UNE OCCASION DE SOUTENIR LE LANCEMENT DU PREMIER SATELLITE 100% SWISS-MADE

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1 UNE OCCASION DE SOUTENIR LE LANCEMENT DU PREMIER SATELLITE 100% SWISS-MADE

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3 «Ici, vous voyez la structure cubique dans laquelle nous allons placer notre technologie» L étudiant désigne un squelette métallique d une dizaine de centimètres et des cartes électroniques, expliquant avec enthousiasme aux curieux penchés sur sa vitrine ce qui va composer SwissCube, le premier satellite entièrement créé par des étudiants suisses. En octobre 2007, à l occasion de son Assemblée Générale, l A 3 avait choisi le «Space Day», organisé par le Space Center de l EPFL pour réunir ses membres et leur donner ainsi l opportunité de se mettre à jour sur les grands projets en gestation dans les laboratoires de l institution. C est en écoutant cette démonstration que les auditeurs ont appris que le lancement dans l espace du satellite n était pas encore totalement assuré. Même si plusieurs sociétés privées étaient parties prenantes dans le développement du projet, conçu grâce à la collaboration entre plusieurs écoles. Le comité de l A 3 a compris avoir là, sous ses yeux, un parfait exemple de ce que pourrait être un pont entre les étudiants et les diplômés EPFL. D un côté, une équipe dynamique, passionnée, expérimentant toutes les phases d un projet d envergure, apprenant à collaborer avec des partenaires d horizons différents. Ensemble, ils tendent vers un objectif concret : envoyer un satellite pour recueillir des informations sur une couche de notre atmosphère. Pour les étudiants, une chance unique : participer à un projet concret de développement, une possibilité dont l EPFL peut à juste titre s enorgueillir. De l autre côté, les diplômés, vous, moi, qui avons gardé de très bons souvenirs de nos études à l EPFL, qui en tirons une certaine fierté, et qui aimerions, d une manière ou d une autre, contribuer maintenant au rayonnement de notre école. L A 3 se propose, par une campagne de levée de fonds auprès de ses membres, de satelliser dans un petit cube de 10 cm de côté l esprit de solidarité entre diplômés et futurs ingénieurs. De concrétiser l envie d inscrire dans les étoiles l excellence et le dynamisme innovateur de notre région et la force de son réseau. J espère que vous aurez autant de plaisir à lire cette brochure que j en ai eu lors de mes rencontres avec l équipe du Space Center EPFL. Avec l A3, je compte sur votre contribution financière pour rendre possible cette aventure extraordinaire. Natalie Meystre Vice présidente de l A 3 Contacts et renseignement sur notre site : http//a3.epfl.ch/swisscube.html La science passionne le public. C est particulièrement le cas pour l aventure spatiale, grâce aux retransmissions télévisées du programme Apollo ou, pour la Suisse, aux missions de la navette spatiale auxquelles a participé l astronaute Claude Nicollier. Même s il pourrait paraître moins spectaculaire, le projet SwissCube est enthousiasmant à plus d un titre. Parce qu il résulte d une collaboration entre plusieurs institutions académiques suisses et qu il permet aux étudiants de se former à l ingénierie spatiale en contribuant à la conception, la construction et la mise en orbite d un satellite. Mais aussi, parce qu il donne l occasion à l ensemble de la communauté polytechnique d être partie prenante dans ce projet, grâce à la souscription lancée par l A3. Mêmes modestes, vos contributions auront une symbolique forte. Elles témoigneront de la solidarité entre diplômés et étudiants, dont le SwissCube emportera la trace dans l espace. Charles Kleiber, Ancien secrétaire d Etat à la Science 1

