EXPERTISE JUDICIAIRE DE FAUSSES MARQUES

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1 EXPERTISE JUDICIAIRE DE FAUSSES MARQUES Class. Oxford 327 : H. POLGE Le concours du Centre national de recherches forestières a été demandé dans le courant de l'année 1971 pour essayer de tirer au clair une affaire de fausses marques en forêt domaniale. Celles-ci consistant, tantôt en flachis sans empreinte, tantôt en flachis portant une empreinte apparemment fausse, trois questions se trouvaient posées : 1 dater les fausses marques, 2" déterminer la période d'exploitation des arbres à fausses marques, 3 différencier éventuellement les vraies empreintes des fausses. Bien que de tels problèmes ne se posent fort heureusement pas très fréquemment dans les forêts soumises au régime forestier, quelques renseignements sur les procédés utilisés pour les résoudre et sur les résultats auxquels ils ont permis d'aboutir peuvent présenter quelqu'intérêt, ne serait-ce qu'à titre d'information générale, et pour montrer comment des méthodes d'analyse, mises au point dans le cadre d'un programme de recherche bien déterminé, peuvent trouver des applications inattendues dans un tout autre domaine. MATERIEL D'ETUDE Lors de l'expertise, il restait encore sur pied trois arbres portant un faux flachis et deux témoins revêtus de l'empreinte du marteau de l'etat ; par ailleurs, il existait sur le parterre de la coupe plusieurs souches mortes depuis un délai tel qu'elles présentaient des traces de pourriture avancée, mais ne paraissant pas porter la marque authentique du martelage. Des flachis entiers ou des fragments de flachis ont été prélevés, à la fois à la souche et au corps sur les arbres encore sur pied, à la souche seule naturellement sur ceux déjà exploités. 177 R.F.F. XXIV

2 H. POLGE Il ne sera fait état ici que de quelques exemples intéressant à la fois les arbres marqués en délit et les témoins, et concernant aussi bien des arbres vivants que des souches mortes. METHODOLOGIE Souches Lorsque l'arbre en cause a disparu, et qu'en conséquence la souche a cessé de vivre depuis un délai plus ou moins long, la seule possibilité qui existe pour retrouver l'époque de la marque et celle de l'exploitation consiste à dater le dernier cerne produit à la limite du flachis d'une part, et hors flachis d'autre part, en utilisant des méthodes de dendrochronologie, c'est-à-dire en tâchant d'en repérer dans la suite des accroissements successifs un certain nombre qui soient suffisamment caractéristiques pour pouvoir en déterminer l'année de production par synchronisation avec des arbres de référence de datation connue. Il arrive certes, assez exceptionnellement d'ailleurs, qu'une souche continue à vivre et à s'accroître pendant quelque temps après l'exploitation de l'arbre qu'elle portait ; cela se produit lorsqu'il y a anastomose entre ses racines et celles d'un arbre voisin, en sorte que la souche intéressée se développe aux dépens des produits de la photosynthèse de celui-ci. Aucune des souches concernées par cette expertise n'a bénéficié de ce phénomène de survie puisqu'aucun bourrelet de cicatrisation n'apparaît sur les diverses sections d'abattage ; on peut en déduire que les dernières assises de cellules élaborées l'ont été avant l'exploitation des arbres en cause. La dendrochronologie classique ne s'intéresse qu'aux largeurs de cernes et consiste donc à retrouver dans les échantillons dont on dispose quelques accroissements se distinguant par une largeur exceptionnellement forte, ou au contraire exceptionnellement faible. Dans le cas particulier, il paraissait assez hasardeux d'utiliser le seul critère des largeurs de cernes, d'une part parce qu'il n'est pas très discriminant, d'autre part parce que, en raison soit des difficultés de prélèvement, soit du développement de pourritures, on ne pouvait le plus souvent analyser qu'un petit nombre d'accroissements. On a donc pensé employer, pour résoudre les difficiles problèmes de datation qui se trouvaient posés, des méthodes de xylochronologie, c'est-à-dire des méthodes permettant de prendre en compte pour caractériser les années, non seulement la largeur des cernes, mais encore certains critères quantitatifs tirés des courbes de variation de la densité du bois, notamment les densités maximales et minimales annuelles, dont on a pu montrer qu'elles différenciaient mieux les années que ne le font les largeurs de cernes elles-mêmes (Polge, Annales des sciences forestières, XXIII, 1, 1966, 1-215). Le procédé utilisé a été mis au point au Centre national de recherches forestières pour améliorer nos connaissances en matière de qualité du bois, et plus particulièrement pour permettre d'apprécier quantitativement un des défauts importants de ce matériau : l'hétérogénéité, qui est fonction précisément des différences entre densités maximales et minimales annuelles. Les courbes de variation de la densité du bois sont, en règle générale, obtenues par exploration, à l'aide d'un microdensitomètre, des variations de transparence de 178

