Et si Seignalet soignait en fait des coeliaques? Posté par Bruno - 22/10/09 à 19:55
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- Anne-Laure Laviolette
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1 Et si Seignalet soignait en fait des coeliaques? Posté par Bruno - 22/10/09 à 19:55 Bonjour :wink: Derrière ce titre aguicheur, se cache une petite idée qui s'est construite depuis plusieurs mois. Alors Seignalet, on l'entend à toutes les sauces, ceux qui le vénèrent et ceux qui le réduisent à l'état de charlatan. J'ai toujours cru en l'honnêteté du bonhomme et des résultats qu'ils affichaient. Mais ce qui m'a ramené chez lui, c'est la maladie coeliaque. La maladie coeliaque, c'est une prévalence estimée entre 0,5% et 1%: (l'étude des USA qui a fait grand bruit) &_fmt=&_orig=search&_sort=d&_docanchor=&view=c&_acct=c &_version=1&_urlversion=0 &_userid=10&md5=89004ea a8ce47b64d503cf %, c'est énorme. Or, les cas diagnostiqués tournent en France entre 0,0013% et 0,006% de la population générale (en 1995). Soit à peu près seulement 1% des cas estimés. C'est l'une des maladies les moins bien diagnostiquées, car souvent sourde ou monosymptomatique, et les services d'hépato-gastro-entérologie le reconnaissent. Bon, et Seignalet? Oui, oui, ça vient... En fait, on découvre progressivement que la maladie coeliaque, ce n'est pas juste un endommagement du grêle et une malabsorption nutritionnelle. C'est aussi une maladie statistiquement associée (sans savoir s'il y a une relation de cause à effet) à un certain nombre d'autres maladies auto-immunes: diabète de type I, les connectivites, dermatite herpétiforme, maladies cholestatiques autoimmunes, myocardite autoimmune... &_fmt=&_orig=search&_sort=d&_docanchor=&view=c&_acct=c &_version=1&_urlversion=0 &_userid=10&md5=89004ea a8ce47b64d503cf pdf La prévalence de la maladie coeliaque est 10 à 30 fois plus élevée dans le cadre de désordres autoimmuns variés: Et, la dernière actualité parue dans le NEJM du 8 Octobre, du très très intéressant: Osteoporosis Associated with Neutralizing Autoantibodies against Osteoprotegerin 1 / 6
2 On savait que la prévalence de l'ostéoporose était plus élevée chez les coeliaques. Pourtant, ce n'est pas une maladie connue pour être autoimmune comme les précédentes. On pensait donc que ça venait d'un défaut d'absorption de la vitamine D (idée un peu bête vu que très peu de la vit D vient de l'alimentation) et du calcium. Sauf que ces ostéoporoses ne répondaient pas du tout à une supplémentation en vitamine D et calcium. C'est là que ces chercheurs ont montré que 20% des coeliaques produisent des autoanticorps contre la protéine OPG (osteoprotegerin), au rôle crucial dans la santé de l'os et dont la perte conduit à une ostéoporose rapide et sévère. C'est une double découverte dans le sens où c'est la 1ère fois qu'on montre un problème autoimmun dans une maladie de l'os, et où on montre que la prévalence d'ostéoporose dans la maladie coeliaque passerait par cette voie autoimmune. Alors, avec tout ça, et avec tout ce qui viendra (notamment sur les MICI et les rhumatismes inflammatoires), il me parait solide de se demander si Seignalet, en prônant l'éviction du gluten (entre autres), ne soignait pas sans le savoir certains des 99% de coeliaques non-diagnostiqués et obtenait ainsi des rémissions de syndromes autoimmuns divers à l'étiologie indéterminée. Re: Et si Seignalet soignait des coeliaques? Posté par manu@cuisine - 22/10/09 à 22:15 Oui, oui, ça vient... En fait, on découvre progressivement que la maladie coeliaque, ce n'est pas juste un endommagement du grêle et une malabsorption nutritionnelle. C'est aussi une maladie statistiquement associée (sans savoir s'il y a une relation de cause à effet) à un certain nombre d'autres maladies auto-immunes Dans Ecosystème intestinal et santé optimale, le Dr Mouton explore la piste du lien entre leaky gut syndrome et maladies auto-immunes, avec un paquet de publications à l'appui. Pas d'affirmation définitive, bien sûr, mais on imagine aisément que dans le lot des protéines alimentaires passant dans le sang, il peut y en avoir qui auront un mimétisme moléculaire avec les protéines endogènes, et qui provoqueront une réaction immunitaire aussi dirigée contre les tissus propres. Posté par Fabien - 23/10/09 à 09:04 C'est pas un peu la base de la théorie seignalet, que des perturbations du grêle induisent des maladies auto-immunes? je ne comprends pas ce qu'il y a de nouveau ici? On est plutôt dans une étude de plus qui confirme Seignalet, non? Posté par Bruno - 23/10/09 à 13:14 2 / 6