4 DES PICOSATELLITES POUR PROMOUVOIR L ÉDUCATION SPATIALE La Suisse participe depuis longtemps à l aventure spatiale. Grâce à son industrie spécialisée, à des expériences développées au sein de ses universités ou à travers la personne de Claude Nicollier. Désormais, la formation des ingénieurs dans le domaine spatial est considérablement améliorée avec le développement des Cubesats. Le projet «CubeSat» a vu le jour au début des années 2000 dans le laboratoire du Professeur Bob Twiggs de l Université de Stanford aux Etats-Unis, et a été mis en place par l université voisine, la California Polytechnic State University (CalPoly). L objectif de ce programme d enseignement, auquel participent aujourd hui plus de 60 universités et hautes écoles dont l EPFL est d offrir aux étudiants une expérience concrète et des connaissances de pointe liées à la recherche et à l industrie aérospatiale. Un satellite très performant Le CubeSat est un picosatellite cubique de dix centimètres de côté, pesant tout juste un kilogramme et offrant un volume utile d un litre. A l intérieur de ce cadre prédéfini, il s agit d implanter les divers composants techniques, dont la charge principale ou «payload». C est ce «passager scientifique», associé à l ensemble de tous les éléments conçus par les étudiants afin de le faire fonctionner, qui fait la spécificité de chaque CubeSat. Bien que de toute petite taille, le CubeSat possède les mêmes fonctionnalités que ses plus grands cousins: système de communication bidirectionnel pour l espace (mais n utilisant qu un Watt de puissance!), ordinateur de bord, panneaux solaires alimentant une centrale d énergie, détermination et contrôle de son comportement, charge scientifique. Ils opèrent aussi sous les mêmes conditions, soumis au vide interstellaire, aux radiations, aux chocs thermiques répétés, de même qu aux vibrations extrêmes en cours de lancement. Grâce au Poly Picosatellite Orbital Deployer (P-POD ), dispositif tubulaire développé en parallèle par CalPoly pour «lancer» ces petits satellites cubiques, le CubeSat s embarque, tel un passager auxiliaire, sur une fusée de lancement conventionnelle, et ce à un coût relativement faible par rapport au frais de déploiement des satellites de grande taille. Les dimensions standardisées du CubeSat, tout comme la systématique de son lancement, favorisent la collaboration interuniversitaire, le partage des connaissances et suscite l enthousiasme de l industrie. De plus, le prix relativement modique du satellite comparé à d autres projets spatiaux permet aux universités, source permanente de savoir et d innovation, de jouer un rôle dans la conquête de l espace. Le premiers CubeSat a été lancé en 2003, en tant que passager auxiliaire d une fusée destinée à mettre sur orbite un satellite commercial. Ce principe permet de réduire considérablement le coût du lancement, qui s élève néanmoins à environ $ pour chaque unité. Au total, à ce jour, 33 Cubesats ont été lancés. Un seul accident, survenu avec un lanceur russe en 2006, a entraîné d un seul coup la perte de 14 d entre eux. SwissCube, un CubeSat 100% suisse La Suisse est depuis longtemps partie prenante de l aventure spatiale, puisqu elle figure parmi les membres fondateurs de l Agence spatiale européenne (ESA). Elle y contribue annuellement pour un montant de 140 millions de francs. N oublions pas la première expérience suisse, destinée à mesurer les vents solaires, embarquée sur Apollo XI. Ni évidemment les quatre vols de Claude Nicollier, le premier astronaute suisse, sur les navettes de la NASA. L industrie aérospatiale est très développée en Suisse. Elle a construit notamment les coiffes du lanceur Ariane produites par la firme Contraves (aujourd hui Oerlikon Space), les horloges atomiques du futur système de navigation satellitaire européen «Galileo» développé à l observatoire de Neuchâtel, et les très nombreuses structures et mécanismes de précision suisses qui volent dans l espace. Si la Suisse a participé au développement de nombreux satellites en fournissant des pièces ou des instruments, SwissCube représente le premier projet spatial entièrement développé et construit dans notre pays. Représentation du nouveau lanceur européen VEGA 2