3 Expertise judiciaire de fausses marques Densité g % dm3 Figure n o r Largeur des cernes clichés radiographiques du bois ; dans le cas présent, en raison de l'extrême minceur de certains accroissements annuels, il a parfois été nécessaire de procéder à la réalisation de coupes microscopiques, et ce sont ces coupes elles-mêmes qui alors ont été explorées au microdensitomètre. Pour les datations, on s'est référé à un profil synthétique établi par R. Keller, (Annales des sciences forestières, 1970, 27, 2, ) à partir de 64 sapins pectinés poussant dans la région de Gérardmer, à une quarantaine de kilomètres de la forêt en cause (figure n"1). Sur ce profil, les accroissements annuels sont représentés proportionnellement à leur largeur à l'échelle indiquée, et le point de densité minimale, supposé être au début de l'accroissement, est relié directement au point de densité maximale par une ligne droite ; les différences significatives entre accroissements annuels successifs sont représentées par des signes conventionnels et concernent les caractéristiques suivantes : a = largeur de l'accroissement 1948 inférieure à celle de 1949, b = densité maximale de 1949 supérieure à celle de 1950, c = densité maximale de 1951 inférieure à celle de 1952, d = densité maximale de 1953 supérieure à celle de 1954, e = densité minimale de 1955 inférieure à celle de 1956, f = largeur de l'accroissement 1955 supérieure à celle de 1956, g = densité minimale de 1956 supérieure à celle de 1957, h = densité maximale de 1958 inférieure à celle de 1959, = densité maximale de 1959 supérieure à celle de 1960, densité maximale de 1961 supérieure à celle de 1962, k = densité maximale de 1963 inférieure à celle de 1964, = densité maximale de 1964 supérieure à celle de 1965, m = densité maximale de 1965 inférieure à celle de R.F.F. XXIV