3 Il n'y a rien de fondamentalement nouveau. Je voulais juste relier au conditionnel deux choses: - une maladie reconnue par le corps médical dont seulement 1% des cas serait diagnostiqué et dont le seul traitement connu est l'éviction du gluten à vie (avec remboursement partiel par la sécu des aliments adaptés). - les résultats d'une théorie très critiquée qui n'est pas basée que sur le gluten, et pour laquelle on ne peut d'ailleurs pas savoir si les résultats avancés n'étaient que la conséquence de l'éviction du gluten ou des autres facettes du régime, associées ou non. La pathogénèse de la maladie coeliaque (MC), malgré des avancées notables, reste un mystère. Son association avec d'autres maladies autoimmunes également. Par contre, je n'ai pas trouvé de données concernant la rémission des maladies autoimmunes statistiquement associées à la MC par l'instauration du régime sans gluten (notamment le DID). Cela donnerait une idée de ce lien statistique. Est-ce qu'il y a plus de maladies autoimmunes car ce sont des personnes plus sujettes à en développer? Ou y-a-t'il un vrai lien de cause à effet entre MC et ces désordres (notamment via l'induction d'un LGS comme le dit manu), dans lequel cas, l'éviction du gluten pourrait conduire à leurs rémissions en plus de la MC. Les tests sérologiques de la maladie coeliaque sont fiables, approuvés, et faciles, comme mesurer les IgA anti-transglutaminases dans la salive. Pourquoi ne pas les pratiquer chez les patients victimes de désordres autoimmuns variés, plus à risque d'avoir une MC sous-jacente mais invisible? Avec une prévalence estimée à 1/133, le dépistage plus systématique de la MC semble être une réponse à un problème de santé publique loin d'être négligeable. Posté par Fabien - 24/10/09 à 22:08 Ok, je crois que j'ai compris ce que tu veux dire. En fait, toutes les pathologies soignées par Seignalet aurait peut-être une maladie coeliaque ignorée pour origine. Le régime Seignalet, par éviction du gluten, soignerait donc la maladie coeliaque ignorée, et donc couperait les vivres à la pathologie avérée. On pense alors que le régime a soigné la pathologie avérée, alors qu'en fait, c'est juste la composante éviction du gluten qui a soigné la maladie coeliaque à l'origine de tout. En cas de maladie auto-immune, il conviendrait donc de chercher systématiquement une maladie coeliaque qui est peut-être la cause de la maladie. Ou du moins dont le traitement par l'éviction du gluten peut conduire à soigner aussi la maladie auto-immune. J'ai bon? 3 / 6
4 Posté par - 25/10/09 à 04:21 En fait, toutes les pathologies soignées par Seignalet aurait peut-être une maladie coeliaque ignorée pour origine. On peut aussi être alérgique au gluten, et donc tirer un bénéfice d'un régime Seignalet, sans être coeliaque. Posté par Bruno - 26/10/09 à 10:08 Oui Fabien, c'est exactement ce que je voulais faire partager :) On peut aussi être alérgique au gluten, et donc tirer un bénéfice d'un régime Seignalet, sans être coeliaque. C'est vrai, mais les allergies IgE-dépendantes contre le gluten (touchant environ 0,2% de la pop. selon les estimations de l'inra) passent beaucoup moins inaperçues que la maladie coeliaque. Posté par Fabien - 26/10/09 à 10:20 La bonne nouvelle serait alors qu'on pourrait reprendre allègrement la consommation de produits laitiers, le sucre et les barbecues sans problèmes particuliers. Sauf les cancers, diabètes, infarctus et autres maladies normales des gens en bonne santé. C'est cool. Posté par manu@cuisine - 26/10/09 à 13:28 C'est vrai, mais les allergies IgE-dépendantes contre le gluten (touchant environ 0,2% de la pop. selon les estimations de l'inra) passent beaucoup moins inaperçues que la maladie coeliaque. Je pensais justement aux allergies à IgG, qui ne sont pas forcément relevée car elles se manifestent entre 12h et 4 jours après ingestion, et qu'elles ne sont pas spectaculaires. Posté par Bruno - 26/10/09 à 15:15 4 / 6