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6 Petit mais sophistiqué Toute une série de composants permettront au SwissCube de remplir ce mandat de recherche. Un ingénieux système de déploiement assurera la sortie de deux antennes perpendiculaires, outils de transmission et de réceptions des données vers les stations terrestres. L énergie nécessaire au fonctionnement du satellite, équivalente à celle d un simple téléphone portable, sera fournie par de minuscules panneaux solaires apposés à la surface du cube. Elle devra de plus permettre de faire fonctionner le système de communication à raison de 1 Watt pendant une dizaine de minutes une à deux fois par jour. Des «magneto-torquers», petits solénoïdes produisant des champs magnétiques variables à la manière de trois aimants combinés, assureront les corrections de position du cube en orbite en interagissant avec le champ magnétique terrestre, avec une précision de l ordre de +/- 5. Des quartz spécialement sélectionnés formeront l horloge interne du SwissCube. L ordinateur de bord assurera quant à lui, et grâce à toute une série de logiciels développés par les étudiants, la gestion des données et leur transfert vers les stations au sol. Ces dernières, également conçues et installées dans le cadre du projet, permettront d entrer en contact avec SwissCube lorsqu il passera au-dessus d elles. Le satellite devrait avoir une autonomie de fonctionnement d au moins trois mois. Mais, ce délai échu et si son comportement est toujours bon, il est envisageable qu il puisse poursuivre sa mission pendant une année entière. Lanceur Pour le choix du lanceur, la première option retenue est celle de la fusée VEGA, de l Agence spatiale européenne. Le projet VEGA a pour objectif de satisfaire la demande pour des satellites de taille réduite 300 à kg de charge utile pour des orbites basses ou polaires. Le premier lancement doit avoir lieu fin 2008, début 2009 depuis la Guyane française. Une trentaine de projets CubeSat développés par les universités européennes sont en concurrence pour un embarquement sur la fusée VEGA. Parmi ceux-ci, il y a bien sûr SwissCube, mais aussi un projet développé par la Scuola Universitaria Professionale della Svizzera Italiana (SUPSI) de Manno, au Tessin [1]. La seconde option envisagée pour le cas où le développement du projet VEGA devait rencontrer difficultés ou retards est celle de la fusée indienne PSLV (Polar Satellite Launch Vehicle). Destiné à l orbite polaire, il s agit d un lanceur déjà bien rôdé puisque son premier vol réussi date de CD & FDC [1] Démarré un an avant le projet SwissCube, il est d une ampleur plus modeste, recourant notamment à l achat en kit d une partie du CubeSat. 4