4 H. POLGE sc.rriar :m~+ i urr~y~ yr~cryy~ 1: - ~ ' +~+~4a+riit+~yi~~,+r~t~+iiriti~ ~~ ~Wtti~iitL ii~+r~~~~~,;.: y~,~" ~ Hlr~rrow ~ : trr..rrm r.irwrro ~Mlrwraa 1+~W n wrr. w W~rurw w..r.awa~ LIW,W,ie `!\ Figure n o 2 : Echantillon T2 Photos MICHEL Figure no 3 : Echantillon X En outre, une caractéristique de forme, qui n'apparaît bien entendu pas sur le profil synthétique, a été repéré comme présentant une fréquence significative : le replat plus ou moins prononcé que l'on retrouve souvent au début du bois d'été de 1961, caractéristique à laquelle on a donné la référence n. Arbres vivants La méthode utilisée pour les souches d'arbres morts demeure bien évidemment valable, mais il est également possible d'en employer une autre, basée sur l'analyse des cernes dans le bourrelet de cicatrisation : la réalisation d'un flachis vrai ou faux à l'aide d'un outil tranchant a pour effet de sectionner l'assise génératrice qui est responsable de la croissance en diamètre des arbres ; d'un côté de ce point de section, la croissance se poursuit, alors qu'elle est arrêtée au voisinage immédiat, mais de l'autre côté ; un recouvrement tend à se produire du fait de la formation d'un bourrelet de cicatrisation, mais il est possible de compter le nombre d'accroissements annuels dans le bourrelet, donc de déterminer, avec plus ou moins de précision selon que l'on se trouve en période de croissance ou en période d'arrêt de la végétation, la date à laquelle la blessure a été faite, en remontant dans le temps à partir du dernier cerne produit. Les deux méthodes doivent nécessairement aboutir à des résultats concordants, et l'une peut servir de vérification à l'autre, et réciproquement. RESULTATS Datation par analyse des accroissements dans le bourrelet et à son voisinage Sur les figures n ' 2 et 3 sont reproduites les microphotographies au grossissement 10 des bourrelets de cicatrisation des marques faites au corps respectivement sur le témoin n" 2 et sur l'arbre X. Sur la première, on distingue très nettement trois accroissements annuels complets précédant les quelques assises de cellules du bois de printemps 1971 correspondant aux fibres élaborées jusqu'au 17 mai 1971, date des prélèvements ; on en déduit que le martelage a eu lieu, soit entre l'arrêt de la période de végétation 1967 et la période de végétation 1968, soit plutôt au tout début de celle-ci, quelques trachéides 180

5 Expertise judiciaire de fausses marques de bois initial de 1968 paraissant avoir été produites (voir lisière droite du cliché) avant qu'intervienne la blessure entraînée par le flachis (la date du martelage, connue après expertise, a été en fait le 15 mai 1968). Sur la figure n 3, on observe à nouveau (à la partie supérieure) une fraction d'accroissement correspondant au bois initial 1971 produit avant le prélèvement de l'échantillon ; le nombre plus élevé des rangées de cellules ne doit pas surprendre, car il existe des variations individuelles importantes liées à des différences de débourrement ; en outre, la vigueur de l'arbre X, marqué en délit, était incomparablement plus forte que celle de l'arbre T2, malvenu, dominé, et de ce fait abandonné sur pied par l'exploitant. Mais avant le cerne 1971, on ne trouve dans le bourrelet que deux accroissements au lieu de trois pour le témoin ; en outre, au voisinage du point où l'assise génératrice a été sectionnée lors de la réalisation du flachis, on observe quelques cellules correspondant à un début d'accroissement 1969 ; on peut en déduire que la marque a été faite dans le courant du mois de mai 1969, et ce décalage de un an par rapport à la date du martelage officiel confirme bien qu'il s'agissait d'une fausse marque. Datation par analyse xylochronologique Arbres vivants Sur les figures n ç 4 et 5 sont reproduites les courbes de variation de la densité du bois des échantillons T2 et X respectivement, pour la partie comprise jusqu'au bourrelet de cicatrisation ; ces enregistrements ont été datés par synchronisation avec le profil xylochronologique synthétique de la figure n" 1. ECHANTILLON T2s Echelle : =1mn Photos MICHEL ECHAiITILLO :i Xc Echelle :.--+ = 2,in

6 H. POLGE Si l'on se reporte aux traits caractéristiques de celui-ci énumérés plus haut, on peut faire les observations suivantes : pour l'échantillon T2 : on retrouve les caractéristiques e, f, g, h, i, j, et I, c'est-à-dire toutes celles qui concernent la période couverte par l'échantillon, à l'exception de l'augmentation de la densité maximale de 1963 à 1964 qui est remplacée par une faible diminution, de la montée de 1965 à 1966 qui est remplacée par une égalité, et de la caractéristique de forme de 1961 qui est très atténuée, ces trois divergences s'expliquant, semble-t-il, par la croissance extrêmement ralentie de cet arbre dont certains cernes n'atteignent pas 1/10 de millimètre d'épaisseur. sur l'échantillon Xc, dont les accroissements sont beaucoup plus normaux, toutes les caractéristiques du profil de base apparaissent sans aucune exception, ce qui ne laisse aucun doute sur le bien-fondé de la datation retenue. Ainsi, pour les deux arbres T2 et X, et il en était de même pour les trois autres arbres vivants, les deux méthodes aboutissent à des résultats parfaitement concordants, c'est-à-dire martelage authentique au cours de l'hiver ou au tout début de la croissance 1968, et fausses marques au début de la période de croissance Souches : Arbre n" 5 : Sur la figure n 6 est reproduit le profil densitométrique du prélévement effectué sur cette souche et intéressant 13 années. La synchronisation avec le profil xylochronologique de base se fait très facilement, puisque l'on a concordance pour les caractéristiques h, i, j, k, I, m et n, c'est-à-dire pour toutes les caractéristiques, à l'exception de la densité minimale de 1956 qui est 4 Figure no 6 Photos MICHEL Figure n o U I 1 J ECHANTILLON 5 Echelle : --- = 2 m M Ecorce 182

