). La deuxième communication a été présentée en deux étapes successivement par Monsieur Olivier RAZAFINDRANOVONA, et par Madame Jacqueline RALISIARISOA, membres de l équipe nationale du PASEC. La présentation de Monsieur RAZAFINDRANOVONA a porté sur le processus de 3

4 l évaluation PASEC menée à Madagascar, l évolution des résultats moyens aux tests entre l évaluation PASEC de 1998 et celle de Dans sa présentation, il a ainsi parcouru la question de l adaptation des instruments au contexte national, l échantillonnage, l administration des tests, la perte de certaines écoles et celle de certains élèves, la cohérence de certaines informations collectées, l interprétation des résultats aux tests d abord dans une dimension de la diversité des performances des élèves et ensuite dans une dimension d évolution dans le temps et de comparaison internationale. La seconde partie de cette communication qui a été assurée par Madame Jacqueline RALISIARISOA a porté sur «les principaux résultats de l évaluation PASEC à Madagascar». Son exposé a tourné autour de quatre (04) points principaux à savoir : - Les facteurs liés à l environnement scolaire et extrascolaire des élèves qui ont été mis en évidence par l analyse de leur effet sur les apprentissages scolaires des élèves ; - l efficacité interne du système d enseignement primaire à Madagascar ; - l efficience comparée sur le plan international de l allocation des dépenses courantes d éducation primaire ; - les disparités de performance des écoles en fonction des coûts unitaires de scolarisation par école ; b. Quelques principaux résultats obtenus Les principaux résultats restitués au cours de la deuxième communication peuvent se résumer comme suit : - concernant le niveau des acquis scolaires ; il ressort que parmi les pays africains ayant fait l objet de l évaluation (Bénin (2004), Burkina Faso (1995), Cameroun (1995), Cameroun (2004), Côte d Ivoire (1995), Mauritanie (2003), Sénégal (1995) et Tchad (2003)), Madagascar affiche un score relativement modeste en français et en mathématiques, mais en général faible (50 réponses correctes sur 100 questions au CP2 et 31 réponses correctes sur 100 questions au CM2). Ce résultat en français conjugue avec le faible niveau des enseignants révélés au test de compétences en français (TCF) conçu et administré par le Centre international d études pédagogiques (CIEP). En mathématiques, les résultats, dans une dimension de comparaison internationale, font partie des meilleurs résultats observés au sein des pays PASEC. Cependant des efforts restent à faire pour rehausser la qualité des apprentissages des élèves dans cette matière et une évaluation plus précise du niveau des curricula de mathématiques serait, à cet effet, la bienvenue. - les domaines où les difficultés sont très prononcées pour l apprentissage du français sont principalement la grammaire et la conjugaison. - Parallèlement, il apparaît dans une perspective de comparaison dans le temps, que davantage d élèves des couches vulnérables ou pauvres ont maintenant accès à l école. Mais ces derniers rencontrent plus de difficultés au cours de leurs processus d apprentissages scolaires que leurs camarades qui sont issus de milieux moins vulnérables ou pauvres. Toutefois, si du fait des problèmes rencontrés par ces élèves en difficulté scolaires (plus nombreux en 2004 qu en 1998), le niveau moyen national de performances a baissé dans le temps, la proportion d élèves qui a au moins 40 réponses correctes sur 100 items n a pas baissé dans le temps. - Concernant l efficience interne du système éducatif malgache, il apparaît lorsqu on observe la relation entre coût unitaire et niveau moyen des acquis scolaires par classe de CM2, qu un grand nombre d écoles à Madagascar se concentrent autour de scores faibles avec un coût élevé de scolarisation. Ainsi, au même niveau de dépenses, on remarque que certaines écoles font moins bien que d autres; et pour atteindre un même niveau moyen de performances scolaires, on voit une grande variété des dépenses engagées par les écoles. 4

5 - Les facteurs de performance liés à l environnement scolaire et extrascolaire des élèves : La qualité de la formation professionnelle initiale (FPI) et de l encadrement des enseignants : Il apparaît en effet que les élèves de CM2 suivis par des enseignants ayant au moins un niveau académique équivalent au baccalauréat ont de meilleurs résultats. En parallèle, le niveau académique des enseignants ne fait pas de différence dans l apprentissage des élèves de CP2. D un autre côté, les résultats interrogent le contenu et l organisation de la FPI des enseignants car les élèves encadrés par des enseignants titulaires d une FPI ont de moins bons résultats que leurs camarades encadrés par des enseignants ne disposant pas d une FPI Le mode de regroupement des élèves : Il apparaît un effet négatif des classes pléthorique sur les résultats scolaires des élèves et il est vivement recommandé de ne pas excéder une taille limite de 70 élèves par classe. Aussi, une certaine efficacité de la pédagogie avec les classes multigrades apparaît car les élèves scolarisés dans les classes multigrades ont des résultats de qualité équivalente à ceux des élèves scolarisés dans des classes à simple flux. Le temps scolaire et les outils pédagogiques : Apprécié au moyen du retard accusé pour la rentrée des classes, le nombre moyen estimé d absence des enseignants et les périodes de grèves ou de fermeture des classes, on remarque que les pertes de temps scolaires sont modestes à Madagascar. L absence d impact significatif de la politique de dotation en manuels scolaires pose en plus la question de leur utilisation effective ainsi que celle de l utilisation des guides de l enseignant Les pratiques et politiques éducatives : Les analyses ont mis en évidence l inefficacité de la politique du redoublement à améliorer les acquis scolaires des élèves en difficultés d apprentissage scolaire. D un autre côté, un effet positif de l enseignement préscolaire a été observé sur l apprentissage des élèves, de même que l effet encourageant de la formation des directeurs en matière de gestion pédagogique des écoles. Des débats très riches ont suivi la présentation de ces communications. On peut retenir en substance que les préoccupations portent sur : - la question de l impact négatif observé de la formation professionnelle initiale des enseignants sur les acquis scolaires des élèves ; - l inefficacité du redoublement pour améliorer les acquis scolaires des élèves ; - la question de l absence d impact des manuels scolaires sur la qualité des apprentissages - la faiblesse du niveau en français des enseignants Outre ces débats qui ont été menés, les participants ont félicité la qualité des explications apportées par l équipe nationale et l appui des conseillers techniques du PASEC. Des éléments de précisions et d éclaircissements ont été apportés par les membres de l équipe nationale PASEC et les Conseillers techniques PASEC aux différentes interrogations citées ci-dessus et des recommandations appropriées ont été formulées à l endroit des différents acteurs concernés. 3. LES TRAVAUX DE GROUPE Cinq groupes de travail ont été mis en place et ont travaillé sur différents points issus des résultats de l évaluation et les préoccupations exprimées au cours des débats. Le groupe n 1 a eu à réfléchir sur : 5