7 Vue éclatée des éléments de SwissCube 5

8 SWISSCUBE, UNE OPPORTUNITÉ D ENSEIGNEMENT EXCEPTIONNELLE Le projet SwissCube est le fruit d une étroite collaboration entre l EPFL, l Université de Neuchâtel et quatre HES de Suisse romande Fribourg, Sion, Yverdon et Haute Ecole-ARC, des membres de l industrie aérospatiale suisse et l Agence Spatiale Européenne. Chaque semestre, ce sont près de 35 étudiants provenant des divers laboratoires impliqués qui participent au développement du SwissCube. Sous la supervision d une équipe d ingénieurs et le mentorat d industries telles que RUAG Aerospace, Oerlikon Aerospace ou Montena emc, les étudiants peuvent acquérir des connaissances pratiques de grande valeur et apporter leur ingéniosité au petit cube suisse. L objectif principal du projet SwissCube est celui de former des ingénieurs ayant la possibilité de suivre l ensemble des opérations liées à un projet spatial. Celui-ci est entièrement réalisé en conditions réelles, de la définition de la mission à l exploitation des données transmises depuis l espace, en passant par la mise au point et la fabrication du satellite, les phases d essai, de lancement et d exploitation des données acquises par le satellite. La mise en réseau de compétences distinctes Le projet SwissCube a démarré en été 2005 à l initiative du Professeur Shea du LMTS, donc bien avant l arrivée des étudiants, avec les premiers contacts entre les laboratoires des différentes institutions. Le plan de management a été établi sous la houlette de Muriel Noca, du Space Center [1] de l EPFL. Il s agissait de combiner de façon optimale l approche analytique propre à l EPFL et à l UNI de Neuchâtel avec les implémentations pragmatiques et le savoir-faire technique des HES. L EPFL est impliquée dans le projet avec une dizaine de laboratoires qui concernent trois facultés sur cinq, soit Sciences et techniques de l ingénieur (STI), Informatique et systèmes de communication (I&S) et Sciences de base (SB), les HES d Yverdon et de Fribourg avec deux laboratoires, l Université de Neuchâtel, la HES Sion et la HE-ARC avec un laboratoire chacune. Les stations terrestres qui seront en communication avec le SwissCube seront basées à Fribourg et à l EPFL. Afin d obtenir le maximum d impact didactique, le projet est organisé selon le modèle des programmes de la NASA et de l ESA. Les étudiants peuvent ainsi appréhender de façon précise l interaction entre les diverses étapes de la conception. Avec quatre phases de développement et une phase d exploitation. L élaboration d un système unique Le système de vol du SwissCube est entièrement conçu et fabriqué en Suisse, dans le cadre du programme d enseignement. Il s agit donc d un système unique à objectif didactique, qui peut en outre permettre de valider de nouvelles techniques innovantes «space proven» susceptibles de déboucher sur des brevets, voire sur la commercialisation de certains composants. Une première phase de tests portant sur la résistance aux chocs et aux vibrations s est déroulée en août 2007, grâce à l appui de RUAG Aerospace, au sein du Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt (DLR) à Berlin, avec l assistance de l entreprise Astround Feinwerktechnik GmbH. Sachant ensuite que lors d une rotation orbitale, le SwissCube sera soumis à des variations de température allant de 50 à + 70 C, un cycle d essais thermique en situation de vide a été entrepris dès septembre 2007 dans les laboratoires de l entreprise RUAG-Aerospace à Nyon. Des perspectives d avenir prometteuses Grâce au projet SwissCube, les étudiants ont la possibilité d acquérir la vision globale d un système d ingénierie et de mettre en perspective chaque phase de développement avec l ensemble d un processus. Les industriels ayant rapidement compris que le projet SwissCube leur offrait une ressource de compétences unique, les offres de stage et d emploi n ont pas tardé à affluer. Si ce satellite confirme tous les espoirs portés en lui, il est prévu de commencer la conception de SwissCube2 en 2009 par un appel à des propositions de payload et d expériences scientifiques. FDC [1] Suite à une décision stratégique de la direction de l EPFL, le Space Center à été crée en 2003 et a pour buts principaux de promouvoir la recherche, l éducation et les liens avec l industrie dans le domaine fascinant qu est le spatial. Le Space Center comprend une équipe de six personnes dirigées par Maurice Borgeaud. Si SwissCube est actuellement le projet phare du Space Center EPFL, la mise en place d un mineur en technologie spatiale pour les étudiants et la création d une salle d ingénierie concurrente sont d autres activités importantes du Space Center. 6

9 Modélisation des déformations mécaniques du satellite 7

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11 Montage et tests du satellite 9