7 Expertise judiciaire de fausses marques ECNANTILLON 19 Echel le : «= 2,~- n Figure n e 8 kotos MICHEL Figure n. 9 égale à celle de 1957 au lieu dêtre supérieure. L'accroissement 1968 étant complet, on peut affirmer que le flachis porté par cet arbre correspondait bien à une fausse marque. En outre, le profil semble indiquer une exploitation de l'arbre durant la période de formation du bois de printemps 1969 ; un examen de la coupe microscopique (figure n" 7) montre qu'il en a bien été ainsi, le nombre élevé de cellules produites permettant de dater l'abattage de l'arbre du mois de juin ou au plus tard du mois de juillet 1969 ; quant au faux flachis, il a été fait nettement plus tôt, soit dans la période d'arrêt de végétation , soit au tout début de la croissance Arbre n 19 : Le positif de la radiographie de l'échantillon correspondant fait l'objet de la figure n" 8 (grossissement 2 X). On peut y observer le développement important de pourritures qui se traduisent par une perte de densité du bois, donc par l'apparition de taches claires sur le positif. Par ailleurs, la radiographie étant faite en bordure du flachis, on voit qu'il n'y a pas eu croissance de l'arbre entre l'exécution de celui-ci et l'exploitation. Le profil densitométrique enregistré suivant l'alignement indiqué par un trait noir sur le positif de radiographie est reproduit en figure n 9 ; il ne concerne que 15 années ; l'intégralité des traits caractéristiques de la période en cause s'y retrouve, à l'exception cette fois de la densité maximale de 1964 qui est égale à celle de 1963 au lieu de lui être supérieure. La datation ne faisant aucun doute, on en conclut que la marque, fausse puisque décalée de un an par rapport à celle du martelage authentique, et l'abattage ont eu lieu entre l'arrêt de la période de végétation 1968 et la période de végétation R.F.F. XXIV

8 Arbre n 21 : La figure n 10 représente le positif de la radiographie de cet échantillon ; comme pour l'arbre n 19, on observe qu'il n'y a pas eu croissance après la réalisation du flachis. Sur le profil densitométrique (figure n 11), on retrouve les caractéristiques b, c, d, e, f, i, j, k, I et m ; en outre, pour la caractéristique a, il n'y a pas opposition avec le profil xylochronologique synthétique, mais une égalité entre la largeur du cerne Photos MICHEL r ,I V ti 1 r I l J i 1 r ECHANTILLON 21 Echelle : ~ + = 1 m Figure n. II 1948 et celle du cerne 1949 au lieu d'une augmentation significative ; quant à la caractéristique de forme n, elle est simplement atténuée en raison de l'étroitesse de l'accroissement correspondant ; le profil confirme donc la datation retenue et permet, comme pour l'arbre précédent, de situer la fausse marque et l'abattage, tous deux dans la période d'arrêt de la végétation entre 1968 et Observations relatives aux fausses empreintes Des différences d'angle et de degré d'affûtage du taillant pouvant exister entre les divers marteaux de l'etat utilisés lors du martelage de la parcelle en cause, une seule possibilité de comparaison valable entre empreintes authentiques et fausses empreintes existait : elle concernait l'arbre n 5 d'une part, les arbres n ' 5A et 5B d'autre part ; tous trois étaient en effet situés sur une même courbe de niveau, et il n'est pas douteux, en raison de la configuration du terrain, que si l'arbre n 5 avait dû être marqué du marteau de l'etat, il l'eut été avec le marteau utilisé pour les arbres 5A et 5B qui l'encadraient étroitement. 184