5 Je pensais justement aux allergies à IgG, qui ne sont pas forcément relevée car elles se manifestent entre 12h et 4 jours après ingestion, et qu'elles ne sont pas spectaculaires. Je pensais bien que tu avais ça en tête :wink: Je préparerai une réponse plus complète (edit: elle est ici), mais en l'état actuel des connaissances, les allergies alimentaires impliquant uniquement les IgG (IgG4 en l'occurrence) n'existent pas, et, de ce fait le test ImuPro 300 est une arnaque onéreuse, dénoncée par toutes les sociétés d'allergologie. Il n'y a pas de preuve que les IgG sanguins contre des protéines alimentaires ont une valeur diagnostic spécifique. Au contraire, il y a des preuves qu'ils nous protègent d'allergies IgE-dépendantes. Et en tout cas, que les taux reflètent la conso de l'aliment par l'individu, sans mise en évidence d'un rôle pathogène. hes_to.11.aspx (en français, pdf) Les allergies retardées existent bien et sont bien documentées (à peu près 30% des syndromes allergiques) mais elles n'impliquent pas les anticorps. Ça méritera un topic. Les théories pseudo-scientifiques avancées par Rueff ou Mouton qui supportent les tests ImuPro 300 sont très criticables. Posté par manu@cuisine - 27/10/09 à 05:36 en l'état actuel des connaissances, les allergies alimentaires impliquant uniquement les IgG (IgG4 en l'occurrence) n'existent pas Bon, alors moi, j'ai ça qui dit le contraire: Zut, comment on tranche? Posté par Bruno - 28/10/09 à 12:08 Bon, alors moi, j'ai ça qui dit le contraire: Zut, comment on tranche? Je connais l'étude de Dixon (médecin possédant son centre médical proposant ces tests IgG: vu qu'elle fait partie des (courtes) listes bibliographiques des sites internet d'imupro. 5 / 6
6 Aors on a là une étude clinique qui est loin de répondre aux standards de l'évaluation clinique: il n'y a même pas de groupe contrôle. Et en conséquence, pas de travail statistique (résultats dus au hasard? p-value? on ne peut pas répondre). Il n'a pas non plus été essayé de confirmer les résultats par un test alimentaire en double-aveugle contre placebo (difficile à monter, reconnaissons le), pour s'assurer que les aliments 'positifs' étaient la cause spécifique des symptômes après leur rémission. L'évaluation portait sur des symptômes plutôt banals: maux de tête, crampes, diarrhées, toux, congestion nasale...et surtout étaient auto-évalués par les patients, avec deux échelles: plus de 75% d'amélioration ou 100% d'amélioration. Bonjour la subjectivité. Avec l'homéopathie et souvent le même type de schéma expérimental, sans contrôle placebo, on est souvent impressionné par les résultats. Mais Dixon semble honnète car il ne renie pas tous les points qui rendrent les dosages d'igg controversés et non approuvés cliniquement: - les IgG reflètent l'exposition à un aliment - ces IgG sont présents dans la population normale (sans symptôme clinique) - les IgG sont des anticorps protecteurs - certaines réactions alimentaires sont non immunologiques (association/corrélation ne veut pas dire cause à effet) - il y a une très faible corrélation entre les classes RAST et la sévérité des symptômes - la tolérance clinique peut survenir même lorsques les RAST d'igg sont toujours positifs - qu'un résultat positif d'igg à un aliment ne confirme pas que cet aliment cause les symptômes cliniques Bref, que la spécificité semble très faible. J'avoue avoir été un peu catégorique dans mon message précédent, car on est loin de tout comprendre au sujet de ces IgG. Je pense que des évaluations cliniques rigoureuses conduites par des chercheurs indépendants d'imupro apporteront des réponses (comme cela avait été presque fait au sujet du syndrome de l'intestin irritable et des IgG). Posté par manu@cuisine - 28/10/09 à 12:29 - certaines réactions alimentaires sont non immunologiques (association ne veut pas dire corrélation) C'est à mon avis le plus gros point faible de l'édifice: une substance alimentaire peut être toxique sans pour autant provoquer de réaction immunitaire. C'est évident pour les métaux lourds, et il n'y a aucune raison que ça n'arrive pas aussi pour certains peptides d'origine alimentaire. 6 / 6
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