12 EN PRISE DIRECTE SUR L AIRGLOW Si la raison d être principale du projet SwissCube est la formation d ingénieurs spécialisés dans le domaine spatial, l objectif final de tout satellite mis en orbite reste de recevoir sur terre des informations utiles recueillies depuis l espace. Pour cette première mission, il s agira d obtenir une série de prises de vue de l AirGlow. La mission du satellite SwissCube sera l observation et la prise de mesures du phénomène «Airglow», cette couche de l atmosphère luminescente située à environ 100 km d altitude. Repéré pour la première fois en 1868 par Anders Angström, il est dû principalement à la photodissociation, à la photo-excitation, à l excitation par des électrons rapides ou à la recombinaison d ions, sous l effet du bombardement des photons du soleil sur les atomes d oxygène dans les très hautes couches de l atmosphère. L objectif scientifique est l observation des émissions d oxygène dans les longueurs d onde du proche infrarouge (762 nm), de manière à caractériser l intensité de l airglow en fonction de l angle d observation, de l altitude, de la latitude et du temps local. L expérience a été suscitée par l équipe du Laboratoire des Microsystèmes pour les Technologies Spatiales (LMTS), dirigé par le Prof. Herbert Shea. L objectif est de savoir si le phénomène Airglow est présent jour et nuit autour de la terre, s il est soumis à des variations et s il pourrait avoir une relation avec la couche d ozone. Simplicité et fiabilité La «payload», ou charge utile, du satellite SwissCube est constituée d un télescope qui sera chargé de prendre une série d images de ce phénomène. Il s agira pour cela de le détecter, d orienter le satellite de manière optimale, puis de transmettre l image sur terre lorsque le satellite sera en mesure de contacter la station de réception, de Fribourg ou de l EPFL. Au vu de la taille réduite du satellite, le système embarqué doit parvenir à une grande simplicité et surtout, offrir une fiabilité à l épreuve des conditions extrêmes auxquelles il est exposé. Le télescope mesure 50 mm de long, pèse 40 grammes et se compose de trois parties. La première est le détecteur, un circuit intégré du commerce de 188 x 120 pixels, capable d échantillonner sur une profondeur de 10 bits. Le signal de l Airglow étant très faible, une plus haute résolution diminuerait le flux de photons sur un seul pixel. Par ailleurs, le temps de transmission lors de chaque passage du satellite à l aplomb de la station de réception étant restreint, il est nécessaire de limiter la taille de chaque image. L objectif comporte trois lentilles et un filtre qui ne laisse passer que la longueur d onde désirée dans le domaine du proche infrarouge. Le dispositif est complété par un filtre optique destiné à atténuer la lumière incidente, composé de plusieurs couronnes circulaires percées, prises entre des entretoises. Par le jeu des réflexions sur les couronnes de formes étudiées, la lumière qui arrive sur les côtés de l objectif est déphasée, contrephasée, atténuée et réfléchie vers l extérieur du télescope dans un rapport de 40 db ( fois). Le corps du télescope est en titane, en aluminium et divers autres métaux. L ouverture de l objectif est de 20 degrés dans les deux axes. La payload consomme relativement peu d énergie 150 mw lors de chaque prise de vue par rapport à l ensemble du système. FDC 10

13 Airglow et télescope 11

14 DE «STAR WARS» À SWISSCUBE Noémy Scheidegger est l une des chevilles ouvrières de SwissCube. Impliquée depuis le début du projet alors qu elle était étudiante, aujourd hui ingénieure diplômée sous contrat avec le Laboratoire des Microsystèmes pour les Technologies Spatiales (LMTS), demain engagée par Oerlikon Space, elle symbolise à merveille le potentiel offert par la nouvelle filière d enseignement dans le domaine spatial. D où vous est venue cette passion pour l espace? Noémy Scheidegger : D une manière somme toute assez classique, j imagine. C est en regardant le film «Star Wars», qui devait sans doute aussi être le premier film que j aie vu. Ensuite, mon rêve était de devenir pilote de chasse, même si je n ai jamais commencé le long processus nécessaire pour le concrétiser. Quel a été le parcours académique qui vous a conduit à vous occuper du projet SwissCube? J ai tout d abord obtenu une maturité scientifique en 2000 au Gymnase d Oberwil, dans le canton de Bâle-campagne. Par la suite, le stage de quinze jours que j ai suivi à l EPFZ dans le domaine de la robotique a été décisif pour ma future orientation académique. Comme je souhaitais améliorer mon français, je me suis inscrite à l EPFL, dans la section de Microtechnique. Mais une formation spécifique dans le domaine spatial n existait alors pas à l EPFL? Non, c est vrai. Chance ou clin d œil du destin, je me trouvais là quand Claude Nicollier à donné son premier cours à l EPFL. Je l ai donc suivi en tant qu auditrice «clandestine», puisqu il n était pas inclus dans le cursus normal de la troisième année, mais j ai tout de même réussi à le faire valider après coup. Ensuite, le Space Center a commencé son activité en Vous avez donc fait partie de la première volée d étudiants? En effet. J y ai entrepris le premier projet de semestre portant sur SwissCube, et plus particulièrement sur l analyse de mission. Enfin, si mon projet de master n était pas directement lié au contexte de SwissCube, il avait tout de même une relation avec le domaine spatial, puisqu il s agissait d un petit robot adapté au terrain rugueux. Votre master en poche, quel fut le début de votre activité professionnelle? J ai obtenu un contrat de 18 mois du LMTS pour développer un Earth Sensor (un instrument optique similaire à la charge utile de SwissCube) pour l Agence Spatiale Européenne (ESA). Parallèlement, je restais impliquée dans le projet SwissCube pour la définition de la mission et la charge utile. Ce contrat s achève à la fin février Dès le 1er avril, je serai engagée chez Oerlikon Space, grâce aux contacts établis à travers le projet SwissCube. J y travaillerai dans le domaine de la robotique et des mécanismes de déploiement. Vos rêves se sont donc concrétisés? Oui, je n avais pas fait de plan de carrière particulier, mais finalement jusqu à maintenant tout a toujours marché de la manière la plus heureuse pour moi. J ai même commencé à perfectionner mon russe, que j avais commencé à apprendre au gymnase Propos recueillis par FDC 12