9 Expertise judiciaire de fausses marques Les figures n " 12, 13 et 14 correspondent à des microphotographies au grossissement 16 de coupes longitudinales radiales faites au niveau supérieur des empreintes, à l'endroit où le cercle qui entoure les lettres AF a pénétré dans le bois, respectivement dans les arbres 5, 5A et 5B. Figure n o 12 ~.... ~ ~. ~ ~ ~ ; ~e er. ~ t,i ~ ~.. ~ ~...A,~..i Iil«nO= k~m falan 211 k :..~ 4 1.~N~~ ~. ' ~..... _-~ - ~iii`.... 1, _ -~....! : ~-s~r»-~ '645 ~...,~,~, w + ~.." ~ '~n~i~/ " 1 t1 t ts._;r,te ih t WtYltt 1ütl~~ tttiwo ~^'+OF.ap* ~.,~~~ ~in-... _- - ~_.~ 461l'~ r,. w.~e~.` ~~ ,~.. Figure no 13 t ,r rrr'+rr Figure n o 14 ~. ]FS \,H-, :.t.l.,+. :j _.T..- - xo.1e.. ~...~.... '11/ MONPr r y~y -~'~. ~ _.YUr._.. '~'fi. ~w:..,. - 1 Photos MICHEL

10 H. POLGE Des différences très sensibles existent certes entre les traces laissées à l'échelle cellulaire par le même marteau sur les arbres 5A et 5B, le coup ayant manifestement été donné avec plus de violence sur le premier que sur le second ; mais les empreintes visibles sur les couches les plus externes du bois laissent apparaître des traits communs, notamment par la présence sur le bord interne d'une partie nettement concave. La marque faite sur l'arbre 5 est très différente ; elle ne comporte qu'un cran peu prononcé dont les deux bords sont parfaitement rectilignes et forment entre eux un ange aigu ; on peut penser que le biseau d'origine du marteau de l'etat se trouvait fortement émoussé à la suite d'un long usage, alors que le faux marteau avait son taillant en parfait état, le coup étant en outre donné avec moins d'assurance dans le second cas que dans le premier. Il n'est cependant pas possible de conclure de façon formelle sur un seul exemple ; l'usage d'un faux marteau au cas particulier est seulement très vraisemblable puisque, à ces différences d'empreintes, s'ajoute le fait que les martelages ont été décalés de plus d'une année l'un par rapport à l'autre. CONCLUSION Malgré les difficultés considérables de l'entreprise, liées à la pourriture des souches et à la croissance anormalement réduite des deux seuls témoins disponibles, l'utilisation des courbes de variation de la densité du bois a permis de résoudre de façon satisfaisante les problèmes posés. Les possibilités d'erreurs sont d'autant plus faibles que les datations obtenues ont systématiquement concordé avec celles qui résultaient de l'analyse des accroissements dans les bourrelets pour tous les arbres vivants sur lesquels cette vérification a été possible. A la suite de cette expertise, le crédit que l'on peut accorder aux méthodes xylochronologiques pour la datation du bois se trouve accru, puisque pour la première fois on a pu dater de façon sûre des prélèvements de souches en employant pour la synchronisation le profil synthétique moyen d'échantillons pris à hauteur d'homme sur des arbres de même espèce certes, mais poussant dans des conditions d'environnement très différentes. Hubert POLGE Directeur de recherches au C.N.R.F. Station de recherches sur-la qualité des bois CENTRE NATIONAL DE RECHERCHES FORESTIÈRES Forêt d 'Amance Champenoux EINVILLE 186

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