6 - Comment expliquer l effet négatif associé à la formation professionnelle initiale des enseignants? Comment rendre la FPI efficace? : le travail devait donc déboucher sur des pistes d action pour améliorer l impact de la formation professionnelle initiale des enseignants sur la qualité des apprentissages des élèves. Le groupe n 2 a mené la réflexion sur : - Comment expliquer l absence d effet associé aux manuels scolaires? Comment les rendre efficaces? : le travail devait donc déboucher sur des pistes d action pour rendre effective l utilisation des manuels scolaires et leurs effets sur les apprentissages des élèves. Le groupe n 3 a réfléchi sur: - Comment réduire le redoublement sans nuire à la qualité des apprentissages scolaires? : les conclusions attendues de la réflexion autour de cette question devait aboutir à des pistes d action pour baisser les taux de redoublement, encourager l apprentissage des élèves sans nuire à la qualité des acquis scolaires. Le groupe n 4 a mené la réflexion sur : - Comment améliorer le niveau de compétence en français des enseignants afin de garantir la qualité des apprentissages? : Il a été demandé à ce groupe de déboucher sur des pistes d action pour renforcer le niveau de compétence en français des enseignants afin de garantir la qualité des apprentissages scolaires. Le groupe n 5 a réfléchi sur: - Comment aider le processus d apprentissage des élèves issus des milieux défavorisés, dans le contexte de la gratuité de l éducation? : les réflexions menées autour de cette question devaient aboutir à des pistes pour aider les apprentissages des élèves issus des couches défavorisées. Les rapports des travaux des groupes ainsi que les recommandations y afférentes sont annexés au présent rapport. 4. CEREMONIE DE CLOTURE La cérémonie de clôture s est effectuée sous la présidence de Madame Tahinaharinoro RAZAFINDRAMARY, Directrice générale de l éducation fondamentale et de l alphabétisation - Correspondante Nationale de la CONFEMEN, qui représentait son Excellence Monsieur Andriamparany Benjamin RADAVIDSON, Ministre de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique. Deux allocutions ont marqué cette cérémonie. Prenant en premier la parole, la représentant de la Secrétaire Générale de la CONFEMEN, Monsieur Kenneth HOUNGBEDJI a remercié une fois encore le Gouvernement malgache pour tous les efforts entrepris en vue d améliorer la qualité de l éducation et a félicité tous les participants à l atelier pour leur active et fructueuse participation aux travaux de l atelier. Il a aussi invité le Ministère à s inspirer du fruit de cet atelier afin d améliorer les politiques éducatives en vue de garantir l éducation de qualité pour tous à l horizon Il a souligné la disponibilité de la CONFEMEN à appuyer les autorités malgaches dans l évaluation des problématiques qu ils ont identifiées et soulevées au cours des discussions des résultats de la présente évaluation PASEC VII, ainsi que la mise en œuvre d études secondaires sur la base des données déjà disponibles. Enfin, le mot de fin est revenu à Madame la Directrice générale de l éducation fondamentale et de l alphabétisation qui, au nom de son Excellence Monsieur Andriamparany Benjamin RADAVIDSON, Ministre de l Education Nationale et de la Recherche Scientifique a remercié la CONFEMEN pour son 6

7 soutien technique et financier à l évaluation de l enseignement primaire à Madagascar. Elle a aussi félicité les participants pour leur mobilisation et le travail réalisé en dépassant les représentations personnelles et collectives pour s approprier les résultats et formuler des stratégies de remédiations. Après avoir rappelé le travail déjà amorcé autour de certaines questions dans le plan EPT 2008 de Madagascar, elle a insisté sur la cohérence établie entre les résultats de l analyse PASEC, les recommandations faites et les stratégies mises en œuvre dans le plan EPT. Elle a ensuite remercié la disponibilité de la CONFEMEN à approfondir la réflexion avec les acteurs malgaches de l éducation et annoncé que Madagascar sollicitera incessamment l appui financier et technique du PASEC pour une étude thématique. La correspondante nationale a ensuite remercié les conseillers techniques pour le transfert de compétences effectif entre le STP de la CONFEMEN et l équipe Nationale PASEC. Elle a enfin souhaité un bon retour à chacun et à tous, avant de déclarer officiellement clos, les travaux de l atelier de validation des résultats de l évaluation de l enseignement primaire à Madagascar. Les rapporteurs 7

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