15 FAIRE VOLER UN VRAI SATELLITE Fabien Jordan est Ingénieur HES en génie électrique, orientation systèmes énergétiques, diplômé du HEIG-VD d Yverdon. Depuis la fin de ses études et de son projet de diplôme, qui portait sur la gestion de l énergie au sein du SwissCube, il a intégré le «coreteam» du Space Center de l EPFL, où il supervise chaque semestre les travaux de plusieurs étudiants. Qu est-ce qui vous a amené à participer au projet SwissCube? Fabien Jordan : C est un de mes professeurs à la HES qui a mentionné l existence des CubeSats et la possibilité de participer au projet en développement au Space Center de l EPFL. Ça a tout de suite éveillé ma curiosité! Contribuer à faire voler un vrai satellite me semblait une opportunité rare. Je me suis donc porté volontaire. J ai d abord fait un travail de semestre sur SwissCube, puis enchaîné avec le diplôme qui portait sur les composantes électriques du satellite. Vous faites aujourd hui partie de l équipe qui supervise les étudiants au Space Center, comment s est fait le passage de l étudiant HES à l employé EPFL? En douceur, car je connaissais déjà bien l équipe du Space Center. Mais il est vrai qu au début, j étais quelque peu intimidé par les étudiants provenant du cursus EPFL : j avais l impression qu en théorie, leurs connaissances étaient plus poussées que les miennes. Je me suis rapidement rendu compte que c était mes aptitudes pratiques mon savoir-faire technique si on veut que je devais mettre à profit afin de bien guider les étudiants, cet aspect étant moins développé dans la formation EPFL. Quels aspects du projet SwissCube vous passionnent? Je suis actuellement impliqué dans toute la partie électrique du satellite et je travaille principalement au niveau des interfaces entre les différents sous-systèmes. Ce qui m intéresse, c est d être confronté à un problème pour lequel il existe plusieurs solutions possibles. On doit alors faire preuve de créativité afin de trouver la solution la plus appropriée. J aime le processus qui va de cette idéation créatrice à la matérialisation de la solution, et enfin, à sa validation par l expérience. L idée qu une des composantes que j ai non seulement imaginé mais fabriqué se retrouve dans l espace, c est une motivation sans pareil. Cette expérience professionnelle au sein du «core-team» du Space Center est elle aussi formatrice? Tout à fait. On y côtoie des gens exceptionnels comme Muriel Noca et Maurice Borgeaud, sans parler des quelques rencontres avec Claude Nicollier! Ces personnes ont non seulement des connaissances très poussées dans le domaine mais aussi, et surtout, un sens inné du travail en équipe et de la gestion de projet. Cette attitude de gestionnaire est très difficile à acquérir dans le cadre d une formation théorique. En parallèle, le Space Center permet de participer à plusieurs évènements dans le contexte de la communauté CubeSat, à des conférences et des workshops internationaux. On peut ainsi échanger avec des chercheurs et des étudiants de tous horizons. Il est certain que l expérience acquise au Space Center me sera d une grande utilité tout au long de ma carrière. Propos recueillis par CD 13

16 PARTICIPEZ À L AVENTURE SPATIALE! Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong posait le pied sur la lune. Au même moment, sur Terre, des centaines de millions de téléspectateurs, l œil rivé sur leur poste, vivaient avec passion ce moment historique. Alors réservée aux deux grandes puissances, l aventure spatiale est devenue accessible à un grand nombre de pays, dont le nôtre. Elle n est plus seulement incarnée par la figure de Claude Nicollier, mais mobilise un nombre croissant d industriels, d ingénieurs, et d étudiants. Elle fait désormais partie du cursus académique dans les EPF, les universités et les HES. Grâce au projet SwissCube, les diplômés de l EPFL et les entreprises ont l occasion eux aussi de participer à une aventure spatiale, en contribuant à son financement. Un petit pas pour chacun, qui fera écho au «grand pas pour l humanité» de Neil Armstrong. Afin de maintenir ses coûts à un niveau acceptable, le projet SwissCube recourt à des composants industriels soigneusement sélectionnés. Un plan de tests rigoureux a été mis sur pied grâce au soutien de partenaires industriels tels que RUAG Aerospace et Oerlikon Space. Bien que le travail de recherche et développement soit inclus dans les budgets de fonctionnement des laboratoires, il est nécessaire de trouver un financement pour la construction du satellite et de la station de réception au sol, le lancement et les coûts d intégration et de validation. Ce projet phare du Space Center est partiellement financé par l EPFL, le Bureau des Affaires Spatiales Suisses (SSO) affilié au Secrétariat d Etat pour l Education et la Recherche, les firmes RUAG Aerospace et Oerlikon Space, ainsi que par le CSEM. Il reste cependant à couvrir le solde du budget, soit un montant de francs, par le biais du sponsoring. Trois niveaux de contribution sont proposés, de manière à permettre à chacun de participer, entreprise, diplômé ou étudiant. 14

17 Contributeurs «Golden Pass» Le «Golden Pass» correspond à une contribution financière supérieure à CHF Il concerne des entreprises, des institutions ou des personnes privées dont le logo ou le nom apparaîtront lors de l ensemble des événements techniques et de relations publiques, ainsi que sur le site internet de SwissCube. Chaque contributeur «Golden Pass» recevra en outre une maquette à l échelle grandeur nature du satellite, aura le statut d invité d honneur lors de la réception organisée à l EPFL à l occasion du lancement et pourra se connecter sur un canal privilégié d informations «live» en provenance du satellite. Les relations entre les équipes d étudiants et les entreprises contributrices seront activement encouragées, lors de conférences et de meetings, de manière à faire bénéficier les entreprises contributrices de retombées concrètes de la nouvelle formation d ingénieurs spécialisés dans le domaine spatial. Une contrepartie exceptionnelle est prévue pour les contributeurs «Golden Pass» dont le montant de la contribution dépasse CHF Ils auront en effet la possibilité d être physiquement représentés dans l espace, puisque leur logo ou leur nom sera gravé sur la face intérieure du satellite. Contributeurs «Tantalum Pass» Le «Tantalum Pass» correspond à une contribution supérieure à CHF Il donne droit à une invitation à la cérémonie de lancement à l EPFL et à la réception des informations «live» du satellite. La liste des noms de contributeurs «Tantalum Pass» figurera sur l ensemble des documents publiés et sur le site internet de SwissCube. Contributeurs «Aluminum Pass» Le projet SwissCube souhaitant s ouvrir à la participation de tous ceux que l aventure spatiale passionne, même les plus infimes contributions sont les bienvenues. Les contributions supérieures à CHF 200.-donnent droit à une invitation à la cérémonie de lancement à l EPFL et la réception régulière de la Newsletter; pour les contributions supérieures à CHF 500.-, ils recevront en outre les informations «live» du satellite. Le développement et le lancement du premier satellite suisse entièrement construit par des étudiants bénéficiera sans aucun doute d une très large audience. Celle-ci regroupera non seulement l ensemble de la communauté scientifique suisse, mais devrait passionner un très large public à travers les médias presse, radio et télévision. Plusieurs articles ont déjà rendu compte du projet, un film a été diffusé sur EuroNews. Contribution Offre SwissCube «Aluminum Pass» > Invitation à la cérémonie de lancement à l EPFL et Newsletter «Tantalum Pass» > Invitation à la cérémonie de lancement à l EPFL Nom sur les publications et le site internet (si souhaité) «Golden Pass» > Hôte d honneur à la cérémonie de lancement à l EPFL Maquette grandeur nature du satellite > Hôte d honneur à la cérémonie de lancement à l EPFL Maquette grandeur nature du satellite 10 invitations pour les clients du donateur, Logo ou nom gravé sur la face interne du satellite Pour tous les dons de personne privée, vu que le versement va à une fondation d utilité publique, ces montants sont déductibles sur la déclaration d impôts. Vous recevrez un certificat de notre part. 15

18 LA PASSION POUR L ESPACE Lorsque j ai eu l occasion privilégiée d observer de mes propres yeux, à plusieurs reprises depuis la navette spatiale, le magnifique spectacle de l Airglow au cours de mes missions en orbite terrestre entre 1992 et 1999, j étais loin d imaginer qu un jour, je serais le témoin d une activité frénétique à l EPFL autour d un projet réalisé par des étudiants et visant à observer ce même phénomène! Une belle aventure, qui dépasse largement le cadre du Space Center EPFL, et qui associe des centres, écoles et instituts dans toute la Suisse et quelques endroits en Europe. Je peux déjà imaginer le suspense le jour du lancement, lors du départ, de l insertion en orbite, de l activation des systèmes de bord et de la réception du premier signe de vie du petit cube en orbite, puis des premières données scientifiques Il y a une grande noblesse dans un pareil projet. Une bonne dose de talent technique et gestionnaire. De l émotion. On est finalement sur les pas des grands programmes de l astronautique scientifique et exploratoire comme Giotto, Hubble, Galileo, Cassini-Huygens, Mars et Vénus Express, Spirit et Opportunity... plus modestement peut-être, mais avec beaucoup de points communs, car l environnement sera le même (vide, absence de gravité, pluie de particules, rayonnement UV du Soleil), et les chances de succès ne seront acceptables que si l on tient compte de tous ces facteurs avec discernement et rigueur. Il ne fait aucun doute, à mes yeux, que le niveau d enthousiasme et de passion est le même chez SwissCube que dans ces grands programmes, en plus de la très grande valeur formative du projet. Je souhaite bonne chance à toute l équipe, et peux affirmer qu avec une bonne partie de la population suisse et au-delà, je partagerai l aventure de SwissCube avec toute l intensité qu elle mérite. Claude Nicollier Houston, le 19 février 2008 Brochure éditée par: l A 3, EPFL, Centre Midi, CP 122, 1015 Lausanne 15, mail: a3@epfl.ch, internet: // Comité de rédaction: Maurice Borgeaud, Patrick Lacourt, Natalie Meystre, Mark Miehlbradt, Muriel Noca // Rédaction: Revue TRACÉS, rue de Bassenges 4, 1024 Ecublens, Francesco Della Casa (FDC), Caroline Dionne (CD) // Graphisme: Atelier Poisson / Giorgio Pesce, Camille Sauthier, Av. de Morges 33, 1004 Lausanne // Impression: STAEMPFLI Publikationen AG, Wölfflistrasse 1, 3001 Berne // Crédit des illustrations: SpaceCenter EPFL / p.5 : ESA / p.16 : ESA / p.18 : NASA / couverture : 16

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